Décès de l’ancien magistrat brestois François Dresen en août 2015

Je viens de le citer dans cet article :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/07/09/visite-a-brest-de-frederic-mitterrand-le-9-juin-2011/

Je cherche un peu ce qu’il a pu devenir depuis son départ du TGI de Brest et tombe sur l’article ci-dessous d’octobre 2015 par lequel son décès le 14 août 2015 était annoncé.

Parmi les anciens magistrats brestois ayant bien travaillé pour le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, cela en fait déjà trois qui sont décédés bien avant l’âge de départ à la retraite : François Dresen le premier, à 41 ans, Mathilde Boissy peu de temps plus tard, en octobre 2015, à 31 ans, et Raymond André en février 2019 à 59 ans.

Cela commence à faire beaucoup, non ?

 

N.B. : Pour Mathilde Boissy, il s’agit d’un cancer, pour François Dresen, d’une longue maladie non précisée, et pour Raymond André, d’une maladie « foudroyante ».

Les cancers, on sait les provoquer. Les deux décédés de 2015 avaient quitté Brest à l’été 2012 pour la première et à l’été 2013 pour le second. Manifestement, ils sont tombés malades après avoir quitté la mafia brestoise. Aurait-on voulu les faire taire sur les arrière-cuisines du TGI de Brest ?

Pour ce qui est du juge Raymond André, sa maladie « foudroyante » l’a terrassé trois jours après le début de l’affaire de la Ligue du LOL, présentant quand même quelques similitudes avec celle restant à ce jour confidentielle de la bande de tarés du malade mental, pédophile, cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui se disent « déconnologues ». Ces révélations brutales de février 2019 auraient-elles entraîné quelque court-circuit dans l’organisme délicat du juge Raymond André ?

 

 

https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/saint-nazaire-44600/nouveaux-juges-et-hommages-au-tribunal-3756329

Nouveaux juges et hommages au tribunal

 

Deux magistrates arrivent aux affaires familiales et à l’application des peines, qui obtient enfin son deuxième poste.

Hélène Saint-Ramon et Adeline Rousseau (à droite), lors de l'audience d'installation.
Hélène Saint-Ramon et Adeline Rousseau (à droite), lors de l’audience d’installation. |

 

Ouest-France Publié le 09/10/2015 à 03h33

Application des peines

C’est peu de chose de dire que le tribunal de grande instance (TGI) attendait Hélène Saint-Ramon avec impatience. Arrivée voici quelques jours de Fort-de-France, la magistrate d’origine toulousaine prend le poste de vice-présidente chargée de l’application des peines. « Un poste créé en 2013, mais qui restait vacant », a rappelé la procureure, Fabienne Bonnet, se félicitant de voir enfin à Saint-Nazaire, un service de l’application des peines « qui va pouvoir prendre en charge les mesures plus rapidement. » Jusqu’ici, la seule Jap, Armelle Dugardin, faisait avec les moyens du bord et gérait 1 300 mesures par an. « Jap à Saint-Nazaire, c’est 900 sursis avec mise à l’épreuve, une quarantaine de suivis socio-judiciaires, 190 peines de travail d’intérêt général et l’aménagement des peines de moins de deux ans », a noté le président du TGI, Alain Kerhoas.

Affaires familiales

Originaire de Nantes, Adeline Rousseau arrive de l’Orne où elle exerçait la fonction de juge d’instance. Elle devient juge aux affaires familiales, « un contentieux sensible où l’on doit décider de l’autorité parentale, des demandes de compensations financières dans des contextes le plus souvent tendus », a souligné Alain Kerhoas. Elle remplacera Christine Paris partie à Nantes. Avec ces deux arrivées le tribunal de Saint-Nazaire est presque au complet. Sur un effectif de dix-huit magistrats, un seul poste est vacant.

Hommages

Le 14 août dernier, le vice-procureur François Dresen décédait d’une longue maladie. Pendant cette période de vacances, il avait manifesté son émotion dans l’intimité professionnelle et familiale. Hier, le président a salué « un magistrat très apprécié, qui avait montré un acharnement à vivre et à travailler malgré la maladie. » Il était arrivé à Saint-Nazaire après une carrière à Coutances, Guingamp et Brest. Fabienne Bonnet, procureure, garde en mémoire « un homme de grande valeur, efficace, mesuré, simple et humain. »

Le tribunal a également salué le départ en retraite de François Dai, n « qui devrait revenir en tant que juge de proximité. »

 

 

https://www.letelegramme.fr/local/finistere-nord/brest/ville/justice-l-oeil-lucide-de-francois-dresen-sur-la-ville-27-07-2013-2185289.php

Justice. L’oeil lucide de François Dresen sur la ville

 

Publié le 27 juillet 2013 à 00h00

François Dresen quitte le siège du parquet qu'il a occupé pendant un peu plus de deux ans.

François Dresen quitte le siège du parquet qu’il a occupé pendant un peu plus de deux ans.

 

Le substitut du procureur François Dresen quittera, dans les jours à venir, la juridiction brestoise. Après plus de deux ans passés dans la cité du Ponant, cet ex-étudiant de l’UBO livre son sentiment sur une ville qu’il connaît bien.

 

Il avait quitté la ville au milieu des années 90, en simple étudiant, après avoir sacrifié sa thèse de droit pénal sur l’autel de sa réussite au concours d’entrée de l’école de la magistrature. Il la requitte, quelque 20 ans plus tard, après avoir occupé l’un des sièges du parquet pendant un peu plus de deux ans. « Ce poste nous fait découvrir des côtés plus sombres de la cité, admet-il illico, des trucs que nous n’avions pas vus lorsque nous étions étudiants et que finalement, nous traînions surtout dans le centre-ville ». François Dresen a ainsi vu la « ghettoïsation » de certains quartiers de Brest comme Pontanézen, Bellevue et, plus récemment, Kérourien. « Ponta, c’est moins net depuis les travaux de rénovation. N’empêche : il reste encore, là-bas, certains de nos clients habituels qui empêchent la quiétude de tous les autres habitants », précise le parquettier qui s’inquiète davantage de la montée en puissance des infractions à Kérourien pendant son exercice brestois. « Au risque d’être péjoratif, il y a, dans ce quartier, une poignée de perturbateurs mineurs qui se comporte en racaille. Quand on les déferre, ils ne semblent même pas avoir conscience de la gravité de leurs actes », peste François Dresen qui dit que son successeur ne lâchera pas l’affaire.

Opposant à la carte judiciaire

Lui, pendant ce temps-là, exercera ses talents dans un autre port de la façade maritime, à Saint-Nazaire, qui convient mieux à sa vie de famille. Et puis, « je suis arrivé à Brest à la suite de la fusion des tribunaux en provenance de Guingamp. À l’époque, on nous avait dit que nous pourrions progresser dans notre carrière sur place. Les promesses n’engageant que ceux qui les croient », ironise celui qui ne pense « que du mal » de la réorganisation de la carte judiciaire. « Notre territoire est tellement vaste que je n’ai même pas eu le temps de faire le tour complet des brigades de gendarmerie. De façon plus générale, l’évidence est que quand la justice du quotidien est concentrée sur une seule ville, elle dessert le justiciable », estime le magistrat.

Magistrat en prise directe

Laissant derrière lui « un ou deux dossiers d’instruction », le sentiment que l’alcool ne fait pas plus de ravage ici qu’ailleurs mais que le Brestois « a la culture du surin » et que les jeudis arrosés sont souvent fatals « aux portières des Twingo des villes », François Dresen dit quitter une cité « agréable à vivre, qui s’est beaucoup améliorée et qui bénéficie indubitablement du tram ». Une ville « dont nous avons bien profité, avec une recommandation chaleureuse pour la Taverne Saint-Martin, ses bières maison et ses patrons ». Une agglomération où seulement « 150 majeurs et 50 mineurs forment la population pénale d’habitude », ceux qui nourrissent le quotidien des magistrats « en prise directe avec la vie de la collectivité », défendant « la notion d’ordre public au sens noble du terme », comme le fut, l’est et le sera François Dresen.

 



Visite à Brest de Frédéric Mitterrand le 9 juin 2011

Dans cet article d’hier, je rappelais qu’au printemps 2011 Frédéric Mitterrand était venu à Brest où il n’avait pas mis les pieds depuis au moins trente ans :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/07/07/la-fille-dans-le-cercueil-ou-le-sadisme-du-scorpion/

Pour son arrivée le 9 juin 2011, annoncée seulement la veille, toutes mes plaintes contre le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi avaient bien été classées sans suite, la dernière le 23 mai 2011, sans aucune enquête préalable, et l’avis de classement venait tout juste de m’être envoyé par courrier postal.

Il ne restait plus que la plainte ayant conduit à une audition de Jean-Marc Donnadieu à Béziers le 12 juillet 2011.

