Je décline toute responsabilité quant aux mentions qui s'affichent dans les cinq lignes ci-dessus du pavé "Recherchez aussi" sur lequel je n'ai aucun contrôle.
Mes statistiques sont bloquées depuis le 2 février 2015.
7 février 2015
Mes statistiques sont de retour, tout fonctionne.
16 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 12 février.
22 février 2015
Mes statistiques "basiques" ont été débloquées hier soir après la publication de mon dernier article concernant NEMROD34. Belle reprise simultanée de l'activité du Chinois.
23 février 2015
Statistiques "basiques" toujours sujettes à blocages : le 21 février au soir, à peine étaient-elles débloquées, puis à nouveau hier, 22 février, à peine étaient-elles débloquées.
24 février 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Pas de nouveau pic d'activité du Chinois depuis le 21 février.
25 février 2015
Je n'ai pas mes statistiques "basiques" du jour, ça bloque encore... et Justinpetitcoucou est toujours bloqué depuis le 8 février... Faudrait penser à le débloquer, lui aussi, il y a du laisser-aller, là...
26 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blog débloquées. Merci pour Justin, il était temps !
27 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blogs de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt... Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
25 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 20 mars.
26 mars 2015
Merci de m'avoir débloqué mes statistiques "basiques". Encore une fois, je ne vois pas l'intérêt de ce petit jeu. Ce serait aussi bien de cesser de bloquer ces statistiques pour oublier de les débloquer jusqu'à ce que j'aie signalé le problème.
31 mars 2015
Merci de bien vouloir me débloquer les statistiques "basiques" de Justinpetitcoucou, restées bloquées depuis le 14 mars - cf. avis du 25 mars sur Justin.
2 avril 2015
Merci de m'avoir rendu les statistiques de Justin.
7 mai 2015
Je n'ai plus de statistiques depuis deux jours, ni "basiques" ni "avancées".
10 mai 2015
Retour des statistiques "basiques". Merci. Manquent encore les statistiques "avancées".
14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
3 octobre 2015
Depuis hier, les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro. Merci de me les rendre.
A peine mon précédent article était-il publié que mes statistiques de Satanistique curieusement envolées aujourd’hui durant plusieurs heures, entre mes deux dernières publications, étaient intégralement de retour :
Cette fois, il s’agit de Satanistique dont les nombres de vues par article sont tous passés à zéro sitôt après la publication de mon dernier article, dans lequel j’évoquais de précédents piratages de blogs et autres sites par la bande de cybercriminels du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi ayant ainsi fait disparaître des preuves de leurs harcèlements à mon encontre.
La plainte porte notamment sur de possibles entraves à la saisine de la justice réalisées par la suppression de preuves, en l’occurrence de nombreux tweets litigieux.
En ce qui concerne le modèle primitif de cette « Ligue du LOL » essentiellement composée de jeunes communiquants, à savoir la bande de « déconnologues » du mythomane, malade mental et cyberharceleur extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, composée pour sa part de militants politiques tous extrémistes et pour la plupart militants ou sympathisants du NPA affichant une moyenne d’âge de plus de 50 ans, des suppressions de preuves ont été réalisées à plusieurs reprises par piratages informatiques des différents sites et blogs où elles se trouvaient, soit toujours à la vue du public, notamment sur Le Post ou ses archives tant que celles-ci sont restées en ligne (traces des harcèlements du chef en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre en 2009 et 2010), soit en stock hors la vue du public pour édification ultérieure de juges ou enquêteurs, notamment dans les parties privées des blogs des victimes, comme les corbeilles où étaient conservés des commentaires d’injures et de menaces non publiés, principalement ceux du très prolifique Jean-Marc Donnadieu de Béziers, dont un grand nombre avait disparu de la sorte début octobre 2010 au moment même où il adressait au procureur de la République de Brest une lettre de dénonciations calomnieuses à mon encontre tandis que son avocat Philippe Desruelles lançait à Béziers toutes ses opérations d’escroquerie au jugement contre OVERBLOG.
