Décès de l’ancien magistrat brestois François Dresen en août 2015

Je viens de le citer dans cet article :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/07/09/visite-a-brest-de-frederic-mitterrand-le-9-juin-2011/

Je cherche un peu ce qu’il a pu devenir depuis son départ du TGI de Brest et tombe sur l’article ci-dessous d’octobre 2015 par lequel son décès le 14 août 2015 était annoncé.

Parmi les anciens magistrats brestois ayant bien travaillé pour le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, cela en fait déjà trois qui sont décédés bien avant l’âge de départ à la retraite : François Dresen le premier, à 41 ans, Mathilde Boissy peu de temps plus tard, en octobre 2015, à 31 ans, et Raymond André en février 2019 à 59 ans.

Cela commence à faire beaucoup, non ?

 

N.B. : Pour Mathilde Boissy, il s’agit d’un cancer, pour François Dresen, d’une longue maladie non précisée, et pour Raymond André, d’une maladie « foudroyante ».

Les cancers, on sait les provoquer. Les deux décédés de 2015 avaient quitté Brest à l’été 2012 pour la première et à l’été 2013 pour le second. Manifestement, ils sont tombés malades après avoir quitté la mafia brestoise. Aurait-on voulu les faire taire sur les arrière-cuisines du TGI de Brest ?

Pour ce qui est du juge Raymond André, sa maladie « foudroyante » l’a terrassé trois jours après le début de l’affaire de la Ligue du LOL, présentant quand même quelques similitudes avec celle restant à ce jour confidentielle de la bande de tarés du malade mental, pédophile, cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui se disent « déconnologues ». Ces révélations brutales de février 2019 auraient-elles entraîné quelque court-circuit dans l’organisme délicat du juge Raymond André ?

 

 

https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/saint-nazaire-44600/nouveaux-juges-et-hommages-au-tribunal-3756329

Nouveaux juges et hommages au tribunal

 

Deux magistrates arrivent aux affaires familiales et à l’application des peines, qui obtient enfin son deuxième poste.

Hélène Saint-Ramon et Adeline Rousseau (à droite), lors de l'audience d'installation.
Hélène Saint-Ramon et Adeline Rousseau (à droite), lors de l’audience d’installation. |

 

Ouest-France Publié le 09/10/2015 à 03h33

Application des peines

C’est peu de chose de dire que le tribunal de grande instance (TGI) attendait Hélène Saint-Ramon avec impatience. Arrivée voici quelques jours de Fort-de-France, la magistrate d’origine toulousaine prend le poste de vice-présidente chargée de l’application des peines. « Un poste créé en 2013, mais qui restait vacant », a rappelé la procureure, Fabienne Bonnet, se félicitant de voir enfin à Saint-Nazaire, un service de l’application des peines « qui va pouvoir prendre en charge les mesures plus rapidement. » Jusqu’ici, la seule Jap, Armelle Dugardin, faisait avec les moyens du bord et gérait 1 300 mesures par an. « Jap à Saint-Nazaire, c’est 900 sursis avec mise à l’épreuve, une quarantaine de suivis socio-judiciaires, 190 peines de travail d’intérêt général et l’aménagement des peines de moins de deux ans », a noté le président du TGI, Alain Kerhoas.

Affaires familiales

Originaire de Nantes, Adeline Rousseau arrive de l’Orne où elle exerçait la fonction de juge d’instance. Elle devient juge aux affaires familiales, « un contentieux sensible où l’on doit décider de l’autorité parentale, des demandes de compensations financières dans des contextes le plus souvent tendus », a souligné Alain Kerhoas. Elle remplacera Christine Paris partie à Nantes. Avec ces deux arrivées le tribunal de Saint-Nazaire est presque au complet. Sur un effectif de dix-huit magistrats, un seul poste est vacant.