Dès le mois de juin 2010, après le début des « révélations » publiques me concernant par le cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi sur ses deux blogs « Ici-Blog » et « Tique Toc », j’avais consulté un avocat pour lui demander de saisir la justice en urgence, mais il partait en vacances sitôt après et ne fera jamais rien durant l’été 2010 alors que les règlements de comptes sanglants avaient certainement déjà commencé. Je ferai donc également le tour des pénalistes brestois les plus connus, mais comme elle l’écrivait publiquement sur les blogs Luraghi, la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, qui continuait à me faire écouter illégalement par ses amis techniciens de chez France Télécom, comme elle l’avait toujours fait depuis des lustres, « contrôlait » toutes mes démarches pour les faire échouer, soit par ses interventions directes auprès des avocats que je consultais, soit par l’intermédiaire de ses complices magistrats ultra corrompus du TGI de Brest, notamment le juge Raymond André.

Lorsqu’ils me recevaient, ces avocats dont je ne connaissais aucun auparavant, soit m’écoutaient un peu, me posaient quelques questions, puis ne donnaient pas suite sans même prendre la peine de m’informer de quoi que ce soit (mépris total pour la « sale pute » de femme ingénieur… dans la ville dite de « l’aristocratie ouvrière », nous sommes vraiment très mal perçues, surtout moi qui ai toujours refusé de plier à n’importe quoi), soit me disaient carrément qu’ils ne prenaient pas le dossier du fait que toutes les inventions calomnieuses que publiait le dénommé Pascal Edouard Cyprien Luraghi concernant mon passé ou ma vie privée n’étaient selon eux que la vérité (cas de Ronan Appéré, qui par ailleurs ne voyait aucun problème dans les viols de l’intimité de la vie privée et toutes les insultes incroyablement ordurières dont j’étais aussi victime, et se fera par la suite remarquer pour son féminisme exacerbé, n’est-ce pas, puisqu’il a lui-même été poursuivi et condamné en 2019 pour avoir copieusement insulté puis violenté une femme), alors que tout était bien archi faux, hautement calomnieux, de surcroît destiné à provoquer de très nombreux crimes, et même, à terme, la révolution communiste devant instaurer en France un régime de type soviétique. L’un de ces avocats m’avait même demandé de laisser le génial « écrivain » Pascal Edouard Cyprien Luraghi rédiger et publier tranquillement ma « biographie ». Je le dérangeais en le contredisant systématiquement sur tous les chapitres de sa version de cette « biographie », ce n’était pas bien, il fallait arrêter et surtout pas aller de plus déposer plainte. Je m’apercevrai par la suite que cet avocat était associé à un pédophile s’étant jadis fait prendre en flagrant délit en Thaïlande, où résidait l’un des chefs de la bande Luraghi, le dénommé Georges Cortez originaire de l’Hérault, hôtelier, qui sous le pseudonyme de « Homere » faisait régulièrement l’apologie du terrorisme et de la pédophile, tout comme le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, et se revendiquait de plus bras armé du NPA en Thaïlande (il a aussi revendiqué publiquement les attentats islamistes de janvier 2015 à Paris).

Je n’obtiendrai ainsi jamais rien avant début novembre 2010. Un premier avocat aurait alors déposé une première plainte en mon nom. Problème : celle-ci n’a jamais été enregistrée par le Parquet de Brest et je n’en ai jamais vu aucune trace nulle part.

Cela permettra à la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest de se présenter comme la première plaignante dans cette affaire, le 26 novembre 2010. Elle prétendait alors avoir été avertie au cours de l’été 2010 par un membre de sa famille qu’elle était diffamée sur un blog dénommé « Un petit coucou » dont j’étais l’auteur anonyme, précisait qu’elle avait déjà eu connaissance de ce blog mais ne s’en était pas vraiment inquiétée, et qu’après avoir été informée au cours de l’été 2010 qu’elle y était diffamée, elle était allée le consulter et avait vu qu’elle y était nommée et accusée de nombreux méfaits. En réalité, elle participait très activement aux campagnes de calomnies publiques de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre depuis juin 2010, en apparaissant même comme l’unique source de « renseignements » ou inventions calomnieuses concernant mon passé et ma vie privée, venait aussi, tout comme lui et plusieurs autres membres de sa bande de cybercriminels, me harceler directement sur ce blog, et pour finir, déposait donc plainte à raison des droits de réponse que j’avais commencé à publier pour rétablir quelque peu la vérité sur moi-même. La criminelle n’admettait pas d’être contredite quand elle me présentait mensongèrement, pour faire court, comme une prostituée débile mentale et folle à lier. Elle continuait à mentir éhontément et ne voyait pas non plus de problème à révéler au public mon identité (obtenue grâce à des piratages informatiques dès mon inscription sur le site Rue89 au mois de décembre 2007), ainsi que toutes mes coordonnées et celles de mes proches, avec de récurrents appels au meurtre à notre encontre.

Convoquée par la police pour m’expliquer sur sa dénonciation le 7 décembre 2010, je déposerai plainte en réplique à cette date, ce qui provoquera dès le lendemain une nouvelle salve d’attaques et menaces publiques délirantes à mon encontre de la part du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, furieux de ce dépôt de plainte du 7 décembre 2010 dont il avait déjà connaissance. D’où, de ma part, une nouvelle plainte sur laquelle il sera entendu le 14 mars 2011.

Cette dernière plainte ayant été classée sans suite le 6 avril 2011 avec un motif totalement incompréhensible, j’en avais déposé une autre le 19 avril 2011 avec de nouveaux éléments ainsi que les témoignages d’autres victimes, mais désormais toutes mes plaintes étaient jetées sans la moindre considération dans un carton poubelle à mon nom marqué « plaignante d’habitude » – décision du substitut François Dresen, une petite merde issue de la fac de droit de Brest et qui savait donc depuis très longtemps, tout comme les autres magistrats brestois, que j’étais la « sale pute » de femme ingénieur qui dans les années 1990 avait toujours refusé de commettre des crimes et délits contre la Nation pour le compte de trafiquants d’armes extrêmement bien perçus dans la magistrature, surtout à Brest.

Le pédophile, trafiquant de drogue, cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi communiquait directement avec lui et annonçait publiquement sur son blog les classements sans suite de mes plaintes à peine ceux-ci signés et parfois même avant que le magistrat ne les eût formalisés.

Il l’avait fait pour le classement sans suite du 6 avril 2011 en annonçant fièrement à tous ses camarades « déconnologues » que tout avait marché comme sur des roulettes et que désormais ils étaient tranquilles et pouvaient continuer à violer quotidiennement l’intimité de ma vie privée, me calomnier et me harceler autant qu’ils le voulaient sans plus aucun souci.

Son plan, alors qu’en début d’année 2011 il savait que ma plainte de décembre 2010 le visant personnellement était traitée, puisqu’il était en ligne directe avec le magistrat qui en était chargé, avait consisté à publier toute une série de nouveaux articles calomnieux m’étant consacrés et dans lesquels il affectait de « réagir » pour la toute première fois à mes propos publics le concernant et qui n’étaient en fait que des réponses à toutes ses publications calomnieuses, ordurières et extrêmement violentes à mon encontre depuis juin 2010. Il faisait comme si tous ces précédents n’avaient jamais existé.

Le gendarme qui l’avait interrogé le 14 mars 2011 avait bien vu toute cette série d’articles de blog de janvier et février 2011, mais s’était arrêté là. Il n’a jamais consulté aucune des pages de commentaires de son blog, où se trouvait pourtant l’essentiel de ses publications me concernant, celles du quotidien depuis le début. Il devait également consulter le blog Tique Toc, mais n’en a jamais rien fait, se contentant des déclarations du délinquant qui lui affirmait que tout y était correct. Ayant néanmoins constaté l’existence des nouveaux articles de janvier et février 2011, alors qu’il avait entre les mains une plainte de décembre 2010 portant sur de précédents textes, il s’était contenté de demander au délinquant s’il en était bien l’auteur et ne l’a jamais interrogé sur les contenus dont il s’agissait. Le délinquant n’étant nullement tenu de justifier le moindre de ses propos publics me concernant, il ne le fera jamais, se contentant seulement de reconnaître qu’ils n’étaient « pas très sympathiques » à mon égard, et tout le monde fera toujours comme s’il n’avait toujours dit que la vérité sur tout, aussi bien dans ses écrits publics que dans ses déclarations du 14 mars 2011, sans jamais s’interroger sur la provenance de toutes ses allégations très particulières concernant ma vie privée et celles de mes proches, alors qu’il n’était pas censé me connaître, et mes proches, qui eux n’avaient jamais participé à aucun débat public, encore moins que moi.

