La Thaïlande ouverte au monde

L’actualité de la Thaïlande au lendemain d’un attentat plus dévastateur que prévu dans la province de Yala, ce n’est pas seulement un publi-reportage sur ses résidences de villégiature en bord de mer, ce sont aussi ses échanges avec les Etats-Unis et le Cambodge :

http://www.journaldequebec.com/2014/07/26/les-etats-unis-et-la-thailande-sechangent-une-victoire

Sports | Golf

LPGA

Les États-Unis et la Thaïlande s’échangent une victoire

 

Agence QMI

 

Publié le: samedi 26 juillet 2014, 19H29 | Mise à jour: samedi 26 juillet 2014, 19H33

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Photo Rob Carr / AFP

OWINGS MILLS, Maryland – La formation américaine a divisé les honneurs de sa confrontation contre la Thaïlande lors de la troisième journée de l’International Crown de la LPGA, un tournoi se déroulant sous la formule «matchplay», samedi.

Cristie Kerr et Lexi Thompson, des États-Unis, ont d’abord défait Ariya et Moriya Jutanugarn 3 et 2. Paula Creamer et la première golfeuse mondiale Stacy Lewis ont toutefois baissé pavillon par un trou contre Pornanung Phatlum et Onnarin Sattayabanphot.

De leur côté, les Espagnoles ont gagné leurs deux affrontements contre la Taïwan. Carlota Giganda et Azahara Munoz ont facilement battu Yani Tseng et Phoebe Yao 6 et 5. Puis, Belen Mozo et Beatriz Recari sont venues à bout de Candie Kung et Teresa Lu par un trou.

L’Espagne et le Thaïlande se partagent donc la tête du groupe A avec sept points. Les Américaines suivent avec six points, devançant la Taïwan par deux points.

Les Suédoises ont également connu une bonne journée face aux Australiennes. Caroline Hedwall et Anna Nordqvist ont vaincu par cinq trous Minjee Lee et Karrie Webb, avant de voir Pernilla Lindberg et Mikaela Parmlid prendre la mesure de Katherine Kirk et Lindsey Wright par sept trous.

Les Japonaises et les Sud-Coréennes ont remporté une partie chacune, ce qui a permis au Japon de conserver la tête du Groupe B, un point devant les Suédoises. La Corée du Sud occupe le troisième échelon avec six points, soit trois de plus que les Australiennes.

 

http://www.lepetitjournal.com/bangkok/accueil/en-bref/191139-transport-la-thailande-et-le-cambodge-reactivent-leur-liaison-ferroviaire-a-poipet

La Thaïlande ouverte au monde dans Attentats streepjes-blauwBangkok

 

TRANSPORT – La Thaïlande et le Cambodge réactivent leur liaison ferroviaire à Poipet

 

Les autorités thaïlandaises et cambodgiennes ont posé vendredi la première pierre du chantier de réhabilitation d’un pont ferroviaire de 43 mètres qui avait cessé de relier il y a près de 40 ans le Cambodge à la Thaïlande, lors d’une cérémonie officielle organisée dans la ville frontière cambodgienne de Poipet.

Ouverte en 1926, la ligne Khlong Luek-Poipet (Khlong Luek est un quartier de la ville thaïlandaise d’Aranyaprathet connu pour le marché de Rong Klua) avait été fermée en 1975 en raison de la guerre civile qui faisait rage au Cambodge. Puis elle avait été laissée à l’abandon.

Dans le même temps, la société des Chemins de fer thaïlandais a engagé la rénovation de 176 kilomètres de ligne ferroviaire entre Chachoengsao, près de Bangkok, et Aranyaprathet. Ces travaux comprennent la reconstruction des 6 kilomètres de ligne abandonnés entre la gare d’Aranyaprathet et le fameux pont frontalier.

Les responsables espèrent que la réouverture de cette liaison transfrontalière dynamisera le tourisme et le commerce dans les deux royaumes et qu’elle permettra aux deux provinces limitrophes de Sa Keo (Thaïlande) et Banteay Meanchey (Cambodge) de devenir des pôles logistiques lorsque la Communauté économique de l’ASEAN (AEC) sera lancée en fin d’année prochaine.

Les travaux ont été confiés à la société Italian-ThaI Development et la mise en service de la ligne est prévue pour février 2016.

M.C. (http://www.lepetitjournal.com/bangkok) lundi 28 juillet 2014

 dans Politique

INFO-PARTENAIRE – Nouvelles mesures visant les personnes en « overstay »

De nouvelles mesures vont entrer en vigueur concernant les « overstays » pour les personnes qui restent sur le territoire au delà de la durée de validité de leur visa. Ces mesures sont divulguées avant d’être appliquées à une date prévue, suivant les dernières informations des officiers de l’immigration, au 29 août prochain, afin notamment que toute personne en « overstay » puisse régulariser sa situation avant de se voir interdire du Royaume
Le ministre de la Défense cambodgien s’envole pour la Thaïlande pour une visite officielle

 

  2014-07-28 17:03:47  xinhua

Le vice-Premier ministre cambodgien et ministre de la Défense, Tea Banh, s’est envolé lundi pour la Thaïlande pour une visite de deux jours qui a pour objectif de renforcer les relations et la coopération bilatérales.

Tea Banh est accompagné par le général Meas Sophea, commandant adjoint des Forces armées royales cambodgiennes, l’amiral Tea Vinh, commandant de la Marine royale, et le général Soeung Samnang, commandant des Forces aériennes cambodgiennes.

Lors de la visite, il rencontra le commandant en chef de l’armée thaïlandaise, le général Prayuth Chan-ocha, qui est également chef du Conseil national pour la paix et l’ordre, le commandant suprême Tanasak Patimapragorn et le secrétaire permanent du ministère de la Défense, le général Surasak Karnchanarat.

« La visite vise à renforcer davantage les relations et la coopération bilatérales, en particulier pour renforcer la sécurité et réduire la criminalité transfrontalière », a déclaré le ministre aux journalistes à l’aéroport international de Phnom Penh avant de s’envoler pour Bangkok.



Thaïlande : le pays du sourire dans Google Actualités

Un attentat à la voiture piégée devant un hôtel bondé de touristes, ce n’est pas bon pour les affaires…

Le rappel à l’ordre est immédiat dans Google Actualités.

