On n’insulte pas le Président Emmanuel Macron…

 

 

 

Du coup, le candidat Emmanuel Macron a perdu une voix…

Ouarf !

La criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et ses complices locaux, notamment l’ancien socialiste prétendument de l’aile gauche du PS Richard Ferrand, ne se refont pas…

 



Emmanuel Macron plaisantin…

 

 

 
Extrait du compte rendu d’entretien ci-dessous :

Désormais, Emmanuel Macron veut « continuer ce combat« . Dans cette campagne, il entend « aller convaincre des gens qui aujourd’hui sont tentés par les extrêmes pour expliquer en quoi les extrêmes n’apportent pas la bonne réponse, que les peurs que les gens ont sont parfois légitimes mais que la vraie réponse est autre et qu’elle peut parfois prendre du temps ».

 

Non mais faut voir la tête qu’il fait en prononçant cette phrase, surtout à la fin, il a bien du mal à ne pas rire de sa blague – ouh qu’elle est bonne celle-là…

Un sale gamin qui se fout de la gueule du monde en permanence et y prend son pied, tout comme son acolyte Richard Ferrand.

 

https://www.franceinter.fr/politique/montee-des-extremes-je-n-ai-pas-reussi-a-l-endiguer-reconnait-emmanuel-macron

Montée des extrêmes : « Je n’ai pas réussi à l’endiguer », reconnait Emmanuel Macron

 

par Noémie Lair publié le 4 avril 2022 à 9h03

 

Emmanuel Macron, invité de la matinale de France Inter lundi, a reconnu n’avoir « pas réussi à endiguer » la montée de l’extrême droite pendant son quinquennat. Le président-candidat dit vouloir « continuer ce combat », à six jours du premier tour de l’élection présidentielle.

 

Emmanuel Macron était invité de la matinale de France Inter lundi.

Emmanuel Macron était invité de la matinale de France Inter lundi. © Radio France / Capture d’écran 

« Je ferai tout, dans les cinq années qui viennent, pour qu’il n’y ait plus aucune raison de voter pour les extrêmes. » Cette phrase, Emmanuel Macron la prononçait le 7 mai 2017 sur l’esplanade du Louvre, juste après sa victoire face à Marine Le Pen au second tour de la présidentielle. Cinq ans plus tard, les candidats d’extrême droite – Marine Le Pen, Éric Zemmour et Nicolas Dupont-Aignan – représentent 35% des intentions de vote.

Interrogé sur sa part de responsabilité dans cette montée des extrêmes, Emmanuel Macron répond : « Je sais qu’on adore toujours faire dire à un président de la République qu’il a des échecs. J’ai fait beaucoup de mea culpa mais en l’espèce, il y a un grand dérèglement dans nos sociétés. On l’a vu avec la pandémie, dérèglement du vivant, dérèglement écologique, dérèglement géopolitique, dérèglement des consciences lié aux réseaux sociaux, un doute sur l’information. Tout cela créé des peurs et ceux qui jouent avec les peurs montent et je n’ai pas réussi à l’endiguer », reconnait le président-candidat, en soulignant toutefois que « durant ces cinq années, je n’ai pas essayé d’esquiver les sujets ».

« Les extrêmes n’apportent pas la bonne réponse »

Désormais, Emmanuel Macron veut « continuer ce combat« . Dans cette campagne, il entend « aller convaincre des gens qui aujourd’hui sont tentés par les extrêmes pour expliquer en quoi les extrêmes n’apportent pas la bonne réponse, que les peurs que les gens ont sont parfois légitimes mais que la vraie réponse est autre et qu’elle peut parfois prendre du temps ».

C’est pas cette clarté, cette exigence qu’on peut répondre aux peurs et en même temps tenir une réponse républicaine.

Sur la peur des inégalités, le candidat estime que la réponse « n’est pas de revenir à un système complètement fermé qui renonce à l’économie ouverte mais on doit avoir une économie-social de marché« . Sur la peur du changement climatique, « tout interdire tout de suite, se battre contre nos agriculteurs n’est pas la bonne réponse, mais financer une transition ambitieuse l’est« . Sur la peur « des phénomènes migratoires« , il faut « défendre ce qu’est notre ADN, c’est-à-dire accueillir celles et ceux qui fuient un pays en guerre et en même temps savoir lutter contre l’immigration clandestine ». « C’est pas cette clarté, cette exigence qu’on peut répondre aux peurs et en même temps tenir une réponse républicaine. »

 



Bientôt un vote pour dégager Macron ?

 


 



Conflit en Ukraine : mise au point d’une Russe vivant en France depuis 2006

 

 



Poutou et le NPA veulent faire breveter leurs « emprunts » à leurs victimes…

Mais quel culot !

