Attentat djihadiste déjoué en 2019 : cinq personnes renvoyées en procès

L’attentat déjoué en 2019 était programmé pour début mai alors que le procès de mon principal témoin contre le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi et sa bande de cybercriminels était alors prévu pour le 14 mai 2019 (il sera finalement reporté au mois d’octobre 2019).

Voir ce que j’en disais ici :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/04/18/20minutes-fr-media-aux-bottes-du-pedophile-et-terroriste-pascal-edouard-cyprien-luraghi-publie-de-nouvelles-menaces-contre-leurope/

Ce projet d’attentat avait commencé à voir le jour début février 2019, soit au lendemain de la publication du faux témoignage du pédophile contre moi par la fausse journaliste et vraie harceleuse de femmes Hélène Sergent sur le site pro-pédophile 20minutes.fr : comme déjà dit, c’est tout ce qu’il fallait au terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi pour trouver une nouvelle équipe pour commettre un attentat visant cette fois directement la tête de la République française, sa cible privilégiée depuis sa dernière défaite judiciaire, le 11 avril 2018, comme il n’a cessé de le répéter publiquement à compter de son inscription sur Twitter au mois de février 2019, et encore très récemment :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/04/20/jean-marc-lafon-nouvelle-victime-du-mythomane-cyprien-luraghi/

Voilà, cette fois l’attentat aura été déjoué. Tous ne le seront pas.

Bravo à Hélène Sergent et toute l’équipe pro-pédophile de 20minutes.fr.

 

 

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/attentat-djihadiste-dejoue-en-2019-a-paris-cinq-personnes-renvoyees-en-proces-20220419

Attentat djihadiste déjoué en 2019 à Paris : cinq personnes renvoyées en procès

Par Le Figaro avec AFP

Publié le 19/04/2022 à 23:06, Mis à jour hier à 15:42
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00:00/02:27

Un juge d'instruction antiterroriste a ordonné le renvoi devant la cour d'assises des mineurs spéciale de cinq personnes suspectées d'avoir projeté en 2019 un attentat djihadiste aux abords du Palais de l'Élysée.

Un juge d’instruction antiterroriste a ordonné le renvoi devant la cour d’assises des mineurs spéciale de cinq personnes suspectées d’avoir projeté en 2019 un attentat djihadiste aux abords du Palais de l’Élysée. Atlantis / stock.adobe.com

Un juge d’instruction antiterroriste a ordonné le renvoi devant la cour d’assises des mineurs spéciale de cinq personnes suspectées d’avoir projeté en 2019 un attentat djihadiste aux abords du Palais de l’Élysée, a appris mardi l’AFP de source proche du dossier, confirmant une information du Parisien. Cette ordonnance de mise en accusation, signée jeudi, renvoie cinq personnes «devant la cour d’assises des mineurs spécialement composée pour association de malfaiteurs terroriste en vue de préparer des crimes d’atteinte aux personnes», selon cette source.

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L’un d’entre eux est également renvoyé «pour non-dénonciation de crime constituant un acte de terrorisme», toujours de même source. Un sixième protagoniste du dossier, mineur de moins de seize ans au moment des faits et né en mai 2003, a été «condamné en 2021 par le tribunal pour enfants statuant en matière criminelle à une peine d’emprisonnement partiellement assortie d’un sursis probatoire», a indiqué la source proche. Dans son téléphone avait été retrouvé une photographie de l’intéressé à côté de François Hollande.

D’après des éléments du dossier dont l’AFP a eu connaissance, le dossier a été ouvert début février 2019 autour de la figure d’Alexandre B., 42 ans, «suspecté de fomenter un projet de nature terroriste ciblant les forces de sécurité françaises et impliquant d’autres individus». Ce «partisan du djihad publiait régulièrement sur les réseaux sociaux des articles en faveur du groupe État islamique» et notamment sur Telegram «des vidéos de propagande de l’EI montrant des exécutions et des égorgements», selon ces éléments. Spécificité de cette enquête, une cyber-infiltration puis une infiltration rocambolesque. Elles ont mis à jour «un projet d’action violente ciblant les abords du Palais de l’Élysée, les policiers en faction et éventuellement les civils sur l’avenue».

