Jean-Claude Gaudin, ex « Trottinette », en garde à vue

J’en parlais justement dans cet article du 27 janvier dernier :

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/01/27/quand-francois-leotard-etait-encornet/

Et hop ! le v’là en garde à vue…

 

https://www.lemonde.fr/politique/article/2021/02/17/jean-claude-gaudin-en-garde-a-vue-dans-le-cadre-d-une-enquete-pour-detournement-de-fonds_6070288_823448.html

Jean-Claude Gaudin en garde à vue dans le cadre d’une enquête pour détournement de fonds

 

La chambre régionale des comptes avait critiqué dans un rapport une « gestion des départs en retraite pour le moins coûteuse » à la Ville de Marseille, avec plusieurs maintiens en fonctions jugés « illégaux » au cabinet du maire.

Le Monde avec AFP

Publié aujourd’hui à 13h28, mis à jour à 14h40

 

Jean-Claude Gaudin lors d’une visite de la future base nautique olympique à Marseille, en juin 2020.
Jean-Claude Gaudin lors d’une visite de la future base nautique olympique à Marseille, en juin 2020.CLEMENT MAHOUDEAU / AFP

 

Sept mois après avoir quitté son fauteuil de maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin, 81 ans, a été mis en garde à vue mercredi 17 février, selon des sources proches du dossier, confirmant une information du site local Marsactu. Le domicile de l’ancien homme fort de Marseille, qui a dirigé la deuxième ville de France pendant vingt-cinq ans, avait été perquisitionné la veille, « dans le cadre d’une information judiciaire ouverte le 11 juin 2019 des chefs principaux de détournement de fonds publics par une personne chargée d’une mission de service public et de recel de ce délit », avait alors précisé le Parquet national financier (PNF).

« Cette information judiciaire concerne la situation de personnes qui ont poursuivi leur activité en ayant dépassé l’âge légal de départ à la retraite », selon une source judiciaire. Elle porte sur des faits datant de la période où M. Gaudin était en fonctions.

Contactés par l’Agence France-Presse, l’avocat de M. Gaudin n’a pas immédiatement répondu et plusieurs membres de son entourage n’ont pas souhaité réagir.

Lire aussi Gestion des emplois municipaux à Marseille : Jean-Claude Gaudin se rapproche d’un procès

 

Un préjudice de plus d’un million d’euros par an

Dans un rapport au vitriol rendu à la fin de 2019, la chambre régionale des comptes avait critiqué la gestion de la ville par M. Gaudin, des finances au personnel en passant par l’immobilier. La chambre s’était notamment étonnée d’une « gestion des départs en retraite (…) pour le moins coûteuse » à la Ville de Marseille, avec plusieurs maintiens en fonctions jugés « illégaux » au cabinet du maire. Pour les magistrats de la chambre régionale des comptes, la Ville avait « sciemment » enfreint les règles légales sur la retraite et ainsi causé un préjudice de plus d’un million d’euros par an au contribuable.

Les faits ont été révélés dans le cadre d’une autre enquête préliminaire menée par le PNF sur la gestion du temps de travail des agents municipaux de Marseille, terminée en décembre, et pour laquelle M. Gaudin pourrait être renvoyé devant un tribunal correctionnel, ainsi que six de ses proches. Ce dossier est actuellement en phase contradictoire, a appris l’AFP de source proche du dossier, et « aucune orientation n’a été prise pour l’instant ». Dans ce volet, le PNF lui reproche notamment l’existence d’heures supplémentaires indues et un absentéisme injustifié des agents, notamment au Samusocial.

Après plus de vingt ans aux mains de la droite et alors que M. Gaudin se retirait de la vie politique, la mairie de Marseille a été remportée par la coalition de gauche du Printemps marseillais en juillet. Le nouveau maire socialiste de la ville, Benoît Payan, a fustigé au début du mois un héritage financier « catastrophique », estimant que « l’argent public [avait] été gaspillé, jeté, bradé ».

