Une manifestation de prostitué(e)s organisée hier à Brest

C’est drôle, il suffit que j’en parle pour qu’on en voit sortir du bois…

Avions-nous déjà eu une telle manifestation à Brest ?

Je ne crois pas.

Encore des copains et copines du duo de proxénètes et terroristes Josette Brenterch / Pascal Edouard Cyprien Luraghi, je présume.

Tandis que ces gens qui n’ont aucune difficulté à se rassembler dans la rue pour s’y faire entendre et se disent toujours très fiers de tapiner pour payer leurs impôts demandent une dépénalisation de cette activité pour leurs clients, on n’entend toujours pas ceux et celles qui au contraire ne cherchent qu’à sortir de l’enfer de la prostitution ou se débattent encore pour ne pas y entrer.

Une des premières mesures à prendre pour sauver tous ceux-là est de supprimer toute imposition sur les revenus de la prostitution pour les personnes qui se livrent à cette activité.

Je ne vois que ça pour casser le système prostitutionnel français et toutes les violences qu’il génère.

 

https://www.letelegramme.fr/finistere/brest/a-brest-des-prostitue-e-s-alertent-contre-les-violences-20-12-2021-12892710.php

À Brest, des prostitué(e)s alertent contre les violences

 

Lecture : 2 minutes.

Des travailleurs et travailleuses du sexe se sont rassemblés dimanche à Brest. Ils dénoncent les effets pervers de la loi d’avril 2016 qui a instauré la pénalisation des clients.

 

Le rassemblement était organisé à l’occasion de la Journée internationale contre les violences faites aux travailleurs et travailleuses du sexe.
Le rassemblement était organisé à l’occasion de la Journée internationale contre les violences faites aux travailleurs et travailleuses du sexe. (Auteur anonyme)

 

Bougies, affichettes, parapluies rouges… À l’initiative de l’antenne finistérienne de l’association rennaise Les Pétrolettes, un rassemblement était organisé dimanche au square Mathon, près de la place de la Liberté, à Brest, à l’occasion de la Journée internationale contre les violences faites aux travailleuses et travailleurs du sexe. Une cinquantaine de personnes, alliées ou concernées, se sont réunies devant le monument aux Morts drapé de noir et rebaptisé pour l’occasion « le monument aux Mortes ».

Une loi qui accentue la précarisation

Utilisé pour la première fois lors d’une manifestation dans la rue en Italie, à l’occasion de la 49e biennale de Venise, le parapluie rouge est le symbole de la lutte pour les droits des Travailleurs du sexe (TDS) et de la résistance contre les discriminations. Dimanche, les participants ont déployé un stand où l’on pouvait trouver de l’information sur les luttes des TDS, du matériel de prévention et une petite collation.

À lire sur le sujetÀ Rennes, l’association Les Pétrolettes milite pour les droits des prostituées

 

Trois membres de l’association ont pris la parole pour commémorer toutes celles et tous ceux qui ont été victimes de violences. Ils ont aussi pointé du doigt la précarisation grandissante qu’engendre la loi d’avril 2016 dite de pénalisation des clients sur leurs conditions matérielles, sur leur sécurité et sur leur accès à la santé. « Depuis cette loi, les violences ont augmenté. La pénalisation des clients a renversé le rapport de force en faveur des clients. Nombre d’entre eux n’hésitent pas à négocier les tarifs et les pratiques, et à imposer des rapports non protégés », a indiqué une prostituée. Pour ce collectif, un seul mot d’ordre : « Décriminalisation » !

 

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/prostitution-la-complainte-des-filles-du-bois_1302879.html

Prostitution: la complainte des filles du bois

 

Elles sont « indépendantes » du côté de Vincennes. Régine et ses copines s’opposent à une « loi hypocrite » visant à pénaliser les clients débattue à partir de ce mercredi à l’Assemblée. Et parlent de leur travail. Sans détour.

 

Les prostituées veulent être reconnues comme travailleuses du sexe. Ici, dans une rue de Lyon.

Les prostituées veulent être reconnues comme travailleuses du sexe. Ici, dans une rue de Lyon.

AFP PHOTO JEAN-PHILIPPE KSIAZEK

Par Géraldine Catalano
Publié le 27/11/2013 à 09:29
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Le Sept

 

Même dans cette galerie marchande où elles prennent leur pause déjeuner, elles restent emmitouflées comme des footballeurs non titulaires un soir de match contre l’Ukraine. D’épaisses doudounes émergent des visages sans âge, des ongles vernis de rose ou d’orangé.

La plupart exercent dans le bois de Vincennes et, à l’exception de Kedidja, fille de harkis, et de Sonia, qu’on devine portugaise, toutes viennent du Cameroun. Elles sont mères de famille, déjà grands-mères parfois, fières d’un métier qu’elles pratiquent « librement », « sans patron », pour nourrir leurs enfants et payer leurs études. Au menu, ce jour-là, il est beaucoup question de la proposition de loi portée par Najat Vallaud-Belkacem.

>> À lire, en complément, notre dossier complet sur la prostitution
« Si le client ne vient plus, on va payer comment notre loyer? Sans études, on n’est rien dans ce monde », s’inquiète Mélodie, 41 ans. Certes, depuis l’ouverture des frontières, les réseaux sont partout et fragilisent un business déjà heurté par la crise. Mélodie gagne un petit smic, quand elle touchait plus de 5000 euros à ses débuts, il y a dix ans. Sonia travaille quatre jours par semaine pour un revenu qui oscille entre 20 et 150 euros par jour.

« Et le smicard qui a besoin d’une gâterie, il va aller où? »

« Il m’arrive de revenir sans rien », dit-elle, les yeux plongés dans son riz cantonais. Kedidja raconte avoir caché trois jeunes filles de l’Est, il y a quelques années, afin qu’elles échappent aux griffes de leur proxénète. « Le lendemain, mon camping-car a été brûlé en représailles », se souvient-elle.

