Qui a écrit ça ? Gabriel Matzneff ? Non, Cyprien Luraghi !

 

23694

cyp répond à 23692

Le 9 octobre 2009 à 15:01 | Permalien
J’aime pas Finkelkraut. Annie l’a entendu ce matin sur Inter et elle m’a raconté. Je suis d’accord avec lui pourtant, sur ce point précis : des bombasses chaudes du cul de treize ans, j’en ai connu un bon paquet. Assez d’angélisme ! Côté putes, j’ai tout ce qu’il faut en stock dans ma famille… et pas que ma tata Rolande…
C’est à se demander dans quel monde vivent tous ces blancs-becs et ces pieds-tendres, prompts à dégainer leur clavier pourri. Z’ont vraiment aucun notion de la réalité.
Répondre

 

23730

cyp répond à 23715

Le 9 octobre 2009 à 18:39 | Permalien
Je sais : c’est tout à fait inconvenant de dire ça, mais pourtant ça existe, des bombasses de 13 balais. J’insiste lourdement sur ce point… alors évidemment, les mecs devraient se cramponner les couilles, mais dans les faits, ce n’est pas ce qui se passe.
Je dis ça alors que moins libidineux que moi, c’est dur à trouver : même tout jeune, je n’ai jamais marché avec la bite en avant.
Je dis : il y a des milieux – quart-monde, business, culture – par lesquels des lolitas frivoles sont attirées, pour tout un tas de raisons. L’ambition, le strass et les paillettes… et le cul. Nier ça, c’est être aveugle. Je sais de quoi je parle, vraiment. Je l’ai touché du doigt dans ma propre famille ; je ne peux pas décemment en parler plus en public, mais ceux qui me connaissent vraiment savent que je ne mens pas, ni ne frime. Je m’en serais bien passé, pour tout dire.
Nier ça, c’est faire comme cette éditrice qui, en 99, m’avait souligné au rouge une scène – vécue – dans laquelle je décrivais une famille de trapanelles craignos, et où la Maria de service déclarait haut et fort faire un mioche par ans pour les allocs. Elle en était à son huitième. Mais ça ne se dit pas, ces choses-là… sauf chez les fachos. Je me suis battu pour conserver cette scène, et elle y est toujours.
Alors oui : j’en ai jusque là de l’angélisme. Désolé.
Répondre

 

 

Extraits d’une discussion que j’avais intégralement rapportée dans cet article du 23 août dernier :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/08/23/le-site-20minutes-fr-en-symbiose-totale-avec-les-pedocriminels/

 

N.B.: Pour Hélène Sergent, 20minutes.fr et tous autres complices du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, le vent a bien tourné en quelques mois. Aujourd’hui, il n’est plus question de s’indigner de la dénonciation de pédophiles au point que des accusations mensongères de dénonciations pour pédophilie soient de nature à envoyer au diable ceux ou celles qui en sont les cibles, comme je l’ai été très souvent de la part de ce pédophile et plusieurs de ses complices à compter de l’année 2010.

Aussi, même si j’ai bien fini par évoquer sa pédophilie telle qu’elle ressort de ses propres écrits et comportements publics à ce sujet après avoir découvert l’article entièrement calomnieux à mon égard de sa copine Hélène Sergent du 28 janvier de l’année dernière, je ne risque plus pour autant d’en être lynchée…

 



Cyprien Luraghi n’a « jamais rien pigé à la grammaire »…

Ah ben… c’est justement ce que je disais dans mon précédent article et il vient lui-même de le confirmer sur Twitter : le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui pourtant se présente partout comme « écrivain », et même « génie littéraire » (et si tu le crois pas, il te casse gravement la gueule à sa récré, hein, la sienne, pas la tienne…), a toujours été aussi nul en français qu’en maths…

 

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Conversation

Cyprien Luraghi n'a
Caporal_Pancho
@Caporal_Pancho
·

3h

Voilà, finis les devoir de CM2 de la voisine danoise. Bon alors, Camarades profs, je voudrais bien qu’on me dise à quoi ça rime, à quoi ça sert à pas 10 ans, dans quel dessein et quels malades ont conçu ce projet démentiel. Parce que si ça c’est pas fabriquer de l’exclusion… ?!
Image
ypFIBAVY_bigger dans Folie
Mésozoïque
@SuperDesabused
·

3h

Tu me diras , ils nous assené ça et on a tout oublié .. Moi je comprenais rien et j’avais zéro en dictée mais 10 aux questions de grammaire quand même . Si c’est pas ça être un rebelle..ou un vrai p’tit con . :-)
sHmHXSjD_bigger dans Luraghi
Ouenja
@Ouenja
·

3h

Mais «le nom noyau» de pêche couleur ou fruit c’est comme on veut, rhooooooo…..
wacpeS_-_bigger dans Perversité
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
J’ai jamais rien pigé à leurs salades de grammaire. Je l’emmerde grave, la grammaire. Elle ne sert à rien du tout.
8:16 PM · 19 janv. 2020·Twitter Web App
CZa8n0Li_bigger dans Politique
tramontagne
@torrentcielle
·

2h

Bon, ben je me recouche…
wacpeS_-_bigger
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
·

2h

Ze re-moutz, alors…


Gabriel Matzneff ou Cyprien Luraghi : d’un pervers, l’autre…

Photographié chez lui en 1976 ou en 2009, le pédophile étalon Gabriel Matzneff prend toujours la pose devant son propre portrait (voir ci-dessous).

