Les attentats de janvier 2015 à Paris et d’avril 2015 à Villejuif directement liés 1 octobre
C’est ce qui ressort des déclarations de Sonia M., une revenante de Syrie incarcérée à la prison de Fleury-Mérogis, lesquelles ont été versées ces derniers jours au dossier du procès en cours.
Je ne sais pourquoi certains journaux font remonter l’attaque de Villejuif au mois de mars 2015, elle a bien été commise le mois suivant, le dimanche 19 avril 2015 au matin, après que le terroriste eut reçu la veille, samedi 18 avril 2015, l’ordre de passer à l’acte, ce que je ne peux oublier.
En effet, sachant depuis le début quels sont les premiers commanditaires de tous ces attentats, vous pensez bien que je suis toujours à l’affût d’indices corroborant ce qui est pour moi bien plus qu’une conviction, une certitude absolue, en vue d’obtenir autant que possible la mise hors d’état de nuire de ces terroristes, tout en craignant aussi le prochain attentat, que je vois toujours venir avec un bon train d’avance sur tout le monde ou presque du fait que je connais par coeur tous les délires et sales manies du chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi dont, de surcroît, toute la bande continue à me harceler en permanence – et j’évite actuellement de donner le lieu et la date approximative du gros attentat de cet automne 2020, lequel est bien déjà prévu, afin d’éviter d’en susciter moi-même de cette manière…
Or, en ce mois d’avril 2015, je sentais bien mes harceleurs tout à fait prêts à refaire un coup, la menace était bien là et j’avais bien relevé avec effroi les annonces publiques de PEC Luraghi, suivies de nouvelles discussions à propos du procès en appel alors tant attendu, notamment sur le blog d’un avocat ayant déjà publié un commentaire sur le jugement de première instance et que le malade mental susnommé citait fièrement sur sa grosse page de désinformation et calomnies publiques relative aux différents procès qu’il organisait à mon encontre avec tous ses complices harceleurs, cybercriminels et terroristes :
Ajouté le 28 janvier 2015
Fermé le 6 janvier par son hébergeur (voir plus haut), le blog http://petitcoucou.unblog.fr a été rouvert aujourd’hui. XXXXXXXXX X étale donc ses délires en boucle sur trois blogs, présentement… et ce à sept jours de son procès en appel à Rennes.
Ajouté le 29 janvier 2015
Une fois de plus − la sixième −, l’audience en appel qui aurait dû avoir lieu le 4 février, est reportée, probablement pour des raisons d’encombrement de ce Tribunal. Pour l’heure nous ignorons la date prévue pour cette future audience.
Ajouté le 4 février 2015
La date de l’audience en appel à Rennes est fixée au 9 avril.
Ajouté le 8 avril 2015
L’audience en appel est repoussée pour la septième fois à une date encore inconnue. Pendant ce temps XXXXXXXXX X. continue de délirer en mode paranoïaque, de harceler et d’injurier les magistrats brestois, moi-même, NEMROD34 et Josette publiquement sur trois blogs-miroirs, impunément.
Ajouté le 15 avril 2015
La date de l’audience-relais évitant l’extinction de l’affaire − la prescription est de trois mois pour la loi de 1881 sur la presse − est fixée au 7 juillet. La date de l’audience réelle n’est pas encore fixée. Nous en sommes donc à neuf reports successifs à ce jour.
Annonces donc suivies de cette discussion sur le blog de l’avocat le 17 avril 2015 :
Bonjour,
« Concrètement, les hébergeurs de contenus sur internet doivent les retirer dès qui leur sont signalés comme illicites par la vicitme de ces contenus pour ne pas courir de risque de sanctions pénales et civiles en qualité de complice de diffamation ou d’injure, le cas échéant. »
Sauf si le contenu n’est pas manifestement illicite, n’est ce pas?
En matière de droit comment fait-on la différence entre « certainement illicite » et « manifestement illicite »?
merci
Bonjour Erwan,
Compte tenu que le terme « manifestement illicite » n’est pas défini par la loi et les juges et que nul n’est censé ignoré la loi, on peut considérer que tout contenu illicite signifié comme tel aux sites internet hébergeurs de ces contenus par une victime est à supprimer par ces derniers sauf à ce que ces sites préfèrent risquer inutilement d’engager leur responsabilité.
Le terme de contenu « manifestement » illicite relève d’une appréciation subjective sur la licéité du contenu litigieux qui est source d’insécurité juridique.
Cordialement.
c’est effectivement plus sur de faire ce qui est demandé, mais des fois, il n’y a tellement rien d’illicite que le fondement juridique évoqué est tellement farfelu que l’on n’a pas envie d’obéir.
http://www.legalis.net/spip.php?page=jurisprudence-decision&id_article=3716
« étant précisé en outre que diffamation, à la supposer constituée, n’égale pas forcément trouble manifestement illicite »
c’est un référé donc cela parle d’un trouble, mais cela dit que quelque chose qui peut être illicite n’est pas forcément manifestement illicite.
Merci pour votre réponse Maitre.
Comment garantit-on la liberté d’expression dans ce cas la? Si je comprends bien, il « suffit » de se déclarer victime de diffamation pour déclarer un contenu illicite et le faire supprimer?
Si l’auteur fait valloir son droit à la liberté d’expression, que doit faire l’hébergeur?
Cher Erwan,
La liberté d’expression est garantie par défaut comme un principe constitutionnel.
Il n’en demeure pas moins que la victime de diffamation peut en effet déclarer un contenu comme illicite auprès d’un site internet hébergeur ou éditeur du contenu litigieux pour le faire supprimer.
