Procès des attentats du 13 novembre 2015 à Paris

Pour ce qui est des lieux ciblés, je me permets de rappeler que le Bataclan était la propriété du groupe Lagardère depuis le mois de septembre 2015, que plusieurs dirigeants d’EADS étaient menacés au printemps 2002 avant l’attentat du 8 mai de cette année-là à Karachi, ainsi que les raisons pour lesquelles la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest les a toujours haïs depuis l’année 1994, année où furent signés les contrats d’armement Agosta et Sawari II après moult tergiversations et négociations dont les aléas furent tous directement consécutifs à ceux de mon contrat de travail :

http://petitcoucou.unblog.fr/2014/10/04/pourquoi-josette-brenterch-du-npa-de-brest-hait-elle-tant-noel-forgeard/

Les grosses opérations qu’elle a organisées en janvier et novembre 2015 avaient pour but, l’une comme l’autre, de préparer la nouba qu’elle allait faire avec tous ses complices après la confirmation qu’elle attendait de la cour d’appel de Rennes concernant ma condamnation du 11 juin 2013 à Brest, qu’en définitive elle n’a jamais obtenue, toute sa procédure contre moi ayant été annulée le 2 décembre 2015, et conséquemment ma relaxe totale pour les faits imaginaires dont elle m’accusait mensongèrement depuis août 2011 prononcée le même jour, et de manière définitive.

Au mois de janvier 2015, il s’agissait pour elle et ses complices Luraghi & Cie d’obtenir l’accord de l’opinion publique pour une limitation drastique de la liberté d’expression sur Internet, celle, illégale et illégalement imposée à tous par Josette Brenterch et ses complices magistrats brestois tous CORROMPUS avec leur jugement absolument scandaleux du 11 juin 2013. Perdu ! C’est exactement le contraire qui s’est passé, quasiment tout le monde s’étant dès lors levé en faveur de cette liberté d’expression que le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi disait publiquement haïr depuis des années – sauf, bien sûr, pour lui-même et ses complices qui en ont toujours exigé une totale… tout comme ils ont toujours revendiqué une totale liberté de voler, violer ou tuer qui ils veulent quand ils veulent, sans devoir ensuite voir leur liberté de mouvement réduite de quelque manière que ce soit, puisqu’ils militent aussi contre les peines d’emprisonnement – ce sont leurs victimes qui d’après eux devraient toutes être enfermées à vie en psychiatrie quand elles ne sont pas mortes ou ne se sont pas suicidées.

Au mois de novembre 2015, les débats s’étaient recentrés sur les questions de fond : la guerre, les interventions armées… et mon travail en 1994… très dérangeant pour la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et ses complices trafiquants d’armes.

 

 

https://www.ouest-france.fr/faits-divers/attentats-paris/proces/direct-proces-du-13-novembre-les-plaidoiries-des-avocats-de-parties-civiles-se-poursuivent-cfd57886-dabf-11ec-af80-542c876fe5bf

Procès du 13-Novembre. Les lieux ciblés par les attentats étaient au cœur des plaidoiries ce mardi

 

Le procès des attentats du 13-Novembre est entré cette semaine dans sa dernière phase. Comme hier, des avocats de parties civiles ont continué de plaider, ce mardi 24 mai 2022, au palais de justice de l’île de la Cité. Plus de 330 conseils représentent les victimes et proches de victimes des attaques survenues en 2015 à Paris. Revivez cette 127e journée d’audience consacrée aux lieux ciblés par les commandos terroristes.

 

Plus de 330 avocats représentent les parties civiles au procès des attentats du 13 novembre 2015. Tous ne plaideront pas. Ceux-ci ont donc dû s’organiser pour leur tour de parole. Des plaidoiries par thématiques auront notamment lieu. | STÉPHANE GEUFROI/OUEST-FRANCE

 

 

Ouest-France Johan BESCOND. Modifié le 24/05/2022 à 19h18 Publié le 24/05/2022 à 12h32

Deuxième journée de plaidoiries. Les débats ont pris fin la semaine dernière au procès des attentats du 13 novembre 2015. Les plaidoiries ont commencé hier et elles se poursuivaient ce mardi 24 mai 2022.

