Une septième plainte contre Patrick Poivre d’Arvor

Ouah… Il y a de vrais collectionneurs parmi les potes à Pierre-Jean Chalençon…

 

https://www.bfmtv.com/police-justice/une-septieme-plainte-deposee-contre-patrick-poivre-d-arvor-la-troisieme-pour-viol_AN-202106210358.html

Une septième plainte déposée contre Patrick Poivre d’Arvor, la quatrième pour viol

 

Candice Mahout avec R.V.
Le 21/06/2021 à 17:54
Patrick Poivre d'Arvor, le 2 mai 2007.
Patrick Poivre d’Arvor, le 2 mai 2007. – ERIC FEFERBERG / AFP

INFO BFMTV – D’après nos éléments ce lundi, une septième femme a porté plainte contre Patrick Poivre d’Arvor, via un courrier envoyé ce week-end au procureur de la République de Nanterre. Son récit rapporte un viol de Patrick Poivre d’Arvor, dans son bureau alors qu’elle était une jeune journaliste de 24 ans.

Une nouvelle plainte pour viol a été déposée contre Patrick Poivre d’Arvor selon nos informations ce lundi après-midi. Il s’agit de la septième plaignante contre l’ancien présentateur des journaux télévisés de TF1, dont quatre pour des viols. Celle-ci rapporte des faits alors qu’elle était une jeune journaliste de 24 ans et qui correspondent à un viol. Les faits se seraient déroulés dans le bureau du présentateur. Cette femme a déjà été auditionnée dans l’enquête. Jusqu’alors, elle n’avait pas souhaité déposer plainte car les faits sont prescrits.

Elle s’est finalement ravisée et a écrit au procureur de Nanterre dans le courant de ce week-end. C’est la septième plainte dans ce dossier: quatre ont été déposées pour viol, et trois pour agression sexuelle ou harcèlement.

Candice Mahout avec R.V.

 



Daniel Polette, nouvelle idole du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi

Il le défend à fond la caisse, il est comme lui…

 

https://www.ouest-france.fr/societe/justice/proces-de-valerie-bacot-un-scenario-de-film-d-horreur-4becfafa-cf4c-11eb-ae01-ad91b71840e2

Le procès de Valérie Bacot, accusée d’avoir tué son mari après 24 ans de calvaire, s’ouvre ce lundi

 

Valérie Bacot, 40 ans, passera devant la cour d’assises de Saône-et-Loire à partir de ce lundi 21 juin, pour avoir tué son mari qui l’a violée enfant et martyrisée par la suite.

Valérie Bacot a tué son mari en mars 2016 après avoir subi des années de violences.
Valérie Bacot a tué son mari en mars 2016 après avoir subi des années de violences. | PHOTOPQR/JOURNAL SAONE ET LOIRE
 
Ouest-France Lou PHILY. Modifié le 21/06/2021 à 07h15 Publié le 21/06/2021 à 06h31

Que ça s’arrête, que ça s’arrête… ​ce sont les mots que s’est répété Valérie Bacot, en mars 2016, avant de tuer son mari d’une balle dans la nuque. Elle venait de mettre fin à vingt-quatre ans de calvaire, de violences, d’abus et de terreur. Ce lundi 21 juin, elle sera jugée devant la cour d’assises de Saône-et-Loire pour son geste, désespéré, qui lui est apparu comme la seule solution pour se libérer.

Un calvaire qui dure depuis l’enfance

Son mari, qui a d’abord été son beau-père, commence à la violer à l’âge de 12 ans. Dénoncé par sa sœur, Daniel Polette est condamné pour viol sur mineure de 15 ans et passe deux ans et demi en prison, avant de retourner au domicile familial et de recommencer à abuser de la jeune fille. À 17 ans, elle tombe enceinte et sa mère la met à la porte. Se retrouvant seule, mineure et enceinte, elle suit malgré elle son beau-père, qui va devenir son conjoint.

Pendant les dix-huit années suivantes, ils auront quatre enfants. Valérie Bacot vivra cloîtrée à la maison, empêchée de travailler, d’avoir des amis, de sortir, de s’échapper. Elle sera battue, violée et forcée à se prostituer par son mari. En 2016, lorsqu’elle comprend qu’il envisage de prostituer leur fille de 14 ans et après de énièmes violences, Valérie Bacot tue Daniel Polette.

