Comment Jean-Marc Donnadieu lie l’attentat d’hier aux Philippines à ses amis du NPA…

… en s’excusant pour le retard d’annonce…

Puisque nous en sommes là, je vous signale que j’ai depuis longtemps repéré la source de mes lecteurs des Philippines, où est allé s’installer il y a quelques années un Français de Lognes, première ville asiatique de France.

 

Jean-marc Donnadieu

7 h ·

Pardon pour la publication en retard…
Bonne année Phillipe In !

Comment Jean-Marc Donnadieu lie l'attentat d'hier aux Philippines à ses amis du NPA... dans AC ! Brest
À propos de ce site web

 

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lognes

Lognes

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Lognes
Lognes
L’ancien hôtel de ville.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Torcy
Canton Champs-sur-Marne
Intercommunalité Communauté d’agglomération Paris – Vallée de la Marne
Maire
Mandat
André Yuste
2016-2020
Code postal 77185
Code commune 77258
Démographie
Gentilé Lognots
Population
municipale
13 999 hab. (2016 en diminution de 2,85 % par rapport à 2011)
Densité 4 154 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 50′ 10″ nord, 2° 37′ 40″ est
Altitude Min. 70 m
Max. 109 m
Superficie 3,37 km2
Localisation

Géolocalisation sur la carte : France

Voir la carte topographique de France

City locator 14.svg
Lognes
Liens
Site web mairie-lognes.fr [archive]
modifier Consultez la documentation du modèle

Lognes (prononcé [lɔɲ]) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

De 248 habitants en 1975, Lognes en comptait près de 15 000 en 2009. « Première ville asiatique de France » avec 40 % de sa population1, elle est surnommée la « ville du dragon ».

Ses habitants sont appelés les Lognots.

Géographie

Localisation

220px-Lognes_map dans Action Directe
Aperçu de Lognes dans le département.

Lognes fait partie de la communauté d’agglomération Paris – Vallée de la Marne, au sein de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée, à une vingtaine de kilomètres de l’est de Paris.

Rose des vents Noisiel Torcy Rose des vents
N
O    Lognes    E
S
Émerainville Croissy-Beaubourg

Hydrographie

La commune n’est traversée par aucun cours d’eau2. Mais le rû Maubuée en marque la limite à l’est avec Torcy en reliant quelques uns des cinq étangs artificiels qui sont situés à Lognes : les étangs des Pêcheurs, du Maubuée, du Segrais, du Grand Bassin et des Ibis, édifiés pendant la construction de la ville nouvelle et représentant une superficie de plus de 18 hectares. Ils récupèrent les eaux de ruissellement, collectent les eaux pluviales et servent de régulateurs.

Voies de communication et transports

Voies routières

 dans Attentats
Gare du RER.

La ville bénéficie du passage de grandes infrastructures de transports : l’autoroute A4, la Francilienne N 104/A104, la RD 199 et la RD 499. Celles-ci permettent des liaisons aisées avec Paris et les principaux pôles d’activités de la région Île-de-France (La Défense, Orly, Roissy…). Cette desserte privilégiée a favorisé le développement urbain et économique de la commune.

Le caractère récent de la ville nouvelle a permis d’intégrer les contraintes de stationnement dans la conception de l’urbanisation. Ainsi, la commune de Lognes comprend un nombre important d’emplacements de stationnement : un parc de 320 places à proximité de la station RER A de Lognes, le stationnement le long des boulevards urbains : Segrais, Camille-Saint-Saëns, cours des Lacs, cours Georges-Gershwin, Mandinet, Malvoisine, Tour d’Auvergne…

Transports aériens

L’aérodrome de Lognes-Émerainville est le premier aérodrome français d’aviation légère privée. Il est exploité par la société Aéroports de Paris3.

Pistes cyclables

Le territoire est également doté d’un réseau de pistes cyclables important et en développement.

Transports en commun

La commune est desservie par la gare de Lognes et, de par sa position limitrophe des deux communes de Lognes et Torcy, par la gare de Torcy de la ligne A du RER.

La ville de Lognes est desservie par les lignes de bus suivantes :

Urbanisme

Morphologie urbaine

La ville est divisée en six quartiers : quartier du Segrais, quartier Four-Colliberts, quartier de la Tour d’Auvergne, quartier Hameaux-Village, quartier de La Maillière et quartier centre urbain4.

Lieux-dits, écarts et quartiers

La commune compte 19 lieux-dits administratifs répertoriés5.

Logement

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45px-Circle-icons-hourglass.svg dans Corruption
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La ville disposait en 2008 d’un parc de 5 124 logements dont 1 267 maisons et 3 860 appartements6. Les maisons sont principalement localisées au nord de l’autoroute A4 et les appartements sont situés dans des immeubles collectifs de faible hauteur.

Le 4 octobre 2007, le comité syndical du SAN a officiellement adopté un programme local de l’habitat (PLH). Ce programme définit pour les six communes du Val-Maubuée, pour une durée de six ans, les orientations et les actions à mener pour répondre aux besoins des habitants en matière de logement et de cadre de vie, en trois volets : un diagnostic sur la situation du logement dans le bassin d’habitat, quatre orientations stratégiques en matière de construction neuve ou de réhabilitation et un programme d’actions qui définit, pour chacun des partenaires, la mise en œuvre concrète de ces orientations7.

Projets d’aménagements

 dans Crime
Le panneau rappelant la réhabilitation.

La réhabilitation du centre ville durant les années 1995 – 2000 s’est accompagnée de la réalisation d’équipements de proximité.

Le conseil municipal a créé en 2008 une commission d’accessibilité, en application de la législation nationale. Selon la loi du 11 février 2005, les établissements recevant du public (ERP) doivent, en effet, être rendus accessibles à toutes les personnes à mobilité réduite, avant février 2015 au plus tard. Cela concerne la signalétique, les entrées, la largeur des portes, l’accès aux fauteuils roulants aux étages et l’utilisation des sanitaires. Au-delà de l’accessibilité des bâtiments, la municipalité a également réalisé un diagnostic sur la circulation des personnes handicapées en ville, afin d’envisager les travaux d’amélioration en concertation avec les usagers8.