Mon ancien blog « Un petit coucou » chez OVERBLOG, qui n’avait été que suspendu de manière préventive le 11 juin 2013 à la suite d’une seconde condamnation inattendue d’OVERBLOG dans le cadre de nouvelles tentatives d’escroquerie au jugement de mes harceleurs, en l’occurrence, cette fois-là, Josette Brenterch du NPA de Brest, avait ainsi été entièrement supprimé par piratage informatique début septembre 2015 alors qu’un policier de Brest s’appêtait à m’interroger à la suite d’une plainte déposée à mon encontre à la gendarmerie de Puy-l’Evêque par Pascal Edouard Cyprien Luraghi au mois de mai 2015.
Il ne s’agissait encore, bien entendu, que de dénonciations calomnieuses, et son auteur craignait que je ne me défende comme OVERBLOG et moi-même l’avions déjà fait contre ses deux complices Jean-Marc Donnadieu et Josette Brenterch en exhibant notamment tous ses commentaires sur ce blog.
Aussi, il s’était publiquement réjoui de sa suppression dans les colonnes du site Rue89 peu de temps plus tard alors qu’il n’en avait été averti par aucune forme d’annonce publique.
Mais ce blog avait bien été supprimé à sa demande ou directement par lui pour m’empêcher de produire les preuves de ses harcèlements à mon encontre sur mon propre blog durant tout le temps de son activité, entre 2010 et 2013.
Ligue du LOL : une association féministe saisit le procureur de Paris
HARCÈLEMENT – Une association féministe a saisi lundi 20 mai le procureur de la République de Paris dans l’affaire de la Ligue du LOL, ce groupe constitué de journalistes et communicants parisiens – et dont plusieurs membres sont accusés de harcèlement sexiste dans les années 2000.
20 mai 11:41 – La rédaction de LCI
L’affaire de la ligue du LOL entre un peu plus dans sa phase judiciaire. Selon nos informations, le collectif féministe « Prenons la une » a saisi lundi 20 mai le procureur de la République de Paris afin que « toute la lumière soit faite sur les faits supposés de cyberharcèlement, injures à caractère sexiste, raciste ou homophobe et incitation à la haine raciale ou sexiste ». Et demandé à la ministre de la Justice Nicole Belloubet, ainsi qu’à la secrétaire d’Etat aux Droits des femmes, Marlène Schiappa, d’en faire de même.
Plusieurs licenciements
Créé à la fin des années 2000, la ligue du LOL est un groupe Facebook privé qui regroupait notamment des journalistes ou travailleurs du web, surtout parisiens. Une dizaine d’années plus tard, ces mêmes journalistes, parfois très influents, parfois rédacteurs en chef de grands médias, sont accusés d’avoir harcelé pendant ces années de nombreuses personnes. L’affaire avait fait réagir jusqu’à la secrétaire d’État à l’égalité femmes-hommes Marlène Schiappa.
En février dernier, un article de Libération– abondé ensuite par de nombreux témoignages sur Twitter – mettait au jour ces faits de harcèlement sexiste. Dans les semaines qui ont suivi ces révélations, plusieurs journalistes ont d’ailleurs été licenciés notamment Alexandre Hervaud et Vincent Glad à Libération tout comme David Doucet, rédacteur en chef web du magazine Les Inrocks, et de son adjoint François-Luc Doyez.
Suppression de preuves ?
»Il importe de connaître le déroulé précis des événements pour savoir s’ils sont prescrits, indique le collectif Prenons la une dans un communiqué. Nous souhaitons que la suppression de nombreux messages sur les réseaux sociaux, à la suite de la révélation de l’affaire, soit étudiée, afin de savoir si cela constitue une nouvelle infraction d’entrave à la saisine de la justice. »
En février dernier, relevant le caractère raciste de certaines de ces attaques, SOS Racisme avait également effectué un signalement auprès du procureur, suite à l’affaire de la ligue du LOL. Pour l’heure, aucune enquête n’est ouverte.
Un incendie s’est déclaré dans la nuit de samedi à dimanche près de la gare de triage de Mulhouse, ravageant 8.000 m2 d’entrepôts, sans faire de victime. Selon le « Républicain Lorrain », des explosions ont d’abord été entendues aux alentours de minuit dans le secteur, avec des projections de débris enflammés.