Le 24 avril 2019, «l’agent infiltré annonçait sur le groupe Telegram avoir fait l’acquisition de deux kalachnikovs», proposées à l’essai à Alexandre B. et à un autre mis en cause, Karim B., dans un appartement parisien géré par l’antiterrorisme, qui déclenchait leur interpellation. Si Karim B. «revendiquait les faits qui lui étaient reprochés», Alexandre B. et le dernier membre du trio suspecté d’avoir envisagé une action violente, Mohamed C., «affirmaient qu’ils n’auraient pas été jusqu’au bout». «Nous considérons que les infiltrés» de la DGSI «sont allés beaucoup plus loin que ce que la loi autorise» et «ont donné du relief au projet», a contesté Me Marc Bailly, avocat de Mohamed C.

 

 

https://www.lefigaro.fr/faits-divers/trois-hommes-renvoyes-aux-assises-pour-des-projets-terroristes-20220420

Trois hommes renvoyés aux assises pour des projets terroristes

 

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Publié hier à 15:18, Mis à jour hier à 15:25
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00:00/04:07

Les infiltrations ont été menées par des hommes de la DGSI et du SIAT, Service interministériel d'assistance technique.

Les infiltrations ont été menées par des hommes de la DGSI et du SIAT, Service interministériel d’assistance technique. Adobe Stock – Illustration

Arrêtés après une infiltration policière inédite, les accusés ont été renvoyés devant la Cour d’assises spéciale de Paris pour avoir fomenté un attentat aux abords de l’Élysée.

C’est l’aboutissement d’un travail entamé en 2019, et ayant requis un engagement hors normes de différents services de police et de renseignement. Cinq personnes ont été déférées devant la Cour d’assises spéciale de Paris pour «association de malfaiteurs terroriste criminelle». Islamistes radicaux, ils prévoyaient de mener un attentat, ayant retenu les abords de l’Élysée.

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Le départ du travail est lancé au début 2019, lorsque la DGSI intercepte des échanges de messages sur les réseaux sociaux, comme l’indique le récit du Parisien . Alexandre B., 39 ans, employé de la mairie de Paris converti à l’islam, publie des vidéos scabreuses de Daech, recueille des informations pour se procurer des armes. Le Parquet National Antiterroriste ouvre une enquête, la DGSI peut procéder à une cyberinfiltration : elle est menée par un agent qui se baptise «Abu Mohamed», et se présente comme un admirateur de l’État islamique. Alexandre B. l’intègre à une boucle de discussion Telegram, dans laquelle il précise ses volontés d’attentat. Les membres du groupe conviennent de se rencontrer.

Toutefois, la DGSI n’a pas les moyens légaux d’envoyer son agent sur le terrain. C’est le SIAT, Service Interministériel d’Assistance Technique, qui est appelé en renfort. Un de ses hommes, au nom de code de Khalil, se fait appeler Abou Bakr. Il prend le relais d’Abu Mohamed pour se rapprocher des vrais djihadistes. Une première rencontre a lieu le 26 février 2019, lors de laquelle il fraternise avec Alexandre B., et découvre qu’une action est envisagée avec d’autres «frères». Des repérages sont même effectués le lendemain au commissariat d’Aulnay-sous-Bois : portes de sorties et bureaux sont inspectés sous le prétexte d’un dépôt de plainte.

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Un nouveau personnage, Karim B., est également introduit. Se surnommant «le samouraï d’Allah», ce dernier est décrit comme schizophrène dangereux, rédigeant des notes justifiant le meurtre de femmes et d’enfants. Un quatrième, Majid rejoint également le groupe : mineur algérien, déjà condamné pour association de malfaiteurs terroriste, il vit dans un centre éducatif à Chelles en Seine-et-Marne, et a convaincu ses éducateurs qu’il est désormais déradicalisé.

