Je décline toute responsabilité quant aux mentions qui s'affichent dans les cinq lignes ci-dessus du pavé "Recherchez aussi" sur lequel je n'ai aucun contrôle.
Mes statistiques sont bloquées depuis le 2 février 2015.
7 février 2015
Mes statistiques sont de retour, tout fonctionne.
16 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 12 février.
22 février 2015
Mes statistiques "basiques" ont été débloquées hier soir après la publication de mon dernier article concernant NEMROD34. Belle reprise simultanée de l'activité du Chinois.
23 février 2015
Statistiques "basiques" toujours sujettes à blocages : le 21 février au soir, à peine étaient-elles débloquées, puis à nouveau hier, 22 février, à peine étaient-elles débloquées.
24 février 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Pas de nouveau pic d'activité du Chinois depuis le 21 février.
25 février 2015
Je n'ai pas mes statistiques "basiques" du jour, ça bloque encore... et Justinpetitcoucou est toujours bloqué depuis le 8 février... Faudrait penser à le débloquer, lui aussi, il y a du laisser-aller, là...
26 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blog débloquées. Merci pour Justin, il était temps !
27 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blogs de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt... Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
25 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 20 mars.
26 mars 2015
Merci de m'avoir débloqué mes statistiques "basiques". Encore une fois, je ne vois pas l'intérêt de ce petit jeu. Ce serait aussi bien de cesser de bloquer ces statistiques pour oublier de les débloquer jusqu'à ce que j'aie signalé le problème.
31 mars 2015
Merci de bien vouloir me débloquer les statistiques "basiques" de Justinpetitcoucou, restées bloquées depuis le 14 mars - cf. avis du 25 mars sur Justin.
2 avril 2015
Merci de m'avoir rendu les statistiques de Justin.
7 mai 2015
Je n'ai plus de statistiques depuis deux jours, ni "basiques" ni "avancées".
10 mai 2015
Retour des statistiques "basiques". Merci. Manquent encore les statistiques "avancées".
14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
3 octobre 2015
Depuis hier, les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro. Merci de me les rendre.
Encore cette affaire-là a-t-elle toujours été très médiatisée…
Imaginez ce que c’est pour les victimes ou familles de victimes qui tentent de se battre contre des juges qui systématiquement refusent de faire leur boulot sous divers prétextes dont aucun n’est jamais juridiquement valable, et qui de surcroît ne se privent pas d’accuser mensongèrement les victimes de n’importe quoi pour justifier tous leurs dénis de justice…
« Depuis 17 ans, les demandes qu’on formulait n’étaient pas suivi d’effet » : la colère de l’avocate de la famille Mouzin
RÉACTION – Alors que Monique Olivier a de nouveau mis en cause Michel Fourniret dans la disparition d’Estelle Mouzin, dont des traces d’ADN ont été retrouvées sur un matelas dans une maison de « l’ogre des Ardennes », Me Corinne Hermann déplore la lenteur avec laquelle l’enquête a avancé.
23 août 00:10 – La rédaction de LCI
Une nouvelle avancée de taille mais de nombreuses questions en suspens. Alors que Monique Olivier, ancienne femme et complice de Michel Fourniret, a de nouveau mis en cause « l’ogre des Ardennes », affirmant qu’il avait séquestré, violé, étranglé et tué Estelle Mouzin en 2003 à Ville-sur-Lumes (Ardennes), dans la maison de sa sœur décédée quelques mois plus tôt, nombreux sont ceux qui s’interrogent sur la façon dont a été menée l’enquête, qui s’est brusquement accélérée 17 ans après la disparition de la fillette.
En cause notamment : la découverte récente d’un ADN partiel de la fillette, retrouvé sur un matelas pourtant entre les mains des enquêteurs depuis longtemps déjà.
La justice a mis tant de frein avant que le dossier arrive entre les mains de la juge- Me Hermann, avocate de la famille d’Estelle Mouzin
Si elle salue « une étape importante », Me Corinne Hermann, avocate de la famille aux côtés de Me Didier Seban, ne cache pas son « sentiment de colère », soulignant que « l’essentiel » est désormais « de retrouver le corps » le corps d’Estelle Mouzin. « Ce qu’on sait, c’est que depuis 17 ans, les demandes qu’on formulait n’étaient pas suivi d’effet, il n’y avait pas les expertises que l’on demandait, on refusait d’exploiter des indices, des scellés qui existaient », détaille-t-elle au micro de TF1. « La justice a mis tant de frein avant que le dossier arrive entre les mains de la juge. »
La piste Fourniret avait été étudiée à partir de son arrestation en juin 2003 en Belgique après une tentative d’enlèvement. Mais les enquêteurs l’avaient mis hors de cause en 2007. Plus de dix ans après, Michel Fourniret fera de premières déclarations troublantes corroborant son implication, jusqu’à des aveux, encore flous et incomplets, en mars dernier.