La diffamation est donc une limite à la liberté d’expression que doit respecter le site internet hébergeur.
Cordialement.
à noter, que pour protéger la liberté d’expression, le législateur a mis :
« Le fait, pour toute personne, de présenter aux personnes mentionnées au 2 un contenu ou une activité comme étant illicite dans le but d’en obtenir le retrait ou d’en faire cesser la diffusion, alors qu’elle sait cette information inexacte, est puni d’une peine d’un an d’emprisonnement et de 15 000 EUR d’amende. »
dans l’article 6 de la lcen.
Bonjour Serge74,
Merci de votre contribution.
En effet, une sanction a été prévue par la loi pour les demandes de suppression abusives.
Cependant, la formulation de cette infraction est imparfaite s’agissant de la notion d’ « information inexacte » et justifie qu’en pratique aucune décision de justice n’ai prononcé à ce jour de sanction pour demande de suppression de contenus abusive.
Cordialement.
Merci Serge pour le lien,
« à noter, que pour protéger la liberté d’expression, le législateur a mis :… »
Cela sous entend que le plaignant a déclenché une action en justice, or ceci n’est pas nécessaire pour se déclarer un contenu litigieux, un lettre recommendé avec mise en demeure suffit.
Dans le cas de cet article:
« A l’audience, le représentant de la société Overblog a reconnu avoir eu rapidement connaissance des problèmes posés par le blog de Mme L et avoir décidé de ne pas intervenir et en particulier de ne pas eu à avoir à retirer les propos litigieux… »
Je comprends que Overblog aurait du agir bien avant que l’affaire ne soit jugée.
Et c’est bien la mon questionnement, ce cas la est un cas d’école, mais ce n’est pas parce que le plaignant se dit diffamé qu’il y a diffamation, or ceci semble suffisant pour attaquer un hébergeur s’il ne supprime pas le contenu soit disant litigieux, donc l’hébergeur prends un risque en maintenant du contenu déclaré litigieux par un plaignant.
Par conséquent, il doit se faire juge, et décider de lui même s’il trouve du contenu litigieux, non?
oui, il doit bien juger lui même du caractère manifestement illicite du propos tenu s’il est plutôt partant pour laisser le propos.
pour la notion d’ »information inexacte », c’est effectivement plus souvent de la mauvaise fois donc très difficile de prouver que le plaignant savait que c’est faux.
j’ai une fois reçu une notification, qui contient un propos, dont je peux prouver que l’auteur du propos savait ce propos inexact. Un courier à un procureur suffit à déclencher la justice ou il faut passer par un avocat, si je veux engager quelque chose ?
Publié par Maitre Anthony Bem
A Serge74, si l’auteur de la notification savait que le contenu prétendument litigieux n’était pas manifestement illicite, le site internet peut le faire citer devant le tribunal correctionnel, par le biais d’une citation directe.
Cela me semble tout de même une action très périlleuse et risquée.
Cordialement.
Le fait est que mes propos qualifiés de « manifestement illicites » par mes harceleurs et calomniateurs n’en étaient absolument pas et qu’en outre ces malfrats savaient parfaitement bien qu’ils n’étaient pas davantage diffamatoires à leur encontre, puisque je m’étais contentée de publier quelques droits de réponse à la suite de leurs campagnes de calomnies publiques massives à mon encontre, afin de rétablir un minimum de vérités d’abord sur moi-même.
Par exemple celle-ci : je suis bien ingénieur d’études en informatique comme je l’ai toujours dit et n’ai jamais eu nulle part aucune autre sorte d’emploi contrairement à ce que prétendent ces désinformateurs, harceleurs et calomniateurs publics.
Je rappelle ici qu’en définitive, par arrêt rendu le 2 décembre 2015 par la Cour d’Appel de Rennes, j’ai bien été relaxée de tous les chefs de poursuite, non pas seulement en raison d’une nullité de la procédure, laquelle n’aurait probablement pas plus été retenue en appel qu’en première instance si j’avais eu tort sur le fond, mais également parce qu’en plaidant subsidiairement l’exception de bonne foi en appel, je démontrais avoir toujours été dans mon bon droit avec les publications qui m’étaient reprochées à tort par mes harceleurs et calomniateurs, lesquels mentaient et ont toujours menti à tout le monde, d’abord à leur public, puis aussi aux juges tout au long de leurs procédures diverses à mon encontre, toutes abusives et calomnieuses.
Connaissant bien depuis le début la fragilité extrême de toutes leurs prétentions à mon encontre, puisqu’ils ont toujours su que tout ce qu’ils inventaient pour me calomnier était entièrement faux, ils ont toujours ponctué toutes leurs attaques judiciaires à mon encontre de ces attentats terroristes dans une espèce de volonté d’imposer tous leurs délires calomnieux à mon encontre envers et contre tout, le droit comme la réalité.
Voilà pourquoi il s’agit toujours, aussi, de violentes attaques contre l’Etat français et la République française dont aucune des lois en vigueur n’a jamais permis à PEC Luraghi de faire ce qu’il fait depuis 2008, c’est-à-dire, pour la partie qui a quasiment toujours été publique et visible pour tout le monde, de violer l’intimité de ma vie privée et celles de tous mes proches par divers moyens illégaux tels des piratages informatiques et des écoutes illégales, dans le but affiché de se renseigner à notre sujet pour pouvoir écrire et publier nos « biographies », que par ailleurs il a toujours romancées à l’extrême, vu qu’en réalité quasiment rien ne nous correspond, hors les identités et coordonnées qu’il avait obtenues illégalement dès le début et publiées tout aussi illégalement à maintes reprises à compter de juin 2010 – mais il a aussi toujours affirmé publiquement sa volonté de nous détruire avec toutes ses inventions calomnieuses à notre encontre.