Lire aussi : Du coup de sang de la docteure Rubirola à la prise de la mairie, les épisodes marquants de la campagne municipale
 

Le Monde avec AFP

 



Une loge franc-maçonne dissoute pour cause de complots criminels…

Affaire intéressante où l’on retrouve le même genre de « complots » assassins auxquels j’ai toujours été confrontée quasiment depuis le début des harcèlements dont j’ai été victime d’abord dans le travail, puis de manière systématique dans tous les domaines et absolument partout, quoi que je fasse ou ne fasse pas… la comploteuse en chef pour les Brestois étant la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest depuis de très nombreuses années…

L’on notera qu’elle est associée dans le Finistère à un frontiste ou lepéniste de très longue date qui a écrit sur ses pages Facebook personnelles :

 

https://www.facebook.com/jacques.fornes/friends

DGSE

C’est bien tout s’organise avec des gens compétents Souvenir de mes début au FN il y as très longtemps ou on s’organisait au jour le jour !!!!

 

L’un et l’autre sont issus des rapatriés d’Algérie en raison de la guerre de 1954 à 1962.

La première avait un père gendarme en poste à Orléansville à cette époque, comme indiqué ici :

http://petitcoucou.unblog.fr/2020/01/06/deces-de-paul-brenterch-du-npa-de-brest-le-22-decembre-2016/

Elle doit toujours y avoir des amis, car mon lecteur ou mes lecteurs algériens les plus réguliers ont toujours été de Chlef, depuis 2010.

Par ailleurs, un certain nombre de tous ses grands amis et complices, surtout ceux de l’extrême-gauche qui à l’instar du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi se targuent d’avoir réussi à échapper au service militaire, qui en se faisant passer pour un malade mental, qui en se présentant comme objecteur de conscience à défaut d’avoir réussi à berner le médecin militaire, seront certainement très heureux d’apprendre qu’elle a fait son service militaire sans y être aucunement obligée, celui-ci n’ayant jamais été obligatoire pour les femmes en France – c’est une possibilité qui ne s’est offerte à elles qu’à compter de l’année 1970, tout comme celle de faire son service dans la gendarmerie.

 

https://www.liberation.fr/societe/police-justice/cellule-criminelle-de-barbouzes-une-loge-franc-maconne-dissoute-20210213_A56BIVKQQJFPVF6RB4WZVUAECA/

Cellule criminelle de barbouzes : une loge franc-maçonne dissoute

 

Alors que les investigations se poursuivent à une cadence soutenue depuis cet été sur le projet d’assassinat impliquant membres de la DGSE, anciens du contre-espionnage et agents de la sécurité privée, le ménage est en cours dans la loge qu’ils fréquentaient.

Une loge franc-maçonne dissoute pour cause de complots criminels... dans AC ! Brest UTFVJOOIJ5FDFP2RTOOXPMCLR4

Dans l’affaire, sont impliqués des membres de la DGSE, des anciens du contre-espionnage et des agents de la sécurité privée. (Aimee THIRION/Libération)

par Laurent Léger

publié le 13 février 2021 à 9h00

 

Vertigineuses ou profondément désolantes, c’est selon : les découvertes de la police judiciaire, chargée par deux juges parisiens de faire depuis l’été 2020 la lumière sur les agissements d’une cellule criminelle réunissant agents de l’Etat dévoyés et freelances œuvrant dans la sécurité privée, s’accumulent. Dans cette officine figureraient des gardes de sécurité de la DGSE, employés sur le site du service Action à Cercottes, ainsi que d’anciens membres de la DGSI passés dans le privé.

