Jeanne d’Arc une Sarmate ?

 

 

 

Le 8 septembre dernier, dans l’article suivant, je vous avais parlé de Jeanne d’Arc et d’un site très intéressant lui étant entièrement consacré :

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/09/08/jeanne-darc-sa-vraie-vie-vrai-debat-pour-feministes/

Revoilà le site en question :

http://www.jeannedomremy.fr/index.htm

On y apprend notamment que l’héroïne nationale ne serait pas morte brûlée sur le bûcher élevé pour elle le 30 mai 1431 à Rouen et qu’elle serait réapparue auprès des siens qui l’auraient tous reconnue le 20 mai 1436 à Metz. Dès le mois d’août 1436, elle se remet à guerroyer et échappe de peu à un nouveau procès en sorcellerie. Cette fois, elle ne se rend pas à sa convovation devant les juges, la mascarade de Rouen lui a sans doute amplement suffi… Elle revient à Arlon et se marie avec Messire Robert des Armoises, devenant dès lors Jeanne des Armoises.

A lire :

http://www.jeannedomremy.fr/S_RouenClery/armoises.htm

http://www.jeannedomremy.fr/S_Questions/Robert_Armoises.htm

Extraits :

« Les chroniques et considérations diverses d’époque sont nombreuses qui mettent en doute l’histoire officielle, à savoir d’abord la fameuse chronique précitée du Doyen de Saint-Thibaut ou chronique de Metz qui nous dit :

 » Le vingtième jour du mois de mai 1436, la Pucelle Jehanne qui avait été en France, vint à la Grange-aux-Hormes, près de Saint-Privey. Elle se faisait appeler Claude. Le même jour, ses deux frères arrivèrent auprès d’elle. Aussitôt qu’ils la virent, ils la reconnurent, et elle les reconnut aussi. Elle fut reconnue par plusieurs détails pour la Pucelle Jehanne de France qui amena Charles à Reims. Jehanne revint à Arlon, et là fut fait le mariage de Messire Robert des Hermoises, chevalier, et de Jehanne la Pucelle « . »

…/…

« Marcel Gay, directeur de la publication internet d’IDJ ( Info Du Jour ) et auteur du livre référencé sur notre site « l’affaire Jeanne d’Arc » nous précise que personne ne peut croire que l’on puisse revivre après la mort.
Si Jeanne la Pucelle réapparaît, cinq ans après le bûcher de Rouen, c’est forcément qu’elle n’a pas été suppliciée, le mercredi 30 mai 1431, sur la place du Vieux-Marché.

La femme qui périt dans les flammes, ce jour-là, a « le visage embronché », c’est-à-dire caché, nous dit Perceval de Cagny, chroniqueur au service des ducs d’Alençon.

Mais on ignore son identité. Jeanne ( qui ne s’est jamais appelée d’Arc de son vivant mais simplement la Pucelle, c’est le pape Calixte III qui la nommera pour la première fois d’Arc en1456 ) Jeanne donc fait son retour sur la place publique le 20 mai 1436.

Nous le savons d’abord grâce à Pierre de Saint-Dizier, curé de la paroisse de Saint Eucaire puis doyen de Saint Thiebaut et official de Metz. Ce curé érudit tient un journal des événements survenus dans sa ville et dans les pays voisins. Il écrit que ce 20 mai 1436  » Jehanne la Pucelle qui avait été en France  » arrive à un rendez-vous organisé avec les seigneurs de Metz.   » Elle se faisait appeler Claude. Le même jour, ses deux frères vinrent la voir en ce lieu. L’un était chevalier et s’appelait messire Pierre, l’autre Petit Jehan, écuyer et ils croyaient qu’elle avait été brûlée. Mais, sitôt qu’ils la virent, ils la reconnurent pour leur sœur et elle les reconnut de même « .

La chronique du Doyen de Saint-Thiebaut retrace ensuite le parcours de Jeanne de 1436 à 1449 avec une grande précision. Les plus grands seigneurs viennent à sa rencontre et lui offrent des cadeaux de valeur, notamment un cheval et une épée. Jeanne va se recueillir à Notre-Dame de Liesse puis elle va à Arlon, où elle est accueillie par la duchesse Élisabeth de Görlitz. Elle va ensuite guerroyer du côté de Cologne le 2 août 1436, comme en fait foi un laisser-passer ( Cf. Extrait du Geleitbuch der Stadt Köln Jahr 1436- Folio 155 (13 juillet 1436) folio 156 (27 juillet) et folio 156 V° du 2 août ).
Jeanne en repart précipitamment, menacée d’excommunication, et se marie enfin avec le chevalier lorrain Robert des Armoises.
Robert a assisté au sacre de Reims, le 17 juillet 1429, il ne peut pas avoir été abusé par une aventurière. Le couple vient ensuite s’établir à Metz « tant qu’il leur plaisait » précise Pierre de Saint-Dizier.
Jeanne et Robert nous ont laissé plusieurs documents.
Dont une copie authentique de l’acte notarié de la vente d’une partie de l’une de leur propriété, Haraucourt.
Leur contrat de mariage, conservé dans une étude de Fresnes-en-Woëvre ( Meuse ) aurait disparu durant les bombardements de 14-18. De nombreuses chroniques du XVe siècle vont ensuite reprendre les informations du Doyen de Saint-Thiebaut, en y ajoutant parfois des précisions. »

…/…

« - La Pucelle de Cologne fait l’objet de récits historiques de la part du doyen de Saint-Thibaut ainsi que du dominicain Jean Nider ( voir la traduction de Quicherat tome V page 324 – 325 ). Deux historiens modernes, Ambroise Ledru et Alain Atten qui ont produit les résultats de leurs recherches sont référencés dans notre bibliographie.

Le livre  » Une fausse Jeanne d’Arc  » de Lecoy de la Marche a également été publié en 1871. Cet auteur écrit :  » Elle se vantait bien haut d’être la Pucelle ressuscitée, et prétendait introniser sur le siège archiépiscopal de Trêves un des deux prétendants qui se le disputaient, comme elle avait précédemment assis sur le trône de France le roi légitime. A son arrivée dans la ville de Cologne, avec le comte de Wurtemberg ( Virnembourg ), elle trouve le moyen d’opérer des prodiges : on répète partout qu’elle a déchiré en deux une pièce d’étoffe, et l’a remise aussitôt dans l’état primitif, qu’elle a brisé une vitre contre la muraille et l’a réparée instantanément. Kalt-Eysen survient et remplit immédiatement son office : il ouvre une enquête, il cite la magicienne à son tribunal. Mais celle-ci refuse de se soumettre aux ordres de l’Eglise. Elle est excommuniée et va être jetée en prison, lorsque le comte, son protecteur, l’enlève à temps et la ramène à Arlon « . »

 

D’autres « fausses » Pucelles feront encore parler d’elles, pouvant correspondre à de nouveaux épisodes de la vie de Jeanne d’Arc devenue Jeanne des Armoises ou de Sermoise, nom sous lequel est connue la descendance d’un oncle de son mari le Chevalier Robert des Armoises ou des Hermoises, ou bien encore de Sermaize, qui est également le nom d’une localité de Champagne où elle se serait présentée en 1449 ou 1452 et où vit ou a effectivement vécu une partie de sa famille, dont son oncle Henri curé de Sermaize.

