Bernardette Malgorn réagit à l’affaire « Vivre à Brest »

Bon, ben voilà, elle a réagi, mais on n’en sait pas plus, vu que l’article est réservé aux abonnés…

L’enquête a quand même montré que l’argent du pot commun « Vivre à Brest » des élus socialistes brestois, qui se trouvait en réalité à disposition exclusive de son trésorier Jean-Luc Polard, lequel en a toujours fait ce qu’il voulait sans aucune forme de contrôle de qui que ce soit, les premiers intéressés eux-mêmes n’ayant jamais pu voir ni valider les comptes de l’association, avait servi à acheter les votes d’une dizaine d’élus non socialistes, outre qu’à mon avis, entre 2007 et 2018 selon les résultats de l’enquête, l’adjoint au maire Jean-Luc Polard a bien aussi toujours acheté son collègue le très influent maçon brestois Alain Masson, à moins que ce dernier ne l’ait toujours fait chanter.

Si ce n’est pas de la corruption, on se demande ce que c’est… – rien du tout pour les magistrats qui ont déjà écarté ces faits de la poursuite, comme d’ailleurs tous les autres faits à l’exception d’un recel d’abus de confiance et d’une complicité d’abus de confiance, dont l’avocat d’Anticor, le Brestois sans foi ni loi David Rajjou, se montre extrêmement satisfait : il s’en est félicité publiquement…

Ceux des Brestois qui avaient élu les conseillers municipaux qui se sont laissés corrompre avec cet argent ont le droit de savoir quels sont ces élus qui les ont trahis.

Alors, qui sont-ils ?

 

 

https://www.ouest-france.fr/bretagne/brest-29200/brest-affaire-vivre-a-brest-la-reaction-de-bernadette-malgorn-1c1b8a2c-8daa-11ec-a6c9-d7629bbac447

Brest. Affaire Vivre à Brest : la réaction de Bernadette Malgorn

 

La principale opposante à François Cuillandre, réagit à l’affaire « Vivre à Brest », qui a de nouveau rebondi en fin de semaine dernière.

Ouest-France Publié le 14/02/2022 à 16h37

 

M. Cuillandre doit faire toute la transparence. ​C’est le titre du communiqué transmis par Bernadette Malgorn, élue d’opposition (droite et centre), après la décision prise par le procureur de Brest, de demander le renvoie de François Cuillandre devant une juridiction correctionnelle, dans le cadre de l’Affaire « Vivre à Brest. »Elle parle d’un système opaque et demande davantage de transparence sur cette affaire, comme sur l’ensemble des dossiers municipaux et métropolitains, l’ouverture des dossiers, le…

Brest. Affaire Vivre à Brest : la réaction de Bernadette Malgorn

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https://www.ouest-france.fr/bretagne/brest-29200/affaire-vivre-a-brest-le-parquet-requiert-le-renvoi-en-correctionnelle-du-maire-et-son-ex-adjoint-f6b7fa6a-8bea-11ec-b83e-779412dca362

Affaire Vivre à Brest : le parquet requiert le renvoi en correctionnelle du maire et son ex-adjoint

 

Le parquet de Brest estime que les charges sont suffisantes pour renvoyer le maire de Brest, François Cuillandre, et son ex-adjoint Jean-Luc Polard, devant le tribunal correctionnel, dans l’affaire des indemnités des élus PS de la Ville.

Ouest-France Publié le 12/02/2022 à 12h54

 

Le parquet de Brest requiert le renvoi en correctionnelle du maire de Brest François Cuillandre, et de son ex-adjoint Jean-Luc Polard, dans l’affaire des indemnités des élus socialistes de la Ville (association Vivre à Brest), d’après une information du Télégramme .

Contacté, le procureur de la République Camille Miansoni confirme avoir caractérisé les délits de « recel d’abus de confiance » concernant le maire, et de « complicité d’abus de confiance » concernant son ex-adjoint. Mais écarté les délits de détournement de fonds publics et de financement illégal de campagne électorale.

Pendant plusieurs années, entre 1985 et 2017, les indemnités des élus PS ont été versées directement à leur association Vivre à Brest. Cette association était censée redistribuer cet argent de manière équitable, dans une logique de solidarité, mais l’opacité du système et le mécanisme même de redistribution des indemnités ont été pointés par la justice. Une enquête préliminaire avait été ouverte en novembre 2018.

Versements indus

Surtout, le président de Vivre à Brest, Alain Masson, avait détourné « à son profit une part substantielle de ces indemnités », selon un rapport de la Chambre régionale des Comptes, publié le 25 octobre 2021. Pour un montant de 500 000 € entre 2007 et 2018, selon l’enquête préliminaire. Alain Masson étant décédé en 2018, la procédure à son encontre est éteinte.

Mais Jean-Luc Polard, trésorier de l’association, est mis en cause pour avoir autorisé ces versements litigieux. François Cuillandre aurait quant à lui perçu des versements indus de la part de l’association Vivre à Brest (dont il ne faisait plus partie depuis 2001), majoritairement pour le remboursement de frais du parti.

L’ordonnance du juge d’instruction, conforme ou non au réquisitoire du parquet, sera rendue après le délai d’un mois accordé aux parties.

 



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