Comment Cyprien Luraghi éclaire l’assassinat de Maryline Planche

Ce soir, l’audition de Sophie Masala est terminée et je n’hésite plus à parler d’assassinat, ce que je pressentais ayant été confirmé dans l’après-midi :

https://www.ladepeche.fr/2019/10/24/direct-suivez-le-quatrieme-jour-du-proces-du-meurtre-du-canal-du-midi,8501641.php

D’une part, Sophie Masala a bien accusé sa victime de ses propres fautes en les avouant en son nom après l’avoir tuée :

 

Me Boguet, partie civile, lit un long texto envoyé par l’accusée après la mort de la victime, où elle se fait passer pour Maryline évoquant une supposée homosexualité ou le vol des tickets restaurant faussement imputé à la défunte.
« Est-ce que ça n’a pas des allures d’alibi ? Elle serait encore en vie et vous ne seriez pas concerné par sa mort ? Ce n’est pas un alibi ça, si on est terre à terre ? » lance l’avocat.
« Non, pour moi, elle était en vie… »
La partie civile. L’accusée, s’assoie, lassée.
« Ce n’est pas la constitution d’un alibi tout ça ? »
« Non, je ne peux pas vous répondre ».

 

Et d’autre part, elle confirme avoir voulu la remonter chez elle :

 

« Le tronc est jeté plus loin, 4,5 km que les autres membres, pourquoi ? » poursuit David Senat, l’avocat général.

« J’ai marché sans but, je sais pas… On  peut pas être bien dans sa tête quand on a fait ça, je marche, je suis fatiguée ». »Pourquoi ne pas avoir lesté ces éléments après vos recherches sur la poussée d’Archimède ? » continue le représentant de l’accusation. »Je comptais pas les jeter dans le canal, je voulais les enterrer chez moi ».

« Vous pensiez qu’il y avait la place chez vous ? ».

« Oui si vous creusez… Je voulais que Maryline soit à côté de moi, j »ai pas cherché à savoir si c’était bien ou pas bien, je voulais pas la laisser seule… »

 

L’avocat général termine son interrogatoire et s’étonne : « mais vous la laissez agoniser, se putréfier, vous la démembrer, vous la jeter au canal et vous dites à la fin « c’est un être humain il faut que je la garde près de moi » ?
« Même son pire ennemi on lui garde une sépulture ».
« Et le canal du midi c’est une sépulture ? »
« J’ai pas eu la force de remontrer tout chez moi » répond Sophie Masala.
« Le canal ce n »est pas plutôt une volonté d’échapper aux poursuites, que l’on ne retrouve pas Maryline ? »
« Non, non ».
« Pourquoi ne pas l’avoir laissée dans l’appartement Maryline Planche ? ».
« Je sais pas ».
« La tête est à dix centimètres sous le sable, au pied de votre balcon, pourquoi si près ? »
« Je peux pas vous répondre, elle était à côté de moi… »

 

Maryline Planche est sa chose, elle entend avoir sur elle tout pouvoir, notamment celui de lui faire dire ce qui l’arrange, mais doit en passer par son assassinat pour l’obtenir. Le texto n’est pas rédigé dans le but de fournir un alibi à la tueuse, c’est le but même de son crime, qui a bien été prémédité comme le laissent supposer les recherches sur le domicile de la victime un mois plus tôt (voir article ci-dessous).

Le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, dont la personnalité est si semblable à celle de Sophie Masala, se comporte de même avec moi – comme également avec ses autres victimes.

Il a cherché à me faire assassiner de multiples manières pour pouvoir ensuite tranquillement publier toute sa version fantasmagorique de ma « biographie » et me faire dire tout ce qui lui chantait sans que je ne sois plus là à le déranger en le contredisant à tout instant.

Ses autres victimes et moi-même sommes ses « personnages », c’est ainsi qu’il nous qualifie dans plusieurs de ses écrits publics, ceux où il s’étale sur les « romans » où il nous met en scène comme cela l’arrange pour se valoriser à nos dépens, après avoir dit-il « étudié » nos « fonctionnements » respectifs  – il emploie bien les mêmes mots que Sophie Masala à propos de sa victime Maryline Planche -, en usant en ce qui le concerne de moyens frauduleux tels piratages informatiques et écoutes illégales.

Le pervers narcissique se nourrit de ses victimes, qu’il s’approprie entièrement.

Le « Konducator » autoproclamé Pascal Edouard Cyprien Luraghi et ses complices « déconnologues » l’ont toujours exprimé à leur manière on ne peut plus clairement (voir ci-dessous à titre d’exemple un extrait de leur blog principal ICI-BLOG du mois d’octobre 2010).

 

https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/proces-demembreuse-toulouse-ce-qu-ont-raconte-telephone-ordinateur-accusee-1740117.html

Procès de la “démembreuse” de Toulouse : ce qu’ont raconté le téléphone et l’ordinateur de l’accusée

 

L'avocat général David Sénat et maître Laurent Boguet, avocat de la famille de la victime. / © Luc Perillat/Drawmyevents

L’avocat général David Sénat et maître Laurent Boguet, avocat de la famille de la victime. / © Luc Perillat/Drawmyevents

 

Mardi 22 octobre 2019, au deuxième jour du procès de Sophie Masala poursuivie pour le meurtre de sa collègue Maryline Planche, des experts en informatique et téléphonie en ont dit – presque – autant que les enquêteurs.

Par Marie Martin Publié le 23/10/2019 à 11:51 Mis à jour le 23/10/2019 à 21:21

Il était un temps, en cours d’assises, où les seules preuves étaient humaines (les témoins) ou biologiques (ADN). Désormais, il y a le numérique.Mardi 22 octobre 2019, deux experts en informatique et téléphonie sont passés à la barre, devant la cour d’assises de la Haute-Garonne. Et ils en ont dit beaucoup.

Leur mission : analyser l’ordinateur et le téléphone de l’accusée.

Que dit l’analyse du smartphone de Maryline Planche ? Trois déclarations d’amour à l’adresse de Sophie Masala dont on sait aujourd’hui qu’ils sont inventés et fabriqués par l’accusée. Par SMS. Après la mort de sa victime.

Mais qu’en est-il de l’ordinateur de l’accusée ? La navigation sur internet indique que Sophie Masala, outre ses consultations de sites « poour adultes », a fait des recherches multipliées sur la résidence de Maryline Planche, sa victime. Et ce, un mois avant les faits.

Puis, après le meurtre, elle rentre à des dizaines de reprises le nom de Maryline Planche dans un moteur de recherche. Avant de se renseigner sur les thèmes suivants : « Tout corps plongé dans un liquide », « Nécrose », « Archimède pour les nuls », « SMS masqué », « J’ai renversé du Destop sur ma peau ».

Par la suite, elle fait des recherches pour un voyage en Corse. « J’avais l’intention de faire croire que Maryline y partait. Pour continuer à gagner du temps« , explique, un peu confuse, Sophie Masala à la cour.

