A Brest, des criminels en guise de magistrats

Je reviens sur ce que j’ai dit dans cet article à propos de deux magistrats brestois :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/06/08/attentat-de-port-royal-du-3-decembre-1996-elements-denquete-jusquen-2016/

 

Une fois, j’ai surpris une conversation entre un juge d’instruction et un substitut du procureur de la République, à Brest, à propos d’une affaire assez sensible qui affolait la Chancellerie, laquelle suivait de très près l’évolution des évènements. Je me trouvais dans un bureau voisin du leur et attendais le retour d’une greffière partie me chercher un document quelconque. J’étais donc parfaitement silencieuse et ils ne se sont pas rendu compte que j’étais là, dans la pièce voisine, toutes portes ouvertes, entendant tout ce qu’ils disaient. Leurs échanges portaient sur ce qu’ils allaient pouvoir inventer, une fois de plus pour couvrir des coupables, et je les ai en fait surpris en train de fabriquer leur faux en écriture publique. Peu importe aujourd’hui de quelle affaire ou de quels gros mensonges ou inventions judiciaires il s’agit. Ce que j’avais trouvé de plus sidérant, c’est qu’ils étaient manifestement rodés à l’exercice, auquel ils se prêtaient avec beaucoup de naturel et de décontraction. C’est leur quotidien, ça ne les dérange absolument pas. Quant aux appels de la Chancellerie, ils en riaient aux éclats. Celui qui décide des mensonges et inventions, c’est le juge d’instruction. L’autre n’arrêtait pas de rigoler. Je précise aussi qu’il y avait mort d’homme, quand même. Qu’il s’agisse de viols (qui les font rigoler même en public), ou de meurtres ou assassinats, donc, c’est la même chose, ils se marrent tout autant et se moquent continuellement, non seulement des victimes, mais également des lois de la République, du droit, de la vérité, de la justice, de l’Etat qui les emploie.

 

En fait, dans ce cas précis, le rapport du légiste ne leur convenant absolument pas, ils avaient inventé une cause de décès très différente de celle établie par ce professionnel, et ne correspondant, bien évidemment, pas du tout à la réalité, de manière à pouvoir disculper complètement les coupables, puis ils ont dû détruire le certificat du médecin qui avait dit la vérité, faisant correctement son métier. Je présume que par la suite ils ont pu demander à un médecin du CHU de Brest de faire un faux corroborant le leur, il y a bien des médecins hospitaliers que cela ne dérange pas non plus de faire des faux, mais je n’étais plus là pour suivre leurs discussions à cette étape de la procédure.

Dans la mesure où à aucun moment aucun d’entre eux ne s’est interrogé sur la question de faire un faux, question qui, entre eux, ne s’est même pas posée (je me souviens très bien d’avoir entendu le juge d’instruction lire le rapport médical, puis ne se poser de questions que sur des éléments de biographie du décédé, afin d’inventer une cause de décès qui puisse paraître plausible au regard de ces éléments, encore que les circonstances du décès entraînaient des impossibilités matérielles auxquelles il ne s’est pas arrêté…), on en déduit sans le moindre doute possible que ces magistrats sont habitués à conclure au suicide ou à un accident quelconque dans bien des cas d’homicides.

Noter à ce propos que dans cette affaire particulière pour laquelle je connais la cause réelle du décès, la presse avait le lendemain évoqué un suicide, ce qui n’était pas le mensonge primitivement arrêté par le juge d’instruction, ni bien sûr la vérité. J’imagine que dans l’intervalle les magistrats avaient peut-être dû changer leur version mensongère après avoir provoqué de grands cris outrés de la Chancellerie, à moins qu’ils n’aient jamais fourni qu’à la presse cette histoire de suicide.

Enfin bref, cherchez bien dans les archives, nous n’avons jamais eu à Brest de gros scandale.

A quelques exceptions près qui ne correspondent toujours qu’à des règlements de comptes entre mafieux locaux (ainsi du cas de l’ancien directeur de l’hôpital psychiatrique de Bohars Christian Barthes qui avait eu pour tort de s’attaquer à son directeur général Louis Rolland et n’aurait sinon jamais été inquiété par la « justice » pour quoi que ce soit), aucun notable, aucun fonctionnaire brestois n’est jamais sorti des clous ou n’a jamais « déconné » un tant soit peu, ils sont tous parfaits, ce sont tous des saints.