Au mois de janvier 2015, c’est donc ce fameux procès en appel devant la Cour d’Appel de Rennes qui se préparait, l’audience étant alors fixée au 4 février 2015.
En parallèle aux procédures abusives qui s’engageaient à mon encontre depuis 2010, je tentais moi-même de faire condamner mes harceleurs afin de voir s’arrêter l’enfer qu’ils me faisaient subir au quotidien depuis 2008 et avais déposé contre eux plusieurs plaintes, dont une avec constitution de partie civile qui s’était soldée au mois d’octobre 2014 par un refus d’informer prématuré, sans que ne soit respecté mon droit à présenter des observations. Le juge d’instruction de Brest s’était alors empressé de satisfaire PEC Luraghi avec cette décision aux contenus mensongers qui effaçait l’intégralité de ses exactions à mon encontre, car les gendarmes toulousains qui enquêtaient sur l’assassinat de Patricia Bouchon le 14 février 2011 à Bouloc commençaient à s’intéresser à lui et à sa bande de dégénérés dits « déconnologues », effectivement auteurs de ce crime odieux et de bien d’autres : il fallait donc les blanchir de toute urgence pour qu’ils ne soient inquiétés par aucune enquête alors qu’ils effectuaient pour les magistrats brestois un travail formidable en recherchant et identifiant toutes mes anciennes connaissances afin d’éliminer définitivement tous ces témoins gênants de ma vraie vie.
L’on notera que ce refus d’informer illégal du juge d’instruction de Brest a par la suite été annulé par la Cour d’Appel de Rennes, comme quasiment toutes les autres décisions rendues par les juges brestois dans les affaires me concernant, que je sois partie civile ou accusée. Ces magistrats ultra CORROMPUS, tous complices du terroriste PEC Luraghi, mentent et affabulent au moins autant que lui et ne respectent bien évidemment pas davantage les lois de la République française.
Cette nouvelle annulation d’une décision illégale d’un juge brestois me concernant implique naturellement que j’avais immédiatement interjeté appel de son ordonnance de non-lieu – ou plutôt, de refus d’informer, puisqu’en réalité, le juge d’instruction m’opposait depuis le début le même refus d’informer totalement illégal – et qu’il aurait dû, conformément aux prescriptions du Code de Procédure Pénale, transmettre sans délai le dossier de l’information judiciaire ou sa copie à la Cour d’Appel de Rennes.
Or, ce juge d’instruction de Brest avait tranquillement attendu la commission des attentats de janvier 2015 à Paris et leurs premiers résultats avant de se décider, à la mi-janvier 2015, à transmettre enfin ce dossier à la Cour d’Appel de Rennes, après quoi, fin janvier 2015, avait été décidé un nouveau report de mon procès en appel devant cette même Cour, tandis que mon hébergeur Unblog me rendait mon blog « Petitcoucou », lequel avait été subitement et mystérieusement suspendu la veille des attentats, le 6 janvier 2015.
Le procès en prévision duquel avaient été organisés les attentats de janvier 2015 à Paris étant à nouveau reporté, il était évident que les terroristes allaient en commettre au moins un autre au moment pour eux le plus opportun, c’est-à-dire pour accueillir la décision qu’ils attendaient, et dont ils escomptaient bien évidemment qu’il s’agirait d’une confirmation de ma condamnation de juin 2013.
Ce furent les attentat du 13 novembre 2015 à Paris.
Comme à son habitude depuis le début de ses harcèlements à mon encontre, le chef PEC Luraghi me les avait annoncés à sa manière avec un peu d’avance, un mois plus tôt.
Pour en revenir à l’attentat manqué de Villejuif du 19 avril 2015, lequel apparaît bien avoir été commandité et organisé par les mêmes personnes que ceux de janvier et novembre 2015 à Paris, impliquant toujours les amis toulousains du trafiquant de drogue bien connu dans le Sud-Ouest Pascal Edouard Cyprien Luraghi, je fais remarquer encore une fois que la Brestoise Émilie Lechat-Boizumeau, qui manifestement n’y était quand même pas totalement étrangère, n’aura curieusement vraiment pas été trop inquiétée par la « justice ».
Je rappelle encore que lors de mon procès brestois, au printemps 2013, mon avocat s’étant contenté de demander une annulation de la procédure afin de permettre à la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et à son conseil David Rajjou de me calomnier publiquement dans la grande salle d’audience archi comble du Tribunal Correctionnel de Brest autant qu’ils le voulaient sans être aucunement dérangés par la moindre contradiction, la seule défense entendue sur le fond, et renouvelée par la suite lors d’interviews, avait été celle de mon ancien hébergeur de blog OVERBLOG arguant sur la liberté d’expression, laquelle fut donc le thème principal des attentats de janvier 2015 à Paris, en prévision de l’audience alors fixée au 4 février 2015 devant la Cour d’Appel de Rennes.
Puis il y eut une nouvelle série de reports, totalement inattendue pour mes harceleurs.
Aussi, l’attentat ordonné le 18 avril 2015 pour le lendemain à Villejuif apparaît finalement assez clairement comme une volonté de réaffirmer l’autorité du chef PEC Luraghi à la suite de nouvelles discussions publiques comme celle rapportée ci-dessus, du 17 avril 2015.
Attentat de l’Hyper Cacher : le commanditaire déjà à l’origine de la tentative d’attentat à Villejuif ?
C’est ce qu’avance une revenante de Syrie dans une déposition, révélée ce jeudi par le quotidien Libération. Explications.