Ce que dit son smartphone est tout aussi troublant. Elle rentre sur le moteur de recherche des phrases comme : « Pourquoi je gâche toujours tout ? », « Géolocalisation SMS », « Kleptomanie », « Tickets resto », « Faute lourde et indemnisation Pôle Emploi », « résidence sous vidoéo-surveillance », « comment chasser des odeurs de viande avariée? ». Et pour finir, « Commissariat Minimes ».

Tout le déroulement d’une affaire, à travers un téléphone et un ordinateur…

 

cyp répond à 91906
Le 17 octobre 2010 à 20:52 | Permalien
Dans le saloir des caves de la Maison de l’Horreur©, on les conserve…
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91910alain pacifique répond à91907
Le 17 octobre 2010 à 21:00 |Permalien
t’as intérêt à bien le faire dégorger et longtemps, sinon c’est inmangeable.
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91912cyp répond à91910
Le 17 octobre 2010 à 21:04 |Permalien
Je sais pas ce qu’il raconte comme conneries celui-là, mais te fais pas de mouron : le tonneau de dégorgement est bien garni de gros sel de Dombasle.
Aucun miasme n’y résiste.
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91916alain pacifique répond à91912
Le 17 octobre 2010 à 21:27 |Permalien
ça me donne faim tout ça. à tout’ !
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91917cyp répond à91916
Le 17 octobre 2010 à 21:33 |Permalien
J’ai tout bouffé le jambon de Quicouine, par contre. Faut pas m’en vouloir : la surveillance du salage de trolls velus est une tâche physiquement épuisante.
Mais il reste de la poitrine de Pipirella fumée, si ça te tente…
[et bon app' et l'amitié à tout ton petit gang familial!]
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91918ginkoland répond à91917
Le 17 octobre 2010 à 21:42 |Permalien
la cervelle de Jexiste aussi ?
A 190 de QI ça fait du volume !
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91919cyp répond à91918
Le 17 octobre 2010 à 21:47 |Permalien
250 de CUI… pas 190.
C’est elle qui dit qu’elle a un CUI de 250, et comme faut pas la contrarier, hé ben on n’y revient pas, nonmais© !
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91920ginkoland répond à91919
Le 17 octobre 2010 à 22:04 |Permalien
En saumure c’est très bon la cervelle de Jexomil©

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91921cyp répond à91920
Le 17 octobre 2010 à 22:06 |Permalien
Et celle de Béaouane, elle est bonne en Saussure ?
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91922ginkoland répond à91921
Le 17 octobre 2010 à 22:21 |Permalien
Accompagné d’une compote d’idées toutes faites c’est excellent…
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91923cyp répond à91922
Le 17 octobre 2010 à 22:28 |Permalien
Un plat de roi digne de Louis XV et des agapes de sa loge maçonnique !
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91934Mon-Al répond à91920
Le 17 octobre 2010 à 23:45 |Permalien
La cervelle de jex à la Grenobloise, au beurre noir, des câpres et un filet de vinaigre … au moins il servirait à quelque chose :-)
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91936cyp répond à91934
Le 17 octobre 2010 à 23:58 |Permalien
Et en prime t’es pétée aux médocs en en bouffant une tranche :-) ))
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91940Mon-Al répond à91936
Le 18 octobre 2010 à 0:04 |Permalien
Il faudrait peut-être la faire flamber alors !
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91943cyp répond à91940
Le 18 octobre 2010 à 0:22 |Permalien
Ouaip, c’est souhaitable…

 



Direct : « A ce moment là, il faut salir, je suis coupable », suivez l’audition de Sophie Masala…

Cela se trouve sur le site de La Dépêche :

https://www.ladepeche.fr/2019/10/24/direct-suivez-le-quatrieme-jour-du-proces-du-meurtre-du-canal-du-midi,8501641.php

Il y a quelques moments de sincérité ou presque, quand elle dit clairement salir sa victime parce qu’elle est coupable, ce qu’ont fait aussi l’intégralité de mes harceleurs et agresseurs à mon encontre, magistrats CORROMPUS y compris, ou qu’elle déclare, confirmant en cela ce que j’expliquais hier soir :

« C’est pas de la haine, c’est un trop plein d’une vie familiale et professionnelle pas terrible, ça m’a fait du bien de taper, il fallait que ça parte, que ça sorte, je tapais sur la table, le mur ».

« Il fallait qu’elle paye la souffrance que je ressentais ».

« Oui il fallait un bouc émissaire finalement… Si ça avait été mon mari, j’aurais pu avoir cette colère contre lui, malheureusement Maryline était là, elle ne méritait pas ça. »

Elle a dit au juge : « j’en suis venue à me dire que cette femme je la déteste, cette connasse me pourrit la vie, elle ne méritait pas ça mais… » et aussi : « j’en étais arrivée à ne plus supporter de la voir ».

« Tout ça c’est après la mort, je me suis dit que c’était ça… Mais oui ça m’agaçait de voir Maryline se plaindre, j’évitais de la croiser, ça s’accumule. Mais je n’avais pas de haine, plutôt de la pitié, de la compassion, mais pas de haine. »

« La libération c’est toute la colère en moi, j’avais l’impression de vider un sac de 300 kg avec l’accumulation de toute une vie ».

En effet, elle a parlé de « libération » après les faits.

Et encore, justifiant son « amertume » à l’égard de sa victime, elle dit aujourd’hui :

« Je me sentais acculée. »

Puis elle repart dans des inventions totalement délirantes et grossièrement calomnieuses à l’égard de sa victime, laquelle est en réalité parfaitement lisse, beaucoup trop à son goût (c’est ça le problème, elle n’offre aucune prise à la manipulatrice), prétend avoir agi en état de légitime défense et s’empêtre dans tous ses mensonges à la manière d’un Luraghi, d’un Donnadieu ou d’une Brenterch, sauf que contrairement à ceux-là, elle ne se trouve pas face à des magistrats sautant de joie au plafond dès qu’ils peuvent recueillir ses « témoignages » à charge contre la femme qu’elle a tuée puis dépecée en faisant preuve d’un tel sang-froid que l’on peut se demander si c’était bien la première fois qu’elle « gérait » ce genre de situation…

Comme elle a frappé sa victime avec une bouteille de rosé qu’elle aurait trouvée sur la table, la préméditation du crime a été exclue.

