Années 2010 : comment les attentats islamistes ont débuté 27 janvier
Hier, afin de recadrer tous les débats sur les attentats islamistes qui ont pu être commis sur le sol français, j’ai publié cette liste montrant clairement que ceux des années 1990 et suivantes ont toujours été le fait de la même organisation terroriste, d’origine algérienne, à la fois très proche d’Al-Qaida et de l’extrême-gauche française (ancienne LCR devenue NPA), dont la cheftaine de Brest a elle-même vécu en Algérie à une époque où son père gendarme dont elle dit avoir hérité du « mauvais caractère » n’a sûrement pas été très tendre avec les Algériens qu’il devait interroger :
http://petitcoucou.unblog.fr/2022/01/26/des-attentats-islamistes-commis-en-france/
Egalement à voir ou revoir à ce sujet :
http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/30/qui-est-vraiment-josette-brenterch-du-npa-de-brest/
Ayant donc infiltré la Ligue Communiste Révolutionnaire de Brest dans les années 1970 après avoir effectué son service militaire volontaire dans la gendarmerie, cette excellente amie du brocanteur Jacques Fornès, comme elle rapatrié d’Algérie en raison de la guerre et toujours resté fidèle à ses amis de la famille Le Pen, s’est ensuite rapidement imposée à la tête de cette organisation d’extrême-gauche qu’elle n’a plus jamais quittée depuis lors, tant elle éprouvait de plaisir à en manipuler tous les gogos pour assouvir tous ses désirs très personnels – entre les graves déficients mentaux et les très gros consommateurs de femmes et de très jeunes filles à l’ego surdimensionné dont elle y était entourée, pour elle ce fut toujours un jeu d’enfant.
Or, dès ces années 1970, toute ma famille était bien déjà dans son collimateur, sans qu’aucun de nous n’en ait jamais entendu parler.
D’une part, elle surveillait déjà mon père qu’elle jugeait extrêmement dangereux pour ses activités publiques, dont une sensibilisation à l’écologie commencée au début des années 1970, et d’autre part, le profil de ses enfants, tous excellents élèves et réputés très intelligents, voire surdoués, l’inquiétait aussi énormément.
J’en ai déjà parlé à plusieurs reprises, notamment au début de la pandémie :
http://petitcoucou.unblog.fr/2020/03/23/je-ne-sais-pas-ecrire-parait-il/
Et encore récemment :
Dès les années 1970, nous dérangions à un point tel que mes parents recevaient déjà des lettre anonymes de menaces de mort accompagnées de photographies de leurs enfants prises sur nos lieux de villégiature, montrant que nous étions bien déjà traqués partout.
Les tentatives d’assassinat à répétition avaient effectivement commencé dans les années 1990 tandis que Josette Brentrech et ses amis du crime organisé ne nous lâchaient plus et nous calomniaient à outrance absolument dans tous les milieux où nous pouvions évoluer ou avoir quelques contacts.
Et l’ensemble de ces exactions dont elle a toujours été le chef dirigeant dans le Finistère venait de prendre un tour nouveau avec le début des campagnes de calomnies publiques nominatives auxquelles, au mois de juin 2010, elle avait décidé de se livrer à mon encontre avec toute la bande de cybercriminels et harceleurs de son complice le pédophile, trafiquant de drogue et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Simultanément, sachant que toutes ces calomnies publiques pouvaient faire réagir tout comme mes proches et moi-même tous ceux qui nous connaissent et savent donc à quel point elle ment et invente à notre sujet, elle décidait de les faire taire en les faisant tous assassiner et se lançait aussi pour obtenir plus facilement tout ce qu’elle voulait dans la préparation d’une nouvelle vague d’attentats terroristes dont les toutes premières manifestations surviennent bien en juin 2010, comme je l’ai déjà montré à plusieurs reprises et encore ici très récemment :
La menace d’une reprise des attentats des années 1990, auxquels elle n’était déjà pas étrangère, devient tout à fait formelle et publique au mois de septembre 2010, très précisément le 20 septembre 2010 (voir article ci-dessous).
Où en étions-nous donc de nos « échanges » publics à cette date ?
Pour le savoir, il suffit de se reporter à l’intégralité des articles et commentaires de mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog pour cette année 2010, lesquels sont désormais supportés par ces trois blogs :
http://unpetitcoucou.unblog.fr/
http://unpetitcoucou2.unblog.fr/
http://unpetitcoucou3.unblog.fr/
Nos derniers échanges avant le 20 septembre 2010 font donc suite à un article publié le 16 septembre 2010 et concernent les actions judiciaires qui ne vont plus tarder à débuter à raison de toutes les infractions pénales qu’elle commet à mon encontre, c’est-à-dire que m’ayant publiquement interrogée à ce sujet, elle va dès lors comme à son habitude organiser sa défense au moyen de nouvelles attaques, de nouvelles inventions calomnieuses qui seront cette fois destinées aux autorités judiciaires.
Le tout se trouve dans ces deux copies (cliquer sur les images pour les agrandir et lire les textes) :
Les premiers attentats, de mars 2012, feront suite à ma première mise en examen, et tous les autres vont continuer à rythmer l’avancée des procédures abusives de mes harceleurs à mon encontre.
Risque d’attentat en France : une femme kamikaze recherchée à Paris
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Le risque d’un attentat s’est accru en France depuis ces derniers jours. «La menace est réelle», a confirmé lundi Brice Hortefeux, lors d’un déplacement à Moissy-Cramayel (Seine-et-Marne). «Notre vigilance est renforcée», a précisé le ministre de l’Intérieur, rappelant que le plan Vigipirate restait activé au niveau rouge, avant-dernier échelon avant le niveau écarlate, déclenché en cas de risque d’attentat imminent.
Plus tôt lundi, le ministère de l’Intérieur avait annoncé que le risque d’un attentat s’était renforcé depuis jeudi dernier. Selon une information de RTL, les services de renseignement intérieur (DCRI) ont appris dans la nuit de mercredi à jeudi qu’une femme kamikaze s’apprêtait à commettre un acte terroriste dans Paris dans la journée. Ce renseignement en provenance d’Algérie, et attribuant la menace à Al-Qaïda au Maghreb islamique, a alors été transmis à l’Elysée et à Matignon.
Dès 5 heures du matin, jeudi, le plan Vigipirate a été rehaussé et les fonctionnaires de l’anti-terrorisme mobilisés à la recherche de la suspecte. Brice Hortefeux a alors annulé un déplacement en province pour superviser les opérations et se rendre notamment à l’aéroport de Roissy-CDG et à la Tour Eiffel.
Lundi, on a appris de source judiciaire que le parquet antiterroriste de Paris avait confié à la Direction centrale du renseignement intérieur et à la section antiterroriste de la Brigade criminelle de Paris (SAT) une enquête préliminaire pour vérifier ce renseignement. Après avoir indiqué dans un premier temps que la menace visait les transports, le ministère de l’intérieur est revenu sur cette précision, parlant simplement de «types d’objectifs totalement indéfinis».