Comment le procureur de Brest aurait pu signaler Michel Walter au Conseil de l’Ordre des Médecins 1 septembre
J’illustre ici les contenus de mon précédent article concernant le cas du chirurgien pédophile Joël Le Scouarnec avec un exemple directement tiré de mon expérience personnelle, que mes plus fidèles lecteurs connaissent bien, puisque j’en parle régulièrement et ai déjà abordé de manière assez précise le cas du psychiatre brestois Michel Walter à travers les trois articles suivants :
http://petitcoucou.unblog.fr/2015/12/24/comment-cyprien-luraghi-sest-moque-de-michel-walter/
http://petitcoucou.unblog.fr/2016/03/23/des-plaintes-de-cyprien-luraghi/
Comme de très nombreux autres délinquants ou criminels, le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi s’est toujours défendu, non seulement en niant de manière éhontée tous les faits répréhensibles dont il était l’auteur, mais également en accusant mensongèrement toutes ses victimes de n’importe quoi et en les faisant passer tout aussi mensongèrement pour des fous ou des folles délirants qui l’auraient accusé de faits imaginaires.
En ce qui me concerne, il a même pris les devants en me traitant de folle et me faisant partout passer pour telle dès qu’il eut commencé à me pirater, en 2008.
Et par la suite, il a donc bel et bien tenté de me faire interner afin de résoudre le problème de mes plaintes à son encontre, celles qui existaient déjà comme celles à venir, étant donné que depuis le printemps 2009 au moins selon ses dires, il écrivait sa version entièrement fausse et calomnieuse de ma « biographie » afin de la publier, celle-ci étant de plus en partie alimentée par les infractions graves qu’il commettait à mon encontre depuis le début, tels, notamment, les piratages informatiques et écoutes illégales qui lui auront permis en tout premier lieu d’obtenir mon identité et celles de toutes les personnes de mon entourage, lesquelles sont tout comme moi quotidiennement violées dans l’intimité de leurs vies privées depuis maintenant plus de dix ans par ce malade mental extrêmement dangereux et toute sa bande de dingues, bien entendu avec la bénédiction des magistrats ultra CORROMPUS du Tribunal de Grande Instance de Brest.
Or, le 14 novembre 2013, jouant toujours la même comédie auprès de ces magistrats qui ne demandaient pas mieux, il leur avait adressé la lettre que j’ai publiée le 1er février dernier, dans laquelle il faisait état d’échanges qu’il avait eus à mon sujet avec le psychiatre brestois Michel Walter, que de 2010 à 2013 au moins il a vainement tenté de convaincre de me faire interner, les échanges allégués entre eux suscitant toutefois de nombreuses questions, comme celle du respect du secret professionnel par le psychiatre.
Cette lettre aurait donc dû déclencher une enquête appropriée et un signalement de Michel Walter au Conseil de l’Ordre des Médecins du Finistère.
Rebelote en 2015, lorsque le cybercriminel pro-pédophile et mythomane a porté plainte contre moi pour la toute première fois, m’accusant alors mensongèrement d’une quantité effroyable de faits imaginaires – l’avocat parisien qu’il a consulté au mois d’avril 2016 après avoir encore commis des infractions graves à mon encontre, et afin, conséquemment, de prévenir derechef mes plaintes ou procédures à son encontre, parfaitement prévisibles à raison de ces nouveaux faits, n’en aura retenu pour sa propre procédure à mon encontre au nom de son client que l’accusation mensongère de cyberharcèlement, évacuant toutes les autres, aussi fantaisistes, pour certaines, que des harcèlements téléphoniques anonymes…
En effet, pour le malade mental Pascal Edouard Cyprien luraghi, tout ce qui est anonyme, c’est forcément moi, et inversement, il n’y a aucun problème à m’attribuer des tas de faits et gestes anonymes n’ayant même aucune existence réelle… Son avocat ne l’aura donc pas suivi en tous ses délires à mon encontre.
Refermons cette parenthèse pour revenir à sa fameuse lettre au procureur de la République de Brest du 14 novembre 2013, jointe à sa plainte de 2015 comme à ses demandes en référé de 2016, avec de nombreux autres éléments – pas tous les mêmes en 2015 et 2016.
