Un attentat islamiste en France en 2004 5 juin
J’explique depuis assez longtemps ce que sont réellement les attentats islamistes qui sont commis en France ou contre des Français depuis les années 1990, lesquels avaient en fait commencé en Algérie dès l’automne 1993 et fait brutalement irruption en France à compter de décembre 1994, avec le détournement très spectaculaire d’un Airbus d’un vol d’Air France pour Noël.
J’en ai encore parlé récemment, ici :
http://petitcoucou.unblog.fr/2022/05/27/proces-des-attentats-du-13-novembre-2015-a-paris/
L’essentiel est bien là :
C’est donc mon emploi dans une société dirigée par Noël Forgeard que la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest n’a jamais pu accepter.
De son point de vue, le travail qui m’avait été confié était inacceptable car, entre autres choses, il en résulterait la fin de trafics d’armes auxquels elle souscrivait pleinement (mon prédécesseur sur ce projet avait d’ailleurs été retrouvé suicidé par arme à feu quelques mois avant que l’on ne vienne me chercher à domicile pour prendre la suite, moi l’unique mouton à cinq pattes capable d’occuper ce poste resté vacant toute une année…). Mais elle n’acceptait pas non plus que je puisse être employée pour un quelconque travail alors qu’elle avait déjà décidé de me priver définitivement de mon droit au travail comme de tous mes autres droits. Je rappelle qu’à cette époque, je ne la connaissais pas et n’en avais même jamais entendu parler. Elle, par contre, savait depuis très longtemps qui j’étais, elle me surveillait depuis mon entrée en classe de 6ème et n’avait jamais pu supporter que j’existasse telle que j’étais, c’est-à-dire dotée de dons multiples dont elle n’avait jamais eu aucun. Elle haïssait aussi mon père pour des raisons similaires, sa haine à son encontre ayant toujours été décuplée par la réussite de ses enfants ou ce qu’ils étaient eux-mêmes, et elle avait manifestement décidé de l’atteindre en faisant massacrer sa fille. Elle faisait ainsi coup double : elle torturait à mort celle qui n’aurait jamais dû exister et l’avait toujours fait baver de jalousie sans même le savoir, ne la connaissant même pas, et atteignait par la même occasion son père, qu’elle ne pouvait pas attaquer directement ni surtout aussi facilement qu’une femme seule et très isolée (en une année d’écoutes téléphoniques et autres totalement illégales pratiquées notamment à mon domicile, elle et ses complices du crime organisé avaient déjà repéré toutes mes fréquentations et fait cesser nos relations).
Comme à son habitude, elle utilisait son réseau de criminels de l’extrême-gauche, qui à cette époque était très intéressé par les négociations des contrats d’armement Agosta et Sawari II et s’y impliquait au point de les avoir perturbées durant toute l’année 1994 en exigeant ma tête ou mon assassinat en préalable à la signature de ces contrats.
Ceux-ci avaient finalement été signés, l’un au mois de septembre et l’autre au mois de novembre, et j’étais toujours en vie au mois de décembre, d’où le cadeau de Noël de l’année 1994.
Rebelotte en 1995 et 1996 : non seulement je n’étais pas morte, mais je bougeais encore… et mes déplacements parisiens pour cause de rendez-vous judiciaires de ces deux années furent ponctués par de nouveaux attentats islamistes.
Comme déjà dit, cela recommence quasiment à l’identique à compter de mars 2012, alors qu’à nouveau mes harceleurs, des criminels notoires, se font une joie à l’idée de me faire condamner tout aussi injustement qu’illégalement par une « justice » réellement CORROMPUE qui aurait dû les poursuivre et condamner, eux.
Dans l’intervalle avait été commis le 8 mai 2002 à Karachi un attentat pour lequel un lien avec les négociations des contrats Agosta et Sawari II sera finalement évoqué.
Mais il y a aussi l’épisode de l’affaire Clearstream 2, n-ième péripétie de la même histoire, qui comme tous les autres avait été associé à de nouvelles menaces islamistes à compter du mois de février 2004, et même un attentat commis le 8 octobre 2004 à Paris.