Les quatre apprentis terroristes, dont Abou Bakr l’infiltré, se rencontrent tous le 4 avril. Ils travaillent le mode opératoire d’un attentat. Après avoir envisagé les Champs-Élysées, ou un assassinat d’une dessinatrice de Charlie Hebdo, le choix se porte sur les alentours de l’Élysée. «Premier assaut pour faire venir la cavalerie mécréante, et deuxième assaut sur cette cavalerie mécréante. Le plan est simple, jusqu’à tomber chahid [mourir en martyr]», promet Alexandre B..

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«Abou Bakr», du SIAT, tend alors son piège : il dit se charger des armes, notamment grâce à celui qui l’a introduit, Abu Mohamed. Le 19 avril 2019, il récupère les fonds de deux de ses comparses, Alexandre B. et Karim B., pour l’acquisition de mitraillettes AK 47 Kalachnikovs, et va se balader avec eux jusqu’aux abords du palais présidentiel, pour des repérages. Le 24, il annonce avoir acquis deux AK47 et les avoir planquées dans un appartement du 10e arrondissement de Paris. Deux jours plus tard, Alexandre B. et Karim B. pénètrent dans les lieux, et viennent admirer les armes, en réalité neutralisées. Le piège s’est refermé : une équipe de la DGSI les attend en bas de l’immeuble… Le jeune Majid, qui n’a pu se libérer pour venir à Paris, est de son côté arrêté à Chelles.

En garde à vue, les trois protagonistes ont assumé leur volonté de «mourir en martyr», mais ont relativisé leur motivation. Leurs avocats ont d’ailleurs remis en cause les méthodes utilisées par les renseignements et la police, qui auraient poussé à l’infraction. Les investigations ont toutefois été validées par la justice, qui, trois ans après les faits, a renvoyé les mis en cause devant la Cour d’assises spéciale de Paris.

 

 

https://www.leparisien.fr/faits-divers/attentat-dejoue-la-cellule-terroriste-voulait-s-attaquer-a-l-elysee-02-05-2019-8064402.php

Attentat déjoué : la cellule terroriste voulait s’attaquer à l’Elysée

 

Selon l’enquête, les quatre hommes de 17 à 39 ans mis en examen mardi pour terrorisme avaient effectué des repérages autour de la présidence de la République et acquis une kalachnikov.

 

 Les personnes arrêtées mardi envisageaient d’attaquer le palais de l’Élysée à la kalachnikov.
Les personnes arrêtées mardi envisageaient d’attaquer le palais de l’Élysée à la kalachnikov. LP/Frédéric Dugit
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Par Jean-Michel Décugis, Éric Pelletier et Jérémie Pham-Lê

Le 2 mai 2019 à 13h17, modifié le 2 mai 2019 à 22h10
En garde à vue, ils n’ont pas caché leur adhésion à l’islam radical. Ni leur volonté de commettre une action violente, projet déjà à un stade avancé lors du coup de filet policier. Selon nos informations, les quatre suspects, Alexandre B., Karim B., Anis M. et M.C., interpellés vendredi puis mis en examen mardi pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » et écroués, envisageaient d’attaquer l’Élysée au fusil d’assaut kalachnikov, mais aussi un commissariat de Seine-Saint-Denis.

La date d’un passage à l’acte au début du ramadan a été évoquée lors de leurs discussions. C’est ce qui ressort des investigations des policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), qui ont fait usage de techniques de surveillance très poussées pour mettre hors d’état de nuire ce groupe de fanatiques du groupe État islamique (EI).

Âgés de 17, 26, 38 et 39 ans, les terroristes présumés, domiciliés à Paris, dans le Val-d’Oise et en Seine-Saint-Denis, étaient dans le viseur des enquêteurs depuis le 1er février. Au cours de leurs préparatifs, les suspects ont effectué des repérages rue du Faubourg-Saint-Honoré (8e arrondissement de Paris), où est située la Présidence de la République. Les analyses de leurs téléphones et les surveillances confirment l’existence de ces déplacements destinés, semble-t-il, à observer les rondes des policiers en faction. Dans leurs échanges, des suspects se seraient vantés de bien connaître l’Élysée et auraient évoqué une porte d’entrée de service. Voulaient-ils s’en prendre aux forces de l’ordre, frapper aveuglément ou cibler une personne en particulier ? L’enquête doit encore le déterminer.