Et pour ma plainte du 19 avril 2011, comme au préalable j’en avais discuté par courriers électroniques avec les autres victimes qui acceptaient de me fournir leurs témoignages, qu’elles m’avaient aussi communiqués par mails, tandis que le cybercriminel continuait à me pirater avec ses complices, il était parfaitement au courant de ce nouveau dépôt et supprimera tous ses articles de janvier et février 2011 dès le lendemain après avoir vérifié auprès du commissariat de police de Brest que je l’avais bien effectué – c’est en fait une de ses complices qui s’en était chargée, et avait même appelé plusieurs fois le commissariat en se faisant passer pour moi, si bien qu’ensuite une policière avait appelé à mon domicile pour demander si j’allais bien, car ces appels répétés dont j’aurais été l’auteur à propos de ma propre plainte lui paraissaient assez délirants…

A partir de ce printemps 2011, donc, non seulement je deviens une « plaignante d’habitude », mais de plus ma santé mentale est dite « sujette à caution » du fait de ces appels téléphoniques répétés au Commissariat central de police de Brest concernant ma plainte du 19 avril 2011 et dont en réalité je n’ai jamais été l’auteur.

C’en est fini de mes plaintes, avec cette nouvelle faute grave du magistrat : s’il croit vraiment que je suis malade mentale ou en train de craquer, les faits dont je suis victime en sont aggravés et il est encore plus urgent d’y mettre un terme.

Précisons pour ceux qui n’auraient jamais déposé aucune plainte dans un commissariat de police que c’est quand même assez difficile quand on est victime d’une multitude de faits de la part d’un grand nombre de personnes agissant toutes en bande organisée. Les dépositions sont courtes, une page ou deux, il n’est pas possible de tout déclarer ni tout expliquer, et d’ailleurs les policiers restreignent généralement la plainte à un seul fait et un seul mis en cause, deux tout au plus. Ils ne prennent pas non plus tous les justificatifs que l’on voudrait fournir, juste quelques-uns, et parfois même aucun, comme ce fut le cas lors de mon audition pour la confirmation de ma plainte de décembre 2010 contre le dénommé Pascal Edouard Luraghi car, selon la policière, c’était inutile, le gendarme de Puy-l’Evêque allait de toute façon consulter tous les blogs que je citais à la recherche des écrits me concernant, ce qu’il n’a jamais fait.

En outre, le propre des faits de harcèlement est précisément leur répétition ou leur renouvellement perpétuel. Il y en a sans arrêt. Dans certains cas, c’est tous les jours qu’on pourrait déposer de nouvelles plaintes, et ce n’est sûrement pas une seule et première plainte qui peut suffire pour tout arrêter.

C’est donc dans ce cadre-là, bien connu de tous dès le début, que je me retrouve très rapidement catégorisée « plaignante d’habitude » par le magistrat François Dresen, dont en fait il est certain qu’il ne servait que les intérêts de mes harceleurs en relation directe avec eux.

Aussi, à compter du 20 mai 2011, le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, déjà assuré de cette issue de ma dernière plainte contre lui, s’était mis à hacker comme un fou sous le pseudonyme de SaMo_Dz (il est en effet le pirate des préfectures de cette année-là et avait choisi pour sévir contre l’Etat la date du 24 juillet car c’était l’anniversaire des dix ans de son ancien « Site à Cyp », tout comme en 2016 il avait bien prévu de faire commettre par ses esclaves islamistes l’attentat du 26 juillet à cette même date, soit pour la messe du dimanche 24 juillet 2016, et cette année encore il risque de frapper à cette même date).

Puis, le 25 mai 2011, il avait publié un article de blog par lequel il indiquait à son public avoir décidé de fermer définitivement son atelier de dépannage informatique pour ne plus se consacrer qu’à l’écriture de son « bouquin » me concernant et précisait dans les commentaires sur cet article qu’il avait reçu à cet effet une somme d’argent assez conséquente pour le dispenser de travailler jusqu’à la fin de ses jours.

En voici une copie :

 

Visite à Brest de Frédéric Mitterrand le 9 juin 2011 dans AC ! Brest 2011%2005%2025%20-%20'Chez%20Cyprien%20Luraghi%20%E2%88%92%20En%20ligne%20et%20%C3%A0%20l'%C5%93il%20depuis%202001'%20-%20icyp.fr

 

 

Dans la foulée sera annoncée le 8 juin 2011 une visite surprise de Frédéric Mitterrand à Brest le lendemain.

J’en avais été tellement choquée que j’avais alors publié l’article ci-dessous sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog (cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte) :

 

2011-06-10 Frédéric Mitterrand en visite dans le Finistère - Un petit coucou

 

En effet, le dénommé Georges Cortez me menaçait depuis déjà longtemps des foudres de Frédéric Mitterrand qu’il disait très bien connaître.

De plus, à cette époque, ce dernier était Ministre de la Culture et les conservateurs du patrimoine étaient à l’évidence acquis à leur collègue Alain Pougetoux, « meilleur ami » de Cyprien Luraghi selon ce dernier, en tous les cas assez pour lui avoir acheté et offert la maison dont il est propriétaire à Puy-l’Evêque depuis 2003.

Ressortons donc la fiche Wikipédia de Frédéric Mitterrand (voir ci-dessous).

Il s’agit encore d’un pur produit de l’école de cul de Paris dont la critique n’est devenue possible que depuis janvier 2021.

Si en 2011, je n’avais pas dit grand-chose, maintenant je ne me gêne donc plus autant pour dire ce qui se passe et souligne encore que le protecteur de mes harceleurs n’est lui non plus vraiment pas du genre à se gêner :

 

Cavalier législatif au profil de LVMH

Alors que la construction de l’immeuble de la Fondation Louis-Vuitton est mise en difficulté, notamment en raison du fait que le bois de Boulogne n’est pas constructible62, Frédéric Mitterrand est soupçonné d’avoir fait usage d’un cavalier législatif pour faire valider par la loi sa construction63.

En janvier 2011 déjà, des riverains avaient aussi exprimé leur mécontentement face à ce projet, faisant annuler le permis du musée LVMH dont les travaux étaient en cours64. Afin que la construction de l’oeuvre soit réalisée malgré les interdictions, et dans le cadre de la deuxième lecture d’une proposition de loi sur le livre numérique, Frédéric Mitterrand propose un amendement sans réel rapport avec le livre numérique en faveur de la construction du musée de la fondation, faisant valoir un objectif culturel évident. Le député Nicolas Alfonsi (RDSE) accuse alors directement le Ministre de la Culture de faire pression dans une affaire judiciaire en cours avec un amendement sans rapport avec l’objet du texte65.

 

Une curiosité à ce tableau : l’intérêt dont il fit montre pour la prochaine inhumation dans l’enceinte du château de Brest de « l’inconnu de Vanikoro », lequel pourrait être l’Abbé Jean-André Mongez, dont je suis parente, et qui à l’égal de tous les autres membres de l’expédition La Pérouse est honoré par cette sépulture.

On rend hommage aux scientifiques du XVIIIème siècle et on assassine ceux d’aujourd’hui pour le bon plaisir d’un pédophile.

 

https://www.ouest-france.fr/bretagne/linconnu-de-vanikoro-inhume-au-chateau-de-brest-468057

« L’inconnu de Vanikoro » inhumé au château de Brest

 

Frédéric Mitterrand, le ministre de la Culture, prend connaissance du projet destiné à donner une dernière demeure à Brest à « l’inconnu de Vanikoro ».
Frédéric Mitterrand, le ministre de la Culture, prend connaissance du projet destiné à donner une dernière demeure à Brest à « l’inconnu de Vanikoro ». | OUEST-FRANCE

 

Ouest-France Modifié le 09/06/2011 à 17h12 Publié le 09/06/2011 à 00h00

Il était parti de Brest, il y revient. Deux siècles après le départ de l’expédition La Pérouse, « l’inconnu de Vanikoro » sera inhumé dans l’enceinte du château de Brest à la fin du mois. Une cérémonie doit avoir lieu le 29 juin prochain pour saluer ce retour symbolique. C’est ce que l’on a appris aujourd’hui à l’occasion d’une visite à Brest du ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand.

Le squelette a été retrouvé en 2003 à proximité de l’épave de la Boussole, l’un des deux navires de l’expédition commandée par Jean-François de La Pérouse et partie de Brest le 1er août 1785. Celle-ci a fait naufrage sur l’île de Vanikoro, dans le Pacifique, en 1788.

L’analyse des ossements a confirmé qu’il s’agit d’un Européen d’1,68 m, âgé d’une trentaine d’années. L’identité de cet homme n’a pas pu être déterminée avec certitude. Mais plusieurs indices portent à penser qu’il ne s’agissait pas d’un simple marin (les boucles de chaussures retrouvées à proximité, une corpulence plutôt gracile, etc.) mais plutôt d’un officier ou d’un savant de l’expédition.