Les pompiers ont été alertés par « de multiples appels de riverains » vers 23H00 pour un incendie « dans un ancien entrepôt de la SNCF de 12.000 m2, loué à diverses entreprises, notamment un important dépôt de meubles », indique le lieutenant-colonel Georges Thill, chef de site au Service départemental d’incendie et de secours (Sdis) du Haut-Rhin.« Ce bâtiment a brûlé aux deux tiers, la charpente métallique s’est écroulée et tout le contenu est perdu », a-t-il ajouté.
8.000 m2 détruits par le feu
« Quand les pompiers sont arrivés, il y avait un embrasement très important », a relaté l’officier.
En tout, 8.000 m2 ont été ravagés par les flammes, pour une raison encore inconnue. « Une centaine de sapeurs-pompiers, une dizaine d’engins incendies, trois grandes échelles, quatre lances-canons et dix lances de plain-pied » ont été mobilisés toute la nuit, a détaillé le lieutenant-colonel Thill.
L’incendie, qui n’a pas fait de victime, a été maîtrisé vers 03h00 dimanche. Une vingtaine de pompiers étaient encore sur place pour éteindre les foyers résiduels et « des moyens seront engagés toute la journée », a précisé à l’AFP l’officier du Centre opérationnel d’incendie et de secours (Codis) du Haut-Rhin.
Mulhouse : l’incendie de l’entrepôt de la gare de triage est éteint, 8 000 m² détruits par les flammes
Une trentaine de pompiers sont pour autant toujours sur place et travaillent à « l’extinction des foyers résiduels ».
L’incendie qui a ravagé 8 000 mètres carré dans l’entrepôt de la gare de triage de Mulhouse (Haut-Rhin) est dorénavant éteint, indiquent les pompiers à franceinfo dimanche 19 mai. Une trentaine de pompiers sont pour autant toujours sur place et travaillent à « l’extinction des foyers résiduels ».
L’incendie s’est déclenché vers 23 heures samedi. 8 000 m² ont été complètement détruit, sur les 12 000 que compte l’entrepôt au total. La charpente en métal s’est effondrée. Cet ancien entrepôt de la SNCF était loué à plusieurs entreprises, dont l’une qui stockait des meubles, précisent les pompiers. Une vingtaine d’habitations qui se trouvaient à proximité de l’entrepôt ont été évacuées jusqu’à 1 heure du matin.
Il n’y a aucun blessé. Une centaine de pompiers ont été mobilisés au plus fort de l’incendie.
Publié le 18/05/2019 à 23h48. Mis à jour le 19/05/2019 par Florence Moreau.
Un feu ravage depuis samedi soir le parking des Salinières. Le quartier est toujours bouclé ce dimanche, et le tram C est interrompu, sans doute pour au moins une semaine. D’éventuelles victimes sont recherchées.
Une fumée noire et épaisse sortie du sol, qui se voyait de très loin ce dimanche matin, une odeur âcre qui se répandait… Le secteur autour du quai des Salinières, dans le quartier Saint-Michel à Bordeaux, a été bouclé samedi soir pour permettre aux pompiers de venir à bout d’un incendie survenu dans le parking des Salinières, sur la rive gauche des quais. Un incendie qui semblait maîtrisé samedi soir, mais qui a repris de la vigueur dans la nuit et n’est toujours pas maîtrisé ce dimanche.
Le feu encore actif mais des progrès ont été réalisés
Vers midi, les équipes de pompiers dites « d’engagement longue durée » ont pénétré dans le parking, jusque-là inaccessible en raison de la chaleur et d’un doute sur la stabilité des lieux. « Elles ont mis et laissé en place des lances qui vont cracher de l’eau de façon automatique », explique le capitaine Matthieu Jomain, officier de communication du Sdis. Car le feu brûle toujours ce dimanche, avec »un effet cocotte-minute qui fait monter la température », expliquait-il plus tôt dans la journée.
Ces lances « ont en quelque sorte ouvert la voie. Mais ce n’est pas parce qu’elles quittent les lieux que c’est fini. Désormais, d’autres pompiers vont se relayer. Nous sommes confiants mais vigilants sur la fin prochaine de l’incendie. C’est seulement après que nous pourrons faire un état des lieux ».
Recherche d’éventuelles victimes
Deux sujets d’inquiétude prédominent et ont été au coeur d’un point de situation, effectué sur place avec de la directrice de cabinet du préfet, de Jean-Louis David, adjoint au maire notamment chargé de la sécurité, de TBM et de l’architecte des bâtiments de France… »Notre préoccupation principale est qu’il n’y ait pas de victimes à l’intérieur ».