Hommages

Le 14 août dernier, le vice-procureur François Dresen décédait d’une longue maladie. Pendant cette période de vacances, il avait manifesté son émotion dans l’intimité professionnelle et familiale. Hier, le président a salué « un magistrat très apprécié, qui avait montré un acharnement à vivre et à travailler malgré la maladie. » Il était arrivé à Saint-Nazaire après une carrière à Coutances, Guingamp et Brest. Fabienne Bonnet, procureure, garde en mémoire « un homme de grande valeur, efficace, mesuré, simple et humain. »

Le tribunal a également salué le départ en retraite de François Dai, n « qui devrait revenir en tant que juge de proximité. »

 

 

https://www.letelegramme.fr/local/finistere-nord/brest/ville/justice-l-oeil-lucide-de-francois-dresen-sur-la-ville-27-07-2013-2185289.php

Justice. L’oeil lucide de François Dresen sur la ville

 

Publié le 27 juillet 2013 à 00h00

François Dresen quitte le siège du parquet qu'il a occupé pendant un peu plus de deux ans.

François Dresen quitte le siège du parquet qu’il a occupé pendant un peu plus de deux ans.

 

Le substitut du procureur François Dresen quittera, dans les jours à venir, la juridiction brestoise. Après plus de deux ans passés dans la cité du Ponant, cet ex-étudiant de l’UBO livre son sentiment sur une ville qu’il connaît bien.

 

Il avait quitté la ville au milieu des années 90, en simple étudiant, après avoir sacrifié sa thèse de droit pénal sur l’autel de sa réussite au concours d’entrée de l’école de la magistrature. Il la requitte, quelque 20 ans plus tard, après avoir occupé l’un des sièges du parquet pendant un peu plus de deux ans. « Ce poste nous fait découvrir des côtés plus sombres de la cité, admet-il illico, des trucs que nous n’avions pas vus lorsque nous étions étudiants et que finalement, nous traînions surtout dans le centre-ville ». François Dresen a ainsi vu la « ghettoïsation » de certains quartiers de Brest comme Pontanézen, Bellevue et, plus récemment, Kérourien. « Ponta, c’est moins net depuis les travaux de rénovation. N’empêche : il reste encore, là-bas, certains de nos clients habituels qui empêchent la quiétude de tous les autres habitants », précise le parquettier qui s’inquiète davantage de la montée en puissance des infractions à Kérourien pendant son exercice brestois. « Au risque d’être péjoratif, il y a, dans ce quartier, une poignée de perturbateurs mineurs qui se comporte en racaille. Quand on les déferre, ils ne semblent même pas avoir conscience de la gravité de leurs actes », peste François Dresen qui dit que son successeur ne lâchera pas l’affaire.

Opposant à la carte judiciaire

Lui, pendant ce temps-là, exercera ses talents dans un autre port de la façade maritime, à Saint-Nazaire, qui convient mieux à sa vie de famille. Et puis, « je suis arrivé à Brest à la suite de la fusion des tribunaux en provenance de Guingamp. À l’époque, on nous avait dit que nous pourrions progresser dans notre carrière sur place. Les promesses n’engageant que ceux qui les croient », ironise celui qui ne pense « que du mal » de la réorganisation de la carte judiciaire. « Notre territoire est tellement vaste que je n’ai même pas eu le temps de faire le tour complet des brigades de gendarmerie. De façon plus générale, l’évidence est que quand la justice du quotidien est concentrée sur une seule ville, elle dessert le justiciable », estime le magistrat.

Magistrat en prise directe

Laissant derrière lui « un ou deux dossiers d’instruction », le sentiment que l’alcool ne fait pas plus de ravage ici qu’ailleurs mais que le Brestois « a la culture du surin » et que les jeudis arrosés sont souvent fatals « aux portières des Twingo des villes », François Dresen dit quitter une cité « agréable à vivre, qui s’est beaucoup améliorée et qui bénéficie indubitablement du tram ». Une ville « dont nous avons bien profité, avec une recommandation chaleureuse pour la Taverne Saint-Martin, ses bières maison et ses patrons ». Une agglomération où seulement « 150 majeurs et 50 mineurs forment la population pénale d’habitude », ceux qui nourrissent le quotidien des magistrats « en prise directe avec la vie de la collectivité », défendant « la notion d’ordre public au sens noble du terme », comme le fut, l’est et le sera François Dresen.

