Je décline toute responsabilité quant aux mentions qui s'affichent dans les cinq lignes ci-dessus du pavé "Recherchez aussi" sur lequel je n'ai aucun contrôle.
Mes statistiques sont bloquées depuis le 2 février 2015.
7 février 2015
Mes statistiques sont de retour, tout fonctionne.
16 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 12 février.
22 février 2015
Mes statistiques "basiques" ont été débloquées hier soir après la publication de mon dernier article concernant NEMROD34. Belle reprise simultanée de l'activité du Chinois.
23 février 2015
Statistiques "basiques" toujours sujettes à blocages : le 21 février au soir, à peine étaient-elles débloquées, puis à nouveau hier, 22 février, à peine étaient-elles débloquées.
24 février 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Pas de nouveau pic d'activité du Chinois depuis le 21 février.
25 février 2015
Je n'ai pas mes statistiques "basiques" du jour, ça bloque encore... et Justinpetitcoucou est toujours bloqué depuis le 8 février... Faudrait penser à le débloquer, lui aussi, il y a du laisser-aller, là...
26 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blog débloquées. Merci pour Justin, il était temps !
27 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blogs de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt... Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
25 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 20 mars.
26 mars 2015
Merci de m'avoir débloqué mes statistiques "basiques". Encore une fois, je ne vois pas l'intérêt de ce petit jeu. Ce serait aussi bien de cesser de bloquer ces statistiques pour oublier de les débloquer jusqu'à ce que j'aie signalé le problème.
31 mars 2015
Merci de bien vouloir me débloquer les statistiques "basiques" de Justinpetitcoucou, restées bloquées depuis le 14 mars - cf. avis du 25 mars sur Justin.
2 avril 2015
Merci de m'avoir rendu les statistiques de Justin.
7 mai 2015
Je n'ai plus de statistiques depuis deux jours, ni "basiques" ni "avancées".
10 mai 2015
Retour des statistiques "basiques". Merci. Manquent encore les statistiques "avancées".
14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
3 octobre 2015
Depuis hier, les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro. Merci de me les rendre.
Si les attaques terroristes de Mohammed Merah ont pu surprendre beaucoup de monde en mars 2012 (moi très peu, je craignais ce genre de chose depuis juin 2010 et avais compris tout de suite de quoi il retournait le 11 mars 2012 lors de la sortie de la dépêche AFP concernant le premier assassinat de militaire), aujourd’hui nous en sommes quand même à une dizaine d’années d’actes terroristes qui permettent très largement d’analyser le phénomène et de le comprendre suffisamment pour y mettre un terme.
J’en ai déjà parlé à de multiples reprises.
Je rappelle encore ce qui suit :
A chaque fois que j’arrive à faire entendre une part de vérité dans le conflit tout à fait hallucinant qui m’oppose aux criminels de la bande du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi depuis les années 2008 à 2010, ça se calme.
Et pourquoi donc ?
Tout simplement parce que le malade mental de Puy-l’Evêque n’a plus de quoi pavoiser et poursuivre sa fête islamiste.
Elles sont soupçonnées d’avoir apporté un soutien logistique et/ou financier à un djihadiste français présent dans la zone syro-irakienne.
Le RAID était déjà intervenu dans le quartier de Croix-Rouge, en janvier 2015, à la recherche des frères Kouachi. – Archives Christian Lantenois
Trois personnes ont été mises en examen vendredi pour « financement du terrorisme » et placées sous contrôle judiciaire par un juge d’instruction antiterroriste parisien. Selon une source proche du dossier, ces personnes sont soupçonnées d’avoir apporté un soutien logistique et/ou financier à un djihadiste français présent dans la zone syro-irakienne.
Dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte en mars, ces trois personnes avaient été interpellées mardi matin à Reims avec trois autres par des policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et du Raid.
L’opération avait été menée dans la plus grande discrétion, à Croix-Rouge. Parmi les rares témoins, un homme habitué à se promener dès 6 heures, avait rapporté avoir vu « des flics en planque » dans le secteur de l’allée des Limousins.