Or, ce nom provient d’un peuple guerrier qui serait issu de l’union de Scythes et d’Amazones, les Sarmates (voir article Wikipédia ci-desous) :

« Le nom des Sarmates est à l’origine de nombreux toponymes. En Dacie, on leur doit le nom de la cité de Sarmizégétuse. Dans l’Empire romain d’Occident, les noms de Sermizelles (Sarmisola XIIe siècle), Salmaise, Sermaise, Sermaize, Sermoise et quelques autres, qui remontent tous au nom originel Sarmatia (fundum ou villa), témoignant de la présence de Sarmates déditices en Gaule belgique et Gaule lyonnaise antiques23. »

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Sarmates

Sarmates

Sarmates
Image illustrative de l’article Sarmates
Cataphractaires sarmates auxiliaires de Rome : bas-relief de la colonne de Trajan représentant un épisode de la guerre des Daces.

Période IVe siècle av. J.-C.-IVe siècle
Ethnie Indo-Européens
Langue(s) Rameau indo-iranien
Région d’origine Entre le Don et l’Oural
Rois/monarques Amagê
modifier Consultez la documentation du modèle
Jeanne d'Arc une Sarmate ? dans Insolent - Insolite 220px-Ecoregion_PA0814
Steppe pontique
300px-Scythes_et_Parthes_100_av_JC dans Politique
Carte de la Scythie en 100 av. J.-C.
220px-Roman_Empire_125
Carte de l’Empire romain vers 120-130

Les Sarmates (Sauromates pour les Sarmates protohistoriques) sont un ancien peuple cavalier scythique de nomades de la steppe pontique, appartenant sur le plan ethno-linguistique au rameau iranien septentrional du grand ensemble indo-européen. Ils sont signalés à l’origine entre les fleuves Tanaïs et Daïkos (actuellement le Don et l’Oural).

Étymologie

Le nom de Sauromates, employé par Hérodote, pourrait provenir du grec sauros, « lézard » par allusion à leurs armures à écailles, mais cette interprétation est contestée1 et des étymologies iraniennes ont aussi été proposées : Harold Walter Bailey (1899-1996) envisage l’avestique sar- (« bondir ») proche de l’ancien iranien tsarati, tsaru- (« chasseur »)2 et Oleg Troubatchev rapproche ce nom du mythe des Amazones en suggérant l’indo-aryen *sar-ma(n)t (« puissance des femmes »), de l’indo-iranien *sar- (« femme ») avec le suffixe -ma(n)t/wa(n)t (« fort »)3.

Géographie

La Sarmatie4 se trouvait dans une vaste région naturelle, que les géographes actuels nomment « steppe pontique », et qui avait pour limites au nord des terres couvertes de forêts inconnues des Anciens, à l’ouest la Vistule qui cependant ne traçait pas une limite certaine entre les populations sarmates et germaniques (dont quelques-unes s’étendaient assez loin à l’est de ce fleuve), au sud le Pont-Euxin (mer Noire, où ils étaient en contact avec les Grecs) et à l’est une limite variable fluctuant entre les fleuves Rá (Ρά), ancien nom de la Volga, ou Lycus selon certains auteurs antiques, et Daïkos (Δάικος), ancien nom de l’Oural5.

La Sarmatie comprenait ainsi une grande partie des contrées de la Scythie, nom donné aux actuelles Ukraine et Russie méridionale au temps de l’expédition perse de Darius Ier en 513 avant notre ère. Selon Lucien de Samosate, le fleuve Tanaïs (Don) délimitait les territoires des Scythes et des Sauromates6.

La Sarmatie à l’ouest du fleuve Tanaïs accueillit la grande migration des Goths du IIIe siècle. Parmi les peuples sarmates qu’ils assujettirent, on distinguait les Roxolans et les Iazyges, ainsi que la confédération celto-germanique des Bastarnes.

La Sarmatie située au nord du Caucase occupait l’espace compris entre le Pont-Euxin (mer Noire), le liman Méotide (mer d’Azov), le Tanaïs à l’ouest et la mer Caspienne à l’est ; elle s’étendait au nord jusque vers l’endroit où le Tanaïs se rapproche le plus du fleuve du Rá, soit l’actuelle oblast de Volgograd en Russie.

Histoire

L’histoire des Sarmates7 est connue indirectement par les historiens grecs puis romains contemporains et grâce à de nombreux témoignages archéologiques ou toponymiques.

Mythe des Amazones

Dès Hérodote, les Sarmates sont associés à la légende des Amazones : selon lui, les Sauromates descendent d’Amazones qui se seraient accouplées avec des Scythes, peuple voisin8 ; cette légende s’inspire peut-être de la place des femmes sauromates de rang princier dans leur société : les fouilles de leurs tombes, richement décorées et dotées d’armes, corroborent cette idée pour les VIe et Ve siècles av. J.-C.9. Eustathe de Thessalonique, commentant la Description de l’Univers de Denys le Périégète, et à sa suite Thomas de Pinedo, éditeur de l’encyclopédiste Étienne de Byzance, s’efforcent de réconcilier les récits historiques d’Hérodote avec ceux de Diodore de Sicile10 selon lequel les Amazones prirent le nom de « Sauromatides »11,12.

Origines

Selon Hérodote13, les Sarmates protohistoriques s’allient au roi scythe Idanthyrse pour résister à l’expédition perse de Darius Ier en Scythie (vers 513 av. J.-C.). On sait que tous ces peuples parlaient des langues iraniennes mais on n’en sait pas plus sur leurs origines, ce qui a laissé le champ libre à diverses hypothèses allant d’une migration depuis l’Asie centrale par la steppe eurasienne durant l’âge du bronze, à une évolution sur place depuis le néolithique, l’un n’excluant pas l’autre14.

Selon Pline l’Ancien, qui cite Eudoxe (probablement Eudoxe de Cnide15), les Sarmates historiques sont un peuple riverain du Don (Tanaïs), voisin oriental des Scythes. Ils seraient donc apparus au IVe siècle av. J.-C. et s’étendent depuis l’Oural au détriment des Scythes européens. C’est aux IIIe et IIe siècles av. J.-C. que les Sarmates supplantent ces derniers en Ukraine. Leur poussée vers l’ouest se poursuit jusqu’au Ier siècle : on trouve leurs traces de la mer Baltique jusqu’à la mer Caspienne.

À partir du Ier siècle av. J.-C., alors qu’ils dominent la steppe européenne, Strabon16 et Pline l’Ancien17 distinguent plusieurs (quatre ?) tribus sarmates, les Iazyges (entre le Danube et Dniepr), les Roxolans (à l’est du Dniepr), les Siraques et les Aorses (à l’est du Don).

Une étude de paléogénétique publiée en 2021 suggère que les individus associés à la culture sarmate sont très homogènes bien qu’ils soient répartis sur une vaste zone géographique et une large période. Les nouvelles données étudiées de sept premiers sites sarmates du centre et de l’ouest du Kazakhstan (vers 450 av. J.-C.) montrent que ce pool de gènes était déjà répandu dans cette région au cours des premières phases de la culture sarmate. De plus, les Sarmates montrent une nette discontinuité par rapport aux autres groupes des steppes de l’âge du fer en formant un cluster déplacé vers les Eurasiens occidentaux18.

Période romaine

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Pierre tombale d’un cavalier sarmate stationné en Grande-Bretagne, musée Grosvenor, Chester.

Certains groupes de Sarmates obtiennent de Rome le statut de fédérés (alliés pouvant résider dans l’empire contre service militaire, par fœdus, traité) pour protéger les camps situés sur la voie Agrippa sur l’axe Rome-Boulogne-sur-Mer tel que celui de Cora dans l’Yonne.