 



Visite à Brest de Frédéric Mitterrand le 9 juin 2011

Dans cet article d’hier, je rappelais qu’au printemps 2011 Frédéric Mitterrand était venu à Brest où il n’avait pas mis les pieds depuis au moins trente ans :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/07/07/la-fille-dans-le-cercueil-ou-le-sadisme-du-scorpion/

Pour son arrivée le 9 juin 2011, annoncée seulement la veille, toutes mes plaintes contre le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi avaient bien été classées sans suite, la dernière le 23 mai 2011, sans aucune enquête préalable, et l’avis de classement venait tout juste de m’être envoyé par courrier postal.

Il ne restait plus que la plainte ayant conduit à une audition de Jean-Marc Donnadieu à Béziers le 12 juillet 2011.

Dès le mois de juin 2010, après le début des « révélations » publiques me concernant par le cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi sur ses deux blogs « Ici-Blog » et « Tique Toc », j’avais consulté un avocat pour lui demander de saisir la justice en urgence, mais il partait en vacances sitôt après et ne fera jamais rien durant l’été 2010 alors que les règlements de comptes sanglants avaient certainement déjà commencé. Je ferai donc également le tour des pénalistes brestois les plus connus, mais comme elle l’écrivait publiquement sur les blogs Luraghi, la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, qui continuait à me faire écouter illégalement par ses amis techniciens de chez France Télécom, comme elle l’avait toujours fait depuis des lustres, « contrôlait » toutes mes démarches pour les faire échouer, soit par ses interventions directes auprès des avocats que je consultais, soit par l’intermédiaire de ses complices magistrats ultra corrompus du TGI de Brest, notamment le juge Raymond André.

Lorsqu’ils me recevaient, ces avocats dont je ne connaissais aucun auparavant, soit m’écoutaient un peu, me posaient quelques questions, puis ne donnaient pas suite sans même prendre la peine de m’informer de quoi que ce soit (mépris total pour la « sale pute » de femme ingénieur… dans la ville dite de « l’aristocratie ouvrière », nous sommes vraiment très mal perçues, surtout moi qui ai toujours refusé de plier à n’importe quoi), soit me disaient carrément qu’ils ne prenaient pas le dossier du fait que toutes les inventions calomnieuses que publiait le dénommé Pascal Edouard Cyprien Luraghi concernant mon passé ou ma vie privée n’étaient selon eux que la vérité (cas de Ronan Appéré, qui par ailleurs ne voyait aucun problème dans les viols de l’intimité de la vie privée et toutes les insultes incroyablement ordurières dont j’étais aussi victime, et se fera par la suite remarquer pour son féminisme exacerbé, n’est-ce pas, puisqu’il a lui-même été poursuivi et condamné en 2019 pour avoir copieusement insulté puis violenté une femme), alors que tout était bien archi faux, hautement calomnieux, de surcroît destiné à provoquer de très nombreux crimes, et même, à terme, la révolution communiste devant instaurer en France un régime de type soviétique. L’un de ces avocats m’avait même demandé de laisser le génial « écrivain » Pascal Edouard Cyprien Luraghi rédiger et publier tranquillement ma « biographie ». Je le dérangeais en le contredisant systématiquement sur tous les chapitres de sa version de cette « biographie », ce n’était pas bien, il fallait arrêter et surtout pas aller de plus déposer plainte. Je m’apercevrai par la suite que cet avocat était associé à un pédophile s’étant jadis fait prendre en flagrant délit en Thaïlande, où résidait l’un des chefs de la bande Luraghi, le dénommé Georges Cortez originaire de l’Hérault, hôtelier, qui sous le pseudonyme de « Homere » faisait régulièrement l’apologie du terrorisme et de la pédophile, tout comme le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, et se revendiquait de plus bras armé du NPA en Thaïlande (il a aussi revendiqué publiquement les attentats islamistes de janvier 2015 à Paris).