Ayant curieusement visé l’ambassade d’Indonésie, celui-ci avait été revendiqué par un éphémère « Front islamique français armé » (voir ci-dessous).
Je rappelle ici être arrivée dans l’association AC ! Brest précisément au mois de février 2004, au grand dam de mes harceleurs de la LCR de Brest et de leur cheftaine Josette Brenterch, qui dès lors se sentirent obligés d’organiser moult réunions internes à leur parti m’étant exclusivement consacrées afin de préparer tous leurs adeptes à me « traiter », alors que jusque-là, j’ignorais tout de leur rôle dans tous les crimes et délits absolument incroyables que je subissais depuis déjà tellement d’années.
La fixette de la criminelle en chef concernant mon exclusion de cette association au motif d’une soi-disant maladie mentale dont j’aurais été atteinte avait ensuite débuté très précisément au mois d’octobre 2004.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Front_islamique_fran%C3%A7ais_arm%C3%A9
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Front islamique français armé
Pour les articles homonymes, voir Front islamique.
Cet article est une ébauche concernant la criminologie.
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Le Front islamique français armé, ou Front islamiste armé français, est un groupe armé d’inspiration terroriste islamiste responsable d’un attentat à la bombe le 8 octobre 2004 contre l’ambassade d’Indonésie à Paris. Cet attentat causa 10 blessés légers1.
Ce groupe réclame dans un courrier électronique la libération de deux membres du GIA, Boualem Bensaïd et Smaïn Aït Ali Belkacem, l’appui de la France à l’intégration de la Turquie au sein de l’Union européenne ainsi que le retrait de la loi sur les signes religieux dans les écoles publiques2.
En mars de la même année, un mystérieux groupe, Les serviteurs d’Allah le puissant et le sage, avait déjà menacé la France d’attentats ; en février c’était le numéro 2 d’Al-Qaida, Ayman al-Zawahiri qui proférait ces mêmes menaces.
Notes et références
- http://www.cirpes.net/article288.html [archive]
http://www.elwatan.com/Ambassade-d-Indonesie-a-Paris [archive]
Nouveau gouvernement : déjà une défection… 5 juin
Il y aurait eu un désaccord irréductible sur les « manières de fonctionner ».
A tous les coups, c’est encore une question d’enveloppe.
On dit aussi « dessous de table », car l’usage est de scotcher les enveloppes sous la table, ce qui n’est évidemment plus possible quand il s’agit de valises…
L’ancien préfet du Finistère Philippe Mahé quitte le ministère des Sports au bout d’une semaine
Publié le 03 juin 2022 à 11h09

Préfet du Finistère depuis juillet 2020, Philippe Mahé avait été nommé, fin mai, directeur de cabinet de la ministre des Sports. Une fonction qu’il a quittée cette semaine.
L’expérience aura été de très courte durée. Près d’une semaine après avoir été nommé directeur de cabinet de la ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castéra, l’ancien préfet du Finistère, Philippe Mahé, a quitté cette nouvelle fonction, a indiqué au Télégramme une source proche, confirmant une information de L’Équipe. Selon l’entourage de la ministre, cité par le journal sportif, « la greffe n’a pas pris » et les deux dirigeants se séparent « d’un commun accord ».
Son successeur connu à l’été
La nomination au ministère des Sports était inattendue pour ce serviteur de l’État de 65 ans qui avait été nommé préfet du Finistère en juillet 2020. Philippe Mahé avait déjà exercé des fonctions dans des cabinets ministériels, dont celui de chef de pôle « réforme territoriale, collectivités territoriales » à Matignon, entre 2014 et 2015, auprès du Premier ministre de l’époque, Manuel Valls. Le nom de son successeur à la préfecture du Finistère ne devait pas être connu avant l’été.
Ce départ intervient alors que la ministre des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques a été propulsée en première ligne, aux côtés du ministre de l‘ Intérieur, Gérald Darmanin, après le fiasco de la finale de la Ligue des champions au Stade de France samedi dernier.
