Le site 20minutes.fr en symbiose totale avec les pédocriminels 23 août
Dans la foulée de l’affaire du pédocriminel Jeffrey Epstein, celle d’un chirurgien breton aux tendances pédophiles avérées et dont les victimes pourraient se compter par centaines commence à faire des vagues, comme je le rapportais il y a deux jours dans cet article :
Or, tandis que les témoignages de victimes présumées de ce prédateur ou de leurs parents se multiplient dans les médias (cf. ci-dessous), le site 20minutes.fr a pour sa part fait le choix de publier une interview de l’avocat de cet homme « tempérant » toutes les accusations très précises portées contre son client en rappelant qu’il nie tout fait de viol ainsi que toute agression sexuelle sur son lieu de travail et prétend n’avoir noirci ses immondes carnets secrets que de fantasmes.
Datant d’hier, elle se trouve ici :
Cependant, le renvoi aux assises du dénommé Joël Le Scouarnec pour des faits de pédocriminalité est déjà acté et n’a pu se décider à la légère.
Et l’interview de son avocat est livrée aux lecteurs du site 20minutes.fr sans aucune contradiction, notamment en provenance des victimes, dont les témoignages sont ignorés par les journalistes de ce site de désinformation qui s’était déjà fait remarquer comme tel au mois de janvier dernier en publiant le soi-disant « témoignage » à mon encontre du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, soit une montagne d’affabulations délirantes, comme toutes les prétentions de ce mythomane me concernant – étant toujours sous le choc de cette saloperie « journalistique » signée Hélène Sergent, je prends le temps qu’il faut pour y réagir et y reviendrai plus tard de manière détaillée.
La voilà :
Le cybercriminel qui viole l’intimité de ma vie privée, me harcèle, me menace et me met en danger de toutes les manières possibles et imaginables avec toute sa bande de « déconnologues » comprenant la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest depuis maintenant onze ans s’y présente mensongèrement comme une de mes « victimes », tous ses complices étant eux aussi mensongèrement présentés comme mes « victimes », à l’égal de ce qu’ils ont déjà fait plusieurs fois dans le cadre de procédures abusives et de dénonciations calomnieuses constituant toutes tentatives d’escroqueries au jugement plus ou moins réussies, ce harcèlement judiciaire venu prolonger et amplifier le cyberharcèlement ayant notamment pour but d’empêcher de prospérer mes propres plaintes à leur encontre, celles-là parfaitement justifiées.
Autrement dit, mes harceleurs ont vraiment déployé les grands moyens pour aboutir et y font régulièrement concourir des médias aux dirigeants et « journalistes » sans aucun scrupule, notamment Jean-Marc Manach en 2013, mais Hélène Sergent est bien la première à avoir ainsi publié en lui conférant tout le crédit de sa carte de presse un texte émanant entièrement, exclusivement et directement de l’un d’entre eux, à savoir le cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Des centaines d’articles le liant à des histoires sordides de pédophilie étant alléguées dans le titre même de son prétendu « témoignage » de « cyberharcelé » par moi-même, j’ai commencé à y répondre sur cette unique question dans une page dédiée, celle-ci :
http://petitcoucou.unblog.fr/pascal-edouard-cyprien-luraghi-et-la-pedophilie/
Avant l’infâme publication d’Hélène Sergent du 28 janvier dernier, je n’avais donc jamais publié que deux articles évoquant la relation particulière de Pascal Edouard Cyprien Luraghi à la pédophilie, le premier le 12 janvier 2015, soit plus de quatre ans plus tôt, et le second très précisément la veille, 27 janvier 2019.
Entre autres choses, suite au procès qu’il m’a fait à Paris entre 2016 et 2018, j’y expliquais pièces à l’appui comment Pascal Edouard Cyprien Luraghi avait tenté de faire supprimer un blog contenant de nombreux articles relatifs à la pédophilie en arguant que s’y trouvaient rapportés ceux que j’avais consacrés entre 2010 et 2012 à l’affaire de l’ancien psychiatre brestois Serge Rodallec, ces textes primitivement publiés sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog étant selon lui « manifestement illicites ». Lui et ses amis, se posant tous en défenseurs acharnés de tous les pédophiles de la planète, me harcelaient depuis 2008 pour avoir notamment relayé sur le site Rue89 des articles de la presse locale sur cette affaire. Ils avaient obtenu en 2010 la suppression de mon compte sur le site Le Post pour avoir encore publié sur cette affaire alors que le pédophile venait tout juste d’être retrouvé en Thaïlande, et m’avaient ensuite tous attaquée sur OverBlog du fait que j’y avais republié sur mon tout nouveau blog « Un petit coucou » les mêmes articles concernant Serge Rodallec, et continuais à publier sur cette affaire.