En 2015, ayant manifestement préparé son dossier sans l’aide d’un avocat, il avait également produit, entre autres, tout un ensemble d’écrits qu’il présentait comme de ses échanges de courriers électroniques avec Michel Walter à mon sujet, ces « documents » étant censés prouver ses dires du 14 novembre 2013 à l’autorité judiciaire brestoise à propos de ses discussions avec ce psychiatre qui effectivement me connaît un peu – mais pas comme patiente, contrairement à ce que prétend mensongèrement le mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi – au sujet de ma soi-disant « pathologie psychiatrique » – qu’il m’a toujours attribuée de manière gratuite ou mensongère et qui n’a donc, en réalité, jamais existé.
J’ai mis le mot « documents » entre guillemets, car en fait il ne s’agissait absolument pas de ses échanges de courriers électroniques avec Michel Walter, mais uniquement d’extraits de leurs discussions me concernant qu’il aurait copiés et collés dans les « documents » produits, au lieu de fournir des impressions de l’intégralité des courriels échangés, si bien que l’on en déduit très facilement qu’il en a ainsi caché les passages les plus compromettants pour lui ou le psychiatre, ou qu’il a même pu totalement inventer tous les échanges qu’il donne, le mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi n’étant vraiment pas à ça près.
Il convient de noter ici qu’il a procédé de la même manière pour exhiber des extraits prétendument probants de ses discussions par mails avec plusieurs autres personnes et n’a ainsi, en définitive, fourni strictement aucune preuve de ces discussions ou de leur réalité, mais pour lui, ce n’est pas bien grave, car il a pour habitude d’exiger d’être cru sur parole, ce qu’il obtient effectivement sans aucun problème de tous ou presque, et particulièrement des magistrats ultra CORROMPUS du Tribunal de Grande Instance de Brest.
En ce qui concerne ses échanges allégués avec Michel Walter, étant donnée l’infraction de violation du secret professionnel qui en ressort, il convenait donc, pour le moins, d’en vérifier la réalité et toute l’ampleur en exigeant du présumé receleur Pascal Edouard Cyprien Luraghi qu’il produisît l’intégralité des courriers électroniques échangés avec le psychiatre, et non plus seulement des recopies certifiées conformes uniquement par lui, mythomane notoire, de quelques extraits de ces mails.
Mais encore une fois, le procureur de la République de Brest l’a cru sur parole pour tout et a de plus avalisé comme à son habitude toutes les infractions potentiellement ou effectivement commises à mon encontre, le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi en ayant révélé d’autres dans sa plainte démentielle à mon encontre.
Ainsi donc Michel Walter n’a-t-il très probablement pas été signalé au Conseil de l’Ordre des Médecins du Finistère.
Et c’est pareil à chaque fois que les magistrats locaux décident de traiter par le mépris une plainte pour viol ou tout autre fait préjudiciable pour elle d’une personne qui met en cause un médecin, soit, quasiment, à chaque fois qu’ils reçoivent une telle plainte.
A ma connaissance, dans la région, il n’y a guère que l’ancien psychiatre brestois Serge Rodallec à avoir fait l’objet de poursuites sur plaintes de ses victimes, en l’occurrence de ses anciens patients handicapés mentaux l’ayant accusé de viols ou d’agressions sexuelles. Mais il s’agissait de garçons, ce qui semble avoir particulièrement ému ou choqué les policiers ayant traité leurs plaintes, et j’ai aussi entendu parler d’un règlement de compte pour une histoire d’argent sans laquelle les plaintes pour viols et agressions sexuelles auraient bien pu être traitées comme elles le sont habituellement dans le Finistère, par le mépris le plus total… ou l’internement des plaignants… avec la complicité de psychiatres locaux, donc…
Cela dit, les victimes ont aussi la possibilité de saisir directement l’Ordre des Médecins des faits qu’elles reprochent à l’un des leurs.
Il faut les encourager à le faire systématiquement, à remuer ciel et terre jusqu’à être entendues.