Je n’obtiendrai ainsi jamais rien avant début novembre 2010. Un premier avocat aurait alors déposé une première plainte en mon nom. Problème : celle-ci n’a jamais été enregistrée par le Parquet de Brest et je n’en ai jamais vu aucune trace nulle part.

Cela permettra à la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest de se présenter comme la première plaignante dans cette affaire, le 26 novembre 2010. Elle prétendait alors avoir été avertie au cours de l’été 2010 par un membre de sa famille qu’elle était diffamée sur un blog dénommé « Un petit coucou » dont j’étais l’auteur anonyme, précisait qu’elle avait déjà eu connaissance de ce blog mais ne s’en était pas vraiment inquiétée, et qu’après avoir été informée au cours de l’été 2010 qu’elle y était diffamée, elle était allée le consulter et avait vu qu’elle y était nommée et accusée de nombreux méfaits. En réalité, elle participait très activement aux campagnes de calomnies publiques de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre depuis juin 2010, en apparaissant même comme l’unique source de « renseignements » ou inventions calomnieuses concernant mon passé et ma vie privée, venait aussi, tout comme lui et plusieurs autres membres de sa bande de cybercriminels, me harceler directement sur ce blog, et pour finir, déposait donc plainte à raison des droits de réponse que j’avais commencé à publier pour rétablir quelque peu la vérité sur moi-même. La criminelle n’admettait pas d’être contredite quand elle me présentait mensongèrement, pour faire court, comme une prostituée débile mentale et folle à lier. Elle continuait à mentir éhontément et ne voyait pas non plus de problème à révéler au public mon identité (obtenue grâce à des piratages informatiques dès mon inscription sur le site Rue89 au mois de décembre 2007), ainsi que toutes mes coordonnées et celles de mes proches, avec de récurrents appels au meurtre à notre encontre.

Convoquée par la police pour m’expliquer sur sa dénonciation le 7 décembre 2010, je déposerai plainte en réplique à cette date, ce qui provoquera dès le lendemain une nouvelle salve d’attaques et menaces publiques délirantes à mon encontre de la part du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, furieux de ce dépôt de plainte du 7 décembre 2010 dont il avait déjà connaissance. D’où, de ma part, une nouvelle plainte sur laquelle il sera entendu le 14 mars 2011.

Cette dernière plainte ayant été classée sans suite le 6 avril 2011 avec un motif totalement incompréhensible, j’en avais déposé une autre le 19 avril 2011 avec de nouveaux éléments ainsi que les témoignages d’autres victimes, mais désormais toutes mes plaintes étaient jetées sans la moindre considération dans un carton poubelle à mon nom marqué « plaignante d’habitude » – décision du substitut François Dresen, une petite merde issue de la fac de droit de Brest et qui savait donc depuis très longtemps, tout comme les autres magistrats brestois, que j’étais la « sale pute » de femme ingénieur qui dans les années 1990 avait toujours refusé de commettre des crimes et délits contre la Nation pour le compte de trafiquants d’armes extrêmement bien perçus dans la magistrature, surtout à Brest.

Le pédophile, trafiquant de drogue, cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi communiquait directement avec lui et annonçait publiquement sur son blog les classements sans suite de mes plaintes à peine ceux-ci signés et parfois même avant que le magistrat ne les eût formalisés.

Il l’avait fait pour le classement sans suite du 6 avril 2011 en annonçant fièrement à tous ses camarades « déconnologues » que tout avait marché comme sur des roulettes et que désormais ils étaient tranquilles et pouvaient continuer à violer quotidiennement l’intimité de ma vie privée, me calomnier et me harceler autant qu’ils le voulaient sans plus aucun souci.