Tous ces articles s’étant retrouvés copiés sur un nouveau blog en 2013, Pascal Edouard Cyprien Luraghi avait donc tenté d’en obtenir la suppression après la suspension préventive de mon propre blog par mon hébergeur OverBlog, au motif que mes écrits concernant Serge Rodallec auraient été « manifestement illicites »; non plus simplement « diffamatoires » comme au cours des années passées, le pédophile n’ayant été condamné pour viols et agressions sexuelles sur plusieurs de ses jeunes patients que deux fois en 2007, mais bien « manifestement illicites », puisqu’ils évoquaient sa pédophilie à travers toutes les poursuites et condamnations dont il avait fait l’objet après toute une nouvelle série de procès organisés à son encontre depuis son retour en France en 2010 : plus le pédophile est condamné et donc reconnu comme tel, et moins il est licite d’en parler selon Pascal Edouard Cyprien Luraghi…
Seulement voilà, le blog en question avait finalement été supprimé par son hébergeur Google le 8 janvier 2015 au motif tout à fait valable de l’apologie de la pédophilie, non pas en raison de ces textes dont je n’étais que partiellement l’auteur, mais pour d’autres écrits se trouvant rapportés sur le même blog, et dont l’auteur était Pascal Edouard Cyprien Luraghi lui-même – c’est ce que j’avais expliqué sitôt après dans mon tout premier article portant sur la relation particulière de cet individu à la pédophilie, le 12 janvier 2015.
J’en ai publié un troisième le 10 mai 2019, après que Cyprien Luraghi soit derechef intervenu sur le sujet de la pédophile, cette fois sur Twitter, toujours sur le même mode anti « puritains ».
Et je viens de mettre en évidence quelques similitudes entre Pascal Edouard Cyprien Luraghi et Jeffrey Epstein dans deux articles en dates des 11 et 20 août 2019.
Avec celui-ci, cela fait six, pas un de plus.
Où sont donc les centaines d’articles dans lesquels je l’aurais lié à des histoires sordides de pédophilie ?
La mauvaise foi d’Hélène Sergent dans cette affaire est évidente, il ne lui était pas bien difficile de procéder à un minimum de vérifications. Elle m’a d’ailleurs refusé tout droit de réponse ou de commentaire sur son article après que je lui eus expliqué par courrier électronique de quoi il retournait réellement. Elle refuse également de le supprimer ou de le modifier. Et bien évidemment, elle n’a que faire de mon témoignage de vraie victime de vrais harceleurs, ses amis Pascal Edouard Cyprien Luraghi et consorts.
Le nouveau témoignage publié hier exclusivement sur le site 20minutes.fr, à savoir celui de l’avocat de Joël Le Scouarnec défendant son client accusé de pédophilie, apporte un éclairage intéressant sur la publication totalement hallucinante d’Hélène Sergent du 28 janvier 2019 : elle est en symbiose totale avec le défenseur des pédophiles Pascal Edouard Cyprien Luraghi et estime comme lui et ses amis nécessaires et parfaitement justifiés tous leurs harcèlements à mon encontre depuis mes tout premiers commentaires concernant l’ancien psychiatre et pédophile brestois Serge Rodallec, un saint homme que j’aurais toujours « diffamé » en postant des liens menant aux articles de la presse locale portant sur ses procès et condamnations de 2007.
Naturellement, cette pseudo « journaliste » adhérant sans aucune réserve à tous les propos de son maître ou « Konducator » le « déconnologue » Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qu’elle fait siens et appuie quels qu’ils soient, soutient donc tout comme lui :
Je sais : c’est tout à fait inconvenant de dire ça, mais pourtant ça existe, des bombasses de 13 balais. J’insiste lourdement sur ce point… alors évidemment, les mecs devraient se cramponner les couilles, mais dans les faits, ce n’est pas ce qui se passe.
Propos publiés le 9 octobre 2009 sur le site Rue89, extraits de la discussion intégralement rapportée ci-dessous, et rejoignant tout à fait ceux des pédocriminels Jeffrey Epstein et consorts.
Affaire Roman Polanski : la polémique traverse l’Atlantique
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muji
françaisOeuvre artistique et moeurs ne font pas toujours bon ménage. Encore une polémique qui va sans aucun doute diviser l’opinion : ceux qui appellent à la morale et la justice contre ceux qui excusent et appellent au pardon.