 

http://www.la-croix.com/Actualite/Monde/Thailande-trois-morts-dans-l-explosion-d-une-bombe-dans-le-sud-2014-07-25-1183955

Thaïlande: trois morts dans l’explosion d’une bombe dans le sud

25/7/14 – 12 H 40 – Mis à jour le 25/7/14 – 15 H 10

Des secouristes tentent d'éteindre un incendie après l'explosion d'une bombe à Betong, le 25 juil...

AFP

Des secouristes tentent d’éteindre un incendie après l’explosion d’une bombe à Betong, le 25 juillet 2014

 

 

Trois personnes ont été tuées et plus de trente autres blessées dans l’explosion d’une voiture piégée vendredi devant un hôtel dans l’extrême sud de la Thaïlande secoué depuis dix ans par une insurrection, a annoncé la police.

« Une voiture piégée a explosé devant l’hôtel Holiday Hill » de Betong, dans la province de Yala, vers 16H00 (09H00 GMT), a précisé à l’AFP le lieutenant-colonel Sophon Saisuree, chef adjoint de la police de cette ville à la frontière malaisienne.

Trois personnes sont mortes et 36 ont été blessées, dont trois sont dans un état critique, a-t-il ajouté.

Les images du lieu de l’explosion montraient une épaisse fumée noire au-dessus d’une rue jonchée de débris où des pompiers tentaient d’éteindre un incendie. Des policiers inspectaient les restes de ce qui semblait être le véhicule piégé, presque entièrement détruit.

Plus de 6.100 personnes ont été tuées depuis le début en 2004 de la rébellion séparatiste dans cette région majoritairement musulmane rattachée à la Malaisie jusqu’au début du XXe siècle.

Les insurgés musulmans se rebellent contre ce qu’ils vivent comme une discrimination à l’encontre de la population d’ethnie malaise et de religion musulmane dans un pays essentiellement bouddhiste.

La majorité des victimes de ce conflit complexe, brutal et localisé sont des civils, pris entre l’armée thaïlandaise et une nébuleuse de groupes rebelles mal connue.

Des négociations de paix avaient été entamées en 2013 entre des rebelles, qui réclament un certain degré d’autonomie, et les autorités thaïlandaises, sans pour autant faire diminuer les violences.

Ces discussions ont été largement entravées par la crise politique qui a secoué le royaume pendant des mois, avant le coup d’Etat du général Prayut Chan-O-Cha le 22 mai.

La police a indiqué avoir été placée en état d’alerte en prévision de possibles violences à la fin du mois sacré du ramadan. Mais malgré cette vigilance, les autorités ont reconnu avoir été surprises par l’ampleur de cet attentat.

« Nous ne nous attendions pas à des violences pouvant causer des dommages pareils à Betang », a commenté le colonel Banphot Phunphian, porte-parole du Commandement interne des opérations de sécurité (ISOC), unité de l’armée chargée de la sécurité intérieure.

« Ce sont les trois derniers jours du ramadan, alors le général Prayut nous avait ordonné de surveiller de près la situation » dans le sud, a-t-il indiqué à la presse.

AFP

 

http://www.thailande-fr.com/immobilier/31116-appartements-villegiature-en-bord-mer-en-thailande

Thaïlande : le pays du sourire dans Google Actualités dans Attentats
Appartements de villégiature en bord de mer en Thaïlande

 

Appartements de villégiature en bord de mer en Thaïlande

 

Publié par : Company Vauban 26 juillet 2014 dans Immobilier

Le Royaume de  Thaïlande est une destination aux facettes multiples. Sa culture, la diversité des paysages, le sens de l’hospitalité, ses infrastructures, attirent chaque année un nombre croissant de touristes, 26,5 millions en 2013.

Plus de 60% des touristes se rendent en Thaïlande de manière régulière. De plus en plus songent à y investir pour les vacances, voire pour leur retraite. Ils profiteront de leur bien immobilier pendant leur séjour en Thaïlande et pourront générer des revenus intéressants en le louant en leur absence, de quoi amortir les charges annuelles, s’offrir de belles vacances en Thaïlande et préparer une retraite dorée au soleil.

Les agences Company Vauban, acteur immobilier de référence en Thaïlande, vous présentent une sélection d’appartements dans des résidences de villégiature en bord de mer.

pattaya-northbeach-1Pattaya

Composée de 209 appartements aux intérieurs biens agencés et aux surfaces optimisées, North Beach est une résidence haut de gamme située à 50 mètres de la plage et à 2 minutes du centre-ville de Pattaya.

La résidence se différencie avec son entrée luxueuse, sa piscine et salle de sport sur le toit, ainsi que ses prestations générales de grandes qualités qui vous feront vivre la vie de palace dans l’un des appartements de type 1 ou 2 chambres, allant de 34m² à plus de 120m².

La qualité de son emplacement et de ses finitions permettent à cette résidence de se distinguer tout en proposant des prix attractifs débutant à 102 159€.

Samui

samui-chawengnoi-condo-8ChawengNoi Appartements est une résidence composée de 65 appartements modernes allant du studio, 1 chambre et 2 chambres à partir de 94 432€. Située sur la colline de Chaweng Noi, la résidence offre un accès facile vers le centre de Chaweng.

Cette résidence se distingue par son architecture, la qualité des intérieurs, et ses services de qualité. Une piscine de 30m de long sur le toit permet de se détendre tout en profitant d’une vue panoramique, tout comme du solarium et de la salle de sport.

Le restaurant permet de se restaurer sur place.

Doté d’un service de gestion locative, la résidence offre la possibilité de louer votre bien en votre absence et de s’occuper de la gestion.

Hua Hin

hh-miracle-1La résidence de Hua Hin Seaside Resort vous propose des appartements et villas allant de 29m² à 380m² avec une situation géographique, et un concept unique. Située à 100 mètres de la plage et à 10 minutes du centre-ville, Hua Hin Seaside Resort est construite sur 7 hectares et vous offre les qualités d’une résidence 3.5 étoiles à partir de 47 727€.

Ses infrastructures et services de hautes qualités vous surprendrons avec une plage artificielle, des jardins tropicaux, une piscine et bien d’autres installations.

Phuket

Située sur phuket-rawai-beach-11la côte Est de Phuket, La résidence Rawai Beachfront, construite sur plus de 8000 m², jouit d’un emplacement exceptionnel en front de mer, avec plus de 50 m de plages.

L’accès à la plage permet de profiter du cadre idyllique de Phuket et de se rendre facilement sur les petites îles paradisiaques accessibles en quelques minutes en bateaux.