Son plan, alors qu’en début d’année 2011 il savait que ma plainte de décembre 2010 le visant personnellement était traitée, puisqu’il était en ligne directe avec le magistrat qui en était chargé, avait consisté à publier toute une série de nouveaux articles calomnieux m’étant consacrés et dans lesquels il affectait de « réagir » pour la toute première fois à mes propos publics le concernant et qui n’étaient en fait que des réponses à toutes ses publications calomnieuses, ordurières et extrêmement violentes à mon encontre depuis juin 2010. Il faisait comme si tous ces précédents n’avaient jamais existé.

Le gendarme qui l’avait interrogé le 14 mars 2011 avait bien vu toute cette série d’articles de blog de janvier et février 2011, mais s’était arrêté là. Il n’a jamais consulté aucune des pages de commentaires de son blog, où se trouvait pourtant l’essentiel de ses publications me concernant, celles du quotidien depuis le début. Il devait également consulter le blog Tique Toc, mais n’en a jamais rien fait, se contentant des déclarations du délinquant qui lui affirmait que tout y était correct. Ayant néanmoins constaté l’existence des nouveaux articles de janvier et février 2011, alors qu’il avait entre les mains une plainte de décembre 2010 portant sur de précédents textes, il s’était contenté de demander au délinquant s’il en était bien l’auteur et ne l’a jamais interrogé sur les contenus dont il s’agissait. Le délinquant n’étant nullement tenu de justifier le moindre de ses propos publics me concernant, il ne le fera jamais, se contentant seulement de reconnaître qu’ils n’étaient « pas très sympathiques » à mon égard, et tout le monde fera toujours comme s’il n’avait toujours dit que la vérité sur tout, aussi bien dans ses écrits publics que dans ses déclarations du 14 mars 2011, sans jamais s’interroger sur la provenance de toutes ses allégations très particulières concernant ma vie privée et celles de mes proches, alors qu’il n’était pas censé me connaître, et mes proches, qui eux n’avaient jamais participé à aucun débat public, encore moins que moi.

Et pour ma plainte du 19 avril 2011, comme au préalable j’en avais discuté par courriers électroniques avec les autres victimes qui acceptaient de me fournir leurs témoignages, qu’elles m’avaient aussi communiqués par mails, tandis que le cybercriminel continuait à me pirater avec ses complices, il était parfaitement au courant de ce nouveau dépôt et supprimera tous ses articles de janvier et février 2011 dès le lendemain après avoir vérifié auprès du commissariat de police de Brest que je l’avais bien effectué – c’est en fait une de ses complices qui s’en était chargée, et avait même appelé plusieurs fois le commissariat en se faisant passer pour moi, si bien qu’ensuite une policière avait appelé à mon domicile pour demander si j’allais bien, car ces appels répétés dont j’aurais été l’auteur à propos de ma propre plainte lui paraissaient assez délirants…

A partir de ce printemps 2011, donc, non seulement je deviens une « plaignante d’habitude », mais de plus ma santé mentale est dite « sujette à caution » du fait de ces appels téléphoniques répétés au Commissariat central de police de Brest concernant ma plainte du 19 avril 2011 et dont en réalité je n’ai jamais été l’auteur.

C’en est fini de mes plaintes, avec cette nouvelle faute grave du magistrat : s’il croit vraiment que je suis malade mentale ou en train de craquer, les faits dont je suis victime en sont aggravés et il est encore plus urgent d’y mettre un terme.

Précisons pour ceux qui n’auraient jamais déposé aucune plainte dans un commissariat de police que c’est quand même assez difficile quand on est victime d’une multitude de faits de la part d’un grand nombre de personnes agissant toutes en bande organisée. Les dépositions sont courtes, une page ou deux, il n’est pas possible de tout déclarer ni tout expliquer, et d’ailleurs les policiers restreignent généralement la plainte à un seul fait et un seul mis en cause, deux tout au plus. Ils ne prennent pas non plus tous les justificatifs que l’on voudrait fournir, juste quelques-uns, et parfois même aucun, comme ce fut le cas lors de mon audition pour la confirmation de ma plainte de décembre 2010 contre le dénommé Pascal Edouard Luraghi car, selon la policière, c’était inutile, le gendarme de Puy-l’Evêque allait de toute façon consulter tous les blogs que je citais à la recherche des écrits me concernant, ce qu’il n’a jamais fait.