À la suite de nombreuses confrontations avec l’Empire romain, des lanciers sarmates sont recrutés par Rome au cours du IIe siècle. L’intégration de ces unités auxiliaires se traduit par l’adoption de l’armement et des techniques militaires steppiques ainsi que par la création d’unités spécialisés (la colonne Trajane montre les lanciers cataphractaires sarmates en train de combattre contre leurs voisins du sud-ouest, les Daces). À partir du IIIe siècle, une partie des Sarmates se soumet aux Goths. Dès lors, ils appartiennent à une coalition de peuples germaniques et non-germaniques, connue sous le nom de « culture de Tcherniakhov » (aussi appelée « culture Sânta Ana de Mureș » par les archéologues roumains). À la fin du IVe siècle, sous la pression des Huns, certains groupes de Sarmates participent aux migrations et s’installent sur le territoire romain. La notice des Dignités (Notitia Dignitatum) mentionne une préfecture des Sarmates et des Taïfales en Gaule, dans la Pictonie gauloise (Pictavis gallia, l’actuel Poitou) où ils sont installés en tant que colons avec le statut de gentiles. Trois des cinq communes nommées Sermaise en France doivent leur nom à ces groupes de Sarmates.

Période des Goths

Une partie des Sarmates est soumise par les Goths entre 200 et 300. Au IVe siècle, les principaux groupes sarmates sont alors les Roxolans et les Iazyges de Pannonie, à la frontière romaine, et les Alains d’Ukraine et de Russie méridionale, voisins des Ostrogoths et des Taïfales.

En 376, les Sarmates de la mer Noire s’allient aux Huns pour détruire le Royaume des Goths puis participent aux invasions hunniques du Ve siècle en Europe occidentale.

Culture

En raison de la période et de l’aire géographique concernées, plusieurs cultures ont été attribuées aux Sauromates protohistoriques et aux Sarmates : entre autres, culture de Prokhorovka et « culture sarmate moyenne » (IIe siècle av. J.-C.). Toutefois certains traits sont caractéristiques. La culture sarmate des origines semble avoir conféré aux femmes une importance égale aux hommes, du moins dans l’aristocratie guerrière. Au IIe siècle, une reine sarmate, Amagê, est connue, indiquant peut-être une permanence de ce trait culturel. D’après Hérodote, les femmes sarmates suivaient leurs maris à la chasse et à la guerre, et s’habillaient comme eux19. Ils se distinguent, notamment des celtes, par leur goût pour la chair et le sang de cheval et pour le lait de jument20.

À l’époque romaine, la célèbre cavalerie lourde sarmate21 témoigne de l’importance de la culture guerrière de ce peuple.

Héritage

Sur le plan militaire, et par l’intermédiaire des Goths qui furent influencés par leur mode de combat, les Sarmates seraient à l’origine de la cavalerie lourde22.

En géologie, un paléocontinent protérozoïque correspondant au socle rocheux situé au nord de la mer Noire a été appelé Sarmatia d’après le peuple des Sarmates. Les géologues et les paléo-géographes appellent « mer Sarmatique » l’étendue d’eau recouvrant, au Cénozoïque, les actuelles mer Noire, Ukraine, Sud de la Russie, mer Caspienne et mer d’Aral. Les géographes appellent « Sarmatie » la grande plaine de Pologne orientale, de Biélorussie et d’Ukraine, et utilisent l’adjectif « sarmatique » pour divers marécages comme les marais du Pripiat, biotopes, ensembles faunistiques ou forêts primaires comme celle de Bialowieza.

Le nom des Sarmates est à l’origine de nombreux toponymes. En Dacie, on leur doit le nom de la cité de Sarmizégétuse. Dans l’Empire romain d’Occident, les noms de Sermizelles (Sarmisola XIIe siècle), Salmaise, Sermaise, Sermaize, Sermoise et quelques autres, qui remontent tous au nom originel Sarmatia (fundum ou villa), témoignant de la présence de Sarmates déditices en Gaule belgique et Gaule lyonnaise antiques23.

Plusieurs dénominations distinguent des peuples sarmatiques dans la bibliographie et ont elles aussi laissé des toponymes :

  • Alains (en grec Ἀλανοί, dérivant de l’iranien Arya ou Yârya signifiant « nobles »24, à l’origine des toponymes de Dār-e Alān, d’Alanie du nord et d’Alanie du sud dans le Caucase) ;
  • Jazygues, Iaziges, Iazyges, Lazygues, Iasses, Jasses, Jassics ou Jasones (en grec Ιάσωνες, de la racine indo-européenne Yâsia, Yârya, Yrætta signifiant également « nobles », à l’origine des toponymes Jász ou Jassie en Hongrie et Iași ou Jassy en Roumanie) ;
  • Ossètes ou Ossèbes (en géorgien ოსეთი ou ოსები, autres variantes de Yâsia, à l’origine du toponyme Ossétie en Russie et Géorgie) ;
  • Roxolans, Roxolanes, Roxelanes (signifiant « brillants », à l’origine des prénoms Roxane, Roxelane, Oxana…).

Un mouvement culturel polonais, appelé sarmatisme, fondé sur l’ancienne croyance protochroniste selon laquelle la Szlachta (aristocratie polonaise) descendrait en droite ligne des Sarmates, se répand de la fin du XVIe siècle jusqu’à la deuxième moitié du XVIIIe siècle dans la République des Deux Nations. Cette idée exerce alors une influence considérable sur les mœurs et l’idéologie de la noblesse polonaise, et influence aussi la littérature baroque sous la Rzeczpospolita.

Reprenant une thèse sur les origines historiques de la légende arthurienne25, le film Le Roi Arthur, réalisé en 2004 par Antoine Fuqua, présente une version qui fait d’un groupe d’enrôlés Sarmates les premiers chevaliers de la table ronde.

Concernant les arts séquentiels, dans Astérix et la Transitalique (2017), deux concurrents sarmates disputent la Transitalique. L’album Astérix et le Griffon (2021) se déroule au pays des Sarmates.

Notes et références

  1. Mark Adderley et Alban Gautier, « Les origines de la légende arthurienne : six théories », Médiévales. Langues, Textes, Histoire, vol. 59, no 59,‎ 31 décembre 2010, p. 183–193 (ISSN 0751-2708, DOI 10.4000/medievales.6173, lire en ligne [archive], consulté le 27 janvier 2017).