L’architecture de la résidence permet à plus de 90% des unités de disposer d’une vue soit sur les jardins, piscines, ou mer avec des appartements et villas allant du studio au 2 chambres.

Parmi les services notons 3 grandes piscines, un décor tropical avec jardins et tout ce qui constitue un standard pour les hôtels 4 étoiles (réception, concierge, sécurité, restaurants, etc.), pour un budget à partir de 60 250€.

Gérée par Best Western, une société de gestion hôtelière mondialement connue, la résidence offre à la fois confort de vie pour les résidents qui profiteront des services d’un hôtel 4 étoiles, et une opportunité d’investissement avec des rendements locatifs pouvant atteindre plus de 10%.

Pour plus d’information sur l’une de ces résidences, une sélection perosnnalisée, merci de vous rendre sur le site de Company Vauban : http://www.companyvauban.com/fr ou de contacter l’une de des agences Company Vauban.

Note : cet article a été publié par notre partenaire Company Vauban et ne reflète pas nécessairement la position ou les opinions de thailandefr.

Les plus lus



Thaïlande : attentat à la voiture piégée devant un hôtel dans le sud du pays

Visiblement, le pseudonymé Homere de la bande de Cyprien Luraghi tenait absolument à se rappeler à mon bon souvenir en cliquant comme un fou sur un article de mon blog depuis vendredi soir. Il s’est calmé depuis que j’ai commencé à en parler.

L’actualité de vendredi pour ce qui le concerne, c’est comme toujours l’évolution des procédures qui nous opposent, mais aussi, dans la foulée de l’approbation par le roi de Thaïlande d’une Constitution intérimaire proposée par le chef de la junte au pouvoir depuis le coup d’Etat du 22 mai dernier, un attentat qui a fait au moins trois morts et une quarantaine de blessés dans le sud du pays :

 

http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2014/07/25/thailande-une-bombe-fait-trois-morts-dans-le-sud-du-pays_4462948_3216.html

Thaïlande : une bombe fait trois morts dans le sud du pays

 

Le Monde.fr avec AFP | 25.07.2014 à 14h50

« Une voiture piégée a explosé devant l'hôtel Holiday » de Betong, dans la province de Yala, vers 16 heures (10 heures à Paris).

 

Trois personnes ont été tuées et plus de 30 autres blessées dans l’explosion d’une voiture piégée, vendredi 25 juillet, devant un hôtel dans l’extrême sud de la Thaïlande secoué depuis dix ans par une insurrection.

 

« Une voiture piégée a explosé devant l’hôtel Holiday » de Betong, dans la province de Yala, vers 16 heures (10 heures à Paris), a précisé à l’AFP le lieutenant-colonel Sophon Saisuree, chef adjoint de la police de cette ville à la frontière malaisienne. Trois personnes sont mortes et 36 ont été blessées, dont trois sont dans un état critique, a-t-il ajouté.

« Nous avons été informés qu’il y aurait des violences dans l’extrême sud vers la fin du ramadan. »

RÉBELLION SÉPARATISTE

Plus de 6 100 personnes, en majorité des civils, ont été tuées depuis le début en 2004 de la rébellion séparatiste dans cette région majoritairement musulmane, rattachée à la Malaisie jusqu’au début du XXe siècle.

Les insurgés musulmans, qui s’en prennent aussi bien aux bouddhistes qu’aux musulmans, se rebellent contre ce qu’ils vivent comme une discrimination à l’encontre de la population d’ethnie malaise et de religion musulmane dans un pays essentiellement bouddhiste.

Des négociations de paix avaient été entamées en 2013 entre des rebelles et les autorités thaïlandaises, sans pour autant faire diminuer les violences. Ces discussions avaient d’autre part été largement entravées par la crise politique qui a secoué le royaume pendant des mois, avant le coup d’Etat du 22 mai.

 

http://french.xinhuanet.com/monde/2014-07/26/c_133511536.htm

Thaïlande : explosion d’une voiture piégée, au moins trois morts

 

Publié le 2014-07-26 à 08:25 | french.xinhuanet.com

BANGKOK, 25 juillet (Xinhua) — Au moins trois personnes ont été tuées et une quarantaine d’autres blessées dans l’explosion d’une voiture piégée vendredi dans la province de Yala, au sud de la Thaïlande.

La province de Yala est ravagée depuis longtemps par des violences séparatistes.

L’explosion s’est produite dans le district de Betong aux environs de 16h40 heure locale, a rapporté le journal The Nation citant la police locale.

La police a précisé que la bombe, qui pesait environ 30 kg, était placée dans une voiture garée devant l’hôtel Holiday Hill.

La zone était bondée de touristes et de résidents au moment de l’explosion. Une enquête a été ouverte.

Depuis janvier 2004, des violences séparatistes éclatent dans le sud profond de la Thaïlande composé de trois provinces musulmanes et d’ethnie Malay – Yala, Pattani et Narathiwat – et de quatre districts de Songkhla.

Les chiffres publiés par l’armée thaïlandaise montrent que ces violences ont fait plus de 5.900 morts et 10.600 blessés au cours des dix dernières années.

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Province_de_Yala

Province de Yala

Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Yala (homonymie).
Thaïlande : attentat à la voiture piégée devant un hôtel dans le sud du pays dans Attentats 19px-Thailande-g%C3%A9o
Cet article est une ébauche concernant la géographie de la Thaïlande.
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Yala
ยะลา
Localisation de la province en Thaïlande.
Localisation de la province en Thaïlande.
Administration
Pays Drapeau de Thaïlande Thaïlande
Capitale Yala
Région Sud
Amphoe 8
Tambon 56
Muban 341
Gouverneur Kritsada Bunrat
2009
ISO 3166-2 95
Démographie
Population 476 019 hab. (2000)
Densité 105 hab./km2
Rang 55e
Géographie
Coordonnées 18px-Geographylogo.svg dans Crime6° 32′ 24″ Nord 101° 16′ 52″ Est
Superficie 452 110 ha = 4 521,1 km2
Rang 48e
modifier Consultez la documentation du modèle

 

Yala (en thaï : ยะลา) est une province (changwat) de Thaïlande.

Elle est située dans le sud du pays. Sa capitale est la ville de Yala.