En outre, le propre des faits de harcèlement est précisément leur répétition ou leur renouvellement perpétuel. Il y en a sans arrêt. Dans certains cas, c’est tous les jours qu’on pourrait déposer de nouvelles plaintes, et ce n’est sûrement pas une seule et première plainte qui peut suffire pour tout arrêter.

C’est donc dans ce cadre-là, bien connu de tous dès le début, que je me retrouve très rapidement catégorisée « plaignante d’habitude » par le magistrat François Dresen, dont en fait il est certain qu’il ne servait que les intérêts de mes harceleurs en relation directe avec eux.

Aussi, à compter du 20 mai 2011, le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, déjà assuré de cette issue de ma dernière plainte contre lui, s’était mis à hacker comme un fou sous le pseudonyme de SaMo_Dz (il est en effet le pirate des préfectures de cette année-là et avait choisi pour sévir contre l’Etat la date du 24 juillet car c’était l’anniversaire des dix ans de son ancien « Site à Cyp », tout comme en 2016 il avait bien prévu de faire commettre par ses esclaves islamistes l’attentat du 26 juillet à cette même date, soit pour la messe du dimanche 24 juillet 2016, et cette année encore il risque de frapper à cette même date).

Puis, le 25 mai 2011, il avait publié un article de blog par lequel il indiquait à son public avoir décidé de fermer définitivement son atelier de dépannage informatique pour ne plus se consacrer qu’à l’écriture de son « bouquin » me concernant et précisait dans les commentaires sur cet article qu’il avait reçu à cet effet une somme d’argent assez conséquente pour le dispenser de travailler jusqu’à la fin de ses jours.

En voici une copie :

 

Visite à Brest de Frédéric Mitterrand le 9 juin 2011 dans AC ! Brest 2011%2005%2025%20-%20'Chez%20Cyprien%20Luraghi%20%E2%88%92%20En%20ligne%20et%20%C3%A0%20l'%C5%93il%20depuis%202001'%20-%20icyp.fr

 

 

Dans la foulée sera annoncée le 8 juin 2011 une visite surprise de Frédéric Mitterrand à Brest le lendemain.

J’en avais été tellement choquée que j’avais alors publié l’article ci-dessous sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog (cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte) :

 

2011-06-10 Frédéric Mitterrand en visite dans le Finistère - Un petit coucou

 

En effet, le dénommé Georges Cortez me menaçait depuis déjà longtemps des foudres de Frédéric Mitterrand qu’il disait très bien connaître.

De plus, à cette époque, ce dernier était Ministre de la Culture et les conservateurs du patrimoine étaient à l’évidence acquis à leur collègue Alain Pougetoux, « meilleur ami » de Cyprien Luraghi selon ce dernier, en tous les cas assez pour lui avoir acheté et offert la maison dont il est propriétaire à Puy-l’Evêque depuis 2003.

Ressortons donc la fiche Wikipédia de Frédéric Mitterrand (voir ci-dessous).

Il s’agit encore d’un pur produit de l’école de cul de Paris dont la critique n’est devenue possible que depuis janvier 2021.

Si en 2011, je n’avais pas dit grand-chose, maintenant je ne me gêne donc plus autant pour dire ce qui se passe et souligne encore que le protecteur de mes harceleurs n’est lui non plus vraiment pas du genre à se gêner :

 

Cavalier législatif au profil de LVMH

Alors que la construction de l’immeuble de la Fondation Louis-Vuitton est mise en difficulté, notamment en raison du fait que le bois de Boulogne n’est pas constructible62, Frédéric Mitterrand est soupçonné d’avoir fait usage d’un cavalier législatif pour faire valider par la loi sa construction63.