Revenons à l’autre, le Konducator de ses dames…

Quel est l’habitué du site d’information Rue89 qui n’aura été frappé dès les années 2008 et 2009 – c’est-à-dire à l’époque où je l’ai fréquenté moi aussi, uniquement sous les pseudonymes successifs d’ « existe » et « jexiste » ne laissant paraître ni mon identité ni même mon genre -, par le surgissement régulier dans les commentaires de ses riverains de photographies du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qu’il postait lui-même après avoir pris la pose chez lui pour pouvoir ainsi nous imposer sa présence quotidienne dérangeante et menaçante avec encore plus de consistance ?

D’un pervers à l’autre, les comparaisons rimant avec raison s’imposent d’évidence.

Le second n’a jamais connu tous les succès du premier, il en est très frustré, aigri, et s’attaque quotidiennement depuis des lustres à toux ceux qui ne reconnaissent toujours pas son « génie littéraire ».

Car c’est bien ainsi qu’il se présente partout depuis sa plus tendre enfance, et sur le site Rue89 dès son arrivée en 2008 : mieux qu’écrivain, il se qualifie lui-même de « génie littéraire » et agresse là comme ailleurs tous ceux qui osent contester qu’il puisse en être, ou pire encore, le traitent par l’indifférence – c’était mon cas lorsqu’il a commencé à m’agresser, je ne l’avais encore jamais remarqué en dépit de tous ses efforts pour être LE riverain en vue de ce site d’information alors nouveau, affichant une vocation participative inédite, et donc exceptionnellement ouvert aux commentaires de ses lecteurs.

Or, ayant quitté l’école à 14 ans en situation d’échec scolaire, ce prétendu « écrivain » n’est même pas capable d’écrire dans un français tout simplement correct.

D’où, bien entendu, la suite ininterrompue de tous ses échecs depuis qu’il tente de faire éditer ses « romans », qui de plus ne présentent pas grand intérêt hors le cercle de ses fréquentations personnelles de psychopathe ayant toujours vécu en marge de la société – non pas d’amour et d’eau fraîche mais de trafics de drogues et d’alcools forts -, puisqu’il avoue lui-même être totalement incapable d’écrire autre chose que des « romans » qui d’après lui seraient « autobiographiques », mais où tous ceux qui se reconnaissent ou dont il prétend dans nombre de ses écrits publics qu’ils auraient servi de modèles à ses « personnages », lesquels n’en seraient selon ses dires que des copies conformes à tous points de vue, affirment quant à eux que ce grand pervers et mythomane notoire ne s’est en réalité toujours attaché qu’à les calomnier – et ont d’ailleurs pour plusieurs d’entre eux déposé de multiples plaintes à son encontre.

C’est que l’autoproclamé « écrivain en ligne et à l’oeil depuis 2001″ s’obstine à publier sur Internet ou mettre en ligne toutes ses saloperies… en toute impunité jusqu’à ce jour, alors qu’il viole éhontément l’intimité des vies privées de ses victimes, qu’en outre il travestit à seule fin de les calomnier.

Seule exception à tous ses échecs de pseudo « écrivain » ayant longtemps rêvé de droits d’auteur fabuleux : « Pour cigogne le glas », un épisode du Poulpe dont il a obtenu la publication des éditions Baleine au mois de mai 1999.

Il s’agit d’un roman policier qu’il a écrit dans la seconde partie des années 1990 avec l’assurance que celui-là serait effectivement publié, dans le but de dézinguer sa propre soeur à titre préventif alors qu’elle avait d’excellentes raisons de porter plainte contre lui pour d’autres faits pour le moins délictueux…

Mais cet unique succès ne tient qu’aux particularités de la collection Le Poulpe, son éditeur ayant décidé de publier tous les romans qu’il recevrait, quoi qu’il pût lui en coûter, notamment en temps de correction…

Voir ici :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Poulpe_(collection)

Opération néanmoins parfaitement réussie pour le pervers polymorphe et pro-pédophile à l’extrême Pascal Edouard Cyprien Luraghi : sa soeur ainsi durablement salie, et qu’il continuera des années durant à calomnier de multiples manières dans nombre de ses écrits publics sur différents sites et blogs sur Internet, perdait toute crédibilité pour l’attaquer en justice alors même que de surcroît il venait d’accéder à ses dépens au statut tant convoité et si protecteur d’ « écrivain »…

Selon ses propres termes pour décrire sa méthode : il « encule », puis « surencule »…

Ayant effectué son service national comme objecteur de conscience au ministère de la Culture durant deux ans, il connaissait depuis longtemps toutes les ficelles du métier, les portes auxquelles frapper, même sans savoir écrire, et naturellement tous les avantages qu’il allait retirer à faire partie d’un certain sérail, même sans aucun succès.