Histoire

Avec les provinces de Narathiwat et de Pattani, Yala faisait autrefois partie du royaume malais de Patani. Le territoire a été annexé par le Siam dans le cadre d’un traité avec les Anglais en 1909. La majorité des habitants est musulmane, d’origine malaise. Depuis 2004 des mouvements séparatistes sont à l’origine de vagues d’attentats. Le gouvernement thaïlandais a engagé en février 2013 des pourparlers avec les rebelles en proposant à ces provinces un statut de région administrative spéciale1.

Subdivisions

220px-Amphoe_Yala dans Politique

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Carte des amphoe de la province de Yala.

Yala est subdivisée en 8 districts (amphoe) : Ces districts sont eux-mêmes subdivisés en 56 sous-districts (tambon) et 341 villages (muban).

Bibliographie

  • Perret, Daniel, Études sur l’histoire du sultanat de Patani, École Française d’Extrême-Orient, 2005

Notes et références

  1. Courrier international, n°1169 du 28 mars au 3 avril 2013, p.32

Annexes

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Conflit_dans_le_Sud_de_la_Tha%C3%AFlande

Conflit dans le Sud de la Thaïlande

Conflit dans le Sud de la Thaïlande
Régions ethniques de la Thaïlande.

Régions ethniques de la Thaïlande.
Informations générales
Date 2 novembre 2004aujourd’hui9 ans, 8 mois et 25 jours
Lieu Province de Pattani
Issue En cours
Belligérants
Drapeau de Thaïlande Thaïlande Flag of Jihad.svg Jemaah Islamiyah
Flag of Jihad.svg Groupe moudjahid islamique Pattani
Flag of Jihad.svg Mouvement moudjahid Pattani
Flag of Jihad.svg Front national révolutionnaire
Flag of Jihad.svg Mouvement moudjahid islamique Pattani
Flag of Jihad.svg Front de libération national Pattani
Flag of Jihad.svg Organisation de libération unie Pattani
Flag of Jihad.svg Runda Kumpulan Kecil
Commandants
Drapeau de Thaïlande Général Anupong Paochinda
Drapeau de Thaïlande Lieutenant-Général Pichet Wisaijorn
Drapeau de Thaïlande Abhisit Vejjajiva
Flag of Jihad.svg Wan Kadir Che Wan
Pertes
155 soldats tués en 20071,2
~ 500 soldats et policiers, 270 paramilitaires (2011)
1 600 tués
~ 1 500 capturés
Notes
plus de 1 200 civils tués
2 729 civils blessés
modifier Consultez la documentation du modèle

 

Le conflit dans le Sud de la Thaïlande est un conflit séparatiste dans la région de Pattani, dans le Sud majoritairement malais et musulman de la Thaïlande, et a commencé en 2004. La pauvreté a été nommée comme une raison du conflit.

Historique

Le sud de la Thaïlande, particulièrement les provinces de Narathiwat, Pattani, Satun, Songkhla et Yala situées près de la frontière malaisienne regroupent l’essentiel des 5% de musulmans que compte le pays. Pour 4/5e d’entre eux, il s’agit des personnes de langue malaise, les autres parlant le thaï3.

Ces régions rurales et pauvres, passées sous l’autorité du royaume du Siam après la signature du traité anglo-siamois le 10 mars 1909, ont subi une politique d’assimilation forcée de la part du gouvernement de Bangkok dans les années 1960. Depuis ces provinces sont agitées par des mouvements rebelles indépendantistes prônant la reconstitution de l’ancien Royaume de Patani3.

Entre 1976 et 1981, deux mouvements indépendantistes : le Pattani United Liberation Organization (PULO) et le Barisan Revolusi Nasional (BRN) prirent une première fois les armes pour faire connaitre leurs revendications, puis ces mouvements se cantonnèrent par suite au simple activisme politique et à l’extorsion de fonds3.

En 2002, le Premier ministre Thaksin Shinawatra déclare qu’il n’y a pas de « séparatisme, de terroristes mais seulement de vulgaires bandits ». En 2004, il revoit sa position et inscrit la lutte contre les insurgés dans le cadre de la guerre contre le terrorisme. La loi martiale est instaurée dans les régions touchées par l’insurrection (Pattani, Yala et Narathiwat). En réponse aux mesures musclées du chef du gouvernement, la minorité musulmane revendiqua de nouveaux droits et réclama notamment le port du Hijab pour les femmes dans les lieux publics, l’ouverture de mosquées et l’expansion des études islamiques dans les écoles publiques3.

Depuis 2004, les quatre provinces les plus au sud de la Thaïlande, proches de la Malaisie, sont victimes d’une guérilla violente menée entre autres par des groupes terroristes islamistes comme le Pattani Islamic Mujahadeen Movement (ou Gerakan Mujahideen Islam Pattani), qui a déclaré la djihad contre les populations bouddhistes qu’elle souhaite chasser du secteur, et la junte militaire thaïlandaise3. Selon des experts, les insurgés seraient liés au Front Moro islamique de libération (Philippines) et au Mouvement pour un Aceh libre (Indonésie).

Le 3 juin 2006, le chef de l’armée Prayuth Chan-ocha déclare que l’insurrection est financée de l’étranger par les narcotrafiquants et les contrebandiers de pétrole.

Après le coup d’État de septembre 2006, l’insurrection n’a fait que s’intensifier. Malgré le déploiement en 2009 de 30 000 militaires des forces armées royales thaïlandaises dans la région, la violence se poursuit.

En juillet 2010, le bilan humain est estimé à 4 100 tués4. Par ailleurs, un rapport d’un centre de l’OTAN sur le terrorisme relève en 2011, selon les sources publiques, un total de 332 actes terroristes en Thaïlande (8e rang mondial) faisant 292 tués, 660 blessés et 16 personnes enlevées5. Le bilan de 2012 du même organisme s’établit à 185 attaques (9e rang mondial), 171 tués et 674 blessés, pas d’enlèvement signalé6.

En septembre 2013, le bilan est estimé à 5 400 tués. Des attaques continuent alors que des négociations sont en cours en Malaisie7.

En mars 2013, les négociations n’ont pas aboutit et le bilan annoncé est alors d’environ 6 000 morts (dont 171 membre du corps enseignant)8.