Toponymie

La ville de Lognes a connu différentes appellations au fil des siècles. Dans la chronique de Frédégaire, le lieu apparaît sour l’appellation de Laucaunia-Sylva (VIIe siècle9 peut-être issue du gaulois louko qui signifie « forêt, bois », équivalent du latin lucus « bois sacré »), puis Oingniata (XIIe siècle), Loengnes (XIIe siècle), Lugnes (XIIIe siècle), Lugnis (XIIIe siècle), Longnes (1227), Loingnes (1464), Longnes-en-Brie (1650) et Ognes-en-Multien (XVIIe siècle).

La première appellation retrouvée est donc Laucaunia-Sylva. À l’époque gallo-romaine, la Laucaunia-Sylva était considérée comme faisant partie d’un ensemble foncier d’une résidence, c’est-à-dire de plusieurs villas. Ce territoire n’était alors pas considéré comme terre de culture, mais comme terre en friches laissée à l’état naturel pour les besoins de la chasse. Il existe cependant des controverses concernant ce nom.

Alfred Maury, dans son ouvrage Forêts en Gaule, précise que la forêt de Vincennes (Vilcenna-Sylva), celle de Bondy (Bungiacensia-Sylva) et celle de Livry (Libeniacencis-Sylva) formaient un seul et même ensemble qui portait le nom de Laucaunia-Sylva. L’abbé Lebeuf, dans son ouvrage Histoire du Diocèse de Paris, contredit de nombreuses thèses d’historiens et situe la Laucaunia-Sylva dans le village actuel de Lognes.

Histoire

Des armes et des armures trouvées près de Lognes ont été les preuves de la bataille livrée en 1114, par Louis le Gros, à Guy le Rouge, seigneur de Gournay-sur-Marne, et à Thibaut, comte de Champagne.

La présence de vestiges archéologiques témoigne d’une occupation néolithique, puis gallo-romaine du site de Lognes. Le nom de Lognes apparaît au VIIe siècle sous le terme de « laucaunia sylvia » dans l’une des rares sources écrites de l’époque « la chronique de Frédégaire ». L’aspect qu’offrait alors cette partie du plateau de la Brie est celui d’une vaste étendue boisée marquée ici et là par quelques implantations humaines. C’est dans cette forêt qu’a été assassiné le roi Childéric II, en 675. Au XVe siècle, on dénombre au moins quatre seigneuries et fiefs : le Mandinet, la Malvoisine, le Buisson Saint-Antoine et le Bois l’Archer, aujourd’hui déformé en « Bourlarché ».

L’ancien village rural, situé à la charnière entre le bois de Lognes et les terres agricoles qui occupaient l’essentiel du territoire communal, est constitué d’anciennes maisons d’habitation d’architecture briarde datant de la fin du XIXe siècle. La famille Menier joua un rôle important dans la vie communale ; plusieurs de ses membres seront successivement maires de Lognes. Au début des années 1970, Lognes n’était encore qu’un bourg rural de quelques centaines d’habitants, entouré de champs et de fermes. La commune a connu en quelques années un développement urbain extrêmement rapide, résultat de son intégration dans le périmètre de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée, dont la création a été décidée par l’État en 1965. Les terres agricoles ont alors été achetées et aménagées par un organisme public relevant de l’État, L’EPA-Marne, qui a réalisé les voies, les réseaux et les équipements publics.

En l’espace de 25 ans, Lognes est ainsi passée d’un village de 248 âmes à une véritable ville de près de 15 000 habitants avec des pôles d’activités fortement développés.

Politique et administration

 dans Folie
Poste de police municipale.
 dans LCR - NPA
Ancien hôtel de ville et la nouvelle mairie.

Rattachements administratifs et électoraux

La commune fait partie de l’arrondissement de Torcy du département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France. Pour l’élection des députés, elle dépend de la dixième circonscription de Seine-et-Marne.

La commune a relevé successivement du canton de Lagny-sur-Marne à partir de 1793, du canton de Torcy créé en 1975 par scission du précédent. Compte tenu de la croissance démographique du secteur de Marne-la-Vallée, le canton de Torcy est à son tour scindé en 1985 et la commune est alors rattaché au nouveau canton de Noisiel10. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Champs-sur-Marne.

Lognes est situé dans le ressort du tribunal d’instance de Lagny-sur-Marne, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes et du tribunal de commerce de Meaux, et de la cour d’appel de Paris.

Dans l’ordre administratif, la commune relève du tribunal administratif de Melun et de la cour administrative d’appel de Paris11.

Intercommunalité

Lognes appartient au secteur II de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée, dénommé Val Maubuée.

Celui-ci regroupe six communes (Champs-sur-Marne, Croissy-Beaubourg, Émerainville, Lognes, Noisiel et Torcy), qui étaient regroupées successivement au sein du syndicat communautaire d’aménagement de l’agglomération nouvelle de Marne-la-Vallée – Val Maubuée créé le 14 décembre 197212, puis du syndicat d’agglomération nouvelle Marne-la-Vallée – Val Maubuée créé le 13 juillet 198313, qui se transforme en 2013 en communauté d’agglomération de Marne-la-Vallée – Val Maubuée.

Celle-ci fusionne le 1er janvier 2016 avec d’autres intercommunalités pour former la Communauté d’agglomération Paris – Vallée de la Marne, dont la commune est désormais membre14.

La commune de Lognes est également membre du syndicat intercommunal pour l’enlèvement et le traitement des résidus ménagers (SIETREM) de la région de Lagny-sur-Marne, qui assure la collecte, le traitement et la valorisation des déchets ménagers pour le compte des trente communes adhérentes ; ainsi que du syndicat intercommunal CPRH (Centres de pédagogies et de réadaptation pour personnes handicapées) qui a pour vocation de créer et de gérer des centres pour personnes handicapées15.