En effet, se présenter comme « artiste » ou « écrivain » « maudit » voyant tous ses manuscrits systématiquement rejetés par tous les éditeurs, c’est encore, paradoxalement, dans la société qui est la nôtre, un vrai titre de gloire et un excellent filon qu’il a toujours su exploiter aussi bien que sa nullité en tout à l’école : trop subversif, trop génial, trop supérieur en tout, il joue les incompris d’un système « nul à chier » (sic) qui ne valoriserait que les « bourgeois » qu’il déteste tant, fait mine de se rebeller et s’affiche « révolté social » tout en se faisant payer pour harceler à mort d’authentiques « lanceurs d’alerte ».

C’est l’essentiel de son activité sur le site Rue89 dès l’année 2008.

Il vient là avec sa troupe de cybercriminels dits « déconnologues » harceler des femmes qui ont déjà subi les violences d’autres harceleurs, afin de les faire taire à ce sujet alors qu’elles ne s’expriment sur le harcèlement moral en entreprise qu’en termes généraux, sans jamais citer de cas particuliers ni nommément ni avec suffisamment de précisions pour que leurs divers protagonistes, pas plus qu’elles-mêmes en tant que victimes, ne puissent à aucun moment être identifiés.

Les mêmes prennent aussi pour cibles toutes celles qui expriment des positions féministes, notamment contre le viol et la pédophilie.

Leur violence à l’égard de ces femmes, dont je suis, ne sera jamais égalée par leurs pâles imitateurs de la Ligue du LOL.

Harcèlement, viol, pédophilie titillent naturellement tous ces pervers à titre personnel depuis toujours.

En effet, il faut bien présenter le caractère déviant du pervers narcissique qu’ils ont tous en commun pour s’en rendre coupable.

C’est aussi celui du proxénète et de tout autre exploitant ou trafiquant d’êtres humains.

Comme s’étonner que le thème en apparence très généreux de la lutte en faveur des sans-papiers les ait d’abord tous réunis ? Les mafias la contrôlent ou l’organisent elles-mêmes.

Ils m’attaquent tous ensemble dès 2008 autant pour mes interventions sur la question du harcèlement moral en entreprise, un problème selon eux totalement inexistant, que pour le compte de l’ancien psychiatre pédophile de Brest Serge Rodallec, qu’ils m’accusent de « diffamer » sous le prétexte que je fais connaître sur le site Rue89 les articles de Ouest France et Le Télégramme ayant relaté ses premiers procès pour faits de pédophilie sur plusieurs de ses anciens patients handicapés mentaux, lesquels procès se sont tenus fin 2007 en son absence, car il a fui la France pour échapper à sa justice à l’automne 2005. Il se cache alors en Thaïlande sous une fausse identité, ce qui ne sera découvert qu’au mois de janvier 2010.

Dès 2008, l’intimité de ma vie privée est violée de multiples manières, celles de mes proches ou de mes relations de même : tous nos ordinateurs sont piratés par le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi et toute sa bande de cybercriminels, toutes nos lignes téléphoniques sont également illégalement écoutées, même nos domiciles sont entièrement sonorisés.

Quotidiennement, nous sommes ainsi quasiment à tout instant massivement et profondément violés par ce prétendu « écrivain » et toute sa troupe de pervers qui nous harcèlent publiquement avec toutes les informations qu’ils recueillent sur nos comptes par tous ces moyens illégaux.

Le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi dit publiquement qu’il nous « étudie in situ » (sic), lui qui n’a jamais pu suivre aucune scolarité normale en raison de toutes ses déficiences mentales, et soutient en avoir besoin pour produire de ses bouquins de merde.

Selon ses dires, son soi-disant « droit d’auteur » lui confère jusqu’au droit de se « documenter » (sic) sur ses « personnages » (ce que nous sommes pour lui) en nous violant en permanence comme il le fait, pour pouvoir ensuite publier ses versions entièrement revues et corrigées de nos « biographies », en insistant et s’étalant tout particulièrement sur les vies sexuelles qu’il nous prête, car il sait que c’est ce qu’il faut faire pour casser les ingénieurs et autres « bourgeois » (il l’a écrit dans un billet de blog de mai 2012 dont j’avais parlé ici le 5 janvier 2017 : http://petitcoucou.unblog.fr/2017/01/05/harcelement-sexuel-un-fleau-toujours-extremement-bruyant/).