Notes et références

  1. (en) Roadside bomb kills 7 Thai soldiers – Asia-Pacific – MSNBC.com [archive]
  2. (en) The Long War Journal [archive]
  3. a, b, c, d et e « Le retour des moines guerriers – La question islamiste en terre bouddhiste » par Rémy Valat [archive]
  4. (fr) Le « Djihad » thaïlandais continue de faire des morts [archive], Romain Mielcarek, 2 juillet 2010
  5. (en)[PDF]« 2011 Annual Terrorism Report » [archive], sur Centre of Excellence Defense Against Terrorism,‎ mars 2012 (consulté le 22 mars 2012)
  6. [PDF](en) « 2012 Annual Terrorism Report » [archive], sur Centre of Excellence Defense Against Terrorism,‎ 2013 (consulté le 23 avril 2014)
  7. Arnaud Dubus, « Thaïlande: semaine noire pour le processus de paix entre gouvernement et séparatistes musulmans » [archive], sur RFI,‎ 14 SEPTEMBRE 2013 (consulté le 14 septembre 2013)
  8. « Thaïlande: une enseignante abattue et brûlée dans le Sud insurrectionnel » [archive], sur BFM TV,‎ 14 mars 2014 (consulté le 23 avril 2014)

Annexes

Sources

Liens internes



Plus de 10000 visites au compteur du Petitcoucou, merci Fuzhou !

Il se produit ce week-end un phénomène assez curieux qui a débuté vendredi en fin de journée et vient, ce dimanche matin, de faire grimper le compteur de visites public de ce blog à plus de 10 000 au total depuis sa création il y a quatre mois et une semaine, c’est-à-dire que ce nombre a quasiment doublé en moins de 48 heures.

Cet afflux soudain de visites concerne un seul et même article, celui-ci, publié le 11 juillet 2014 :

http://petitcoucou.unblog.fr/2014/07/11/affaire-meric-front-de-gauche-et-violation-du-secret-medical/

Par ailleurs, mes statistiques de blog n’en sont pas énormément modifiées.

Certes, les compteurs de visites et hits primaires ont bien fait un bond prodigieux depuis vendredi soir, mais en parallèle, les nombres de visiteurs et visiteurs uniques quotidiens n’augmentent absolument pas.

De plus, le ou les visiteurs en nombre restreint qui s’excitent sur cet article du 11 juillet 2014 proviennent tous de la même localité chinoise, Fuzhou, capitale de la province de Fujian, dans le Sud, au coeur du foyer chinois de la culture du riz.

Cela m’évoque inévitablement les habitudes et le profil très particuliers de celui de mes harceleurs et calomniateurs de la bande de cyberdélinquants du psychopathe Cyprien Luraghi qui répond au pseudonyme de Homere.

Ce Français originaire de l’Hérault réside en Thaïlande où il fait des affaires notamment dans l’hôtellerie et la culture du riz.

Egalement, faisant régulièrement l’apologie du terrorisme d’extrême-gauche dans ses écrits publics, il se revendique bras armé du Nouveau Parti Anticapitaliste en Thaïlande.

Il m’en veut à mort depuis qu’en 2008 j’ai fait connaître à quelques lecteurs du site Rue89 les articles de Ouest France et du Télégramme relatifs aux premières condamnations de l’ancien psychiatre brestois et pédophile Serge Rodallec.

Ce dernier avait disparu de la région brestoise à l’automne 2005, à la suite d’une troisième plainte d’un de ses anciens patients pour viols ou agressions sexuelles.

Il avait été condamné deux fois en première instance en son absence en fin d’année 2007, et ne sera retrouvé qu’en début d’année 2010, en Thaïlande où il s’était exilé et vivait sous un faux nom.

Il a depuis lors vu confirmer ses condamnations de 2007 quatre fois, en première instance en sa présence, et en appel.

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fuzhou

Fuzhou

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Fuzhou
福州
Image illustrative de l'article Fuzhou
Administration
Pays Drapeau de la République populaire de Chine Chine
Province Fujian
Statut administratif Ville-préfecture
Code postal Ville : 3500001
Code aéroport FOC
Indicatif 05911
Démographie
Population 7 115 370 hab.
Densité 593 hab./km2
Géographie
Coordonnées 18px-Geographylogo.svg dans Crime26° 04′ 00″ Nord 119° 18′ 00″ Est
Superficie 1 200 000 ha = 12 000 km2
Divers
PIB total 147,6 milliards de yuans (2005)
PIB par habitant 22 301 yuans (2005)
Localisation

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Fuzhou
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Une vue de Fuzhou

Fuzhou (福州 ; pinyin : Fúzhōu ; EFEO : Fou-Tchéou ; Wade-Giles : Fu-chou) est la capitale de la province chinoise du Fujian. La ville-préfecture comptait, lors du recensement de 2010, 7 115 370 habitants dont 4 408 076 habitants urbains, soit 61.95% de la population totale, tandis que la population rurale était de 2 707 294 habitants, soit 38.05%.

Elle se trouve à l’embouchure du Min Jiang, la principale voie navigable de la province. C’est la grande ville chinoise la plus proche de Taipei, elle en est séparée par le détroit de Formose. Depuis que la ville a été ouverte aux investissements étrangers en 1984, de nombreuses entreprises taïwanaises se sont installées.

La ville doit aux influences océaniques et à son climat subtropical une luxuriante végétation. On y parle le dialecte de Fuzhou du min. Paul Claudel y fut consul de 1899 à 1905 et y écrivit une partie de son œuvre.

Économie

En tant que capitale et centre de distribution des marchandises de la province, Fuzhou est une vitrine pour les échanges commerciaux avec Taïwan. Dès l’établissement de la zone d’expérimentation, 830 projets agricoles représentant un investissement de 930 millions de $US de capitaux étrangers ont été mis en valeur.

La culture des légumes à caractère spécial, celle des légumes pour les plats raffinés et celle des légumes écologiques forment les travaux-clés du développement agricole de Fuzhou. La ferme agricole modèle du détroit Hongkuan à Fuqing et le parc agronomique et écologique moderne Sanhua du Fujian se consacrent à cette culture.

À Fuzhou, il y a beaucoup d’entreprises à capitaux taïwanais qui s’installent dans la zone d’expérimentation.

En 2005, le PIB total a été de 147,6 milliards de yuans, et le PIB par habitant de 22 301 yuans2.