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Voir sur cette question la discussion de Pierre Petit, Traité historique sur les Amazones, vol. 1, Leyde, J. A. Langerak, 1718, « Éducation des Amazones », p. 152-153.
  • Harold Walter Bailey, Khotanese Text, Cambridge University Press 1985, p. 65 [1] [archive], (ISBN 9780521257794).
  • Oleg Troubatchev cité par Alemko Gluhak (hr) Podrijetlo imena Hrvat (« Origines de l’ethnonyme « Croate » ») dans la revue Jezik, vol. 37, t. 5, 1990 [2] [archive], pages 131–133.
  • Félix Ansart, professeur d’histoire au Collège Royal de Saint-Louis, Essai de Géographie Historique ancienne, Paris, Mme Ve Maire-Nyon, quai Conti N° 15, 1837, p. 427.
  • Claude Ptolémée, Géographie, livre 6, chap. 14, ed. Karl Friedrich August Nobbe et Karl Tauchnitz, Leipzig 1843, vol. 2, p. 122 [3] [archive] et John Watson McCrindle, Ancient India as Described by Ptolemy, ed. Thacker Spink, Bombay 1885, page 290 [4] [archive].
  • Lucien de Samosate (2015), p. 844
  • K.-F. Smirnov, « Sauromates et Sarmates », Dialogues d’histoire ancienne, vol. 6, no 1,‎ 1980, p. 139–154 (DOI 10.3406/dha.1980.1405, lire en ligne [archive], consulté le 27 janvier 2017)
  • Pellegrin 2014, p. 1719.
  • Véronique Schiltz, « Les Sarmates entre Rome et la Chine. Nouvelles perspectives », Comptes-rendus des séances de l’année… – Académie des inscriptions et belles-lettres, vol. 146, no 3,‎ 2002, p. 845–887 (DOI 10.3406/crai.2002.22481, lire en ligne [archive], consulté le 27 janvier 2017).
  • Diodore de Sicile, Bibliothèque historique, livre II, chap. 44.
  • Voir sur cette question la discussion de Pierre Petit, Traité historique sur les Amazones, vol. 1, Leyde, J. A. Langerak, 1718, chap. XIV, p. 153.
  • Diodore de Sicile (trad. A. F. Miot), Bibliothèque historique, vol. 1, Imprimerie royale, 1834, p. 485, note 101 sur le chap. XLV.
  • Hérodote, Histoires [détail des éditions] [lire en ligne [archive]], livre IV, chap. 57.
  • David W. Anthony, (en) The Horse, the Wheel, and the Language: How Bronze-Age Riders from the Eurasian Steppes Shaped the Modern World, Princeton University Press, (ISBN 9781400831104).
  • Pline l’Ancien, Histoire naturelle [détail des éditions] [lire en ligne [archive]], livre VI, chap. XIX. Pline mentionne en réalité « Eudoxe », sans précision (Hist. nat., livre I). Eudoxe de Cnide a écrit sur l’astronomie et les zones climatériques, et son ouvrage est l’une des sources des Phénomènes d’Aratos de Soles. D’Eudoxe de Rhodes, auteur parfois nommé comme la source d’information de Pline (cf. notamment Le Grand Dictionnaire historique de Louis Moréri, vol. I, p. 1237, article « Eudoxe »), on ne sait rien que ce qu’en dit Diogène Laërce (Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres, chap. « Eudoxe le Pythagoricien »), à savoir qu’il écrivit une Histoire. L’attribution à cet auteur des citations de Pline est donc sujette à caution ; quoi qu’il en soit, la source de Pline est bien du IVe siècle av. J.-C.
  • Strabon, Géographie [détail des éditions] [lire en ligne [archive]], livre VII, chap. 2 et surtout 3, § 17. Le géographe grec insiste sur le fait que ce sont des nomades, que l’on peut rencontrer « de l’Ister (Danube) au Borysthène (Dniepr) ».
  • Pline l’Ancien, Histoire naturelle [détail des éditions] [lire en ligne [archive]], livre VI, chap. XIX.
  • (en) Guido Alberto Gnecchi-Ruscone et al., Ancient genomic time transect from the Central Asian Steppe unravels the history of the Scythians [archive], Science Advances, Vol. 7, no.13, 26 mars 2021, eabe4414, DOI:10.1126/sciadv.abe4414.
  • Hérodote, Histoires [détail des éditions] [lire en ligne [archive]] (Livre IV, 116)
  • [Lartet 1861] Édouard Lartet, « Nouvelles recherches sur la coexistence de l’homme et des grands mammifères fossiles réputés caractéristiques de la dernière période géologique », Annales des sciences naturelles, Paris, impr. Victor Masson et fils, t. 15 « 4e série : Zoologie »,‎ 1861, p. 177-253 (lire en ligne [archive] [sur archive.org], consulté le 27 janvier 2020), p. 197.
  • M.-C. L’Huillier, « La cavalerie lourde : Marius Mielczarek », Dialogues d’histoire ancienne, vol. 21, no 1,‎ 1995 (lire en ligne [archive], consulté le 27 janvier 2017).
  • René Grousset, L’Empire des steppes, Attila, Gengis-Khan, Tamerlan, Paris, Éditions Payot, quatrième édition (première édition 1938), 1965, 620 p., p. 79.
  • Carte de Didier Le Bon dans l’article de Christian Delabos : Vron 143A in : Histoire antique et médiévale n° 62, Juillet-Août 2012, p. 65.
  • [5] [archive]

 



Fabien Roussel et Marine Le Pen bientôt disqualifiés pour la course à la présidentielle ?

 

 

 

https://actu.orange.fr/politique/soupcons-d-emploi-fictif-mon-travail-est-dans-tous-les-discours-les-questions-ecrites-les-combats-les-lois-menees-par-jean-jacques-candelier-se-defend-fabien-roussel-magic-CNT000001K1peb.html

Présidentielle : soupçonné d’emploi fictif, Fabien Roussel se défend

 

Présidentielle : soupçonné d'emploi fictif, Fabien Roussel se défend
Affiches du candidat communiste à l’élection présidentielle Fabien Roussel
©LIONEL BONAVENTURE / AFP

 

Orange avec Media Services, publié le lundi 21 février 2022 à 08h32

Selon une enquête de Mediapart, le candidat communiste à la présidentielle a occupé un emploi en tant qu’attaché parlementaire auprès du député du Nord Jean-Jacques Candelier dont il est toutefois incapable de fournir les preuves.

Fabien Roussel dans la tourmente. Le candidat du PCF à la présidentielle est mis en cause dans une longue enquête publiée par le site d’investigation Mediapart dimanche 20 février.

Celui-ci a travaillé en tant qu’attaché parlementaire pour le député du Nord Jean-Jacques Candelier de 2009 à 2014. Le hic ? Aucune trace de ce travail rémunéré n’a pu être retrouvée par le media alors que Fabien Roussel était dans le même temps très actif pour le compte du PCF.

Fabien Roussel a-t-il bénéficié d’un emploi fictif ?  »Mon travail figure sur mon site internet depuis quelques mois, depuis que je suis candidat, en toute transparence », a-t-il déclaré d’emblée au micro d’Europe 1. « Il n’y a aucune révélation là-dessus », lâche-t-il.

« J’ai travaillé pendant ces cinq années avec Jean-Jacques Candelier, avec les collègues. Jean-Jacques comme eux pourront témoigner. (…) Mon travail est dans tous les discours, les questions écrites, les combats, les lois menées par Jean-Jacques Candelier », s’est défendu Fabien Roussel lundi 21 février, invité d’Europe 1.

« J’ai les documents de combats que nous avons menés ensemble »

« J’ai été avec lui pour suivre des conflits dans le Douaisis, la gare fret de Somain… J’ai les documents du travail que j’ai fait avec lui sur ces sujets avec des syndicalistes. Les pneus de ma voiture s’en souviennent tellement j’ai roulé, tellement j’étais présent », a-t-il ajouté. « J’ai les documents des combats que nous avons menés ensemble », a-t-il répété.  « Je n’ai pas que des amis », explique-t-il encore pour justifier les témoignages recueillis par Mediapart à son encontre.

Une action au PCF à titre « militant et bénévole »

« J’irriguais ses travaux, ses discours, ses questions au gouvernement, de mon travail avec les acteurs sociaux et politiques du département et de sa circonscription. Je me déplaçais sur les lieux de lutte, rencontrais les militants politiques, syndicaux, associatifs et les salariés afin de nourrir l’action et l’ancrage de terrain de mon député », a réagi Fabien Roussel dans les colonnes de Mediapart. Quid du temps donné au PCF ? Une action à « titre militant et bénévole » répond-t-il.