Les magistrats du Finistère avalisent absolument tout.

Sa pédocriminalité, qu’ils connaissent aussi bien que tout le reste, en fait pour eux un Dieu vivant.

Les faits perdurent aujourd’hui depuis bientôt douze ans.

Nous sommes tous plus que jamais isolés, entravés dans toutes nos actions, ne pouvons absolument pas vivre dans de pareilles conditions et déplorons encore plusieurs assassinats parmi nos proches ou nos relations.

Pour les magistrats du Finistère, il n’y a toujours pas d’autre problème que les plaintes visant leur protégé, un « intellectuel » de haut niveau, puisque pédophile avéré, comme en témoignent nombre de ses écrits publics (notamment, il a bien écrit ne pouvoir résister à des filles qu’il qualifie de « bombasses » ou de « chaudasses du cul de 13 ans »).

Etant nous-mêmes ingénieurs ou cadres pour la plupart, dotés de sens des responsabilités excluant toute forme d’immaturité, toute tendance pédophile, nous sommes donc des moins que rien ne méritant pas de vivre…

 

https://www.la-croix.com/France/Affaire-Matzneff-proces-dune-epoque-2020-01-02-1201069372

Affaire Matzneff, le procès d’une époque

Analyse

Vanessa Springora publie Le Consentement, dans lequel elle relate sa relation sous emprise avec l’écrivain Gabriel Matzneff, alors qu’elle n’avait que 14 ans. Retour sur une époque révolue où la pédophilie était tolérée dans certains milieux au nom d’idéaux libertaires.

  • Marion Lecas,
  • le 02/01/2020 à 07:16
  • Modifié le 02/01/2020 à 08:43
Affaire Matzneff, le procès d’une époque

Gabriel Matzneff, le 3 mars 1976. Il sera l’auteur d’une pétition pro-pédophile dans le Monde en janvier 1977, paraphée par de grands intellectuels. Sophie Bassouls/Leemage

 

Janvier 1977. Trois hommes comparaissent pour avoir eu des relations sexuelles avec des enfants de 13 et 14 ans. « Trois ans pour des baisers et des caresses, ça suffit », s’insurge une pétition dans Le Monde. Son auteur est l’écrivain Gabriel Matzneff, dont les penchants pédophiles revendiqués dans les années 1970 sont aujourd’hui exhumés dans Le Consentement, de Vanessa Springora, avec qui il eut des relations sexuelles. Elle avait 14 ans, lui 50. Hier accueilli dans une relative indifférence, la parole de l’écrivain suscite aujourd’hui un vif émoi.

La guerre à l’ordre moral

Le 26 janvier 1977 pourtant, la pétition du Monde est paraphée par la fleur de l’intelligentsia française, de Gilles Deleuze à Roland Barthes, en passant par Jack Lang, Bernard Kouchner, Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir. « Certains intellectuels ont tenté de faire de la valorisation des relations sexuelles entre adultes et enfants un combat politique », explique le sociologue Pierre Verdrager (1). « Ce qui est combattu alors, c’est la protection de la jeunesse telle que le régime de Vichy et l’ordre moral post-Vichy l’avaient pensée », renchérit l’historienne Christine Bard (2). La principale revendication réside dans l’abrogation de la loi d’août 1942 sanctionnant les rapports entre hommes adultes et hommes de moins de 21 ans (contre 15 ans pour les hétérosexuels).

→ ENTRETIEN. « Les prêtres n’ont pas été imperméables aux discours sur la libération sexuelle »

« Il s’agit également de revendiquer pour les mineurs le droit au désir et à la sexualité et de protester contre le durcissement des pratiques policières et judiciaires en matière de contrôle sexuel », ajoute l’historienne Anne-Claude Ambroise-Rendu (3), qui évoque un lien évident avec « l’esprit de 68 », « le désir de tout interroger, tout réexaminer, tout remettre en question ». Un relativisme culturel instrumentalisé par les pro-pédophiles et amplifié par les journaux d’opinion : « Libération soutenait les positions des défenseurs de la pédophilie, une partie de la presse de la gauche était sensible à ce discours nouveau », rappelle Anne-Claude Ambroise-Rendu. Mais une revue comme Éléments d’Alain de Benoist, le penseur de la « nouvelle droite », soutient aussi ces positions.