Polanski n’a-t-il pas déjà purgé sa peine (32 ans d’exil) ?-
Compte supprimé le 4 janvier 3 répond à mujiTout ça n’a strictement rien à voir avec la « morale ». Le viol est un crime, le viol d’une mineure de 13 ans est un crime pédophile. Il a échappé à la justice par la fuite, la procédure court donc toujours et il est totalement légitime et légal qu’il ait été arrêté pour être extradé.
Ce qui fait polémique, ce qui est un scandale et une honte pure, c’est la levée de boucliers et la pétition de soutien dont bénéficie un membre de l’« élite » de la « caste » qui s’affirme ainsi intouchable. Que des ministres de la république s’indignent publiquement d’une arrestation parfaitement légale et légitime.
Cet appel à une justice à deux vitesses choque, et c’est heureux, car on est censé avoir aboli les privilèges, en France.
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La justice à deux vitesses c’est le juge qui voulait se faire de la pub en accrochant la peau de Polanski sur son grand totem qui en est responsable.
Polanski a plaidé coupable, un accord avait été trouvé le juge a décidé de revenir en arrière…-
Parfaite intox cher Dulconte … Le génial Polanski a pris la fuite craignant que cet accord soit dénoncé ulterieurement , puis a bénéficié dans sa cavale dorée d’un Laxisme incroyable que lui confére l’appartenance à une « caste d’intouchables “
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Compte supprimé le 4 janvier 3 répond à dulconte
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« Polanski a plaidé coupable, un accord avait été trouvé le juge a décidé de revenir en arrière… »
Non, ce n’est pas comme ça que ça s’est passé. Polansky avait passé un accord de « plaider coupable » avec le procureur (c’est comme ça que ça se passe, pas avec le juge) sous réserve comme toujours que le juge l’entérine. Cet accord ne lui évitait pas du tout d’aller en prison, il pouvait seulement alléger la peine. Le juge a accepté l’accord à certaines conditions que Polansky n’a pas respectées. L’accord est donc tombé et Polansky s’est enfui avant d’être jugé. Car entre temps, il avait été relâché en attendant la décision, parce que la justice US n’applique pas systématiquement la détention préventive comme la justice française.
En outre, ce n’est pas le juge qui décide de la culpabilité ni de la peine lorsqu’il y a procès, c’est le jury populaire. La justice à deux vitesses, c’est bien d’exiger que les riches et célèbres ne soient pas soumis à la même procédure que le commun des mortels.
Citation de polansky à un journaliste en 1979 : « I like fucking young girls ».-
Vos potes beaufs font du zèle à ce que je vois ? Ils se précipitent pour nazer ? Vous n’avez pas honte de ce genre de procédé ?
Eh, les beaufs – les cyp, les numéro machin, les tilou, et autres navrants : je vous emmerde. Je n’ai pas fini d’écrire une intervention que vous m’avez déjà nasée, vous me suivez à la trace, vous êtes OBSEDES par ma petite personne – faut-il que vous soyez de pauvres lamentables obsédés pervers et minables. C’est pathologique : vous devriez consulter.
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cyp répond à 23692
C’est à se demander dans quel monde vivent tous ces blancs-becs et ces pieds-tendres, prompts à dégainer leur clavier pourri. Z’ont vraiment aucun notion de la réalité.
cyp répond à 23715
Je dis ça alors que moins libidineux que moi, c’est dur à trouver : même tout jeune, je n’ai jamais marché avec la bite en avant.
Je dis : il y a des milieux – quart-monde, business, culture – par lesquels des lolitas frivoles sont attirées, pour tout un tas de raisons. L’ambition, le strass et les paillettes… et le cul. Nier ça, c’est être aveugle. Je sais de quoi je parle, vraiment. Je l’ai touché du doigt dans ma propre famille ; je ne peux pas décemment en parler plus en public, mais ceux qui me connaissent vraiment savent que je ne mens pas, ni ne frime. Je m’en serais bien passé, pour tout dire.
Nier ça, c’est faire comme cette éditrice qui, en 99, m’avait souligné au rouge une scène – vécue – dans laquelle je décrivais une famille de trapanelles craignos, et où la Maria de service déclarait haut et fort faire un mioche par ans pour les allocs. Elle en était à son huitième. Mais ça ne se dit pas, ces choses-là… sauf chez les fachos. Je me suis battu pour conserver cette scène, et elle y est toujours.