Administration municipale

Le nombre d’habitants étant compris entre 10 000 et 20 000, le nombre de membres du conseil municipal est de 33.

Tendances politiques et résultats

Article connexe : Élections municipales de 2014 en Seine-et-Marne.

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1882 1890 Gaston Menier16 Radical Industriel du chocolat
Député de Seine-et-Marne (1898 → 1906)
Sénateur de Seine-et-Marne (1909 → 1934)
Maire de Bussy-Saint-Martin (1890 → 1913 )
Conseiller général de Lagny-sur-Marne (1891 → 1934)
1896 1899 Albert Menier Industriel du chocolat, sportif
Frère du précédent
1899 1905 Émile Richet
1905 1917 Georges Menier
1917 1938 Antoine Menier
1938 1940 Émile Fournier Mobilisé en 1940
1940 1944 Louis Mangeot Nommé par le Gouvernement de Vichy
1944 1965 Émile Fournier
mars 1965 mars 1989 Paul Mangeot Agriculteur
mars 1989 octobre 201617
(démission)
Michel Ricart PS Cadre bancaire retraité
Président du SAN du Val-Maubuée (1997 → 2011)
7 octobre 201618 en cours
(au 9 octobre 2016)
André Yuste PS Fonctionnaire

Politique de développement durable

 dans Luraghi
Entrée de la forêt du Val-Maubuée, en centre-ville.
 dans NEMROD34
Promenade et lac en centre-ville.

Au cœur de l’agglomération du Val-Maubuée, Lognes a cherché à se développer en préservant son environnement. Aujourd’hui, l’urbanisation étant quasiment achevée, les priorités sont l’amélioration du cadre de vie et un développement qui profite à toutes les générations8.

Depuis 2009, la municipalité a souhaité marquer son engagement dans un projet de développement durable en se lançant dans une démarche d’Agenda 2119.

Jumelages

Au 6 avril 2012, Lognes n’est jumelée avec aucune autre commune, mais a signé en 2001 un contrat de coopération avec la commune de Kampot au Cambodge, en vue de créer des maisons des jeunes et de la culture à Phnom Penh et Kampot20.

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Intégrée à la ville nouvelle de Marne-la-Vallée, Lognes a connu une rapide croissance démographique entre 1975 et 1990, passant de 250 habitants à près de 13000. Dans les années 2000, la population tend à se stabiliser autour de 15 000 habitants. En 2009, Lognes comptait 14 756 habitants (soit une augmentation de 3,8 % par rapport à 1999). La commune occupait le 621e rang au niveau national et le 22e au niveau départemental sur 514 communes. Elle regroupe environ 17 % des habitants du Val-Maubuée, communauté dont elle est la quatrième commune par la population.

La population lognote est jeune : 41,2 % des habitants sont âgés de moins de 25 ans en 2006. La ville accueille plus de 70 nationalités, dont une forte communauté venant des pays du Sud-est asiatique (Cambodgiens, Laotiens, Vietnamiens…)21. Cette diversité se retrouve dans la vitalité de la vie associative, qui compte plus de 200 associations sportives et culturelles.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d’une enquête par sondage auprès d’un échantillon d’adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans22,Note 1.

En 2016, la commune comptait 13 999 habitantsNote 2, en diminution de 2,85 % par rapport à 2011 (Seine-et-Marne : +4,93 %, France hors Mayotte : +2,44 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
95 110 113 117 98 101 119 107 120
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
141 158 185 198 216 217 260 277 321
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
357 345 344 306 320 325 292 244 246
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
317 297 248 1 707 12 973 14 215 14 614 14 410 13 999
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu’en 199910 puis Insee à partir de 200623.)
Histogramme de l’évolution démographique

7939e197c76c20932c565a441aa23a13 dans Perversité

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d’un âge supérieur à 60 ans (7,5 %) est en effet inférieur au taux national (21,8 %) et au taux départemental (16 %).

À l’instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,6 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,9 %).

La répartition de la population de la commune par tranches d’âge est, en 2008, la suivante :

  • 48,4 % d’hommes (0 à 4 ans = 21,4 %, 15 à 29 ans = 29,1 %, 30 à 44 ans = 20,5 %, 45 à 59 ans = 21,1 %, plus de 60 ans = 7,9 %) ;
  • 51,6 % de femmes (0 à 14 ans = 20,6 %, 15 à 29 ans = 28,1 %, 30 à 44 ans = 20,9 %, 45 à 59 ans = 23,3 %, plus de 60 ans = 7,1 %).
Pyramide des âges à Lognes en 2008 en pourcentage24
Hommes Classe d’âge Femmes
0,1
90  ans ou +
0,2
1,3
75 à 89 ans
1,2
6,5
60 à 74 ans
5,7
21,1
45 à 59 ans
23,3
20,5
30 à 44 ans
20,9
29,1
15 à 29 ans
28,1
21,4
0 à 14 ans
20,6
Pyramide des âges du département de Seine-et-Marne en 2008 en pourcentage25.
Hommes Classe d’âge Femmes
0,2
90  ans ou +
0,8
3,8
75 à 89 ans
6,1
10,2
60 à 74 ans
10,4
20,6
45 à 59 ans
20,3
22,2
30 à 44 ans
22,2
20,7
15 à 29 ans
19,7
22,2
0 à 14 ans
20,5

Enseignement

Lognes est située dans l’académie de Créteil.

Établissements scolaires

La ville administre cinq groupes scolaires26 : le Four, la Maillière, le Mandinet, le Segrais et le Village.

Le département gère deux collèges : le collège « La Maillière »27 et le collège « Le Segrais »28.

La région Île-de-France gère le lycée Emily-Brontë29.