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fr%C3%A9d%C3%A9ric_Mitterrand

  1. « Le parcours de créateur de Frédéric Mitterrand [archive] », NouvelObs.com, 9 octobre 2009

Bibliographie

      • Meurtre à l’Olympic (roman-photo) / texte de Gérard Guégan ; photographie de Maya Sachweh ; avec Frédéric Mitterrand (Georges Ridder), Arielle Dombasle (Marlène Rivaud), Pascal Greggory (Serge Zola), Pascale Richard (Muriel Sony), Raphaël Sorin (Joseph Huysmans), Anne Guégan (Paula Maup) et Alain Massiot (inspecteur de police). In Playboy France, mai 1983, no 114 (vol. 11, no 5), p. 61-67.

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

:

 



Une non attaque terroriste hier à Grenoble

De toute façon, officiellement, il n’y a aucune menace particulière en ce moment. Donc il ne peut pas s’agir d’un acte terroriste.

Rappel : le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi a bien relancé une nouvelle série de fêtes islamistes fin mai dernier et il a sûrement préparé un gros coup pour le 14 juillet. Il adore faire la fête à sa manière ce jour-là, et cette année comme en 2016 et précédemment en 2011 (il s’était alors contenté d’attaquer par piratage informatique et faire tomber la plateforme de blogs Overblog pour obliger ses informaticiens à bosser le jour de la Fête nationale), cela coïncide parfaitement avec son calendrier festif habituel lorsqu’il attend que toutes ses saloperies à mon encontre portent enfin leurs fruits.

 

Lire ou relire à ce sujet :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/06/27/nouvelles-menaces-dattentats-islamistes/

 

 

https://www.lemonde.fr/police-justice/article/2022/07/08/grenoble-un-homme-arme-abattu-par-la-police-en-centre-ville_6133941_1653578.html

Grenoble : un homme armé abattu par la police en centre-ville

 

Les faits sont survenus quand le passager d’un scooter, en possession d’une « arme longue » a « braqué son arme en direction de policiers ». Selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agit de « faits de droit commun, pas du tout de terrorisme ».

Le Monde avec AFP

Publié aujourd’hui à 10h19, mis à jour à 11h09

Les faits ont eu lieu en plein centre-ville de Grenoble jeudi 7 juillet en fin d’après-midi. Un homme de 24 ans, qui circulait à scooter avec un passager armé, a été tué par la police, a appris l’Agence France-Presse (AFP) de sources concordantes.Une source policière a précisé à l’AFP que le conducteur du scooter, vêtu d’un gilet pare-balles, circulait en compagnie d’un passager armé d’une « arme longue ». Ce dernier a « commencé à braquer son arme en direction de policiers », qui ont tiré à deux reprises, touchant le conducteur à la tête.

Le parquet a précisé que les occupants du scooter avaient croisé la route de deux fonctionnaires de police qui effectuaient une patrouille à pied vers 18 h 15, et qu’un jeune homme âgé de 24 ans, « connu des services de police », était mort « sur place malgré les soins prodigués rapidement par les secours ». L’autre occupant du scooter est lui parvenu « à prendre la fuite ».

Lire aussi : En Saône-et-Loire, un adolescent de 14 ans mis en examen et écroué après avoir tué sa petite amie

Deux enquêtes ouvertes

Une arme, « de type kalachnikov, chargée a été retrouvée sur les lieux », dans le secteur du quartier Hoche, a encore précisé dans un communiqué le procureur adjoint de Grenoble, Boris Duffau.

Deux enquêtes ont été ouvertes. La première sur les faits de « tentative de meurtre sur personne dépositaire de l’autorité publique », confiée au service de police judiciaire de Grenoble, et la seconde a été confiée à l’IGPN, la « police des polices » sur les faits de coups mortels. « Le policier qui a fait usage de son arme a été placé en garde à vue et devrait être entendu dans la soirée par des enquêteurs de l’IGPN », a ajouté M. Duffau, lequel précise qu’une autopsie serait réalisée vendredi matin.

Une autre source policière contactée par l’AFP a expliqué que, selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agit de « faits de droit commun, pas du tout de terrorisme ».

Lire aussi : Deux enseignants tués par balle à Pouyastruc, dans les Hautes-Pyrénées, l’auteur présumé recherché

Le Monde avec AFP



Remaniement ministériel, Damien Abad viré, les autres toujours là

Deux écoles de cul, c’est décidément beaucoup trop…

Voir ici :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/06/29/ouverture-dune-enquete-contre-damien-abad-pour-tentative-de-viol/

Quant à Elisabeth Borne qui était déjà « épuisée » le 29 juin, on commence à se demander combien de temps elle va pouvoir rester en poste, car elle n’a pas fini d’en voir.

Le 14 juillet approche maintenant à grands pas et le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi va encore tenter d’en faire une grande fête islamiste, comme en 2016 pour sa procédure parisienne à mon encontre (il s’agissait alors de fêter mon assignation devant le TGI de Paris, du 12 juillet 2016).

Et cela ne va pas s’arrêter là, sauf bien sûr si les autorités se décident enfin à mettre ce malade et sa bande de cybercriminels dits « déconnologues » hors d’état de nuire.

Cependant, depuis le temps que ça dure, avec toujours la même complicité active des magistrats ultra corrompus du TJ de Brest, qui dès l’été 2010 savaient très bien ce qui allait se passer s’ils ne réagissaient pas en urgence aux exactions d’alors et en ont été réinformés à plusieurs reprises au cours des années suivantes, on doute très fortement d’une quelconque volonté d’empêcher de nouveaux massacres.

Notons au passage qu’Elisabeth Borne est une femme ingénieur qui n’est jamais sortie du cocon extrêmement protecteur de la fonction publique, n’a donc jamais connu les maltraitances que subissent régulièrement les ingénieurs du privé, particulièrement lorsqu’il s’agit de femmes, et par voie de conséquence n’en a pas non plus la résistance.

Pour l’exemple, je reprends mon cas personnel : les patrons voyous ayant besoin de coincer pour « faute » les ingénieurs qu’ils emploient afin de pouvoir ensuite en obtenir tout ce qu’ils veulent, mes anciens employeurs harceleurs ont à plusieurs reprises tenté de m’y conduire en me confiant des travaux jugés techniquement infaisables, à réaliser de plus sous des délais extrêmement tronqués ou même déjà dépassés lors de mon arrivée sur les projets dont il s’agissait. Or, à chaque fois, j’ai bien trouvé des solutions et réalisé tous les travaux demandés en un temps record. Résultat : en guise de « récompense », à chaque fois j’ai eu droit à de nouvelles violences physiques du fait que l’opération dite de « harcèlement moral » avait échoué. Mais pour les magistrats, toutes ces violences n’ont jamais été suffisantes, une femme ingénieur ne « mérite », comme dira l’un d’entre eux, que d’être torturée à mort et de voir aussi mourir tous les siens de même, tant qu’à faire, car tous les proches d’une femme ingénieur en sont eux-mêmes fautifs ou coupables, surtout ceux qui ont mis au monde un tel monstre.

 

 

https://www.ouest-france.fr/politique/gouvernement/remaniement/remaniement-vise-par-une-enquete-pour-tentative-de-viol-damien-abad-quitte-le-gouvernement-2b97469a-fb5e-11ec-aa76-377ec44ae1a3

Remaniement. Damien Abad dénonce des « calomnies ignobles » en quittant le gouvernement

 

Le ministre des Solidarités, de l’Autonomie et du Handicap, Damien Abad, qui fait l’objet d’une enquête pour tentative de viol, n’a pas été reconduit dans le nouveau gouvernement d’Élisabeth Borne. Lors de la passation de pouvoir, le député a jugé « préférable, face aux calomnies ignobles dont (il est) la cible », de pouvoir se « défendre sans entraver l’action du gouvernement ».

 

Damien Abad, à Paris, le 3 mai 2022.
Damien Abad, à Paris, le 3 mai 2022. | STEPHANE DE SAKUTIN / AFP
Ouest-France Publié le 04/07/2022 à 10h53

Visé par une enquête pour tentative de viol, Damien Abad ne fait pas partie du nouveau gouvernement d’Élisabeth Borne. Le ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées a été écarté lors du remaniement annoncé ce lundi 4 juillet. Il est remplacé par Jean-Christophe Combe, directeur général de la Croix-Rouge.

Accusé de violences sexuelles par plusieurs femmes, l’ancien patron des députés LR nie les faits. S’il n’est plus ministre, Damien Abad ne quitte pas la vie politique pour autant. Il siégera à l’Assemblée nationale, après sa réélection dans la 5e circonscription de l’Ain aux dernières législatives.

