Ligue du LOL : une contre-enquête du Point

Sept mois après la divulgation de l’affaire, les journalistes licenciés dans la foulée veulent faire entendre leur vérité.

En tant que victime de harcèlements absolument démentiels, comprenant une part de cyberharcèlements très visibles à compter de l’année 2008, surtout des membres de la Ligue du LOL, dont mes harceleurs ont toujours été très proches, vraiment, je ne demande pas mieux que de les entendre. Mais alors là, je suis très embêtée, je n’ai accès qu’aux commentaires de ceux qui ont pu lire l’article…

Y aurait-il moyen de remédier à ce petit problème assez rapidement ?

J’avais déjà lu ceci au mois de juin dernier :

https://medium.com/@fabriquedes30salauds/ligue-du-lol-la-fabrique-des-30-salauds-4aac1679c3dc

Un article anonyme où tout le monde (ou presque…) est anonymisé et dont la promotion avait été assurée sur Twitter par… Yann Guégan himself… oui, oui, celui-là même qui n’ignore rien des harcèlements à mon encontre de la bande de pervers du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi…

Donc, vraiment, je suis très intéressée, je veux lire et entendre.

Pour l’instant, je comprends bien que ceux qui se sont fait prendre tendent à minimiser ou relativiser les faits qui leur sont reprochés.

Mais l’un d’entre eux disait aussi dès le début du grand déballage avoir compris s’être fourvoyé en se « moquant » de féministes et les avoir en fait proprement harcelées.

Où en sont-ils tous aujourd’hui ?

N’y en a-t-il toujours aucun pour balancer Luraghi et sa bande de cinglés ?

 

https://www.lepoint.fr/societe/ligue-du-lol-notre-contre-enquete-17-09-2019-2336096_23.php

Ligue du LOL : notre contre-enquête

 

Sept mois après la divulgation de l’affaire de harcèlement et le licenciement de journalistes, nous avons retrouvé les protagonistes. Ils veulent faire entendre leur vérité.

 

Par

Modifié le 17/09/2019 à 11:19 – Publié le 17/09/2019 à 08:53 | Le Point.fr
La Ligue du LOL est accusee de harcelement sur les reseaux sociaux, notamment sur Twitter.
La Ligue du LOL est accusée de harcèlement sur les réseaux sociaux, notamment sur Twitter.

© LOIC VENANCE / AFP

 

Alexandre Hervaud a du temps devant lui et le front amoché par une mauvaise chute. « Je pourrais dire que j’ai été agressé par un gang de féministes en furie, mais bon… » Mais bon, en effet, la plaisanterie serait de mauvais goût. Il n’est pas dit, d’ailleurs, que lui-même la trouve drôle. Il se donne des airs, plutôt, il fait dans la bravade, il s’entête dans la ligne qu’il a choisie il y a plus de dix ans sur les réseaux sociaux. « Le sarcasme », décrit-il, « la provoc et le trash », « à la Charlie ». Et puis il n’a plus grand-chose à perdre.

Le quotidien Libération, dont il était devenu…

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7 Commentaires

 

Par chodjin le 17/09/2019 à 11:22

Et le scandale à la rédaction de France Info…

… On en reparle ? Une affaire étrangement étouffée dans les médias, des têtes qui sautent discrètement sur l’organigramme visible sur le site. Et j’oubliais le meilleur, c’est notre redevance qui paye cela.

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Par sjowall le 17/09/2019 à 11:21

Contre enquête ?

Le terme est bien grandiloquent pour un article qui ne fait que relayer l’auto apitoiement des arroseurs arrosés. L’ensemble est par ailleurs assez abscons pour qui n’a pas les codes de ce microcosme par ailleurs assez insignifiant.

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Par psaint le 17/09/2019 à 10:33

Incommensurable légèreté d’une forme de féminisme

Qui donne plus d’importance à quelques critiques déplacées sur des articles ou blogs qui n’en valaient sans doute pas la peine, qu’au drame des femmes quotidiennement insultées et battues, parfois à mort par le soit disant conjoint ou compagnon.
On voit par ailleurs, à la lumière de cet article, qu’une bonne partie de cette affaire de llol a été montée en épingle.
Il y a là une forme d’indécence qui risque de décrédibiliser l’ensemble du mouvement féministe.

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Par berty78 le 17/09/2019 à 10:18

Les grands maitres du web

Comment j’ai ri !
Des gens qui utilisent twiter ne sont maitre de rien du tout mais de simples utilisateurs. Faut arrêter de dire n’importe quoi. Les hackers chinois et russes doivent bien rigoler.

