2020 année historique, tous les astrologues l’avaient prédit

 

 

 

 

 

 

En fouillant un peu dans les pages Facebook des « ufosceptiques » qui me harcèlent, j’ai trouvé énormément d’âneries, notamment sur l’astrologie dont ils ont tous remarqué que je suis quelque peu férue…

C’est donc surtout pour eux que je publie cet article dans lequel je propose à mes lecteurs de prendre connaissance des prévisions pour 2020 de deux astrologues pris au hasard parmi tous ceux qui partagent leurs travaux sur Youtube.

Evidemment, ils n’avaient pas prévu la pandémie, mais tous les éléments en sont bien énoncés ainsi que les conséquences.

Les astrologues ne sont pas devins, ils font tous le même travail d’analyse assez complexe à partir de connaissances communes élaborées par tous leurs prédécesseurs depuis la nuit des temps ou presque.

Ils affinent leurs prévisions depuis l’apparition de la pandémie, qui était bien inscrite dans les configurations astrales actuelles : c’est principalement neptune en poissons, avec mise en lumière lors du passage du soleil dans le signe, du 19 février au 20 mars 2020.

C’est très facile à dire a posteriori, beaucoup plus difficile à prédire.

Cela dit, bien des scientifiques alertaient aussi depuis très longtemps sur des catastrophes à venir qui aujourd’hui surviennent en cascade comme une série de claques magistrales distribuées par les événements à tous ceux qui se moquaient d’eux ou les ont même tués pour les faire taire…

Entre autres, je rappelle mes petites révélations récentes, à partir d’une de mes vieilles rédac de 3ème où l’essentiel était déjà dit, il y a de cela plus de 40 ans :

http://petitcoucou.unblog.fr/2020/03/23/je-ne-sais-pas-ecrire-parait-il/

http://petitcoucou.unblog.fr/2020/03/31/coronavirus-lextreme-gauche-francaise-a-bien-voulu-la-pandemie/

Et ces précisions fournies également très récemment sur les méthodes employées pour nous faire taire par une extrême-gauche fasciste ayant systématiquement recours à des psychopathes tels ceux qui me harcèlent au vu et au su de tous depuis 2008 :

http://petitcoucou.unblog.fr/2020/03/30/match-jean-marc-donnadieu-vs-michel-piccin-ou-quand/

http://petitcoucou.unblog.fr/2020/04/02/jean-marc-donnadieu-veut-faire-virer-le-dr-jean-jacques-charbonier/

Je termine cet article avec la publication de cartes montrant une sensible diminution de la pollution atmosphérique avec le confinement, mais aussi que les régions les plus polluées correspondent en fait très exactement à celles où la pandémie fait le plus de ravages.

Ces régions se caractérisent certes par de plus fortes densités de la population, mais il est également certain que la pollution atmosphérique, tout comme le tabagisme chez les fumeurs, facilite l’installation de la nouvelle maladie pulmonaire dans les organismes qu’elle altère déjà.

 

 

https://www.notre-planete.info/actualites/4651-pollution-air-coronavirus-Europe

Le coronavirus Covid-19 fait diminuer la pollution de l’air en Europe

 

ActualitésDevenez rédacteur

111 843 lectures / 17 réactions Article mis à jour le 27 mars 2020, 15:02

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Capture d’écran de la vidéo de l’ESA sur la diminution des niveaux de NO2 au-dessus de l’Europe
ESA / Copernicus – Licence : DR

 

Après l’arrêt d’une partie de l’activité économique chinoise qui avait entraîné la diminution de la pollution atmosphérique, c’est au tour de l’Europe, et plus spécialement en Italie, en Espagne et en France que les niveaux de pollution décroissent significativement.

Lorsque les déplacements pendulaires (domicile <-> travail) et que l’activité économique s’interrompent, c’est une véritable bouffée d’air pur pour l’atmosphère. C’est la conséquence de la pandémie liée au coronavirus COVID-19 qui paralyse littéralement l’Europe.

Ainsi, le satellite Copernicus Sentinel-5P a pu détecter une chute de la pollution atmosphérique au-dessus de l’Italie, plus spécifiquement en ce qui concerne les émissions de dioxyde d’azote. « Cette diminution est particulièrement visible dans le nord de l’Italie, ce qui coïncide avec le confinement national mis en place afin de prévenir la progression du coronavirus » explique l’Agence Spatiale Européenne (ESA).

Le dioxyde d’azote est un polluant caractéristique du trafic automobile et marin, c’est pourquoi il se concentre le long des voies de circulation. Il et également émis par les centrales électriques et les installations industrielles.
Le NO2 est un gaz oxydant puissant, qui pénètre facilement dans les poumons. A des concentrations dépassant 200 µg/m3 sur de courtes périodes, il provoque des irritations et des inflammations de l’appareil respiratoire et une augmentation de l’hyperréactivité bronchique chez les asthmatiques. Enfin, le NO2 réagit dans l’air des villes et contribue à la formation d’autres polluants, ozone et particules secondaires.

Cette vidéo montre les fluctuations des émissions de dioxyde d’azote à travers l’Europe du 1er janvier 2020 au 11 mars 2020, calculées sur une moyenne mobile de 10 jours. Ces données ont été obtenues grâce à l’instrument Tropomi qui équipe le satellite Copernicus Sentinel-5P et dont la mission est de cartographier une multitude de polluants atmosphériques autour du globe.

