A Paris, une justice toujours à contre-courant des « vérités » brestoises… 14 août
Non seulement on y trouve encore des avocats ou des avocates qui ne goûtent pas du tout à l’enseignement brestois de la « libération sexuelle » comme remède à tous les maux (cf. affaire du danseur de rue Herwann Asseh), ou des « viols thérapeutiques » prônés et pratiqués par tout le corpus des psychiatres locaux dont Serge Rodallec jusqu’à sa chute en 2005 (il n’aurait pas dû toucher aux garçons, les policiers en étaient choqués et la magistrature avait bien dû les suivre… à reculons comme d’habitude…), mais ses juges continuent à interdire en référé la parution de certains ouvrages pour « atteinte à la vie privée » lorsqu’ils sont saisis de requêtes en ce sens par les victimes.
Je rappelle ici que le pervers polymorphe Pascal Edouard Cyprien Luraghi, fort du soutien actif qu’il recevait de la magistrature brestoise depuis le début de ses exactions à mon encontre, laquelle l’assurait notamment de son « droit d’auteur » à violer l’intimité de ma vie privée et celle de mes proches autant qu’il le voulait, s’était piqué en 2016 de saisir à mon encontre le juge des référés du Tribunal de Grande Instance de Paris en vue d’en obtenir… mon interdiction absolue et définitive de toute critique de sa version totalement délirante de ma propre « biographie », afin qu’il puisse enfin la publier intégralement en toute quiétude… ce en quoi il s’était vu débouter de toutes ses demandes en première instance au mois de janvier 2017, puis en appel au mois d’avril 2018, la Cour d’Appel de Paris ayant alors sanctionné son détournement de procédure par une annulation de toute sa procédure, à peu près comme le 2 décembre 2015 la Cour d’Appel de Rennes avait aussi annulé toute la procédure délibérément viciée que sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest avait engagée à mon encontre au mois d’août 2011…
La justice interdit la parution d’un roman aux Éditions Bouquins pour «atteinte à la vie privée»
Le dernier roman de Pascal Herlem, intitulé Fatum raconte comment son frère aîné a été victime de «faits d’attouchements sexuels».
La justice a interdit aux Éditions Bouquins de publier le roman Fatum de Pascal Herlem, accédant à la demande d’une partie de la famille de l’auteur qui dénonçait une «atteinte à sa vie privée», a-t-on appris vendredi de source judiciaire. Dans cet ouvrage, à paraître le 19 août, Pascal Herlem, un psychanalyste, retrace la vie de son frère aîné en relatant notamment des «faits d’attouchements sexuels dont il a été victime de la part de sa grande sœur lors de son enfance», selon l’ordonnance de référé du tribunal de Paris rendue le 9 août, et révélée par le site d’information littéraire ActuaLitté.
La lettre d’info Culture et LoisirsNewsletter
Du lundi au vendredi
Recevez chaque jour l’actualité culturelle : cinéma, musique, littérature, expositions, théâtre…
L’ex-épouse du frère de l’auteur et ses enfants ont saisi la justice, considérant que le livre portait atteinte à l’intimité de leur vie privée. Selon les juges, «il résulte que des pans entiers de la vie privée et familiale (du frère de l’auteur) et des demandeurs, clairement identifiables, sont évoqués dans les moindres détails» et qu’«un tel récit est de nature à porter atteinte» à sa vie privée et familiale. La divulgation de tels détails créerait un «dommage irréparable», ajoute l’ordonnance, selon laquelle l’ouvrage Fatum constitue un «abus de liberté d’expression et de création».
À VOIR AUSSI – Ce qui a conduit Mohammed Aïssaoui à écrire «Les Funambules»