Pour ma part, je ne suis pas du tout certaine que ce soit juste. En fait, rien ne s’est passé comme elle l’avait prévu. Que faisait-elle chez sa victime ? Elle a fouillé, dit-elle. Que cherchait-elle ? Ni ses clés ni les dossiers retrouvés sur place, c’est à peu près certain, elle affabule à propos des unes comme des autres. C’est elle qui a volé ces dossiers quand leur disparition a été constatée et les a amenés chez sa victime ce jour-là, peut-être dans l’idée de la tuer, de maquiller son crime en suicide et d’accréditer cette version-là du décès de sa collègue. Elle accuse sa victime de « magouilles ». Le pervers narcissique accuse toujours mensongèrement ses victimes de faits dont il se rend lui-même réellement coupable. Les cybercriminels et harceleurs Pascal Edouard Cyprien Luraghi, Jean-Marc Donnadieu, Josette Brenterch et autres « déconnologues » m’accusent bien mensongèrement de les harceler…

Sa collègue étant morte, Sophie Masala peut l’accuser mensongèrement de n’importe quoi, notamment des vols et autres possibles magouilles auxquelles elle se livre déjà ou qu’elle envisage de commettre dans un bref délai dans l’association où elle travaille, plutôt que de replonger dans la prostitution, ce qu’elle doit aussi envisager, n’ayant probablement que ces deux options-là pour se procurer l’argent dont elle estime avoir besoin et qu’elle n’a pas.

En assassinant Maryline Planche, elle fait d’une pierre deux coups : elle se débarrasse d’un témoin gênant et trouve une coupable à désigner pour ses propres fautes, ses vols de tickets restaurants et autres.

D’où provient la bouteille de rosé avec laquelle elle a frappé sa victime ? Maryline Planche s’offrait-elle réellement ce genre de plaisir en solitaire, comme le prétend sa meurtrière ? Elle ne recevait jamais chez elle et ses proches ne parlent que d’une passion pour la pâtisserie.

Là, je ne peux m’empêcher de penser que trois semaines après l’assassinat de Patricia Bouchon en février 2011, un ingénieur faisant partie de mes correspondants informatiques et que Jean-Marc Donnadieu s’était brutalement mis à menacer fin février 2011 a lui aussi été assassiné selon ses amis ayant retrouvé son cadavre chez lui quelques jours plus tard. Ils l’ont en fait trouvé pendu, mais parlent d’une scène de crime grossièrement maquillée en suicide avec des bouteilles vides jonchant le sol et laissant croire que le présumé suicidé était alcoolique, ce qui n’était pas le cas.

Sophie Masala aurait-t-elle imaginé le même genre de suicide pour sa victime ? Coupable de vols de dossiers et autres, elle s’alcoolisait, prenait des médicaments et aurait décidé d’en finir…

Son appel au secours en petite tenue sur son palier a sans doute précipité la fin de Maryline Planche, provoquant la volée de coups qu’elle a reçue avec la bouteille de rosé, avant d’être probablement étranglée, peut-être comme prévu. Mais comment faire croire à un suicide quand le visage est tellement amoché que personne ne sera trompé ? Il ne reste alors qu’à faire disparaître le corps.

Sophie Masala le découpe et le désarticule comme une pièce de viande, sans aucun état d’âme, ce n’est pour elle qu’un exercice technique et physique ne posant pas trop de problèmes à l’habituée des salles de musculation qu’elle est. La perverse narcissique n’a toujours vu sa proie que comme un objet, cela ne change pas après sa mort.

Pourquoi a-t-elle enterré sa tête tout près de son propre balcon ?

Rappelons qu’avant de disperser les autres parties du corps le long du canal du Midi, elle semble avoir envisagé de les conserver dans un réfrigérateur ou un congélateur : c’est toujours de la viande; littéralement, elle l’aurait bien bouffée.

Elle a en tous les cas échoué à posséder sa victime. Donc, elle en conserve le corps, au moins la tête.

Ce n’est pas tout à fait un trophée. Il s’agit encore moins de laisser une trace de sa culpabilité.

 



Le procès de la « démembreuse » de Toulouse se poursuit

Ce n’est pas de chance pour David Sénat, c’est le second de ses procès qui m’intéresse. Vraiment.

Je ne reviens pas sur le premier et ne commente ici que cette affaire atterrante de meurtre suivi de dépeçage de cadavre entre collègues de travail qui est actuellement examinée par la Cour d’Assises de Toulouse.

Elle m’intéresse au plus haut point en raison des profils de la victime et de sa meurtrière, typiques de la harcelée et de la harceleuse, car étant moi-même victime de faits de harcèlement accompagnés de nombreux faits criminels dont les auteurs, pour ceux qui sont toujours en vie, ne seront probablement jamais jugés, étant donné qu’il s’agit pour l’essentiel de magistrats CORROMPUS ayant recours à des crapules comme les deux psychopathes Pascal Edouard Cyprien Luraghi de Puy-l’Evêque et Jean-Marc Donnadieu de Béziers pour leurs basses oeuvres, elle me permet d’avoir un ersatz de procès par procuration.

Les journaux locaux en rendent compte en direct et livrent sur cette affaire de nombreux détails appelant mes commentaires :

https://www.midilibre.fr/2019/10/14/la-demembreuse-du-canal-du-midi-jugee-aux-assises-suivez-le-proces-en-direct,8479478.php

https://www.ladepeche.fr/2019/10/23/direct-suivez-le-troisieme-jour-du-proces-du-meurtre-du-canal-du-midi,8499272.php

Observons pour commencer que ces directs semblent réalisés par de vrais journalistes. Il ne s’agit ni de Jean-Pierre Amarger, de Midi Libre, ni d’Hélène Sergent, de 20minutes.fr, qui acceptent l’un et l’autre de publier comme des vérités vraies toutes les inventions délirantes des deux psychopathes précités, aux personnalités très proches de celle de la « démembreuse » de Toulouse, que ces deux soi-disant « journalistes » auraient certainement présentée comme une victime de la « déséquilibrée » Maryline Planche qui la harcelait sexuellement, cachait bien son jeu et l’a obligée à la tuer pour se défendre, c’est l’évidence même, puisque c’est Sophie Masala qui le dit, une femme que tout le monde s’accorde à dire parfaitement normale, et qui d’ailleurs a conjoint et enfants tandis que l’autre est restée célibataire et sans enfant. Pour preuve du « déséquilibre » absolu de Maryline Planche : elle n’a même pas de relations sexuelles. Au contraire, sa victime Sophie Marsala s’est prostituée, c’est donc une vraie femme parfaitement normale autant pour les deux psychopathes précités que pour tous leurs complices, certains psychiatres y compris, de ceux qui estiment nécessaire d’enfermer dans leurs hôpitaux psychiatriques pour les y traiter comme des malades mentaux extrêmement dangereux des femmes qui refusent de se prostituer – cela se voit à Brest, peut-être aussi dans l’Hérault où vivent ou d’où sont originaires plusieurs de mes harceleurs, par exemple le précité Jean-Marc Donnadieu, lequel a exercé comme brancardier à l’hôpital psychiatrique de Béziers durant sept ans.