Il s’agissait d’une intervention de la DGSI menée avec l’appui du RAID, dans le cadre d’une enquête pilotée depuis Paris. Contacté, le procureur de Reims Matthieu Bourrette n’avait pas confirmé l’information, sans l’infirmer non plus, se contentant d’indiquer que cette enquête n’avait effectivement « rien de local ». Sollicités par L’union, le parquet de Paris et le parquet national antiterroriste n’avaient pas donné suite.
La question se pose, sachant, d’une part, que Jean-Marc Donnadieu fait bien partie des cybercriminels et terroristes « islamistes » de la bande du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, et d’autre part, que François Vigouroux travaillait en Andorre, où il était chef électricien chez Saetde depuis 1999 (voir ci-dessous son compte Viadéo et la publication d’une offre d’emploi dont il est l’auteur).
Car en effet, comme de nombreux Toulousains, Jean-Marc Donnadieu de Béziers allait très régulièrement faire ses courses en Andorre ou en Espagne jusqu’au premier confinement de 2020 – ensuite, je ne sais pas; il s’était plaint publiquement de ne plus pouvoir y aller en mars 2020, et je ne me souviens pas de l’avoir vu en reparler par la suite. Ce qui est sûr, c’est qu’il n’était plus possible de franchir la frontière espagnole et qu’il ne restait donc qu’Andorre pour aller faire ses courses à bas prix. Or, le m’as-tu-vu extrême-gauchiste Jean-Marc Donnadieu, qui aime à se faire remarquer et jouer les chefs partout où il passe, a aussi une fâcheuse tendance à s’y créer des conflits, notamment avec d’autres chefs.
Par ailleurs, il existe déjà d’autres victimes de faits similaires dont Jean-Marc Donnadieu aurait bien pu, aussi, croiser la route, il s’agit du couple de policiers assassinés à Magnanville le 13 juin 2016 (début de la série d’attentats islamistes liée à la procédure parisienne de Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre) et dont l’un était originaire de Pézenas, où Jean-Marc Donnadieu lui aussi a passé beaucoup de temps avec sa copine habitant dans cette commune (il m’en parlait déjà dans ses commentaires sur mon blog en 2010 et l’évoque encore dans une plainte délirante qu’il a déposée en 2012 et dont copie ci-dessous), sans compter que ce policier, Jean-Baptiste Salvaing, avait par le passé occupé un poste dans l’Hérault, au Cap d’Agde, autre lieu très régulièrement fréquenté par l’échangiste et amateur de BDSM Jean-Marc Donnadieu, plutôt en soirée selon ses dires. N’y auraient-ils pas eu des mots ? C’est très possible.
Il est également certain que les attentats « islamistes » ne sont pas tous aveugles et cachent parfois des assassinats commis contre des cibles délibérées et désignées par les commanditaires de ces actes terroristes.
En l’occurrence, autant ces policiers assassinés le 13 juin 2016 au tout début de la série d’attentats liée à la procédure parisienne de Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre (qui a perdu les deux procès qu’il m’a faits à Paris, en première instance le 5 janvier 2017 et en appel le 11 avril 2018), que François Vigouroux le 26 mai dernier alors que débutait une nouvelle série d’attentats « islamistes » au déclencheur tout à fait similaire aux précédents (comme j’ai désormais le calendrier de cette nouvelle série, je suis en mesure d’affirmer que l’arrestation du 25 mai s’est bien produite alors que le passage à l’acte était effectivement imminent), pourraient avoir été victimes de règlements de comptes du psychopathe Jean-Marc Donnadieu de Béziers.