Pour rappel, trois autres dossiers dans lesquels Michel Fourniret – qui purge une peine de perpétuité incompressible pour avoir tué huit femmes ou adolescentes – est le seul suspect sont toujours en cours d’instruction par la juge Khéris au tribunal de Paris : la disparition de Marie-Angèle Domece en 1988, la mort de Joanna Parrish en 1990 et l’enlèvement en 1993 de Lydie Logé.
Comme bien d’autres, Christophe Girard aura eu beau tenter de se raccrocher à quelques branches, elles ont toutes fini par céder et désormais il continue inexorablement de chuter…
Noter que depuis le début du mois au moins, se disant « harcelé », il se cache à Lannilis, dans le Finistère, où il se trouve de fait sous la protection de deux grandes amies et complices du pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, lui-même fervent admirateur de Gabriel Matzneff, dont il collectionne tous les écrits pédopornographiques, à savoir :
- la doyenne des juges d’instruction du TGI de Brest, Céline Verdier, qui pourrait être parente du peintre Claude Verdier, compagnon de Christian Giudicelli…
- et la faussaire Isabelle Johanny, vice-procureure du TGI de Brest, qui selon sa fiche « Copains d’avant » vit dans le « village » voisin de Plouguerneau :
Affaire Matzneff : cinq minutes pour comprendre la démission de Christophe Girard
Le départ de l’ex-adjoint à la Culture de la mairie de Paris, accusé d’avoir soutenu l’écrivain pédophile Gabriel Matzneff, a suscité de vives tensions à la mairie entre la majorité socialiste et les élus écologistes.
Par Paméla Rougerie
Le 25 juillet 2020 à 14h56
L’affaire mêle les milieux culturel, politique et féministe de la capitale. Jeudi soir, alors qu’il venait d’être reconduit à son poste d’adjoint à la Culture de la mairie de Paris, Christophe Girard a finalement annoncé sa démission, après avoir été visé par une manifestation organisée par des élus écologistes et des militants féministes. Des manifestants qui reprochent à l’élu une proximité avec l’écrivain Gabriel Matzneff, actuellement visé par une enquête pour « viols sur mineur ».
C’est quoi, l’affaire Matzneff ?
L’affaire avait fait polémique à la toute fin de l’année 2019, avec la sortie du « Consentement », un ouvrage signé Vanessa Springora. Dans ses pages, l’écrivaine, aujourd’hui âgée de 48 ans, raconte sa relation entretenue avec Gabriel Matzneff alors qu’elle n’était qu’une adolescente de 14 ans. Lui avait, au moment des faits, 50 ans.
La sortie du livre a mis en lumière un fait qui était déjà connu du milieu littéraire depuis les années 1970 : Gabriel Matzneff a longtemps écrit des ouvrages sur ses penchants pédophiles, qu’il s’agisse de jeunes filles avec lesquelles il disait entretenir de relations amoureuses, ou de garçons dont il a abusé lors de voyages à l’étranger.
Ces récits n’avaient pas fait de vague jusqu’à la sortie du « Consentement ». Car, après l’ère « #MeToo », le regard sur les violences sexistes et sexuelles a changé. Plus tard, c’est Francesca Gee, une autre de ses victimes, dont l’histoire est racontée dans « Ivre du vin perdu », qui a dénoncé des faits similaires dans la presse.
Depuis, Gabriel Matzneff, qui est visé par une enquête pour « viols sur mineurs » et est cité à comparaître en 2021 devant un tribunal correctionnel pour apologie du crime de viol aggravé, vit loin des regards et des médias. Mais des questions se posent sur l’implication de ses proches et, plus généralement, de l’indulgence qui lui a été accordée par un milieu littéraire qui a publié et même encensé ses ouvrages.
Quels sont les liens entre Girard et Matzneff ?
Dans les années 1980, tandis que Gabriel Matzneff entretenait une relation avec Vanessa Springora, Christophe Girard, alors secrétaire général de la Maison Yves Saint Laurent, est soupçonné d’avoir financé deux ans de séjours à l’hôtel pour l’écrivain, qui y emmenait sa victime, selon une enquête du New York Times. D’après Vanessa Springora, ces séjours permettaient aussi à Matzneff d’échapper aux visites des policiers de la brigade des mineurs dans son appartement. L’auteur, lui, dit que ces séjours lui avaient permis de se remettre d’une opération des yeux.
Christophe Girard a d’ailleurs été entendu en mars dans le cadre de l’enquête pour viols sur mineur. Dans une interview au Parisien, l’ex-élu assure avoir eu une « relation amicale » avec l’écrivain, sans pour autant le considérer comme un « ami ». Il a admis « s’être occupé » de la chambre d’hôtel de Gabriel Matzneff à la demande de Pierre Bergé, le compagnon d’Yves Saint Laurent. Il déclare également n’avoir lu qu’un seul des livres de Matzneff, et donc n’avoir pas eu connaissance de ses penchants pédophiles.