Enseignement supérieur

Lognes est le siège de plusieurs établissements privés d’enseignement supérieur :

  • Cethom, centre de formation en ostéopathie pour les kinésithérapeutes et les médecins30 ;
  • ESCI (École supérieure de commerce international) ;
  • ESM-A (Institut supérieur d’études en alternance du management)31
  • ASCENCIA BUSINESS SCHOOL MARNE LA VALLEE, établissement d’enseignement supérieur dans les domaines communication, marketing,banque, assurance, finance, ressources humaines et sportif32 ;

Accès aux droits

La maison de justice et du droit la plus proche est située dans la commune voisine de Noisiel33.

Manifestations culturelles et festivités

 dans Politique
Le bâtiment de l’Association franco-indochinoise sud-Laos.

Pour fêter l’arrivée du printemps, les Lognots déambulent dans les rues de Lognes accompagnés de chars et musiques lors du carnaval. Pour fêter l’arrivée de l’été, la municipalité invite les Lognots à se rencontrer lors de diverses manifestations : fête associative, fête de la musique, tremplin musical « Ziclog », feu d’artifice… Le 13 juillet, un feu d’artifice est organisé sur les rives de l’étang du Maubuée en collaboration avec la ville de Torcy. D’autres manifestations incluent la fête du sport/le forum des associations (septembre) dans lequel les habitants et les associatives sportives et culturelles (initiation, inscription…) se rencontrent. Un troc et puces du Segrais est organisé chaque année en septembret Le Festival Les Transversales a lieu en septembre..

L’association « les amis de l’église Saint-Martin » en lien avec le diocèse de Meaux, organise de nombreux récitals et concerts en l’église Saint-Martin.

Chaque année le salon de Lognes ouvre ses portes à tous les peintres et sculpteurs de la commune. Diverses expositions à la salle du Citoyen. Divers salons au Centrex (exemple : Salon pour l’emploi).

La médiathèque du Segrais, ouverte depuis début 2008, propose près de 20 000 documents34. Elle fait partie du réseau de médiathèques du Val-Maubuée (avec celles de Noisiel, Champs-sur-Marne, Croissy-Beaubourg et Torcy) et a pour thématique les sciences.

Santé

La ville de Lognes dépend du centre hospitalier de Jossigny.

Sports

La ville de Lognes compte trois gymnases (la Maillière, la Fraternité et la Liberté), un parc des sports au Segrais, un complexe de tennis au village, le stade Colette-Besson au village (Athlétisme) une salle d’arts martiaux et huit plateaux d’EPS.

Au sein du bois, lieu de promenades et d’exercices physiques, a été installé un parcours de santé.

Le club de basket-ball de la ville a été créé en 1986 sous le nom de Basket-Club de Lognes Marne-la-Vallée. Il utilisait principalement le gymnase de la Maillière et occasionnellement celui de la Fraternité. Il a fusionné en 2002 avec ses voisins de Torcy et Noisiel pour former le Marne-la-Vallée Basket Val-Maubuée (ou MLV Basket), comptant en 2013/2014 cinq équipes (dont 4 jeunes) en championnat de France35. Il a depuis déménagé et occupe le nouveau gymnase de la Liberté. C’est le club avec le plus de licenciés en Seine-et-Marne (431 au total)36.

En 1995, le club Champs Noisiel Athlétisme (CNA) se développe à Lognes pour devenir « Marne-la-Vallée Athlétisme ». En 2000, le club a détecté, puis formé jusqu’en 2004, la championne de saut en longueur Eloyse Lesueur. En 2005, c’est le 1er club du département de Seine-et-Marne et le 53e club français. En 2006, le stade Colette-Besson (piste synthétique de 200 m) est inauguré à Lognes. Avec plus de 270 licenciés, MLVA développe l’athlétisme et les disciplines associées (marche nordique, jogging loisir, condition physique, remise en forme)37.

Médias

La radio 77Fm émet sur la ville sur la fréquence 95,8 sur la bande Fm.

Cultes

Les Lognots disposent de lieux de culte catholique et musulman.

La commune de Lognes dépend du secteur pastoral du Val-Maubuée de l’Église catholique, lui-même situé au sein du pôle missionnaire de Marne-la-Vallée ans le diocèse de Meaux. Le lieu de culte catholique à Lognes est l’église Saint-Martin38.

Une mosquée est située sur le territoire de la commune39.

Économie

 dans Ufoscepticisme
Lognes est connue pour son centre d’examens.

Revenus et fiscalité

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Le revenu fiscal médian par ménage était en 2009 de 17 684 €, ce qui plaçait Lognes au 15 017e rang parmi les 30 687 communes de plus de 50 ménages en métropole40.

Emploi

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Avec 7 600 emplois en 2009, Lognes représente un pôle économique important au sein de Marne-le-Vallée. Les emplois sont plutôt concentrés dans un petit nombre d’établissements. la commune compte 507 établissements, dont 73 % comptent moins de 10 salariés. Les 15 établissements de plus de 100 salariés totalisent 42 % des emplois : une opportunité en matière de communication/mobilisation des salariés. Plus de 80 % des emplois sont dans le secteur tertiaire8.

Le forum « Rencontres pour l’Emploi » est organisé en octobre, au Centrex de Lognes. L’objectif principal est de permettre une rencontre privilégiée entre les entreprises du territoire qui recrutent et les demandeurs d’emploi. Les visiteurs ont l’opportunité de rencontrer un grand nombre d’entreprises, d’institutionnels ainsi que des organismes de formation, et de suivre des conférences portant sur des thématiques variées.

Entreprises et commerces

Lognes est connue par les pilotes pour son aérodrome de Lognes-Émerainville et pour sa zone industrielle « Pariest ».

À Lognes sont installés les sièges sociaux des entreprises Conforama France et Burton of London.

En 2011, la ville, qui emploie 360 agents municipaux, est le troisième employeur de la commune8.