Pour son avocate, Me Nathalie Tomasini, ce procès sera aussi celui du système police-justice qui a échoué à protéger Valérie Bacot depuis son enfance. Les viols ont été ramenés en correctionnel alors qu’il y a eu une expertise gynécologique, il y a eu un juge pour enfant et un éducateur mobilisés, mais elle n’a pas été placée alors que sa mère ne la protégeait pas, cite l’avocate. Des dysfonctionnements qui ont mené à une vie digne d’un scénario de film d’horreur ​pour la jeune femme. Par la suite, ses enfants tentent d’alerte la police à deux reprises, mais ils ne sont pas écoutés car c’est à la victime de porter plainte. Après une vie passée sous l’emprise de son mari, Valérie Bacot se sait surveillée, elle est terrorisée et ne peut pas prendre le risque de se rendre à la police, de peur qu’il la tue elle et ses enfants, comme il avait menacé de le faire.

« Tout le monde savait »

C’est la responsabilité de la société qui est engagée, explique Me Tomasini. ​Beaucoup de gens savaient, ont eu des doutes, et n’ont pas parlé, n’ont pas offert leur aide ni leur soutien à Valérie. ​La mère de famille était complètement seule. L’an dernier, elle a écrit un livre pour raconter son histoire : « Tout le monde savait »​, sorti en mai 2021. Clémence de Blasi, qui a coécrit l’ouvrage, parle d’un livre témoignage. « C’est d’abord pour ses enfants, pour qu’ils connaissent l’histoire depuis le début et comprennent ce qu’il s’est passé, explique la journaliste. C’est aussi pour toutes les femmes dans sa situation, qu’elles sachent qu’elles ne sont pas seules. »

Si les consciences se sont éveillées sur les violences conjugales ces dernières années, Me Tomasini n’est pas soulagée pour autant. Aujourd’hui les femmes portent plainte, mais il n’y a toujours pas de filet de sécurité suffisant pour elles​, regrette l’avocate. Un filet de sécurité, c’est une solution d’hébergement d’urgence, avec les enfants, une protection contre le conjoint violent et des mesures d’éloignement immédiates. Tout ce que Valérie Bacot savait qu’elle n’aurait pas, en allant porter plainte, ce qui l’aurait mise encore plus en danger.

Un procès très attendu

Ces cinq jours devant la cour d’assises de Saône-et-Loire sont autant redoutés qu’attendus. Valérie Bacot sera défendue par les deux avocates qui avaient représenté Jacqueline Sauvage en 2014. Si les deux affaires sont similaires (meurtre du conjoint après des années de violences intrafamiliales), Me Tomasini estime que l’affaire Bacot est un cran au dessus en termes d’horreur, avec des violences qui durent depuis l’enfance et la menace directe que représentait son mari sur ses enfants, encore mineurs à l’époque.

Depuis la médiatisation de l’affaire, Valérie Bacot reçoit enfin du soutien, après des années de solitude. La sœur de son mari a pris contact, évoquant un frère très violent depuis l’enfance, et qui avait abusé d’une de leurs sœurs pendant des années. Les anciennes compagnes de Daniel Polette relatent les mêmes comportements violents, les menaces de mort contre elles et leurs enfants.

Un comité de soutien a été lancé par une ancienne voisine, et une pétition en ligne a atteint 500 000 signatures jeudi matin. Des arguments qui peuvent faire poids ​pendant le procès selon Me Tomasini, qui espère que sa cliente ne retournera pas en prison, elle ne représente aucune menace pour la société . ​Clémence de Blasi, qui est devenue une amie de Valérie Bacot, espère un jugement raisonnable​, pour qu’elle puisse être présente pour ses enfants, dont le cadet a tout juste 14 ans.

Justice : faut-il filmer les procès ?

Valérie Bacot risque la réclusion criminelle à perpétuité pour assassinat de conjoint.

