Cyprien Luraghi et ses « chipies »… 8 juin
Toutes les filles qu’il photographie sont des « chipies », il les qualifie toujours de la sorte, nous y reviendrons avec d’autres exemples que celui-ci (voir ci-dessous).
Ce cliché qu’il a posté sur Twitter le 6 juin 2020 était donc le dernier d’une série de publications qui s’était accélérée avec le confinement.
Au début, il les balançait sans la moindre explication, sauf celle quasi rituelle qui consistait à dire qu’il n’indiquait pas le lieu de la prise de photo afin de le préserver de tout envahissement touristique…
Quelle blague !
Il n’a surtout pas la moindre envie que quiconque puisse retrouver ses victimes.
Ici, il précise que sa pellicule étant très chère, il n’appuyait sur le déclencheur qu’aux bons moments…
Ah… bien.
Pour celle-ci, il a donc attendu que la fillette se soit souillée : voilà quel fut pour lui le bon moment pour la photographier…
Mais pourquoi donc ces enfants sont-ils si sales ?
Mais parce que leur mère elle-même est bien souillée, pardi…
Et bien entendu, son visiteur d’un soir ne lui a pas demandé son autorisation pour photographier ses enfants dans un tel état dans l’intimité de leur foyer, ni pour en divulguer le résultat sur Twitter ou ailleurs.
Les notions de consentement et de respect d’autrui lui sont totalement étrangères quand il ne les combat pas violemment.
Va plutôt au zoo photographier des animaux dans leurs cages, ça te coûtera moins cher et tu feras moins de dégâts, pauvre con.
Ces enfants et leurs parents ne sont pas des bêtes curieuses sorties d’un quelconque « Moyen-Age » n’existant que dans ta cervelle de dégénéré, mais des êtres humains que tu t’es complu à violer et dépouiller de toute dignité parce qu’ils étaient riches de ce qui te fait tellement défaut : l’authenticité, la sincérité.