Comment Cyprien Luraghi éclaire l’assassinat de Maryline Planche

Ce soir, l’audition de Sophie Masala est terminée et je n’hésite plus à parler d’assassinat, ce que je pressentais ayant été confirmé dans l’après-midi :

https://www.ladepeche.fr/2019/10/24/direct-suivez-le-quatrieme-jour-du-proces-du-meurtre-du-canal-du-midi,8501641.php

D’une part, Sophie Masala a bien accusé sa victime de ses propres fautes en les avouant en son nom après l’avoir tuée :

 

Me Boguet, partie civile, lit un long texto envoyé par l’accusée après la mort de la victime, où elle se fait passer pour Maryline évoquant une supposée homosexualité ou le vol des tickets restaurant faussement imputé à la défunte.
« Est-ce que ça n’a pas des allures d’alibi ? Elle serait encore en vie et vous ne seriez pas concerné par sa mort ? Ce n’est pas un alibi ça, si on est terre à terre ? » lance l’avocat.
« Non, pour moi, elle était en vie… »
La partie civile. L’accusée, s’assoie, lassée.
« Ce n’est pas la constitution d’un alibi tout ça ? »
« Non, je ne peux pas vous répondre ».

 

Et d’autre part, elle confirme avoir voulu la remonter chez elle :

 

« Le tronc est jeté plus loin, 4,5 km que les autres membres, pourquoi ? » poursuit David Senat, l’avocat général.

« J’ai marché sans but, je sais pas… On  peut pas être bien dans sa tête quand on a fait ça, je marche, je suis fatiguée ». »Pourquoi ne pas avoir lesté ces éléments après vos recherches sur la poussée d’Archimède ? » continue le représentant de l’accusation. »Je comptais pas les jeter dans le canal, je voulais les enterrer chez moi ».

« Vous pensiez qu’il y avait la place chez vous ? ».

« Oui si vous creusez… Je voulais que Maryline soit à côté de moi, j »ai pas cherché à savoir si c’était bien ou pas bien, je voulais pas la laisser seule… »

 

L’avocat général termine son interrogatoire et s’étonne : « mais vous la laissez agoniser, se putréfier, vous la démembrer, vous la jeter au canal et vous dites à la fin « c’est un être humain il faut que je la garde près de moi » ?
« Même son pire ennemi on lui garde une sépulture ».
« Et le canal du midi c’est une sépulture ? »
« J’ai pas eu la force de remontrer tout chez moi » répond Sophie Masala.
« Le canal ce n »est pas plutôt une volonté d’échapper aux poursuites, que l’on ne retrouve pas Maryline ? »
« Non, non ».
« Pourquoi ne pas l’avoir laissée dans l’appartement Maryline Planche ? ».
« Je sais pas ».
« La tête est à dix centimètres sous le sable, au pied de votre balcon, pourquoi si près ? »
« Je peux pas vous répondre, elle était à côté de moi… »

 

Maryline Planche est sa chose, elle entend avoir sur elle tout pouvoir, notamment celui de lui faire dire ce qui l’arrange, mais doit en passer par son assassinat pour l’obtenir. Le texto n’est pas rédigé dans le but de fournir un alibi à la tueuse, c’est le but même de son crime, qui a bien été prémédité comme le laissent supposer les recherches sur le domicile de la victime un mois plus tôt (voir article ci-dessous).

Le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, dont la personnalité est si semblable à celle de Sophie Masala, se comporte de même avec moi – comme également avec ses autres victimes.

Il a cherché à me faire assassiner de multiples manières pour pouvoir ensuite tranquillement publier toute sa version fantasmagorique de ma « biographie » et me faire dire tout ce qui lui chantait sans que je ne sois plus là à le déranger en le contredisant à tout instant.

Ses autres victimes et moi-même sommes ses « personnages », c’est ainsi qu’il nous qualifie dans plusieurs de ses écrits publics, ceux où il s’étale sur les « romans » où il nous met en scène comme cela l’arrange pour se valoriser à nos dépens, après avoir dit-il « étudié » nos « fonctionnements » respectifs  – il emploie bien les mêmes mots que Sophie Masala à propos de sa victime Maryline Planche -, en usant en ce qui le concerne de moyens frauduleux tels piratages informatiques et écoutes illégales.

Le pervers narcissique se nourrit de ses victimes, qu’il s’approprie entièrement.

Le « Konducator » autoproclamé Pascal Edouard Cyprien Luraghi et ses complices « déconnologues » l’ont toujours exprimé à leur manière on ne peut plus clairement (voir ci-dessous à titre d’exemple un extrait de leur blog principal ICI-BLOG du mois d’octobre 2010).

 

https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/proces-demembreuse-toulouse-ce-qu-ont-raconte-telephone-ordinateur-accusee-1740117.html

Procès de la “démembreuse” de Toulouse : ce qu’ont raconté le téléphone et l’ordinateur de l’accusée

 

L'avocat général David Sénat et maître Laurent Boguet, avocat de la famille de la victime. / © Luc Perillat/Drawmyevents

L’avocat général David Sénat et maître Laurent Boguet, avocat de la famille de la victime. / © Luc Perillat/Drawmyevents

 

Mardi 22 octobre 2019, au deuxième jour du procès de Sophie Masala poursuivie pour le meurtre de sa collègue Maryline Planche, des experts en informatique et téléphonie en ont dit – presque – autant que les enquêteurs.