Subdivisions administratives

La ville-préfecture de Fuzhou exerce sa juridiction sur treize subdivisions – cinq districts, deux villes-districts et six xian :

  • le district de Gulou – 鼓楼区 Gǔlóu Qū ;
  • le district de Taijiang – 台江区 Táijiāng Qū ;
  • le district de Cangshan – 仓山区 Cāngshān Qū ;
  • le district de Mawei – 马尾区 Mǎwěi Qū ;
  • le district de Jin’an – 晋安区 Jìn’ān Qū ;
  • la ville de Fuqing – 福清市 Fúqīng Shì ;
  • la ville de Changle – 长乐市 Chánglè Shì ;
  • le xian de Minhou – 闽侯县 Mǐnhòu Xiàn ;
  • le xian de Lianjiang – 连江县 Liánjiāng Xiàn ;
  • le xian de Luoyuan – 罗源县 Luóyuán Xiàn ;
  • le xian de Minqing – 闽清县 Mǐnqīng Xiàn ;
  • le xian de Yongtai – 永泰县 Yǒngtài Xiàn ;
  • le xian de Pingtan – 平潭县 Píngtán Xiàn.

Jumelages

Notes et références

  1. a et b (en) Codes postaux et téléphoniques du Fujian [archive], (en) China Zip Code/ Telephone Code, ChinaTravel [archive]
  2. (en) Market Profiles on Chinese Cities and Provinces [archive] (actualisation 11/2006)

Liens externes

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  • Fuzhou, sur Wikimedia Commons
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Subdivisions de niveau district de la préfecture de Fuzhou

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Subdivisions de niveau préfecture du Fujian



Paul Barril : encore un gendarme chahuté !

 

 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/06/30/97001-20140630FILWWW00078-l-ex-officier-de-gendarmerie-paul-barril-s-est-rendu-apres-negociations.php

L’ex-officier de gendarmerie Paul Barril s’est rendu après négociations

    • Par Le Figaro.fr avec AFP
    • Mis à jour le 30/06/2014 à 09:46
    • Publié le 30/06/2014 à 09:36

L’ex-officier de gendarmerie Paul Barril, qui s’était retranché ce matin dans son domicile d’Antibes, seul et armé, s’est rendu après négociations, a appris l’AFP de source proche de l’enquête.

L’ex-gendarme, ancien numéro 2 du groupe d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) reconverti dans la sécurité dans les années 1980, « s’est rendu dans le calme, sans incident », a-t-on précisé de même source, sans donner plus de détails sur les circonstances et les raisons de son geste.

 

http://www.liberation.fr/societe/2014/06/30/l-ex-officier-de-gendarmerie-paul-barril-retranche-chez-lui-avec-une-arme_1053767

Brève intervention du GIPN chez l »ex-gendarme Paul Barril

 

AFP 30 juin 2014 à 09:06 (Mis à jour : 30 juin 2014 à 14:37)
 

L’ancien numéro 2 du GIGN s’était enfermé dans la matinée à son domicile à Antibes. Affaibli et en «état de délire», il a été hospitalisé.

 

Le GIPN est intervenu lundi matin au Cap d’Antibes dans l’appartement de l’ancien gendarme d’élite Paul Barril, atteint de la maladie de Parkinson, retranché en «état de délire». Les faits se sont produits dans une petite résidence coquette bordée d’une allée de lauriers roses et d’oliviers, où Paul Barril, 68 ans, se trouvait en compagnie de son épouse et de sa belle-mère.

Celle-ci a affirmé avoir alerté les pompiers vers 4h15 lorsque son gendre s’est retrouvé isolé dans une pièce en sous-sol, dans «un état de délire», ont expliqué les gendarmes et la police lors d’une conférence de presse commune. Elle a également fait part aux pompiers de «la tendance suicidaire» de Paul Barril et de la présence d’armes dans l’appartement, ce qui a conduit les pompiers à saisir la police.

Une quinzaine d’hommes du GIPN se sont alors rendus sur place, évacuant les voisins et entamant les négociations avec l’ancien capitaine de gendarmerie «qui a demandé à parler à un gendarme», selon le directeur départemental de la sécurité publique Marcel Authier. «Le fait qu’une personne se retranche dans un état de délire nous suffit pour intervenir. Mais au vu de sa personnalité et de son expertise, nous avons pris encore plus de précautions», a-t-il souligné. «A aucun moment, il ne s’est montré menaçant. Nous n’avons jamais perdu le fil avec lui», a cependant détaillé de son côté Gaël Marchand, commandant du groupement des Alpes-Maritimes.

Après 1 heure 30 de négociations, les hommes du GIPN ont pu pénétrer dans l’appartement, suivi de Gaël Marchand et de l’épouse de Paul Barril. «Nous l’avons trouvé très affaibli, allongé sur le sol, il a tout de suite été pris en charge par le SAMU et les pompiers, puis hospitalisé vers 9 heures. Nous lui avons plus porté secours que maîtrisé», a encore expliqué le patron de la DDSP des Alpes-Maritimes. Un fusil de chasse a par ailleurs été trouvé dans l’appartement.

«Les choses se sont terminées naturellement, tout va bien», s’est félicitée l’avocate de Barril, Sophie Jonquet, expliquant à l’AFP que «la présence d’armes» constatée par les pompiers, avait «déclenché une espèce de « tsunami policier »». «C’est un enchaînement malheureux», a-t-elle conclu.

Atteint de la maladie de Parkinson, Paul Barril avait confié à l’AFP en mars être placé sous traitement médical lourd. «Je ne me laisserai pas mettre sur une chaise roulante, j’arrêterai la machine avant», avait-il affirmé. Son nom est directement associé à celui du GIGN (Groupement d’intervention de la gendarmerie nationale), qu’il avait co-fondé en 1974 et dont il fut le numéro 2 derrière Christian Prouteau, avant d’en prendre la direction en 1982, remplaçant Prouteau, parti à l’Elysée créer la cellule anti-terroriste.

Une aura ternie par des affaires

Son aura a cependant été ternie à l’occasion de deux affaires du premier septennat de François Mitterand : celle des Irlandais de Vincennes et des écoutes illégales de l’Elysée. Dans la première, il a été accusé par l’un de ses informateurs d’avoir déposé des armes au domicile de ces «faux terroristes». Il n’a toutefois jamais été poursuivi. La seconde lui a valu, en 2005, une condamnation à une peine de 6 mois de sursis, confirmée en cassation en 2008.