Les conditions financières étaient ridicules : autour de 50 000 euros, que les assassins et leurs complices devaient se partager, pour tuer une coach en entreprise sur instruction d’un concurrent. Les enquêteurs sont toujours en train d’approfondir un contrat destiné à priori à secouer la famille d’une ancienne associée, avec à la clé un incendie de voiture qui dégénère, un autre projet criminel ayant conduit à l’élimination d’un coureur automobile, ainsi que des plans foireux de vente de pierres précieuses ou de trafics d’armes. Les projets criminels étaient évoqués avec la même indifférence que les autres missions…

Les faits remontent au 24 juillet. Les policiers prévenus par un riverain contrôlent deux hommes dans une voiture à Créteil (Val-de-Marne). A l’intérieur du véhicule volé, les agents découvrent des couteaux de l’armée et un sac contenant une arme prête à servir. Les deux occupants sont placés en garde à vue. Ils «semblaient s’apprêter à mettre à exécution un projet criminel au préjudice d’une femme âgée de 54 ans» habitant à proximité, avait précisé le parquet. En l’occurrence, Marie-Hélène Dini, coach en entreprise.

Chaîne de recrutement

Dans le dossier, neuf personnes sont mises en examen, dont quatre militaires des services secrets en activité. Huit dorment sous les verrous. Et l’affaire, qui secoue la DGSE comme le milieu du renseignement privatisé, a également mis en émoi une obédience franc-maçonne : la Grande Loge de l’alliance maçonnique française (GL-AMF).

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5 août 2020

Créée au printemps 2012 à la faveur d’une scission d’une autre obédience, la GL-AMF compte quelque 15 000 membres et 680 loges en France. Mais l’une d’entre elles n’existe plus depuis le 4 février : Athanor – ainsi s’appelaient au Moyen Age les fourneaux des alchimistes -, installée à Puteaux, dans les Hauts-de-Seine, a été fermée fissa par le nouveau «grand maître» (le chef) de l’obédience, qui a pris ses fonctions en décembre. Quatre des membres de cette officine du crime que la justice démantèle actuellement en étaient membres – du moins jusqu’à l’année dernière -, ce qui pourrait selon la justice expliquer la hiérarchie mise en place dans la chaîne de recrutement des éventuels assassins et de leurs complices. Le commanditaire supposé de la tentative de meurtre de la coach Marie-Hélène Dini avait été en tout cas le «vénérable» d’Athanor, c’est-à-dire son patron, mais «il n’a pas payé sa cotisation depuis un an, donc il n’était plus membre», souligne un ancien responsable.

«Ils y ont comploté»

Doté du matricule 8980 au sein de l’obédience, un autre protagoniste de l’affaire, dont le rôle était selon les enquêteurs celui d’un recruteur, est lui aussi un ex-vénérable de la loge. Il aurait joué un rôle pivot dans l’assassinat du coureur automobile, probablement exécuté à cause de ses dettes, et dans un projet visant un syndicaliste. Un autre des recruteurs, commandant retraité de la DGSI après avoir effectué son parcours aux renseignements généraux de la préfecture de police puis de la direction centrale des RG, suivait lorsqu’il était en activité le secteur de l’extrême gauche puis le dossier des sectes. Ancien du Grand Orient, il avait finalement rejoint Athanor avec ses comparses, endossant le matricule 12475, au moment de la création de la GL-AMF. Tous ont été suspendus de l’obédience en même temps que la loge a été fermée.

«Ils s’y sont rencontrés, ils y ont comploté, ils ont déshonoré ce qui à la base est une entreprise d’élévation philosophique. Cela démontre qu’aucune institution n’est à l’abri de ceux qui la détournent à leur seul profit – armée, police, sociétés de sécurité», analyse Joseph Cohen-Sabban, avocat de Marie-Hélène Dini, sollicité par Libération. Dans un communiqué, la GL-AMF rappelle «qu’en tant qu’obédience maçonnique, elle prône le respect strict et absolu de toutes les lois en vigueur dans notre République ainsi que la pratique de toutes les vertus morales et civiques». Les protagonistes de l’affaire sont suspendus, poursuit le communiqué, «jusqu’à ce que la justice établisse la vérité quant aux faits et à la participation de ces membres à cet acte criminel».

 



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