Moi, c’est carrément toutes mes idées de 2004 et 2005 pour la lutte contre le chômage, la précarité et les exclusions qu’ils m’ont volées, à commencer par un combat contre le harcèlement moral en entreprise que je n’ai pas pu mener longtemps dans ce cadre-là, puisqu’il a toujours justifié à peine avais-je commencé à m’exprimer sur le sujet au mois d’octobre 2004 toutes les tentatives absolument dégueulasses de la criminelle Josette Brenterch de me faire exclure de l’association AC ! Brest – dès le mois de décembre 2004, elle avait organisé à mon insu une réunion destinée à convaincre tous les autres membres actifs de l’association de la nécessité de m’en exclure au motif que je n’aurais été qu’une folle, en leur demandant à tous le secret à propos de cette réunion, son objet, resté un mystère pour tous jusqu’à ce qu’ils soient réunis, et bien sûr, tout ce qu’elle leur avait raconté à mon sujet à cette occasion… raté ! Dès le lendemain ils m’avaient tout rapporté tant elle les avait écoeurés, ils l’avaient en fait quittée assez rapidement et laissée à ses délires haineux à mon encontre après qu’elle leur eut exposé l’objet de cette réunion secrète dont personne ne devait me parler.

Et je ne suis pas la seule que cette criminelle et ses amis du NPA aient pillée et massacrée tout à la fois, c’est même chez eux un procédé habituel.

Donc, le slogan que Macron leur aurait piqué, vous pouvez être certains qu’ils l’ont eux-mêmes volé à l’une de leurs victimes, comme tout le reste.

 

https://www.bfmtv.com/politique/elections/presidentielle/si-on-avait-su-on-l-aurait-fait-breveter-poutou-ironise-sur-la-reprise-d-un-slogan-du-npa-par-macron_AN-202204030125.html

« Si on avait su, on l’aurait fait breveter »: Poutou ironise sur la reprise d’un slogan du NPA par Macron

 

Clarisse Martin
Le 03/04/2022 à 13:59
Philippe Poutou en meeting au Cirque d'Hiver à Paris, le 2 avril 2022

Philippe Poutou en meeting au Cirque d’Hiver à Paris, le 2 avril 2022 – Sameer Al-DOUMY / AFP 

Poutou et le NPA veulent faire breveter leurs
En meeting à Nanterre samedi, Emmanuel Macron a paraphrasé le slogan « Nos vies valent plus que leurs profits », porté par Olivier Besancenot lorsqu’il était candidat à la présidentielle en 2002 et 2007.

 

 

La petite phrase d’Emmanuel Macron lâchée samedi au détour de plus de deux heures et demi de meeting n’est pas passée inaperçue. Entre autres emprunts, le président-candidat a évoqué la question de la dépendance et du scandale des Ehpad Orpéa, estimant que sujet des personnes âgées dépendantes que « nos vies, leurs vies valent plus que tous les profits ».

Une sortie qui évoque largement le slogan du Nouveau parti anticapitaliste (NPA), notamment visible sur les affiches de campagnes d’Olivier Besancenot en 2002 et 2007, « Nos vies valent plus que tous leurs profits ».

Invité sur France Inter ce dimanche matin, le successeur d’Olivier Besancenot, Philippe Poutou, a d’abord réagi ironiquement: « Si on avait su, on l’aurait fait breveter, ça nous aurait rapporté des sous », a-t-il lâché dans un sourire.

« On réagit en souriant parce que c’est tous les culots d’un Macron et de sa bande. Ils sont habitués à ça en fait, à faire comme si de rien n’était, ou même à se montrer à l’opposé de ce qu’ils sont en réalité », a ensuite fustigé le Bordelais.

« Pas le premier à utiliser des slogans des autres »

« Il utilise des slogans, il en utilise d’autres visiblement, ce n’est pas le premier à utiliser des slogans des autres pour essayer un peu de faire illusion, en pleine affaire McKinsey c’est vrai qu’il y a aussi une manière de sortir un peu du scandale et puis de dénoncer ce qui se passe dans les Ehpad alors que l’enquête qui a été faite elle est pas complètement rendue publique », a tancé l’ancien ouvrier de Ford à Blanquefort.

Le rapport d’enquête effectué après les révélations du journaliste Victor Castanet sur le groupe Orpéa doit être rendu public d’ici « quelques jours », a indiqué le gouvernement.

Poutou veut un parler « d’un service public pour les Ehpad »

Pour Philippe Poutou, la référence d’Emmanuel Macron au slogan-phare du NPA « permet de rappeler le scandale des Ehpad, de montrer que quand le privé s’occupe de ces choses-là et de la santé, ça devient très grave ».

« C’est pour ça qu’on discute d’un service public pour les Ehpad, pour les personnes âgées et même globalement c’est l’idée du service public pour tout ce qui concerne les besoins fondamentaux de la population qui est incontournable parce que quand on voit que le privé s’occupe de ces choses-là, il s’intéresse à ses profits, à des logiques de rentabilité et ça coûte très cher », juge Philippe Poutou.

Samedi, le candidat à la présidentielle pour la troisième fois avait réagi à l’emprunt d’Emmanuel Macron dans un tweet au vitriol: « Pendant que ses copains les riches volent l’argent public, Macron nous vole nos slogans. Décidément, ces gens osent tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît », avait-il taclé, paraphrasant quant à lui la célèbre réplique des Tontons Flingueurs, « les cons ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît ».

La phrase a aussi suscité une réaction d’Olivier Besancenot, là encore sur Twitter: « Du coup, pour le slogan, on fait comment? On envoie un RIB au cabinet de conseil McKinsey? »

dossier :

Election présidentielle 2022

Clarisse Martin Journaliste BFMTV

 



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