Je vois juste une bande de « loleurs » malsains qui ont du mal à se repentir. Ils n’ont pas l’air d’avoir compris tout le mal qu’ils ont fait. Une bande de sales gosses…
Qu’ils restent au fond du trou.

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Par carwann le 17/09/2019 à 09:45

Avis…

Ce Hervaud est abject ! Il voudrait que l’on pleure sur son sort ? Mais il a été licencié et cloué au pilori, et c’est tout à fait normal… Trop facile de se poser en victime quand on s’est acharné sur d’autres…

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Par Duagt le 17/09/2019 à 09:26

Ouai

Car il est tres connu que les feministes elles, n’accusent personne. Pas de lettre, de plaintes, de diffamations, de commentaires haineuses, de manifestation illegales d’acte de haine et de degradations avec ceux en qui elles sont en desaccord comme leglise, etc.
elles sont tjrs tres calmes

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Par Kalbou le 17/09/2019 à 09:24

Querelles chez les lilliputiens

Sérieusement c’est incompréhensible ces disputes microcosmiques.

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Cyprien Luraghi a des hallus, il voit des tribunaux partout…

Quant à son interlocutrice, on se demande comment elle peut encore discuter sérieusement avec lui depuis le temps qu’il lui débite toutes ses _onneries…

Le cinéma dure bien depuis au moins six mois…

Cyprien Luraghi a des hallus, il voit des tribunaux partout... dans AC ! Brest Cyprien%2BLuraghi%2Bsur%2BTwitter%2B_%2B_%2540Florence_StA%2BJe%2Bvous%2Badmire%2Bde%2B_%2B-%2Btwitter.com


Pédophilie : comment une famille de Bourgoin-Jallieu en Isère vivait d’amour et d’eau fraîche (ironie)

Comment ne pas penser au malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi quand on lit ce genre de choses (voir article ci-dessous) ?

Notons à ce propos qu’il a encore « conquis » quelqu’un sur Twitter :
 

Pédophilie : comment une famille de Bourgoin-Jallieu en Isère vivait d'amour et d'eau fraîche (ironie) dans AC ! Brest Samuel%2BDelacre%2Bsur%2BTwitter%2B_%2B_%2540GaelJouneau%2B%2540inspecteurcrou1%2B%2540Ri_%2B-%2Btwitter.com

 

 

https://www.francetvinfo.fr/societe/harcelement-sexuel/viols-d-enfants-en-isere-on-entendait-vraiment-des-cris-des-insultes-en-plein-milieu-de-la-nuit_3225303.html

Viols d’enfants en Isère : « On entendait des cris, des insultes en plein milieu de la nuit »

 

Sept personnes sont mises en examen pour viols et agressions sexuelles sur une fratrie de trois enfants de 4 à 10 ans. La mère, l’oncle et la grand-mère des enfants sont notamment impliqués dans cette affaire. Un voisin témoigne pour franceinfo.

 

Illustration de Bourgoin Jallieu
Illustration de Bourgoin Jallieu (GOOGLE MAPS / FRANCEINFO)

« En plein milieu de la nuit, on entendait vraiment des cris, des insultes », témoigne à franceinfo un voisin d’une famille de Bourgoin-Jallieu en Isère au cœur d’une affaire de pédophilie. Sept personnes sont mises en examen pour viols et agressions sexuelles sur une fratrie de trois enfants de 4, 7 et 10 ans, dont leur mère, leur beau-père, leur oncle et leur grand-mère.

« C’était des insultes, j’ai l’impression que c’était surtout le garçon. Il devait avoir des problèmes pour dormir et en plein milieu de la nuit, on entendait vraiment des cris, des insultes. J’avais même fait appel à la police », raconte ce voisin.

Selon les témoignages du voisinage recueillis par le journaliste de franceinfo sur place, la mère, le beau-père et les trois enfants vivaient dans un appartement aux murs sales d’un immeuble rénové d’une cité HLM d’où émanait une mauvaise odeur. Le couple ne travaillait pas, promenait ses deux chiens et fumait du cannabis.

Les enfants avaient été placés par l’Aide sociale à l’enfance en janvier 2018 en raison de carences éducatives mais ils voyaient toujours leur famille qui aurait continué les abus sexuels jusqu’à l’automne 2018, au moment où l’aîné a révélé les faits.

D’après une personne proche de la famille, la mère aurait elle-même subi des violences sexuelles dans sa jeunesse.