Grièvement blessé à l’entraînement en 1983, Paul Barril quitte le GIGN et à sa demande, est mis en disponibilité de la gendarmerie pour 5 ans. Il se reconvertit alors dans la sécurité privée et le conseil à différents chefs d’États, notamment en Afrique, et plus particulièrement au Rwanda, où son rôle pendant le génocide de 1994 reste très controversé. Il a ainsi été entendu à plusieurs reprises par un juge dans l’enquête française sur l’attentat d’avril 1994 contre l’avion du président rwandais Juvénal Habyarimana, déclencheur du génocide. En avril 2014, des ONG ont demandé au juge parisien instruisant leur plainte sa mise en examen pour complicité de génocide.

Il a par ailleurs passé un mois en prison à Marseille début 2008 dans l’affaire du cercle de jeux parisien Concorde, avant d’être remis en liberté contre le versement d’une caution. Absent lors de son procès, il a été relaxé en septembre 2013.

AFP

 

http://www.nicematin.com/derniere-minute/me-jonquet-avocate-de-paul-barril-cest-une-histoire-de-dingue.1804746.html

Me Jonquet, avocate de Paul Barril: « C’est une histoire de dingue ! »

 

Publié le lundi 30 juin 2014 à 12h18
Paul Barril
Photo AFP

 

« C’est une histoire de dingue ! Un quiproquo », insiste Me Sophie Jonquet, l’avocate de Paul Barril qui se trouvait sur place ce matin. 

« La maladie dont souffre Paul Barril, explique-t-elle, lui provoque de très forte douleurs. Il a pris trop de médicaments et ses proches, sa compagne et sa belle-mère, ont un peu paniqué. Elles ont appelé les pompiers qui leur ont demandé s’il y avait des armes à la maison. »

« Tout s’est alors enchaîné très vite. La police a été prévenue. Et lorsque Paul Barril a vu arriver le GIPN c’est lui qui, j’imagine, a paniqué. Il a refusé de sortir. Mais la pression est retombée lorsque tout le monde s’est rendu compte qu’il s’agissait d’un quiproquo. Mon client est d’ailleurs parti en ambulance. Cette histoire n’a rien à voir avec une quelconque affaire judiciaire », insiste Me Sophie Jonquet.

>>Lire aussi: Paul Barril interpellé après un imbroglio avec les secours

 

http://www.decitre.fr/livres/le-capitaine-barril-brise-le-silence-9782864772781.html

Le capitaine Barril brise le silence – La tragédie du Ruanda

Note moyenne : 0 | 0 note
  • Picollec

  • Broché

  • Paru le : 26/05/2014
Il y a 20 ans, le Rwanda fut ravagé par un massacre exterminant plus d’un million de ses habitants. Grâce à une propagande habile, au conformisme des médias occidentaux et au poids des lobbies anglo-saxons, le vainqueur, Paul Kagamé, fit gober à l’opinion internationale que ce fût un génocide anti-tutsis commis par ces « affreux » hutus. Paul Barril, ancien du GIGN de François Mitterrand était le conseiller depuis plus de six ans, avant cette tragédie, du président (hutu) du Rwanda.
Il ouvre ses dossiers, brise le silence, montre que les massacres avaient commencé bien avant avril 1994, que les exterminateurs, n’étaient pas uniquement hutus. Pourquoi les juges qui essayent réellement de connaître la vérité tels Bruguière ou Carla del Ponte furent écartés des procédures ? Pourquoi et qui ont fustigé les soldats français de l’Opération Turquoise mandatée par l’ONU ? Quels étaient leurs intérêts ? Pourquoi ceux qui veulent révéler la vérité sont traités de révisionnistes voire de négationnistes ? Un tel livre est sain car il essaye de ne pas radoter mais combattre bobards, mensonges et manipulations.
En annexes sont reproduits plus de vingt documents souvent confidentiels.

Fiche technique : Le capitaine Barril brise le silence

  • Date de parution : 26/05/14
  • Editeur : Picollec
  • ISBN : 978-2-86477-278-1
  • EAN : 9782864772781
  • Présentation : Broché
  • Nb. de pages : 300 pages
22,00 € -5% 20,90 €
Paul Barril : encore un gendarme chahuté ! dans Attentats

 

http://afrikarabia.com/wordpress/rwanda-les-revelations-du-capitaine-barril-font-long-feu/

Rwanda : les « révélations » du capitaine Barril font long feu

 

26 mai 2014
par Christophe RIGAUD

 

Annoncé comme explosif de mois en mois depuis février 2014, l’ouvrage du chef mercenaire devait paraître le 26 mai. Sa diffusion est de nouveau reportée, peut-être au 10 juin.

C’est à sa façon un petit monstre du Loch Ness : on en parle d’autant plus que personne ne le voit. Le livre « explosif » promis par  les Editions Jean Picollec, « Le capitaine Barril brise le silence, la tragédie du Rwanda, ses origines, ses coupables » est affiché depuis des semaines sur les grands sites de vente en ligne, Amazon, la FNAC… Après plusieurs reports, il était annoncé en librairie pour le lundi 26 mai 2014. Mais le texte semble poser problème aux avocats dont s’entoure Paul Barril. La pénultième version du manuscrit a-t-elle été jugée inadéquate ? L’ancien chef du GIGN devenu chef mercenaire a publié dans le passé quatre livres où il ne s’embarrassait pas de nuances. Dans « Guerres secrètes à l’Elysée », il accusait par exemple François Mitterrand d’avoir fait assassiner son conseiller spécial François de Grossouvre, tout en établissant un lien entre cet assassinat et l’attentat contre l’avion du président rwandais Juvénal Habyarimana, le 6 avril 1994 – attentat qui servit de signal au génocide des Tutsi. Mais depuis qu’une information judiciaire a été ouverte contre lui par le Parquet de Paris pour complicité de génocide au Rwanda, Paul Barril semble voué aux formulations alambiquées.

Ces dernières semaines, le chef mercenaire n’en a pas moins fait la promotion de son livre fantôme : « Si Paul Kagame s’en prend à la France pour les commémorations du 20e anniversaire du génocide rwandais, c’est qu’il est au courant de la sortie de mon livre. C’est un président très affaibli, lâché par les Tutsi. Il sait que plusieurs de ses anciens proches collaborateurs, aujourd’hui en exil, me rencontrent. »

A quoi joue exactement Paul Barril, lui-même désormais visé par deux instructions liées au génocide des Tutsi du Rwanda en 1994 ? Depuis vingt ans, il répète, avec chaque fois plus de conviction dans la voix et de moins en moins de vraisemblance, que Paul Kagame est l’instigateur de l’attentat qui a coûté la vie, le 6 avril 1994, au président rwandais Juvénal Habyarimana, qui avait fini par s’opposer au scénario du génocide-éclair. Le refrain négationniste bien connu.

