Qui suis-je pour être devenue une cible si importante, plusieurs décennies durant ? 11 décembre
J’ai fait la majeure partie de ma scolarité à Brest, où je me suis fait remarquer pour mes résultats scolaires exceptionnels. J’insiste à ce sujet : ils n’étaient ni bons, ni très bons, mais toujours officiellement qualifiés d’ »excellents » sur tous mes bulletins scolaires portant toujours en conclusion la mention « excellente élève », et même d’ »exceptionnels » en aparté, mes professeurs affirmant ne voir habituellement de « cas » comme le mien qu’environ une fois tous les cinq ans. Toujours en tête de classe assez loin devant les autres, j’avais en effet toujours les meilleures notes dans toutes les matières, à une exception près, l’athlétisme, discipline pour laquelle je n’ai jamais été taillée. J’étais donc la meilleure en mathématiques, ce qui m’a permis de poursuivre en classes préparatoires aux grandes écoles d’ingénieurs après l’obtention de mon Bac C avec mention, mais aussi en français, en langues, en dessin, travaux manuels, musique, etc… et le tout sans me fatiguer à bosser comme une malade, ce qui me permettait de disposer encore de beaucoup de temps pour diverses activités extrascolaires, comme la gym, la danse, la musique, où j’étais encore dite « douée » par mes professeurs. Entre autres, j’ai fréquenté l’Ecole de Musique de Brest au moins quatre fois par semaine durant plusieurs années, pour y suivre des cours de solfège et d’instrument et y participer à la chorale et à l’Orchestre des Cadets, où les professeurs inscrivaient leurs meilleurs élèves. Il m’arrivait d’y aller encore le samedi après-midi pour répéter avec accompagnement au piano. En dépit de cet emploi du temps assez chargé et de la nécessité de consacrer encore du temps à la musique à la maison, de travailler un peu pour l’école, aussi, je trouvais encore du temps pour me distraire, aller jouer dehors comme les autres enfants de mon âge, faire du vélo, du patin à roulettes, me balader avec des amis sur les rives de la Penfeld, dans le bois de Keroual, explorer les souterrains du fort du Questel, et encore, m’adonner à bien d’autres plaisirs et passions, comme la lecture. Très curieuse, je lisais beaucoup, de tout. Je « dévorais » les bouquins, paraît-il. Ainsi, par exemple, à 9 ans, ai-je notamment « dévoré » tout le rayon « Contes et légendes » de ma bibliothèque de quartier. Et j’ai vraiment adoré, je suis même restée sur ma faim. L’année suivante, j’ai appris le latin, seule, pour aller plus loin. Et lorsqu’en 5ème nous reçûmes à l’école une initiation au latin, que je connaissais déjà, mais aussi au grec, une langue dont la découverte m’aura tout de suite enthousiasmée, mon choix fut vite fait, pour le plus grand plaisir de notre professeur de français qui grâce à moi avait ainsi sa classe de grec pour les deux années suivantes, presque tous les autres élèves m’ayant suivie dans ce choix, avant redirection vers le latin par leurs parents pour un grand nombre d’entre eux, mais pas assez pour que nous ne puissions constituer cette classe de grec. Eh oui, être tête de classe, c’est aussi ça : très jalousée, harcelée, voire violentée par quelques camarades de classe en raison de mes notes, j’étais aussi l’exemple à suivre pour le plus grand nombre, une référence pour tous, les professeurs, les élèves et leurs parents. Et l’on se battait parfois pour être avec moi…
Enfin, mon caractère non plus ne passait déjà pas inaperçu. J’étais par exemple la seule à ne pas craindre de m’opposer aux surveillants ou à la directrice de l’établissement lorsqu’ils exagéraient, avec une telle pertinence dès les tout premiers jours de la classe de 6ème qu’ils me laissèrent toujours une paix royale par la suite.
Lysias fut donc le premier avocat que j’eus l’honneur de lire, à une époque où j’étais bien loin de me douter que je me trouvais déjà dans le collimateur d’une licenciée en droit excessivement haineuse à mon égard, la dénommée Josette Brenterch, dont je n’aurai jamais entendu ni vu le nom nulle part avant de la rencontrer pour la toute première fois en 2004 dans l’association AC ! Brest.
Comme m’en informera deux ans et demi plus tard avec moult détails probants l’un de ses sbires à cette époque, le dénommé Joël Roma, cette femme et ses amis ou complices de la LCR de Brest détenaient à mon sujet un dossier très étoffé, constitué de nombreux documents confidentiels tous obtenus de manière frauduleuse au fil des ans alors qu’ils surveillaient illégalement mon père pour ses activités publiques depuis le début des années 1970, et avaient aussi bien repéré ses enfants, lesquels présentaient tous à peu près le même profil remarquable.
Le mien tout seul était en effet déjà assez rare, mais en l’occurrence, c’est bien toute la fratrie qui s’avérait à peu près du même niveau, ce qui est rarissime et fut d’autant plus remarqué dans le « microcosme » brestois que nos parents y étaient déjà assez connus.
