Mis en examen pour harcèlement et agressions sexuelles, François Asselineau se défend

 

 

 

Après le fétichiste des pieds qui fait quelques erreurs d’anatomie (il faudrait que son avocat se dévoue pour lui expliquer, enfin, où s’arrête le pied d’une femme), voilà celui qui se jette sur les messieurs…

C’est encore assez original.

Et il s’agit encore d’un vieux routier de la politique passé par le gouvernement Balladur, mais il ne voit pas le rapport… Etrange… d’autant plus étrange qu’il n’est pas homme à craindre de se faire taxer de complotisme…

 



Georges Tron a passé sa première nuit en prison

Ouais ! Super !

Bravo aux plaignantes et à toutes les autres femmes qui ont eu le cran de témoigner contre lui.

A noter : domicilié dans le XVème arrondissement de Paris où il bénéficiait d’un loyer super sympa au titre du 1% logement, tout comme l’un de mes harceleurs des années 1993 et 1994, il était alors très proche d’Edouard Balladur et avait même été son directeur de campagne en 1995.

Puis il deviendra assez bizarrement ou peut-être très opportunément « villepiniste ».

 

https://www.francetvinfo.fr/societe/justice/proces-de-georges-tron/l-ancien-secretaire-d-etat-georges-tron-est-condamne-en-appel-a-cinq-ans-de-prison-dont-trois-ans-ferme-pour-viol-et-agression-sexuelle_4300909.html

L’ex-secrétaire d’Etat Georges Tron condamné en appel à cinq ans de prison, dont trois ans ferme, pour viol et agression sexuelle

 

Accusé par deux anciennes employées municipales de la mairie de Draveil, Georges Tron avait été acquitté en première instance en 2018. Cette fois, la cour d’assises de Paris l’a reconnu coupable de viol et d’agression sexuelle sur l’une des deux plaignantes.

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Georges Tron a passé sa première nuit en prison dans Corruption francetv-info-36b69ec8
France Télévisions

 

Publié le 17/02/2021 22:23 Mis à jour le 18/02/2021 08:52

L'ancien maire de Draveil (Essonne), Georges Tron, lors de son procès en appel pour viols et agressions sexuelles, le 17 février 2021, à la cour d'assises de Paris. (CHRISTOPHE ARCHAMBAULT / AFP)

L’ancien maire de Draveil (Essonne), Georges Tron, lors de son procès en appel pour viols et agressions sexuelles, le 17 février 2021, à la cour d’assises de Paris. (CHRISTOPHE ARCHAMBAULT / AFP)

 

Un verdict rendu après plus de 11 heures de délibération. La cour d’assises de Paris a condamné en appel Georges Tron, mercredi 17 février, à cinq ans de prison, dont trois ans ferme. L’ex-secrétaire d’Etat était jugé pour viols et agressions sexuelles sur deux anciennes employées municipales à la mairie de Draveil (Essonne). La cour d’assises de Paris l’a reconnu coupable de ces faits sur l’une des deux plaignantes. Georges Tron écope également d’une peine d’inéligibilité de six ans et d’une inscription au fichier automatisé des délinquants sexuels.

Son ex-ajointe à la Culture, Brigitte Gruel, également accusée, a été condamnée à deux ans de prison avec sursis pour complicité de viol et d’agression sexuelle en réunion. La cour a en revanche acquitté les deux accusés de faits similaires que leur reprochait une deuxième plaignante. George Tron et Brigitte Gruel avaient été acquittés le 15 novembre 2018, en première instance. Le parquet avait fait appel quelques jours plus tard.

Les deux accusés dénonçaient des « mensonges »

Le viol et l’agression sexuelle en réunion sur l’une des plaignantes à deux occasions, en novembre 2009 et en janvier 2010, « sont établis par les déclarations constantes et circonstanciées de la victime », a indiqué la présidente de la cour en lisant le verdict de la cour. A sa lecture, l’autre plaignante, a quitté la salle. Les deux accusés niaient en bloc les faits reprochés et soutenaient que les « mensonges » des plaignantes participaient d’un « complot » fomenté par les adversaires politiques de Georges Tron dans l’Essonne.