Tout est en fait quasiment toujours étouffé de la même manière, par des faux en écriture publique produits par les magistrats eux-mêmes.

C’est le cas, par exemple, dans toutes les affaires qui me concernent, où les magistrats brestois sont systématiquement les auteurs de faux en écriture publique assez incroyables, atterrants : tous les mensonges et inventions calomnieuses des affabulateurs ou mythomanes Josette Brenterch, Pascal Edouard Cyprien Luraghi, Jean-Marc Donnadieu & Cie à mon encontre, en nombre déjà très considérable, ne leur suffisent même pas, ils en inventent encore plus… toujours dans le même but, qui est de blanchir complètement tous les coupables, tout en calomniant au maximum des victimes en l’occurrence véritablement haïes.

Or, le faux en écriture publique est un faux criminel :

 

Article 441-4 du Code pénal

Version en vigueur depuis le 01 janvier 2002

Modifié par Ordonnance n°2000-916 du 19 septembre 2000 – art. 3 (V) JORF 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002

Le faux commis dans une écriture publique ou authentique ou dans un enregistrement ordonné par l’autorité publique est puni de dix ans d’emprisonnement et de 150 000 euros d’amende.

 

L’usage du faux mentionné à l’alinéa qui précède est puni des mêmes peines.

 

Les peines sont portées à quinze ans de réclusion criminelle et à 225 000 euros d’amende lorsque le faux ou l’usage de faux est commis par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public agissant dans l’exercice de ses fonctions ou de sa mission.

 

C.Q.F.D.



Fin de la mascarade du « complotisme » ?

 

 

Ce serait heureux.



Le criminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi a un complice policier

Il en a parlé à de multiples reprises dans ses divers écrits publics. Il l’appelle Titou.

C’est un policier du Commissariat de Cahors qui était toujours en activité durant les premières années de ses harcèlements à mon encontre, et qui est aujourd’hui à la retraite.

En 2009, le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui s’estimait parfaitement légitime en « policier » du site d’information Rue89, décrétant qui avait le droit d’y écrire et en chassant tous les autres au moyen de harcèlements phénoménaux commis en bande organisée avec ses complices dits « déconnologues », s’y affichait dans les commentaires en photographie, arborant une véritable casquette de policier que son ami Titou lui avait donnée.

En 2010, il écrivait sur ses blogs que son ami Titou le conseillait pour toutes ses exactions à mon encontre.

Il en a toujours parlé comme d’un ami de très longue date.

Ce policier qui est un de ses meilleurs amis et complices depuis de très nombreuses années ne peut pas ignorer quelles sont ses sources de revenus. Or, pour l’essentiel, il a toujours vécu de trafic de drogue. C’était déjà le cas dans les années 1980 lorsqu’il allait chercher la drogue en Afghanistan sous une couverture de guide de trek dans l’Himalaya, et il a toujours continué en France après y être définitivement rentré et s’être installé dans le Lot (tous les toxicos de ce département le connaissent). Officiellement, il était au RSA, ou au RMI antérieurement. Il y était déjà en 1994 lors de la création d’AC !, un ensemble de collectifs de lutte contre le chômage, la précarité et les exclusions dont il a toujours été très proche, tandis que sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest en prenait le contrôle dans cette ville en usant de ses méthodes habituelles (manipulations, sournoiseries, grande brutalité, violences, etc..). Se connaissaient-ils déjà à cette époque ? Etant données ses accointances particulières en Afghanistan et au Pakistan, pays où il dit avoir vécu trois ans, c’est très probable. Selon ses dires, il était toujours au RSA en 2009, quoiqu’en 2003 il fût devenu propriétaire d’une grande maison à Puy-l’Evêque grâce à un autre de ses très bons amis, le conservateur en chef du patrimoine du château de Malmaison, Alain Pougetoux, aux moeurs sujettes à interrogations, qui l’avait achetée pour lui par « amitié ». Il n’a jamais cherché de travail et vivait bien, faisant vivre toute sa famille, peut-être pas dans l’opulence, mais au moins sans difficulté financière particulière. Au mois de février 2009, alors que les harcèlements dont j’étais victime sur le site Rue89 depuis plusieurs longs mois prenaient encore de l’ampleur, s’organisaient, devenaient systématiques et quotidiens, Pascal Edouard Luraghi dit Cyprien Luraghi décidait d’ouvrir l’atelier de dépannage informatique qu’il a toujours aujourd’hui – une ouverture fictive pour une activité très légère, totalement inconnue de tous les professionnels de la région, et qui dès lors lui servait de couverture en cas de plainte de la part d’une des victimes de ses harcèlements démentiels sur le site Rue89 : elle lui permettait de se présenter comme un père de famille irréprochable, avec une activité professionnelle tout à fait régulière, ne vivant même pas aux crochets de la société… A son activité habituelle de trafiquant de drogue, il ajoutait en fait une activité désormais très bien organisée de cybercriminel et harceleur pour laquelle il ne sera pas plus poursuivi que pour le trafic de drogue, en dépit des plaintes de plusieurs victimes.