Alors oui : j’en ai jusque là de l’angélisme. Désolé.
dodu répond à 61788
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cyp répond à 61789
Le 3 mai 2010 à 15:59 | PermalienBen écoute : il a raison sur le fond… je connais des mères véritablement indignes et des nénettes à peine pubères hyper chaudasses. Je n’entre pas dans les détails, mais c’est dans ma famille même que ça s’est passé.
Lemmy avait écrit dans la Rue (de merde) il y a un vieux bail que c’était hallucinant que cette nénette n’ait pas été suivie par son chaperon de l’agence sur le plateau… et il sait de quoi il cause, le petit père.
J’ai déjà tout dit sur ce sujet autrefois et n’ai pas envie d’en rajouter, sinon qu’on foute enfin la paix à la fois à Polanski et à cette femme qui réclame à cor et à cris qu’on la laisse vivre en paix et oublier cette fâcheuse affaire.-
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dodu répond à 61791
Le 3 mai 2010 à 16:13 | PermalienLemmy connaît peut-être bien les milieux du cinéma mais je doute fort qu’il soit vraiment à même de saisir toutes les « subtilités » qui entourent ce genre de traumatisme.
Sur ce je suis d’accord qu’on arrête d’en parler , mais c’est bien Polanski lui-même qui relance l’affaire avec sa lettre à faire pleurer Margot dans les chaumières .
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cyp répond à 61794
Le 3 mai 2010 à 16:32 | PermalienOK : je reste avec ma tata pute, ma frangine violemment allumée du brugnon et la cousinerie en rut, alors…
Ras le cul de ce genre de discussion à sens unique !-
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Mon-Al répond à 61803
Le 3 mai 2010 à 18:28 | PermalienJe radote, mais la mère est coupable d’avoir utilisé sa fille et probablement de l’avoir vendue pour un plat de lentilles ! La gamine veut oublier, Polanski a 76 ans, on en a plein le cul de cette affaire, le juge lui veut être réélu par les puritains amerlocks, et les gamines chaudasses sont légions …
Ça va-t-y Cypounet ?
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61839cyp répond à 61829Le 3 mai 2010 à 18:42 | PermalienTout baigne dans l’huile à la Maison de l’Horreur©, Mamama… à part que je suis en train de réparer une bécane épouvantablement bruyante et que c’est chiant
Hé oui, les lolitas bombasses à croupion frétillant sont légions… y en a nettement plus que des femmes en burqa et dans la plupart des cas c’est la faute des parents, qui sont totalement amoraux. J’en sais quelque chose. Mais va expliquer ça à des gens ‘normaux’ : c’est une tâche impossible.
Comme d’expliquer la grande misère à un gros rupin : il ne *peut* pas piger.
Bon et puis pour l’affaire Polanski, je sais pas si tu te souviens, mais il avait tout de même été méchamment secoué par le meurtre sauvage de sa femme (Sharon Tate) par la ‘Family’ de Charles Manson quelques années plus tôt, hein. Il en avait abondamment parlé, à cette époque, et je m’en souviens très bien… d’autant plus que je connais l’histoire de Manson et compagnie sur le bout des doigts.
Abonder dans le sens d’un sale con de petit juge de merde en bois brut (ricain, de surcroît), c’est alimenter le Décervelage.-
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Mon-Al répond à 61839
Le 3 mai 2010 à 18:55 | PermalienLa vie de Polanski, depuis le ghetto de Cracovie (je crois), en passant par l’horreur de Sharon Tate, peut en effet être un facteur de fragilité face à une tentation. Il ne fait pas oublier non plus la liberté qui régnait dans ces années et surtout dans ce milieu. Evidemment, ça ne fait pas pardonner le fait qu’il ait eu des relations sexuelles avec une mineure (le lien donné par Riché, le CR de Match de l’époque, donne une image bien différente de la mineure en question et de sa mère), mais c’est pour ces raisons bassement électorales que le juge veut son triomphe médiatique. C’est dégueulasse. Et je me demande quand même, Polanski étant français, si une juridiction française ne pouvait pas réclamer aussi l’extradition d’un ressortissant risquant une peine injuste aux USA ? Mais ça, je ne suis pas suffisamment férue en juridique pour savoir …-
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Hulk répond à 61845
Le 3 mai 2010 à 19:02 | PermalienVu les réactions de la populace, c’est compréhensible que Sarkozy n’ait pas trop insisté, il n’avait pas envie de perdre encore cinq points…
J’ajoute au sujet de la fuite de Polanski que pour survivre dans le ghetto de Cracovie, il avait dû développer un instinct de survie qui fait que devant le danger on en réfléchit pas, on se sauve sans se retourner. Je suis sûr que c’est ça qui l’a fait partir en urgence des USA à l’époque au lieu de rester et de se battre avec son staff d’avocats.-
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Mon-Al répond à 61847
Le 3 mai 2010 à 19:06 | PermalienJe ne parlais pas de Sarkozy dans ma question sur une éventuelle demande d’extradition vers la France. Je parlais d’un pouvoir de justice, genre MAM (mais celle-là pour remuer son cul !). Il doit bien exister quelque chose au niveau juridique. Car une demande d’extradition vers la France mettrait en balance celle des States !!