Mais pour Régine, 48 ans, qui mène la fronde, la pénalisation des clients ne peut rien contre la traite des êtres humains: « Les réseaux sont richissimes et n’auront aucun problème pour payer des appartements et y cacher leur cheptel. Ce sont les indépendantes comme nous qui vont faire les frais de cette loi hypocrite! »

Pour elle, la lutte passe par un quota imposé de prostituées par ville et la reconnaissance pour celles-ci d’un statut de travailleuse du sexe, comme en Allemagne. Kedidja s’énerve. Cette ancienne employée d’un hôpital lyonnais assume avoir choisi la prostitution à 19 ans par goût « des fringues, de la nuit et de l’aventure ». « Cette ministre, elle veut juste faire parler d’elle. »

Les autres acquiescent, mais racontent aussi, à mots très choisis, cette vie en camion jalonnée de bosses : un divorce, le plongeon dans la précarité, la honte des premières fois, la routine qui s’installe « comme pour un travail à la chaîne », l’impossible confession aux enfants qui les croient auxiliaires de vie ou nounous.

Sonia avoue être « abîmée » et ne continuer que pour soigner son fils, malade. Cynthia, cinq ans de pavé, devient une autre personne chaque fois qu’elle franchit la porte Dorée. « J’ai compartimenté ma vie », confie l’ancienne esthéticienne, aussi discrète sur elle-même que diserte sur le lien complexe et ambigu qui l’unit aux clients. « Nous sommes des travailleuses sociales. On n’imagine pas la misère sexuelle dans ce pays. »

Eboueur ou cadre, ils viennent pour une étreinte, assouvir leurs fantasmes ou, tout simplement, parler. Certains leur offrent des fleurs ou deviennent des amis. Peu se montrent agressifs. « Quand les jeunes sont un peu énervés, je leur dis « Wesh wesh, on se calme », et ils rigolent », dit Kedidja, qui s’inquiète : « Et le smicard qui a besoin d’une gâterie, il va aller où? »

Le temps de rêver tout haut d’une retraite qui ne s’annonce ni proche ni très ensoleillée, et le petit comité se disperse dans le froid parisien. Régine a prévenu ses copines : quand, vendredi, au nom des « Femmes de Vincennes », elle ira à l’Assemblée pour protester contre le projet de loi, elle sera « fière et sapée comme pas permis ! ».

Paroles de clients

Lionel, 38 ans, cuisinier: Que du plaisir, et pas d’emmerdes »

« Il y a trois ans, je n’avais plus de copine et j’ai passé quelques nuits avec des escorts… J’ai bien dû débourser 40 000 euros, en tout… C’est un budget, à 1500 euros la soirée. Plus cher que les prostituées que j’ai pu aller voir en voyage en Thaïlande, à 50 euros la passe. Une escort, ce n’est que du plaisir, et pas d’emmerdes, pour faire court.L’excitation, l’interdit, un besoin insatiable du corps de la femme, une domination masculine mal placée… C’est la fête. Plus sérieusement, je pense qu’on méconnaît la part de souffrance, de manque, les carences éprouvées par certains hommes. Quand tu es moche, gros et que tu n’as pas d’argent, va trouver une femme qui t’aime…

Dans certains pays nordiques, on autorise des services sexuels pour les personnes handicapées. Je n’ai d’ailleurs jamais compris le mépris que ressentent les hommes, et les femmes, pour les prostituées. Elles rendent un service considérable à la société. C’est pour ça que je suis totalement contre la loi sur la pénalisation des clients. Il est illusoire de croire qu’on arrêtera la prostitution.

Cette loi va stigmatiser encore plus ces femmes, qui seront la proie des macs et des mafieux, dans l’ombre. Et je suis persuadé qu’on assistera à une montée en flèche des viols et violences faites aux femmes. C’est du réalisme. Arrêtons l’hypocrisie. »

Jean-Louis, 56 ans, fonctionnaire: « Une telle misère! »

« J’ai été marin pendant cinq ans. J’avais 20 ans, c’était les années 1970, on faisait escale à Djibouti, en Amérique du Sud, en Asie. On était entre gars et, le soir, on allait au bordel comme on va au cinéma. Les prostituées étaient partout. Je ne me posais aucune question. Mais, très vite, j’ai ressenti un malaise : il y a quelque chose de profondément triste dans une sexualité où le désir n’est pas réciproque.

Les jeunes femmes se parlaient parfois d’une chambre à l’autre pendant leur passe, comme si leur corps ne leur appartenait plus. Plus tard, à Brest et à Toulon, je me souviens de longues conversations avec certaines prostituées qui me racontaient leur enfance souvent triste, leur quotidien avec les enfants. Quand, en 2005, le Mouvement du nid a lancé une enquête sur les clients, j’ai accepté de participer et tout ce que j’avais nié m’est revenu en pleine figure.

J’imaginais les gens que j’aimais affronter une telle misère et cela m’était insupportable. Aujourd’hui, je milite au sein de l’association. La loi pénalisant les clients n’empêchera pas tout, mais elle envoie un message à la société, et notamment à la jeunesse : on n’achète pas le corps d’un autre. Et ceux qui pensent que certaines natures vivent bien la prostitution se trompent : un jeune homme est venu nous voir, à l’association, il y a quelques années.

Il était très séduisant, gagnait très bien sa vie, se promenait toujours avec des liasses de billets. Et puis un jour, il a craqué et nous a confié sa détresse et la violence de ce qu’il endurait. Je ne l’ai jamais oublié. »

Victor, 49 ans, ingénieur: « Elles n’étaient que des objets »

« Vers la quarantaine, j’ai, pour des raisons diverses, cédé à différentes addictions. Au début, il y a eu la drogue, la cocaïne, qui m’aidait – je le croyais – pour faire tourner ma boîte. Après sont venus, sans que j’en prenne conscience, l’alcool et surtout le sexe. C’était devenu une préoccupation constante et seul le recours à des professionnelles me permettait d’assouvir mes pulsions. Comme je voyageais beaucoup dans le nord de l’Europe, en Belgique et surtout en Allemagne, je passais mon temps dans les bordels qui existent là-bas. Une fois, j’y suis resté deux jours sans en sortir…

Je n’avais aucune empathie pour les filles que je payais. Elles n’étaient, je le regrette, que des objets. J’avais besoin d’elles comme un toxicomane a besoin de sa dose. Je pense qu’une pénalisation n’aurait pas eu de conséquences sur mon comportement. Cette prohibition aurait même pu renforcer mon désir. De plus, techniquement, et avec Internet, un client ne risque pas grand-chose. Contacter une escort girl reste discret. Et donc se faire prendre demeurera peu probable.