Ce dernier est tout aussi « normal » que Sophie Masala dont la soeur rapporte qu’elles ont toutes deux été abusées sexuellement par leur grand-père dans leur enfance : lui regardait des films pornographiques avec sa tata, dit-il, et est devenu à l’âge adulte adepte de pratiques échangistes et BDSM semble-t-il assez violentes tandis que son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi a été élevé dans une famille ouvrière de Strasbourg où régnaient également selon ses dires violences en tous genres et abus sexuels, sa tata Rollande exerçant comme prostituée. Evidemment lui aussi fasciné par la pornographie, ce prétendu « écrivain en ligne et à l’oeil depuis 2001″ est connu sur la toile, outre comme mythomane, harceleur et calomniateur, pour avoir traduit de l’anglais le journal d’une adepte américaine de pratiques BDSM et se plaît à mettre lui-même en scène dans des romans pornographiques de ses victimes de cyberharcèlements, moi en particulier. Mais c’est bien moi qui l’y ai obligée, vous dit-on, puisqu’il le dit… Même sa soeur le décrit comme mythomane… Tout comme Sophie Masala, Pascal Edouard Cyprien Luraghi, Jean-Marc Donnadieu et tous leurs complices harceleurs ne cessent de mentir et d’inventer n’importe quoi… et comme par hasard, eux aussi en veulent beaucoup à l’argent de leurs victimes…

Leur personnalité commune est celle du pervers narcissique.

C’est celle de tous les harceleurs.

Et ces gens-là tuent lorsqu’ils se sentent démasqués.

L’acharnement haineux dont a été victime Maryline Planche est d’ailleurs exactement le même que celui dont a été victime Patricia Bouchon le 14 février 2011. Les assassins de cette dernière, à savoir Pascal Edouard Cyprien Luraghi et ses complices cybercriminels, qui manifestement craignaient qu’elle ne les dénonce ou les fasse poursuivre pour toutes leurs exactions à mon encontre, comprenant notamment des piratages informatiques et tentatives d’escroquerie au jugement, ont continué à exprimer publiquement tous ensemble leur haine viscérale à son égard en multipliant jeux de mots et plaisanteries sordides à propos de toutes les violences qu’ils lui avaient fait subir quasiment tous les jours durant trois bonnes semaines après les faits.

Non, Sophie Masala n’a pas reconnu sa mère en Maryline Planche, elle ne lui reproche pas la même fausseté, elle présente tout simplement le syndrome du pervers narcissique qui projette systématiquement sur sa victime ses propres défauts et fautes : c’est de sa fausseté personnelle qu’il s’agit… après que Maryline Planche l’ait bien démasquée…

Cette dernière était certes au courant du vol de tickets restaurants, mais ce n’est pas le plus grave : elle reprochait aussi à Sophie Masala d’être une fouteuse de merde, d’être malsaine, de se mêler de la vie privée de ses collègues de travail bien au-delà de ce qui est admissible, un comportement franchement anormal et inquiétant, pas sympathique du tout.

Tous mes harceleurs ont eu eux aussi ce travers, et jamais de manière gratuite : tous avaient un plan… tout comme Sophie Masala devait en avoir un…

C’est donc elle qui est fausse, et personne d’autre.

Probablement était-elle à la recherche de moyens de pression sur ses collègues, car elle devait viser la caisse comme elle l’avait déjà fait ailleurs…

Maryline Planche a une attitude maternelle avec ses collègues de travail, elle est bienveillante, ce qui en fait pour tous les pervers narcissiques une personne forcément très stupide et naïve qu’ils pensent pouvoir manipuler très facilement. De plus, elle est handicapée, entend mal et ne voit pas grand-chose. Pour Sophie Masala, c’est l’aubaine, elle est persuadée qu’avec elle elle parviendra à ses fins sans aucune difficulté. D’où son immense déconvenue quand elle s’est rendu compte de sa bévue, la proie a priori si facile n’en étant pas une. Elle dit s’être sentie rejetée. C’est le début de la haine et de toutes les inventions calomnieuses à l’encontre de celle qu’en réalité elle n’a pas bernée.

A la décharge de l’accusée : encore une fois, je ne suis pas d’accord avec tout ce qui se dit à son procès, il n’appartenait pas à son mari de compenser ou de rattraper tous les défauts ou manquements de son enfance et de son éducation, ni de juger si oui ou non des soins psychiatriques étaient nécessaires et susceptibles de prévenir ou d’empêcher de survenir ce qui s’est produit, ce n’est pas de son ressort, il a lui-même ses faiblesses et se trouve manifestement de tout temps dépassé par la situation; en revanche, c’était bien le rôle des premiers magistrats auxquels elle a été confrontée, à Montpellier. Or, ceux-ci l’ont condamnée sans même se soucier de la manière dont elle allait rembourser ses dettes et elle n’a rien trouvé de mieux que de se prostituer… Toutes les femmes qui ont participé ou participent toujours aux harcèlements dont j’étais ou suis toujours victime présentaient et présentent toujours cette même plaie béante : elles ont couché, se sont prostituées… et ne supportent absolument pas celles qui peuvent s’en dispenser… Ces magistrats inconséquents ont fait de Sophie Masala la bombe qui explose chez sa collègue Maryline Planche le 12 mai 2016. Au moins aussi choquant dans cette affaire : sa victime lors de cette première grosse alerte restée sans réponse appropriée n’est autre que la faculté de médecine de Montpellier, dont ni le doyen ni aucun des autres pontes ne s’est jamais inquiété de rien…

La Cour de Cassation vient tout juste de confirmer la condamnation du psychiatre en charge du schizophrène qui avait tué un étudiant à Grenoble après s’être échappé de l’hôpital psychiatrique le 12 novembre 2008 (voir ci-dessous).

Il était temps que la responsabilité de ces « médecins » si particuliers soit reconnue.

Il reste encore à responsabiliser leurs collègues magistrats.

 

 

https://actu.fr/faits-divers/demembreuse-toulouse-sophie-masala-une-femme-fragile-bascule-dans-lhorreur_28802113.html

« Démembreuse » de Toulouse : Sophie Masala, une femme fragile qui bascule dans l’horreur

 

La première journée du procès a été consacrée à l’étude de la personnalité de l’accusée, aînée d’une fratrie de 7 enfants, qui a grandi au sein d’un famille ouvrière.

 

Publié le 21 Oct 19 à 21:13
Le procès de la
Le tribunal de Toulouse, le 21 octobre 2019. (©AFP/ERIC CABANIS)

 

Jugée aux assises pour avoir tué, puis démembré sa collègue de travail à Toulouse en 2016, Sophie Masala a été décrite lundi 21 octobre 2019 par les experts comme une femme minée par les traumatismes durant l’enfance et dépourvue de limites.

Cette mère de famille de 55 ans est accusée de s’être introduite en mai 2016 dans l’appartement de Maryline Planche, 52 ans, de lui avoir fracassé le crâne à coups de bouteille.

Elle a ensuite coupé le corps en morceaux et les a jetés dans le Canal du Midi qui traverse Toulouse, sauf la tête qu’elle a enterrée dans un jardin public proche de son propre appartement, « car elle méritait une sépulture », dira-t-elle pendant l’instruction.

Lundi, la première journée du procès a été consacrée à l’étude de la personnalité de l’accusée, aînée d’une fratrie de 7 enfants, qui a grandi au sein d’un famille ouvrière à Valenciennes, dans le nord de la France.

