Violences dans un lycée brestois : les précisions du Télégramme

Au moins l’un des jeunes impliqués dans ce qui apparaît pour l’heure comme un règlement de compte entre eux est Albanais. A priori, il s’agit donc bien d’un des protégés d’Olivier Cuzon et des autres complices extrême-gauchistes de Brest de la criminelle Josette Brenterch. Or, manifestement, il attendait ses agresseurs au lycée…

Lire ou relire mon précédent article sur ce sujet :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/09/05/brest-encore-un-coup-de-feu-au-lycee-dupuy-de-lome-mercredi-4-septembre-2019/

 

https://www.letelegramme.fr/finistere/brest/brest-coup-de-feu-au-lycee-dupuy-de-lome-05-09-2019-12375242.php

Brest. Coup de feu dans un lycée : ce que l’on sait

 

Publié le 05 septembre 2019 à 12h58 Modifié le 05 septembre 2019 à 16h55

Ce mercredi, une bande de jeunes armés et cagoulés a fait irruption dans la cour du lycée Dupuy-de-Lôme, à Brest. Un coup de feu a été tiré. Une jeune fille a été blessée avec une batte de baseball. Deux des suspects ont été identifiés.

 

Il était environ 15 h 30, ce mercredi, selon les témoignages. « C’était l’heure de la récré ». Une dizaine de jeunes, cagoulés et armés de battes de baseball, d’armes blanches et d’au moins une arme de poing, sont entrés dans la cour du lycée Dupuy-de-Lôme, par l’arrière de l’établissement. « Un accès qui normalement est fermé », déplore un professeur. Les jeunes voulaient visiblement en découdre avec un élève de terminale d’origine albanaise. Élève qui, visiblement, se sentait menacé et les attendait, « puisqu’il avait deux marteaux dans son sac », souligne un autre professeur. L’élève aurait déjà eu maille à partir, dans la matinée, avec un membre de la bande qui lui aurait promis « de revenir ». Heureusement, le mercredi, il y a peu d’élèves, les faits auraient pu être beaucoup plus graves.

Une douille retrouvée

Une bagarre a alors éclaté. Des enseignants, un surveillant et un conseiller d’éducation auraient tenté de s’interposer. Parmi les intrus, ils ont identifié deux anciens élèves de l’établissement, « qui, aujourd’hui, ne sont plus scolarisés », dont un très défavorablement connu de la police, confirme-t-on au commissariat. Un coup de feu a été tiré. Personne n’a été blessé, mais une douille a bien été retrouvée. Elle est partie à l’expertise. Il s’agit d’un calibre 7.65, « ce qui laisse à penser que l’arme utilisée était un semi-automatique de petit calibre » souligne une source proche de l’enquête.

Une jeune fille blessée

Dans la cohue générale, le jeune Albanais âgé de 18 ans a été légèrement blessé. Mais il a refusé de porter plainte. Une jeune fille « qui se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment » a également reçu un coup de batte de baseball. Elle a été prise en charge à l’infirmerie du lycée pour y recevoir des premiers soins avant d’être admise aux urgences. Elle a déposé plainte, tout comme le surveillant et le conseiller d’éducation qui ont été chahutés. Les policiers ont été avisés, mais « plus d’une heure après les faits » déplore cette même source proche de l’enquête. Appelé ce jeudi midi, le proviseur n’était « pas joignable », nous a fait savoir son secrétariat. Le rectorat ne s’est pas montré plus loquace. Tout juste précise-t-il, dans un communiqué, qu’« un rappel a été fait auprès des élèves sur les règles de sécurité de l’établissement ». Quant au maire, François Cuillandre, il n’a tout simplement pas été mis au courant par la préfecture et les forces de l’ordre, visiblement très occupés par la sécurisation du G7 parlementaire qui s’ouvre ce jeudi soir à Brest. Après avoir appris la nouvelle, il a dénoncé « ces actes de violences intolérables » et adressé « une pensée particulière aux lycéens concernés ».

Selon nos informations, le jeune Albanais a été exclu du lycée et devrait passer ce vendredi en conseil de discipline, pour ne pas avoir signalé à la direction qu’il était menacé. L’enquête, confiée à la Sûreté départementale, se poursuit. « Plusieurs témoins ont été auditionnés » précise le parquet.

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Peu d’élèves étaient présents mercredi après-midi. Ce jeudi, beaucoup ignoraient ce qui s’était passé. (Le Télégramme/Sarah Morio)

 

Notre sélection d’articles pour comprendre le dossier Violence et coup de feu au lycée Dupuy-de-Lôme à Brest

 



Brest : encore un coup de feu au lycée Dupuy de Lôme mercredi 4 septembre 2019

C’est étrange, encore une fois l’incident aura permis à la vedette extrême-gauchiste qui exerce dans l’établissement de faire connaître son mécontentement et ses revendications à l’échelle nationale au moment le plus opportun…

Il doit faire des incantations spéciales pour les provoquer.

Naan… je rigole, je sais très bien ce qui se passe, j’en avais déjà parlé dans cet article du 18 mars 2017 à la suite d’un précédent coup de feu dans le même lycée :

http://petitcoucou.unblog.fr/2017/03/18/un-coup-de-feu-dans-un-lycee-a-brest-jeudi-16-mars-2017/

Au mois de décembre 2008, les complices de la mère maquerelle Josette Brenterch du NPA de Brest se vantaient dans les colonnes de commentaires du site Rue89 d’avoir bel et bien organisé les violences spectaculaires s’étant alors produites dans le même lycée Dupuy de Lôme à seule fin de faire la Une des journaux de tout l’Hexagone et de profiter de cette médiatisation pour faire connaître toutes leurs protestations et revendications de l’époque.