Certains riverains ou utilisateurs font en effet état de SDF qui dorment régulièrement au chaud sur un matelas, voire d’autres – des plaintes ont été déposées – qui cassent une voiture pour y passer la nuit. « La recherche d’éventuelles victimes se fait niveau par niveau. Il n’y en a pas pour le moment. Mais c’est aussi pour cette raison aussi que nous avons fait évacuer un bâtiment samedi soir (un immeuble de quatre étages a été évacué, neuf personnes ont été relogées et 31 ont été prises en charge par la Croix rouge, NDLR). L’endroit devenait dangereux. Il y a eu beaucoup d’explosions lors de la phase d’embrasement et ce matin encore ».
Une structure fragilisée ?
Reste l’état des lieux une fois l’incendie maîtrisé. Il conditionne la reprise du trafic des tramways de la ligne C qui dessert la gare, le retour des habitants à leur domicile, la reprise de la circulation sur les quais… « On ne connaît pas encore l’étendue des dégradations », pose l’adjoint au maire. « Tant que le doute n’est pas levé, la circulation des tramways ne pourra pas reprendre, soit pas avant une semaine, le temps que les experts rendent leur rapport ».
Forts de leur expérience, les pompiers ont en effet émis des doutes sur la stabilité de la structure qui pourrait être fragilisée. « Il y a beaucoup de gravats à l’intérieur et une partie de la dalle entre le deuxième et le troisième étage serait tombée », révèle l’élu, qui ne veut pas sombrer dans le catastrophisme. « Il faut attendre pour s’assurer qu’il n’y a pas de danger ». Le marché de la place Saint-Michel est annulé pour la journée de lundi.
« Les pompiers, dont il faut souligner le travail remarquable, sont allés d’abord dans les endroits les plus profonds, au –5 et –4 pour faire leur reconnaissance », détaille Angélique Rocher-Bedjoudjou, directrice de cabinet du préfet. « C’est à cette occasion que trois sapeurs pompiers ont été intoxiqués. Ils sont désormais hors de danger. La vigilance reste de mise à l’intérieur du parking ».
Le feu localisé au niveau –3
Tout a commencé samedi soir, peu avant 20h30, au moment où les caméras de vidéosurveillance ont repéré de la fumée. Le Sdis a tout de suite envoyé de gros moyens, qui ont ensuite été renforcés. « Nous avions 32 véhicules et une petite centaine d’hommes », racontait samedi soir le lieutenant-colonel Arnaud Mendousse, officier de communication du service départemental d’incendie et de secours de la Gironde (Sdis).
Un poste de commandement avancé a été installé avec cartes des lieux, tableau blanc résumant les événements marquants, radios qui font crépiter les bilans de reconnaissance à tous les étages. C’est seulement vers 22h20 que le foyer a été localisé. « Au niveau –3, c’est une voiture qui a pris feu », révélait le lieutenant-colonel Mendousse.
Un périmètre de sécurité a été délimité pour maintenir les badauds à l’écart et éviter les inhalations de fumées crachées par l’extraction automatique. Peu avant 23 heures, les pompiers pensaient avoir maîtrisé le feu. Mais ils ont rencontré une succession de difficultés, si bien que l’incendie est resté actif.
Tram C interrompu, sans doute au moins jusqu’à lundi
Conséquence : le quartier est toujours bouclé avec interdiction de circuler. Sur son site internet, la mairie de Bordeaux précise que « l’accès, l’usage et l’exploitation du parking des Salinières sont interdits jusqu’à la mise en sécurité totale du site ». Plusieurs rues du secteur sont inaccessibles.
Depuis le début du sinistre, samedi soir, les tramways de la ligne C sont donc neutralisés entre les stations Quinconces et gare Saint-Jean, précise TBM. Une situation qui devrait durer et un vrai problème sur cette ligne qui dessert la gare Saint-Jean et ses milliers de passagers, comme l’expliquait Jean-Louis David (lire plus haut). Des bus relais ont été mis en place.