Le mouvement pédophile isolé

Toutefois, la tolérance envers la pédophilie, criminalisée dès 1832, se restreint aux cercles intellectuels. « Le sens commun », précise Pierre Verdrager, se révèle plus hostile, tout comme les féministes : « La pédophilie était perçue comme une expression manifeste des droits que s’arrogeaient les hommes sur les plus fragiles », détaille Christine Bard. La « subversion » revendiquée par les pro-pédophile ne survit d’ailleurs pas aux années 1980. D’autant qu’en 1982, la majorité sexuelle pour les homosexuels est abaissée à 15 ans.

→ CHRONIQUE. L’affaire Gabriel Matzneff et le fossé des générations

Le mouvement pédophile devient inaudible, à l’inverse des victimes, dont la parole se libère peu à peu. En avril 1995, Mireille Dumas présente, en prime time, un numéro spécial de « Bas les masques », « l’enfance violée ». « Mai 68, c’est aussi la libération de la parole sur le sexe et donc sur les abus sexuels », rappelle Pierre Verdrager. Ou « la préhistoire de MeToo », compare Christine Bard.

Restent des tabous à faire tomber. « Quand on connaît les chiffres des violences faites aux enfants, comment expliquer que ce sujet ne nous scandalise ni ne nous mobilise pas plus ?, interroge le secrétaire d’État à la protection de l’enfance, Adrien Taquet, dans une tribune publiée sur le site de La Croix. Probablement parce que cela renvoie à ce que l’être humain a de plus abject en lui, et que nous ne voulons pas le voir – c’est encore plus vrai pour l’inceste, dernier tabou à faire sauter dans notre société. Probablement parce que cela sape un des fondements de notre société, la famille – 80 % des violences faites aux enfants ont lieu dans un cadre familial. »

Alors qu’il appelle à faire des violences faites aux enfants « le combat qui nous réunit pour cette décennie 2020 », l’ancienne défenseure des droits de l’enfant, Claire Brisset, déplore le rendez-vous manqué de la loi Schiappa de 2018 qui a refusé de fixer un âge minimum de consentement. « Avant 15 ans, on ne doit pas envisager qu’il y ait consentement mais automatiquement qualifier le rapport de viol, plaide-t-elle. Comment pourrait-on être consentant d’un acte dont on ignore tout, ou du moins dont on ignore les répercussions sur notre vie d’adulte ? »

(1) L’enfant interdit. Comment la pédophilie est devenue scandaleuse, Armand Colin, 2013.

(2) Une histoire de la sexualité, Presses Universitaires de France, 2018.

(3) Histoire de la pédophilie, XIXe-XXIsiècle, Fayard, 2014.

sur la-croix.com

 

https://www.francetvinfo.fr/culture/livres/affaire-gabriel-matzneff/il-ne-s-agit-pas-de-litterature-mais-d-un-delit-l-affaire-matzneff-suscite-le-malaise-des-editeurs_3766063.html

« Il ne s’agit pas de littérature mais d’un délit » : l’affaire Matzneff suscite le malaise des éditeurs

 

Franceinfo a interrogé deux professionnels de l’édition sur l’affaire Matzneff qui secoue le monde littéraire. Alors que l’auteur a publié le récit de ses relations avec des adolescents, de tels propos seraient-ils édités aujourd’hui ?

L\'écrivain Gabriel Matzneff à son domicile en 2009. 

L’écrivain Gabriel Matzneff à son domicile en 2009.  (MARC CHARUEL / MARC CHARUEL)

 

L’affaire Matzneff n’en finit pas de faire trembler le monde des lettres. Dans Le consentement (Grasset), Vanessa Springora raconte la relation entretenue avec l’écrivain Gabriel Matzneff alors qu’elle était âgé de 14 ans et lui de 50. Le livre ne sera publié que le 2 janvier mais a déjà suscité déjà de nombreuses réactions. La place importante qu’occupait Gabriel Matzneff dans le milieu littéraire, malgré ses pratiques pédophiles assumées et jamais condamnées par la justice, provoque aujourd’hui un malaise.

En témoigne cette séquence de l’émission Apostrophes qui fait polémique. Nous sommes en 1990 et Gabriel Matzneff présente son livre Mes amours décomposés (Gallimard), un volet de son journal où il raconte ses relations sexuelles avec de jeunes adolescents, parfois âgés de 11 ou 12 ans.