Par Marie Martin Publié le 23/10/2019 à 11:51 Mis à jour le 23/10/2019 à 21:21

Il était un temps, en cours d’assises, où les seules preuves étaient humaines (les témoins) ou biologiques (ADN). Désormais, il y a le numérique.Mardi 22 octobre 2019, deux experts en informatique et téléphonie sont passés à la barre, devant la cour d’assises de la Haute-Garonne. Et ils en ont dit beaucoup.

Leur mission : analyser l’ordinateur et le téléphone de l’accusée.

Que dit l’analyse du smartphone de Maryline Planche ? Trois déclarations d’amour à l’adresse de Sophie Masala dont on sait aujourd’hui qu’ils sont inventés et fabriqués par l’accusée. Par SMS. Après la mort de sa victime.

Mais qu’en est-il de l’ordinateur de l’accusée ? La navigation sur internet indique que Sophie Masala, outre ses consultations de sites « poour adultes », a fait des recherches multipliées sur la résidence de Maryline Planche, sa victime. Et ce, un mois avant les faits.

Puis, après le meurtre, elle rentre à des dizaines de reprises le nom de Maryline Planche dans un moteur de recherche. Avant de se renseigner sur les thèmes suivants : « Tout corps plongé dans un liquide », « Nécrose », « Archimède pour les nuls », « SMS masqué », « J’ai renversé du Destop sur ma peau ».

Par la suite, elle fait des recherches pour un voyage en Corse. « J’avais l’intention de faire croire que Maryline y partait. Pour continuer à gagner du temps« , explique, un peu confuse, Sophie Masala à la cour.

Ce que dit son smartphone est tout aussi troublant. Elle rentre sur le moteur de recherche des phrases comme : « Pourquoi je gâche toujours tout ? », « Géolocalisation SMS », « Kleptomanie », « Tickets resto », « Faute lourde et indemnisation Pôle Emploi », « résidence sous vidoéo-surveillance », « comment chasser des odeurs de viande avariée? ». Et pour finir, « Commissariat Minimes ».

Tout le déroulement d’une affaire, à travers un téléphone et un ordinateur…

 

cyp répond à 91906
Le 17 octobre 2010 à 20:52 | Permalien
Dans le saloir des caves de la Maison de l’Horreur©, on les conserve…
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91910alain pacifique répond à91907
Le 17 octobre 2010 à 21:00 |Permalien
t’as intérêt à bien le faire dégorger et longtemps, sinon c’est inmangeable.
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91912cyp répond à91910
Le 17 octobre 2010 à 21:04 |Permalien
Je sais pas ce qu’il raconte comme conneries celui-là, mais te fais pas de mouron : le tonneau de dégorgement est bien garni de gros sel de Dombasle.
Aucun miasme n’y résiste.
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91916alain pacifique répond à91912
Le 17 octobre 2010 à 21:27 |Permalien
ça me donne faim tout ça. à tout’ !
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91917cyp répond à91916
Le 17 octobre 2010 à 21:33 |Permalien
J’ai tout bouffé le jambon de Quicouine, par contre. Faut pas m’en vouloir : la surveillance du salage de trolls velus est une tâche physiquement épuisante.
Mais il reste de la poitrine de Pipirella fumée, si ça te tente…
[et bon app' et l'amitié à tout ton petit gang familial!]
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91918ginkoland répond à91917
Le 17 octobre 2010 à 21:42 |Permalien
la cervelle de Jexiste aussi ?
A 190 de QI ça fait du volume !
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91919cyp répond à91918
Le 17 octobre 2010 à 21:47 |Permalien
250 de CUI… pas 190.
C’est elle qui dit qu’elle a un CUI de 250, et comme faut pas la contrarier, hé ben on n’y revient pas, nonmais© !
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91920ginkoland répond à91919
Le 17 octobre 2010 à 22:04 |Permalien
En saumure c’est très bon la cervelle de Jexomil©

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91921cyp répond à91920
Le 17 octobre 2010 à 22:06 |Permalien
Et celle de Béaouane, elle est bonne en Saussure ?
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91922ginkoland répond à91921
Le 17 octobre 2010 à 22:21 |Permalien
Accompagné d’une compote d’idées toutes faites c’est excellent…
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91923cyp répond à91922
Le 17 octobre 2010 à 22:28 |Permalien
Un plat de roi digne de Louis XV et des agapes de sa loge maçonnique !
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91934Mon-Al répond à91920
Le 17 octobre 2010 à 23:45 |Permalien
La cervelle de jex à la Grenobloise, au beurre noir, des câpres et un filet de vinaigre … au moins il servirait à quelque chose :-)
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91936cyp répond à91934
Le 17 octobre 2010 à 23:58 |Permalien
Et en prime t’es pétée aux médocs en en bouffant une tranche :-) ))
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91940Mon-Al répond à91936
Le 18 octobre 2010 à 0:04 |Permalien
Il faudrait peut-être la faire flamber alors !
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91943cyp répond à91940
Le 18 octobre 2010 à 0:22 |Permalien
Ouaip, c’est souhaitable…

 



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