Ainsi, par exemple, en 2004 et 2005, une autre personne de l’entourage de Josette Brenterch prévenait-elle comme cette femme des tiers que j’étais alors amenée à rencontrer dans le cadre de mes nouvelles activités qu’il leur fallait se méfier de moi, car j’aurais eu un QI d’au moins 250 ! Il s’agissait d’une infirmière de l’hôpital psychiatrique de Bohars syndiquée à la CGT et qui militait aussi à l’extrême-gauche. Je présume qu’on lui aura plutôt parler d’un QI d’au moins 150, ce qui est en effet tout à fait vraisemblable, tous ces gens n’ayant manifestement pas oublié que des tests effectués par le psycholoque scolaire alors que j’étais en classe de 3ème avaient révélé, sans grande surprise, que j’avais un QI très élevé, celui d’une « surdouée » comme on disait à l’époque, que ce psychologue s’attachera d’ailleurs à observer par la suite, mais sans malveillance aucune, j’étais tout simplement son « cas ».
Je suis donc une hypersensible, une hyperempathique dont la générosité et la gentillesse ont également toujours été remarquées partout où je suis passée, notamment dans l’association AC ! Brest, où je me suis dévouée pour d’autres durant deux ans sans jamais rien demander ni attendre en échange alors que je n’étais moi-même plus en très bon état et avais aussi besoin d’une aide que je n’ai jamais obtenue de personne, bien au contraire : ceux qui auraient pu me l’apporter, par exemple le dénommé Joël Roma en me parlant le plus tôt et le plus complètement possible de l’énorme « dossier » sur la base duquel ses chefs de la LCR organisaient des réunions internes pour ordonner et préparer les harcèlements de leurs militants à mon encontre, ont en effet toujours fait le choix d’obéir à ces criminels et donc, de participer à toutes ces violences dont j’étais encore victime, dans la continuité de toutes celles que je subissais depuis les années 1990 pour avoir refusé de mettre mes compétences d’ingénieur d’études en informatique au service du crime organisé.
Mon père avant moi était déjà bien connu à Brest pour sa générosité et sa droiture, totalement intolérables pour bien des malfrats.
Pour la perverse narcissique Josette Brenterch, grande prêtresse du NPA de Brest, dont le seul « don » et l’unique passion consistent depuis toujours à prendre des vies, notamment avec ses amis terroristes de l’extrême-gauche depuis la fin des années 1970, tous les éléments saillants de nos personnalités et de nos réussites avaient en outre toujours été autant de motifs de jalousie, de haine à notre encontre. Avec le temps, ceux-ci sont aussi devenus pour elle synonymes des plus grandes difficultés pour parvenir à ses fins nous concernant, tant nos ressources mentales restaient importantes malgré tout ce que nous subissions, constituant de véritables défis pour les « killers » dont elle fait partie, les faisant régulièrement enrager, décuplant toujours plus toutes leurs haines à notre encontre.
Il en va de même que pour nos capacités hors normes pour toutes les personnes qui nous connaissent pour ce que nous sommes ou nous ont appréciés dans le passé, toujours nombreuses et constituant pour Josette Brenterch et ses complices autant de témoins gênants de nos vraies vies.
Aussi, d’échec en échec, elle est devenue toujours plus folle, s’attaquant à toujours plus de ces personnes qui pour la plupart ne doivent même pas la connaître, comme moi jusqu’en 2004, et qu’elle accuse toujours de manière totalement délirante d’être responsables de ses échecs me concernant pour l’avoir à un moment ou à un autre contrariée ou contredite à mon sujet, qui pour avoir rendu des avis m’étant très favorables, qui pour m’avoir employée dans des conditions normales, ou pour tout autre avis ou acte contraire à toutes ses prétentions mensongères, tous ses désirs et oukazes assassins à mon encontre.
Dans sa négation volontaire de tout ce que nous sommes, et qu’elle connaît pourtant très bien depuis le début, dans les années 1970, elle ne peut davantage tolérer l’existence de ces personnes que les nôtres et les fait donc toutes rechercher pour les éliminer.
En fait, ayant toujours été exemplaire pour tous, mon « cas » l’est aussi devenu pour cette folle en raison de toutes les difficultés qu’elle a pu rencontrer depuis qu’elle s’est en quelque sorte « accrochée » à ma personne avec la ferme intention de la détruire.
Coûte que coûte, elle se doit de « prouver » avec moi que les surdoués, les matheux, les ingénieurs, sont en fait tous des débiles mentaux fous à lier, des « cas lourds psychiatriques », les femmes ingénieurs étant de surcroît des prostituées, et les plus hauts gradés de l’Armée qui les emploient effectivement comme ingénieurs sur des projets classés Secret Défense eux aussi tous des imbéciles et des dépravés extrêmement dangereux, n’importe lequel des psychopathes sans éducation ni grande intelligence qu’elle utilise pour me harceler et m’agresser valant toujours bien mieux que nous tous.
Elle a déjà fait assassiner de très nombreuses personnes pour cette passion dévorante que j’ai commencé à susciter chez elle très jeune sans même la connaître. Elle va continuer. Elle est folle.