Suicide d’Evaëlle à 11 ans : elle était meilleure que sa prof de français

Je me permets de l’affirmer car je n’ai pas le moindre doute à ce sujet.

Le harcèlement et ses ressorts, je connais ça par coeur depuis ma plus tendre enfance.

Dès la maternelle, je suis victime des brimades aussi injustifiées qu’éhontées d’une institutrice jalouse de la petite gamine que je suis alors, j’ai tout juste 5 ans. Je l’analyse sans aucune difficulté et prends sur moi.

Cela va toujours continuer plus ou moins selon les époques et circonstances, les âges et personnalités des différents jaloux et jalouses auxquels je suis confrontée : école primaire, collège, lycée, enseignement supérieur, boulot, internet, etc…

Le collège est une période assez dure. Les notes font leur apparition en classe de 6ème, plus personne ne peut ignorer que mes facultés intellectuelles sont bien au-dessus de la moyenne, vu que j’ai toujours les meilleures notes à peu près partout et obtiens des résultats de l’ordre du jamais vu.

Plusieurs de mes professeurs participent aux harcèlements auxquels je suis toujours plus ou moins en butte durant ces quatre années de collège. Ceux-là ont tous pour point commun d’être gauchistes. Même chose au lycée pour les professeurs avec lesquels j’ai encore quelques problèmes durant ces trois nouvelles années de scolarité.

Je parie que la prof de français à l’origine de la succession d’évènements ayant conduit Evaëlle jusqu’au suicide l’est aussi.

« Pourquoi Evaëlle se sent-elle harcelée ? »

Mais parce qu’elle est paranoïaque, pardi. C’est une psychotique en pleine décompensation délirante, un « cas lourd psychiatrique » comme dirait celui qui se vante de n’avoir jamais ouvert un bouquin de maths de toute sa vie, le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, un pervers narcissique ayant définitivement quitté l’école à 14 ans en situation d’échec scolaire et qui depuis l’année 2008 au moins s’emploie quasi exclusivement à harceler à mort diverses personnes, notamment mes proches et moi-même.

La jalousie est son ressort essentiel.

Elle l’est aussi pour sa complice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, professeur de l’Education nationale aujourd’hui à la retraite qui en 2013, avec ses complices magistrats ultra CORROMPUS et tout aussi JALOUX du Tribunal de Grande Instance de Brest, avait organisé mon procès sur la base de toutes ses inventions calomnieuses et parfaitement délirantes mais si typiquement extrême-gauchistes à l’égard des matheux, des ingénieurs ou des surdoués, dont je suis, en vue d’édifier tous les élèves de 4ème qu’elle avait fait venir avec un de leurs professeurs, une de ses copines extrême-gauchistes aussi haineuse qu’elle à l’égard des bons voire des excellents élèves : voilà donc ce qu’il leur en coûterait s’ils travaillaient trop bien… toute une vie de malheurs, de déboires en tous genres consécutifs aux complots et agressions graves organisés par la dame et ses amis et pour finir, le procès public où son avocat explique à la barre qu’il faut absolument prononcer la condamnation la plus lourde possible… pour mettre fin aux nuisances de la paranoïaque qui serait tout à fait capable d’agresser n’importe qui dans la rue comme elle s’en serait prise à elle – j’avais seulement publié quelques droits de réponse pour rétablir quelques vérités sur ma propre biographie à la suite de ses monstrueuses campagnes de calomnies publiques à mon encontre…

Evidemment que pour les harceleurs, le harcèlement n’existe pas…

 

https://www.lavoixdunord.fr/681834/article/2019-12-17/harcelement-scolaire-evaelle-s-est-suicidee-11-ans-ils-cherchent-comprendre

Harcèlement scolaire: Evaëlle s’est suicidée à 11 ans, ils cherchent à comprendre

 

Six mois après le suicide d’Evaëlle, harcelée au collège, ses parents et la justice cherchent à comprendre ce qui a poussé cette fillette de 11 ans à se pendre à son lit.