Surtout pas Sarkozy, c’est voué à l’échec !
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De nouvelles plaintes déposées contre le chirurgien soupçonné de pédocriminalité : ce que l’on sait
FAIT DIVERS – Un chirurgien de 68 ans, ayant exercé en Bretagne, en Touraine et en Charente-Maritime a-t-il violé et agressé sexuellement plus de 200 mineurs ? Où en est l’enquête ? Quel est le profil de ce spécialiste en chirurgie viscérale ? Voici tout ce qu’il faut savoir sur cette affaire de pédocriminalité.
Plus de 200 victimes. C’est ce qu’aurait fait un chirurgien de 68 ans au cours des trente dernières années, dans l’exercice de ses fonctions mais aussi en dehors. Cette affaire de pédocriminalité a pris une nouvelle ampleur cette semaine, après des révélations de la Charente-Libre. Retour sur les faits.
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Incarcéré depuis 2017
L’homme de 68 ans, spécialiste en chirurgie viscérale, est incarcéré depuis mai 2017 à la maison d’arrêt de Saintes. Un procès doit s’ouvrir dans les prochains mois devant les assises de la ville pour des faits de viols et d’agressions sexuelles sur quatre mineurs. Le chirurgien sera jugé pour le viol d’une voisine âgée de 6 ans en 2017 et d’une de ses nièces dans les années 1990, mais aussi pour des atteintes sexuelles sur une autre fillette de sa famille ainsi qu’une personne hospitalisée dans son service lorsqu’il exerçait à l’hôpital de Loches (Indre-et-Loire).
La première plainte à son encontre est venue de ses voisins à Jonzac (Charente-Maritime). Alors que la petite fille de 6 ans rentre d’une promenade avec son père, ils croisent le chirurgien. La fillette raconte que ce dernier lui a montré son sexe à travers le grillage du jardin familial, un jour où elle s’y amusait avec son frère. Ses parents portent plainte, le voisin est placé en garde à vue, et l’enquête révèle que la petite fille a également subi un viol, sous les yeux de son cadet âgé de 2 ans. Un examen gynécologique montre que son hymen a été abîmé, selon l’avocate de sa famille.
« Je vois ma fille comme un héros aujourd’hui, de faire tomber un prédateur comme ça », raconte le père de la fillette à franceinfo. « Il avait une maison modeste et ne parlait à personne. Il n’accueillait personne chez lui, il vivait seul. (…) Il avait un comportement bizarre mais je n’imaginais pas avoir un prédateur comme ça à côté de chez moi », continue-t-il, alors que la famille a depuis déménagé.
A la suite de cela, les deux nièces du chirurgien ont également révélé avoir été agressées. Puis l’un ou l’une de ses patient(e)s. L’enquête démarrée suite à ces plaintes a permis de découvrir, caché sous le parquet du domicile du chirurgien, des poupées, des perruques, des objets sexuels, des photos de lui nu, et un carnet sur lequel il racontait, en texte et en dessin, les agressions qu’il aurait fait subir à plus de 200 mineurs.
Un carnet recensant les noms de plus de 200 victimes potentielles
Le chirurgien tiendrait ces « journaux » depuis les années 1990. Ils contiennent les noms de plus de 200 enfants, qui sont autant de potentielles victimes. Ces carnets répertorient les garçons d’un côté, et les filles de l’autre avec les noms et les prénoms, et parfois les coordonnées, a précisé une source proche du dossier à l’AFP.