Ce verdict va au-delà des réquisitions du ministère public en ce qui concerne Georges Tron. L’avocat général avait requis cinq ans de prison, dont trois avec sursis, contre l’édile de 63 ans et demandé que la peine ferme soit plutôt effectuée sous bracelet électronique. En costume sombre, l’ex-secrétaire d’Etat a écouté la sentence impassible, sans laisser transparaître la moindre émotion. Dans un silence lourd, il a alors remis sa montre à son avocat, puis est allé se placer dans le box vitré des accusés. Escorté par des gendarmes, il est parti en prison.

 

https://www.lemonde.fr/politique/article/2010/03/30/d-apres-le-canard-enchaine-georges-tron-loue-bien-un-appartement-a-loyer-modere_1326564_823448.html

D’après le « Canard enchaîné », Georges Tron loue bien un appartement à loyer modéré

 

La construction de cet immeuble, situé rue Mademoiselle dans le 15e arrondissement de la capitale, « a été subventionnée par la Mairie de Paris avec des crédits HLM », selon le journal.

Le Monde avec AFP

Publié le 30 mars 2010 à 19h05 – Mis à jour le 30 mars 2010 à 20h01

 

Le secrétaire d’Etat à la fonction publique, Georges Tron, serait bien locataire à Paris d’un appartement à loyer modéré, contrairement à ce qu’il affirme, selon l’hebdomadaire satirique Le Canard enchaîné à paraître mercredi. D’après le journal, l’ancien député UMP de l’Essonne loue depuis 1992 un appartement de 118 m2 disposant d’une terrasse de 20 m2 et de deux parkings à la société Domaxis, « une société HLM contrôlée par le 1 % logement ».

La construction de cet immeuble, situé rue Mademoiselle dans le 15e arrondissement de la capitale, « a été subventionnée par la Mairie de Paris avec des crédits HLM », explique le journal. En échange, la municipalité dirigée à l’époque par Jacques Chirac avait « le droit de choisir des locataires pour une partie des 146 logements sociaux » qui composent l’immeuble. Le loyer mensuel de cet appartement est de 1 401,88 euros auxquels s’ajoutent environ 600 euros de charges dont 81,53 euros par parking et 150 euros de consommation d’eau chaude, précise le Canard.

La semaine dernière, Georges Tron, déjà pris à partie par l’hebdomadaire satirique, avait répliqué qu’il ne s’agissait pas d’un HLM mais bien d’un ILN (immeuble à loyer normal). « Ce qui signifie, avait-il précisé dans un communiqué, qu’il n’y a aucun système de conventionnement, aucun seuil, ni plafond de loyer à l’entrée dans les lieux ».

Le Canard considère que George Tron bénéficie néanmoins d’un loyer de 11,88 euros le mètre carré, au lieu de 25 euros « pour un appartement privé de ce standing dans un pareil quartier », souligne le journal. De nouveau interrogé, le service de presse du secrétaire d’Etat a rappelé que ce dernier avait été « totalement transparent sur cette affaire et était toujours disposé à faire parvenir toutes ses quittances de loyer à tout journaliste qui les lui demanderait ».

Pour en savoir plus :

- Lire l’enquête, publiée samedi dans Libération.

Le Monde avec AFP

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Tron

  1. « Georges Tron condamné en appel à de la prison ferme pour viol et agression sexuelle en réunion », Le Monde.fr,‎ 18 février 2021 (lire en ligne [archive], consulté le 18 février 2021)

Voir aussi

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Littérature

      • Olivier Adam, dans son roman La Renverse, s’inspire librement de l’affaire Georges Tron, sans s’y référer explicitement, pour créer une fiction qui s’en éloigne.

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