Par David Leduc Publié le 4 Sep 20 à 12:13
Une revenante de Syrie, incarcérée à la prison de Fleury-Mérogis, a désigné son ex-mari comme commanditaire de l’attentat de l’Hyper Cacher. Ce dernier, présumé mort, est aussi suspecté d’être derrière l’attentat avorté de Villejuif (Val-de-Marne) en 2015.
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« Plausible »
Selon Libération, qui révèle les faits, le Parquet national antiterroriste a livré à la cours d’assises du procès des attentats de janvier 2015 la déposition d’une revenante de Syrie, Sonia M. Cette dernière, qui a rejoint la Syrie en 2014, affirme que son ancien mari est derrière l’attentat de l’Hyper Cacher, perpétré par Amedy Coulibaly. Il serait par ailleurs le commanditaire de l’attaque avortée contre une église de Villejuif, survenue en mars 2015.
À lire aussi : Attentat avorté de Villejuif en 2015 : un procès aux assises fin 2020
Son nom ? Abdelnasser Benyoucef. L’Algérien, combattant de l’Etat Islamique, aurait déclaré à son épouse Sonia M. en 2015 qu’il « avait trouvé la personne qui avait commis l’attentat de l’Hyper Cacher et il en vantait les mérites et disait qu’il était sincère envers Dieu ». Les sources judiciaires du quotidien Libération estime cette affirmation « plausible », voire « hautement probable ». L’homme est présumé mort depuis une attaque en Syrie survenue en mars 2016.
À lire aussi : Attentat de l’Hyper Cacher : à Saint-Mandé, un souvenir toujours vivace cinq ans après
Pour rappel, en mars 2015, Sid Ahmed Ghlam, étudiant algérien alors âgé de 23 ans et fiché S pour sa radicalisation, est soupçonné d’avoir voulu attaquer une église de Villejuif, au sud de Paris, à l’heure de la messe. Il a finalement renoncé à son projet et appelé les secours car il s’était tiré par accident une balle dans la jambe après avoir tué Aurélie Châtelain, croisée sur le parking où il préparait son assaut.
À lire aussi : Procès des attentats de janvier 2015 : Amedy Coulibaly, de la délinquance à l’islamisme meurtrier
https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Sid_Ahmed_Ghlam
Affaire Sid Ahmed Ghlam
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Attentat avorté de Villejuif en 2015 | |
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Localisation | Villejuif |
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Cible | Civils |
Date | 19 avril 2015 |
Morts | 1 |
Blessés | 0 |
Auteurs | Sid Ahmed Ghlam |
Participants | 1 |
Organisations | État islamique |
Mouvance | Terrorisme islamiste |
modifier |
L’affaire Sid Ahmed Ghlam, est une enquête menée sur un étudiant algérien, islamiste radical1, mis en examen dans le cadre du meurtre ou de l’assassinat d’Aurélie Châtelain et d’actes de terrorisme commis au nom de l’islam2.
Sommaire
Biographie
Enfance et études
Sid Ahmed Ghlam, surnommé Djillali, est né à Tiaret, dans la région d’Oran, en Algérie en 19913.
Il arrive avec sa famille en 2001 à Saint-Dizier et retourne en Algérie en 2003 faute de papiers en règle. Il y passe son baccalauréat en 2010 et retourne en France la même année4 dans le cadre du regroupement familial5. Il enseignait l’arabe à la mosquée El-Fath de Saint-Dizier affiliée à la Grande mosquée de Paris6. La presse indique qu’il a été étudiant de 2010 à 2012 à l’école d’informatique SUPINFO de Paris et la quitte au bout de sa deuxième année7. Cependant SUPINFO n’est pas en mesure de confirmer cette information du fait qu’il existe des risques d’homonymie, seul le nom de l’individu ayant été divulgué8.
En septembre 2014, il s’inscrit à l’université Pierre-et-Marie-Curie, mais ne participe ni aux cours ni aux travaux dirigés (TD). L’université a engagé une procédure contre lui pour falsification de note9. L’UNEF est accusée par le Canard Enchaîné, qui cite une source ministérielle, d’avoir aidé Sid Ahmed Ghlam. L’UNEF rétorque que « Ghlam indique qu’il a été boursier échelon 6 (correspondant à une aide de 4 768 euros par an)… Ses demandes de logement ont fait l’objet d’un traitement prioritaire »10.
En 2015, il habite dans une résidence étudiante, rue Julie-Daubié à proximité de la Bibliothèque nationale de France, dans le 13e arrondissement de Paris. Le weekend, il rejoint sa famille dans le quartier sensible du Vert-bois à Saint-Dizier. Selon les médias, certains de ses proches à Saint-Dizier se sont rapprochés des thèses de l’islam radical11. Son frère et sa belle-sœur appartiendraient à la mouvance tabligh12.
Radicalisation
Il séjourne en 2013 et 2014 dans le quartier Croix-Rouge de Reims. Le domicile de Saïd Kouachi, le tueur de Charlie Hebdo, se trouve alors à quelques dizaines de mètres. La police évoque des liens possibles entre Sid Ahmed Ghlam et la « bande des Buttes-Chaumont »13,14.
En février 2014, il passe une semaine en Turquie. Il est placé en garde à vue à son retour. Selon le procureur de Paris, aucun élément ne permet de « justifier l’ouverture d’une information judiciaire ». Il est néanmoins l’objet d’une fiche des renseignements français notamment pour « velléité de départ en Syrie ». Cette « fiche S » (« Sûreté de l’État ») implique son placement sous surveillance policière « sans attirer l’attention »15.