La chaîne française de supermarchés asiatiques Tang Frères compte un magasin à Lognes.

Administration

A Lognes se situe également le Centre national de la formation du ministère de l’Intérieur41,42. S’agissant d’une « plate-forme pédagogique », le Centre de formation accueille plusieurs directions du ministère, comme celle de la police nationale, connue sous l’appellation de Direction des ressources et des compétences de la Police nationale.

Culture et patrimoine

Lieux et monuments

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L’église Saint-Martin.

Église Saint-Martin

Article détaillé : Église Saint-Martin de Lognes.

Construite entre 1898 et 1903, l’église Saint-Martin est de style néo-roman. Son architecture a une caractéristique : la dimension très importante de ses baies par rapport à la surface des murs. Elle est à ce titre très lumineuse. Cette église de campagne a retenu l’histoire des Menier, (célèbre famille de chocolatier employeur d’une grande partie de la population du village au début du XXe siècle), dans le dessin des chapiteaux, qui sont décorés de feuilles de cacao. Restaurée en 2000, elle fut l’objet d’une intervention artistique par Victor Cuzin pour la réalisation de ses vitraux contemporains et la mise en couleur de ses murs.

Le château du Mandinet

Un fief important existait au Mandinet dès le XVe siècle avec un château entouré de fossés, qui appartenait à la famille de l’écrivain Paul Scarron. Jean Scarron, seigneur du Mandinet, fut par la suite prévôt des marchands de Paris entre 1644 et 1646. Après la Révolution, le château a été habité par le général Nempde-Dupoyet (1775-1833) qui avait brillamment participé aux campagnes napoléoniennes. Le château a été reconstruit à l’identique en 1990.

Patrimoine naturel

La richesse des paysages et des milieux naturels de Lognes constitue un facteur d’attractivité important pour la commune et plus généralement pour le secteur du Val-Maubuée. L’ensemble des espaces verts municipaux représente une superficie d’environ quatorze hectares. Le bois de Lognes (ZNIEFF de type 2) et le parc du Segrais sont administrés par l’agglomération du Val-Maubuée.

Lognes bénéficie du label « ville fleurie » avec deux fleurs attribuées par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris43.

Patrimoine culturel

La ville de Lognes favorise toutes les politiques culturelles, de la pratique amateur à l’excellence artistique, de l’action culturelle de proximité à la reconnaissance au niveau national.

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Médiathèque du Segrais

Plusieurs films ont été tournés à Lognes, dont :

Personnalités liées à la commune

Lognes est le berceau de la famille Menier dont plusieurs membres furent maires de la ville.

La réforme du « financement du logement aidé » du 3 janvier 1977 et la création des financements P.A.P. (prêt d’accession à la propriété) ouvrent une période de construction massive de programmes en accession aidée qui s’étend de 1978 à 1986. C’est dans ce contexte particulier que Lognes bénéficia de la participation d’architectes de renom pour l’élaboration de ces constructions. Parmi eux figurent Henri Ciriani, Roland Castro, Francis Soler, Christian de Portzamparc, …

Les frères et footballeurs Yahia Kébé et Boubacar Kébé, formés aux Girondins de Bordeaux et évoluant respectivement aux clubs de Al-Kharitiyath dans le championnat du Qatar et à l’AS Cherbourg Football sont originaires de Lognes (quartier du Segrais)[réf. nécessaire]. Le footballeur Marco Randriana évoluant dans le club de Niort est aussi originaire de cette ville (quartier du Segrais). Le footballeur Mohamed Youssouf formé au Le Havre Athletic Club, et évoluant désormais à Vannes OC est aussi originaire de Lognes (quartier des Colliberts), tout comme Gaëtan Charbonnier, actuellement attaquant du SCO Angers44. Le champion de boxe thaïlandaise, Farid Villaume vit actuellement à Lognes[réf. nécessaire].

Une partie des membres du groupe de danse hip-hop international les Wanted sont originaires de Lognes45.

Vincent Eblé, président du conseil général de Seine-et-Marne, a été adjoint au maire de Lognes de 1991 à 2011.

Stelio Farandjis, Secrétaire général du Haut Conseil de la francophonie de 1984 à 2001, un des artisans du dialogue entre les trois ensembles linguistiques : Arabophonie, Hispanophonie et Lusophonie.

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

  • Christophe Cuzin, Église de Lognes : Chronique d’une commande publique en Île-de-France, Atelier Duchemin, maître verrier, Direction régionale des affaires culturelles d’Île-de-France, 2000, (ISBN 211087175X)

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l’ensemble des communes.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.