Bordeaux : L’incendie de parking est maîtrisé, mais pas encore éteint, un étage menace de s’effondrer
Un feu ravage depuis samedi soir le parking souterrain des Salinières, à Bordeaux. La sous-préfète Angélique Rocher-Bedjoudjou annonce que le feu était maîtrisé.
En début d’après-midi, la sous-préfète Angélique Rocher-Bedjoudjou a annoncé que le feu était maîtrisé. « On ne peut pas exclure qu’un véhicule, à nouveau, reprenne feu, donc une surveillance constante est effectuée par les pompiers », a-t-elle précisé.
Le niveau -2 menace de s’effondrer
Le niveau -2 du parking souterrain des Salinières à Bordeaux où un incendie d’origine indéterminée est en cours depuis ce samedi soir, menace de s’effondrer sur le niveau -3, rapporte ce dimanche les pompiers à France Bleu Gironde.
L’incendie s’est produit au niveau -3 de ce parking sous-terrain, qui en compte cinq. « Nous progressons à tâtons mais c’est très difficile d’avancer tant la température est élevée : plusieurs centaines de degrés. Il y aussi un risque de toxicité lié aux fumées très important », a expliqué le capitaine Mathieu Jomain, qui s’occupe de la communication des pompiers. 370 véhicules se trouvent dans le parking et plusieurs ont pris feu sans que l’on sache ni combien, ni pourquoi pour l’instant.
Les niveaux -5 et -4 ont fait l’objet de reconnaissance. Les autres étages étaient encore trop chauds pour être inspectés ce dimanche à 13h.
Les pompiers à la recherche d’éventuelles victimes
Plus de 100 pompiers sont mobilisés ce dimanche midi. Ils continuent également de rechercher d’éventuelles victimes. Trois pompiers ont été légèrement intoxiqués par les fumées et devaient sortir de l’hôpital dans la matinée. 45 personnes qui habitent dans les appartements voisins ont été évacuées et regroupées au Palais des sports.
Un périmètre de sécurité a été mis en place autour du parking. Le tram C est interrompu entre les stations Quinconces et Gare St-Jean. Un bus relais a été mis en place. On ne sait pas encore quand le trafic pourra reprendre.
Ce n’est pas la première fois que ce parking est victime d’un incendie. Cela s’était déjà produit en 2013 puis en 2016.
EXCLUSIF : Hélène Bodenez, professeur de Lettres à Paris, était à la messe à Notre-Dame lundi en fin de journée quand l’alarme incendie s’est déclenchée. Elle raconte comment elle a vécu cet évènement tragique. L’Alléluia de dimanche promet une saveur particulière.
Pas de messe dans ma paroisse le lundi. En prenant le 47, en ce Lundi saint, je serai rapidement à Notre-Dame. J’arrive à 18h20, un peu en retard pour la messe de 18h15 célébrée par mon ancien curé de la paroisse Saint-Lambert, le père Carrau.
L’alarme en pleine messe
La lecture vient de se terminer et j’entends le psaume 26 chanté « Le Seigneur est ma lumière et mon salut. » L’évangile de saint Jean, l’onction à Béthanie, est proclamé. L’homélie commence. Le père Carrau n’a pas eu le temps de prononcer grand-chose quand une sorte d’alarme fait entendre alternativement une sirène puis une voix très forte qui dit un message inaudible, en plusieurs langues.
Dans le chœur, la dame à côté de moi me demande si j’ai entendu comme elle « le gros bruit ». Je lui réponds par l’affirmative bien que ne sachant pas précisément d’où ça venait ni ce que cela recouvrait. Plutôt en hauteur et à gauche. Habituée aux alertes incendie en tant qu’enseignante, je me demande cependant si c’en est une. Mais les vigiles arrivent et font évacuer tout le monde. Mêmes les fidèles de la messe. Aux alentours de 18h35.
Quand nous nous retrouvons dehors, nous ne savons pas ce qu’il en est. Les vigiles non plus. Très à cheval sur les procédures, ils rembarrent vigoureusement tous ceux qui veulent passer outre. Les grilles se ferment. Puis, alors que les touristes ne peuvent plus entrer, quelques fidèles dont je suis sont autorisés à rentrer, à rejoindre le prêtre pour continuer la messe interrompue. Plus de micro. Mais des personnes derrière et autour de l’autel s’affairent bruyamment dans cette cathédrale désormais vide, silencieuse. Le père Carrau a quitté l’ambon pour être plus proche de cette poignée de fidèles et commence deux phrases pour être interrompu très très vite : des hurlements nous intiment de sortir. On sent l’affolement grave. On obtempère sur le champ ; nous sommes dehors à nouveau à la vitesse de l’éclair. Incendie, attentat ? On déguerpit sans demander son reste.