Par ailleurs, nous connaissons déjà le motif de l’assassinat de Patricia Bouchon par les mêmes le 14 février 2011 à Bouloc, ils la soupçonnaient de vouloir les dénoncer pour toutes leurs exactions à mon encontre alors qu’ils s’apprêtaient à engager contre mon ancien hébergeur de blog Overblog une procédure en référé devant le TGI de Béziers via l’unique Jean-Marc Donnadieu de Béziers, le seul de la bande à pouvoir faire payer par l’Etat tous ses frais de procédure, au moyen d’une aide juridictionnelle totale qu’il avait déjà obtenue grâce à une dénonciation calomnieuse et la présentation de faux :
Or, en date du 6 mai 2022, le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi indiquait publiquement qu’il était encore, selon lui, victime d’« un max de tentatives d’intrusions depuis quelques semaines » :
Rappelons que la plainte délirante de Jean-Marc Donnadieu du 3 février 2012 portait également sur ce type de « faits » dont il accusait nommément un ufologue du nom de Christian Comtesse qu’il harcelait depuis de nombreuses années et avec qui il a publiquement réglé quelques comptes en 2018, sur Facebook, d’où, alors, la publication de cette plainte par l’un et l’autre, le premier sans aucun cache et le second en en masquant l’identité et les coordonnées de son harceleur (voir copies ci-dessous). Violant quotidiennement l’intimité de ma vie privée avec ses complices de la bande du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, notamment au moyen de piratages informatiques, Jean-Marc Donnadieu s’était plaint que Christian Comtesse ayant vu le commentaire public par lequel il avait donné à ses amis ufosceptiques ses codes d’accès aux blogs secrets de son complice Luraghi me concernant, ainsi qu’à leurs échanges de mails à propos de leurs piratages informatiques et autres exactions à mon encontre, aurait tenté d’utiliser ces codes d’accès pour voir ce qu’ils étaient tous en train de comploter.
Oui, c’est bien ça : le criminel Jean-Marc Donnadieu se plaint que l’ufologue Christian Comtesse, sans jamais avoir commis la moindre infraction pénale, ait pu tenter d’accéder à ses échanges privés avec ses complices concernant de multiples infractions pénales dont ils sont les auteurs, et du même coup en obtenir des preuves. Il va d’abord s’en plaindre aux policiers du commissariat de Béziers qui lui font remarquer qu’il n’y a là aucune infraction pénale, puisqu’il a lui-même fourni ses codes d’accès, et refusent par conséquent de prendre sa plainte, ce en quoi il s’en plaint très amèrement au procureur de la République de Béziers dans la plainte qu’il a déposée le 3 février 2012.
Dans son esprit, c’est très clair : policiers et magistrats sont bien là pour « protéger » les délinquants et criminels contre leurs victimes, surtout lorsque celles-ci tentent de se défendre, d’obtenir des preuves, de dénoncer.
Jean-Marc Donnadieu est un débile mental, comme tous les psychopathes qu’utilise la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest pour toutes ses entreprises criminelles.
En faisant partie depuis de très nombreuses années, il n’a toujours connu que ce mode-là de fonctionnement de la « justice » et s’imagine vraiment être dans son bon droit ou au moins dans le vrai (ça va marcher…) lorsqu’il demande à la justice de le protéger contre ses victimes et de les faire poursuivre et condamner. Il sait par expérience qu’il ne tombera pas « dans le Jubillar » (= en détention préventive), comme dit son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi, s’il évite de dire qu’il me pirate, qu’il assassine des gens, etc, etc… bref s’il continue à nier fermement être l’auteur de crimes ou délits comme il l’a toujours fait… et à mentir et affabuler comme il l’a aussi toujours fait…
Au passage, il se plaint aussi que le policier qui l’a reçu au Commissariat de Béziers le 20 janvier 2012 n’a pas décliné son identité…
Je ne sais pas pour vous, mais moi, quand je vais dans un commissariat, je ne demande pas aux policiers qu’ils me déclinent leurs identités respectives, c’est exactement l’inverse qui se passe…
Les malades mentaux de la bande du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi se trouvent tous tellement imprégnés du procédé extrême-gauchiste et pervers d’inversion totale de tout (faits, personnalités, valeurs, etc…) qu’ils peuvent même le faire ainsi de manière systématique et quasi réflexe, gratuite, et même au risque qu’il desserve leurs intérêts (cette plainte grandement délirante aura tout de même donné lieu à une enquête préliminaire et a finalement été classée sans suite après que le mis en cause se fût expliqué sur les « faits » qui lui étaient reprochés).