 

https://www.unidivers.fr/prostitution-bretagne/

PROSTITUTION EN BRETAGNE. UN DIAGNOSTIC DESOLANT

 

16 décembre 2019

 

Dans le cadre du cycle « Non aux violences faites aux femmes » (du 16 novembre au 6 décembre 2019), un colloque sur le système prostitutionnel en Bretagne s’est déroulé en simultané à Rennes, Lorient et Brest mardi 3 décembre 2019. Pour la première fois, un diagnostic sur la situation en Bretagne a été réalisé dans les 4 départements bretons. L’heure est à la restitution.

 

prostitution bretagne

La prostitution. Un sujet tabou dont on tait trop souvent le mot, mais un fléau bien ancré sur le territoire breton. « Présente, mais plus discrète que visible », souligne Lucie Gil de l’Amicale du Nid, association qui accueille depuis plus de 70 ans des femmes, des hommes et des personnes transidentitaires, en danger, ayant connu ou en situation de prostitution.

« Parler de prostitution ne signifie pas faire injure à la personne. Il faut savoir poser les mots et les questions. En parler est primordial afin que le déclic s’opère et que ces personnes sachent qu’elles ont le droit d’être protégées », Hélène de Rugy, présidente de l’Amicale du Nid.

prostitution bretagne

« J’ai compris que je pouvais m’en sortir quand je me suis rendu compte que la France était UN pays de droits », mot d’une Camerounaise rapporté par Hélène de Rugy lors du colloque.

Quelle situation en Bretagne ?

En 2017-2018, la Direction régionale aux droits des femmes et à l’égalité entre les femmes et les hommes (DRDFE) de Bretagne a mandaté l’association l’Amicale du Nid afin d’établir un diagnostic de la prostitution dans les quatre départements bretons. Un état des lieux sur les trois dernières années a ainsi été réalisé entre mars 2018 et octobre 2019 via le prisme d’acteurs de terrains (questionnaire en ligne et entretiens semi-directifs) et des annonces Internet.

prostitution bretagne

Plus qu’un simple outil de collecte de données, le questionnaire et les entretiens ont également été conçus afin de sensibiliser au sujet. Sans avoir la prétention d’être exhaustif et dans l’impossibilité de représenter l’intégralité de la réalité du phénomène dans les quatre départements, ce diagnostic pose pour la première fois en Bretagne les premières bases du dispositif prostitutionnel régional.

REMIZOV

Au total, 630 professionnels et bénévoles ont répondu au questionnaire en ligne et/ou été rencontrés en entretien : 118 en Côtes-d’Armor, 223 dans le Finistère, 169 en Ille-et-Vilaine et 120 dans le Morbihan.

226 personnes en situation de prostitution en Ille-et-Vilaine entre 2016 et 2018

Les éléments fournis par les partenaires interrogés permettent de poser l’hypothèse de 846 personnes a minima concernées en Bretagne, dont au moins 661 en situation de prostitution probable ou avérée sur les trois dernières années.

prostitution bretagne

« Sans parler de spécificité bretonne, la région recense une part plus importante de prostitution discrète – appartements, hôtels et bars à hôtesses – que celle visible », précise Lucie Gil de l’Amicale du Nid. Un important réseau agissant à Rennes et Nantes a notamment été démantelé en 2019. Cependant des réseaux de prostitution de rue sont encore signalés sur la métropole rennaise, principalement originaires de Roumanie.

S’il est délicat d’établir des comparatifs entre les départements, nous pouvons remarquer que la prostitution discrète se concentre davantage dans les appartements dans les Côtes-d’Armor, le Finistère et le Morbihan, alors que dans la métropole rennaise, elle semble se dérouler autant dans les appartements que dans les hôtels et apparts-hôtels. Par ailleurs, six ou sept établissements font actuellement l’objet d’une surveillance à Rennes.

prostitution bretagne

La forte concentration constatée dans les grandes agglomérations et le manque de données dans les milieux les plus ruraux ne signifient pas pour autant que la prostitution n’y est pas présente. Une réalité particulièrement marquée en Ille-et-Vilaine. « Il est difficile aussi de certifier que les personnes en situation de prostitution sont actuellement domiciliées en Bretagne ou étaient seulement de passage », souligne Lucie Gil.

32 % des annonces internet bretonnes dans la métropole rennaise.

Compte tenu du pourcentage élevé de la prostitution via internet (62 %), l’Amicale du Nid a considéré ce support comme un terrain de recherche à part entière dans son enquête. À juste titre.

prostitution bretagne

Sur 40 sites étudiés – escorting, site de petites annonces généralistes, sites de rencontres et un site de salons de massage érotique, 2391 annonces ont été comptabilisées. « En tenant compte d’un taux de doublon de 53 %, nous arrivons à 1123 personnes en situation de prostitution via internet », précise Lucie Gil, dont 466 en Ille-et Vilaine, soit 41%.

prostitution bretagne

Comme souligné à plusieurs reprises par Lucie Gil lors de son intervention, ces données sont à prendre avec précaution : « Elles évoluent rapidement, notamment la cartographie des offres internet ».

« Coucou mes choux, je m’appelle Sarah et suis nouvelle dans la région. Douce et sensuelle. Venez vous évader de votre quotidien. À très vite. Bisoussss » (extrait du site ladyxena.com, Ille-et-Vilaine)

« De plus en plus d’hommes et de plus en plus jeunes »

Sur les 661 personnes en situation de prostitution probable ou avérée, la majorité s’avère féminine à 87 % (573). Cependant, on dénombre 11 % (74) d’hommes et 2 % (14) de transidentitaires. Bien que la prostitution soit en grande partie une violence faite à l’encontre des femmes, les chiffres en hausse de la prostitution masculine, souvent absente du débat, ne sont pas à négliger.

prostitution bretagne

À l’image du Maine-et-Loire, la Bretagne semble recenser moins de personnes étrangères et de mineures, mais peut-être est-ce dû à la difficulté de les identifier ou aux flux migratoires moins importants dans la région. En Ille-et-Vilaine, comme dans les Côtes-d’Armor, davantage de personnes étrangères ont été repérées contrairement au Finistère et au Morbihan où la moitié des personnes identifiées sont Françaises.

prostitution bretagne

L’année 2018 a été marquée par l’apparition d’une prise de conscience de la gravité de la prostitution des mineur.es. Au niveau régional, 142 mineurs et 206 jeunes majeurs âgés de 18 à 25 ans, majoritairement des filles, ont été repérés par les personnes interrogées. En Ille-et-Vilaine, 49 mineurs en situation de prostitution ont été identifiés entre 2016 et 2018.