Christophe Girard aurait aussi, en 2002, rédigé une lettre de recommandation permettant à l’écrivain de toucher une allocation du Centre national du livre (CNL).
Qu’est-il reproché à Christophe Girard ?
Lors d’un rassemblement organisé jeudi, des élus écologistes se sont associés à des militants féministes pour demander la suspension de Christophe Girard, qui faisait partie de la liste d’Anne Hidalgo et était alors adjoint à la mairie de Paris en charge de la Culture.
Ils estimaient que sa présence au sein de l’Hôtel de Ville allait à l’encontre des valeurs féministes, en raison de ses liens et de son soutien supposé à Gabriel Matzneff.
« Trois ans après MeToo, après la discussion publique provoquée par la publication de l’ouvrage Le Consentement de Vanessa Springora, quelques mois après la terrible cérémonie des César, quelques jours après la nomination d’un ministre faisant l’objet d’une instruction pour viol et harcèlement sexuel, la Mairie de Paris ne peut pas, ne doit pas, prendre une position hostile aux revendications féministes. Il en va de notre cohérence politique », écrivaient-ils alors.
Pourquoi a-t-il démissionné ?
Après ce rassemblement jeudi, l’avocate de Christophe Girard, Delphine Meillet, avait dénoncé « une vindicte militante cherchant à substituer le tribunal de la rue au tribunal judiciaire ». Devant l’Hôtel de Ville, « il y avait 20 personnes […], mais il y avait des pancartes qui étaient inadmissibles, bienvenue à pédoland et pédos en commun, un détournement de notre logo de campagne (Paris en commun) », raconte Emmanuel Grégoire, le premier adjoint d’Anne Hidalgo.
« Ces slogans sont diffamatoires à l’encontre de Christophe Girard en ce qu’ils assimilent celui-ci à un complice de pédocriminalité », explique Me Meillet, rappelant que son client « n’est mis en cause dans aucune enquête judiciaire » et a été « auditionné en qualité de simple témoin ».
Malgré cela, Christophe Girard a finalement choisi d’annoncer sa démission du poste d’adjoint à la Culture jeudi soir. « Dans le climat délétère général […] où l’on piétine notre Droit et le Code pénal, et même si la manifestation de ce jour contre moi n’a rassemblé qu’une vingtaine de personnes, la première de mes priorités est qu’Anne Hidalgo, brillamment réélue Maire de Paris, puisse exercer son mandat sereinement », a-t-il justifié dans un communiqué.
« J’ai 64 ans, une vie de famille épanouie et de nombreux engagements culturels, politiques et associatifs, et n’ai nullement envie de pourrir ma vie plus longtemps et de m’emmerder à me justifier en permanence pour quelque chose qui n’existe pas », poursuit-il. L’élu reste cependant conseiller de Paris du XVIIIe arrondissement, où il a été élu le 28 juin dernier.
Quelles ont été les réactions au sein de la mairie ?
Cette affaire dans l’affaire a créé de vives tensions entre élus écologistes et la tête de la mairie. Les écologistes, qui dénonçaient sa présence, ont salué cette décision. « Au regard de la situation, qui devenait politiquement intenable, Christophe Girard a pris la meilleure décision pour protéger la ville et l’exécutif », ont-ils réagi dans un communiqué.
La maire Anne Hidalgo, elle, a vanté une « décision courageuse », mais s’est dite « écœurée ». « Dans quelle démocratie vivons-nous où le droit est piétiné par la rumeur, les amalgames et les soupçons ? Tout mon soutien à mon ami Christophe Girard », s’est-elle agacée sur Twitter.
Elle a également annoncé vouloir demander des excuses aux élus écologistes, qui avaient affiché des pancartes jugées insultantes. Elle dénonce tout particulièrement l’attitude de deux élues écologistes à l’origine du rassemblement, Raphaëlle Rémy-Leleu et Alice Coffin. Elles « ont incité et soutenu ces comportements, (et) se placent ainsi d’elles-mêmes en dehors de la majorité municipale », juge la maire de Paris.
Des tensions qui se sont aussi fait ressentir ce vendredi au Conseil de Paris. Indignée par le « salut républicain » et les applaudissements accordés à Christophe Girard, Alice Coffin a hurlé « la honte, la honte, la honte » en plein milieu de l’assemblée. « C’est terrible », juge-t-elle sur Twitter.
L’adjoint à la maire de Paris chargé de la culture n’a pas seulement démissionné à cause de la manifestation des militantes féministes. Selon nos informations, les services municipaux ont découvert, les 22 et 23 juillet, trois notes de frais de repas entre l’élu et l’écrivain Gabriel Matzneff, réglés par la Ville. Anne Hidalgo en a informé le parquet de Paris.