Au printemps 2014, son petit frère de 9 ans signale « que son frère se radicalise ». La police est prévenue. Des écoutes téléphoniques menées à la suite, probablement en 2014 et 2015, n’ont rien révélé ; ce que le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve justifie par le fait que « les moyens technologiques utilisés (…) sont de plus en plus sophistiqués »16.
Le suivi lancé en 2014 depuis l’alerte à la radicalisation de Sid Ahmed Ghlam n’a rien donné. C’est « parce que la nouvelle menace terroriste qui plane sur la France se caractérise par des techniques de dissimulation que les services secrets peinent à contrer. Cette technique a même un nom, la taqiya »17.
Le 15 octobre il se rend en Algérie, ce qui n’inquiète pas les services de renseignement, puisqu’il emprunte régulièrement cette destination pour se rendre dans sa nation d’origine. Depuis l’Algérie, le 29 octobre, il se rend à Istanbul, en Turquie, où il reste un mois. On lui paye alors des « frais de retour » (2000 euros), en échange de contreparties à venir18.
Assassinat et tentatives d’attentats
Meurtre d’Aurélie Châtelain | |
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Localisation | Villejuif , France |
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Cible | civils |
Date | 19 avril 2015 |
Type | fusillade , meurtre |
Armes | arme de poing , kalachnikov |
Morts | 1 |
Blessés | 1 (le terroriste) |
Auteurs | Sid Ahmed Ghlam |
Participants | 1 |
Organisations | État islamique |
Mouvance | Terrorisme islamiste |
modifier |
En 2015, il effectue des repérages autour des deux principales églises de Villejuif : l’église Saint-Cyr-Sainte-Julitte au centre ville et l’église Sainte-Thérèse au nord19. Selon l’historien Camille Pascal, cette ville au nom symbolique n’aurait pas été choisie au hasard et lui permettait de cibler deux religions en même temps20.
L’examen de son ordinateur révèle qu’il prévoyait également de s’en prendre à la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre, à Paris21.
Le samedi 18 avril, « Sid Ahmed Ghlam reçoit plusieurs nouveaux messages l’incitant « fortement » à passer à l’acte »22. Toujours selon le procureur, le dimanche 19 avril, tôt le matin, il tente de voler la voiture d’Aurélie Châtelain à Villejuif. Celle-ci est tuée d’une balle dans le cœur et il aurait ensuite brûlé la voiture, qui contenait le corps de la jeune femme, avant de regagner le 13e arrondissement.
Le dimanche 19 avril 2015, il préparait à l’heure de la messe un attentat contre les deux églises qu’il avait repérées. D’après le curé de Saint-Cyr-Sainte-Julitte, il y aurait eu « un carnage » car l’église accueille 300 personnes le dimanche23,24.
À 8 h 50, il appelle le SAMU car il est blessé gravement à la hanche et à la rotule par deux balles. Selon les enquêteurs, il se serait lui-même blessé au cours de la tentative de vol du véhicule. Interrogé par la police, il évoque un règlement de comptes. La police remonte les traces de sang et arrive à son véhicule, une Renault Mégane dans laquelle elle trouve un gyrophare, un fusil d’assaut Kalachnikov et un revolver. Les enquêteurs perquisitionnent son domicile et trouvent trois Kalachnikov supplémentaires, des gilets pare-balles25, un minutage précis entre les églises ciblées et les commissariats les plus proches. Il est placé en garde à vue et hospitalisé à l’Hôtel-Dieu26. La garde à vue est prolongée au maximum prévu dans les cas de risque d’attentat maximum.
Selon François Molins, procureur de la République, au moment de son arrestation, il « était en contact avec une autre personne pouvant se trouver en Syrie avec laquelle il échangeait sur les modalités de commission d’un attentat, ce dernier lui demandant explicitement de cibler particulièrement une église »27.
Victime
Aurélie Châtelain était mère d’une fille de cinq ans. Elle avait 32 ans. Elle était originaire de Caudry. Elle a été retrouvée dans sa voiture, dans un début d’incendie, à Villejuif après avoir été tuée par balle. Les enquêteurs pensaient initialement que le motif du meurtre était une tentative de vol de la voiture28. Après coup, ils supposent plutôt que Sid Ahmed Ghlam aurait voulu tuer Aurélie car il « la suspectait d’être un agent du renseignement. Il aurait été intrigué par la présence de cette voiture, au milieu de la rue, et de cette femme assise sur le siège passager avec un ordinateur portable sur les genoux28. »
Elle était professeur de fitness et ancienne conseillère municipale de Caudry. Elle allait participer à un stage à Villejuif pour se perfectionner dans son métier en prenant des cours de pilates29,30.
Le dimanche 26 avril 2015, trois mille personnes participent à une marche blanche dans sa ville d’origine, Caudry31.
Tandis que sa meilleure amie la considère comme une « héroïne », Guy Bricout, le maire de Caudry, suggère que « le décès d’Aurélie avait permis de sauver des vies »32 et demande qu’elle soit décorée de la Légion d’honneur à titre posthume33. Sa fille aura le statut de pupille de la Nation34.
Le 5 janvier 2016, on apprend qu’Aurélie Châtelain ne figure pas parmi les victimes des récents attentats décorées de la légion d’honneur. Le maire de sa commune fait aussitôt part de sa grande déception et de son incompréhension35. Il est alors annoncé que l’omission source de polémique sera réparée lors de la promotion de Pâques 201636. Elle fait finalement l’objet d’une nomination exceptionnelle le 18 mars 201637.
En hommage, son nom a été donné au Palais des Sports de Caudry38.