Références

  1. « Comment Lognes est devenue la première ville asiatique de France », Le Monde,‎ 30 septembre 2005 (lire en ligne [archive])
  2. Site SIGES – Seine-Normandie consulté le 3 juillet 2018 [archive]
  3. « Aérodrome de Lognes – Emerainville » [archive], sur le site de l’union des aéroports français (consulté le 6 avril 2012).
  4. « La vie des quartiers à Lognes » [archive], sur le site de la mairie de Lognes (consulté le 6 avril 2012).
  5. Site territoires-fr.fr [archive] consulté le 3 novembre 2018 sous le code commune 77258
  6. « LOG2 – Logements par type, catégorie et nombre de pièces – Niveau agrégé » [archive], sur le site de l’Insee, 2008 (consulté le 6 avril 2012).
  7. « Programme local de l’habitat » [archive], sur le site de la mairie de Lognes (consulté le 6 avril 2012).
  8. a b c et d ADAGE Environnement, Diagnostic développement durable de la ville de Lognes, 28 juillet 2011, [lire en ligne [archive]].
  9. « Histoire » [archive], sur le site de la mairie de Lognes (consulté le 6 avril 2012).
  10. a et b Des villages de Cassini aux communes d’aujourd’hui [archive] sur le site de l’École des hautes études en sciences sociales.
  11. « Liste des juridictions compétentes pour une commune » [archive], sur le site du ministère de la Justice (consulté le 6 avril 2012).
  12. |titre=Arrêté du 14 décembre 1972 portant création du syndicat communautaire d’aménagement de l’agglomération nouvelle de Marne-la-Vallée-Val-Maubué|site=Légifrance| consulté le=10 août 2014
  13. « Communauté d’agglomération Marne la Vallée Val Maubuée – 77 » [archive], sur Institut d’aménagement et d’urbanisme – Île-de-France, 24 avril 2013 (consulté le 10 août 2014)
  14. « Paris – Vallée de la Marne (N° SIREN : 200057958) » [archive], Fiche BANATIC, Ministère de l’intérieur, 1er juillet 2016 (consulté le 29 septembre 2016).
  15. « Lognes » [archive], Liste des groupements, Ministère de l’intérieur, 1er juillet 2016 (consulté le 29 septembre 2016).
  16. « Gaston, Emile, Henri Menier (1855 – 1934) » [archive], sur Sycomore [archive], base de données des députés de l’Assemblée nationale
  17. « Lognes : le maire Michel Ricart tire sa révérence après vingt-sept ans de mandat », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ 28 septembre 2016 (lire en ligne [archive]) « Michel Ricart (PS), le maire de Lognes a présenté sa démission ce lundi à l’issue du conseil municipal. Une décision que l’édile âgé de 74 ans a prise pour des raisons de santé. « J’en suis à mon cinquième mandat et même si j’ai encore toutes mes facultés intellectuelles, mon corps commence à fatiguer. Il est temps de passer le flambeau. » Arrivé à Lognes en 1983, Michel Ricart est élu conseiller municipal dès 1986 avant de devenir maire adjoint l’année suivante puis d’être élu maire en 1989. Sous sa houlette, le village de 250 habitants à ce moment-là devient une ville de 15 000 habitants ».
  18. « Lognes : André Yuste succède à Michel Ricart à la tête de la ville », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ 9 octobre 2016 (lire en ligne [archive]) « Élu quelques instants auparavant par le conseil municipal, André Yuste, jusqu’alors premier adjoint, a enfilé l’écharpe tricolore ».
  19. FICHE | Agenda 21 de Territoires – Lognes [archive], consultée le 31 octobre 2017
  20. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures » [archive], sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le 6 avril 2012).
  21. « En bref » [archive], sur le site de la mairie de Lognes (consulté le 6 avril 2012).
  22. L’organisation du recensement [archive], sur le site de l’Insee
  23. Fiches Insee – Populations légales de la commune pour les années 2006 [archive], 2007 [archive], 2008 [archive], 2009 [archive], 2010 [archive], 2011 [archive], 2012 [archive], 2013 [archive], 2014 [archive], 2015 [archive] et 2016 [archive].
  24. « Évolution et structure de la population à Lognes en 2008 » [archive], sur le site de l’Insee (consulté le 6 avril 2012).
  25. « Résultats du recensement de la population de la Seine-et-Marne en 2008 » [archive], sur le site de l’Insee (consulté le 6 avril 2012).
  26. « Annuaire des groupes scolaires » [archive], sur le site de la mairie de Lognes (consulté le 6 avril 2012).
  27. « Collège La Maillière » [archive], sur le site de la mairie de Lognes (consulté le 6 avril 2012).
  28. « Collège Le Segrais » [archive], sur le site de la mairie de Lognes (consulté le 6 avril 2012).
  29. « Lycée Emily Brontë – Lognes » [archive], sur le site du lycée Emily-Brontë (consulté le 6 avril 2012).
  30. « page d’accueil » [archive], sur le site du centre de formation Cethom (consulté le 6 avril 2012).
  31. « page d’accueil » [archive], sur site du centre de formation ESM-A (consulté le 8 janvier 2018).
  32. « page d’accueil » [archive], sur site du centre de formation Ascencia business school (consulté le 8 janvier 2018).
  33. « Annuaires et contacts » [archive], sur le site du ministère de la Justice (consulté le 6 avril 2012).
  34. VAL Magazine no 102, p. 4.
  35. MLV Basket, « Historique et Identité » [archive], sur mlvbasket.com (consulté le 14 avril 2014)
  36. Comité de Seine et Marne de Basket-Ball, « Classement des clubs en fonction du nombre de licenciés (chiffres à jour au 06/03/2014) » [archive], sur basket77.fr, 6 mars 2014 (consulté le 14 avril 2014)
  37. « MLVAthle » [archive]
  38. « Présentation du secteur » [archive], sur le site de l’Église catholique au Val-Maubuée (consulté le 6 avril 2012).
  39. « Mosquée de Lognes » [archive], sur le guide musulman (consulté le 6 avril 2012).
  40. « CC-Résumé statistique/com,dep,zone empl » [archive], sur le site de l’Insee (consulté le 6 avril 2012).
  41. « Bureau du Centre national de la formation » [archive], sur L’annuaire Service public
  42. « Centre de formation du ministère de l’Intérieur, Lognes » [archive], sur architopik.com
  43. « Lognes » [archive], sur le site des villes et villages fleuris (consulté le 6 avril 2012).
  44. « National/ Bayonne – Vannes, demain (20h). Youssouf sur les traces de Mohamed » [archive], sur Le Télégramme, 15 septembre 2011 (consulté le 5 avril 2012).
  45. « Wanted dope le hip-hop à Marne-la-Vallée » [archive], sur le site du quotidien Le Parisien, 2 février 2002 (consulté le 5 avril 2012).


