Cyprien Luraghi n’aime pas Jean-Luc Mélenchon 5 mai
Ce n’est pas nouveau, cela fait des années que Cyprien Luraghi beugle un peu partout qu’il déteste ou « hait » Jean-Luc Mélenchon, notamment en raison de sa position sur le Tibet.
Ainsi, par exemple, dans son billet de blog du 28 février 2012, ou bien encore, dans ce commentaire sur le blog de l’intéressé, le 9 avril 2008 :
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cyp dit:
9 avril 2008 à 14h33 Camarade Sénateur,D’abord tu ne connais RIEN de l’histoire tibétaine. Rien. Ton papier, camarade, est tissé d’ignorance : cela va jusqu’à se mélanger les dates. Et je ne parle pas de ta haine envers le Dalaï Lama (et sa clique, tant qu’à faire).
Comme tous les autres déblatérateurs, tu ne t’es jamais posé LA question cruciale, qui est : pourquoi les provinces tibétaines de l’Inde (Laddakh, Zanskar, Lahul et Spiti) n’ont pas le moindre désir de se révolter contre leur « puissance occupante » ? T’es-tu seulement documenté ? Ou écouté ceux et celles qui maîtrisent le sujet ? Non.
J’ai vécu et travaillé quatorze ans dans l’Himalaya, où j’étais guide de trek. J’habitais à Boddhnath (8 bornes de Katmandou) et mes voisins de palier étaient tous des Tibétains : vieux guérilleros Khampas, simples boutiquiers, caravaniers, mamies édentées, nonnes torturées par les Chinois, et nombre de mes amis bouddhistes sont aussi militants du PC népalais, figure-toi.
Mais tu ne peux pas comprendre ce que j’écris, parce que tu crois sûrement (suffit de te lire pour se faire une idée de ton étroitesse d’esprit et de ton inculture) que je suis un affreux bouddhiste. Mais non : plus laïcard que moi, tu meurs ; les moines gras me débectent et je suis un vieux Rouge, depuis toujours, de manière viscérale et quasi-génétique (une tradition familiale dont je suis le fier héritier).
Je ne m’étends pas, car je connais les us et les coutumes de ton blog, et mon message a toutes les chances d’être effacé.
Cyprien Luraghi
Je rappelle ici qu’au cours de l’été 2010, entre moultes autres allégations plus délirantes les unes que les autres, il m’avait accusée de haïr Jean-Luc Mélenchon, un bon ami de son ami Charles Mouloud, comme s’il s’agissait d’un crime parmi les plus abominables. Et pourquoi cela ? Tout simplement parce que deux ans plus tôt, au printemps 2008, j’avais réagi comme un très grand nombre de Bretons à ses déclarations d’alors sur les langues régionales. En 2010, je n’y pensais plus depuis longtemps et les propos de Cyprien Luraghi affirmant que je haïssais Jean-Luc Mélenchon sans préciser d’où il sortait pareille assertion m’avaient fait le même effet que chacune de ses autres propositions me concernant : tombant de l’armoire à chaque nouvelle découverte, je restais scotchée devant mon écran, yeux écarquillés et bouche bée…
En réalité, il projetait sur moi sa propre haine de Jean-Luc Mélenchon.
Le pervers narcissique ne voit pas les autres tels qu’ils sont, il a tendance à ne les voir qu’à son image.
Dans le cas tout à fait extrême de Pascal Edouard Cyprien Luraghi, c’est quasi systématique : presque tout ce dont il m’accuse ou qu’il m’attribue mensongèrement correspond en réalité à ses propres agissements, pensées, sentiments, traits de caractère ou de personnalité.
C’est donc lui qui hait Jean-Luc Mélenchon, il l’a écrit par la suite à de très nombreuses reprises et l’a encore rappelé ce 1er mai 2019 sur Twitter :
Monsieur Tschäggättä
@Mr_Tschaggatta
· 1 mai
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Cyprien Luraghi@CyprienLuraghi