Enfant, Sophie Masala est abusée par son grand-père, son père se suicide alors qu’elle a 10 ans, elle voit les amants de sa mère défiler dans l’appartement, doit s’occuper de ses six frères et sœurs et grandit dans un climat de violence conjugale. Elle est élevée dans la culture du mensonge.

De l’examen de personnalité, il ressort que Mme Masala dépense au point de s’endetter, escroque, aime les jeux d’argent. Condamnée pour détournement de fonds aux dépens de l’université de Montpellier, elle exerce la prostitution pendant plusieurs mois pour payer les dettes accumulées. Et son mari la soutient.

Lire aussi : « Démembreuse du canal » : Sophie Masala jugée pour avoir tué sa collègue de travail

« Conflit avec l’image maternelle »

Après avoir obtenu des diplômes sur le tard, elle intègre le bureau toulousain de l’Agefiph, organisme spécialisé dans l’insertion des handicapés, fin 2015, et entre rapidement en conflit avec Maryline Planche, décrite comme un employée-modèle.

Mme Masala a souffert pendant son enfance d’un manque d’affection de la part de sa mère, très absorbée par sa double vie.

Vêtue d’un tailleur noir, cheveux roux mi-longs, souvent tête baissée, Sophie Masala s’exprime peu. Elle se contente de répondre à certaines questions du président de la cour d’assises.

Vidéo. Le procès de la démembreuse du Canal du Midi débute ce lundi à Toulouse :

Pour l’experte-psychiatre, elle est « marquée par la pendaison de son père et les mauvaises relations avec sa maman ».

« Un désaccord sur l’archivage des documents, sur la position dans la structure, sur la discrétion sur sa vie privée, il y a toujours des jalousies dans un contexte professionnel, comment on en passe à cette haine si forte ? », interroge le président de la cour d’assises, David Senat.

« Elle trace des parallèles entre Maryline et sa propre mère (…) », selon l’experte.

On n’a pas d’élément pour dire qu’elle a un trouble psychique, on repère des éléments traumatiques majeurs dans l’enfance, un conflit avec l’image maternelle importante, donc une personnalité aux bases fragiles, elle n’a pas de limites. Elle présente un défaut de contrôle pulsionnel.

Lire aussi : Accusée d’avoir tué sa collègue, la « démembreuse du canal » jugée aux assises

« Fragilité psychique »

« Maryline, c’est une image d’autorité maternelle, tout l’énerve chez Maryline, souligne la psychiatre, elle ne la supporte pas comme elle ne supporte pas sa mère, car il y a des conflits qu’elle n’a pas réglés. Elle reproche à Maryline ce qu’elle reprochait à sa mère: une fausse image, une image falsifiée aux yeux des autres ».

L’expert-psychologue abonde. « Voir à 10 ans son père pendu, un suicide liée à l’inconduite de la mère, ça laisse des traces », met-il en avant. Il décrit pour sa part « une fragilité psychique », « une personnalité obsessionnelle » et relève « une absence de troubles mentaux ».

« On arrive petit à petit à l’idée fixe, à l’immense colère (…) l’image de la mère qu’on veut détruire », sentence Me Georges Catala, avocat de la famille de la victime.

Maryline Planche, célibataire sans enfants, était décrite à l’Agefiph comme consciencieuse, discrète, appréciée par sa hiérarchie, à l’attitude maternelle avec les autres employés.

« Elle reconnait les faits, mais pas l’intention d’homicide, elle est dans la culpabilité », plaide Me Pierre Dunac, avocat de Mme Masala, qui veut convaincre les jurés que le meurtre n’a pas été prémédité et mettre sa cliente à l’abri de la réclusion criminelle à perpétuité.

Si elle a pu découper le corps et le disperser aux quatre coins de Toulouse, c’est qu’elle a mis en oeuvre « des mécanismes de déni » de ce qu’elle était en train de faire, selon le psychologue.

Le verdict est attendu pour vendredi.

Lire aussi : Retour sur les lieux du crime pour la « démembreuse du canal du Midi »

Source : © 2019 AFP

 

https://www.lefigaro.fr/actualite-france/etudiant-tue-par-un-schizophrene-a-grenoble-le-pourvoi-du-psychiatre-rejete-20191022

Étudiant tué par un schizophrène à Grenoble: le pourvoi du psychiatre rejeté

 

La Cour de cassation a confirmé mardi la condamnation du médecin en charge de ce patient dangereux, qui avait tué en 2008 un jeune homme après s’être échappé de son hôpital psychiatrique.

Publié hier à 19:51, mis à jour il y a 5 heures
L’hôpital de Saint-Egrève, d’où s’est échappé Jean-Pierre Guillaud.
L’hôpital de Saint-Egrève, d’où s’est échappé Jean-Pierre Guillaud. PHILIPPE MERLE/AFP

 

Le 12 novembre 2008, Jean-Pierre Guillaud, un patient schizophrène, s’échappait sans difficulté du centre hospitalier de Saint-Égrève (Isère), dans lequel il était enfermé. Après avoir gagné en bus le centre de Grenoble, à une dizaine de kilomètres, il avait acheté un couteau et poignardé le premier venu: Luc Meunier, un étudiant de 26 ans. Dans cette affaire, le psychiatre Lekhraj Gujadhur a été condamné en 2016 à dix-huit mois de prison avec sursis pour homicide involontaire. Jamais un praticien hospitalier n’avait jusqu’ici été condamné pour homicide involontaire par la justice.

Dans cette affaire, le médecin, aujourd’hui âgé de 73 ans, a fait appel. Mais les juges grenoblois ont confirmé en 2018 qu’il ne s’était pas assez préoccupé du suivi de son patient, auteur de multiples agressions par le passé et souffrant d’une «psychose délirante chronique». Considérant qu’il n’y avait pas de lien de causalité entre la faute retenue et le décès du jeune étudiant, le praticien avait formé un pourvoi en cassation. Celui-ci a été rejeté mardi par les juges de la chambre criminelle, peut-on lire sur cette décision, consultée par Le Figaro.

On pose ici les bases de la responsabilité pénale d’un médecin psychiatre. Ceux-ci doivent prendre en considération la dangerosité des patients et la sécurité du public

Hervé Gerbi, avocat de la famille meunier

Dans son arrêt, la Cour de cassation confirme la décision de la cour d’appel grenobloise. Cette dernière avait conclu en mai 2018 que Lekhraj Gujadhur n’avait «pas accompli les diligences normales compte tenu de la nature de ses missions ou de ses fonctions, ses compétences ainsi que du pouvoir et des moyens dont il disposait». Une faute «caractérisée», avaient estimé les juges, pointant du doigt la mise en place d’une autorisation de sortie «sans surveillance» pour un patient considéré comme dangereux.