En janvier 2011 déjà, des riverains avaient aussi exprimé leur mécontentement face à ce projet, faisant annuler le permis du musée LVMH dont les travaux étaient en cours64. Afin que la construction de l’oeuvre soit réalisée malgré les interdictions, et dans le cadre de la deuxième lecture d’une proposition de loi sur le livre numérique, Frédéric Mitterrand propose un amendement sans réel rapport avec le livre numérique en faveur de la construction du musée de la fondation, faisant valoir un objectif culturel évident. Le député Nicolas Alfonsi (RDSE) accuse alors directement le Ministre de la Culture de faire pression dans une affaire judiciaire en cours avec un amendement sans rapport avec l’objet du texte65.

 

Une curiosité à ce tableau : l’intérêt dont il fit montre pour la prochaine inhumation dans l’enceinte du château de Brest de « l’inconnu de Vanikoro », lequel pourrait être l’Abbé Jean-André Mongez, dont je suis parente, et qui à l’égal de tous les autres membres de l’expédition La Pérouse est honoré par cette sépulture.

On rend hommage aux scientifiques du XVIIIème siècle et on assassine ceux d’aujourd’hui pour le bon plaisir d’un pédophile.

 

https://www.ouest-france.fr/bretagne/linconnu-de-vanikoro-inhume-au-chateau-de-brest-468057

« L’inconnu de Vanikoro » inhumé au château de Brest

 

Frédéric Mitterrand, le ministre de la Culture, prend connaissance du projet destiné à donner une dernière demeure à Brest à « l’inconnu de Vanikoro ».
Frédéric Mitterrand, le ministre de la Culture, prend connaissance du projet destiné à donner une dernière demeure à Brest à « l’inconnu de Vanikoro ». | OUEST-FRANCE

 

Ouest-France Modifié le 09/06/2011 à 17h12 Publié le 09/06/2011 à 00h00

Il était parti de Brest, il y revient. Deux siècles après le départ de l’expédition La Pérouse, « l’inconnu de Vanikoro » sera inhumé dans l’enceinte du château de Brest à la fin du mois. Une cérémonie doit avoir lieu le 29 juin prochain pour saluer ce retour symbolique. C’est ce que l’on a appris aujourd’hui à l’occasion d’une visite à Brest du ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand.

Le squelette a été retrouvé en 2003 à proximité de l’épave de la Boussole, l’un des deux navires de l’expédition commandée par Jean-François de La Pérouse et partie de Brest le 1er août 1785. Celle-ci a fait naufrage sur l’île de Vanikoro, dans le Pacifique, en 1788.

L’analyse des ossements a confirmé qu’il s’agit d’un Européen d’1,68 m, âgé d’une trentaine d’années. L’identité de cet homme n’a pas pu être déterminée avec certitude. Mais plusieurs indices portent à penser qu’il ne s’agissait pas d’un simple marin (les boucles de chaussures retrouvées à proximité, une corpulence plutôt gracile, etc.) mais plutôt d’un officier ou d’un savant de l’expédition.

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fr%C3%A9d%C3%A9ric_Mitterrand

  1. « Le parcours de créateur de Frédéric Mitterrand [archive] », NouvelObs.com, 9 octobre 2009

Bibliographie

      • Meurtre à l’Olympic (roman-photo) / texte de Gérard Guégan ; photographie de Maya Sachweh ; avec Frédéric Mitterrand (Georges Ridder), Arielle Dombasle (Marlène Rivaud), Pascal Greggory (Serge Zola), Pascale Richard (Muriel Sony), Raphaël Sorin (Joseph Huysmans), Anne Guégan (Paula Maup) et Alain Massiot (inspecteur de police). In Playboy France, mai 1983, no 114 (vol. 11, no 5), p. 61-67.

Voir aussi

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