Procès de la démembreuse de Toulouse : le réquisitoire me convient 25 octobre
Il ne cautionne aucune des exactions du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre, les condamnant toutes :
En ce qui concerne Sophie Masala, elle n’a pas tué sa victime comme elle avait prévu de le faire. Le meurtre tel qu’il a été réalisé, dans une explosion de violences incontrôlée, a finalement précédé l’assassinat programmé et entraîné un changement de plan de la criminelle.
On la voit ensuite s’accrocher à son idée de suicide initiale, nettoyer le visage de sa victime avec un gant de toilette, mais rien n’y fait, ce n’est plus possible, et il lui faut quelques jours pour laisser maturer sa solution finale : le saloir à la Luraghi avec digestion des différentes parties du corps au fil du temps, mais c’est épuisant de tout ramener chez elle, et elle abandonne la majeure partie de son butin en cours de route pour n’en garder que l’essentiel, la tête, le siège de tous ces neurones qu’elle n’a jamais eus ni pu pénétrer.