Fabien Roussel « travaillait sur les dossiers importants de l’Assemblée nationale », a témoigné auprès de Mediapart Jean-Jacques Candelier, sans toutefois fournir des preuves du travail du communiste. Lors d’une discussion évoquée par le media en ligne, l’ancien patron aurait évoqué la situation  »pas trop nette » de son assistant.

Dans un communiqué publié lundi 21 février, Jean-Jacques Candelier s’est dit « surpris et indigné » par l’article de Mediapart. Fabien Roussel  »était un collaborateur précieux et efficace, sur le terrain, constamment en relation avec de nombreux acteurs syndicaux, des élus, des habitants », affirme l’ex-député, selon qui il « avait une connaissance très fine de la situation économique et sociale » et « des liens étroits avec de nombreux acteurs du territoire ».

« J’ai fini à 2.700 euros »

Pourquoi celui-ci n’a-t-il pas fourni de justificatifs de ce travail à Mediapart ? « Ils m’ont demandé des SMS d’il y a dix ans, je ne les ai plus, des mails datant de cette époque, je ne les ai pas », admet-il sur Europe 1. Selon l’enquête, Fabien Roussel aurait touché 3.000 euros net par mois pour ce travail.  »J’ai les documents pour présenter mon salaire. J’ai commencé à 2.460 euros nets en 2009, j’ai fini à 2.700 euros », a-t-il déclaré.

Devant Christiane Taubira et Anne Hidalgo dans les sondages, le candidat PCF a d’ores et déjà obtenu ses 500 parrainages pour se présenter à la présidentielle.

 

 

https://www.nicematin.com/politique/marine-le-pen-suspend-sa-campagne-jusqua-lobtention-des-parrainages-pour-la-presidentielle-748225

Marine Le Pen suspend sa campagne « jusqu’à l’obtention des parrainages » pour la présidentielle

 

La candidate du Rassemblement national, Marine Le Pen, a décidé de suspendre sa campagne jusqu’à l’obtention des 500 parrainages.

La rédaction Publié le 22/02/2022 à 11:57, mis à jour le 22/02/2022 à 12:04
Fabien Roussel et Marine Le Pen bientôt disqualifiés pour la course à la présidentielle ? dans Calomnie
Marine Le Pen dans le studio du groupe Nice-Matin. Photo Dylan Meiffret

 

A la peine dans sa quête des 500 parrainages pour pouvoir se présenter à l’élection présidentielle, Marine Le Pen a décidé de suspendre sa campagne de terrain jusqu’à l’obtention des signatures.

Marine Le Pen devait présenter ce mercredi son programme sur l’éducation avant de se déplacer dans la Somme samedi 26 février. Ces événements sont, pour l’heure, reportés.

La candidate du RN peine à rassembler les 500 parrainages nécessaires pour se présenter officiellement à l’élection présidentielle, il lui en manque aujourd’hui une cinquantaine d’après ses équipes.

Selon le Conseil constitutionnel, Marine Le Pen avait, jeudi 18 février, 366 parrainages validés.



Philippe Poutou était à Brest vendredi, 18 février 2022

Pour le Télégramme, il rame, et pour Ouest-France, il fait salle comble, c’est un mec super…

MDR !!!

Pour mémoire : Ouest-France n’a jamais rien publié sur le procès que la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest avait organisé à mon encontre le 9 avril 2013, et pourtant, elle avait bien fait salle comble, il n’y avait pas de places assises pour tout le monde, plein de gens étaient restés debout sur les côtés de la salle, pour trois heures d’audience… Il faut bien dire qu’une partie des bancs était occupée par les élèves de 4ème d’une copine de Josette Brenterch venus apprendre en direct au tribunal ce qu’il en coûte de bien travailler à l’école et de faire ensuite ingénieur : c’est mal, c’est très très mal, cela justifie tout ce que j’ai subi ce jour-là, mais aussi avant, des années durant, et encore après, durant bientôt neuf ans jusqu’à ce jour, et cela va encore continuer… probablement jusqu’à la fin de mes jours. Mea maxima culpa, je n’aurais jamais dû être toujours tête de classe autrefois à Brest… Je ne pouvais pas m’en empêcher, je ne le faisais même pas exprès, je ne calculais pas, je n’ai jamais rien calculé… Enfin si, il y a bien eu des périodes où j’ai tenté de me cacher et volontairement saboté mes notes, mais la vraie nature est toujours ressortie à un moment ou à un autre et bam ! la sanction a toujours été la même partout : le cercle des copines se réduisait automatiquement et j’avais le droit à de nouvelles crasses… Pareil dans le boulot : quand on me demande de faire des trucs jugés infaisables avec l’idée de me préparer une belle lettre de licenciement, je ne me démonte pas, je le fais… d’où les hurlements sans fin de tous ceux qui se sont encore plantés avec moi…

Heureusement pour eux, ces enfants venus me voir souffrir le 9 avril 2013 ont eu une excellente enseignante qui a dû quasiment tous les dégoûter des mathématiques (« Vous voulez finir comme ça ? Etre tous reconnus fous et de surcroît jugés et condamnés pour avoir prétendu n’être point fous ? Ah non, bien sûr, on n’est pas fous, nous, on est des gens bien, on ne fera pas de maths… »). Pas mieux que les bûchers pour les sorcières ou Charlemagne ayant interdit l’exercice des mathématiques pour lutter contre les « tempestaires » qui ne devaient être que les ingénieurs météo de son époque…

Enfin bref, seul Steven Le Roy s’était fendu d’un immonde torchon publié le lendemain dans le Télégramme… en évitant tout de même d’y coller mon nom… Il y avait quand même là une véritable infraction d’atteinte à l’intimité de la vie privée depuis le début : comment un commentateur anonyme (moi sur Rue89) n’ayant jamais donné son identité à personne, même en privé, ni signalé à aucune des personnes le connaissant qu’il s’est mis à écrire anonymement sur la toile peut-il s’y trouver identifié dès ses tout premiers mots et voir ensuite cette identité illégalement révélée au public sans que les magistrats saisis de ses plaintes n’y trouvent jamais rien à redire alors même que les pirates informatiques qui le violent au quotidien depuis le début se sont bien fait prendre en flagrant délit de piratage de ses mails et de son ordinateur ? Je rappelle encore avoir été, moi, dans ces conditions où j’étais bien victime de multiples infractions graves de la part de Josette Brenterch et de ses complices, notamment poursuivie et condamnée (condamnation annulée en appel à Rennes le 2 décembre 2015) pour une atteinte à l’intimité de la vie privée de Josette Brenterch pour avoir, en publiant quelques droits de réponse toujours restés confidentiels à la suite de ses campagnes de calomnies publiques nominatives massives à mon encontre, lesquelles ont toujours été associées à de nombreuses atteintes à l’intimité de ma vie privée, ainsi qu’à des menaces de mort, de viol, du harcèlement sexuel et moral, « révélé » son identité à mes lecteurs, alors qu’elle l’avait déjà révélée elle-même sur les blogs de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi… Presque systématiquement, elle m’accuse mensongèrement de commettre des infractions dont elle s’est elle-même déjà rendue coupable à mon encontre, avec bien d’autres bien plus graves, et est toujours suivie à Brest par des magistrats qui ont bien toutes les cartes en main… Même chose pour son complice de Béziers Jean- Marc Donnadieu dont j’aurais soi-disant révélé l’identité au public alors qu’il l’avait toujours donnée lui-même avec son pseudonyme NEMROD34 et toutes ses coordonnées partout où il s’exprimait ainsi de manière, en réalité, absolument pas anonyme… Et je rappelle encore à ce sujet que pour obtenir deux fois la condamnation de mon hébergeur OverBlog à Montpellier pour ces « faits » dont il m’accusait mensongèrement, il m’a toujours écartée de toutes ses procédures pour s’éviter toute contradiction sur toutes ses dénonciations calomnieuses à mon encontre, ce qui aurait dû conduire tous les magistrats saisis de ces procédures à rejeter toutes ses demandes, comme l’ont d’ailleurs toujours bien fait les premiers juges, ceux de Béziers.

