Je viens de le trouver dans la discussion rapportée ci-dessous entre professionnels de la modération de contenus sur Internet, où il n’intervient brutalement que pour faire des reproches injustifiés particulièrement lourds et lourdingues à l’ancien juriste d’OVERBLOG qui à ce titre avait reçu toutes les réclamations de Cyprien Luraghi et de ses amis « déconnologues » à propos de mon ancien blog « Un petit coucou » sur cette plateforme de blogs, lequel fut actif de fin mars 2010 à mi-juin 2013.
Il est bien le seul à se le permettre.
De quel droit ?
Ce « déconnologue » parmi les plus virulents à mon encontre depuis 2014 n’a jamais fait partie de la bande avant cette année-là et n’a donc jamais rien vu ni suivi de tous les harcèlements dont j’ai été victime de la part de son idole Pascal Edouard Cyprien Luraghi et de tous ses complices de la première heure de 2008 jusqu’à 2014.
Il ne sait rien de la réalité des contenus de mon ancien blog « Un petit coucou » chez OVERBLOG, il ne l’a jamais vu, et surtout, aucun de ses contenus ne l’a jamais concerné d’aucune manière, puisqu’il n’était pas encore de la bande de « déconnologues » de Cyprien Luraghi, qu’il n’a rejoints qu’après ses débuts de riverain de Rue89, en 2014.
Imprégné depuis lors de tous les délires collectifs de cette bande de cybercriminels à mon encontre, il répète après eux comme un âne. C’est tout.
« Dès qu’un vérificateur confirme qu’un article est effectivement porteur de fausses informations, nous modifions immédiatement son classement pour qu’il apparaisse plus bas dans les fils d’actualité. En moyenne, ceci permet de réduire de plus de 80 % son nombre de vues. »
La chasse à la désinformation : l’un des moyens de sécuriser Facebook, en particulier pendant les élections européennes.
En France, cinq « vérificateurs » ont ainsi le pouvoir de faire chuter la visibilité sur Facebook d’un contenu qu’ils jugent trompeur : 20 minutes Agence France Presse (AFP) CheckNews de Libération Les Décodeurs du Monde Les Observateurs de France 24
Ou sinon tu peux arrêter d’agiter ton appeau à trolls (qui fonctionne au top, à en juger par les réponses), et proposer mieux ?
Si faire un tweet descriptif on ne peut plus neutre c’est un « appeau à trolls » c’est peut-être que c’est pas le tweet le problème ?
Vi vi, ton tweet n’exprimait aucun jugement de valeur, prends moi pour une buse
Il n’exprime aucun jugement de valeur il est le descriptif exact de ce que ta réaction confirme être sujet à débat puisque tu me rends responsable du fait que ça fait débat.
Maintenant tu peux critiquer le messager, ou parler du message.
Disons que j’ai du mal à prendre acte du fait que tu n’aies aucune opinion sur la question, et que la critique est aisée, mais l’art difficile. D’où ma première question : on peut sûrement faire mieux, mais comment au juste ?
On ne peut que faire mieux que cette solution actuelle qui n’a que des défauts. Un comité de sages réunissant des pointures comme F Aubenas, J Quatremer et dont l’unanimité serait requise ? Ce serait deja moins pire.
Oui, sinon qu’il y a ici une exigence de rapidité, le but n’est pas de faire l’autopsie d’une fake news en réunissant des sages une fois par mois. Pour moi la multiplicité des rédactions impliquées, et un peu de transparence sur leurs décisions (et leurs désaccords?) suffirait.
D’expérience pour avoir géré la modération d’Overblog durant des années : on se fait un monde de tout ca. En réalité, les posts problématiques sont tres, tres peu nombreux et tres, très facile a répérer. Pas différent pour Facebook
En réponse à
@GrandNicolas
@cedric
et
@gchampeau
Ben en même temps, quand on est infoutu de repérer les posts problématiques, la calomnie, le harcèlement, les menaces, la propagande natio-raciste, sexiste, homophobe — j’en passe et des meilleurs — c’est en effet assez facile.
En réponse à
@Caporal_Pancho
@cedric
et
@gchampeau
Ah mais je conteste formellement, j’ai immédiatement su reconnaitre que vous étiez globalement une bande de nouilles finies tous autant les uns que les autres, c’est bien pour cela que j’avais considéré que vous ne méritiez pas l’attention que vous cherchiez désespéramment. Las!