Lundi 31 décembre 2018 : l’attentat du jour s’est produit aux Philippines

 

https://actu.orange.fr/monde/deux-morts-dans-un-attentat-a-la-bombe-dans-le-sud-des-philippines-CNT000001bxuZX.html

Deux morts dans un attentat à la bombe dans le sud des Philippines

 

Deux morts dans un attentat à la bombe dans le sud des Philippines
Des enquêteurs inspectent les débris projetés par un attentat à la bombe à Cotabato, dans le sud des Philippines le 31 décembre 2018
©-, AFP

 

AFP, publié le lundi 31 décembre 2018 à 13h54

Deux personnes ont été tuées et environ 35 blessées lundi dans l’explosion d’une bombe à l’extérieur d’un centre commercial à Cotabato, dans le sud des Philippines touché par une rébellion islamiste, a annoncé la police.

A la suite de cette explosion, les enquêteurs ont fouillé le centre commercial et découvert un second colis suspect qu’ils ont neutralisé, a affirmé le porte-parole de la police, l’inspecteur en chef Rowell Zafra.

Une vendeuse de rue et un homme ont été tués. La plupart des blessés, dont trois sont dans un état critique, sont des clients venus faire des achats pour le réveillon de nouvel an.

De nombreux accessoires de fête, comme des trompettes en carton et en plastique, ont été éparpillés dans la rue par le souffle de l’explosion. Les vitres des bâtiments alentours ont explosé.

Les enquêteurs n’étaient pas en mesure de préciser dans l’immédiat le type de bombe utilisé ou d’identifier de suspect. Mais le commandant de l’armée dans la zone, le général Cirilito Sobejana, a affirmé à la chaîne ABS-CBN qu’un homme a été aperçu portant une boîte qu’il a déposée devant le centre commercial et qui a explosé quelques secondes plus tard.

Selon lui, la bombe porte la signature d’un « groupe de Daech », faisant référence à des extrémistes musulmans locaux qui ont fait allégeance au groupe jihadmiste Etat islamique.

Le Congrès philippin a prolongé début décembre la loi martiale décrétée en mai 2017 à Mindanao, une île de 20 millions d’habitants où se trouve Cotabato, en raison d’un soulèvement de jihadistes se réclamant de l’EI dans la ville de Marawi. Les combats pour venir à bout des jihadistes avaient fait 1.200 morts.

En août et en septembre, des bombes avaient explosé dans la ville d’Isulan, à 77 kilomètres au sud de Cotabato, faisant au moins trois morts. Les autorités soupçonnent les Bangsamoro Islamic Freedom Fighters (Biff), liés à l’EI, d’en être à l’origine.



NEMROD34 a bien repris ses visites quotidiennes sur Satanistique

Et lui aussi varie plus que jamais les FAI, avec une prédilection pour les Pays-Bas pour ses IP à compter du 28 décembre à 18:26:20 , quoiqu’il soit bien aussi passé par l’Allemagne le 26 décembre…

Pays-Bas… Allemagne… Un attentat déjoué par l’arrestation de cinq suspects hier, samedi 29 décembre 2018…

 

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Attentat de Strasbourg : le criminologue Xavier Raufer est-il « complotiste » ?

 


 

Je pose la question, car depuis quelques années ce qualificatif est régulièrement utilisé pour désigner des personnes trop bien renseignées au goût de certains comploteurs, notamment ceux de la bande de cybercriminels de Pascal Edouard Cyprien Luraghi, et particulièrement leurs victimes.

Ce dernier l’employait d’ailleurs à mon sujet dès les débuts de ses harcèlements à mon encontre, sur le site Rue89, en 2009.

Et j’ai encore été traitée de « complotiste » par son avocat dans l’enceinte du Tribunal de Grande Instance de Paris lors de l’audience du 8 novembre 2016 dans le cadre de sa procédure à mon encontre, au motif qu’à ses yeux j’avais le tort de me défendre, c’est-à-dire de dénoncer comme fausses ou mensongères toutes ses prétentions à mon encontre et d’exposer preuves à l’appui la réalité de nos contentieux.

En effet, cet avocat m’a toujours explicitement reproché de me défendre, dans plusieurs écrits comme par oral.

Cela le dérangeait énormément car, disait-il, son client attendait que je sois condamnée conformément à ses demandes le plus rapidement possible, quasiment dès la première audience fixée devant le juge des référés, le 13 septembre 2016.

A cette date, et juste avant l’audience, il m’avait même carrément demandé de reconnaître avoir commis tous les faits imaginaires dont son client m’accusait mensongèrement, en me promettant que si je persistais à vouloir me défendre, je serais de toute façon condamnée de la même manière, et devrais de plus lui payer les 10 000 euros (bien dix mille euros) de frais d’huissier que selon lui je l’obligeais à engager à raison de ma défense.

D’où je déduis assez logiquement que ses clients, au premier rang desquels, en réalité, la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, très présente à ses côtés durant ces deux audiences de première instance, avaient fait le calcul que je ne pourrais pas du tout me défendre contre eux à Paris et qu’ils pouvaient ainsi raconter au juge et lui demander tout ce qui leur chantait, avec la quasi certitude de tout obtenir.



En Egypte et au Maroc, les « plaisanteries » de mes harceleurs « déconnologues » n’amusent pas

En fait, il n’y a guère que des magistrats brestois que j’aie vus louer la « déconnologie » de Pascal Edouard Cyprien Luraghi et de sa bande de cybercriminels dits « déconnologues » dans des écrits officiels après que celui-ci ait lui-même expliqué à la gendarmerie de Puy-l’Evêque que leur science consistait en cyberharcèlements massifs et totalement démentiels à l’encontre de divers internautes, journalistes et autres personnages publics, notamment sur le site Rue89.

On rappelle que cette activité est dès son origine en 2008 pénalement répréhensible et que de nouvelles lois la condamnant encore plus précisément et fermement ont depuis lors été votées, notamment au cours de cette année 2018.

Par ailleurs, les mêmes magistrats savaient aussi parfaitement bien que la « déconnologie » de Pascal Edouard Cyprien Luraghi s’exerce depuis ses débuts avec la complicité de terroristes islamistes, dont les activités particulières sur le territoire français, notamment depuis mars 2012, ont également justifié l’apparition de nouvelles lois théoriquement destinées à les restreindre.