Je rappelle aussi que Jean-Marc Donnadieu en tant que fer de lance de toute la bande du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi a réussi à faire condamner mon ancien hébergeur de blog OverBlog à lui verser une grosse somme d’argent en dommages et intérêts (7500,00 € comme il me le rappelait le 18 avril dernier, sans compter les sommes allouées au titre de l’article 700 du Code de procédure civile pour deux procès, alors qu’en réalité il n’avait rien déboursé, bénéficiant d’une aide juridictionnelle totale) au motif de révélations que j’aurais faites concernant son identité et sa vie privée alors qu’en réalité il en était lui-même l’auteur, non seulement sur mon blog mais également sur de très nombreux autres sites, dont les siens, tandis que lui-même et ses complices de la bande Luraghi se rendaient, eux, effectivement coupables à mon encontre de telles atteintes à l’intimité de le vie privée depuis juin 2010. Et de façon à s’éviter toute contradiction de ma part, il m’avait exclue de toutes ses procédures contre OverBlog qui aurait dû être entendu en sa défense en appel à Montpellier comme en première instance à Béziers.
SAETDE exploitant des secteurs Pas de la Casa – Grau Roig – Funicamp dans le domaine Grandvalira à Andorre recherche recrute électricien remontées mécaniques en CDI.La station de Grandvalira a été crée en 2003 à l’issue de la fusion des plus anciennes stations des Pyrénées : Pas de la Casa-Grau Roig (1956) et Soldeu-El Tarter (1964). Cette fusion a donné lieu à la plus grande station des Pyrénées et l’une des plus grandes d’Europe, avec 210 kilomètres de pistes sous un forfait unique donnant accès à tout le domaine skiable.Poste :Au sein du service électrique de la station, vous serez amené à effectuer la maintenance préventive et curative du parc de remontées mécaniques (1 Funitel, 1 TC10, 7TSD, 7TSF, 11TK)
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Contact: VIGOUROUX François
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Formation BTS Electrotechnique
Message modifié 1 fois. Dernière modification par phil6611, 01/05/2019 – 18:35
Si le confinement est levé en France, il ne l’est pas dans certaines régions d’Espagne. Mardi 15 décembre, de nombreux Français ont dû faire demi-tour après la frontière, dans le Val d’Aran.
Peut-on franchir la frontière pour aller faire des courses de Noël ? Vous êtes très nombreux à appeler France Bleu Occitanie depuis le début de la semaine pour avoir une réponse. Pour la Principauté d’Andorre, oui, c’est possible. À condition de revenir à la maison en France avant 20h, à cause du couvre-feu français. Il y a liberté de circulation le jour dans les deux pays.
En revanche pour l’Espagne, pour le Val d’Aran notamment, à la frontière avec la Haute-Garonne, c’est non ! Et on nage en plein paradoxe, car la frontière est bien ouverte, mais il est interdit de la franchir !
Le maire de Bossòst : « il n’est pas possible d’entrer ou de sortir de Catalogne »
« Il y a des contrôles aléatoires » explique le maire de Bossòst, Amador Marqués. Exemple ce mercredi 15 décembre, juste avant le village de Lés, et son supermarché : les policiers catalans, les Mossos d’Esquadra, ont arrêté toutes les voitures immatriculées en France. Pas d’amende (elle est pourtant de 300 euros), mais ordre de faire demi-tour.
Explication : la Catalogne, comme l’Aragon, et d’autres régions d’Espagne, sont aujourd’hui placées en « confinement périmétrique ». Il est interdit d’entrer ou de sortir des régions concernées, et ça vaut donc pour la France.
C’est la cacophonie
Mais on se heurte aussi au fonctionnement espagnol : l’Etat central (Madrid) a compétence pour la frontière internationale, laissée ouverte. Mais derrière, chaque région décide des mesures sanitaires. Pour la Catalogne (Barcelone) pour l’instant c’est strict. Et « c’est la cacophonie« , juge Amador Marqués.
Il y a cependant des exceptions : on peut aller en Espagne pour de rares raisons professionnelles, médicales, ou familiales. Mais pas pour une cartouche de cigarettes, une bouteille de pastis, ou un parfum.