Contrairement à ce qu’ont mis en avant Christophe Girard et la mairie de Paris, l’adjoint à la culture n’a pas démissionné seulement à cause de la manifestation, jeudi 23 juillet, de militantes féministes et d’élu·e·s écologistes. Selon nos informations, les services de la Ville de Paris ont découvert, mercredi puis jeudi dernier, trois notes de frais de repas entre l’élu et l’écrivain Gabriel Matzneff, réglés par la Ville.
A la mairie de Paris, les élus de la majorité et les écologistes se déchirent à la suite de la démission de l’adjoint à la Culture.
Christophe Girard s’est retiré de la vie parisienne depuis son éviction de la mairie, avant tout pour fuir le vacarme lié à l’affaire dont il est un des personnages centraux avec Gabriel Matzneff. Accusé d’avoir soutenu l’écrivain, et notamment de lui avoir payé une chambre pendant deux ans abritant « les amours de Matzneff avec Vanessa Springora », il continue aujourd’hui à nier toute implication. Joignant de lui-même l’Express, il s’interroge toujours : « Pourquoi moi ? Pourquoi aurais-je dû savoir ? ». Longtemps contesté au sein de la mairie par les écologistes, notamment Alice Coffin, Christophe Girard a longtemps été défendu par Anne Hidalgo qui martelait alors : « Je ne lâche pas quelqu’un sur la base de présomptions ».
De son coté, en mars, Christophe Girard sent le vent tourner et se propose de partir si la situation devient intenable. Mais après le premier tour des municipales où la maire sortante arrive en tête, la situation s’améliore d’autant que David Belliard ne bénéficie pas de la vague verte, précise L’Express. Les négociations dureront plus de trois mois pour trouver une alliance avec Anne Hidalgo. Mais alors que les écologistes obtiennent cinq sièges durant ces pourparlers, Raphaëlle Rémy-Leleu et Alice Coffin sont « furieuses par la nomination de Christophe Girard ». Une ambiance délétère qui tiraille David Belliard. On apprend même qu’en rentrant chez lui, « Christophe Giard reçoit un seau d’urine sur la tête ».
La « haine des hommes »
Le 3 juillet, Christophe Girard demande à être auditionné par le groupe écologiste et réaffirme ne pas vouloir « juger les amours de Gabriel Matzneff », provoquant l’ire de ses accusatrices. Les Verts refusent alors de donner leur confiance au « gouvernement parisien », détaille l’express. Sauf que trois semaines après, un agent de la mairie découvre les fameuses notes de frais de deux repas entre Matzneff et Girard. On apprend qu’Anne Hidalgo « tombe de sa chaise » en apprenant la nouvelle ; Christophe Girard lui avait assuré ne l’avoir croisé qu’à quelques reprises. Elle décide d’en informer le Parquet. Le lendemain, sur le parvis de l’Hôtel de Ville, des militants, féministes et élus écolos se sont rassemblés avec des pancartes sans équivoque : « Mairie de Paris, bienvenue à Pedoland » ou encore « Ville du déni » et « adjoint à la culture du viol ». Christophe Girard avoue avoir « eu la nausée » en les voyant et décide de démissionner.
Tout aurait pu se calmer si la mairie n’avait pas décidé de se « venger ». Selon les informations de l’Express, « les noms de plusieurs écolos qui devaient représenter la municipalité dans certains organismes » ont été effacés : ceux d’Alice Coffin, Fatoumata Koné et Raphaëlle Rémy-Leleu notamment. Depuis la diffusion d’une vidéo d’Alice Coffin datant de 2018 sur le plateau de Russia Today, le climat est d’autant plus délétère à la mairie. L’élue déclarait : « Ne pas avoir de mari, ça m’expose plutôt à ne pas être violée, ne pas être tuée, ne pas être tabassée ». Elle a été relayée par plusieurs élus de la majorité. Christophe Girard y voit lui un « signe d’haine des hommes ». Il ajoute en privé : « Alice Coffin est une lesbienne qui ne supporte pas que je sois bisexuel ». Malgré les départs en vacances, les esprits ne se sont pas calmés.
De l’affaire Matzneff à l’affaire Girard : choc des générations à la mairie de Paris
Par Camille Vigogne Le Coat et Erwan Bruckert, publié le 12/08/2020 à 09:00 , mis à jour à 15:32
Écouter cet article sur l’application
Les politiques parisiens se déchirent depuis le début de l’été au sujet de la démission de Christophe Girard. Plongée dans les coulisses d’une crise de société.