Dehors à nouveau. Un peu sonnée. La messe ce n’est pas pour ce soir. Et là, levant la tête, de la fumée. Horreur. Il est aux alentours de 18h50. L’incendie est déclaré. Personne autour de moi ne croit pourtant que c’est grave. Ce n’est simplement pas possible. Mais au fur et à mesure que les minutes s’écoulent la sidération est palpable, celle de tous ceux qui sont présents, la mienne évidemment énorme. Les larmes me montent aux yeux.
Les périmètres de sécurité commencent à être mis en place. Les sirènes de police et de pompier à retentir. Les policiers arrivés en renfort nous font reculer sur un ton qui ne souffre pas d’opposition. D’abord un peu, et puis quelques minutes plus tard beaucoup plus loin pour évacuer toute la foule agglutinée. Une lourde fumée sort de la petite rosace qui me fait face. Mais bientôt après la fumée, l’orange et le rouge des flammes s’élancent dans le ciel. Des flammèches commencent à voler. La flèche est atteinte. La vitesse du feu est hallucinante. Des exclamations épouvantées fusent avec des « oh non ! » poignants.
L’arc-en-ciel et le pompier
La zone est à libérer. D’urgence. Je décide de ne pas rester. Je pars au moment où la grande échelle des pompiers de trente mètres lance enfin de sa lance sur les quatre-vingt-dix mètres de hauteur l’eau tant espérée. Un arc-en-ciel se forme dans les éclaboussures d’eau. Au cœur du malheur, toujours ces petits signes… Depuis le déluge, nous savons qu’il est le signe de l’alliance indéfectible de Dieu et de son peuple.
En ce début de semaine sainte 2019, après le « Hosanna au plus des Cieux » des Rameaux d’hier, à deux jours de la messe chrismale, Pâques se profile décidément dans une épreuve toujours plus lourde et qui paraît n’avoir pas de fin. L’Alléluia de dimanche promet une saveur particulière.
Un mois après l’incendie de Notre-Dame, on reste dans l’ignorance de ce qui l’a causé. La piste accidentelle est toujours retenue, et les enquêteurs ont isolé trois hypothèses de départ de feu, indique Euronews. Le projet de restauration n’est pas encore choisi et le gouvernement enjoint les architectes à laisser libre cours à leur imagination.
Un mois s’est écoulé depuis l’incendie qui a ravagé une partie de Notre-Dame de Paris. L’enquête est ouverte, mais les causes du sinistre demeurent encore inconnues, indique Euronews.
Les enquêteurs continuent à privilégier la piste d’un départ de feu accidentel. Trois hypothèses sont avancées actuellement, la première supposant que des ouvriers auraient violé l’interdiction de fumer sur le chantier, où plusieurs mégots ont été retrouvés après l’incendie, selon le Canard enchaîné.
La deuxième porte sur un éventuel court-circuit qui aurait pu se produire dans les ascenseurs installés pour les travaux de réfection. Enfin, un scénario incluant les cloches électrifiées est également pris en considération.
L’enquête en cours est aussi censée définir les raisons pour lesquelles l’incendie n’a été détecté que vingt-trois minutes après la première alerte.
Les coûts des dégâts causés par l’incendie restent imprécis à défaut d’un diagnostic complet, a déclaré le ministre de la Culture, Franck Riester. La charpente en bois et la flèche complètement détruites, des architectes proposent des projets de reconstruction aussi classiques qu’innovants.
Aucun projet n’a été choisi pour le moment et l’appel à des solutions constructives est toujours valable:
«Il est bien trop tôt pour conclure, c’est le moment du débat. Profitons de cet élan créatif, on voit que jaillissent partout des idées formidables, parfois saugrenues, mais aussi extraordinaires. Laissons la créativité s’emparer de nos compatriotes, faisons un beau débat architectural, et c’est un beau débat, et le moment venu nous déciderons», a affirmé le ministre.