En tout cas pour le Val d’Aran ça tombe mal. Les commerçants aranais vivent avec la clientèle française, essentiellement venue de Toulouse ou du Comminges, surtout à Noël. « Pour les commerçants, c’est terrible« , juge Amador Marqués.
Le maire de Bossòst demande depuis des semaines une exception à Barcelone et à Madrid pour les territoires transfrontaliers… il attend toujours.
Un bus matin et soir pour Andorre-la-Vieille et le Pas-de-la-Case, les mercredi vendredis et dimanches chez Fram. Un allez/retour Toulouse le Pas-de-la-Case dans la journée chaque mercredis et samedis avec Salt. Si on ajoute les cars affrétés chaque année par dizaines par les clubs du 3e âge, on mesure le goût des Toulousains pour les produits détaxés de la principauté (1).
Mercredi 11 février, 8h 30, 48 passagers ont payé 15 euros pour un voyage de 11 heures au pays du beurre, du sucre, de l’alcool et des cigarettes à pas cher. A peine rajeunie par un couple d’amoureux, une femme et ses deux enfants et quelques hommes jeunes et solitaires, la moyenne d’âge frôle la soixantaine. Des habitués se reconnaissent et se saluent avant de s’asseoir. Pomponnées comme des demoiselles, Josephine et sa copine Marie font parti de ces fidèles capables de supporter six heures de bus pour quatre heures de courses dans les supermarchés du Pas. «Je viens une fois par mois. L’été nous faisons la route en voiture. Ca fait une belle promenade». Et que vont acheter nos deux promeneuses? «Rien lance Joséphine, juste deux cartouches de cigarettes et une bouteille de whisky pour faire un cadeau».
Assis seul et silencieux, un jeune homme d’une vingtaine d’années à d’autres préoccupations. «Je monte une fois par mois, pour faire les courses de fond pour la famille», explique-t-il. Au moment de repartir il glisse son gros sac dans la soute à bagages. A l’intérieur: trois kilos de beurre, cinq litres d’huile d’olive, cinq kilos de sucre en poudre et cinq kilos de sucre en morceau (Lire ci dessous le tableau comparatif des prix).
gros fumeur…
Dominique lui a la quarantaine et le visage buriné par la vie. Amoureux du Pas-de-la-Case, ce demandeur d’emploi monte deux à trois fois par semaine passer quelques heures dans les supermarchés. «Je ne prends pas de risque, je redescends toujours avec deux cartouches de cigarettes et deux bouteilles d’alcool car je suis un gros fumeur… Si je monte en voiture je fais le plein , ça me paye le voyage».
Daniel , ne fume pas. Mais il monte tous les quatre mois «pour faire des achats très ciblés». Aujourd’hui il redescends avec un ampli tuner payé en liquide 320 euros. «A Toulouse, le même appareil est vendu 396 euros. Mais si je n’avais pas trouvé la référence exacte que j’ai choisi en ville avant de monter je serai reparti sans rien», précise-t-il satisfait. Au moment de repartir un couple de retraité transporte discrètement dans un sac l’appareil photo numérique dont ils ont parlé pendant la montée. Un monsieur d’une cinquantaine d’années qui se targuait dans le bus d’avoir travaillé pour la police porte un sac photo flambant neuf à l’épaule. Un homme filme ses deux copains qui remontent dans le car avec son tout nouveau caméscope. Il est 15 h 30, le bus redémarre. La douane volante le laisse rentrer à Toulouse sans le moindre contrôle. Ceux qui ont joué, ont gagné.
Bernard Davodeau
(1)Les quantités officiellement autorisées sont de 300 cigarettes, 5 litres de vin ou un litre et demi d’alcool de plus de 22°, ou trois litres d’alcool de moins de 22°. Le beurre est limité à un Kg et le sucre à 5 Kg. La valeur des produits manufacturés ne doit pas dépasser 549 euros par personne.
« L’ANDORRE, C’EST INTÉRESSANT POUR LE CHOIX ET LE COÛT DES PRODUITS.»