[ARTICLE MIS A JOUR le 18 août 2020] Dans un article de New York Times publié le 16 août 2020, un homme accuse Christophe Girard de l’avoir « contraint à des rapports sexuels » alors qu’il était mineur. Aujourd’hui atteint d’une quarantaine d’années, il affirme que l’ancien élu parisien l’a forcé à des rapports sexuels « une vingtaine de fois » depuis ses 16 ans. Mardi 18 août, le parquet de Paris a annoncé l’ouverture d’une enquête préliminaire pour « viol par personne ayant autorité ». « Les investigations (…) s’attacheront à déterminer avec exactitude si les faits dénoncés sont susceptibles de caractériser une infraction pénale et si, au vu de leur ancienneté, la prescription de l’action publique est acquise », a précisé le procureur dans un communiqué. Christophe Girard nie les faits, et a annoncé par l’intermédiaire de son avocate vouloir engager des poursuites « pour dénonciation calomnieuse » contre l’article du NYT. Des élues écologistes et des militantes féministes demandent à présent son retrait de la vie politique.
Lannilis (Finistère), 5 août. Christophe Girard est parti se retirer dans ce petit village du Finistère, avec enfants et conjoint, loin de Paris et de ses polémiques. Il ne consulte plus ni les réseaux sociaux ni sa messagerie, et s’est promis de se tenir loin de la presse. Pourtant, ce jour-là, c’est bien lui qui rappelle L’Express, d’un numéro inconnu. « J’ai changé de numéro, celui-ci est provisoire », explique l’ancien adjoint à la culture à la mairie de Paris, qui se dit « harcelé ». Est-ce bien la même personne qui, hier encore, régnait sur tout ce que la capitale compte de musées et de salles de spectacles, dirigeant près de 5000 agents et gérant 500 millions d’euros de budget ?
Visé par une enquête préliminaire pour viol, Christophe Girard se met « en retrait » du Conseil de Paris
L’élu est accusé par un homme de l’avoir agressé sexuellement une vingtaine de fois. Il a démissionné de son poste d’adjoint à la culture, le 23 juillet, pour mettre fin à la polémique sur ses liens avec l’écrivain Gabriel Matzneff.
Le Monde avec AFP Publié hier à 12h25, mis à jour à 06h02
Le parquet de Paris a ouvert, lundi 17 août, une enquête préliminaire du chef de « viol par personne ayant autorité » concernant Christophe Girard, ex-adjoint à la culture de la maire de Paris, Anne Hidalgo,mis en cause par un homme ayant témoigné, dans un article du New York Times, de multiples agressions sexuelles datant de la fin des années 1980.
« Les investigations ont été confiées à la brigade de protection des mineurs de la direction régionale de la police judiciaire. Elles s’attacheront à déterminer avec exactitude si les faits dénoncés sont susceptibles de caractériser une infraction pénale et si, au vu de leur ancienneté, la prescription de l’action publique est acquise », précise le communiqué rendu public mardi.
« Par souci de sérénité et du bon fonctionnement de la majorité au sein du Conseil de Paris, j’ai proposé à Anne Hidalgo et à Rémi Féraud, président du groupe Paris en commun [structure de campagne de la maire de Paris], ma mise en retrait le temps de l’enquête préliminaire et pour mieux me défendre », a réagi M. Girard, qui reste élu au Conseil et au conseil municipal du 18e arrondissement.
Un homme dénonce une vingtaine d’agressions sexuelles
Le New York Times a publié, dimanche 16 août, le témoignage d’Aniss Hmaïd, âgé aujourd’hui de 46 ans, qui dit avoir rencontré l’accusé dans la station balnéaire d’Hammamet (Tunisie) à la fin des années 1980, alors qu’il avait 15 ans. Il assure avoir été sexuellement agressé une vingtaine de fois, les années suivantes, par M. Girard.
En échange, poursuit l’article, M. Hmaïd assure que M. Girard l’employait parfois comme domestique dans sa résidence d’été dans le sud de la France et « lui obtenait des emplois temporaires au sein de la maison Yves Saint Laurent », dont il était l’un des principaux dirigeants avant d’entrer en politique.
A l’appui de ses dires, M. Hmaïd a montré au New York Times plusieurs attestations de travail et fiches de paie de la maison Yves Saint Laurent, et « plus d’une centaine » de photographies de M. Girard, dont l’une le montrant entièrement nu. Quatre personnes contactées par le journal américain – le père et le petit frère d’Aniss Hmaïd, une ancienne petite amie et un ancien collègue de travail – ont confirmé que M. Hmaïd leur avait parlé de ces abus il y a près de vingt ans.
L’ex-adjoint à la culture d’Anne Hidalgo avait déclaré dimanche, par la voix de son avocate, Delphine Meillet, qu’il « conteste ces dénonciations et ces faits avec la plus grande fermeté », ajoutant : « Les faits dénoncés étant prescrits, la parole de l’accusateur, contre la parole de l’accusé, est laissée à l’appréciation du tribunal de l’opinion, où trop souvent une présomption de culpabilité en matière d’infractions sexuelles a pris le pas sur la présomption d’innocence. »
Les faits dénoncés par M. Hmaïd sur la période où il était encore mineur pourraient être prescrits depuis son 38e anniversaire. Le délai de prescription, depuis une loi de 2018, a été porté à trente ans après la majorité de la victime, mais la loi n’est pas rétroactive.