Des mosquées également visées

Une certitude : les investigations révèlent que la cellule djihadiste s’est aussi intéressée au commissariat d’Aulnay-sous-Bois. Là encore, des repérages ont été détectés. « Je m’en fiche de tirer sur des flics même s’ils sont musulmans », a d’ailleurs reconnu, en substance, l’un des suspects en garde à vue. D’autres cibles ont été évoquées, tels l’avenue des Champs-Élysées ou… des mosquées, au motif que les musulmans de France seraient trop modérés. Le groupe, qui discutait sur des messageries chiffrées, était parvenu à collecter 1200 euros pour acquérir un fusil d’assaut kalachnikov. Des réunions ont été organisées à Chelles (Seine-et-Marne).

Parmi les quatre suspects, seul le benjamin était connu pour terrorisme. Ancien lycéen fiché S, M.C. avait été condamné en janvier à trois ans de prison, dont deux avec sursis, pour un projet de départ avorté en Syrie en 2017. Le mineur séjournait depuis dans un centre éducatif fermé situé dans une petite commune de la Seine-Saint-Denis. Selon le centre d’analyse du terrorisme (CAT), M.C. avait été intercepté avec un ami plus âgé sur une autoroute d’Allemagne en février 2017 : il avait alors déclaré aux policiers de la DGSI qu’il comptait « rejoindre l’armée syrienne libre, combattre le régime de Bachar el-Assad et faire de l’humanitaire ». Mais les enquêteurs avaient découvert sur son iPhone de nombreuses chaînes Telegram pro djihadistes, des nasheeds (chants guerriers) appelant à « égorger les mécréants » ainsi que, plus inquiétant, des recherches sur des balles 9 mm et une vidéo montrant des policiers du commissariat de Gonesse (Val-d’Oise).

Pas des « menaces en l’air »

Victime d’une enfance chaotique, M.C. est par ailleurs l’auteur d’une fausse alerte à la bombe commise… le 13 novembre 2015 à la gare de Lyon de Paris. C’est en se procurant un téléphone portable, à l’insu de ses éducateurs qui ignoraient sa radicalisation persistante, que le jeune homme serait entré en contact avec ses complices.

Le profil de l’aîné du groupe intéresse aussi les enquêteurs. À 39 ans, Alexandre B. était, selon une source proche des investigations, le membre le plus actif. Cet habitant du 19e arrondissement de Paris était fonctionnaire à la mairie de Paris, recruté en juin 2013 comme adjoint technique à l’entretien d’un stade sportif. Quant aux deux autres suspects, Karim B. et Anis M., ils n’étaient connus que pour délits de droit commun, le premier également pour des troubles psychiatriques. Un proche des investigations l’assure : « Pour nous, cette cellule ne proférait pas de menaces en l’air et allait agir de façon imminente. »

 

 

https://www.leparisien.fr/faits-divers/attentat-dejoue-contre-l-elysee-un-cinquieme-suspect-arrete-07-05-2019-8067237.php

Attentat déjoué contre l’Elysée : un cinquième suspect arrêté à Strasbourg

 

La DGSI a interpellé mardi matin un mineur de 16 ans dans l’enquête sur un projet d’attentat déjoué fin avril et visant un commissariat de police ou l’Elysée.

 

 ILLUSTRATION. Le palais de l’Elysée, rue du Faubourg-Saint-Honoré, est le siège de la présidence de la République et la demeure du chef de l’Etat.
ILLUSTRATION. Le palais de l’Elysée, rue du Faubourg-Saint-Honoré, est le siège de la présidence de la République et la demeure du chef de l’Etat. LP/Olivier Corsan
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Par J.Cl.

Le 7 mai 2019 à 12h58, modifié le 7 mai 2019 à 13h43
Un jeune homme mineur a été interpellé mardi matin à Strasbourg et placé en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur un attentat récemment déjoué contre la police, selon une information de TF 1/LCI confirmée par une source judiciaire à l’AFP.

L’adolescent, qui a eu 16 ans lundi, lycéen d’origine tchétchène selon TF 1, a été interpellé au domicile de ses parents par la DGSI sur décision d’un juge d’instruction. Il aurait pu être chargé de diffuser la vidéo d’allégeance à Daech après le passage à l’acte du commando.