Pour la ville de Milan, « les concentrations moyennes de NO2 étaient d’environ 65 µg.m-3 en janvier, 45 µg.m-3 en février et environ 35 µg.m-3 pour la première moitié de mars. La tendance linéaire à la baisse de la moyenne quotidienne depuis la semaine 6 est de l’ordre de -4 µg.m-3 par semaine. Des tendances décroissantes similaires sont observées dans d’autres villes du nord de l’Italie, comme Turin ou Bergame. À l’Est, il semble y avoir un changement de niveau : à Bologne, les concentrations étaient en moyenne de l’ordre de 30 µg.m-3 en janvier et sont en moyenne de l’ordre de 15 µg.m-3 depuis début février (35 µg.m-3 et 15 µg.m-3 pour Venise). » détaille le Service pour la surveillance atmosphérique de Copernicus (CAMS).

« Ce que le satellite observe est proportionnel à la quantité de polluants intégrée verticalement depuis le sol jusqu’au sommet de l’atmosphère« , explique Vincent-Henri Peuch, directeur du Service pour la surveillance de l’atmosphère de Copernicus. « C’est très différent des concentrations à la surface et encore plus des émissions. Compte tenu de ces limitations, il est assez remarquable qu’un signal de baisse des niveaux d’activité ait pu être détecté. Cela montre l’étendue des mesures prises par l’Italie« .

Pour Claude Zehner, responsable au sein de l’ESA pour la mission Copernicus Sentinel-5P, « la chute des émissions de dioxyde d’azote au-dessus de la vallée du Pô dans le nord de l’Italie est particulièrement flagrante. Bien que de légères variations puissent s’expliquer par la couverture nuageuse ou les fluctuations météorologiques, nous sommes convaincus que la réduction des émissions que nous observons coïncide avec les mesures de confinement en Italie, ces dernières conduisant à une baisse du trafic routier et des activités industrielles. »

Vous pouvez suivre les niveaux de pollution atmosphérique en Europe grâce à nos cartes dédiées mises à jour en continu.

La qualité de l’air s’améliore en France et en Espagne

Mêmes conséquences en France et en Espagne : le confinement et la baisse très nette de l’activité économique (35 % en France selon l’INSEE) font chuter les niveaux de NO2 dans l’atmosphère notamment au-dessus des grandes villes comme Paris et Madrid.

Les dernières données relevées par le satellite Sentinel-5P de Copernicus et modélisées par le Royal Netherlands Meteorological Institute (KNMI) sont édifiantes :

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Concentrations moyennes en NO2 entre le 14 et 25 mars 2020 par rapport à la moyenne de mars 2019 au-dessus de la France
Copernicus Sentinel (2019-20) / KNMI / ESA – Licence : DR
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Concentrations moyennes en NO2 entre le 14 et 25 mars 2020 par rapport à la moyenne de mars 2019 au-dessus de l’Espagne
© Copernicus Sentinel (2019-20) / KNMI / ESA – Licence : Tous droits réservés

D’autres pays du nord de l’Europe sont étroitement surveillés, notamment les Pays-Bas et le Royaume-Uni – mais les scientifiques ont observé une plus grande variabilité en raison des conditions météorologiques changeantes.
De nouvelles mesures aideront à évaluer les changements de dioxyde d’azote dans le nord-ouest de l’Europe.

La qualité de l’air s’améliore nettement en Ile-de-France

L’association de surveillance de la qualité de l’air sur l’Ile de France, AirParif vient de relever une baisse jusqu’à 30 % des niveaux de pollution par rapport à un mois de mars « normal », sans confinement.

L’évaluation d’Airparif conduite entre le 16 et le 20 mars « met en avant une amélioration de la qualité de l’air de l’ordre de 20 à 30 % dans l’agglomération parisienne, consécutive à une baisse des émissions de plus de 60 % pour les oxydes d’azote. Le long des axes de circulation, cet impact peut être encore plus important. Il était en revanche peu visible pour les particules (PM10 et PM2,5) lors de ces premiers jours de confinement. Autre bonne nouvelle, cette baisse des polluants de l’air s’accompagne d’une baisse du dioxyde de carbone (CO2), gaz à effet de serre, soulignant les liens entre ces deux problématiques et le co-bénéfice pour le climat de toute amélioration de la qualité de l’air. » précise Airparif dans son communiqué..

Autre élément édifiant : cette diminution a été enregistrée alors que le chauffage résidentiel – via la combustion de biomasse -, particulièrement polluant en hiver, avait augmenté.
C’est pourquoi, « cette baisse est liée en grande partie à la forte diminution du trafic routier et aérien. Celle des autres secteurs d’activité est moins quantifiable en raison du peu d’informations disponibles. » précise AirParif qui ajoute :  » en 40 ans de mesure d’Airparif, cette situation sur les stations trafic ne s’est jamais produite de manière aussi importante et sur autant de stations. »

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Cartes moyennes de pollution au dioxyde d’azote du 17 au 19 mars : en situation normale, en situation de confinement, et de différence entre les deux
Airparif – Licence : DR

« En revanche, peu d’impact a été constaté pour les particules qui sont issues de davantage de sources et pour lesquelles la diminution du trafic n’a pas compensé l’augmentation liée au chauffage résidentiel et au maintien des activités agricoles, conjugués à une météorologie printanière favorable à la formation de particules observée dans plusieurs régions avoisinantes. » note Airparif.


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