« Je me satisfais de l’enquête préliminaire qui s’ouvre et qui permettra à la victime de s’exprimer, de participer à la manifestation de la vérité compte tenu de la gravité des faits reprochés à Christophe Girard », a réagi de son côté la maire de Paris dans un message publié mardi sur Twitter.
Affaire Gabriel Matzneff
« Nous demandons l’exemplarité (…) et nous souhaitons que Christophe Girard abandonne ses mandats pour se concentrer sur sa défense judiciaire », a réagi mardi auprès de l’Agence France-Presse (AFP) la porte-parole d’Osez le féminisme ! Céline Piques, rappelant que M. Girard est toujours élu dans le 18e arrondissement et siège au Conseil de Paris.
Pour elle, « l’affaire Girard », jusqu’ici centrée sur sa proximité avec l’écrivain accusé de pédophilie Gabriel Matzneff, « change de tournure ». « Nous ne sommes pas des “ayatollahs du féminisme”, on essaie simplement de dévoiler la stratégie des agresseurs (…) : quelqu’un qui a du pouvoir et qui cible une personne vulnérable pour commettre des violences sexuelles et construire le silence ensuite autour de ces actes, du fait d’une position de pouvoir », a-t-elle ajouté.
« Il est temps que M. Girard lui-même prenne ses responsabilités », a réagi auprès de l’AFP l’élue écologiste au Conseil de Paris Raphaëlle Rémy-Leleu, en pointe avec sa collègue Alice Coffin dans le conflit qui a divisé les socialistes et leurs alliés en juillet. « Il est important que la justice puisse examiner » ces faits « et que les politiques aient un peu de courage », a-t-elle ajouté, dénonçant le « silence » autour de cette affaire et réclamant une prise de parole d’Anne Hidalgo.
L’ex-adjoint à la culture d’Anne Hidalgo avait démissionné, le 23 juillet, pour mettre fin à la polémique sur ses liens avec M. Matzneff, visé par une enquête pour « viols sur mineurs ». M. Girard avait été entendu en mars dans le cadre de cette affaire, en tant qu’ancien secrétaire général de la maison Yves Saint Laurent entre 1986 et 1987, structure qui avait apporté un soutien financier à M. Matzneff dans les années 1980, selon plusieurs récits.
L’enquête visant M. Matzneff a été ouverte par le parquet de Paris après la publication en janvier du roman autobiographique de Vanessa Springora : elle y décrit la relation sous emprise qu’elle a entretenue lorsqu’elle était mineure avec l’écrivain.
En plein coeur de l’été, c’est la saga politico-judiciaire qui fait battre le coeur de Paris. Christophe Girard, conseiller de Paris et conseiller municipale du 18e, s’est mis en retrait après l’ouverture d’une enquête dans laquelle il est accusé de viol. La maire Anne Hidalgo s’est dite satisfaite.
Chaque jour qui passe, l’ex-adjoint à la maire de Paris, Christophe Girard, est un peu plus dans de sales draps… Alors qu’il était déjà fortement affaibli par les révélations sur ses liens avec le décrié écrivain Gabriel Matzneff, – il avait été entendu en tant que témoin dans le cadre de l’enquête ouverte pour viols commis sur mineurs de moins de 15 ans à l’encontre de celui-ci -, il est à son tour dans le viseur de la justice. Ce qui met un nouveau coup de frein à sa carrière.
Des blessures psychologiques durables
Christophe Girard, âgé de 64 ans, est accusé par un homme affirmant avoir été victime d’une relation abusive avec lui quand il était mineur dans les années 1990. Visé par une enquête pour viol, il conteste toute relation sexuelle avec lui. Mardi 18 août 2020, il a annoncé à l’AFP son retrait temporaire du Conseil de Paris. Quelques semaines plus tôt, il perdait déjà son poste d’adjoint à la Culture sous la pression d’élus écolos et de féministes ; une charge bruyamment menée par la clivante élue Alice Coffin. « Par souci de sérénité et du bon fonctionnement de la majorité au sein du Conseil de Paris, j’ai proposé à Anne Hidalgo (…) ma mise en retrait le temps de l’enquête préliminaire et pour mieux me défendre« , a annoncé via son avocate, l’élu au Conseil de Paris et au Conseil municipal du 18e arrondissement.