« La prostitution est un système, à nous de créer un écosystème afin de le combattre »

 

Le diagnostic complet est téléchargeable sur le site de la Préfecture de région 

prostitution bretagne

Retrouvez l’intégralité de la LOI DU 13 AVRIL 2016

L’Amicale du Nid

prostitution bretagne

 

Autre article dans le cadre du cycle « Non aux violences faites aux femmes » :

Quelles réalités pour les violences faites aux femmes ?

Manifestation contre les violences faites aux femmes
Manifestation contre les violences faites aux femmes à Rennes le 23 novembre 2019. Photo : L.Musset


En région Rhône-Alpes, de nombreux abus dans un hôpital psychiatrique

Le témoignage de Michel est exemplaire au sens où ces abus restent à peu près partout largement ignorés du public et de la population concernée, sauf de manière très parcellaire par ceux qui en sont directement victimes mais n’osent parler par peur des représailles et sont autant terrorisés par ce qu’ils ont déjà subi que par ces menaces de violences encore plus grandes.

En psychiatrie, la violence des « soignants », arbitraire, ne connaît en effet strictement aucune limite et peut s’abattre sur n’importe qui, aucun procès contradictoire n’étant nécessaire pour être brutalement et arbitrairement condamné à l’enfermement dans un hôpital psychiatrique.

Je me répète un peu mais c’est bien ce qui domine tout ce secteur de « soins » prétendument médicaux qu’il conviendrait peut-être de sortir complètement de l’hôpital : violence, arbitraire, terreur.

En conséquence, effectivement, c’est l’omerta… un verrou à faire sauter de toute urgence…

 

https://www.franceinter.fr/emissions/des-vies-francaises/des-vies-francaise-du-samedi-18-decembre-2021

samedi 18 décembre 2021

par Charlotte Perry

Michel G.: « Nous n’imaginions pas l’ampleur de ce qui se passait dans ce service psychiatrique. »

 

10 minutes
Après de nombreuses démarches auprès des médecins et de la direction de l’hôpital psychiatrique dans lequel sa fille est internée, Michel alerte le Contrôleur Général des Lieux de Privations de Liberté en 2015. Mais il était loin de s’imaginer l’ampleur de ce que la visite du CGLPL allait révéler.

 

Placée 16 mois à l'isolement, contentionnée à plusieurs reprises, la fille de Michel a subi de nombreux abus dans le service psychiatrique où elle était placée.
Placée 16 mois à l’isolement, contentionnée à plusieurs reprises, la fille de Michel a subi de nombreux abus dans le service psychiatrique où elle était placée. © Inconnu

 

Diagnostiquée schizophrène à l’âge de dix-sept ans, la fille de Michel est d’abord traitée par psychothérapie. À mesure que la maladie se chronicise, l’état de santé mentale de la jeune fille se dégrade avec des épisodes violents. Elle est alors placée en service de suite dans un hôpital psychiatrique pour être prise en charge sur le long terme.

Bénévole à l’Unafam Rhône-Alpes (l’Union nationale des familles et amis de malades psychiques), Michel décide de tirer la sonnette d’alarme auprès de l’association car il ne parvient pas à avoir d’explications auprès des médecins psychiatres concernant la prise en charge de sa fille qui lui paraît totalement aberrante : placée seize mois en chambre d’isolement, contentionnée à de nombreuses reprises au motif d’accès de violence, elle ne peut recevoir de visite pendant sept mois. Des décisions que les soignants justifient auprès de Michel par le fait que l’état de santé de la jeune fille le nécessiterait.

Le médecin chef ne voulait pas de psychologue, pas d’assistant social dans son service, pas d’activités pour les malades. Et donc c’était pratiquement que des cachets, et puis contention et isolement.

Appuyé par l’Unafam national, Michel tente alors de prendre contact avec d’autres familles de patients. Des situations similaires à celle de sa fille sont révélées mais les familles refusent de témoigner, craignant des représailles sur leurs proches de la part du personnel soignant. 

Il alerte alors le Contrôleur Général des Lieux de Privations de Liberté par courrier en lui décrivant sa situation. Son témoignage déclenche une visite du CGLPL qui révèlera tout un système sécuritaire, avec un service entier dédié aux chambres d’isolement (46 au total), l’absence de prescriptions médicales pour les recours aux mesures privatives de liberté, des locaux vétustes, des patients enfermés pendant de longues périodes dans leurs chambres, un personnel en sous-effectif sans aucun respect pour les droits des patients.

C’est vraiment le Contrôleur Général qui a constaté ce qui se passait. Nous n’imaginions pas que c’était à ce point. On savait des bribes, mais on savait très peu de choses en fait. On ne s’était pas du tout rendu compte de l’ampleur de ce qui se passait. Il y avait une omerta.

Suite à la visite du CGLPL, un audit a été mené dans cet hôpital psychiatrique et les pratiques totalement revues. Les lois Santé de 2016, puis le nouvel article de 2020, ont permis de mieux encadrer les recours à l’isolement et à la contention. Mais dans les faits, le manque chronique de personnel et des habitudes profondément ancrées mènent toujours à de nombreux abus dans bien des services psychiatriques.

L’équipe

 



Enorme scandale à Brest : les directeurs du CHU sont proxénètes

Depuis le 5 décembre, je reviens sur le cas du proxénète et ancien directeur de l’hôpital psychiatrique de Bohars Christian Barthes, déjà abordé à plusieurs reprises dans d’anciennes publications sur mes blogs.