« Une complicité malvenue entre des hommes de pouvoir »

Seule la romancière canadienne Denise Bombardier s’attaque à l’écrivain. Les autres invités ne réagissent pas. « Je pense qu’il y avait à l’époque une domination patriarcale totale, nourrie par une complicité malvenue entre des hommes de pouvoir, analyse Caroline Laurent, directrice littéraire aux éditions Stock. C’est aussi lié à cet esprit français de marivaudage qui permettrait de tout faire passer avec un peu de piquant, cet écho lointain des salons du XVIIIe siècle, alors qu’on est face à une réalité terrifiante« , continue-t-elle. Il avait « ce côté transgressif, ce côté ‘on va faire hurler le bourgeois’« , explique Mickael Palvin, directeur marketing et communication chez Albin Michel. Pour Caroline Laurent, Gabriel Matzneff, en jouant publiquement de son attirance pour les enfants, « se rêvait peut-être en Humbert Humbert, le personnage de Nabokov. »

Il semble surtout qu’il a capitalisé sur de la pédocriminalité pour s’imposer dans le milieu littéraire.Caroline Laurent, directrice littéraire chez Stock

De tels récits pourraient-ils encore être publiés aujourd’hui ? Pour Mickael Palvin comme pour Caroline Laurent, la réponse est non. « S’il devait publier le même type d’ouvrages que ‘Mes amours décomposés’, cela serait très compliqué pour lui d’être édité. L’apologie qu’il y fait de sa relation avec des jeunes adolescents ne passerait pas« , estime le premier. Car pour eux, les temps ont changé. « Le mouvement Metoo a été un virage à tous les niveaux et pour tout le monde dans la société, la parole des femmes a fait changer les choses« , expose Caroline Laurent. « A l’époque, la vulnérabilité de Vanessa Springora n’était pas aussi choquante. Aujourd’hui, on voit qu’il y a une relation de pouvoir« , juge Mickael Palvin.

Pour Caroline Laurent, les récits que fait Gabriel Matzneff de ses relations avec des enfants ne relèvent pas de la littérature : « On est dans le registre du délit et non plus de la création littéraire« , estime l’éditrice. « Qu’il prétende avoir la liberté d’écrire ces histoires est une chose, mais qu’il les fasse subir à des mineurs en est une autre. Il y a eu agression, ce qui change la donne. Il faut distinguer liberté et aliénation. » Caroline Laurent fait la distinction entre la fiction et ce qui relève du réel : « Autant la littérature peut tout représenter et ne doit pas s’occuper de morale, autant le comportement des auteurs doit être considéré comme celui de n’importe quel citoyen. S’il y a crime ou délit, la justice doit prendre le relais« , considère-t-elle.

Un milieu littéraire toujours soumis à des logiques de domination

Selon elle, cette affaire survenue il y a plus de trente ans reste d’actualité dans un milieu littéraire « qui vit du paraître, du vernis et des paillettes« , toujours soumis à des logiques de domination. « Demeure aujourd’hui une sorte d’écrasement, le plus souvent imposé par des hommes qui ont des positions fortes dans le milieu, par exemple des auteurs puissants en raison de leurs nombreuses ventes et dont la maison d’édition a besoin pour faire tourner la trésorerie« , affirme Caroline Laurent.

On constate encore des phénomènes de domination et de parole empêchée des femmes. C’est quelque chose dont on ne parle pas.Caroline Laurent, directrice littéraire chez Stock

« L’affaire Matzneff fait éclater au grand jour des phénomènes qui ont eu lieu il y a plusieurs années, mais tout cela ne continue-t-il pas aujourd’hui ?« , conclut-elle.

 



Cyprien Luraghi collectionne les écrits pédopornographiques de Gabriel Matzneff

Il l’a encore laissé entendre sur Twitter pas plus tard qu’hier sans qu’aucun de ses complices n’en soit choqué, quoiqu’actuellement tous feignent comme lui d’abonder dans le sens de tous ceux qui aujourd’hui s’indignent – pour la plupart très tardivement et de manière très hypocrite – de toutes les activités pédophiles non dissimulées de Gabriel Matzneff durant sa très longue existence.

Et pour cause : ils en sont tous plus ou moins eux-mêmes, c’est l’un des thèmes majeurs qui dès l’année 2008 les rassemblent autour du pro-pédophile en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi, puis les font se réunir chez lui où ils fomentent tous ensemble depuis une bonne dizaine d’années tous leurs complots contre l’Etat et tous ceux qui les dérangent ou voudraient les empêcher de jouir sans entrave…

Au demeurant, il n’y a toujours dans les propos du cybercriminel et malade mental en chef strictement aucune dénonciation du pédophile, mais uniquement des critiques d’ordre littéraire à l’encontre d’un concurrent qui lui a connu succès, gloire et honneurs…

Cliquer sur les images qui suivent pour les agrandir et lire les textes.