La Voix du Nord | 17/12/2019

Six mois après le suicide d’Evaëlle, harcelée au collège, ses parents et la justice cherchent à comprendre ce qui a poussé cette fillette de 11 ans à se pendre à son lit. PHOTO ILLUSTRATION PIXABAY

Six mois après le suicide d’Evaëlle, harcelée au collège, ses parents et la justice cherchent à comprendre ce qui a poussé cette fillette de 11 ans à se pendre à son lit. PHOTO ILLUSTRATION PIXABAY

Début novembre, sa professeure de français a été placée en garde à vue. Le lendemain, le parquet de Pontoise ouvrait une information judiciaire pour des faits de harcèlement, visant l’enseignante et cinq élèves de sixième d’un collège d’Herblay dans le Val-d’Oise. L’enquête a aussi été ouverte contre X pour homicide involontaire.

Dans le pavillon des parents d’Evaëlle, Marie et Sébastien D., le temps semble s’être figé le 25 juin. Dans sa chambre, son cartable est resté ouvert au pied du bureau.

Aucun des deux n’a réussi à reprendre le travail. Seul leur fils a eu «  le courage » de retourner au collège dont ils avaient retiré Evaëlle en février au terme de cinq mois d’enfer.

Pour Evaëlle, décrite par ses parents comme «  précoce et extravertie », tout a commencé à la rentrée 2018 avec une histoire de cartable trop lourd, source de conflit avec l’une de ses enseignantes qui fait d’elle sa «  tête de turc ». Après des rendez-vous avec la direction de l’établissement, puis la professeure, les choses semblent se calmer.

Fin novembre 2018, Evaëlle tente pourtant de mettre le feu à la maison. «  On lui a dit qu’elle aurait pu tuer son frère. Elle a répondu en pleurant qu’elle voulait juste se tuer elle ». Les parents «  tirent alors le signal d’alarme » auprès du collège où, « à force de la voir se faire pourrir tous les jours par sa prof, des élèves ont repris le flambeau ».

« Écoutez vos enfants »

En février, des garçons la poussent sur la chaussée quand arrive le bus. Puis ce sont deux séances de « débat » organisées en classe par la professeure de français autour du « thème » : «  Pourquoi Evaëlle se sent-elle harcelée ? ». « Ça a viré au tribunal populaire », dit son père.

À la pause de midi, des élèves la font tomber d’un banc et la frappent au sol. Ses parents la retirent du collège, portent plainte contre trois élèves – on les décourage alors de le faire contre l’enseignante.

S’ils ne veulent pas faire d’Evaëlle un étendard de la lutte contre le harcèlement scolaire, ils estiment que son histoire a tout d’un «  cas d’école » où «  personne n’a rien fait pour que ça s’arrête ».

L’enseignante visée, «  très affectée par ce drame », ne souhaite pas faire de commentaire, selon son avocate. En arrêt de travail, sa cliente « bénéficie du soutien de sa hiérarchie et du rectorat ».

Interrogé par l’AFP, le rectorat de l’Académie de Versailles affirme quant à lui «  avoir été mobilisé dès le début ». Il indique qu’un «  suivi de trois élèves » a été mis en place et qu’une exclusion temporaire a été prononcée. Une enquête administrative est par ailleurs menée dans les deux collèges où la fillette a été scolarisée.

Selon une source proche de l’enquête, plus de 100 personnes ont été auditionnées avant que le parquet n’ouvre une information judiciaire visant la professeure et cinq élèves – quatre garçons et une fille. «  Quatre semblent commencer à comprendre la gravité des faits, tout comme l’enseignante », selon cette source.

Dans son nouveau collège à Herblay, les choses «  semblaient aller beaucoup mieux » pour Evaëlle, suivie par un psy. Mais «  quand un camarade a balancé ses affaires par terre, ça a été la goutte d’eau, elle a eu peur de revivre la même chose », analyse sa mère. «  Le collège, c’est la jungle. Notre fille n’a trouvé que ce geste-là pour s’en sortir. Si vos enfants vous disent qu’ils ne vont pas bien, écoutez-les », dit son père qui ne cesse de s’interroger sur ce qu’il «  aurait dû faire ».

POUR L’ARRÊTER, IL FAUT EN PARLER

Ancienne ou actuelle victime de harcèlement scolaire, que vous souhaitiez en parler ou vous investir, n’hésitez pas à :

– Vous inscrire sur la plateforme collaborative de notre journal : https ://nouvelles-voix.fr/

– Contacter le 3020, numéro d’écoute national, anonyme et gratuit, destiné aux victimes de harcèlement scolaire, à leur entourage et aux enseignants.

– Appeler la plateforme d’écoute académique tenue par des infirmières et des assistantes sociales, numéro vert : 0 800 59 11 11.

 



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