Oui. « C’est meilleur marché.»
Cécile Lamarque, 24 ans, étudiante en sociologie.
« Faire ses achats en Andorre, c’est intéressant pour le choix et le coût des produits. C’est bien pour les cigarettes, les CD vierges et l’alcool s’il y a une fête prévue. Je sais que c’est intéressant aussi pour les vêtements, mais je suis étudiante, alors ça passe au second plan. Je n’ai pas le permis de conduire mais ça ne me gênerait pas de faire tous ces kilomètres. En attendant, je passe des commandes auprès d’amis ou j’ai des copains qui m’emmènent. Je leur demande une cartouche de cigarettes. On ne peut pas en ramener trop, c’est tout un calcul. De toute façon, c’est plus intéressant d’y aller à plusieurs. On partage les frais et on ramène plus de marchandises. Même avec les frais du voyage, ça reste malgré tout meilleur marché.»
« QUELQUES PRIX AUGMENTENT, MAIS CERTAINS ARTICLES SONT MOINS CHERS.»
Bof. Ca dépend des produits.
Stéphane Graule, 32 ans, boucher.
« Ce n’est pas intéressant pour tous les produits. Par exemple pour l’alcool, ça ne vaut pas forcément le coup. Ici, il y a des discounters qui font des bons prix. Puis pour les parfums ça devient kif-kif. Et il y a plein d’autres prix qui commencent à monter. Ils essayent de faire de l’Andorre une espèce de Monaco.
J’y vais quand même à l’occasion, parce que ça vaut la peine pour certains produits, comme les cigarettes. Ici à 5 € le paquet, fumer devient un luxe. J’ai aussi des copains qui y vont pour équiper leurs voitures. Les enceintes, les autoradios, tout est à moitié prix. Pour ma moto, c’est pareil, c’est même pas la moitié du prix. Mais je ne descends vraiment qu’à l’occasion. Je n’y suis pas allé depuis un an.»
En date du 27 mai 2022, j’avais relayé cette information du 25 mai 2022 concernant un attentat qui venait d’être déjoué en m’interrogeant sur la possibilité que nous soyons confrontés à une nouvelle vague d’actes de terrorisme islamiste, après une période de tranquillité d’environ un an et demi :
Je suis au regret d’annoncer que c’était bien le cas, j’en ai eu confirmation au début du mois et dispose même du calendrier approximatif des attentats, que je ne publierai pas pour éviter d’être ensuite accusée de l’avoir moi-même suggéré.
Isabelle Johanny, vice-procureur du TJ de Brest, tentait de relancer le truc avec ses complices habituels, dont le pédophile et cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, depuis déjà plusieurs mois. J’avais stoppé la balle à plusieurs reprises mais ne peux quand même pas parer à tout, et donc, c’est bien reparti pour un tour.
Simultanément, je constate depuis deux jours que nous avons encore un crime très étrange auquel le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi et sa bande de cinglés ne sont peut-être pas étrangers, puisqu’ils y réagissent publiquement comme ils le font habituellement à propos de crimes dont ils sont eux-mêmes les auteurs. C’est celui dont François Vigouroux a été victime à Ille-sur-Têt, près de Perpignan, manifestement le 26 mai dernier.
Et bien sûr, ce qui s’est passé à Oslo hier ne m’a pas non plus échappé.
Enfin, le chef terroriste Pascal Edouard Cyprien Luraghi avait bien lui aussi annoncé sur Twitter cette nouvelle série et peut-être même revendiqué l’assassinat de François Vigouroux à Ille-sur-Têt à sa manière – voir liste de messages rapportés ci-dessous; en tout dernier lieu, en date du 2 juin 2022, alors que venait d’être découvert le corps dépecé de François Vigouroux, il se disait coupable et se comparait à un gecko fondant sur sa proie « comme la foudre fulminant dans les lointains »…c’est-à-dire à la manière du verseau…
Je rappelle que sa fête islamiste ne dépend ni de mes écrits publics ni de mes plaintes susceptibles de le concerner, mais uniquement des possibilités qu’il entrevoit d’obtenir des condamnations à mon encontre dans le cadre de procédures pour le moins abusives – oui, c’est ainsi, les criminels organisés qui ont déjà assassiné plusieurs membres de ma famille tiennent absolument à faire condamner leur victime par tous les moyens ou n’importe lequel, sans forcément de relation avec mes écrits publics, comme quoi ceux-ci ne sont vraiment pas des déclencheurs, et d’ailleurs leurs obsessions me concernant lors des attentats des années 1990 étaient déjà à peu près les mêmes, alors que je n’avais strictement aucune expression publique.