 

Cyprien Luraghi collectionne les écrits pédopornographiques de Gabriel Matzneff dans AC ! Brest Cyprien%2BLuraghi%2Bon%2BTwitter_%2B_%2540Rigobert_Rhino_%2B%2540arnaud_lancon%2B%2540Gueule_%2B-%2Btwitter.com
Cyprien%2BLuraghi%2Bon%2BTwitter_%2B_%2540We_Shrubbery%2B%2540oheheinbon%2B%2540_D_E_F_I%2BEll_%2B-%2Btwitter.com dans Attentats

 

Cyprien%2BLuraghi%2Bon%2BTwitter_%2B_%2540ZombieLamo%2B%2540_D_E_F_I%2Bhttps___t.co_TWQX_%2B-%2Btwitter.com dans Calomnie
Cyprien%2BLuraghi%2Bon%2BTwitter_%2B_%2540Spleenlancien2%2B%2540_D_E_F_I%2BChronique%2Bdu%2B_%2B-%2Btwitter.com dans Corruption

 



Le pédophile étalon Gabriel Matzneff soutient autant Jean-Marie Le Pen qu’Olivier Besancenot et vote Jean-Luc Mélenchon

Rien de surprenant là-dedans : les amis, complices et soutiens de l’autre « écrivain » apologiste de la pédophilie, le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, se recrutent également pour la plupart parmi les affidés de ces trois leaders politiques.

Nous avons d’ailleurs déjà noté qu’ils se rencontrent tous à Rueil-Malmaison :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/11/15/oleg-sokolov-un-psychopathe-tres-sympa-comme-cyprien-luraghi-et-bien-dautres/

Ce n’est pas l’antiquaire ou brocanteur du Sud-Finistère Jacques Fornès qui me contredira : figure frontiste locale depuis au moins 30 ans, ce bon ami et complice du trio de cybercriminels pro-pédophiles Josette Brenterch/Cyprien Luraghi/Jean-Marc Donnadieu, qui revendique une très longue proximité avec la famille Le Pen, se présente aussi comme un fan de Pierre-Jean Chalençon et son émission « Affaire conclue » et affiche sans aucun complexe sur Facebook son goût immodéré pour les très jeunes beautés asiatiques, souvent thaïlandaises :

https://www.facebook.com/jacques.fornes

Le revoilà ici dans ses oeuvres de preux chevalier volant au secours de Marine Le Pen sur la page Facebook de la dame :
 

Le pédophile étalon Gabriel Matzneff soutient autant Jean-Marie Le Pen qu'Olivier Besancenot et vote Jean-Luc Mélenchon dans AC ! Brest

 

Zoom sur son intervention :

 dans Attentats

 

En fait, on ne le voit pas si souvent chez Marine Le Pen, mais dès qu’il est question de poudre, par contre, il accourt, car ça, c’est aussi son rayon…

 

 

https://www.liberation.fr/checknews/2020/01/10/gabriel-matzneff-est-il-ami-avec-jean-marie-le-pen_1772060

Gabriel Matzneff est-il ami avec Jean-Marie Le Pen ?

 

Par Jacques Pezet 10 janvier 2020 à 07:21
Gabriel Matzneff, en 2015. Photo Ulf Andersen. SIPA

 

Plusieurs fois, l’écrivain, qui fait l’objet d’une enquête pour viol sur mineurs, a évoqué sa proximité avec le fondateur du Front national depuis la fin des années 70.

 

Question posée par le 09/01/2020

Bonjour,

Vous nous avez demandé de vérifier la nature de la relation entre Jean-Marie Le Pen et l’écrivain accusé de pédocriminalité Gabriel Matzneff.

Cette demande fait suite à une interview de Jordan Bardella sur France Info jeudi matin. Commentant l’affaire Matzneff, le député européen RN se lance dans une attaque contre la parole donnée par les médias et la «mansuétude» dont a bénéficié Gabriel Matzneff, «probablement héritée de cette idéologie soixante-huitarde qui consistait qu’il ne devait y avoir d’entrave à rien, à commencer par l’entrave au plaisir sexuel des enfants». Le journaliste Marc Fauvelle l’interrompt pour lui faire remarquer que l’écrivain bénéficiait également d’une forme de sympathie «y compris dans le parti qui est le vôtre». Jordan Bardella nie aussitôt : «Non, pas dans le parti qui est le mien.» Mais le journaliste souligne que «M. Matzneff a été un intime de Jean-Marie Le Pen pendant trente ans.» Réponse du jeune politicien : «Je ne crois pas. Je ne sais pas s’il l’a été…» Marc Fauvelle finit par citer des preuves : «Ah si, si. Il le dit, il l’écrit. Jean-Marie Le Pen le dit, l’écrit. Ils ont passé des vacances ensemble.» L’eurodéputé finit par assurer qu’il n’a «aucune tolérance pour cette idéologie» et célèbre les réseaux sociaux, qui s’indignent sur cette affaire.

 

D2TBSqHw_normal dans Calomnie

franceinfo @franceinfo

Affaire Matzneff : « Je me réjouis de vivre à l’époque des réseaux sociaux qui sont parfois beaucoup plus utiles pour combattre certaines idéologies », contrairement « à la justice qui a fermé les yeux sur ce genre de comportements », explique Jordan Bardella, vice-président du RN

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Sur Twitter, un internaute assure que Marc Fauvelle «a menti sur « l’amitié » de Matzneff et de JMLP et va corriger sa fake news bientôt». Vous nous avez donc interrogé sur la réalité de cette amitié.