Trois hommes de 26, 38 et 39 ans, ainsi qu’un mineur de 17 ans déjà condamné dans une affaire de terrorisme, ont été mis en examen pour association de malfaiteurs terroriste criminelle et écroués le 30 avril dans cette affaire.Interpellés le 26 avril, Alexandre B., Karim B., Anis M. et M.C. sont soupçonnés d’avoir projeté de commettre un attentat au début du ramadan, et avaient effectué des repérages aux abords de l’Elysée et d’un commissariat de banlieue parisienne. Ils avaient aussi acquis une kalachnikov.
Ancien lycéen fiché S, M.C., 17 ans, avait été, selon les informations du Parisien, condamné en janvier à trois ans de prison, dont deux avec sursis, pour un projet de départ avorté en Syrie en 2017. Il avait été placé dans une structure éducative après sa sortie de prison. Ce même jeune homme avait aussi lancé une fausse alerte à la bombe gare de Lyon, à Paris, le 13 novembre 2015, le jour des attentats meurtriers du Bataclan, des terrasses et du Stade de France.

 

 



Jean-Marc Lafon, nouvelle victime du mythomane Cyprien Luraghi

 

Jean-Marc Lafon, c’est cet utilisateur de Twitter qui publie soit sous vrai nom, soit sous pseudonyme, je n’en sais rien :

 

https://twitter.com/JM_Lafon

@JM_Lafon
Consultant, formateur. Conflits, terrorisme, haines, désinformation. Compte personnel. L’échauguette : https://youtube.com/channel/UC13GEY1uw88Mrnz4RqIq55w

Francekurultay.fr

Joined March 2012

 

 

Ce dont je suis sûre, par contre, c’est que c’est une des toutes dernières victimes du mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi et de sa complice la petite pute Hélène Sergent, fausse journaliste et vraie harceleuse de femmes de chez les pro-pédophiles de 20minutes.fr, comme en atteste cette conversation d’il y a deux jours sur Twitter, au cours de laquelle le mythomane l’a renvoyé vers son faux témoignage du 28 janvier 2019, celui qu’Hélène Sergent avait accepté de publier pour relancer toute la machine des attentats islamistes qui s’essoufflait sérieusement depuis le printemps 2018, le terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi ne trouvant plus personne pour se lancer dans de nouvelles procédures abusives à mon encontre :

 

 

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Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
·

Apr 18

Tu sais ce que je pense de tout ça…
Are you suggesting that coconuts migrate ?
@Ninifauv
·

Apr 18

Et c’est bien pensé !
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
·

Apr 18

C’est totalement à contre-courant de ce que disent M. Lafon et plein d’autres.
Are you suggesting that coconuts migrate ?
@Ninifauv
·

Apr 18

Je ne pense pas que JM Lafon soit partisan de la liberté totale façon Musk : on l’a déjà dit, la dérive sur le net a rendu nécessaire faute de mieux le pseudonymat.
Jean-Marc Lafon
@JM_Lafon
·

Apr 18

Les conditions actuelles sont tout à fait équilibrées… en théorie. Quand ils y mettent les moyens, les enquêteurs trouvent qui se cache derrière un pseudo pour nuire. L’ennui, c’est la pratique car les services sont sous-dimensionnés. On n’amende pas la loi sur cette base !
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
·

Apr 18

Je l’ai déjà écrit à quelqu’un d’autre ici, un peu plus tôt : face à la réalité réelle, le blablabla m’est devenu insupportable.
Jean-Marc Lafon
@JM_Lafon
·

Apr 18

L’ennui est que là, votre propos ne s’appuie sur rien pour l’étayer. Ça ne me donne guère envie de le considérer comme autre chose que du bla-bla. À moins que vous consentiez à aller un peu plus loin que du sarcasme abstrait.
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
·

Apr 18

Je peux tout à fait l’étayer. En privé. Mes DM sont ouverts.
Jean-Marc Lafon
@JM_Lafon
·

Apr 18

Euh non, nous sommes dans une conversation publique où vous parlez publiquement de mes propos comme de bla-bla. Donc on continue en public ou pas du tout.
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
·