Aujourd’hui, donc, bien au contraire de ce qui était manifeste en ce printemps 2013, Ouest France apparaît très favorable au NPA tandis que le Télégramme le traite par le mépris.

Ah… Le Télégramme et Ouest-France auraient depuis totalement inversé leurs orientations respectives ?

Où sont-ils tous ces gens sensés et spécialistes des médias qui devraient être interpellés ?

Notons par ailleurs qu’Arnaud Hell n’est plus désigné que par son prénom (« Arnaud, cheville ouvrière de la France insoumise qui approuve beaucoup des idées développées par Philippe Poutou », c’est bien lui). Etrange…

Ancien militant du PS, il était arrivé à la LCR en 1994 parce qu’il préférait désormais se trouver à la tête d’un minuscule parti de barges hyper graves que de continuer à être noyé dans la masse des militants socialistes… Cela lui a pas mal réussi, il a été un des rares élus de la LCR dans la région alors qu’il n’avait aucune chance de se faire élire ni même de figurer jamais sur une liste de candidats en restant au PS. Mais auparavant, il aura bien dû obéir un peu à sa nouvelle cheffe, l’incontournable Josette Brenterch, grande prêtresse de la LCR de Brest depuis les années 1970, et qui savait comment il s’était déjà fait virer d’un lycée brestois pour une affaire de moeurs et continuait à lorgner beaucoup trop en direction des très jeunes filles… Il était toujours à la LCR en 2004 et 2005, et d’après Joël Roma, dont j’ai bien conservé tous les mails, c’était le plus odieux de ses chefs à mon sujet alors que dans le même temps il avait le culot de se faire passer pour un ami de ma famille…

Son nouveau poulain Pierre-Yves Cadalen se rend-il compte du ridicule de son communiqué public concernant l’affaire « Vivre à Brest » alors qu’il est lui-même entouré de gens qui ont toujours fait bien pire que ce qu’il reproche (à juste titre) à certains élus brestois ?

Raphaël du NPA de Brest, je ne sais pas qui c’est. Cependant, étant donné que les militants de ce parti ont toujours été en nombre assez limité, il pourrait s’agir du même Raphaël que Josette Brenterch avait jadis introduit dans l’entourage amical d’une de ses anciennes victimes pour continuer à la surveiller ou l’espionner, et ainsi la « contrôler », comme elle l’a fait aussi avec mon père et bien d’autres de ses cibles et victimes diverses et variées, dont, notamment, les responsables des associations de chômeurs autres qu’AC ! Brest.

Je reparlerai bientôt de ce Raphaël et de ses immondes saloperies.

Retenons pour l’instant que comme d’habitude, lui et ses amis ont rempli leur salle avec beaucoup de jeunes, des naïfs comme Laura, venue « mieux comprendre le programme du NPA » alors que Poutou lui-même dit bien qu’ils n’ont fait de programme que parce qu’il en faut un pour se présenter à l’élection présidentielle, parce qu’il sait comme tout le monde n’avoir de toute façon strictement aucune chance d’être élu pour appliquer ce programme…

En réalité, au NPA, il n’y a jamais eu d’autre programme que celui-là :

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/23/faire-taire-tout-le-programme-du-npa/

Et chaque élection présidentielle est mise à profit par le parti pour compter tous ceux qui restent à faire taire sur l’ensemble du territoire national : même à peine 1% des électeurs, cela représente encore un nombre de personnes assez important à casser par tous les moyens puisqu’elles disent toutes, à l’instar de Charlotte, être interpellées par des idées qui résonnent en elles.

Les discours du candidat Poutou sont en effet à l’image de ces bandes de papier que l’on trempe dans du sucre pour en faire des attrape-mouches.

Ils n’ont rien à voir avec la politique réelle de son parti qui se joue sur le terrain depuis déjà un bon paquet d’années avec l’allié salafiste, comme c’était déjà le cas en 1994 lors des négociations des contrats d’armement Agosta et Sawari II.

On rappelle le programme :

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/23/faire-taire-tout-le-programme-du-npa/

 

 

https://www.letelegramme.fr/finistere/brest/de-passage-a-brest-philippe-poutou-rame-toujours-pour-atteindre-les-500-parrainages-18-02-2022-12924921.php

De passage à Brest, Philippe Poutou rame toujours pour atteindre les 500 parrainages Réservé aux abonnés

 

Publié le 18 février 2022 à 20h52

 

Philippe Poutou, ici avec Janine Carrasco, militante finistérienne, fait les comptes. « Il manque encore 200 parrainages au bas mot pour assurer la présence du NPA à l’élection présidentielle.
Philippe Poutou, ici avec Janine Carrasco, militante finistérienne, fait les comptes. « Il manque encore 200 parrainages au bas mot pour assurer la présence du NPA à l’élection présidentielle. (Le Télégramme/Jean-Luc Padellec)

 

De passage à Brest, ce vendredi soir, l’anticapitaliste Philippe Poutou poursuit sa quête infernale des 500 parrainages pour pouvoir figurer dans l’élection présidentielle.

 

Engagé dans une course contre la montre pour obtenir ses 500 parrainages, Philippe Poutou, le candidat du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) à la présidentielle, a conclu deux journées en Bretagne par un meeting, ce vendredi soir, à la Maison des syndicats de Brest. Alors que le Conseil constitutionnel le crédite de 199 signatures à ce jour, l’élu au conseil municipal de Bordeaux et ses militants sur le terrain se démultiplient pour aller à la rencontre des maires.

« Au même niveau qu’il y a cinq ans »

De ce point de vue, la virée bretonne qui passait par Carhaix, Hennebont, Rostrenen et Brest n’a pas été très concluante. À peine quelques promesses de plus dont celle du maire de Rostrenen, qui devrait s’engager définitivement en début de semaine. « À ce jour, on a 100 promesses solides, mais il faut encore aller en chercher 200. On est au même niveau qu’il y a cinq ans, mais on n’est à l’abri de rien », constate l’ex-ouvrier de Ford, près de Bordeaux, licencié après la fermeture de son usine.

À lire sur le sujetParrainages pour la présidentielle : faut-il changer la règle ?

 

Le candidat trotskiste déplore « un système méprisant et anti-démocratique qui s’appuie sur les consignes des grands partis pour parrainer leur candidat ». À cela vient s’ajouter la réticence des maires ruraux qui n’ont pas compris que parrainer ne veut pas dire adhérer. « J’ai rencontré une trentaine de maires physiquement, et certains deux fois. Sans succès », se désole Raphaël, un militant brestois prêt à redoubler d’efforts d’ici la date butoir fixé au 4 mars.

