Denis Robert confronté aux méthodes de mes harceleurs…

 

 

 

Et hop ! Encore un…

Harcelé, il se fait traiter de harceleur…

 

https://www.ouest-france.fr/medias/remous-a-la-webtele-le-media-denis-robert-prie-de-quitter-la-direction-6971868

Remous à la webtélé Le Média : Denis Robert prié de quitter la direction

 

Le journaliste Denis Robert a été prié de renoncer à ses fonctions de directeur de la rédaction de la webtélé Le Média. Officiellement, le poste est devenu incompatible avec une réorganisation prévue, mais les relations sont aussi difficiles avec la rédaction.

Denis Robert en 2016.
Denis Robert en 2016. | PHOTO WIKIMEDIA COMMONS CC 4.0 / POTEREALPOPOLO
Ouest-France avec AFP. Publié le 13/09/2020 à 17h22

 

La webtélé Le Média a demandé au journaliste Denis Robert de renoncer à son poste de directeur de la rédaction, sa fonction étant incompatible avec une réorganisation de la chaîne, a-t-on appris dimanche auprès de la direction, qui lui reproche aussi d’avoir instauré un climat de mal-être.

Denis Robert, connu pour ses révélations sur le scandale Clearstream dans les années 2000, avait remplacé Aude Lancelin en avril 2019 à la tête de la rédaction du Média, une web TV de gauche financée par ses souscripteurs.

Vendredi, la direction de la chaîne a demandé au journaliste de ne plus exercer cette fonction, selon un courrier consulté par l’AFP, confirmant une information du Monde.

Choix structurel

Pour le président de l’entreprise de presse Le Média, Julien Théry, l’existence d’un directeur de la rédaction n’est pas compatible avec le projet de réorganisation de la chaîne, aujourd’hui association financée par ses souscripteurs, qui doit se transformer en coopérative.

Ce poste est donc supprimé, et structurellement, cette décision n’est pas liée à la personnalité de Denis, a affirmé à l’AFP Julien Théry, qui est son employeur. Il n’a jamais été question de demander à Denis de quitter Le Média, où il a toute sa place, a-t-il précisé.

Depuis le début, le projet du Média est un projet collectif, avec un idéal de collégialité dans la gouvernance, supposant une absence de directeur de la rédaction, a-t-il développé.

Mais il y a d’autant plus une volonté de supprimer ce poste que ça se passe très mal entre lui et la rédaction, a-t-il ajouté, parlant d’un climat de mal-être qui règne dans l’équipe. Et de facto, Denis Robert n’occupait plus sa fonction depuis six mois.

Climat délétère

De son côté, la Société des journalistes (SDJ) du Média a évoqué, dans un communiqué, un climat délétère que les méthodes de management de Denis Robert auraient instauré.

Sollicité par l’AFP, Denis Robert n’avait pas répondu dans l’immédiat.

La chaîne va lancer en octobre une campagne de souscription de parts sociales auprès de ses socios – ses 13 000 adhérents – pour devenir une coopérative en janvier. Depuis son lancement, elle a été secouée par plusieurs crises, notamment lors des départs de Sophia Chikirou et Aude Lancelin.

 



Une magistrate du parquet de Brest ne porte pas son masque au tribunal…

A tous les coups, c’est encore Isabelle Johanny, la vice-procureure auteure de nombreux faux en écriture publique me concernant, la même qui préfère s’exciter sur le tilde breton que sur certains trafiquants de drogue, pédophiles et cybercriminels notoires…

La madame qui fait la pluie et le beau temps au TGI de Brest entend rester au-dessus des lois…

 

https://www.letelegramme.fr/finistere/brest/brest-la-representante-du-ministere-public-rechigne-a-se-masquer-a-l-audience-18-09-2020-12620349.php

À Brest, la représentante du ministère public rechigne à se masquer à l’audience

 

Pas de doute en entrant dans la salle d’audience correctionnelle de Brest, le masque est obligatoire.
Pas de doute en entrant dans la salle d’audience correctionnelle de Brest, le masque est obligatoire. (Le Télégramme/Stéphane Jézéquel)
Lecture : 2 minutes

 

Accrochage surréaliste, jeudi après-midi, au tribunal correctionnel de Brest, entre le président de l’audience et la représentante du parquet qui refuse de porter son masque en séance. La mise au point s’est produite en deux temps.

 

Dès son arrivée dans la salle, le président du tribunal correctionnel de Brest, Xavier Jublin, rappelle la consigne de porter le masque, même durant les interventions et le plus correctement possible, en recouvrant également le nez. « Ce n’est pas très agréable, mais c’est une obligation qui nous est faite ». « Je vous demanderai de le porter tout le temps et au cours de vos interventions ».

Amende aux contrevenants ?

En haussant la voix et en ajoutant, au second degré, qu’il ne vise personne en particulier, il enfonce le clou en rappelant que la représentante du ministère public, présente dans la salle, est susceptible de constater l’absence de masque et d’infliger une amende de 135 € à tout contrevenant. Sauf que la représentante du ministère public ne porte pas son masque et ne semble pas décidée à se couvrir le visage. La remarque insistante du président lui est prestement destinée.

La séance démarre, malgré tout, devant des prévenus, des avocats, un public et des journalistes scrupuleusement masqués. Au fil de l’après-midi, la température monte dans la salle, prévenus et avocats intervenant masqués. Il faut parfois faire répéter les uns et les autres pour une parfaite compréhension des propos. Une avocate demande au président s’il l’autorise à baisser le masque pendant sa plaidoirie. « C’est non ! Aucune exception ! », rappelle le président de séance, garant de la bonne tenue des débats et du respect des règles sanitaires en vigueur.

Le ton monte

Plus le choix : le président revient à la charge et doit s’adresser directement à la représentante du parquet. « Si vous ne portez pas votre masque, je serai dans l’obligation de suspendre la séance », tonne-t-il, sans remarque ni réponse de la part de l’intéressée. Flottement et silence gêné dans la salle, avec un président contraint de faire preuve d’autorité en direction du parquet !

Toujours sans un mot, la substitut du procureur finit par saisir le masque en tissu devant elle pour se couvrir la bouche et le nez.

En échangeant avec une avocate qui vient la voir à la pause, elle estime disposer de suffisamment de distance entre les prévenus, les juges et le public et que les protections en plastique constituent une protection supplémentaire dans cette vaste salle d’audience. Sauf qu’en qualité de représentante du ministère public, elle est, dans cette salle, la voix et le visage de la société. Décidément, cette crise de la covid, pas avare en contradictions en tous genres, ne nous aura rien épargné !

 



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