Celles d’aujourd’hui sont toujours les mêmes, à quelques variantes près : Blanquer, G7, Macron, Petitcoucou, etc… et comme d’habitude, tous les services publics gravement menacés, ou plus exactement, leurs fonctionnaires les plus corrompus, dont cette pauvre Muriel Corre qui n’en a toujours pas fini avec sa propre institution, la justice, et devra peut-être un jour répondre d’un certain nombre de ses saloperies…

 

https://www.ouest-france.fr/bretagne/brest-29200/brest-un-coup-de-feu-tire-dans-l-enceinte-d-un-lycee-6506450

Brest. Un coup de feu tiré dans un lycée après l’intrusion d’une dizaine de jeunes : une blessée

 

Le lycée Dupuy-de-Lôme, à Brest, où un coup de feu a été tiré mercredi 4 septembre, dans l’après-midi.
Le lycée Dupuy-de-Lôme, à Brest, où un coup de feu a été tiré mercredi 4 septembre, dans l’après-midi. | OUEST-FRANCE

 

Ouest-France Modifié le 05/09/2019 à 16h28 Publié le 05/09/2019 à 15h31

 

Une bande d’une dizaine de personnes a pénétré dans l’enceinte du lycée Dupuy-de-Lôme, à Brest, à la recherche d’un élève. Il s’est défendu en brandissant deux marteaux. Une élève a été blessée dans la cohue.

Il était 15 h 30, mercredi 4 septembre, l’heure de la récré pour les élèves du lycée Dupuy-de-Lôme, à Brest. « Une dizaine de jeunes ont pénétré dans l’enceinte de l’établissement, par un terrain de sport situé à l’arrière du site, moins sécurisé que les autres accès », raconte Olivier Cuzon, enseignant dans l’établissement et représentant de Sud.

Des anciens élèves reconnus

Armés d’une ou de plusieurs battes de baseball, ces personnes cherchent un élève de Terminale, clairement identifié. Pour se défendre, « celui-ci sort deux marteaux de son sac ». Ses agresseurs tirent un coup de feu, une douille étant retrouvée plus tard par les policiers sur le terrain de sport. « Les collègues ont cru qu’il s’agissait de pétard, comme cela arrive de temps en temps dans le lycée. »

Les battes de baseball sont brandies et une élève de l’établissement est touchée. « Elle a dû être conduite aux urgences de l’hôpital », explique Olivier Cuzon. Ce jeudi 5 septembre, l’élève blessée ne présente pas de séquelles. Chez les agresseurs figureraient plusieurs anciens élèves de l’établissement.

La direction de l’établissement ne souhaite pas communiquer sur l’affaire.

« L’école doit être un sanctuaire »

« L’école doit être un sanctuaire, un lieu où les élèves doivent se sentir en totale sécurité, explique Olivier Cuzon pour Sud Éducation, la CGT et la FSU. Or mercredi, ils y ont subi une agression. Faute de pouvoir prévenir ces agressions, il est de la responsabilité de l’Éducation nationale d’y remédier et de les accompagner dans une démarche de guérison. Les personnels déplorent aussi le manque de communication à l’interne de l’établissement, ce qui laisse court aux rumeurs. »

« À l’heure d’une rentrée ou l’établissement vient de perdre des heures d’enseignements, un poste de surveillant, des heures d’infirmières et d’assistante sociale, la coupe est pleine, poursuivent les trois syndicats. Nous avons plus que jamais besoin de moyens humains pour assurer nos missions. »

Candidat à la mairie de Brest sous l’étiquette la République en Marche, Marc Coatanéa a lui aussi réagi : « J’ai une pensée particulière pour la jeune fille blessée et ses proches. J’apporte également tout mon soutien aux élèves, parents et à l’ensemble des enseignants choqués par cet événement. La violence ne peut, ne doit être tolérée nulle part et certainement pas dans un lieu dédié à l’apprentissage qui accueille nos enfants. L’insécurité et la violence ne doivent plus être traitées comme des sujets périphériques à Brest. »

 

https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/finistere/brest/150-personnes-manifestent-violence-g7-parlementaires-brest-1718083.html

150 personnes manifestent sans violence avant le G7 des parlementaires à Brest

 

Le cortège de la manifestation pour les services publics à Brest avant le G7 des parlementaires / © Loic Blache / FTV
Le cortège de la manifestation pour les services publics à Brest avant le G7 des parlementaires / © Loic Blache / FTV

 

Environ 150 personnes se sont donné rendez-vous ce mercredi en fin d’après-midi dans le centre-ville de Brest pour défendre les services publics français, mais aussi européens. Le G7 des parlementaires doit se tenir du 5 au 7 septembre à Brest.

Par Stéphane Grammont Publié le 04/09/2019 à 19:07 Mis à jour le 05/09/2019 à 11:21

Le rendez-vous a été donné devant l’hôpital Morvan, à l’appel d’associations altermondialistes, réunies sous la bannière de Bloquons le G7 à Brest.

Le cortège a démarré de l’hôpital pour ensuite passer devant différents services publics comme la Caisse d’Assurance Familiale, les impôts ou la sécurité sociale.

« Le gouvernement vise particulièrement les services publics, ils veulent les supprimer » a justifié Liz, membre du collectif, « nous venons là pour dire qu’en tant qu’usagers du service public, nous aimerions avoir un service adéquate, sachant qu’en plus nous payons des impôts et des taxes pour cela. »

D’autres manifestations mais aussi des projections débats et une radio éphémère sont prévus lors de ces trois jours de G7 des parlementaires.



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