J’en ai d’abord parlé à propos de cette affaire de double meurtre commis au stand de tir de la Marine à Brest le 13 octobre 1996, et pour lequel il se trouvait a priori aux premières loges, puisqu’il occupait le logement de fonction de la Direction Générale du CHU de Brest, une maison surplombant les lieux du crime, juste en face, au-dessus de l’étang de la Villeneuve :

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/11/30/retour-a-lactualite-de-laffaire-du-double-meurtre-du-stand-de-tir-de-brest/

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/05/retour-sur-laffaire-du-double-meurtre-du-stand-de-tir-de-brest/

Puis indépendamment de cette affaire, en évoquant aussi sa grande protectrice Josette Brenterch du NPA de Brest qui dispose à son sujet d’un dossier très conséquent (j’avais tenté d’en parler en sa présence en 2004 sans connaître au préalable leurs relations et n’avais alors provoqué chez elle que fureur et grands cris hystériques, car selon elle il était « interdit d’en parler ! » , même entre nous…) :

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/06/suite-a-ma-publication-dhier/

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/06/nayez-plus-peur-de-denoncer-christian-barthes-il-est-mort/

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/06/de-lexpulsion-de-christian-barthes-du-chu-de-brest/

Notons au passage que ces publications concernant l’affaire du double meurtre du stand de tir, notamment celle du 7 décembre rappelée ci-dessous, semblent bien être la cause d’une réaction assez curieuse, presque un aveu de culpabilité de celui qui a fait supprimer la vidéo la plus complète à ce sujet sitôt après :

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/07/double-meurtre-du-stand-de-tir-de-brest-un-dossier-qui-devrait-etre-depayse/

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/08/quelle-bande-de-cochons/

Et je suis aussi revenue sur le cas d’un autre ancien directeur de l’hôpital psychiatrique de Bohars, Etienne Morel, qui ne valait pas mieux que son prédécesseur Christian Barthes et se sera ensuite signalé à Quimperlé comme protecteur du pédophile Joël Le Scouarnec :

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/13/des-nouvelles-detienne-morel-ancien-directeur-hospitalier-dans-le-finistere/

Ceci sans oublier d’évoquer leurs liens avec d’autres proxénètes et quelques figures de la Chiraquie connues pour leurs moeurs de nature criminelle :

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/13/des-nouvelles-de-dominique-cantien-ex-de-nicolas-hulot-et-philippe-douste-blazy/

Mais le cas des directeurs de l’hôpital psychiatrique de Bohars ne s’éclaire vraiment qu’avec une condamnation pour usurpation de titre prononcée contre Christian Barthes par le Tribunal Correctionnel de Brest le 14 mai 2002, et confirmée en appel à Rennes le 11 mars 2003 (cf. documents publiés ci-dessous, où j’ai masqué les noms et coordonnées de deux victimes de Christian Barthes).

En effet, à cette date, soit un mois et demi avant sa condamnation pour proxénétisme aggravé et faux et usage de faux pour avoir toujours prostitué sa propre épouse à compter de l’année 1996 et organisé une dissimulation des revenus correspondants, Christian Barthes avait été condamné pour avoir continué à faire usage d’une qualité de directeur d’hôpital qu’il n’avait plus depuis sa révocation de la fonction publique par décision ministérielle du 10 août 1999, dans trois circonstances distinctes pour lesquelles aucun autre fait répréhensible ne lui a jamais été reproché par les autorités judiciaires, comme si tous les agissements pour lesquels il s’était prévalu de ses anciennes fonctions de directeur hospitalier du CHU de Brest ressortissaient effectivement des attributions d’un tel directeur, qu’il n’était plus; à savoir :

1°/ en 2000, s’être intéressé à des jeunes filles mineures confiées au Foyer de l’Enfance de la Garenne à Saint-Martin-des-Champs, d’une telle manière que leur éducateur finira par lui demander des explications; il avait en effet remarqué que ce monsieur qui plusieurs fois lui avait ramené des mineures en fugue était en fait celui-là même qui au préalable venait les débaucher, les appâtant avec quelques cadeaux, tandis que d’autres qui refusaient de sortir avec lui ou ne voulaient plus le voir se plaignaient d’être harcelées par lui; la demande d’explications s’était soldée par des menaces de Christian Barthes contre l’éducateur : brandissant sa carte de directeur du CHU de Brest, évoquant également ses relations au Conseil Général du Finistère, il l’avait menacé de lui faire perdre son emploi en cas de dénonciation; sa lettre au Procureur de la République de Brest était donc bien une plainte portant sur l’ensemble de ces faits répréhensibles, à commencer par ceux de détournement de mineures, même pas rapportés dans le jugement du 14 mai 2002 ayant condamné Christian Barthes pour l’unique fait d’usurpation de titre, en l’occurrence totalement inconnu de ses victimes de ce Foyer de l’Enfance du Finistère qui ne seront jamais averties des suites données à leur plainte que par moi, du jour où j’en eus connaissance;

2°/ le 11 février 2001, avoir conduit contre son gré jusqu’aux services des urgences du CHU de Brest en vue de son hospitalisation sous contrainte une jeune femme dont l’état ne nécessitait aucune hospitalisation; il y avait donc là enlèvement et séquestration suivis d’une tentative d’internement abusif, probablement assortis d’autres violences, mais encore une fois, seule l’usurpation de titre fut retenue par les magistrats; en conclusion, donc, ne montez jamais dans la voiture d’un directeur du CHU de Brest, mesdames, mesdemoiselles, ne prenez jamais le risque de le suivre où que ce soit, vous ne savez où cela peut vous conduire sans qu’aucun des magistrats locaux ne s’en offusque jamais : internement psychiatrique sous contrainte totalement injustifié, viols, prostitution forcée dans un bar à hôtesses de Brest, bordel, etc…

3°/ avoir, au mois de février 2001, par ses comportements auprès d’une patiente d’un neurologue du CHU de Brest, provoqué une rupture d’anévrisme chez cette personne qui tentera vainement de se constituer partie civile lors du procès, seule l’usurpation de titre étant à nouveau retenue par les magistrats brestois.

Notons encore que Christian Barthes était connu de son personnel à l’hôpital psychiatrique de Bohars pour ses visites nocturnes dans les services de « soins », où il venait violer des patientes de ses psychiatres, faits pour lesquels il n’a jamais fait l’objet d’aucune poursuite.