Version de Sid Admed Ghlam
D’après ses avocats : « Il a reconnu avoir été à Villejuif le 19 avril 2015 en présence d’un autre individu. Il conteste en revanche toute responsabilité dans la mort d’Aurélie Châtelain et a également affirmé avoir fait ce qu’il fallait pour empêcher la commission d’un attentat ce jour-là ». Il ne donne pas plus de détail sur cet autre individu39.
L’un des avocats de la famille d’Aurélie Châtelain, Antoine Casubolo Ferro, réfute cette version : « Il faut qu’il en dise plus, car pour l’instant la réalité du dossier ne correspond pas du tout à ses déclarations … Il faut qu’il s’explique sur toutes les preuves et les traces qui donnent la certitude qu’il a été en contact avec Aurélie Châtelain »40.
Commanditaire et complicités
Présumés complices
Sid Admed Ghlam ne semble pas être un loup solitaire. En plus du fait qu’il possédait trop d’armes pour un seul homme41, les enquêteurs ont trouvé que « Sid Ahmed Ghlam reçoit en effet l’ordre de passer à l’acte, même seul, même si « il » ne le rejoint pas ». Ils recherchent activement ce « il »42.
- le 25 avril 2016 à Colombes (ou aux Mureaux selon une autre source43), un homme âge de 33 ans est interpellé. Il est connu des services de police pour des affaires de vols et de drogues44, notamment trois ans ferme pour un vol avec violence dans un magasin Aldi en 200945. Son ADN, inscrit au Fichier national automatisé des empreintes génétiques, est retrouvé sur des gilets pare-balles et dans la Mégane46. Il est mis en examen le 29 avril, pour association de malfaiteurs en vue de commettre des crimes liés à une entreprise terroriste. Il parle d’une tierce personne qui serait le commanditaire47.
- le 26 avril 2015 à Saint-Ouen, un homme de 32 ans est interpellé. Son ADN est retrouvé sur une brosse à cheveux de l’appartement de Sid Ahmed Ghlam. Il est relâché le 29 avril.
- le 26 avril 2015, un homme de 33 ans est interpellé. Il est le gérant d’un garage de Pierrefitte-sur-Seine. Son nom apparaît dans les communications cryptées de Sid Ahmed Ghlam48,49. Il est rapidement sorti de garde à vue.
- le 7 juin 2015, deux hommes, âgés de 35 et 39 ans, sont interpellés à leur domicile de Limay et Mantes-la-Jolie dans les Yvelines. Bernard Cazeneuve déclare : « Il appartient maintenant à l’enquête de déterminer le rôle exact que ces deux individus ont pu jouer au sein de l’entourage de Sid Ahmed Ghlam »50,51.
- un an plus tard, le 15 novembre 2016, quatre complices présumés sont arrêtés à Osny, Éragny (Val-d’Oise), aux Mureaux et à Sartrouville (Yvelines)52.
Commanditaire, complices et implication
Les armes ont été récupérées dans une voiture volée de type Renault Mégane stationnée sur une place de stationnement de la commune d’Aulnay-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis.
Le terroriste a ensuite récupéré une seconde voiture, de type BMW 318, dans un garage de Pierrefitte-sur-Seine (toujours en Seine-Saint-Denis) où opéraient ses complices « Vega » (pseudonyme de Macreme Abrougui) et Thomas (Thomas Mayet). Ils sont allés en Syrie début 2015. Ces deux complices ont été endoctrinés par Fabien Clain, un toulousain né à l’île de la Réunion qui est aussi le fondateur du « clan des Belphégor » dans le quartier toulousain du Mirail. Fabien Clain était également un proche d’Olivier Corel, surnommé « l’émir blanc », qui organisait des réunions dans sa ferme d’Artigat, cellule très liée au terrorisme djihadiste.
Rabah B., connu sous le surnom de « le Kabyle », est supposé avoir livré les armes cachées dans la voiture Mégane53.
Macreme Abrougui
Macreme Abrougui est un terroriste islamiste de nationalité française originaire de Seine-Saint-Denis, en banlieue parisienne54. Il est garagiste de profession. Il est proche de Fabien Clain avec lequel il quitte la France au printemps 2015 pour rejoindre les territoires contrôlés par l’État islamique en Irak et en Syrie54.
Plusieurs médias français annoncent en octobre 2016 sa mort qui serait survenue le 7 du même mois au cours de frappes aériennes françaises dans les environs de Raqqa, la capitale du groupe djihadiste54.
Compagne du mis en examen
Émilie Lechat-Boizumeau55 est élevée dans une famille catholique. Elle effectue toute sa scolarité à Brest. Elle obtient à Vannes, un BEP dans la restauration. Elle a deux garçons à 19 puis 21 ans56. Elle se marie à un Brestois du quartier sensible de Pontanézen. Son mari est « connu des services de police pour des faits de grande délinquance », et se serait converti à l’islam pendant une peine effectuée à la prison brestoise de l’Hermitage57. Elle se convertit alors aussi à l’islam à 22 ans. Elle adopte la burqa comme une quinzaine de femmes de Pontanézen. Rachid Abou Houdeyfa, l’imam salafiste de la mosquée du quartier déclare qu’il ne la connaît pas car, dit-il, « les gens qui sombrent dans l’islam radical ne nous fréquentent pas. Ils ne supportent pas certains prêches ». Émilie part alors pour Saint-Dizier. Son nouveau compagnon a un frère arrêté en 2014 en Belgique pour possession d’armes de guerre. Sid Ahmed Ghlam devient son compagnon un peu plus tard « mais Aouali, la mère de Sid Ahmed, avait refusé qu’ils se marient, raconte un ami. Parce qu’elle est plus âgée que lui et qu’elle avait déjà été mariée »3.