Philippe Mahé, ancien préfet du Finistère, quitte déjà le ministère des Sports
Philippe Mahé, ancien préfet du Finistère, venait d’être nommé au ministère des Sports. Il quitte ses fonctions après seulement quelques jours, a-t-on appris vendredi 3 juin 2022.
L’annonce avait été faite le 23 mai 2022. Philippe Mahé, préfet du Finistère depuis août 2020, quittait ses fonctions pour occuper le poste de directeur de cabinet de la ministre des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques, Amélie Oudéa-Castéra.
L’aventure a tourné court. Ce vendredi 3 juin 2022, on apprend qu’il quitte le ministère « d’un commun accord » avec la ministre, a appris l’AFP auprès du ministère. Pour expliquer ce départ rapide, dans les couloirs, on dit que la greffe n’a pas pris. C’est le journal L’Équipe qui l’annonce ce matin.
« Des manières de fonctionner différentes » entre l’ancien préfet et la ministre
Le ministère fait état de « manières de fonctionner différentes » entre l’ancien préfet du Finistère et l’ex-directrice générale de la Fédération française de tennis, ajoute l’AFP.
Arrivé en Finistère, en juillet 2020, le préfet Mahé avait dit son enthousiasme à prendre cette fonction et surtout la préparation des Jeux Olympiques 2024 en France. « Les sports, c’est un projet de société au cœur du pays ! Et nous sommes à moins 800 jours des Jeux olympiques en France. C’est une tâche de rassembleur », expliquait-il. Pour l’heure, on ne sait pas encore quelle sera sa prochaine mission.
Nouveau gouvernement ou l’art et la manière de se moquer du monde… 3 juin
Ben… c’est de la politique, c’est tout.
Cela s’apprend notamment dans les fameuses écoles de cul dites Sciences Po, dont celle de Bordeaux, très réputée en la matière.
Pour ceux qui n’ont pas les moyens d’en payer les frais de scolarité ou n’ont pas de temps à perdre dans ce type d’établissement, il y a aussi les clubs échangistes, c’est aussi bon (demandez à Jean-Marc Donnadieu, Richard Ferrand, Eric Zemmour, etc… ils vous le confirmeront).
Ce que je disais le 19 mai dernier concernant le choix d’Elisabeth Borne comme première ministre se confirme donc déjà. Son directeur de cabinet lui ayant été imposé, tout le reste aussi très probablement, et elle n’est là que pour servir de pot de fleurs bouclier pour les machistes qui nous gouvernent.
A lire ou à relire :
En effet, quoi de mieux qu’une femme ingénieure pour incarner tout à la fois la femme sans cervelle et le meilleur punching ball qui soit ?
Nous traiter, nous, femmes ingénieures, comme de véritables débiles mentales ou des folles nécessitant tutelle, tout en nous maltraitant et nous exposant aux pires violences, et tout spécialement aux retours de flammes qui devraient leur revenir, pour tous ces cochons, c’est éminemment jouissif.
Rappelons par exemple que des prostituées comme Céline Verdier, devenue juge d’instruction après être passée par l’école de cul de Bordeaux, bénéficient à l’inverse d’une liberté totale et d’énormes pouvoirs là où elles exercent, tout en y étant extrêmement bien traitées et considérées – surtout quand elles font assassiner des ingénieurs, d’ailleurs… – mais elles ont d’abord fait la preuve de leur nullité en tout sauf en coucheries, ce qui en fait paraît-il de « vraies » femmes, pas des débiles ni des malades mentales.
Le hors-la-loi Pascal Edouard Cyprien Luraghi et ses couvertures… 1 juin
Parfois, sa couverture le chauffe un peu trop et il l’enlève… comme au mois de mai 2011 lorsqu’il avait décidé de fermer définitivement son atelier de dépannage informatique de Puy-l’Evêque où de toute façon les clients ne se sont jamais bousculés… ou bien encore quand il a cessé de guider des touristes dans l’Himalaya alors qu’il y vivait pour l’essentiel de divers trafics : drogue, or, enfants, etc…
Il en a encore parlé sur Twitter le 25 mai dernier :
https://twitter.com/CyprienLuraghi/status/1529403179393331200
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