«Un vrai poids qui tombe»

Cet arrêt signe la fin d’un marathon judiciaire de onze ans. «La famille Meunier était en pleurs quand je leur ai annoncé la nouvelle. C’est un vrai poids qui tombe pour eux. Ils vont pouvoir faire totalement leur deuil», salue leur avocat, Hervé Gerbi, joint par téléphone. Pour le conseil de la famille, cette décision va «incontestablement» faire jurisprudence. «On pose ici les bases de la responsabilité pénale d’un médecin psychiatre. Ceux-ci doivent prendre en considération la dangerosité des patients et la sécurité du public, y compris en différant parfois des autorisations de sortie et en maintenant des personnes en hospitalisation plus longtemps lorsque cela est nécessaire», indique-t-il.

Le meurtre de Luc Meunier avait provoqué en 2008 une véritable onde de choc politique. Nicolas Sarkozy, alors président de la République, avait réclamé une réforme de la psychiatrie comportant des dispositions sur les malades dangereux, s’attirant une bronca des praticiens. L’hôpital de Saint-Égrève, relaxé en première instance, avait par la suite bénéficié de crédits pour clôturer tous ses pavillons.

 



Toulouse : la meurtrière nourrissait une « obsession haineuse » pour sa victime

C’est exactement la même que celle dont mes proches et moi-même sommes tous victimes de la part de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et de tous ses complices, dont les nuls en tout ultra CORROMPUS du TGI de Brest : ils ne supportent ni nos compétences professionnelles d’ingénieurs, qualifiées d »excellentes », ni notre intégrité sans faille.

De manière plus générale, les profils respectifs de ces deux femmes sont typiques de la harceleuse ou du harceleur et de sa victime.

Le premier ayant toujours beaucoup de choses à se reprocher ne supporte pas que l’autre apparaisse parfaite ou irréprochable.

 

https://actu17.fr/toulouse-une-femme-jugee-pour-avoir-tue-et-decoupe-sa-collegue-en-morceaux/

Toulouse : Une femme jugée pour avoir tué et découpé sa collègue en morceaux

 

Y.C.

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21 octobre 2019, 18h41 │ MAJ : 21 octobre 2019, 22h24

Toulouse : la meurtrière nourrissait une
Sophie Masala (à gauche) est accusée d’avoir tuée Maryline Planche (à droite), avant de découper son cadavre. (DR)

 

Sophie Masala, 55 ans, est jugée depuis ce lundi par la Cour d’assises de la Haute-Garonne. Elle est accusée d’avoir tuée sa collègue, Maryline Planche, en mai 2016 à Toulouse, avant de découper son corps et d’en répandre les morceaux le long du canal du Midi.

Elle a été surnommée « la démembreuse du canal du Midi ». Son procès a débuté ce lundi devant les assises de Haute-Garonne. A la fin de l’année 2015, l’accusée, Sophe Masala, a décroché un CDI au sein de la branche toulousaine de l’Association de gestion du fonds pour l’insertion des personnes handicapées (Agefiph). Elle s’est installée dans un studio à Toulouse, tandis que son mari et ses deux enfants sont restés à Montpellier.

Durant plusieurs semaines, ses relations avec l’une de ses collègues qu’elle connaissait seulement depuis quelques mois, Maryline Planche, se sont dégradées selon elle, pour des raisons floues.

Cette dernière était conseillère et responsable de la logistique de la structure, décrite comme une « excellente professionnelle, calme et discrète », par ses collègues. A l’inverse, Sophie Masala est décrite comme « bavarde, impulsive et désordonnée » relate Le Parisien. Deux personnalités opposées. Mme Masala nourrissait une « obsession haineuse » à l’égard de sa collègue selon l’accusation.

Elle avait pénétré chez sa victime et l’attendait

Le jour où elle a été tuée, le 12 mai 2016, Maryline Planche qui était mal voyante, venait d’être opérée des yeux et sortait d’un rendez-vous chez l’ophtalmologue. Elle était en arrêt maladie. L’accusée s’est introduite dans son appartement du quartier Saint-Georges à Toulouse, sans que l’on sache à ce stade comment elle s’est procurée les clefs.

Sophie Masala a donné plusieurs versions des faits aux enquêteurs mais a fini par expliquer que la victime était rentrée chez elle et qu’une dispute avait éclaté entre elles. A l’origine du différend, des reproches au sujet de dossiers que Maryline Planche ramenait chez elle pour travailler, selon Mme Masala.

L’accusée a ensuite raconté aux enquêteurs que pour se défendre, elle avait saisi une bouteille de vin pleine et avait frappé la victime avec, au visage et à la tête.

Un voisin a toutefois raconté aux policiers qu’il avait aperçu les deux femmes sur le palier ce jour-là, alors que Maryline Planche était en culotte et en t-shirt. Cette dernière avait été tirée par les cheveux par Sophie Masala qui l’avait ramenée jusque dans l’appartement.

Après le meurtre, elle a passé un week-end en famille

Sophie Masala a découpé le corps de sa victime cinq jours après sa mort. Durant ce laps de temps, elle a passé un week-end en famille à Montpellier (Hérault) et s’est appropriée la carte bancaire et le téléphone de la défunte. L’accusée était à ce moment là, allée jusqu’à raconter que Maryline Planche, qu’elle savait morte, la harcelait sexuellement.

Le corps de la victime qui avait 53 ans, a été découpé à la scie à métaux. Sophie Masala a transporté les morceaux du cadavre à l’aide d’un chariot de supermarché, 500 mètres plus loin, jusqu’au canal du Midi. La tête avait été placée dans un sac à dos. Quelques jours plus tard, l’accusée a été interpellée et a reconnu les faits.

Les restes du corps disséminés le long des rives du Canal du Midi

Les morceaux du corps avaient été disséminés le long des rives du Canal du Midi. Sophie Masala a révélé avoir enterré la tête de la victime dans un jardinet près de son balcon, au cours de sa première audition devant le juge.

Sophie Masala avait été condamnée en 2011 pour détournement de fonds à l’université de Montpellier, où elle travaillait. Elle risque cette fois la réclusion criminelle à perpétuité. Le verdict est attendu ce vendredi.

 



Jacques Chirac et son « appétit » pour la gent féminine

Il n’est franchement pas trop tôt pour en parler !

Ce type présentait là une vraie pathologie ayant fait au moins une victime connue du public en la personne d’une secrétaire du RPR s’étant toujours refusée à lui et qui en fut gravement harcelée.

Comment peut-on gouverner ou diriger tout un pays honnêtement dans ces conditions ?

Celui qui trompe sa femme, ou toutes ses femmes, et s’en moque éperdument, trompe aussi son peuple et s’en « moque » tout autant, harcèlements et autres violences y compris.

Sans compter que les grands malades de ce genre-là se font toujours acheter par le cul.

Quid des aventures « exotiques » du Chi ?