La cour d’assises écoute les avocats. Ce sont ceux des victimes et des proches de victimes qui plaident. Au total, les plaidoiries par thématique auront lieu durant neuf jours. Tous ne prendront pas la parole. Les conseils ont décidé de s’organiser entre eux, car 2 400 parties civiles sont représentées par plus de 330 robes noires. Si l’ensemble des avocats plaidait, une centaine d’heures d’audience seraient nécessaires.

Cibles des attentats. Stade de France, terrasses parisiennes, Bataclan… Aujourd’hui, les avocats appelés à la barre se sont exprimés sur les lieux où sont survenues les attaques dans la capitale, cette nuit-là.

 



Terrorisme « islamiste » : début d’une nouvelle vague d’attentats en France ?

Ce n’est pas impossible. Cet attentat « imminent » qui fort heureusement a été déjoué à temps par les services idoines correspond encore à l’expression de la joie que manifeste habituellement le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi quand il pense que je vais être poursuivie et/ou condamnée. Tout dépend maintenant de la décision de ses complices magistrats, ceux-là même qui encore une fois sont à l’origine de ce projet d’attentat qui aurait pu comme bien d’autres précédemment faire de nouvelles victimes.

 

 

https://www.leparisien.fr/faits-divers/terrorisme-un-homme-de-18-ans-qui-preparait-un-attentat-au-nom-de-letat-islamique-mis-en-examen-25-05-2022-C7BRNK747BEEPNWPK4MI3WGDNQ.php

Terrorisme : un homme de 18 ans qui préparait un attentat au nom de l’Etat islamique mis en examen

 

L’homme était soupçonné de vouloir commettre un acte terroriste imminent à l’arme blanche. Il avait l’intention d’attaquer des personnes au hasard dans la rue.

 

Le jeune homme avait prêté allégeance à l'Etat islamique. LP/Olivier Boitet
Le jeune homme avait prêté allégeance à l’Etat islamique. LP/Olivier Boitet

 

Par Le Parisien avec AFP

Le 25 mai 2022 à 16h48, modifié le 25 mai 2022 à 19h08
Un jeune homme de 18 ans, soupçonné de vouloir commettre un acte terroriste imminent à l’arme blanche, a été interpellé dans la Drôme et mis en examen mardi à Paris, a-t-on appris mercredi auprès de sources judiciaire et proche du dossier.

Dans un tweet, le ministre de l’Intérieur a précisé que cet homme projetait de passer à l’acte « ce week-end ». « Merci aux agents de la DGSI qui ont permis l’interpellation d’un individu qui projetait de commettre un attentat islamiste ce week-end », a écrit Gérald Darmanin.

Merci aux agents de la DGSI qui ont permis l’interpellation d’un individu qui projetait de commettre un attentat islamiste ce week-end.https://t.co/4I9CRhf2eM

— Gérald DARMANIN (@GDarmanin) May 25, 2022

Les premières investigations, confirmées par ses déclarations en garde à vue, ont démontré qu’il projetait un acte terroriste « au nom de l’organisation de l’Etat islamique à laquelle il avait prêté allégeance », a-t-on ajouté de source judiciaire. Une vidéo d’allégeance a été découverte en sa possession, a-t-on précisé de source proche du dossier.

Interpellé vendredi par la DGSI

Le jeune homme avait attiré très récemment l’attention sur lui, au point d’être considéré comme porteur d’une menace, a-t-on expliqué à l’AFP de même source.

Devant l’imminence d’un projet d’attaque de sa part, une enquête préliminaire a été ouverte par le Parquet national antiterroriste (PNAT) le 19 mai pour « association de malfaiteurs terroriste en vue de la préparation d’un ou plusieurs crimes d’atteintes aux personnes ». Il a été interpellé vendredi dans la Drôme par des enquêteurs de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), a-t-on ajouté de source judiciaire. Il a été mis en examen mardi et placé en détention provisoire.

Issu d’une famille de confession musulmane, le suspect s’était radicalisé, mais les conditions de celle-ci n’ont pas été précisées. Selon des premiers éléments, il avait l’intention d’attaquer des personnes au hasard dans la rue.

 

 



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