Retrouvez notre direct consacré à l’annonce de la composition du nouveau gouvernement

« Je quitte ce ministère avec beaucoup de regret »

« Je quitte ce ministère avec beaucoup de regret […] on ne m’aura pas laissé le temps », a-t-il déclaré lors de la passation de pouvoir au ministère des Solidarités. « Je vais poursuivre mon action dans ma circonscription et à l’Assemblée nationale », a assuré le député.

À propos des accusations de tentative de viols, l’ancien patron de LR a dénoncé des « calomnies ignobles » et dit vouloir se « défendre sans entraver l’action du gouvernement ».

« La calomnie est devenue une arme politique […] Je me battrai contre ce mouvement qui relègue la présomption d’innocence au rang de vieillerie sans importance », a-t-il dit encore

Chrysoula Zacharopoulou reste au gouvernement

La secrétaire d’État chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats, Chrysoula Zacharopoulou, accusée de viols, est quant à elle reconduite.

La gynécologue de 46 ans, qui dément toutes les accusations, est visée par deux plaintes pour viol et une troisième plainte pour violences sans incapacité de travail par personne chargée d’une mission de service public. Le parquet de Paris a ouvert une enquête.

 

 

https://www.liberation.fr/politique/remaniement-la-secretaire-detat-chrysoula-zacharopoulou-accusee-de-viol-conservee-au-gouvernement-20220704_EZ5WOMACDBEGHAB2X7SQNDQZHU/

Remaniement: la secrétaire d’Etat Chrysoula Zacharopoulou, accusée de viol, conservée au gouvernement

 

Le gouvernement d’Elisabeth Bornedossier

 

Le gouvernement d’Elisabeth Borne

Contrairement à Damien Abad, l’ancienne députée européenne, accusée par plusieurs anciennes patientes de viol dans le cadre de ses activités de gynécologue est maintenue au gouvernement.

Remaniement ministériel, Damien Abad viré, les autres toujours là dans AC ! Brest TD6PECDEU5HUBNDZGL6G5CQFMA
Chrysoula Zacharopoulou, à la sortie de l’Elysée. ( Xose Bouzas/Hans Lucas / AFP)

par Sacha Nelken

publié le 4 juillet 2022 à 10h58

 

Contrairement à Damien Abad, Chrysoula Zacharopoulou reste au gouvernement. Un peu plus d’un mois après avoir été nommée secrétaire d’Etat auprès de la ministre des Affaires étrangères chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux, la Franco-Grecque a été reconduite dans le second gouvernement d’Elisabeth Borne. Et ce, malgré, des accusations de viols qui auraient été perpétrés durant l’exercice de sa profession de gynécologue dans les années 2010.Le 22 juin dernier, le magazine Marianne révèle qu’une enquête a été ouverte par le parquet de Paris le 27 mai après deux plaintes déposées contre la secrétaire d’Etat pour des viols supposés intervenues dans le cadre de ses fonctions de gynécologue à Paris pour «déterminer si les faits sont susceptibles de tomber sous le coup d’une qualification pénale». Il s’agirait de pénétrations lors d’examens médicaux sans avoir obtenu le consentement des patientes, pourtant consacré par la loi dite Kouchner du 4 mars 2002.

Deux jours plus tard, une troisième femme porte plainte contre l’ex-députée européenne spécialiste de l’endométriose, pour «violences sans incapacité de travail par personne chargée d’une mission de service public». Dans la foulée des plaintes, les témoignages contre la secrétaire d’Etat s’accumulent. Auprès de Libération, deux anciennes patientes font état de rendez-vous «traumatisants». «J’ai hurlé de douleur et pleuré», [après un toucher vaginal fait sans prévenir ndlr], raconte par exemple, Nina. Ce à quoi la médecin aurait répondu : «arrêtez de faire votre chochotte.»

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Chrysoula Zacharopoulou accusée de violences gynécologiques: un nouveau témoignage d’une patiente mineure

25 juin 2022abonnés

Mise en cause, Chrysoula Zacharopoulou s’est défendue dans un communiqué le 24 juin dernier. «Les accusations graves à mon encontre, portant sur des examens cliniques médicaux réalisés afin de diagnostiquer et de soigner la maladie de mes patientes, sont inacceptables et révoltantes», écrit-elle. La macroniste qui affirme n’avoir «jamais imposé le moindre examen à aucune de mes patientes sans leur consentement» souligne que les plaintes «ont été déposées dans les jours qui ont suivi [sa] nomination au gouvernement et qui concernent des consultations qui seraient intervenues il y a plusieurs années». Comprendre : il s’agirait d’une cabale à but politique.

A son tour interrogée sur LCI, la Première ministre Elisabeth Borne a assuré que Chrysoula Zacharopoulou lui «a dit qu’elle était très surprise, voire choquée, qu’on puisse questionner sa pratique médicale». «Mais je pense que les plaintes sont déposées, la justice va faire son travail» et sa secrétaire d’Etat «aura l’occasion de s’expliquer», a poursuivi la cheffe du gouvernement qualifiant de «débat important» celui «du consentement quand on fait des examens».

 

 

https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/elisabeth-borne-deja-epuisee-ces-conneries-quelle-ne-supporte-plus_496942

Elisabeth Borne déjà épuisée : ces “conneries” qu’elle ne supporte plus

 

Nina Siahpoush-Royoux | mer. 29 juin 2022 à 12h53

@ Eliot Blondet / Pool / Bestimage

Selon les informations du Canard Enchaîné, dévoilées ce mercredi 29 juin, Elisabeth Borne perdrait patience. La raison ? La médiatisation de plusieurs graves accusations de viols visant des membres de son gouvernement.

A propos de


Le lundi 16 mai, après plusieurs jours interminables de réflexion, Emmanuel Macron dévoilait enfin le nom de sa Première ministre : Elisabeth Borne. Un choix réalisé sans grande surprise puisque cette diplômée de l’École Polytechnique a été un véritable pilier du gouvernement durant le premier quinquennat du président de la République, qui souhaitait voir une femme devenir son bras droit. Ministre chargée des Transports, puis de la Transition écologique et finalement du Travail, Elisabeth Borne a donc succédé à Jean Castex, pour le meilleur et pour le pire. Et actuellement, surtout pour le pire…

Comme le révèlent nos confrères du Canard Enchaîné, ce mercredi 29 juin, la Première ministre aurait quelque peu déchanté depuis ses prises de fonction à Matignon. Lassée par les polémiques qui éclaboussent les nouveaux arrivants au sein de son gouvernement, en plus de devoir gérer les critiques la concernant, notamment après la claque de la Macronie lors des législatives, Elisabeth Borne aurait lâché, auprès de son entourage : « Je commence à être fatiguée des conneries relayées par la presse. Chaque semaine, je me tape un nouveau truc sexuel sur Damien Abad. » Et les accusations qui pèsent contre le ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées ne semblent pas être les seules à lui donner un coup au moral.

Découvrez l’évolution physique d’Elisabeth Borne

Des affaires qu’elle ne pensait pas avoir à gérer publiquement

D’après les informations de nos confrères, Elisabeth Borne aurait poursuivi, avec agacement : « Et, quand ça commence à se calmer, on me sort une histoire de viol gynécologique de Chrysoula Zacharopoulou [qui a été nommée Secrétaire d’État chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux à la place de Jean-Baptiste Lemoyne, NDLR].«  Visiblement pas du tout prête à devoir s’exprimer sur de telles accusations qui font tache au sein de son gouvernement, la Première ministre aurait ajouté, dépitée : « Je n’avais pas signé pour gérer ce genre d’affaires. » De quoi inspirer Le Canard Enchaîné, qui a supposé que la femme politique avait probablement accepté ses nouvelles fonctions « pour tenter de faire avaler, avec le moins de dégâts possible, la réforme des retraites »… sans vraiment réaliser la « variété » de ses missions.

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Article écrit avec la collaboration de 6Medias

Crédits photos : Eliot Blondet / Pool / Bestimage

 

 

https://www.nouvelobs.com/politique/20220623.OBS60083/darmanin-abad-zacharopoulou-ces-ministres-qui-ont-des-demeles-avec-la-justice.html

Darmanin, Abad, Zacharopoulou… Ces ministres qui ont des démêlés avec la justice

 

Les ministres Damien Abad (en haut à gauche), Eric Dupond-Moretti (en haut à droite), Catherine Colonna (en bas à gauche) et Gérald Darmanin (en bas à droite). ((Montage « Obs » : Michel Spingler/AP/SIPA-Jacques Witt/SIPA))

Les ministres Damien Abad (en haut à gauche), Eric Dupond-Moretti (en haut à droite), Catherine Colonna (en bas à gauche) et Gérald Darmanin (en bas à droite). ((Montage « Obs » : Michel Spingler/AP/SIPA-Jacques Witt/SIPA))

 

Viols, harcèlement, prise illégale d’intérêts… Huit ministres du gouvernement d’Elisabeth Borne ont été épinglés ou sont mis en cause par la justice.

