Affaire Patricia Bouchon : toute la vérité a-t-elle été dite ?

 


 

 

Bien sûr que non.

Depuis que je sais qui sont les auteurs de cet assassinat, je l’ai dit à de multiples reprises : c’est encore la bande de dingues du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

Plusieurs ADN inconnus figurent dans le dossier et c’est parfaitement normal, ils étaient bien plusieurs, mais il n’y a pas eu volonté judiciaire de les identifier.

C’est encore possible.

Acquérir des certitudes définitives concernant Laurent Dejean, c’est encore possible aussi, il suffit qu’une enquête appropriée cherche à déterminer si oui ou non il faisait bien partie de la bande à cette époque, et fatalement la réponse tombera.

La fille de la victime fait bien de relever que le crime a été commis le jour de la Saint-Valentin. Cela ne tient pas du tout au hasard, il avait bien été programmé sciemment pour ce jour-là. Par contre, j’ai toujours eu l’impression que le malade mental Luraghi, qui est l’ordonnateur et/ou commanditaire du crime, cherchait à briser le coeur d’un homme (mari, patron, autre), sans que les raisons qu’il pourrait vous exposer ne correspondent forcément à des réalités, vu que c’est un paranoïaque délirant. En même temps, sa haine assassine et celle, collective, de toute sa bande, étaient bien dirigées contre Patricia Bouchon.

Ce sont bien eux qui ont commis ce crime, en relation avec toutes leurs exactions à mon encontre, car de leur point de vue, Patricia Bouchon ou un de ses proches étaient devenus une menace pour la suite de leurs entreprises délirantes à mon encontre. Encore une fois, ces gens-là étant des malades mentaux délirants, il est fort possible qu’en réalité personne ne les ait jamais menacés d’aucune manière, mais eux y ont bien cru. Ils ont tué pour cette raison. Ils ont eu peur d’être dénoncés à la justice par une personne dont la dénonciation ou la plainte aurait eu bien plus de chances que les miennes d’être suivie d’effet.

Un avocat que j’avais consulté quelques mois plus tôt se proposait de tenter d’infiltrer cette bande de malfaiteurs pour les coincer. Connaissant leurs méthodes habituelles et leur dangerorité, je l’en avais dissuadé. Mais si lui a eu cette idée-là, d’autres ont pu l’avoir aussi. Or, d’une part, Patricia Bouchon travaillait bien pour un cabinet d’avocat, et d’autre part, à travers moi, la bande de tarés a en fait toujours attaqué beaucoup de monde. Qu’un avocat de Toulouse ait pu demander à sa secrétaire d’aller voir ce que faisait Luraghi sur la toile ne paraît donc pas invraisemblable du tout. Même sans aller jusqu’à infiltrer la bande, elle a pu simplement consulter son blog, ou même, son poste de travail a pu être utilisé à cet effet sans qu’elle le sache elle-même, par exemple durant son arrêt de travail pour maladie. Par ailleurs, tout ceci étant du domaine du possible, le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi et sa bande de tarés le savaient eux aussi pertinemment et se méfiaient au point de rechercher systématiquement l’identité réelle de tout nouveau lecteur à partir de son adresse IP (ils le font d’ailleurs toujours à l’heure actuelle, ayant toujours autant, sinon beaucoup beaucoup plus de crimes et délits à cacher), d’où, aussi, la possibilité qu’ils se soient mis à paranoïer à mort après avoir identifié quelque part la secrétaire d’un avocat.

Ensuite, ils ont toujours traité de la même manière tous ceux qui les dérangeaient : piratages informatiques et écoutes illégales jusqu’à tout savoir de ces « suspects », ce qui permet après, selon les cas, soit de harceler, soit de mettre au point le scénario d’un assassinat et de le programmer.

 



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