900 millions d’euros de promesses de dons ont été récoltés depuis le lancement de la souscription nationale. L’un des organismes collecteurs, la Fondation pour le patrimoine, a pris la décision d’arrêter la collecte de fonds et d’en créer une autre pour aider à sauver et reconstituer des sites français dans un état déplorable, a précisé Euronews.
Européennes : un élu Insoumis appelle à voter Rassemblement national
Andrea Kotarac, conseiller régional LFI, va quitter son parti et voter pour le Rassemblement national le 26 mai prochain. Il veut « faire barrage » à Macron.
Source AFP
Modifié le 15/05/2019 à 06:09 – Publié le 14/05/2019 à 21:06 | Le Point.fr
Coup de tonnerre pour La France insoumise à moins de deux semaines des élections européennes. Un élu régional du parti de Jean-Luc Mélenchon, ancien membre de l’équipe de campagne présidentielle, a annoncé mardi qu’il quittait LFI et allait voter pour la liste du Rassemblement national aux élections européennes pour « faire barrage » à Emmanuel Macron. « Emmanuel Macron a catalysé la colère des Français (…) il y a répondu par l’arrogance, par l’insulte. Donc, j’appelle à voter pour la seule liste souverainiste, qui met en avant l’indépendance de la France et qui est la mieux à même de faire barrage à Emmanuel Macron et de faire barrage à ce rouleau compresseur antisocial », la liste de Jordan Bardella, a déclaré à BFM TV Andréa Kotarac, conseiller régional Auvergne-Rhône-Alpes.
Andrea Kotarac a dit souhaiter « faire baisser le plus bas possible le score de LREM, au niveau du charisme de Nathalie Loiseau ». Il a précisé avoir rencontré la présidente du parti d’extrême droite Marine Le Pen qui l’a « rassuré » sur les questions sociales. « Elle m’a appelé, elle m’a soutenu dans la tourmente. » « Je n’adhère pas au RN, mais le contexte politique actuel nécessite un barrage à Emmanuel Macron. Si Emmanuel Macron est en tête, il va accélérer ses réformes antisociales », a ajouté l’élu.
« On ne défend plus les intérêts du peuple mais ceux de la gauche (…) J’ai décidé de quitter @FranceInsoumise (…) Mélenchon n’est pas un dicateur ou Dracula (…) mais sa pensée est minoritaire au sein de LFI. » pic.twitter.com/c5aBlO5qEv
La participation de ce militant, partisan d’une ligne très souverainiste, à un forum en Crimée en avril organisé par Vladimir Poutine avait fait polémique chez LFI. « On a oublié cette pensée souverainiste, républicaine, laïque », a plaidé Andrea Kotarac. À propos de l’immigration, que combat le RN, il a dit « (préférer) que les gens vivent dignement, fièrement, chez eux sans qu’ils aient à risquer leur vie » dans un autre pays.
Le RN a salué dans un communiqué « le courage et la lucidité de cet élu réellement insoumis, qui a compris que la dynamique du RN était la seule capable de stopper la politique d’Emmanuel Macron et avec elle, la soumission de la France à la politique néfaste de l’Union européenne ».
Andrea Kotarac a précisé par la suite sur son compte Twitter qu’il allait rendre son mandat de conseiller régional. Il avait été élu en 2015 sur la liste PS/MRC/EELV/PG du socialiste Jean-Jack Queyranne et siégeait depuis au sein du groupe Rassemblement citoyen écologiste & solidaire (RCES).
Elliott Aubin, élu LFI dans le 1er arrondissement de Lyon et « ami » de longue date de Andrea Kotarac, s’est dit « abasourdi » et « sidéré » par la nouvelle, en évoquant sur Twitter « une cynique trahison politique à quelques jours d’un scrutin ».
« Incompréhension, trahison. Condamnation absolue. On ne combat pas Macron avec le RN. On combat les deux quoi qu’il en soit », a tweeté de son côté Benoît Schneckenburger, candidat en 12e position sur la liste de LFI pour les élections européennes.
Andrea Kotarac : Incompréhension, trahison. Condamnation absolue . On ne combat pas Macron avec le RN. On combat les deux quoi qu’il en soit.