Est-ce son ami Titou qui lui garantit l’impunité quoi qu’il fasse ?

Il a dit lui-même à de nombreuses reprises que ce policier était bien complice de toutes ses exactions à mon encontre.

Ce policier souhaitait-il, par exemple, passer quelques années en prison pour s’être rendu complice de l’assassinat de Patricia Bouchon le 14 février 2011 ?

Bien évidemment, non.

Il est certain qu’il assure autant qu’il peut les arrières de son complice le criminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi dont, au minimum, il facilite toutes les activités criminelles.

Très probablement Pascal Edouard Cyprien Luraghi devait-il déjà à cet ami de n’avoir jamais été inquiété par la police pour son activité habituelle de trafic de drogue.

Même chose pour la pédocriminalité. Il est impossible que son ami Titou ne sache pas que le psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi est pédophile.

Depuis que je suis harcelée par ce malade, en effet, je l’ai vu à de nombreuses reprises évoquer publiquement sa pédophilie de manière à peine voilée et ne suis bien évidemment pas la seule, il a toujours choqué bien des internautes sur cette question.

Comment son ami Titou pourrait-il être aveugle à ce sujet ?

Est-il pédophile lui aussi ? Font-ils tous les deux partie d’un même réseau pédocriminel ?

C’est fort probable.

Lui a-t-il fourni une aide substantielle pour l’organisation d’attentats islamistes ?

C’est encore probable.

 

P.S. : Le toxicomane notoire Laurent Dejean, qui a été condamné pour l’assassinat de Patricia Bouchon le 14 février 2011 à Bouloc (je pense qu’il est effectivement très impliqué dans cet assassinat, mais suis certaine qu’il n’était pas seul) travaillait à l’époque des faits comme plaquiste pour la société Riedi et fils ayant réalisé au moins un chantier à Cahors, auquel le condamné avait bien participé.

Voir ici :

http://www.slate.fr/societe/impasse-bouloc/episode-6-proces-laurent-dejean-meurtre-joggeuse-patricia-bouchon-personnalite-accuse

 



Policiers tueurs

 


 

 

Cela existe, quand même.

On en a bien trouvé dans la loge Athanor, proposant leurs services de tueurs à gages à des patrons ennuyés, qui par un syndicaliste, qui par une concurrente, etc…

Jadis, il y en avait aussi dans l’Ordre du Temple Solaire.

Et l’on a encore identifié assez récemment le violeur et tueur en série dit « le grêlé » comme un ancien gendarme et policier.

Fort heureusement, ce n’est pas le type de policier le plus répandu…

Mais il y en a toujours eu.

 



Contrats d’armement du gouvernement Balladur : combien d’assassinats ?

Je ne peux pas en faire le compte, je suis bien loin de tous les connaître.

Il faudrait ouvrir une liste publique, par exemple sur Wikipédia, ou mieux encore, une liste commune à de nombreux médias en faisant tous la publicité, où tous ceux qui en connaissent un peu pourraient inscrire des noms avec pour chacun d’eux quelques indications sur l’assassinat ou le décès suspect, ses circonstances et ses mobiles présumés en relation avec l’un de ces contrats.

On sait déjà qu’en 2004 plusieurs des protagonistes des négociations de 1994 sont morts dans des conditions étranges.

C’est le cas du dénommé Ali Ben Moussalem, en juin 2004.

De mon côté, je sais que j’étais encore très sérieusement menacée de mort au mois de juillet 2004, puisque de manière totalement inattendue, je m’étais retrouvée sous la protection d’un genre de milice spécialisée lors de mes déplacements parisiens après la parution le 8 juillet 2004 de l’article du Point ayant alors lancé en fanfare l’affaire dite Clearstream 2.

Je pense qu’il y en a encore à compter de 2010.