 

https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/jacques-chirac-avait-un-appetit-tous-azimuts-avec-les-femmes-cette-petite-phrase-coquine_436271

Jacques Chirac avait un “appétit tous azimuts”… avec les femmes ! Cette petite phrase coquine

 

« Un vorace doté d’un faim pathologique »

Clara Carlesimo | vendredi 11 octobre 2019 à 19h20

 

Jacques Chirac avait un “appétit tous azimuts”… avec les femmes ! Cette petite phrase coquine

 

Dans une interview accordée au magazine ELLE, Catherine Ney raconte le rapport presque obsessionnel que Jacques Chirac entretenait avec les femmes. La journaliste, auteure de plusieurs livres sur l’ancien président de la République, file la métaphore de la nourriture pour expliquer son penchant coureur de jupons qui enchaîné les conquêtes.

 

Avec la nourriture, comme avec les femmes, Jacques Chirac avait beaucoup de mal à être rassasié. Pourtant marié à Bernadette Chodron de Courcel depuis le 16 mars 1956, l’ancien président n’a jamais perdu son goût pour la gent féminine. Durant sa vie, il a enchaîné les conquêtes fugaces comme les relations extraconjugales. Les femmes ? « Ça n’est un secret pour personne qu’il en avait le goût », plaisante la journaliste Catherine Ney, qui a écrit plusieurs livres à son sujet, dans les colonnes du magazine ELLE. Amoureux des femmes, Jacques Chirac ne s’en cachait pas vraiment. L’auteure du Dauphin et le Régent se souvient notamment d’une phrase coquine qu’il prononçait.

« Il aimait en parler, et souvent de manière un peu leste et militaire, comme lorsqu’il disait : ‘Elle a un frelon dans la culotte !’ », raconte Catherine Ney avant de rappeler que Jacques Chirac n’aimait pas les femmes que pour son plaisir personnel : « Mais il aimait s’entourer de femmes, y compris dans le travail – ce qui est plus rare -, il leur faisait confiance ». Grand séducteur, l’ancien président de la République était « un vorace doté d’une faim pathologique », explique-t-elle. A tel point qu’il a longtemps été surnommé « 10 minutes douche comprise… » Quelle que soit l’heure, il avait toujours quelque chose dans l’estomac. « Le matin, il prenait un gros petit-déjeuner, puis un casse-croûte à 11 heures, puis un gros déjeuner, un en-cas vers 17 heures, enfin un dîner arrosé de cinq ou six bières… Il avait un appétit pantagruélique qui allait de pair avec le reste, un appétit tous azimuts« , se souvient Catherine Ney dans ELLE.

« Il ne pouvait pas se passer d’elle »

Malgré ses nombreuses histoires – plus ou moins sérieuses – Jacques Chirac est resté fidèle à Bernadette jusqu’à son dernier souffle. « Il avait beaucoup d’histoires, certaines ont compté plus que d’autres, on le sait désormais. Mais Bernadette était son point fixe, décrit Catherine Ney. C’était un couple à l’ancienne. Ils s’exaspéraient mutuellement mais formaient une alliance. » Puis, comme le répétait la mère de Jacques : « Chez les Chirac, on ne divorce pas ». Un slogan que l’ex-chef d’Etat a respecté à la lettre. Pourtant, lui et son épouse avaient des quotidiens totalement différents : « Elle sortait seule le soir et se couchait tard, lui se levait tôt, détestait les dîners en ville, ils vivaient à rythmes contrariés, mais il ne pouvait se passer d’elle et l’appelait tout le temps ».

Et si l’appétit féminin de Jacques Chirac fait sourire et passionne, la journaliste tient tout de même à rappeler qu’il a aussi beaucoup compté pour la représentation de la gent féminine en politique et a permis une avancée considérable pour les droits des femmes. « C’est lui qui a nommé Michèle Alliot-Marie à la Défense, Michèle Barzach à la Santé. Marie-France Garaud a longtemps été son mentor. Il a aussi fait nommer Simone Veil. C’était au moment des débats sur l’IVG, se souvient celle qui l’a suivi pendant des années. Il s’en est fallu de peu pour que le groupe UDR ne vote pas la loi. La mesure heurtait. » A l’époque, Jacques Chirac a « accouru dans la nuit pour houspiller tout le monde (…) Sans Chirac, la loi sur l’avortement ne serait sûrement pas passée ».

 

https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/il-est-fou-quand-jacques-chirac-embrassait-a-pleine-bouche-une-jeune-journaliste-a-lelysee_436277

“Il est fou” : quand Jacques Chirac embrassait “à pleine bouche” une jeune journaliste à l’Elysée

 

Une scène inattendue

Johanna Amselem | vendredi 11 octobre 2019 à 20h20

 

Dans un livre, sorti en mars 2016, César Armand et Romain Bongibault racontent un échange totalement inédit entre l’ancien président de la République, Jacques Chirac, et une journaliste présente.

 

Jacques Chirac est décédé jeudi 26 septembre 2019 à l’âge de 86 ans. Si l’ancien président de la République a laissé sa marque sur la politique française, il n’a jamais caché son côté séducteur. La photographe Bettina Rheims, qui a réalisé son portrait officiel en 1995, disait d’ailleurs de lui qu’il « aurait séduit une chèvre ». Mariée avec Bernadette Chirac depuis 1956, l’ancien locataire de l’Elysée a fréquenté d’autres femmes au cours de sa vie. A l’image de sa romance avec la journaliste Jacqueline Chabridon dont il était follement épris

Plusieurs livres sont revenus sur les romances de l’ancien président de la République et ses nombreuses aventures. Dans le livre Dans l’ombre des Présidents: Au coeur du pouvoir : les secrétaires généraux … (paru le 9 mars 2016 aux éditions Fayard), César Armand, Romain Bongibault reviennent sur le pouvoir présidentiel au quotidien. Ils livrent des scènes inédites pour le grand public. Dans cet ouvrage, les auteurs reviennent par exemple sur un événement survenu lors du mandat de Jacques Chirac. Une scène étonnante qui s’est déroulée lors de la présentation des voeux à la presse française.

« Sous ses airs de faux pudique, Jacques Chirac affiche parfois son bonheur avec plaisir. Un matin de présentation des voeux de bonne année à la presse française sous les dorures de la Salle des fêtes, il embrasse, à pleine bouche et devant tous les reporters présents, une jeune journaliste débutante. L’éditorialiste Philippe Alexandre, témoin de la scène rapporte le fou rire de l’intéressée, pas gênée du tout : ‘il est vraiment fou’« , racontent les auteurs.

 

https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/jacques-chirac-seducteur-ce-surnom-peu-aimable-donne-a-ses-conquetes_435738

Jacques Chirac séducteur : ce surnom peu aimable donné à ses conquêtes

 

Un homme à femmes

Lea Cardinal | jeudi 3 octobre 2019 à 09h33

 

 

S’il est resté marié avec Bernadette pendant plus de soixante ans, Jacques Chirac a eu plusieurs conquêtes au cours de sa vie. Il leur donnait d’ailleurs un surnom peu flatteur, comme le relate Arnaud Ardoin dans son livre « Président, la nuit vient de tomber » paru en 2017.