 



Unbelievable, l’histoire vraie d’une jeune fille accusée d’avoir inventé son viol

Un sujet d’actualité alors que l’on découvre de plus en plus de violeurs en série…

Le cauchemar raconté par la série est quand même le lot commun de l’immense majorité des victimes de viol qui osent porter plainte, lesquelles ne représentent déjà qu’une infime partie de toutes les victimes bien réelles…

Dans ce cas particulier, personne n’a voulu y croire en raison du profil psychologique de la jeune fille. Mais quasiment toutes les victimes sont traitées de folles, quelles qu’elles soient en réalité. Les spécialistes du traitement judiciaire des affaires de moeurs, y compris les experts psychiatres appelés à la rescousse par les magistrats soucieux de se couvrir en justifiant leurs refus d’informer avec les inventions délirantes de tels « médecins », sont tous passés maîtres en l’art et la manière de disqualifier les victimes.

Ainsi, par exemple, dans une affaire de pédophilie de la région brestoise : le juge d’instruction Raymond André – dont le décès au mois de février dernier a heureusement mis fin à trente années de saloperies en tous genres – n’ayant pu dissuader la victime de poursuivre en fixant le montant de sa consignation à la coquette somme de 20.000 F de l’époque (3.000 € d’aujourd’hui) alors qu’elle était étudiante et sans aucun revenu (méthode illégale, mais très fréquente, constituant l’un des nombreux obstacles auxquels se heurtent les victimes que la « justice » refuse catégoriquement d’entendre, surtout à Brest), les honoraires très élevés de l’avocat qui l’assistait très mollement (environ 50.000 F de mieux) n’étant pas non plus un problème pour elle du fait que ses parents, financièrement aisés, avaient décidé de tout payer, l’un des complices habituels du juge pour de telles affaires avait été désigné pour procéder à son expertise psychiatrique. Or, celle-ci avait conclu qu’au lieu de porter plainte contre ses violeurs, la victime aurait mieux fait de les remercier pour avoir « comblé un vide dans sa vie » (sic), après quoi le pervers Raymond André avait pu prononcer le non-lieu de ses voeux, puis organiser le procès de la plaignante pour « dénonciation calomnieuse ». Il s’agissait d’une affaire de viols commis durant plusieurs années par un couple d’instituteurs sur les très jeunes enfants qui lui étaient confiés par l’Education nationale et des parents qui bien évidemment ne se doutaient de rien. Une seule de leurs nombreuses victimes avait donc pu, une fois parvenue à l’âge adulte, réunir tous les moyens nécessaires pour déposer contre eux une plainte avec constitution de partie civile (entre autres : être toujours en vie, ne s’être pas suicidée comme d’autres victimes des mêmes pédophiles, n’avoir non plus sombré dans la drogue ou la prostitution comme certaines de ses anciennes camarades de classe passées entre les mains des mêmes, être soutenue par ses parents, lesquels étaient assez riches pour tout assumer). Les éléments de preuve qu’elle apportait, comprenant des résultats d’examens médicaux comme des photographies prises par les pédophiles eux-mêmes et offertes à leur victime en guise de « cadeaux souvenirs » d’un goût douteux, étaient indiscutables et ne laissaient pas place au doute. D’où la conclusion assez spécieuse de l’expert psychiatre, une femme exerçant à l’hôpital psychiatrique de Bohars, du CHU de Brest : non, la plaignante ne mentait pas, mais elle aurait bien dû remercier ses violeurs au lieu de porter plainte contre eux… Elle a été condamnée – la plaignante, pas la psychiatre. Et ses parents ont dû derechef tout payer, au prix fort.

 

 

http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18683849.html

Unbelievable sur Netflix : l’histoire d’un viol auquel personne n’a voulu croire

 

Par CT — 13 sept. 2019 à 11:00

 

« Unbelievable » s’annonce comme la nouvelle série coup de poing de Netflix. Centrée sur une affaire de viol, elle raconte comment la parole de la victime a été remise en cause. A découvrir dès aujourd’hui sur la plateforme.

De quoi ça parle ?

L’histoire vraie de Marie, une adolescente accusée d’avoir menti sur le fait d’avoir été violée, et de l’enquête menée par deux détectives.