Temps de lecture 5 min

Durant la campagne présidentielle de 2017, Emmanuel Macron promettait une « République exemplaire » en cas d’élection. Cinq ans plus tard, en plus des candidats investis par la majorité aux législatives malgré leurs problèmes judiciaires, le gouvernement d’Elisabeth Borne ne compte pas moins de huit ministres et secrétaires d’Etat (sur 27, soit près de 30 % du gouvernement) épinglés, mis en cause ou poursuivis par la justice. Dernières en date : la secrétaire d’Etat à la Francophonie Chrysoula Zacharopoulou, visée par une enquête après deux plaintes pour viol, et la ministre des Affaires étrangères Catherine Colonna, nommée malgré plusieurs signalements pour son management.

Cela reflète la position d’Emmanuel Macron qui, quelques semaines après son élection en mai 2017, avait appelé à « en finir avec le viol permanent de la présomption d’innocence ». Pour le chef de l’Etat : pas de condamnation, donc pas coupable. En 2017, François Bayrou et Marielle de Sarnez, alors ministre de la Justice et ministre des Affaires européennes, avaient pourtant dû démissionner un mois après leurs nominations, car visés par une enquête préliminaire pour des soupçons d’emplois fictifs. « L’Obs » fait le point sur l’activité judiciaire de l’actuel gouvernement.

  • Chrysoula Zacharopoulou, secrétaire d’Etat à la Francophonie, visée par une enquête pour viol

Nommée en mai secrétaire d’Etat chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux, Chrysoula Zacharopoulou est visée par une enquête après le dépôt de deux plaintes pour viol. Selon les informations de « Marianne », les faits reprochés auraient été commis dans le cadre de sa profession de gynécologue.

La première plainte dénonçant des faits de viol a été déposée le 25 mai et l’enquête ouverte deux jours plus tard, a précisé le parquet. Concernant la deuxième plainte, les faits imputés se seraient déroulés « dans un cadre médical » en 2016 et concerneraient une femme majeure. L’enquête a été confiée à la Brigade de Répression de la Délinquance contre la Personne (BRDP).

  • Catherine Colonna, ministre des Affaires étrangères, visée par plusieurs signalements pour harcèlement

La nomination de Catherine Colonna au Quai d’Orsay a été actée malgré plusieurs signalements pour harcèlement, selon les informations de Mediapart. Alors ambassadrice de France au Royaume-Uni, Catherine Colonna a été visée par plusieurs signalements adressés à la cellule « tolérance zéro » du Quai d’Orsay au début de l’année 2022. Des témoignages qui devaient donner lieu à une inspection générale, suspendue après sa nomination au gouvernement.

Selon le média d’investigation, un signalement avait même déjà été effectué à la suite d’une inspection menée à l’ambassade d’Italie à Rome à l’époque où Catherine Colonna y était, entre 2014 et 2017. Les témoignages décrivent des faits s’apparentant à du harcèlement moral. « Il est connu que Mme Colonna a des pratiques consistant à briser les gens », rapporte un diplomate à « Libération ». D’après lui, « Emmanuel Macron a nommé ministre la diplomate la plus détestée du réseau diplomatique ».

  • Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, accusé de viol

Plusieurs ministres sont accusés de violences sexuelles, à l’instar du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, visé par une accusation de viol et de trafic d’influence qui émanent de deux femmes différentes.

Il est accusé d’avoir promis un « service » à une femme en échange de faveurs sexuelles en 2009. Deux plaintes simples déposées en juin 2017 et janvier 2018 avaient été classées sans suite. Une troisième plainte déposée en mars 2018 par la même plaignante avec constitution de partie civile avait été classée sans suite dans un premier temps, puis relancée par la cour d’appel de Paris en juin 2020. Le parquet de Paris a requis un non-lieu début 2022.

Une autre femme avait porté plainte en février 2018, disant s’être « sentie obligée » d’avoir des relations sexuelles avec le ministre, alors maire de Tourcoing, pour obtenir logement et emploi. L’enquête préliminaire pour « abus de faiblesse » avait été classée sans suite en mai de la même année.

  • Damien Abad, ministre des Solidarités, accusé de viol

Au lendemain de sa nomination au gouvernement, le ministre des Solidarités Damien Abad a été accusé de viol par deux femmes. Selon les informations de Mediapart, les faits présumés remontent à 2010 et 2011 : la première femme, âgée de 41 ans, a adressé une lettre à l’Observatoire des Violences sexistes et sexuelles en Politique le 13 mai, dans laquelle elle « souhaite témoigner des faits de viol concernant Damien Abad », alors pressenti pour entrer au gouvernement. La seconde femme a pour sa part porté plainte pour « viol » en 2017, classée sans suite.

Le site d’investigation avait publié le 14 juin de nouvelles accusations de la part d’une « élue centriste » qui dit avoir subi une tentative de viol en 2010. Le parquet de Paris avait finalement indiqué le 25 mai qu’il n’ouvrait pas d’enquête préliminaire « en l’état », estimant ne pas disposer « d’élément permettant d’identifier la victime des faits dénoncés ».

  • Eric Dupond-Moretti, ministre de la Justice, soupçonné de « prise illégale d’intérêts »

Elle est connue comme étant « l’affaire Dupond-Moretti » et remonte à janvier 2021 quand la commission d’instruction de la Cour de justice de la République (CJR) ouvre une information judiciaire pour « prise illégale d’intérêts » dans deux dossiers. Le garde des Sceaux, mis en examen en juillet 2021, est soupçonné d’avoir profité de sa fonction gouvernementale pour régler des comptes avec trois magistrats du Parquet national financier (PNF) qui avaient fait éplucher ses relevés téléphoniques détaillés (fadettes) quand il était encore avocat.

Le ministre est également accusé d’avoir diligenté des poursuites administratives contre un ancien juge d’instruction qui avait mis en examen un de ses ex-clients. Le 10 mai, le ministère public de la CJR a jugé qu’il existait des « charges suffisantes » contre le ministre pour le renvoyer en procès devant la Cour. La commission d’instruction de la CJR a ensuite rejeté la demande d’annulation de la mise en examen formulée par les avocats du ministre.

  • Sébastien Lecornu, ministre des Armées, visé par une enquête pour « prise illégale d’intérêts »

Promu dans le nouveau gouvernement, l’ex-ministre des Outre-mer est visé depuis mars 2019 par une enquête pour « prise illégale d’intérêts » et « omission de déclaration à la HATVP », la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie publique. Dans sa déclaration, Sébastien Lecornue mentionnait avoir touché 7 874 euros brut de « jetons de présence » en tant qu’administrateur de la Société des Autoroutes Paris Normandie (SAPN) entre 2016 et 2017. Le problème : il présidait alors le département de l’Eure et a approuvé plusieurs délibérations en lien avec la SAPN, dont l’une d’elles concernerait un projet pour lequel le département de l’Eure a déboursé un million d’euros, selon « le Canard Enchaîné ». Il a été entendu en avril par la police anticorruption lors d’une audition libre et l’enquête suit son cours.

  • Olivier Dussopt, ministre du Travail, visé par une enquête pour « prise illégale d’intérêts » et « corruption »

Autre promu du gouvernement Borne, Olivier Dussopt est visé par une enquête préliminaire du Parquet national financier pour « prise illégale d’intérêts » et « corruption », selon les informations de Mediapart en juin 2020. Alors qu’il était député et maire d’Annonay (Ardèche) en janvier 2017, il avait accepté deux lithographies en cadeau par la société de traitement de l’eau Saur. Six mois après la réception des œuvres, l’ex-ministre de l’Action et des Comptes publics avait signé un contrat entre l’entreprise et sa commune. Après une perquisition au domicile du ministre par l’Office central de Lutte contre la Corruption et les Infractions financières et fiscales en août 2020, l’enquête est toujours en cours.

  • Justine Benin, secrétaire d’Etat chargée de la Mer, accusée de clientélisme

Défaite lors des législatives, Justine Benin devrait quitter prochainement le gouvernement. Pour autant, elle est accusée par Mediapart d’avoir, en tant que députée, utilisé l’argent du MoDem pour arroser les associations de sa commune du Moule en Guadeloupe, alors qu’elle était candidate à la mairie.

Dans les comptes du parti centriste des années 2019 et 2020, le média d’investigation a repéré pas moins de 37 000 euros qui ont été versés à 14 organisations locales. L’argent ayant été versé en pleine période électorale, certaines dépenses auraient dû apparaître sur le compte de campagne du MoDem. Pour Mediapart, « la visée électorale est transparente ». Traduction : il s’agit de « clientélisme ».