Apr 18

OK. Je le fais à contrecœur, étant toujours la cible de cette personne. En 2017

publiait un papier à propos d’un certain Didier. Il s’agit de moi. Sachez que cet article n’aborde que la partie émergée de l’iceberg :

20minutes.fr
«Des centaines d’articles me liaient à des histoires de pédophilie»
Didier, 60 ans, a été la cible de centaines d’articles injurieux et diffamatoires au sein de la blogosphère…
Jean-Marc Lafon
@JM_Lafon
·

Apr 18

Deux remarques d’un qui a aussi eu sa dose de campagnes de boules puantes (mais moins que vous) : 1) la justice et probablement votre avocat ont été en dessous de tout. 2) sous pseudo nous aurions été bien mieux protégés…
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
·

Apr 18

Je préfère ne pas dire ce que je pense de l’institution judiciaire. Et bien avant la naissance d’internet j’écrivais des bouquins sous mon vrai nom, donc c’était naturel de continuer ainsi sur ce nouveau support. La personne nommée est face à l’innommé et l’innommable, ici.
Jean-Marc Lafon
@JM_Lafon
·

Apr 18

J’entends bien. Intellectuellement, je ne peux pas admettre que la République restreigne un droit qui protège des millions de gens parce qu’elle n’est pas foutue d’entretenir une Justice digne de ses principes fondamentaux.
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
Suite à ça, je me suis en quelque sorte mis en retrait de tout ce qui peu ou prou, a trait à la république. Je ne crois plus au père Noël. Le côté positif de la chose est que j’ai beaucoup appris sur l’esprit humain, et les dessous sales de l’internet. C’est toujours ça de pris.
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Jean-Marc Lafon
@JM_Lafon
·

Apr 18

Je comprends.


L’ultra-fasciste Cyprien Luraghi continue à justifier toutes ses saloperies

 

C’est dans ce bout de conversation du 14 avril 2022 sur Twitter :

 

 

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Leo S. Ross
@leodiross
·

Apr 14

« On ne saurait faire boire un âne qui n’a pas soif ». Et comment fait-on pour empêcher un pays qui veut devenir fasciste? « On vote » est très court. Si tous ceux et celles qui « appellent » se bougeaient pour faire fermer leur gueule aux fachos dès qu’ils sortent, on en finirait vite
Leo S. Ross
@leodiross
·

Apr 14

Ce ne serait pas très démocratique, on verrait quelques rudoiements. Mais quel respect, quel démocratie doit-on aux fascistes ?
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi

Replying to

Le plus important c’est de leur boucler la gueule par tous les moyens possibles. Leur liberté d’expression doit être brutalement anéantie. C’est la première chose à faire.
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N’oublions surtout pas que pour lui les victimes sont toutes « fascistes », car elles se plaignent de ceci ou de celà dans le but d’obtenir des peines de prison ou de réclusion criminelle contre des hommes, par exemple lui-même pour les faits de pédophilie dont il a pu se rendre coupable, ou bien encore pour tous les assassinats qu’il a pu ordonner ou organiser contre mes proches et d’autres témoins de ma vraie vie.



Tiens, un plan social chez les pro-pédophiles de chez 20minutes.fr

 

Je ne sais pas de quoi il s’agit, mais si c’est pour virer la petite pute Hélène Sergent et ses copines fausses journalistes et vraies harceleuses de femmes, alors là je suis entièrement pour.

 

 

https://twitter.com/helenesergent/status/1514633885468053510

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helenesergent
@helenesergent
Demain,

ne paraîtra pas. Nous, salariés du journal, étions en grève ce jeudi pour protester contre le plan social annoncé avec brutalité par notre direction. Nous dénonçons l’opacité et l’absence de stratégie alors que 33 postes sur près de 200 sont menacés.

