Affaire du Grêlé : les suites de l’identification de François Vérove 19 juin
Finalement, en cherchant bien, on trouve d’autres vidéos que celles rapportées dans cet article :
Ce sont plusieurs interviews de Patricia Tourancheau, qui est l’auteur d’un des deux ouvrages parus cette année sur cette affaire, des émissions de RTL et Infocrimes, et pour finir, l’annonce d’un dépôt de plainte contre l’Etat, il y a tout juste deux jours. Le plaignant a bien raison. Une fois de plus, sauf en ce qui concerne la juge d’instruction Nathalie Turquey à partir de sa saisine en 2014, ce sont bien les juges qui refusaient de travailler sérieusement ou ont pourri les enquêtes autant que possible.
Qu’un juge d’instruction français puisse s’avérer d’une quelconque utilité publique reste l’exception qui confirme la règle.
Pour la plupart, ce ne sont toujours que des malfaisants obsédés par une défense jusqu’au-boutiste des pires criminels, ayant même conduit certains d’entre eux à participer eux aussi à l’organisation d’attentats « islamistes ».
Pour en revenir au « grêlé », il résidait donc à la caserne des Célestins, au 18 boulevard Henri IV, dans le 4ème arrondissement de Paris, pas dans le 13ème où se trouve la caserne du 56, boulevard Kellermann.
Par ailleurs, le voir en mouvement est intéressant. C’est là que je me rends compte avoir été suivie par un type qui lui ressemblait, en 1994. Quant à dire si c’était bien lui ou non, cela m’est impossible.