 

Jacques Chirac était un séducteur invétéré. L’ancien président de la République, mort le 26 septembre dernier à l’âge de 86 ans, a eu de nombreuses conquêtes tout au long de sa vie… et de son mariage avec Bernadette. Dans le livre Président, la nuit vient de tomber, paru aux éditions du Cherche-Midi en 2017, le journaliste Arnaud Ardoin revient sur plusieurs anecdotes racontées par des proches ou par le personnel de Jacques Chirac.

Parmi celles que l’homme politique compte parmi ses maîtresses, « il y a les régulières, les coups de cœur, les amuse-bouches qui réussissent à franchir les cordons de sécurité pour approcher le président, d’autres qui partagent le même avion que lui et qui attendent, nues dans son espace privé, brûlantes de désir », écrit le journaliste dans l’ouvrage cité. « Amuse-bouche », un surnom peu flatteur pour évoquer les conquêtes de celui qui fut également maire de Paris.

Pour passer du temps avec ses maîtresses, Jacques Chirac pensait à tout

Si les femmes désireuses de se rapprocher de Jacques Chirac se bousculaient au portillon, ce dernier tenait à être discret. Et pour cause, il était déjà marié à une femme, Bernadette, qui a d’ailleurs longtemps supporté ses frasques sans rien dire. Cela était notamment dû à son éducation stricte et traditionaliste, comme elle l’expliquera plus tard. Pour rejoindre ses maîtresses en douce, l’ancien président de la République usait d’un stratagème bien huilé: « Il utilise régulièrement une garçonnière dans l’immeuble du 241, boulevard Saint-Germain pour satisfaire ses plaisirs avec une collaboratrice du RPR ou une jeune ambitieuse qui cherche la chaleur fugace du pouvoir », peut-on lire dans le livre Président, la nuit vient de tomber.

Face aux infidélités de son mari, Bernadette Chirac a toujours tenté de faire bonne figure. Mais elle n’était pas dupe. Loin de là. Dans un documentaire qui consacré à l’ex Première dame et diffusé sur France 2 en 2016, elle se confiait au sujet de cet époux volage : «  Les papillons tournaient autour de la lampe. Et j’en ai eu des inquiétudes et du chagrin même… Tous les hommes qui ont du pouvoir ou une très grosse fortune attirent les femmes. Au début, ça a été dur, j’ai eu beaucoup de chagrin. Puis après, je m’y suis faite. Je me suis dit que c’était la règle et qu’il fallait la subir avec autant de dignité que possible. » Pour son homme, « Bernie » semblait prête à toutes les concessions.

 

https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/jacques-chirac-navait-pas-une-mais-au-moins-trois-garconnieres_436331

Jacques Chirac n’avait pas une mais au moins trois garçonnières

 

Un stratagème bien huilé

Clara Carlesimo | dimanche 13 octobre 2019 à 09h51

Jacques Chirac n’avait pas une mais au moins trois garçonnières

 

Séducteur invétéré, Jacques Chirac a parfois dû user de stratagèmes ingénieux pour retrouver ses maîtresses. Dans son livre Chirac, le président aux 5 visages, Xavier Panon raconte les rendez-vous secrets de l’ancien président de la République, qui n’avait pas qu’une seule garçonnière…

 

Un homme à femmes bien préparé. On le sait, Jacques Chirac a vécu plusieurs existences amoureuses. Son mariage avec Bernadette, durant l’année 1956, n’a pas entamé son appétit « tous azimuts » pour la gent féminine. Et pour rejoindre ses maîtresses – qu’il a compté en nombre – l’ancien président de la République, décédé jeudi 26 septembre, devait user d’un stratagème ingénieux et surtout, bien huilé. Pour organiser ses 5 à 7 comme il le souhait, Jacques Chirac possédait une garçonnière à un endroit plus que stratégique : dans un immeuble du boulevard Saint-Germain, qui abritait le siège départemental du RPR. Préparé à toute éventualité, l’ex-chef d’Etat ne s’est pas cantonné à cet appartement du Ve arrondissement parisien.

En réalité, Jacques Chirac n’avait pas qu’une garçonnière… mais bien trois, comme l’explique Xavier Panon dans son livre Chirac, le président aux 5 visages. Celle du siège de son parti donc, mais aussi un appartement loué exprès dans Paris, rue Marignan, pour rejoindre Jacqueline Chabridon. Et pour retrouver ses conquêtes dans un troisième lieu, il a même été aidé par des tiers. « A côté de ses grandes et belles histoires d’amour, ou de ses passades, Chirac a goûté à d’autres charmes plus exotiques, ici ou là, parfois dans un appartement de Neuilly, prêté par un ami de Roland Dumas », lit-on dans l’ouvrage. Pour se déplacer rejoindre l’une de ses amantes à l’époque, là aussi Jacques Chirac devait faire travailler ses méninges. Pas question pour lui de se mouvoir à la vue et au su de tous. Comme l’écrivait Renaud Revel, l’ex-président « se faisait toujours accompagner d’un minibus aux vitres teintées qui lui permettait d’abriter ses amours à la hussarde ».

Bernadette Chirac encaissait sans sourciller

Dans ces lieux secrets, connu d’une petite poignet de personne, Jacques Chirac ne s’est jamais attardé. Avec lui, que l’on surnommait « 10 minutes douche comprise », il fallait que ça aille vite, pas question que ses conquêtes traînent. « Lorsqu’il avait rendez-vous avec une femme, c’était à la minute près. Nous le déposions, et il nous donnait un horaire exact, il ne fallait surtout pas être en retard », racontait son chauffeur de l’époque dans Une histoire érotique de l’Élysée. Des rendez-vous galants de son époux, Bernadette Chirac n’a jamais été dupe. « Pendant plus de cinquante ans de frasques chiraquiennes, Bernadette a vécu sous la menace, informées des vies parallèles, sans suivre les frivolités passagères, mais veillant à limiter la casse », écrit Xavier Panon. Pendant son mariage, la mère de Claude Chirac a longtemps essayé d’éloigner les maîtresses de son mari. En vain.

Alors elle s’y est petit à petit habituée, résignée. « Cocue magnifique, à l’ancienne, elle supporte, de mauvais gré, le tempérament de son époux volage : mais elle le fait avec les respect des convenances sociales », lit-on dans Chirac, le président aux 5 visages. De toute façon, Bernadette Chirac n’avait pas le choix. Dans son esprit, la devise de sa famille se répétait sans cesse : « Chez les Chirac, on ne divorce pas ». Alors elle a encaissé sans rien dire pendant des années. « Je me suis dit que c’était la règle et qu’il fallait la subir avec autant de dignité que possible », expliquait-elle dans C à vous en 2016. Sans sourciller face au tableau de chasse de Jacques Chirac, Bernadette a toujours préféré la carte de l’humour comme lorsqu’elle s’amusait à les comparer : « Je ne connais pas toutes les maîtresses de mon mari. Mais ce qui me fait plaisir, c’est qu’elles sont devenues aussi laides que moi aujourd’hui ».

 



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