Une série coup de poing

Après une promotion plutôt discrète, Unbelievable vient rejoindre le catalogue déjà bien fourni des productions Netflix. Et pourtant, cette série a de quoi faire parler d’elle puisqu’elle adapte l’histoire, difficile à croire mais pourtant si courante, d’une jeune adolescente de 18 ans violée et dont la parole a été remise en cause à la fois par la police et par ses proches. Il faut dire que le profil psychologique de la victime n’est pas des plus rassurants : Marie (son nom a été changé) a passé les dernières années à passer de familles d’accueil en familles d’accueil. Selon ses proches, elle ne recherche que de l’attention. Pour avoir menti à la police, elle encourt jusqu’à 1 an de prison. Deux ans plus tard, deux détectives se lancent sur la piste d’une violeur récidiviste et réalisent que Marie n’avait rien inventé.

A travers cette histoire bouleversante, Unbelievable aborde un sujet délicat et rarement abordé à la télévision. Les scénaristes de la série se sont basés sur le podcast « Anatomy of Doubt » et l’article primé d’un Pulitzer écrit par T. Christian Miller and Ken Armstrong. Ces derniers y nous font comprendre le trauma que la jeune femme a vécue, après avoir vu que tout le monde rejetait son témoignage.

Unbelievable, l'histoire vraie d'une jeune fille accusée d'avoir inventé son viol dans Calomnie 4704322

 

Dans une interview donnée à Refinery29, la showrunneuse Susannah Grant explique vouloir pointer du doigt les méthodes de la police : « Il y a plusieurs choses dont on entend parler quand il s’agit de dénoncer un viol. Tout d’abord, que l’enquête est vue comme une nouvelle agression. Pareil quand la victime se fait prélever des indices. Plutôt que d’accepter cela, nous avons voulu lancer un pavé dans la mare et parler de ce sujet-là à un niveau plus viscéral, pour que chacun puisse comprendre que c’est tout ceci est vrai« .

Unbelievable s’annonce comme une série forte, qui a la puissance de retourner l’opinion publique, à la manière d’un Dans leur regard, autre production Netflix qui revenait sur l’histoire vraie des Cinq de Central Park. Et elle n’hésite pas à montrer des scènes crues pour y parvenir. La série compte aussi sur un casting solide : Kaitlyn Dever (vue dans Booksmart) incarne l’héroïne, Toni Collette et Merritt Wever se glissent dans la peau des deux détectives.

Composée de 8 épisodes d’1 heure, Unbelievable ne comptera qu’une seule saison.

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Unbelievable
Unbelievable
Série ( 2019 )

Voir sur Netflix

 

http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18684140.html

Unbelievable sur Netflix : que vaut la série qui raconte l’histoire vraie d’une jeune fille accusée d’avoir inventé son viol ?

 

Par Léa Bodin — 13 sept. 2019 à 18:00

 

« Unbelievable », disponible dès aujourd’hui sur Netflix, raconte l’histoire vraie de Marie, accusée par la police d’avoir inventé son viol. Que vaut cette nouvelle série portée par Toni Collette et Merritt Wever et qui s’attaque à un sujet sensible ?

0621582 dans Corruption

Beth Dubber/Netflix

 

De quoi ça parle ?

L’histoire vraie de Marie, une adolescente accusée d’avoir menti sur le fait d’avoir été violée, et de l’enquête menée par deux détectives.

Créée par Susannah Grant, avec Kaitlyn DeverToni Collette et Merritt Wever.

Disponible sur Netflix à partir du 13 septembre.

Ça ressemble à quoi ?

 

Ça vaut le coup d’oeil ?

Il faut prendre le temps d’apprécier Unbelievable comme il se doit. La série est adaptée de l’histoire vraie d’une adolescente de 18 ans accusée par la police et par ses proches d’avoir inventé son viol. Deux ans après l’agression de Marie, deux inspectrices se lancent sur la piste d’un violeur en série et font le lien avec son témoignage. L’affaire a été relatée par T. Christian Miller and Ken Armstrong dans l’article An unbelievable story of rape publié dans The Marshall Project récompensé par un prix Pulitzer et racontée dans le podcast Anatomy of Doubt, les deux sources principales de la série.

Créée par une femme, Susannah Grant, Unbelievable se déploie tout en finesse et en sobriété et s’attache particulièrement à mettre en scène le traumatisme des victimes, notamment celui de Marie : on étouffe avec elle, on ressent son angoisse, sa solitude et son désespoir de ne pas être crue. Le premier épisode pose le décor et les bases de cette terrible injustice puis, peu à peu, on bascule dans l’enquête, sans jamais perdre de vue ce que traverse la jeune fille.