 

http://lavdn.lavoixdunord.fr/514097/article/2018-12-29/40-terroristes-tues-en-egypte-apres-l-attentat-meutrier-contre-un-bus-de

Le Caire «40 terroristes» tués en Egypte,

après l’attentat meurtrier contre un bus de

touristes vietnamiens

 

Les forces de sécurité ont tué samedi «40 terroristes» dans plusieurs raids en

Egypte, au lendemain d’un attentat meurtrier contre un bus de touristes

vietnamiens près du Caire, a indiqué le ministère de l’Intérieur

dans un communiqué.

 

LA VDN | 29/12/2018

Les forces de sécurité ont tué samedi «40 terroristes» dans plusieurs raids en Egypte. photo AFP

Les forces de sécurité ont tué samedi «40 terroristes» dans plusieurs raids en Egypte. photo AFP – AFP

 

Les raids ont été menés contre des combattants jihadistes présumés à Guizeh, lieu de l’attaque de vendredi, et dans le Sinaï (est), selon le ministère qui précise que 30 d’entre eux ont été tués à Guizeh. «Ils planifiaient une série d’agressions contre le secteur du tourisme, les lieux de culte chrétiens et les forces de sécurité».

Le ministère n’a pas lié directement ces raids policiers à l’attaque de vendredi qui n’a pas été revendiquée, mais une source sécuritaire a précisé qu’ils avaient eu lieu «tôt» samedi matin, donc après l’attentat.

Cet attentat est le premier contre des touristes en Egypte depuis juillet 2017. Le secteur crucial du tourisme a souffert de l’instabilité politique et des attentats de groupes extrémistes, dont le groupe jihadiste Etat islamique (EI), à la suite du soulèvement populaire de janvier 2011.

 

https://www.jeuneafrique.com/696020/politique/attentat-au-maroc-les-salafistes-marocains-condamnent-le-crime-terroriste/

Attentat au Maroc : les salafistes marocains condamnent le crime terroriste

 

28 décembre 2018 à 12h08 | Par
En Egypte et au Maroc, les

 

Le principal groupe politique salafiste du royaume a condamné le meurtre des deux randonneuses scandinaves au pied du Mont Toubkal et a rediffusé ses principales revendications.

C’est par voie de communiqué que la Coordination commune pour la défense des détenus islamistes (CCDDI) a condamné le 27 décembre le récent double assassinat à caractère terroriste commis à Imlil, dans la région de Marrakech.


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La CCDDI, née afin de porter la voix des prisonniers salafistes marocains – souvent arrêtés dans le cadre de la principale loi antiterroriste n°03-03, promulguée au lendemain des attentats de mai 2003 –, est au fil du temps devenue l’un des principaux groupes du salafisme militant marocain. La Coordination est notamment active à Rabat, Salé, Fès, Tanger et Tétouan.

Un communiqué militant

Dans son communiqué, la CCDDI a gardé un ton militant et condamné ceux qui profitent de la séquence pour accuser à tort l’islam. La CCDDI a réitéré sa demande de voir abroger la loi antiterroriste. Cette dernière avait été étendue en 2015, notamment sous la houlette du ministre de la Justice, l’islamiste Mustapha Ramid, avocat anciennement engagé dans la défense des droits des prisonniers salafistes.


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Enfin, la Coordination n’a pas caché sa crainte d’abus après la confirmation de la piste terroriste du crime d’Imlil. En 2005, Mohammed VI lui-même avait reconnu l’existence d’« abus » dans la répression post-attentats de 2003 dans une interview au quotidien espagnol El País. À Jeune Afrique, Abdelhak Bassou, ancien directeur central des renseignements généraux marocains, avait assuré que l’organisation du Bureau central des investigations judiciaires (BCIJ), créé en 2015 et chargé de l’enquête sur le crime d’Imlil, permettait aussi d’éviter les atteintes aux droits.

Dans son communiqué, la CCDDI a regretté des « arrestations préventives » dans les milieux salafistes à l’orée de la fin d’année 2018, dont témoignent aussi des articles de la presse arabophone, notamment le quotidien à grand tirage Al Massae.

Les chouyoukh condamnent

Le texte de la Coordination n’est pas la première réaction à l’assassinat des deux jeunes touristes scandinaves par des individus visiblement radicalisés à grande vitesse émanant de la galaxie salafiste marocaine. Le cheikh Mohamed Fizazi avait rapidement condamné l’assassinat des deux jeunes touristes.

« Le meurtre des femmes est illicite en temps guerre, comment tuer en paix ? » Fizazi avait été libéré en 2011, après plusieurs années de prison. Cette voix influente du salafisme contemporain marocain avait été arrêtée dans la foulée des attentats de mai 2003, alors qu’il était connu pour ses prêches enflammés. Aujourd’hui, toujours très conservateur, il est devenu bien moins politique dans ses propos et s’érige souvent en ardent défenseur de l’ordre. Mais comme un certain nombre de chouyoukh enfermés dans une période courant du 11 septembre 2001 aux printemps arabes et libérés dans la foulée de ces derniers, il a perdu de son influence dans le milieu salafiste.

Le cheikh Hassan Kettani, enfermé lui aussi dans la foulée des attentats de 2003 pour ses prêches et gracié par le roi en 2012, a également condamné un « crime odieux ». Kettani est resté plus proche des bases militantes que Fizazi et apparaît parfois aux côtés des militants de la CCDDI dans des manifestations publiques. Avec les réactions des salafistes dits « quiétistes », comme le Marrakchi Hammad el Kabbaj, qui ont tâché de condamner les assassinats tout en insistant sur la dissociation de l’islam et du terrorisme, c’est le gros de la sphère salafiste marocaine qui a désavoué le crime d’Imlil.

 



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