L’avocate de la petite fille de 6 ans violée en 2017, a pu les parcourir. Elle raconte à La Charente Libre : « Vous ouvrez le cahier et vous le refermez aussitôt, dès la première page. C’est énorme de perversion. Il considère l’enfant comme un objet sexuel, comme s’il parlait d’une rencontre faite dans le quartier de Pigalle. » A 20 Minutes, elle raconte : « J’ai été écœurée, pour tout vous dire il m’est arrivé de refermer le dossier à la lecture de certains passages. On est dans l’horreur la plus totale quand on voit comment un enfant est devenu aux yeux d’une personne un simple objet sexuel. » Mais selon Thibault Kurzawa, l’avocat du chirurgien, certains faits consignés dans le carnet pourraient relever de fantasmes plutôt que d’aveux.
L’enquête a également permis de retrouver des victimes potentielles, aujourd’hui adultes, dont certaines ont déposé plainte ces derniers mois. « Elles se souviennent parfaitement de ce qu’elles ont subi et n’en ont jamais parlé parce qu’elles ont eu peur. Elles racontent ce qui est mentionné dans le carnet », a indiqué à l’AFP Me Francesca Satta, qui défend des victimes du procès charentais prévu en 2020. « De nouveaux dépôts de plaintes ont eu lieu en juin et d’autres il y a à peine une semaine. J’ai été contactée par certaines familles, des victimes du nord de la France », a poursuivi l’avocate, qui dit ne pas connaître le nombre total de plaintes déposées. »
Ainsi, un jeune trentenaire opéré en 2004 à Lorient, à 14 ans, a été contacté par les gendarmes. « Au début, j’avais du mal à comprendre. Puis j’ai été choqué, dégoûté, mais surtout en colère contre lui », explique-t-il à La Charente Libre.
Certains s’organisent sur les réseaux sociaux et essayent de se regrouper pour échanger et s’organiser. Un groupe Facebook privé a été créé, et compte à ce jour 82 membres.
Il a déjà été condamné
Le chirurgien, qui a officié de 2008 à 2017 à Jonzac, mais également en Bretagne et en Touraine, avait déjà été condamné en 2005 par le tribunal correctionnel de Vannes pour détention et importation de l’image d’un mineur présentant un caractère pornographique, révèle La Charente Libre. Il avait écopé de quatre mois de prison avec sursis, et d’aucune obligation de soins.
La rédaction de LCI
Mis à jour : Hier à 20:27Créé : Hier à 16:25
« Elle lui a dit d’arrêter, que cela lui faisait mal » : la famille d’une victime présumée du chirurgien accusé de pédocriminalité témoigne
PÉDOPHILIE – En Charente-Maritime, un chirurgien de 66 ans, ayant également officié en Bretagne et en Touraine, est soupçonné d’être un prédateur sexuel de grande ampleur, avec une liste potentielle de 200 victimes mineures retrouvée dans un de ses carnets. Pour TF1, la famille d’une des victimes présumées témoigne.
Ces derniers jours, une affaire de pédophilie de très grande ampleur a fait son apparition dans les journaux, notamment après un article publié par La Charente Libre mardi. Selon le média régional, un chirurgien âgé de 66 ans, et ayant exercé en Touraine, en Bretagne et à Jonzac, en Charente-Maritime, est soupçonné de viols et d’agressions sexuelles sur des enfants, avec plus de 200 victimes potentielles, selon les carnets retrouvés chez lui.
Pour TF1, les parents d’une victime présumée, une enfant de six ans, ont accepté de livrer leur témoignage. « Je lui ai donné une poupée, pour qu’elle me fasse voir vraiment les gestes qu’il avait eu, et qu’elle me précise comment cela a été fait. Elle lui a dit d’arrêter, que cela lui faisait mal. Il lui a dit « Merci », explique la mère de la fillette.
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Un « prédateur sexuel à très grande échelle »
« On a déménagé, elle a eu beaucoup de mal à l’école, ça l’a tellement perturbé qu’elle a pris un retard malheureusement. Elle est suivie par une psychologue », ajoute le père. Leur avocate, Me Fransesca Satta, parle d’un « prédateur sexuel à très grande échelle, et qui est particulièrement dangereux pour la société. »
Pour Thibaut Kurzawa, l’avocat du suspect, également interrogé par TF1, les écrits découverts ne sont en aucun cas des preuves : « La position de mon client, c’est de dire : ‘Je ne conteste pas être l’auteur de ces écrits, quoiqu’il en soit il s’agit de fantasmes’. Il sera condamné, certainement reconnu coupable de certaines infractions, après, il est hors de question pour lui de reconnaître des faits qu’il n’a pas commis. »
La rédaction de LCI
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