Dans ce Mindhunter au féminin, qui rappelle également nombre d’épisodes de New York Unité Spéciale, c’est le female gaze qui prime : le regard des femmes, qu’elles soient victimes ou enquêtrices. Devant la caméra, les comédiennes sont impeccables. Kaitlyn Dever, qui incarne Marie et que l’on a vue récemment dans Booksmart sur Netflix, est bouleversante et juste. Toni Collette, qui surjoue un peu le côté badass dans ses premières apparitions, finit par former un tandem très attachant avec Merritt Wever, qui se révèle absolument parfaite dans le rôle de cette flic à la fois douce et pugnace, toujours à l’écoute des victimes.

Unbelievable évoque également la série d’Ava DuVernay Dans leur regard, en cela qu’elle propose une relecture des événements du point de vue des laissés pour compte tout en réhabilitant les victimes d’un système terriblement faillible. Malgré tout, la série n’oublie jamais de montrer qu’en écoutant mieux, en formant correctement les policiers – ici, à recueillir les plaintes pour viol -, en laissant de côté les préjugés, on peut éviter que de tels drames se reproduisent.

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Unbelievable
Unbelievable
Série ( 2019 )

Voir sur Netflix



Affaire Joël Le Scouarnec : déjà une soixantaine de plaintes contre le chirurgien pédophile

J’attends maintenant le moment où nous apprendrons que des victimes avaient bien porté plainte par le passé, et comment elles ont été traitées.

En effet, étant donné qu’elles semblent effectivement se compter par centaines, il est très difficile de concevoir qu’aucune d’entre elles ne s’était jamais plainte de rien.

Notons que pour une fois le site 20minutes.fr a bien relayé l’information :

https://www.20minutes.fr/justice/2600991-20190910-affaire-pedophilie-jonzac-ex-chirurgien-desormais-vise-soixantaine-plaintes

Il s’agit de son tout premier article sur cette affaire depuis la publication de celui-ci :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/08/23/le-site-20minutes-fr-en-symbiose-totale-avec-les-pedocriminels/

 

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/pedophilie-l-ex-chirurgien-de-jonzac-vise-par-une-soixantaine-de-plaintes-1568195975

Pédophilie : l’ex-chirurgien de Jonzac visé par une soixantaine de plaintes

 

Mercredi 11 septembre 2019 à 11:59 -

Par , France Bleu La Rochelle, France Bleu, France Bleu Armorique, France Bleu Breizh Izel, France Bleu Touraine, France Bleu Poitou

Mis en cause dans une affaire de pédophilie, un ex-chirurgien de Jonzac, en Charente-Maritime, est désormais visé par une « soixantaine de plaintes », a indiqué ce mardi le procureur de la République de La Rochelle. Âgé de 68 ans, l’homme est incarcéré depuis mai 2017.

L'ex-chirurgien a exercé dans cet hôpital à Jonzac, en Charente-Maritime
L’ex-chirurgien a exercé dans cet hôpital à Jonzac, en Charente-Maritime © Maxppp – Gobin Marie-Laure

Jonzac, France

L’ex-chirurgien de Jonzac, en Charente-Maritime, déjà accusé par au moins quatre mineurs de viols et agressions sexuelles, est désormais visé par « une soixantaine de plaintes » de victimes potentielles, a indiqué ce mardi le procureur de la République de La Rochelle. Fin août, nos confrères de la Charente Libre révélait que des carnets décrivant « des choses absolument abominables«  avaient été découverts au domicile de cet homme, âgé de 68 ans. Ces carnets détaillaient des actes sexuels, près de 200 au total. Depuis cette découverte effectuée dans le cadre d’une perquisition à son domicile, les enquêteurs recherchent d’autres éventuelles victimes.

Bretagne, Touraine et Charente-Maritime

Placé en détention provisoire depuis mai 2017, Joël Le Scouarnec a été renvoyé devant la cour d’assises de Charente-Maritime, à Saintes, où il devrait être jugé en début 2020 pour viol sur mineur de moins de 15 ans par personne ayant autorité, agressions sexuelles et exhibition sexuelle. Des faits qui remontent à la période 1989-2017, pendant laquelle le chirurgien a exercé en Bretagne, en Touraine et en Charente-Maritime. C’est grâce au témoignage d’une fillette, sa voisine, que l’homme a été incarcéré.

à lire aussi Pédophilie : « des choses abominables » retrouvées chez un chirurgien accusé de viols et agressions sexuelles

De nouvelles investigations ont été lancées après la découverte de ces carnets. Selon Fransesca Satta, l’avocate des parties civiles, l’enquête a permis de retrouver d’autres victimes potentielles, aujourd’hui adultes, dont certaines ont porté plainte ces derniers mois.

 



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