Le procureur de Paris Rémy Heitz avait annoncé plus tôt l’ouverture d’une « enquête pour examiner des soupçons de viol par personne ayant autorité« . Mais le procureur précise aussi que les investigations devront déterminer, outre l’exactitude des accusations, si « la prescription de l’action publique est acquise » au vu de l’ancienneté des faits. C’est un article du New York Times qui a tout déclenché puisque le journal a recueilli le témoignage d’Aniss Hmaïd, qui a raconté avoir rencontré Christophe Girard en Tunisie à l’été 1989, quand il avait 15 ans, et avoir ensuite été entraîné dans une relation abusive de près de dix ans qui lui a laissé « des blessures psychologiques durables« .
L’accusateur qui avoir été sexuellement agressé une première fois lorsqu’il avait 16 lors d’un séjour aux Etats-Unis et aurait été abusé une vingtaine de fois par la suite. Une supposée relation faite de chantage puisqu’en échange l’élu l’aurait employé parfois comme domestique dans sa résidence d’été dans le sud de la France et « lui obtenait des emplois temporaires au sein de la maison Yves Saint Laurent » dont il était l’un des principaux dirigeants avant d’entrer en politique.
La maire de Paris change de ton
Réélue avec succès aux dernières municipales à la tête de Paris, la maire Anne Hidalgo a changé de ton après avoir soutenu bec et ongles son ami Christophe Girard, au point de risquer la rupture avec ses alliés écolos. Sur Twitter, elle a écrit : « Je me satisfais de l’enquête préliminaire qui s’ouvre et qui permettra à la victime de s’exprimer, de participer à la manifestation de la vérité compte tenu de la gravité des faits reprochés à Christophe Girard. En tant que Maire de Paris et militante féministe pour l’égalité des droits, je réaffirme mon soutien indéfectible à toutes les victimes de viols et d’agressions sexuelles et serai toujours à leur côté. Je crois à l’État de droit et ai toute confiance en la justice de mon pays et souhaite que cette enquête se déroule sereinement afin que la vérité judiciaire soit établie. »
Dans le même temps, l’avocate de l’élu, Delphine Meillet, a pris la parole pour dénoncer cette enquête. « La personne qui met en cause Christophe Girard n’a pas porté plainte, même aujourd’hui, et elle a préféré contacter les journalistes. On peut imaginer qu’il ne voulait pas être confronté à l’institution judiciaire, qui juge avec impartialité et sagesse, et il a privilégié la justice médiatique. Le parquet se sent obligé d’ouvrir une enquête au regard de la pression médiatique (…) Mais juridiquement ça ne tient pas une seule seconde« , estime-t-elle, notamment puisque M. Hmaïd affirme avoir été « consentant« , tout en disant avoir été pris dans un « engrenage« .
Christophe Girard reste innocent des faits reprochés jusqu’à la clôture de l’enquête ou du jugement définitif de cette affaire.
… il lui arrive désormais d’être vite contredit par ses supporters eux-mêmes… ce qui fut longtemps totalement impensable tant il avait d’autorité sur eux ou en était craint…
Intéressant…
Pour en venir au fond de leur discussion d’hier, j’ai pour ma part le souvenir très net de les voir tous, Konducator en tête, s’acharner sur une certaine riveraine de Rue89 pseudonymée Béatrice1 pour ce qu’elle avait dit sur ses lectures en la traitant de menteuse ou de mythomane…
Même chose pour moi à la suite de chacune de mes interventions publiques anonymes, quel que soit le sujet…
Et mon ordinateur aussi se souvient : il reste encore plein de traces de ces raids numériques « déconnologues » dans ses mémoires.
Comment qu’il dit, là, l’autre, maintenant ?
Tu viens de le dire : il est « réputé ». Moi ce n’est pas du tout ce que j’ai observé. Et tu le sais : quand j’étudie ci ou ça je ne le fais pas à moitié.
Ah ouais…
Comme d’habitude, le cybercriminel, harceleur, mythomane et calomniateur notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi oublie toutes les plaintes qui l’ont amené à supprimer de l’espace public la quasi totalité de ses textes délirants à mon sujet…
Cela dit, il confirme bien encore une fois VIOLER ses victimes de toutes les manières possibles et imaginables, ce que savent depuis le début tous ses complices « déconnologues ».
Concernant le personnage objet de leur discussion d’hier, il est manifestement tombé sur un type qui lui ressemble et lui est donc très sympathique…
En effet j’aurais été bien en mal a 21 ans de dire combien de bouquins j’avais déjà lus. Sans doute plus de 200, boulimie de lecture et études littéraires obligent, mais quelle signification ? On peut facilement lire 2 ou 3 Harlequins par semaine …
Ça veut dire que tu n’es pas une pointilleuse.. Encore que j’ai remarqué que tu as un peu tendance a la ramener dés fois , mais ça c’est humain, en plus tu n’es pas la seule ici . J’ai les noms .
Ah okay. Et donc des hordes de gens masqués se cramponnent à ses basques pour lui cracher à la gueule, juste parce qu’il a dit ça. Ce sera sans moi. L’internet est vraiment gerbant.