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Une critique intelligente de la « gauche » française, par Tatiana Ventôse

 

 

 

Je rappelle pour ma part avoir participé aux activités de l’association AC ! Brest durant deux ans, 2004 et 2005, et avoir été stupéfaite d’y découvrir sous ce vocable de la « gauche » dont ils se réclamaient de vrais fascistes ultra violents, qui en définitive se sont aussi révélés être les pourritures de Brest qui étaient associées à mes harceleurs des années 1990 dans le travail, soit des trafiquants d’armes et proxénètes notoires – je travaillais comme ingénieur d’études en informatique, en particulier sur des projets classés de la Défense nationale -, et ne m’ont plus jamais lâchée depuis cette époque, après les premières de leurs multiples tentatives d’assassinat à mon encontre, et pas seulement contre moi, puisqu’à compter de l’année 1995, notamment dans le Finistère où ce sont bien ceux-là, ces fascistes de « gauche », qui ont toujours tout contrôlé, ce sont tous mes proches comme moi-même qui ont aussi été victimes de tentatives d’assassinat à répétition, ou d’assassinats, pour ceux qui en sont bien morts.

Je me retrouvais donc en fait confrontée aux assassins de ma famille, dont certains, tel Arnaud Hell, s’en présentaient mensongèrement comme des amis depuis des lustres. Ces crapules s’étaient en fait introduites dans l’entourage amical de mes parents à seule fin de pouvoir mieux surveiller et espionner toute ma famille, afin de la détruire entièrement, sans en oublier aucun membre.

Il va de soi que les exactions ont bien continué en 2004 et 2005, et bien au-delà, elles n’ont à ce jour toujours pas cessé du fait que la justice locale est totalement corrompue et accorde toujours tout ce qu’ils veulent aux assassins de ma famille.

A compter de l’année 2008, alors que j’avais commencé à commenter anonymement des articles du site Rue89, la criminelle en chef Josette Brenterch du NPA de Brest m’a fait harceler par toute une bande de cybercriminels dirigée par la pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui tout depuis a toujours continué à violer tous mes proches et moi-même de toutes les manières à sa disposition : piratages informatiques, écoutes illégales, etc… ainsi qu’à nous calomnier et harceler, prolongeant tous les cyberharcèlements dont j’avais été victime durant les deux premières années par des harcèlements judiciaires tout aussi déments depuis l’année 2010.

Pour la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, la meilleure des défenses est toujours l’attaque.

Voilà pourquoi elle ne cesse d’ajouter de nouvelles exactions à ses précédentes exactions à mon encontre, et jusqu’à toutes ces procédures abusives à travers lesquelles je suis sans cesse accusée mensongèrement de faits de que je n’ai pas commis mais qui sont très souvent de même nature que ceux dont je suis, moi, réellement victime de la part de mes harceleurs Brenterch, Luraghi et autres.

Pour eux, toutes ces procédures sont en fait un jeu où ils n’ont rien à perdre et tout à gagner. Ils n’ont jamais déboursé aucun centime en frais de procédure ou en honoraires d’avocat et seraient très contents s’ils parvenaient à me faire condamner, moi, pour des faits similaires dont ils se sont rendus coupables à mon encontre, en sachant que je ne les ai jamais commis contre eux ni personne d’autre. Réussir à tout inverser à ce point-là, c’est un challenge, voyez-vous. D’où cette fête quasi permanente qui retentit dans tout l’Hexagone et bien au-delà à chaque avancée d’une procédure qui semble les rapprocher toujours plus de la réussite tant espérée : les attentats de 2015 à l’approche de la confirmation tant espérée par la Cour d’Appel de Rennes de ma condamnation de juin 2013, dont on se rappelle encore toutes les festivités (assassinat de Clément Méric et toutes manifestations subséquentes), mais ce fut raté, le superbe feu d’artifice du 14 juillet 2016 pour fêter l’assignation devant le tribunal de grande instance de Paris que j’avais reçue deux jours plus tôt, etc, etc… les assassinats du 23 mars 2018 pour fêter ma condamnation par la Cour d’Appel de Paris, tout près de tomber, les jeunes humanitaires assassinés le 9 août 2020 pour ma condamnation enfin toute proche, etc, etc… mais ce fut toujours raté.

Voilà tout ce qu’est pour moi la « gauche » française.

Et encore, je ne résume là qu’une partie de toutes les horreurs qu’elle m’a données à voir.

 



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