Du contenu du livre on ne connaît que l’étonnant résumé de l’éditeur. Il commence par cette phrase : « Il y a 20 ans, le Rwanda fut ravagé par un massacre exterminant plus d’un million de ses habitants ». Paul Barril, d’un coup de baguette magique, veut priver ce « massacre » de coupables, une posture caractéristique des négationnistes. Le résumé poursuit : « Grâce à une propagande habile, au conformisme des médias occidentaux et au poids des lobbies anglo-saxons, le vainqueur, Paul Kagamé, fit gober à l’opinion internationale que ce fût un génocide anti-tutsis commis par ces « affreux » hutus ». On comprend mieux pourquoi le chef mercenaire peine à signer le « bon à tirer » de  ses roublardises. Il annone sa thèse d’une voix chevrotante sur les plateaux de télévision qui acceptent de le recevoir.

« Pourquoi ceux qui veulent révéler la vérité sont traités de révisionnistes voire de négationnistes ? », résume encore l’éditeur. Pourquoi ? Pas la peine d’insister : on a déjà compris que la démonstration sera grossière, comme le fut l’instruction du juge Jean-Louis Bruguière, trafiquée par Paul Barril et son acolyte Fabien Singaye.

Les Editions Jean Picollec affirment encore que  « un tel livre est sain car il essaye de ne pas radoter mais combattre bobards, mensonges et manipulations ». La formule est singulièrement éclairante pour qui a suivi l’interview de Paul Barril par le journaliste Marc Perelman, enregistrée le 26 mars 2014 par France 24. « Ces jours-ci sort un livre titré Le capitaine Barril brise le silence , la tragédie du Rwanda, ses origines, ses coupables », annonçait Marc Perelman. Deux mois après « ces jours –ci », la bombe promise a pris l’aspect d’un pétard mouillé.

Jean-François DUPAQUIER

 dans Crime
A propos de l’auteur

Journaliste, réalisateur de documentaires TV. Anime depuis 2007 le site AFRIKARABIA consacré à la République démocratique du Congo (RDC)

 

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/06/30/01016-20140630ARTFIG00107-barril-le-capitaine-megalomane.php

Barril, le capitaine mégalomane

    • Par Jean-Marc Leclerc
    • Mis à jour le 30/06/2014 à 15:49
    • Publié le 30/06/2014 à 10:26
 

Ancien numéro 2 du GIGN et «gendarme de Mitterrand», ce fougueux capitaine de 68 ans aux liaisons troubles est décrit comme un «personnage de roman» par ses anciens collègues.

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Le capitaine Barril est-il définitivement un soldat perdu? L’homme qui s’est brièvement retranché, armé, chez lui à Antibes (Alpes-Maritimes) fut longtemps le «gendarme de Mitterrand» avec son chef, le commandant Prouteau. Sa carrière fut d’abord auréolée de gloire. Commandant en second du GIGN de 1978 à 1980, ce militaire aux yeux bleus, voix zozotante et gâchette facile, se targue, dans sa biographie, d’avoir «arrêté 115 personnes, participé à la reddition de 61 forcenés, neutralisé à mains nues 17 individus armés, libéré plus de 450 otages».

Si l’on ne peut lui dénier «un grand courage dans l’action», dit de lui l’un de ses vieux compagnons de route, Paul Barril avait aussi «une forme de naïveté qui le poussait à accepter des missions inacceptables et à jouer trop souvent les boy scouts».

Premier dérapage: la prise d’otages de la Mecque en 1979, où l’équipe du GIGN envoyée à la Grande Mosquée règle la situation de façon dramatique, gazant des dizaines de personnes qui mourront asphyxiées, aussi bien les otages que les terroristes.

En 1982, après l’attentat de la rue Marbeuf à Paris, Barril crée avec Prouteau la cellule antiterroriste de l’Elysée. Elle s’illustrera très vite par des actes de mercenariat, s’affranchissant de tout cadre légal. En 1985, par exemple, les gendarmes de Mitterrand, pensant faire la leçon à la police républicaine en matière antiterroriste, finissent par placer des armes et des explosifs dans l’appartement d’autonomistes irlandais, à Vincennes, pour les faire accuser de préparation d’attentat.

Parallèlement, cette cellule incontrôlable n’aura de cesse de tenter de protéger la vie secrète de François Mitterrand, et notamment sa fille, Mazarine, plaçant sur écoutes des milliers de personnes. Sans parler de l’affaire de «plombiers du conseil supérieur de la magistrature» en 1987, où les gendarmes du président feront tout pour empêcher la police des polices d’enquêter sur leur turpitudes.

Rôle controversé au Rwanda et passage en prison

Rattrapé par la justice pour ses frasques, Paul Barril va prendre du champ et se lancer dans la sécurité privée, notamment en Afrique. Il intrigue partout où des conflits se nouent. Au Rwanda, son rôle, via sa société Secrets, est sujet à controverse.

Le juge antiterroriste Marc Trévidic, à Paris, a perquisitionné chez lui dans le cadre de l’attentat du 6 avril 1994 contre le président du Rwanda. Il fait l’objet d’une plainte pour «complicité de génocide» depuis le 25 juin 2013, suspecté d’avoir fourni des armes aux belligérants hutus dans le drame du Rwanda. Les magistrats ont ouvert une information judiciaire sur ces faits.

Paul Barril a également connu la prison aux Baumettes, en préventive, après sa mise en examen pour «association de malfaiteurs» en vue de la commission d’extorsion en bande organisée, d’assassinat et de corruption, dans le cadre de l’affaire du cercle de jeu parisien Concorde. Il en était sorti le 24 janvier 2008, puis fut relaxé en 2013 par le tribunal correctionnel de Marseille.

Rien n’a suffi à calmer ce fougueux capitaine de 68 ans, dont la gendarmerie ne met plus guère le nom en avant, tant son parcours dérange. Un policier qui l’a longtemps côtoyé l’assure: «Barril est un personnage de roman un brin mytho qui s’imagine qu’il doit mourir les armes à la main». Un «personnage inquiétant», selon lui. Et ce depuis bien longtemps.



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