Par ailleurs, cet ami de l’ancien proxénète brestois Bernard Algret était bien le « protecteur » de plusieurs jeunes femmes prostituées exerçant notamment dans des bars à hôtesses de Brest. Il était aussi leur fournisseur en cocaïne.

 

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A Palerme, 17 personnes arrêtées pour divers abus en psychiatrie

Nouvelle leçon en provenance de Palerme pour la France et sa « justice », toujours incapables de prendre les mesures qui s’imposent quand les abus sont indéniables :

 

https://www.francetvinfo.fr/

December 17 2021, 12:28 PM GMT+1Eurovision Social Newswire

ITALIE : Des cas de « torture » et de « corruption » dans un établissement psychiatrique de Palerme.

 

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Va-t-en, va-t-en, va-t-en. Allez-y. [Bleep] …pédé.
SUBJECT 1 : Je suis sûr à 99% qu’ils lèvent les mains vers les garçons…. Jusqu’à ce qu’il y ait des caméras cette chose…. nous ne l’enlevons pas et vous voyez que c’est une infraction pénale.
Pour vérifier si les toilettes étaient propres, parce qu’il y avait [Bleep] qu’ils ne nettoyaient pas, parce que les gars étaient habillés comme des gitans, parce qu’ils ne se lavaient pas bien, parce que la nourriture était nulle, parce que l’installation n’était pas propre…
Ont-ils compris pourquoi nous collectons des factures ? Parce qu’il n’y a pas de comptabilité, que l’ordinateur a disparu, ont-ils compris ? Que si l’Agence des impôts vient, ton père aura des problèmes ? Ont-ils compris tout cela ?
SUBJECT 3 : Tu ne [Bip] pas du tout les garçons… tu connais une maison de fous ? Pareil, identique, tout ce dont on a besoin, j’ai dit à [Bip], qu’ils les attachent aux lits et ensuite on a fini, on est prêt pour D’URSO…
Tu dois jeter le poison hors de ton cœur.
SUBJECT 3 : Il y a des choses qui sont objectives… les budgets n’ont jamais été présentés, il y a une folie dans les comptes, la structure n’est pas adéquate et ne répond pas aux normes…..
SUBJECT 4 : Qu’ils vivent ou qu’ils meurent n’intéresse personne.
SUJET 5 : Jusqu’à ce qu’ils aient payé leurs vacances et qu’ils les aient faites à [Bip], qu’ils aient bu des cocktails, qu’ils aient bu du Spritz, qu’ils aient bu du Coca Cola et qu’ils aient passé le guichet automatique au nom de [Bip] pour 1000/1500 euros, parce qu’ils sont comme des porcs….
OPERATORE: Vattene, vattene, vattene. Continua pure. [Beep] …frocio.
SOGGETTO 1: Io ne ho la certezza il 99% che gli alzano le mani ai ragazzi… Fin quando non ci sono le telecamere sta cosa…. non noi ce la togliamo e vedi che è un reato penale.
Controllare sei i bagni erano puliti, visto che c’era [Beep] che non pulivano, visto che i ragazzi erano vestiti come gli zingari, visto che non il lavavano bene, visto che il mangiare faceva schifo, visto che la struttura non era pulita…
L’hanno capito perché stavamo raccogliendo le fatture? Perché non c’è contabilità, che il computer è sparito, l’hanno capito? Che se entra la Finanza tuo papà passa i guai? Tutto questo, loro l’hanno capito?
SUBJECT 3: Voi i ragazzi non ve li [Beep] proprio… tu c’è l’hai presente un manicomio? Uguale, identico, ci manca solo, gli ho detto a [Beep], che li legano ai letti e poi siamo a posto, siamo pronti per la D’URSO…
OPERATORE: Devi buttare il veleno dal cuore
SOGGETTO 3: Ci sono cose che sono oggettive… i bilanci non sono mai stati presentati, nella contabilitá c’e manicomio, la struttura non è adeguata e non è a norma….
SOGETTO 4: Li se campano o se muoiono, non interessa niente a nessuno
SOGETTO 5: Fino a quando si pagavano le vacanze e le facevano al [Beep], bevevano Cocktail, bevevano Spritz, bevevano Coca Cola e passavano il bancomat a nome di [Beep] per 1000/1500 euro, perché sono come i porci…
Castelbuono, Palermo – Décembre 17, 2021
Guardia di Finanza

 

Dix-sept personnes ont été arrêtées après la révélation d’abus physiques et de mauvais traitements infligés à des patients dans un établissement psychiatrique de Palerme, selon la Guardia di Finanza italienne, vendredi 17 décembre.

Une vidéo publiée vendredi par les forces de l’ordre montre des patients de l’établissement Suor Rosina La Grua de Castelbuono agressés ou traînés dans la « salle de relaxation », où ils sont souvent enfermés pendant des heures sans nourriture, eau ou assistance et sans pouvoir aller aux toilettes, selon les rapports locaux.

Au total, 35 personnes font l’objet d’une enquête pour divers délits, notamment torture, mauvais traitements, enlèvement, corruption, fraude aggravée en vue de l’obtention de fonds publics et détournement de fonds dans l’établissement à but non lucratif associé au service de santé de Palerme.

Un juge a également ordonné la saisie d’actifs d’une valeur de 6,7 millions d’euros.

hauser – ESN

 



Pierre-Jean Chalençon, Eric Zemmour, Jean-Luc Lahaye, Dave…

Voilà tout un tas de gens qui décidément s’apprécient beaucoup mutuellement et tiennent à le faire savoir… et il y a encore parmi eux l’ancien conservateur en chef du château de Malmaison, Alain Pougetoux, un type qui apprécie tellement le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi qu’il lui a offert la maison qu’il occupe à titre de propriétaire à Puy-L’Evêque depuis le début des années 2000.

Mais l’homme auquel ils se réfèrent ou dont ils se réclament tous semble lui n’avoir jamais été pédophile :

 

https://fr.soc.histoire.moderne.narkive.com/gPNGmSme/napoleon-pedophile

Napoléon, pédophile..
(trop ancien pour répondre)
Emir de Samara
il y a 14 ans

Ce sont d’abord les Égyptiens qui ont offert une vierge de 12 ans à
Bonaparte.. mais puisque ce fut apparemment sans succès, il n’y a pas eu de
délit !