 



Ouverture du procès de Valérie Bacot, jugée pour avoir assassiné son mari bourreau

L’on notera que le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, lui, sait bien déjà qui est la méchante coupable de toute cette histoire : comme d’habitude, c’est bien la femme…

Quant à sa copine journaliste Florence Saint-Arroman, comme au premier jour, je reste totalement médusée par sa sympathie pour ce criminel notoire…

 

https://www.nouvelobs.com/justice/20210621.OBS45529/valerie-bacot-jugee-pour-avoir-assassine-son-mari-bourreau-histoire-d-un-soutien-populaire-inedit.html

Valérie Bacot jugée pour avoir assassiné son mari bourreau : histoire d’un soutien populaire inédit

 

Valérie Bacot avait 35 ans quand elle a tué son mari qui la maltraitait et la prostituait depuis des années. Elle est jugée à partir du 21 juin, devant la cour d’assises de Chalon-sur-Saône. Près de 540 000 personnes ont déjà signé une pétition en sa faveur, et son livre « Tout le monde savait » (Fayard) est un succès en librairie.

 

Par Cécile Deffontaines

Publié le 21 juin 2021 à 07h00

Temps de lecture 7 min

Valérie Bacot lors de son passage à l’émission « Sept à huit ». (Capture d’écran Sept à Huit / TF1)

Valérie Bacot lors de son passage à l’émission « Sept à huit ». (Capture d’écran Sept à Huit / TF1)

 

Ça a tout l’air d’une campagne de com. Un livre, « Tout le monde savait », publié chez Fayard le 12 mai et déjà vendu à près de 20 000 exemplaires ; un passage dans l’émission de TF1 « Sept à huit » le 9 mai ; huit pages d’interview dans « le Parisien magazine », le 14 mai, avec photo pleine page de la jeune femme… L’histoire de Valérie Bacot qui, en mars 2016, a assassiné son mari qui la maltraitait et la prostituait, s’étale partout. La quadragénaire dispose même d’un comité de soutien et d’un site internetUne pétition lancée début janvier pulvérise aussi tous les records, franchissant la barre symbolique des 500 000 signatures. Et ce, alors que son procès est sur le point de s’ouvrir pour cinq jours, du 21 au 25 juin, devant les assises de Chalon-sur-Saône (Bourgogne-Franche-Comté). Même l’ancienne ministre aux Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem, a apporté son soutien en signant la pétition, sans craindre d’influencer une décision de justice à venir : « La victime, c’est elle ! » a-t-elle déclaré dans « le Pays roannais », journal régional, ajoutant :

« Nous sommes nombreux à considérer que sa place n’est pas en prison. »« Mon dieu, mais je n’en peux plus de ces horreurs, et personne ne doit plus en pouvoir ! De grâce Emmanuel Macron, liberté pour Valérie Bacot », a-t-elle tweeté.

Du jamais-vu.

Une mobilisation inédite

Même pour l’affaire Jacqueline Sauvage, la mobilisation populaire n’était arrivée qu’après la condamnation en 2014 à dix ans de prison, en première inst

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https://twitter.com/CyprienLuraghi/status/1406681787309428745

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Ouverture du procès de Valérie Bacot, jugée pour avoir assassiné son mari bourreau dans AC ! Brest otLW550l_normal
Flo Saint-Arroman
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13h

Un procès surmédiatisé s’ouvre lundi devant la Cour d’assises de Saône-et-Loire – L’accusée, rendue nationalement célèbre par des versions publiques de son histoire – Á se demander qui manipule qui – La presse se précipite – Á suivre
 dans Calomnie
Un procès surmédiatisé s’ouvre lundi devant la Cour d’assises de Saône…
Le 13 mars 2016, une femme alors âgée de 35 ans a tué son mari d’une balle tirée dans la nuque, puis elle a fait enfouir le corps dans un bois vers la Clayette, par deux de leurs fils et le petit…
info-chalon.com
wacpeS_-_normal dans Corruption
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi

En réponse à

C’est quasi impossible à faire comprendre que l’égalité implique d’abandonner le réflexe paternaliste consistant à ‘angéliser’ le genre féminin. Je suivrais cette affaire assidûment… et comme en plus demain s’entame le procès d’Hubert Caouissin dans l’affaire Troadec…
otLW550l_normal dans Crime
Flo Saint-Arroman
@Florence_StA
·

12h

En réponse à

Je vais également suivre ce procès assidûment :)

 



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