Par Richard Godin

 



John Edward Robinson, premier tueur en série d’Internet

 

 

 

Son terrain de chasse favori à compter des débuts d’Internet fut aussi celui du criminel multidisciplinaire Pascal Edouard Luraghi, dit Cyprien Luraghi, à savoir les sites de rencontres des amateurs de BDSM, où le second a trouvé le texte qui l’a fait connaître des milieux sado-masochistes français après qu’il l’eût traduit en français.

L’un et l’autre sont toujours motivés par l’argent, leurs crimes sont avant tout crapuleux.

Tous deux menteurs, affabulateurs, escrocs et manipulateurs, ils font également preuve de sadisme et d’une perversité qui les conduit à se faire tout spécialement reconnaître comme « humanistes » ou individus de grands mérites par ceux-là même qu’ils prennent plaisir à tromper.

Pour ce qui concerne le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, il s’agit depuis les années 2010 à 2012 des autorités judiciaires françaises, qu’auparavant il n’avait jamais pensé pouvoir un jour berner au point où il le fait avec tout ce qui me concerne. Mais il n’avait non plus jamais rencontré de magistrats comme ceux de Brest. Il l’a écrit sur son blog aux tout débuts. Avant, pour la justice, c’était toujours lui le coupable – forcément, il a toujours été hors la loi depuis son adolescence. Et là, pour la première fois de sa vie, il était considéré comme quelqu’un de bien, assez pour que les autorités judiciaires puissent le croire sur parole, sans jamais en exiger de justifier quoi que ce soit, lui que même ses proches qualifient de mythomane, et mieux encore, comme la victime de femmes qu’en réalité il harcelait comme un malade avec toute sa bande de « déconnologues » quasiment depuis son arrivée sur le site Rue89 en 2008. Il n’en revenait pas lui-même, laissait éclater sa joie, exultait, appelait même la juge brestoise ultra corrompue qui violait la loi pour le satisfaire son « bon Dieu ». Me harcelant, se rendant coupable à mon encontre de très nombreux faits répréhensibles depuis 2008, non seulement il a toujours été totalement « blanchi » par cette « justice » brestoise incarnée par des magistrats qui à cet effet ont systématiquement produit des faux en écriture publique, mais de plus, il se voyait offrir la possibilité de tenter de me faire condamner, moi sa victime, à payer très cher pour des infractions pénales tout droit sorties de son imagination et il ne s’en est pas privé. Il n’a finalement pas réussi à obtenir la moindre condamnation à mon encontre, mais a bien convaincu nombre de ses complices harceleurs de prolonger eux aussi leurs cyberharcèlements à mon encontre par le même type de harcèlement judiciaire à base de dénonciations calomnieuses et de procédures abusives, les uns après les autres. Pour l’heure, aucun n’est parvenu à me faire condamner, mais le jeu n’est toujours pas terminé, il est sans fin et chaque nouvelle procédure produit toujours les mêmes espoirs de réussite chez le pervers en chef qui se plaît alors à faire connaître sa très grande joie avec de nouveaux attentats islamistes annonciateurs des explosions bien plus dévastatrices qui surviendront du jour où il aura enfin atteint son but, ou plus exactement, le premier de ses buts, un tremplin pour la suite de ses projets criminels et terroristes, qu’il avait annoncés eux aussi dès le départ, en 2008 – à travers moi, il vise en fait l’Etat français, pour lequel j’ai jadis travaillé.

Passons maintenant au thème astral de John Edward Robinson, né le 27 décembre 1943.

Ne connaissant pas son heure de naissance, je ne peux le dresser entièrement et ne m’arrête qu’aux positions planétaires indiquées dans la carte reproduite ci-dessous, l’ascendant et la domification correspondant à une heure de naissance arbitrairement fixée à 12h00.

 

John Edward Robinson, premier tueur en série d'Internet dans AC ! Brest

 

Contrairement au psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi, John Edward Robinson n’est pas né sous le signe de Verseau mais sous celui du Capricorne qui le précède.

Ses maîtres sont Saturne et Mars, tous deux en Gémeaux avec Uranus maître du Verseau.

Ce Capricorne est donc en fait très proche d’un Verseau.

 

 

https://en.wikipedia.org/wiki/John_Edward_Robinson

John Edward Robinson

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For the Bishop, see John Edward Robinson (bishop).
John Edward Robinson
John Edward Robinson (criminal).png

Robinson’s c. 1985 mug shot, taken by Johnson County Sheriff’s Dept.
Born
John Edward Robinson

December 27, 1943 (age 78)

Other names John Osborne
The Slave Master
Internet Slavemaster
Conviction(s) Kansas
Capital murder (2 counts)
Missouri
First degree murder (5 counts)
Criminal penalty Kansas
Death
Missouri
Life without parole
Details
Victims 8
Span of crimes
1984–2000
Country United States
State(s) Kansas, Missouri
Date apprehended
June 2, 2000

John Edward Robinson (born December 27, 1943) is an American serial killer, con man, embezzler, kidnapper, and forger who was found guilty in 2003 for three murders committed in and around Kansas City, Missouri, receiving the death penalty for two of them. In 2005, he admitted responsibility for five homicides in Missouri as part of a plea bargain to receive multiple life sentences without possibility of parole and avoid more death sentences. Investigators suspect that more victims remain undiscovered.[1]

Because he made contact with most of his post-1993 victims via online chatrooms, Robinson is sometimes referred to as « the Internet’s first serial killer ».[2]

Early life

John Robinson was born in Cicero, Illinois, the third of five children of an alcoholic father and a disciplinarian mother.[2]: 4  In 1957, Robinson became an Eagle Scout and traveled to London with a group of Scouts who performed before Queen Elizabeth II. He enrolled at Quigley Preparatory Seminary in Chicago, a private boys school for aspiring priests, but dropped out after one year due to disciplinary issues.[3][4]

In 1961, Robinson enrolled at Morton Junior College in Cicero to become a medical radiographer, but dropped out after two years. In 1964, he moved to Kansas City and married Nancy Jo Lynch, who gave birth to their first child, John Jr., in 1965, followed by daughter Kimberly in 1967, and twins Christopher and Christine in 1971.

Early crimes

In 1969, Robinson was arrested in Kansas City for embezzling $33,000 from the medical practice of Dr. Wallace Graham, where he worked as a radiographer using forged credentials. He was sentenced to three years’ probation.[3] The following year he violated probation by moving to Chicago without his probation officer’s permission and gained a job as an insurance salesman at the R.B. Jones Company. In 1971, he was arrested for embezzling funds and was ordered back to Kansas City, where his probation was extended. In 1975, Robinson’s probation was extended again after an arrest on charges of securities fraud and mail fraud in connection with a phony medical consulting company he had formed.

Robinson became a Scoutmaster, a baseball coach and a Sunday school teacher. In 1977, he was named to the board of directors of a local charitable organization where he forged letters from its executive director to the mayor of Kansas City and from the mayor to civic leaders, naming him as the organization’s Man of the Year. Under that guise, he hosted an awards luncheon in his honor.[3]

After completing his probation In 1979, Robinson was arrested for embezzlement and check forgery, for which he served sixty days in jail in 1982. After his release, he formed a bogus hydroponics business and stole $25,000 from a friend to whom he promised a fast investment return so the friend could pay for his dying wife’s health care.[2]: 4 

Murders begin

In 1984, having established two more fraudulent shell companies (Equi-Plus and Equi-2), Robinson hired Paula Godfrey, aged 19, ostensibly to work as a sales representative. Godfrey told friends and family that Robinson was sending her away for training. After hearing nothing further from her, Godfrey’s parents filed a missing persons report. Police questioned Robinson, who denied any knowledge of her whereabouts. Several days later her parents received a typewritten letter, with Godfrey’s signature at the bottom, thanking Robinson for his help and asserting that she was « OK » and did not want to see her family. The investigation was terminated, as Godfrey was of legal age and there was no evidence of wrongdoing. No trace of Godfrey has ever been found.[2]

In 1985, using the name John Osborne, Robinson met Lisa Stasi and her four-month-old daughter, Tiffany, at a women’s shelter in Kansas City. He promised Stasi a job in Chicago, an apartment, and daycare for her infant, and asked her to sign several sheets of blank stationery. A few days later, he contacted his brother Don and sister-in-law, Helen, who had been unable to adopt a baby through traditional channels, and informed them that he knew of a baby whose mother had committed suicide. For $5,500 in « legal fees », the couple received Tiffany (whose identity was confirmed by DNA testing in 2000[5]) and a set of authentic-appearing adoption papers with the forged signatures of two lawyers and a judge. Stasi was never heard from again.[2]: 4 