À lire sur le sujetParrainages : qui accorde sa signature ?

 

 

https://www.ouest-france.fr/bretagne/brest-29200/brest-salle-comble-pour-philippe-poutou-candidat-d-extreme-gauche-cc13b29e-9168-11ec-aaf5-0db8b9c4bcf4

Brest. Salle comble pour Philippe Poutou, candidat d’extrême gauche

 

À la maison des syndicats, vendredi 18 février 2022, le représentant du Nouveau parti anticapitaliste a rassemblé 300 sympathisants lassés des « dérives » du capitalisme, séduits par ses idées et ses talents d’orateur.

 

Philippe Poutou, ouvrier au chômage, leader syndicaliste et candidat à la présidentielle 2022 a tous les talents d’un orateur. | OUEST-FRANCE

 

Ouest-France Sabine NICLOT-BARON. Publié le 19/02/2022 à 12h09

 

De l’avis même de Philippe Poutou, candidat à l’élection présidentielle 2022 pour le Nouveau parti anticapitaliste, « ce n’est pas facile de faire campagne quand on ne croit pas dans le système… »

Le système ? « Le capitalisme des riches qui tiennent le pouvoir » comme il l’a largement développé dans son meeting, vendredi 18 février 2022, en soirée à Brest dans une salle de la Maison des syndicats habillée d’affiches et de drapeaux prônant une réforme révolutionnaire de la société.

Après plusieurs prises de paroles de lycéens, étudiants, syndicaliste du CHRU de Brest, il a tenu son auditoire en haleine durant plus d’une heure. Une foule séduite de plus de 300 adhérents ou sympathisants à son parti, « celui des oubliés et des pauvres, de ceux qui triment et se taisent. »

Beaucoup de jeunes

Dans la salle, beaucoup de jeunes, quelques lycéens, des syndicalistes, des retraités, des étudiants venus en masse « qui se posent des questions sur leur avenir ».

Comme Laura, 23 ans, qui a fait le déplacement avec une amie. L’étudiante n’est pas encore sûre de son prochain vote. « Je suis là pour mieux comprendre le programme du NPA, mais je sais que dans tous les cas, je vais voter pour la vraie gauche, même si je ne sais pas encore qui… » Elle n’en voit que trois : Jean-Luc Mélenchon pour la France insoumise ou Philippe Poutou. Éventuellement Fabien Roussel, le candidat du Parti communiste français, qu’elle trouve pourtant « un peu trop dans le système ».

Philippe Poutou était à Brest vendredi, 18 février 2022 dans AC ! Brest
Au meeting de Philippe Poutou, candidat du NPA, vendredi 18 février 2022 à Brest, une foule séduite de plus de 300 adhérents ou sympathisants. | OUEST-FRANCE

 

Détricoter la société capitaliste

Si certains se posaient des questions, ils seront renseignés. « Il n’y aura pas de vote utile à gauche, a martelé derrière son micro le candidat du NPA. On a vu ce que ça donne quand on aide à élire la gauche de pouvoir et institutionnelle. Elle n’a jamais fait une politique de gauche ! »

L’assistance boit ses paroles. Philippe Poutou, ouvrier au chômage, leader syndicaliste a tous les talents d’un orateur. L’homme est convaincu et détricote la société capitaliste : « Il nous faut reprendre le contrôle sur l’économie, la santé, l’énergie, la banque, les écoles. » Celle qui fait que 5 % des plus pauvres ne passent pas l’âge de 60 ans. « Alors comment profiter de la retraite dans ce cas ? », interroge Philippe Poutou. Le public applaudit.

« Clair et limpide »

Tout est mis sur la table. « La logique de course au profit des multinationales, les nuisances de l’agro-industrie qui s’en fiche de la sécurité alimentaire pour les agriculteurs et les consommateurs, la politique répressive qui se généralise, les pauvres encore plus pauvres et les 43 milliardaires français qui ont accru leur fortune de 236 milliards d’euros en 19 mois de crise du Covid. »

Des idées qu’approuve Anthony, ancien écologiste désormais encarté au NPA : « Il est clair, limpide. Il tire le débat à gauche et pose les bonnes questions. » Sa voisine Charlotte approuve. « Ça fait du bien », dit-elle, même si elle « n’a jamais voté Poutou », elle se sent interpellée : « ses idées résonnent en moi ».

Encore 300 parrainages à obtenir

« Mon programme, c’est pas une liste de promesses, poursuit le candidat. J’en ai un de trente pages, puisqu’il faut en avoir un. C’est la volonté de mettre à plat tout ce qu’il serait légitime d’avoir. » Sans illusion, parce qu’il « pèse » 1 % des intentions de vote et qu’il lui manque encore 300 parrainages pour pouvoir se présenter.

« La rupture avec l’ordre établi, ça peut donner du courage, mettre les gens en mouvement », espère Arnaud, cheville ouvrière de la France insoumise qui approuve beaucoup des idées développées par Philippe Poutou. Hormis certaines. « Pour les frontières, je ne suis pas d’accord par exemple… »

En la matière, le candidat du Nouveau parti anticapitaliste n’y va pas de main morte : « Nous sommes internationalistes et anticolonialistes, pour l’ouverture des frontières, l’accueil de tous les migrants, la circulation libre de toutes les personnes. » Et en prime, la fin de la propriété privée.

Voilà, c’est dit. Philippe Poutou imagine l’avenir dans « la lutte radicale », en rouge et blanc.

 



Affaire « Vivre à Brest » : une réaction de Pierre-Yves Cadalen

Il n’a pas été très rapide, mais c’est quand même bien mieux que rien.

En fait, il dit à peu près comme moi il y a deux jours :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/02/14/bernardette-malgorn-reagit-a-laffaire-vivre-a-brest/