C’est le boulot du cybercriminel et malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

A compter de juin 2010, son rôle consiste en effet à agiter la toile et bien du monde à mon sujet pour provoquer des règlements de comptes et identifier les derniers témoins gênants, afin de les assassiner.

Dès le 19 juin 2010, il fait publiquement circuler mon nom en l’associant à l’affaire de l’attentat de Karachi du 8 mai 2002. Et à compter de l’automne 2010, comme pour ma part je n’ai toujours pas été assassinée, il va de plus me dénoncer comme « mécréante » sur une multitude de sites islamistes et comme « poucave » sur un site fréquenté par des voyous.

Par ailleurs, le retour de la grande fête islamiste avait été annoncé dès le 20 juin 2010 (voir ci-dessous), soit au lendemain du démarrage de cette monstrueuse campagne de calomnies publiques dont j’ai toujours été victime jusqu’au mois de décembre 2012, la diffusion des montagnes de calomnies et des produits des graves atteintes à l’intimité de la vie privée associées s’étant toujours poursuivie depuis 2013 d’une manière moins visible.

Comme pour le tout début de la fête islamiste organisée par mes harceleurs, à l’automne 1993, la coïncidence de dates est exacte.

Josette Brenterch était déjà associée aux harcèlements dont j’étais victime en 1993, 1994 et toutes les années suivantes. A Brest, c’est elle qui a toujours tout organisé. Et c’est encore elle qui donne son feu vert à son complice le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi pour toutes ses publications me concernant à compter du 19 juin 2010. Dans sa plainte délirante de 2015 contre moi, ce dernier a bien dit que c’était Josette Brenterch qui le « renseignait » à mon sujet, il ne cite personne d’autre. Elle le « renseignait » en fait à mon sujet depuis au moins deux ans, c’est-à-dire depuis le début de ses harcèlements à mon encontre sur le site Rue89, en 2008. C’est elle qui a toujours organisé tous les cyberharcèlements dont j’ai été et suis toujours victime.

Cette spécialiste en contre-insurrection qui a vécu une partie de son enfance à Orléansville, où son père gendarme était en poste, et est ensuite elle-même restée liée à la Gendarmerie comme aux partisans de l’Algérie française ayant très tôt rejoint le Front national après l’Indépendance de l’Algérie, se trouve donc continuellement associée à tous les attentats islamistes qui ont été commis en France ou contre des Français de l’année 1993 jusqu’à ce jour.

Son organisation terroriste, la LCR devenue NPA en 2008, est en partie financée par des fonds en provenance d’Arabie saoudite. Cela se sait depuis très longtemps.

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Inspire_(magazine)

    1. Inspire (magazine)

      Contrats d'armement du gouvernement Balladur : combien d'assassinats ? dans AC ! Brest 35px-Circle-icons-email.svg

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      Inspire est un magazine en ligne en anglais publié par l’organisation terroriste Al-Qaïda dans la péninsule arabique (AQPA). Cette revue a été fondée en juillet 2010 à destination des jeunes Britanniques et Américains1,2. Plusieurs extrémistes internationaux et nationaux, qui interprètent radicalement l’islam, seraient influencés par le magazine et auraient, selon certains rapports, fabriqué des bombes en suivant les modes d’emploi parus dans celui-ci3,4. C’est un important vecteur de propagande en faveur de toutes les branches d’Al-Qaïda, ainsi que des groupes qui orbitent autour5. Il a été découvert par le SITE Intelligence Group 6.

      Notes et références

    2. (en) UPI, « Al-Qaida launches English-language e-zine », United Press International,‎ 1er juillet 2010 (lire en ligne[archive du 4 juillet 2010], consulté le 20 septembre 2013)
    3. Marc Ambinder, « Al Qaeda’s First English Language Magazine Is Here » [archive], Atlantic magazine, 20 juin 2010
    4. “Inspire Magazine: A Staple Of Domestic Terror” [archive], Anti-Defamation League, 22 avril 2013
    5. (en) NewsCore, « ‘How to Make Bomb in Kitchen of Mom’ Featured in Al Qaeda’s 1st English Magazine », Fox News,‎ 1er juillet 2010 (lire en ligne [archive], consulté le 21 septembre 2013)
    6. (en) Forbes, « The al-Qaeda Brand Died Last week », Forbes.com,‎ 6 septembre 2011 (lire en ligne [archive], consulté le 19 septembre 2013)

Does Anyone Take These Al-Qaeda Magazines Seriously? [archive]

 



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