En février 2015, elle se présente entièrement voilée dans une grande surface de Gouesnou. Ce qui provoque l’intervention de la gendarmerie58.
Le 22 avril 2015, elle est arrêtée à Saint-Dizier. Les voisins parlent d’elle comme d’une femme discrète, convertie à l’islam radical, qui ne sort de chez elle que pour aller chercher ses enfants à l’école en burqa. Les volets de sa maison sont toujours clos. C’est la seule femme en burqa du quartier sensible du Vert-Bois à Saint-Dizier. Le voisinage « confie avoir vu des hommes à la nuit tombée rendre visite à plusieurs reprises à la jeune femme »59,60. Les enquêteurs disposent de trois éléments à charge :
- Elle possédait des clés de chiffrement permettant d’échanger des messages cryptés.
- Sid Ahmed Ghlam possédait un deuxième téléphone dédié uniquement à l’appeler.
- Un des derniers SMS qu’il ait envoyé à son contact syrien était : « Après le coup, j’irai me réfugier chez Jennifer ». Jennifer est le nom d’Émilie Lechat-Boizumeau dans le répertoire de Sid Ahmed Ghlam61.
Le 24 avril 2015, elle sort libre de sa garde à vue sans être mise en examen.
Réactions
Selon Bernard Bajolet le 22 avril, le directeur général de la Sécurité extérieure, ses hommes ont déjoué six attentats depuis le début 2015, cependant, le lendemain, Manuel Valls parle de cinq attentats déjoués y compris celui-ci. L’attaque planifiée ici serait le septième attentat évité62. 20 minutes note l’importance de la communication gouvernementale, en plein débat sur la loi Renseignement, au sujet d’un événement qui, de l’avis d’un officier de la DGSI, montre les failles des services de renseignement63.
Événements potentiellement liés
Dans la nuit du 23 au 24 avril 2015, un incendie volontaire ravage la salle de prière musulmane de Pargny-sur-Saulx dans la Marne, la sœur de Sid Ahmed Ghlam y donnait des cours64,65.
Incarcération
Le 20 novembre 2015, l’administration pénitentiaire découvre au moins une puce téléphonique dans sa cellule d’isolement à la prison de Fresnes. Il a ainsi, pendant les premiers mois de sa détention, communiqué avec l’extérieur. Ces appels ont cessé le jour même des attentats du 13 novembre 201566.
Il est alors transféré au centre pénitentiaire de Beauvais, où les brouilleurs d’ondes sont plus sophistiqués67.
En avril 2019, l’instruction durant depuis quatre ans sans procès, il a atteint la limite que la loi fixe pour la détention préventive. De manière exceptionnelle, cette détention a été prolongée de quatre mois. De manière encore plus exceptionnelle, elle pourrait être prolongée une deuxième et dernière fois, toujours de quatre mois68.
Références
Articles connexes
- (en) « Attentat évité à Paris : « Un islamiste radical dangereux » » [archive], MYTF1NEWS
- (en) « VIDÉO. Attentats déjoués à Paris : mis en examen, Sid Ahmed Ghlam “conteste tous les faits” – France 3 Paris Ile-de-France » [archive], France 3 Paris Ile-de-France
- De notre envoyée spéciale en Haute-Marne Pauline Delassus, « Terrorisme – Les deux visages de Sid Ahmed Ghlam » [archive], ParisMatch.com, 1er mai 2015
- AFP, « Attentat «évité»: Sid Ahmed Ghlam, un étudiant attiré par le jihad », Libération, 22 avril 2015 (lire en ligne [archive]).
- Benjamin Hue, « Attentat déjoué à Paris : qui est Sid Ahmed Ghlam, l’islamiste interpellé dimanche ? », rtl.fr, 22 avril 2015 (lire en ligne [archive]).
- Margaux Rolland, « Les deux visages de Sid Ahmed Ghlam », Paris Match, 1er mai 2015 (lire en ligne [archive])
- Avec Paule Gonzales et Jean-Marc Leclerc, « Qui est le suspect qui s’apprêtait à commettre un attentat près de Paris ? – Projet d’attentat à Paris : ce que l’on sait du suspect », lefigaro.fr, 22 avril 2015 (lire en ligne [archive]).
- D’après le communiqué de presse de SUPINFO International University du 25 avril 2015.
- Reportage i-télé, le 23 avril 2015
- Matteo Maillard, « L’UNEF dément avoir aidé le suspect des attentats déjoués en Ile-de-France à se loger » [archive], Le Monde.fr
- « France/Monde – Sid Ahmed Ghlam, un étudiant féru d’informatique, attiré par le djihad » [archive], ledauphine.com
- « Le suspect de l’attentat déjoué n’avait pas le profil d’un délinquant radicalisé » [archive], Le Monde.fr
- La Rédaction avec Reuters, « La police soupçonne des connexions entre Sid Ahmed Ghlam et les frères Kouachi », lci.tf1.fr, 28 avril 2015 (lire en ligne [archive]).
- M.D., « Le retour des Buttes-Chaumont – Sid Ahmed Ghlam lié aux frères Kouachi ? » [archive], ParisMatch.com, 28 avril 2015
- « La police déjoue fortuitement un projet d’attentat à Villejuif » [archive], Le Monde.fr
- Constance Longobardi, « Attentat de Villejuif : Sid Ahmed Ghlam avait été dénoncé par son petit frère » [archive], sur Le Figaro, 19 mai 2015
- « La taqiya, l’art de dissimuler la menace terroriste aux services de renseignement » [archive], RTL.fr
- https://www.lemonde.fr/police-justice/article/2015/08/03/la-genese-du-projet-racontee-par-sid-ahmed-ghlam_4709536_1653578.html [archive] Sid Ahmed Ghlam, entre les mailles du filet LE MONDE | 03.08.2015 Par Soren Seelow
- « Sid Ahmed Ghlam avait fait des repérages autour des églises [archive] », sur http://www.leparisien.fr [archive].