In 1987, Catherine Clampitt, aged 27, left her child with her parents in Wichita Falls, Texas, and moved to Kansas City to find employment. She was hired by Robinson, who reportedly promised her extensive travel and a new wardrobe. She vanished in June of that year. Her missing persons case remains open.[5]

From 1987 to 1993, Robinson was incarcerated, first in Kansas (1987–1991) on multiple fraud convictions and thereafter in Missouri for another fraud conviction and parole violations. At Western Missouri Correctional Facility, he met 49-year-old Beverly Bonner, the prison librarian, who upon his release left her husband, a prison doctor, and moved to Kansas to work for him. After Robinson arranged for Bonner’s alimony checks to be forwarded to a Kansas post office box, her family never heard from her again. For several years, Bonner’s mother continued forwarding her alimony checks and Robinson continued cashing them.[3]

By then, Robinson had discovered the Internet and roamed online chatrooms using the name « Slavemaster », looking for women who enjoyed playing the submissive partner role during sex. An early online correspondent was Sheila Faith, aged 45, whose 15-year-old daughter Debbie was a wheelchair user due to spina bifida. Robinson, portraying himself as a wealthy businessman and philanthropist, offered to pay Debbie’s medical expenses and give Sheila a job. In 1994, the mother and daughter moved from Fullerton, California, to Kansas City and immediately disappeared. Robinson cashed Faith’s pension checks for the next seven years.[2]: 6 

Gradually, Robinson became well known in increasingly popular BDSM chatrooms. In 1999, he offered a job and a bondage relationship to Izabela Lewicka, a 21-year-old Polish immigrant living in Indiana. When she moved to Kansas City, Robinson (who was still married to Nancy) gave Lewicka an engagement ring and brought her to the county registrar, where they paid for a marriage license that was never picked up. It is unclear whether Lewicka believed that she and Robinson were married; she told her parents she had married, but never told them her husband’s name. She did sign a 115-item slave contract that gave Robinson almost total control over every aspect of her life, including her bank accounts. Some time during the summer of 1999, she disappeared. Robinson told a web designer he employed that she had been caught smoking marijuana and deported.[2]: 8 

Around the time of Lewicka’s disappearance, a licensed practical nurse named Suzette Trouten moved from Michigan to Kansas to travel the world with Robinson as his submissive sex slave. Trouten’s mother received several typed letters signed by her daughter and purportedly mailed while the couple was abroad, although the envelopes all bore Kansas City postmarks. The letters were, her mother said, uncharacteristically mistake-free. Later, Robinson told Trouten’s mother that she had run off with an acquaintance after stealing money from him.[2]: 9 

Arrest

Over time, Robinson became increasingly careless, and his ability to avoid detection declined. By 1999, he had attracted the attention of authorities in both Kansas and Missouri as his name frequently came up in missing persons investigations.

Robinson was arrested in June 2000, at his farm near La Cygne, Kansas, after a woman filed a sexual battery complaint against him and another charged him with stealing her sex toys.[1] The theft charge finally gave investigators the probable cause they needed to obtain search warrants. On the farm, a task force found the decaying bodies of two women, later identified as Lewicka and Trouten, in two 85-pound chemical drums.[2]: 9 

Across the state line in Missouri, investigators searched a storage facility where Robinson rented two garages and found three similar chemical drums containing corpses subsequently identified as Bonner, Faith, and Faith’s daughter. All five women were killed in the same way, by one or more blows to the head with a blunt instrument.[2]: 9 

Conviction

In 2002, Robinson stood trial in Kansas for the murders of Trouten, Lewicka and Stasi, and multiple lesser charges. After the longest criminal trial in Kansas history,[6] he was convicted on all counts. He received the death penalty for the murders of Trouten and Lewicka, and life imprisonment for Stasi’s murder because she was killed before Kansas reinstated the death penalty. He received a 5-to-20-year prison sentence for interfering with the parental custody of Stasi’s baby, 20.5 years for kidnapping Trouten, and seven months for theft.[2]: 9 

After his Kansas convictions, Robinson faced murder charges in Missouri, based on the evidence discovered in that state. Missouri is aggressive in its pursuit of capital punishment convictions and Robinson’s attorneys wanted to avoid a trial there.[6] Chris Koster, the Missouri prosecutor, insisted as a condition of any plea bargain that Robinson lead authorities to the bodies of Stasi, Godfrey and Clampitt. Robinson, who has never cooperated in any way with investigators, refused, but Koster still faced pressure to make a deal because his case was not technically airtight⁠ ⁠— among other issues, there was no unequivocal evidence that any of the murders had actually been committed within his jurisdiction. Robinson, on the other hand, faced pressure to plead guilty to avoid an almost certain death sentence in Missouri, and failing that, yet another capital murder trial back in Kansas.[7][unreliable source?]

When it became clear that the women’s remains would never be found without Robinson’s cooperation, a compromise of sorts was reached: in a carefully scripted plea in October 2003, Robinson acknowledged that Koster had enough evidence to convict him of capital murder for the deaths of Godfrey, Clampitt, Bonner and the Faiths. Though his statement was technically a guilty plea, and was accepted as such by the Missouri court, observers remarked that it was notably devoid of any contrition or specific acceptance of responsibility.[2]: 15  Robinson received a life sentence without possibility of parole for each of the five murders.[7]

In November 2015, the Kansas Supreme Court vacated the Trouten and Stasi murder convictions on technicalities, but upheld the Lewicka conviction and its accompanying death sentence. The ruling marked the first time that Kansas’s highest court has upheld a death sentence since reinstatement of capital punishment there in 1994. Robinson currently remains on death row at the El Dorado Correctional Facility in Kansas.[6]

Aftermath

In 2005, Nancy Robinson filed for divorce after 41 years of marriage, citing incompatibility and irreconcilable differences.[7]

In 2006, Stasi’s daughter—known since her (faked) adoption as Heather Robinson—filed a civil suit against Truman Medical Center in Kansas City and social worker Karen Gaddis. The suit accused Gaddis of putting Robinson in contact with Stasi and her newborn daughter in 1984, after he told Gaddis that he ran a charitable organization providing assistance to « unwed mothers of white babies. » In 2007, Heather and the hospital reached a settlement for an undisclosed sum, which Robinson said she would split with her biological grandmother, Patricia Sylvester.[7] Heather won a second judgment, in 2007, preventing Robinson from profiting from any future potential book sales or film rights.[8]

In 2006, the body of a young woman was found in a barrel in an area of rural Iowa where Robinson reportedly had a business partner. She was initially considered a possible victim of Robinson, but was later identified as Lois Tomich, who police believe was killed by her ex-husband.[9][10]

Kansas and Missouri police note that long stretches of Robinson’s time remain unaccounted for, and they fear that there are additional undiscovered victims. « He’s maintained the secrets about what he’s done with the women, he won’t ever tell, it’s the last control that he’s got, » said one investigator. « There are [probably] other barrels waiting to be opened, other bodies waiting to be found. »[1]

Victims

Robinson is known to be responsible for eight homicides, but his total victim tally remains unknown. The following is a chronological summary of the victims identified thus far:

  • 1984: Paula Godfrey (age 19); remains never recovered
  • 1985: Lisa Stasi (age 19); remains never recovered
  • 1987: Catherine Clampitt (age 27); remains never recovered
  • 1993: Beverly Bonner (age 49): remains discovered at storage facility in Raymore, Missouri
  • 1994: Sheila Faith (age 45) and Debbie Faith (15): remains of both discovered at storage facility in Raymore, Missouri
  • 1999: Izabela Lewicka (age 21): remains discovered at Robinson’s ranch near La Cygne, Kansas
  • 2000: Suzette Trouten (age 28): remains discovered at Robinson’s ranch near La Cygne, Kansas

In popular culture

  • A 2001 book by John Glatt, Internet Slave Master (ISBN 0312979274), documented Robinson’s life up to the time of his Kansas trial. A second book by Glatt, Depraved (ISBN 0312936842), published in 2005, focused on the lives of Robinson’s victims and others affected by his crimes.
  • Anyone You Want Me to Be: A True Story of Sex and Death on the Internet (ISBN 1439189471) by John Douglas and Stephen Singular was published in 2003.
  • Sue Wiltz’ book Slave Master was published in 2004.

Robinson’s criminal activities were also profiled on episodes of the A&E series Cold Case Files,[1] Investigation Discovery‘s FBI: Criminal Pursuit, Sins & Secrets, Vanity Fair Confidential, It Takes a Killer, and Deadly Doctors, as well as Forensic Files, and The New Detectives on the Discovery Channel.

See also

General:

References

  • Slave Master (Pinnacle True Crime) by Sue Wiltz and Maurice Godwin. Kensington Books ISBN 978-0-7860-1408-8
  1. « Authorities investigate Tomich for deaths of prostitutes ». Sioux City Journal. Retrieved 2021-05-28.

External links

 



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