 

Aussi, au moins par respect pour la mémoire de ce monsieur dont ils se disent fans, je les invite à faire le ménage dans leur entourage pour en virer au moins les pédophiles, à grands coups de ces déclarations publiques fracassantes qui caractérisent leur style…

On n’en peut plus, là.

Vous êtes qui, au juste ?

Le parti des pédos qui se présente aux présidentielles ?

 

https://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/eric-zemmour-est-passionnant-pierre-jean-chalencon-present-au-meeting-du-candidat-a-l-election-presidentielle_479681b4-55d0-11ec-93eb-53a575863a17/

«Éric Zemmour est passionnant»: Pierre-Jean Chalençon présent au meeting du candidat à l’élection présidentielle

 

  • Par  Journaliste Figaro Emilie Paul
  • Mis à jour le 05/12/2021 à 17:01
  • Publié le 05/12/2021 à 15:47
«Éric Zemmour est passionnant»: Pierre-Jean Chalençon présent au meeting du candidat à l’élection présidentielle

VIDÉO – L’ancien acheteur d’«Affaire conclue» sur France 2 a été vu ce dimanche au Parc des expositions de Villepinte (Seine-Saint-Denis) où le candidat d’extrême droite tient son premier meeting.

Après son annonce de candidature à l’élection présidentielle, Éric Zemmour a souhaité réunir ses troupes ce dimanche après-midi au Parc des expositions de Villepinte (Seine-Saint-Denis). Parmi ses nombreux soutiens, le candidat d’extrême droite a pu compter sur Pierre-Jean Chalençon. L’ancien acheteur d’«Affaire conclue» sur France 2 a vraisemblablement été conquis par son slogan évocateur «Impossible n’est pas français», expression attribuée à Napoléon dont le collectionneur d’art est un spécialiste.

À VOIR AUSSI - Présidentielle 2022: qui sont Laurence Trochu et Vijay Monany, soutiens d’Éric Zemmour?

 

Présidentielle 2022: qui sont Laurence Trochu et Vijay Monany, soutiens d’Éric Zemmour ?
Ce dimanche, Éric Zemmour, candidat à l’élection présidentielle, a tenu son premier meeting de campagne au Parc des expositions de Villepinte.
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» LIRE AUSSI – Pierre-Jean Chalençon: «J’ai l’impression d’être sous Vichy»

Fin septembre, Pierre-Jean Chalençon avait révélé être ami avec Éric Zemmour. «Je connais depuis pas mal d’années», avait-t-il assuré sur le plateau de «Touche pas à mon poste!». À l’époque, la candidature à l’élection présidentielle du polémiste n’était pas officialisée mais le collectionneur d’art avait affirmé qu’il pourrait voter pour lui s’il se présentait. «C’est assez étonnant le nombre de jeunes, de gens de différentes couches socioprofessionnelles qui veulent voter pour lui. Je connais Éric toujours par rapport à Napoléon parce que c’est un passionné d’histoire. Éric est un conteur, un historien, c’est quelqu’un de passionné. Je comprends qu’il ait envie de développer son livre, ses sujets qu’il avait écrit dans son livre», avait-il répondu à Cyril Hanouna.

«S’il ne se présente pas, au moins il aura fait la démarche de dire ce qu’il pense et de réveiller les partis», avait ajouté Pierre-Jean Chalençon avant de déplorer l’état de la France: «Il y a un moment, on ne peut plus abaisser le niveau de la société française comme aujourd’hui c’est abaissé. Il y a quand même une cancel culture qui est catastrophique. D’ailleurs pourquoi son émission avec Christine Kelly marche si fort? Parce que les gens sont passionnés. Les gens l’écoutent parce qu’il est passionnant».

Il y a quelques jours, celui qui a été accusé d’avoir organisé à Paris des repas luxueux clandestins notamment au Palais Vivienne s’est lancé dans la chanson. Dans une vidéo publiée sur ses réseaux sociaux, Pierre-Jean Chalençon a imaginé une danse qui porte son nom. «À chaque coin de rue, c’est le Cha-Chalençon. Dansez le Chalençon, pas la danse des canards», entonne le collectionneur d’art voulant faire face à la grise actualité en inoculant «le variant de la bonne humeur».

 

Pierre-Jean Chalençon au premier meeting d’Éric Zemmour, au Parc des expositions de Villepinte.

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Emilie Paul
Pierre-Jean Chalençon, Eric Zemmour, Jean-Luc Lahaye, Dave... dans Corruption Journaliste – Sa biographie

 

 

https://www.voici.fr/news-people/video-on-nen-peut-plus-de-cette-justice-pierre-jean-chalencon-sexplique-apres-son-message-polemique-en-soutien-a-jean-luc-lahaye-716125

VIDEO « On n’en peut plus de cette justice » : Pierre-Jean Chalençon s’explique après son message polémique en soutien à Jean-Luc Lahaye

 

Le 05/11/2021 à 16h23

par Laura Buys Crédits photos : C8

 

Pierre-Jean Chalençon était l’invité du Quart d’heure sans filtre ce jeudi 4 novembre dans Touche pas à mon poste. L’ex-acheteur star d’Affaire conclue est venu s’expliquer après la publication d’un tweet choc sur le placement en garde à vue de son ami, Jean-Luc Lahaye.

Cités dans cet article

Pierre-Jean Chalençon

Jean-Luc Lahaye n’en a pas fini avec la justice. Le 3 novembre dernier, Le Parisien annonçait que le chanteur de 68 ans avait été placé en garde à vue pour « viols et agressions sexuelles sur mineur de plus de 15 ans ». Des faits qui remonteraient à 2013-2014, époque où les deux femmes qui ont porté plainte contre Jean-Luc Lahaye étaient fans de l’interprète de Papa chanteur. Condamné en 2015 pour une affaire de corruption de mineur dans laquelle l’une des deux victimes présumées était déjà cité, la star des années 80 aurait eu des « rapports sexuels avec elles et leur aurait demandé, par Internet et caméras interposées, de se dévêtir et de prendre des poses sexuelles ». Un récit glaçant qui a hérissé le poil de Pierre-Jean Chalençon, mais pour une toute autre raison. Choqué d’apprendre la garde à vue de son ami, le meilleur ennemi de Caroline Margeridon a alors saisi son clavier pour publier sur Twitter un message de soutien. « Franchement, on n’en peut plus de cette justice ! Et pourquoi pas un serial killer ? Notre pays est devenu une parodie de démocratie« , a-t-il écrit.