Modifié le 18/05/2019 à 17:26 – Publié le 18/05/2019 à 17:21 | Le Point.fr
Après le départ d’Andréa Kotarac, conseiller régional LFI, qui a appelé à voter pour le RN, c’est un nouveau coup dur dont La France insoumise se serait bien passée dans la dernière ligne droite de ces élections européennes. Le philosophe Henri Peña-Ruiz, membre du Parti de gauche, et auteur du dernier cours à l’école de La France Insoumise sur la laïcité, a décidé de soutenir Ian Brossat, la tête de liste du Parti communiste, au détriment de Manon Aubry, tête de liste LFI, le parti de Jean-Luc Mélenchon.
« Je souhaite un beau succès à Ian Brossat et à sa liste pour que la France de notre regretté Jean Ferrat parle haut et fort à Bruxelles », écrit-il dans un texte de soutien que Le Point s’est procuré en exclusivité (lire encadré).
« La disparition du Parti communiste serait une catastrophe absolue »
L’intellectuel a-t-il des griefs envers LFI et Jean-Luc Mélenchon ? « Pas du tout, pas du tout. Je craignais cette réaction. Je suis toujours un compagnon de route de LFI. Mais la disparition du Parti communiste serait une catastrophe absolue », minimise-t-il. Pourtant, un de ses amis nous assure qu’il a été « très affecté » par la mise à l’écart de Charlotte Girard, militante très populaire à LFI, après que celle-ci a exprimé des réserves à l’égard de Sophia Chikirou, proche de Jean-Luc Mélenchon.
Mais il refuse de s’associer publiquement aux critiques exprimées par plusieurs cadres qui ont claqué la porte sur le manque de démocratie dans l’appareil. « S’il y a des problèmes à La France insoumise, c’est aux militants de La France insoumise de les résoudre », explique-t-il. Contactés, Manon Aubry et Manuel Bompard n’ont pas répondu à nos sollicitations.
« Ian Brossat fait honneur à la politique et au communisme »
« Ian Brossat fait honneur à la politique et au communisme. Il mène brillamment campagne en faisant le pari de l’intelligence et de la culture. Dans « communisme » il y a commun. Commun à tous les êtres humains. Au-delà des amalgames injustes qui ont tenté de disqualifier l’idéal communiste, il est grand temps de rappeler ce sens du bien commun, de l’intérêt général, et de la solidarité qu’implique la notion de communisme. Souvenons-nous du Front populaire, de la résistance au nazisme, puis de la Libération, avec l’œuvre inoubliable d’Ambroise Croizat, ministre communiste qui créa la Sécurité sociale. Oui, le Parti communiste français a joué un rôle décisif dans l’histoire de notre pays. Notamment pour promouvoir le progrès social. Aujourd’hui, face à la morgue de classe de M. Macron, et à sa politique dévastatrice pour les plus démunis, il nous faut un Parti communiste fier de son histoire, et décidé à jouer un rôle moteur dans le rassemblement des forces de progrès. Karl Marx disait que la classe ouvrière est une classe universelle en ce sens qu’en se libérant de l’exploitation capitaliste elle libère l’humanité tout entière. Transposé à l’âge de la mondialisation capitaliste, et appliqué à tous ceux qui ont à lutter contre l’injustice sociale, ce propos est d’une vive actualité. Y compris à l’échelle de l’Europe, enchaînée naguère par Jean Monnet au capitalisme et à l’atlantisme pro-américain, et qui n’est qu’une caricature de la belle idée européenne telle que l’a rêvée Victor Hugo. Le poète voulait une Europe du progrès culturel et humain, non une Europe de la concurrence libre et non faussée, qui fait du social un résidu facultatif. Le sens de la justice sociale ne doit pas se réduire au supplément d’âme d’un monde sans âme. Au Parlement européen, les élus communistes ne manqueront pas de combattre une économie dévoyée par des financiers indifférents au sort des laissés pour compte. Il est temps de refonder l’Europe sur la justice sociale et la responsabilité écologique, sans oublier la laïcité, idéal d’émancipation plus actuel que jamais. Je souhaite un beau succès à Ian Brossat et à sa liste pour que la France de notre regretté Jean Ferrat parle haut et fort à Bruxelles. » Henri Peña-Ruiz Philosophe, écrivain, maître de conférences à Sciences Po Paris.