Le gars est quand même réputé et mis en cause pour des pratiques de harcèlement assez minables depuis plusieurs mois, quand même. J’ai dû bloquer quelques-uns de ses clones en plus de lui-même.
Tu viens de le dire : il est « réputé ». Moi ce n’est pas du tout ce que j’ai observé. Et tu le sais : quand j’étudie ci ou ça je ne le fais pas à moitié.
Ah mais moi je ne lui dis rien du tout puisque je l’ai bloqué et que donc il ne voit aucun de mes tweets. Ça n’empêche pas de discuter du sujet de la comptabilité livresque, qui n’est pas inintéressant, dans un fil auquel il n’a pas accès.
A mon humble avis, si les magistrats français sont si nombreux à se montrer incroyablement indulgents à l’égard des psychopathes, tels, par exemple, mes harceleurs de la bande du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, c’est parce qu’il n’en manque pas non plus dans leurs rangs. Même quand ils n’en sont pas eux-mêmes, ils savent tous que le collègue machin qui gardera son poste jusqu’à la retraite ne vaut guère mieux que le taré qu’ils sont en train de juger.
Lors de sa 30e convocation devant la justice, le prévenu a montré son sexe à trois reprises aux magistrats, assortie d’un flot d’insultes gratuit. L’accusé avait pourtant écopé d’une peine allégée…
Une scène sidérante. Un homme, qui avait tenté de noyer un moniteur de kayak la semaine dernière, a finalement écopé d’une peine allégée. Si le procureur avait au départ requis 18 mois de prison ferme, le tribunal a opté pour la même sentence mais avec six mois de sursis probatoire. Une chose positive pour le prévenu de 24 ans qui vivait sa 30e convocation devant la justice. Mais il n’aurait pas compris la décision. Dans une colère noire, il a alors insulté et montré son sexe aux magistrats de la maison d’arrêt de Seysses à Toulouse lundi 3 août. Il aurait baissé son pantalon à trois reprises, relate La Dépêche du Midi.
Roué de coups
Tout avait commencé dans le courant de la semaine du 27 juillet dernier. L’accusé avait été arrêté à Toulouse pour avoir tenté de noyer un moniteur de kayak. La victime apprenait à un groupe de personnes à naviguer sur la Garonne. Au même moment, l’agresseur présumé, très alcoolisé, était en train d’importuner une jeune femme sur les berges, relate La Dépêche. Il s’était alors avancé dans le fleuve afin de se munir d’une rame. C’est là que le moniteur était intervenu. Une bagarre avait ensuite commencé… La victime avait malheureusement essuyé une trentaine de coups-de-poing avant que l’agresseur ne tente de le noyer à trois reprises. La tête du moniteur aurait été maintenue durant 5 à 6 secondes sous l’eau.
L’assaillant avait été arrêté sur le moment. Lors de sa 30e convocation au tribunal, son avocat, Me Nicolas Raynaud de Lage avait appuyé son argument sur le profil « cabossé de ce jeune livré à lui-même qui souffre de toutes les carences possibles : affectives, éducatives et intellectuelles ». En vain. Après ses gestes obscènes et ses insultes, le prévenu ne tardera pas à se rendre à sa 31e convocation.
Dans les pays modernes et évolués, les Procureurs sont élus par le Peuple ! Ainsi, ils sont contrôlés par le Peuple, ce qui est la moindre des choses en Démo-cratie!
En France les magistrats se cooptent entre eux et échappent TOTALEMENT au contrôle du Peuple ! Ce qui fait qu’ils peuvent faire N’IMPORTE QUOI sans encourir la moindre sanction !!! Avez-vous déjà vu un magistrat jugé et condamné ? JAMAIS ! Ils sont juges et partie et se soutiennent sans limite ! Avant la guerre, on a vu un Président de Cour d’assises VENDRE ses décisions !
Si vous n’avez pas payé vos impôts à la date précise, c’est deux ans de prison pour dette non respectée envers l’Etat ! Si vous tentez de noyer quelqu’un en lui tenant la tête sous l’eau et en le tabassant dans l’eau, il y a tentative de meurtre , et là les magistrats de France, pays juridiquement arriéré, vous condamnent à quelques mois avec sursis et, éventuellement, félicitations du tribunal !! Il faut de toute urgence fermer l’école supérieure de la magistrature, élire les Procureurs comme dans la plupart des pays civilisés et évolués!
Article de fond très intéressant et constructif, on passe.
#OnVeutLesNoms
Une fois de plus, la justice française est aux abonnés absents. Il faut absolument fermer l’Ecole Nle de la Magistrature, véritable pépinière de magistrats gauchistes, pro islamistes, anti-blancs et anti-chrétiens. Mais il ne faut pas compter sur le pitoyable président actuel pour le faire.