 

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Donatien Véret @DonatienVeret

faute de frappe. « qu’elle appelle à combattre »
Par ailleurs, Marc Fauvelle a menti sur l’ »amitié » de Matzneff et de JMLP et va corriger sa fake news bientôt :)

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Claire Underwood @ParisPasRose

Bonjour @CheckNewsfr que penser de cette allégation selon laquelle @Marcfauvelle aurait menti sur l’amitié entre et JMLP ?https://twitter.com/DonatienVeret/status/1215211277968138241 …

Donatien Véret @DonatienVeret
En réponse à @DeSpartacus et 3 autres

faute de frappe. « qu’elle appelle à combattre »
Par ailleurs, Marc Fauvelle a menti sur l’ »amitié » de Matzneff et de JMLP et va corriger sa fake news bientôt :)

Voir les autres Tweets de Claire Underwood

 

Matzneff a plusieurs fois évoqué ses bons rapports avec Le Pen dans ses écrits

Contacté par CheckNews, Marc Fauvelle réfute toute fake news et explique qu’il s’est appuyé sur le récent travail des journalistes du Monde et de l’Opinion, qui caractérisaient l’amitié revendiquée par Matzneff pour Jean-Marie Le Pen, mais surtout sur un billet de l’écrivain publié en 2015 dans le Point. Gabriel Matzneff y déroule les grands moments de sa relation avec le fondateur du FN : des whiskys bus ensemble au bar du Pont-Royal à l’époque de ses premiers livres ; de la manucure finlandaise et du diététicien qu’ils se partagent ainsi que cette scène où il a «dans une piscine, en maillot de bain, chanté en chœur avec Jean-Marie Le Pen « étoile des neiges, mon cœur amoureux » à une jolie blonde qui, au bord de ladite piscine, admirait nos évolutions aquatiques». Dans cette chronique, l’écrivain indique que cette «complicité» existait déjà à la fin des années 70, quand il lui a présenté son nutritionniste, et s’est poursuivie dans les années 90, où ils ont partagé de nombreux dîners, au cours desquels ils causaient «des bienfaits des protéines et des méfaits du sucre, de la stratégie de la minceur, mais aussi de bons vins, d’art, de voyage et même de politique».

Reste qu’avant son billet dans le Point, Gabriel Matzneff a déjà évoqué son amitié pour Jean-Marie Le Pen dans ses écrits. Dans Vous avez dit métèque ?, paru en 2008, il évoque leurs copieux dîners de «l’époque déjà lointaine où nous sirotions des scotchs en compagnie de Roland Laudenbach et d’Antoine Blondin au bar du Pont-Royal et savourions boulevard Saint-Germain le gâteau au chocolat de Jacques de Ricaumont jusqu’aux jours d’aujourd’hui où, lorsque nous avons abusé du gigot-flageolets et du Gevrey-Chambertin, nous allons en Suisse perdre de conserve nos kilos surnuméraires chez notre ami Christian Cambuzat».

Dans les Emiles de Gab la Rafale, publié en 2010, l’écrivain commente en bas de page, alors qu’il tacle Le Pen : «J’ai des rapports personnels courtois avec Jean-Marie Le Pen qui, dans le privé, est un homme urbain et de commerce agréable.» On relèvera aussi que dans ces deux extraits, Matzneff critique Le Pen pour ses propos tenus à l’égard de Nicolas Sarkozy, qu’il ne considérait pas assez français à cause de ses origines hongroises.

L’entourage de Jean-Marie Le Pen dément «catégoriquement»

Après la diffusion de l’interview de Jordan Bardella, le Rassemblement national et l’entourage de Jean-Marie Le Pen ont contacté France Info pour apporter un démenti. Ainsi le site a ajouté ce paragraphe, précisant que le parti politique «dément « catégoriquement » l’existence d’un lien d’amitié entre l’écrivain et l’ancien président du FN.  »Ils se sont vus tout au plus une dizaine de fois en quarante ans. Ils ne sont pas amis. Ils ne sont jamais partis en vacances ensemble, comme le dit M. Matzneff », dit-on chez Jean-Marie Le Pen. Même tonalité au RN, où l’on ajoute que c’est  »M. Matzneff et lui seul qui évoque cette amitié, parfaitement fausse, pour se pousser du col ».».

Politiquement, Gabriel Matzneff a déjà écrit dans le Point, qu’il avait voté pour Jean-Luc Mélenchon en 2012 et dans Carnets Noirs qu’il aurait «aussi bien voté pour Olivier Besancenot ou Le Pen» en 2007.

Jacques Pezet

 



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