Et le monsieur n’est pas susceptible d’être un Joël Roma que j’aurais « embobiné » – noter à ce sujet que de toute façon, Joël Roma ne m’a jamais écoutée, il n’écoutait que ses chefs de la LCR qui dès mon arrivée dans l’association AC ! Brest en début d’année 2004 s’étaient mis à organiser des réunions internes à leur parti m’étant exclusivement consacrées afin de « briefer » à mon sujet tous ceux de leurs militants qui seraient amenés à me rencontrer dans l’association AC ! Brest et ses alentours, c’est-à-dire qu’ils leur bourraient le crâne avec le même genre d’inventions calomnieuses que toutes celles qui à compter de juin 2010 ont été publiées sur ses blogs par le psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi écrivant sous la dictée de Josette Brenterch du NPA de Brest : « cas lourd psychiatrique », « pute », etc… sauf qu’à l’époque il n’était pas encore question de nier complètement tout mon passé professionnel pour le remplacer par autre chose; ainsi « prévenu » contre moi et ayant toujours été intellectuellement inapte à apprécier mes diverses propositions pour l’association, Joël Roma ne leur a bien évidemment jamais accordé aucun crédit. Pour ce qui est des affaires d’AC ! Brest, il n’écoutait que les autres hommes y militant, et toujours Josette Brenterch à chaque fois qu’elle l’attaquait avec de nouvelles inventions calomnieuses à mon encontre, dont j’ai toujours dû lui prouver qu’il ne s’agissait bien toujours que de nouveaux mensonges ou inventions de Josette Brenterch, et ce n’était pas toujours facile, étant donné que les témoins des faits (toujours existants, vu que j’ai toujours fait en sorte de n’être jamais seule ni à la permanence de l’association ni pour aucune des actions que nous avions décidé de mener) n’étaient jamais des salariés de l’association que nous aurions pu voir tous les jours mais très souvent des militants occasionnels ou des chômeurs venus nous solliciter pour leurs problèmes, et dont il fallait donc attendre le retour à la permanence pour qu’ils puissent confirmer mes dires ou ma version des faits à Joël Roma qui jusque-là ne croyait toujours que l’affabulatrice Josette Brenterch. Et pourtant, à chaque fois, pour sa part, elle ne pouvait en aucun cas avoir été « témoin » de tout ce dont elle m’accusait mensongèrement, puisqu’elle avait totalement cessé de participer à nos activités depuis l’été 2004, c’est-à-dire que de manière évidente elle affabulait autant que pour tout ce qu’elle a pu rapporter par la suite à son complice le psychopathe et mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi afin qu’il le publie sur ses blogs et le diffuse le plus largement possible, par exemple de mes relations intimes avec les uns et les autres, notamment ce monsieur Joël Roma qui m’avait toujours caché jusqu’à l’été 2006 l’existence de ces réunions internes à son parti me concernant dès 2004 et tout ce qu’on y racontait à mon sujet, portant déjà sur l’intégralité de mon existence jusque-là, toute ma vie professionnelle comme toute ma vie privée, mais aussi les contenus de tous les dossiers d’instruction et tous les dossiers médicaux, pourtant tous couverts par le secret professionnel, que Josette Brenterch avait récupérés me concernant pour les présenter à ses camarades militants de la LCR lors de ces conférences confidentielles me concernant, et encore, bien sûr, tous les résultats des écoutes illégales qu’elle faisait pratiquer par ses collègues militants de France Télécom à l’encontre de tous mes proches et de moi-même depuis déjà une quinzaine d’années…

La criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest n’a jamais lésiné sur les moyens pour détruire des ingénieurs dont les QI l’affolaient et aucun de ses valeureux camarades militants de l’extrême-gauche n’a jamais vu le moindre inconvénient à participer à ses assassinats d’ingénieurs, pas plus Joël Roma qu’aucun autre. Ce dernier n’avait commencé à s’en détacher et refuser de plus en plus de lui obéir au cours de l’année 2005 qu’après avoir constaté qu’il ne prenait toujours des coups qu’avec les mêmes, à savoir tous ses gentils camarades de la LCR de Brest aux ordres de ladite Josette Brenterch. C’est elle et elle seule qui par ses violences répétées à son encontre l’avait conduit à s’en éloigner pour se rapprocher de plus en plus des autres membres actifs de l’association AC ! Brest, dont, à cette époque, hormis lui-même, aucun n’était encarté à la LCR.

Enfin, je rappelle n’avoir jamais fait la moindre allusion à cette association de lutte contre le chômage dans mes divers écrits publics anonymes sur Internet jusqu’au moment où, au mois de juin 2010, j’avais vu brutalement s’étaler sur les deux blogs alors publics du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, avec de nombreuses autres révélations et calomnies à mon sujet et moult menaces extrêmement graves tandis que se préparait en urgence le premier numéro du magazine Inspire d’Al-Qaïda, la version entièrement mensongère de sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest à propos de ma participation aux activités de cette association en 2004 et 2005 : mon « amant » Joël Roma et tout le reste…

Voici, en guise de début de réponse à toutes ces calomnies publiques de Josette Brenterch à mon encontre, ma toute première publication concernant l’association AC ! Brest, du 8 juillet 2010, qui n’était autre qu’une copie de la lettre de radiation de cette association de sa trésorière Josette Brenterch le 22 septembre 2005, notamment en raison de son refus catégorique d’en présenter les comptes aux autres membres, dont le président lui-même (cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte) :

 

2010-07-08 Septembre 2005- AC ! Brest vire sa trésorière - Un petit coucou

 

AC ! Brest ou Vivre à Brest, c’est un peu la même histoire…

Pour revenir à la réaction de Pierre-Yves Cadalen : oui, les faits sont graves, il s’agit de corruption, faits pour lesquels toutes les personnes concernées auraient dû être poursuivies, mais ce n’est pas l’option retenue, ni par les magistrats du TJ de Brest, ni par l’association Anticor, d’où une légitime suspicion que tous ces spécialistes des diverses questions juridiques soulevées par cette affaire soient eux-mêmes corrompus, ce qui est encore plus grave.

 

https://www.letelegramme.fr/finistere/brest/pour-pierre-yves-cadalen-la-responsabilite-des-elus-socialistes-est-engagee-dans-l-affaire-vivre-a-brest-15-02-2022-12923209.php

Pour Pierre-Yves Cadalen, « la responsabilité des élus socialistes est engagée » dans l’affaire « Vivre à Brest »

 

Publié le 15 février 2022 à 18h10

Pierre-Yves Cadalen

Pierre-Yves Cadalen (Vincent Michel/Le Mensuel)

 

À son tour, Pierre-Yves Cadalen, de la France Insoumise, réclame que la toute la lumière soit faite sur l’affaire « Vivre à Brest ».

 

« La justice doit faire son œuvre dans l’affaire dite « Vivre à Brest ». Pour la transparence démocratique sur cette affaire, un procès est souhaitable », écrit Pierre-Yves Cadalen, le leader brestois de La France Insoumise, dans un communiqué. Il réagit ainsi à la décision du parquet de Brest de requérir le renvoi en correctionnelle de François Cuillandre pour « recel d’abus de confiance » et d’un de ses ex-adjoints pour « complicité d’abus de confiance » dans l’affaire des indemnités des élus du PS.

Nos articles sur l’affaire « Vivre à Brest »

« Qui a reçu cet argent » ?

Ayant découvert dans Le Télégramme que « l’enquête a également identifié une dizaine d’autres élus, pas nécessairement socialistes, ayant profité de tels avantages entre 2008 et 2018, pour des sommes de 300 € à 4 600 € en contrepartie de leur soutien à la majorité municipale », il demande aussi à ces élus des éclaircissements.

« Avant d’engager la responsabilité pénale de ces élus, cela engage leur responsabilité politique. Les citoyens ont droit à l’information libre : qui a reçu cet argent ? Quelles décisions ont fait l’objet de pareilles manœuvres ? Ces faits, s’ils sont avérés, sont d’une grande gravité, et ce malgré les sommes évoquées. En République, il est interdit d’acheter un soutien », rappelle Pierre-Yves Cadalen.

Et le représentant de la France Insoumise de conclure : « Ils doivent assumer leur responsabilité politique et ne peuvent garder leur mandat s’ils ont monnayé leur soutien à la majorité municipale. La République ne se marchande pas ».



Affaire « Vivre à Brest » : toute l’extrême-gauche aussi satisfaite qu’Anticor

En effet, à ce jour, elle n’a toujours pas réagi autrement que par la voie de son avocat David Rajjou, il y a trois jours dans le Télégramme.

Que je sache, elle n’a de toute façon jamais réagi à cette affaire autrement que par une fusion PS-EELV en juin 2020.

Parions que les élus non socialistes qui ont été corrompus par Jean-Luc Polard avec les indemnités des élus socialistes font partie d’un ou plusieurs des groupes d’élus qui se positionnent à la gauche du PS.

Et c’est certainement la seule raison pour laquelle Anticor s’est portée partie civile dans cette affaire : contrôler la situation pour les copains, Jean-Luc Polard en tête.



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