- « Une église à Villejuif » [archive], Valeurs Actuelles, 30 avril 2015.
- « Attentats déjoués : Sid Ahmed Ghlam ciblait le Sacré-Cœur », Ouest France, 25 juin 2015 (lire en ligne [archive], consulté le 2 décembre 2015)
- « Attentat déjoué : Sid Ahmed Glham a récupéré ses armes dans un véhicules en banlieue [archive] », sur le http://www.leparisien.fr [archive].
- « Attentat déjoué à Villejuif: « On a évité un carnage… » » [archive], sur L’Est-Éclair, 22 avril 2015
- « Projet d’attentat à Villejuif : « On a évité un carnage » confie le curé » [archive], sur Midi libre, 22 avril 2015
- « Attentat déjoué à Paris : qui est Sid Ahmed Ghlam, l’islamiste interpellé dimanche ? » [archive], RTL.fr
- (en) « Paris police arrest man planning attacks on church service after he shot himself » [archive], Telegraph.co.uk, 22 avril 2015
- Attentat déjoué à Paris : des documents liés à l’État islamique retrouvés [archive], Le Point.
- « Pourquoi Sid Ahmed Ghlam a-t-il tué Aurélie Châtelain ? [archive] », Francetvinfo.fr, publié le 23 avril 2015.
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- « Meurtre d’Aurélie Châtelain à Villejuif : la ville de Caudry assommée [archive] », La Voix du Nord, le 20 avril 2015.
- Attentat déjoué : des complices présumés de Sid Ahmed Ghlam placés en garde à vue [archive], publié sur 24matins.fr.
- « La meilleure amie d’Aurélie Châtelain témoigne: « Pour moi, c’est une héroïne » » [archive], sur La Voix du Nord, 22 avril 2015
- « La légion d’honneur pour Aurélie Châtelain » [archive], sur Le Figaro, 22 avril 2015
- « Obsèques d’Aurélie Châtelain, sa fille devient pupille de la Nation » [archive], France Info, 29 avril 2015.
- Les proches d’Aurélie Châtelain font part de leur amertume et de leur incompréhension [archive]
- « Aurélie Chatelain sera finalement décorée de la Légion d’honneur après une omission polémique », AFP, 7 janvier 2016 (lire en ligne [archive])
- Décret du 18 mars 2016 portant nomination dans l’ordre national de la Légion d’honneur [archive]
- « Caudry – Le palais des sports baptisé Aurélie-Châtelain devant quelque 250 personnes » [archive], sur La Voix du Nord, 2 novembre 2018
- « Sid Ahmed Ghlam affirme avoir «empêché» l’attentat de Villejuif » [archive], Le Figaro
- « Les avocats d’Aurélie Châtelain accablent Sid Ahmed Ghlam » [archive], 20minutes.fr
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- « Attentat déjoué à Paris : la piste de la complicité se précise dans le dossier Sid Ahmed Ghlam » [archive], RTL.fr
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- Par L’ ObsVoir tous ses articles, « Villejuif : quel rôle ont pu jouer les complices présumés de Sid Ahmed Ghlam ? » [archive], L’Obs, 8 juin 2015
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- Qui est Macreme Abrougui, djihadiste français proche de Fabien Clain ? [archive] sur lexpress.fr le 17 octobre 2016.
- « Affaire Sid Ahmed Ghlam : La maison d’Emilie Lechat-Boizumeau cambriolée » [archive], jhm.fr
- « Sid Ahmed Ghlam, un suspect surveillé d’un peu trop loin » [archive], Libération.fr
- / Didier Déniel et AFP /, « Le Télégramme – France – Attentat déjoué. Ghlam mis en examen » [archive], Le Telegramme, 25 avril 2015
- Mickaël LOUÉDEC, « Attentats déjoués. La radicalisation d’une Brestoise ex amie de Ghlam » [archive], Ouest-France.fr
- Michel Veron, « Qui est Emilie L., l’intrigante « copine » de Sid Ahmed Ghlam ? » [archive], MYTF1NEWS, 24 avril 2015
- Le Point, magazine, « Attentat déjoué : qui est Sid Ahmed Ghlam, l’étudiant arrêté à Paris ? » [archive], Le Point
- « Attentat déjoué : que savait la compagne de Sid Ahmed Ghlam ? » [archive], France info
- « EN DIRECT. Attentats déjoués à Paris: « nous sommes toujours sous la menace terroriste », déclare François Hollande » [archive], www.francesoir.fr
- « Comment un coup de chance de la police s’est transformé en coup de com’ gouvernementale » [archive], 20minutes.fr
- « En continu » [archive], TV5MONDE
- AFP, « Incendie d’une salle de prière musulmane dans la Marne : 5 suspects présentés à un juge » [archive], MYTF1NEWS, 21 mai 2015
- « Attentat déjoué de Villejuif : Sid Ahmed Ghlam continuait à téléphoner en prison » [archive], sur leparisien.fr (consulté le 30 avril 2016)
- « Le terroriste présumé Sid Ahmed Ghlam a pu téléphoner depuis sa cellule » [archive], sur France info (consulté le 30 avril 2016)