Si ces quelques lignes ont rapidement disparu des Internets, elles ont fait suffisamment de bruit pour que Pierre-Jean Chalençon soit invité à s’expliquer sur le plateau de Touche pas à mon poste dès le lendemain. Face à Cyril Hanouna et sa bande consternés par ses propos, l’ex-acolyte de Sophie Davant a raconté qu’il avait tout simplement voulu montrer à son ami qu’il était à ses côtés dans l’épreuve. « J’aime beaucoup Jean-Luc. On ne va pas revenir sur mes histoires, mais ça fait quelques temps que j’ai des petits soucis. Et j’ai quelques amis dont Jean-Luc qui ont toujours été là« , a-t-il déclaré dans un premier temps avant d’ajouter un peu plus tard : « Je suis quelqu’un de cash. Quand j’ai appris ça, il était assez tard, j’ai dit : ‘C’est pas possible qu’est-ce qu’ils ont encore fait à Jean-Luc ?’«  Des explications qui ont fait bondir plusieurs chroniqueurs de l’émission de C8.

Les chroniqueurs de TPMP fustige le comportement de Pierre-Jean Chalençon

Révoltée, Géraldine Maillet n’a pas hésité à lui voler dans les plumes, lui rappelant au passage l’organisation de ses dîners clandestins. Gilles Verdez, lui, s’est dit « choqué » par le discours tenu par Pierre-Jean Chalençon. « Il y a des charges sérieuses, on verra l’issue. Mais la manière dont vous bafouez l’honneur des victimes présumées, dont vous bradez toute cette justice, c’est hyper violent », a indiqué le journaliste, rejoint par son collègue Benjamin Castaldi – qui ne comprend pas comment ce spécialiste de Napoléon peut publier ce genre de message sur la Toile. « Tu te rends compte que ça fait maintenant 2 ou 3 ans que tu es toujours dans des histoires de bad buzz, lui a-t-il dit. C’est là qu’on se dit, soit il fait exprès, soit il est complètement teubé. Tu peux avoir ton avis mais ne fais pas ça sur les réseaux sociaux. » C’est désormais dans la plus grande discrétion qu’il lui dédira ses mots, à lui, rien qu’à lui.

 

https://www.journaldesfemmes.fr/people/actus/2767601-dave-age-politique-jean-luc-lahaye-retraite-argent/

Dave : Retraite « minable », « FN » et « Dîners » avec Jean-Luc Lahaye

 

Dave a donné son avis sur Eric Zemmour, a révélé être raccord avec les idées d’un membre du RN et avoir détesté Mask Singer… Le chanteur a parlé librement argent, politique et pris la défense de Jean-Luc Lahaye.

Dave : Retraite "minable", "FN" et "Dîners" avec Jean-Luc Lahaye
© Dave – L’Instant De Luxe – Capture d’écran

 

Dave a dévoilé son opinion politique sans hésitation. Le chanteur de 77 ans s’identifie plutôt aux idées d’un membre du Rassemblement National. « Concernant la politique, j’ai écouté Robert Ménard et toutes ces réponses m’ont plu. Il est FN, mais il m’a plu! Il est copain avec Zemmour, il est brillantissime, mais légèrement fou« , a-t-il déclaré dans l’émission L’Instant De Luxe, face à Jordan De Luxe.  »Je n’ai peur que de deux choses : le fanatisme religieux et le verglas« , a-t-il ajouté. L’interprète de Du Côté de Chez Swann s’est également plaint de sa « retraite de non-cadre » qu’il trouve tout simplement « minable« .

Dave : sa retraite « minable »

Pour renflouer ses fins de mois, Dave continue donc de se produire sur scène et de multiplier les apparitions à la télévision.  »Je vais chanter jusqu’à ce que fin s’en suive, mais on ne remplit pas toujours le Zénith. Quand on m’appelle pour une télé, la première question que je pose c’est: ‘C’est payé combien?‘. Car c’est un travail« , a déclaré l’interprète de Vanina avant de préciser: « Ce n’est pas a la télé qu’on gagne de l’argent« .

 

Dave : pourquoi il a détesté participer à Mask Singer

Si Dave a participé à la deuxième saison de Mask Singer, le chanteur a particulièrement détesté cette expérience.  »Parce que quand on me dit quelque-chose qui ne me convient pas, j’aime bien répondre, et dans cette émission on ne peut pas parler. J’étais frustré mais à un point, vous ne pouvez même pas imaginer« , a-t-il confié à Jordan De Luxe. Mais si l’artiste a accepté d’apparaître dans le programme, c’est justement pour contrebalancer ce qu’il considère comme une maigre retraite.  »Il est certain que si j’ai accepté cette émission, c’est parce que c’était en plein confinement et que quand on est confiné, il n’y a pas de concerts« , a-t-il expliqué. Et de conclure: « C’est la dernière fois que je fais une émission de télé comme ça, où je me suis dit ‘Mais qu’est-ce que tu fous dans cette galère ? Heureusement que t’es bien payé‘, voilà en gros ce que j’ai pensé« .

Dave défend Jean-Luc Lahaye

Décidément sans filtre, Dave n’a d’ailleurs pas hésité à prendre la défense de Jean-Luc Lahaye, récemment mis en examen pour « viols et agressions sexuelles sur mineures de plus de 15 ans« . « Il est sympa dans la vie. On a fait des dîners ensemble. J’ai du mal à imaginer qu’il ait violé quelqu’un. Il faut connaître le dossier pour faire une déclaration sur des choses aussi ambigües« , a-t-il déclaré avant d’ajouter: « Quand il invite une fille, il ne lui demande peut-être pas sa carte d’identité. Donc il ne peut pas savoir exactement. Il y a des filles de 18 ans qui en font 14 et des filles de 14 ans qui en font 18. J’espère que c’est sous cet angle là ».

 

 



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