C’est pourquoi en dépit de menaces perpétuelles de nouveaux faits graves, je continue à alerter au maximum sur la toile, même si ce n’est pas terrible, mais je n’ai toujours pas trouvé mieux – les autorités officielles, ça ne marche absolument pas.
Depuis que je sais qui sont les auteurs de cet assassinat, je l’ai dit à de multiples reprises : c’est encore la bande de dingues du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Plusieurs ADN inconnus figurent dans le dossier et c’est parfaitement normal, ils étaient bien plusieurs, mais il n’y a pas eu volonté judiciaire de les identifier.
C’est encore possible.
Acquérir des certitudes définitives concernant Laurent Dejean, c’est encore possible aussi, il suffit qu’une enquête appropriée cherche à déterminer si oui ou non il faisait bien partie de la bande à cette époque, et fatalement la réponse tombera.
La fille de la victime fait bien de relever que le crime a été commis le jour de la Saint-Valentin. Cela ne tient pas du tout au hasard, il avait bien été programmé sciemment pour ce jour-là. Par contre, j’ai toujours eu l’impression que le malade mental Luraghi, qui est l’ordonnateur et/ou commanditaire du crime, cherchait à briser le coeur d’un homme (mari, patron, autre), sans que les raisons qu’il pourrait vous exposer ne correspondent forcément à des réalités, vu que c’est un paranoïaque délirant. En même temps, sa haine assassine et celle, collective, de toute sa bande, étaient bien dirigées contre Patricia Bouchon.
Ce sont bien eux qui ont commis ce crime, en relation avec toutes leurs exactions à mon encontre, car de leur point de vue, Patricia Bouchon ou un de ses proches étaient devenus une menace pour la suite de leurs entreprises délirantes à mon encontre. Encore une fois, ces gens-là étant des malades mentaux délirants, il est fort possible qu’en réalité personne ne les ait jamais menacés d’aucune manière, mais eux y ont bien cru. Ils ont tué pour cette raison. Ils ont eu peur d’être dénoncés à la justice par une personne dont la dénonciation ou la plainte aurait eu bien plus de chances que les miennes d’être suivie d’effet.
Un avocat que j’avais consulté quelques mois plus tôt se proposait de tenter d’infiltrer cette bande de malfaiteurs pour les coincer. Connaissant leurs méthodes habituelles et leur dangerorité, je l’en avais dissuadé. Mais si lui a eu cette idée-là, d’autres ont pu l’avoir aussi. Or, d’une part, Patricia Bouchon travaillait bien pour un cabinet d’avocat, et d’autre part, à travers moi, la bande de tarés a en fait toujours attaqué beaucoup de monde. Qu’un avocat de Toulouse ait pu demander à sa secrétaire d’aller voir ce que faisait Luraghi sur la toile ne paraît donc pas invraisemblable du tout. Même sans aller jusqu’à infiltrer la bande, elle a pu simplement consulter son blog, ou même, son poste de travail a pu être utilisé à cet effet sans qu’elle le sache elle-même, par exemple durant son arrêt de travail pour maladie. Par ailleurs, tout ceci étant du domaine du possible, le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi et sa bande de tarés le savaient eux aussi pertinemment et se méfiaient au point de rechercher systématiquement l’identité réelle de tout nouveau lecteur à partir de son adresse IP (ils le font d’ailleurs toujours à l’heure actuelle, ayant toujours autant, sinon beaucoup beaucoup plus de crimes et délits à cacher), d’où, aussi, la possibilité qu’ils se soient mis à paranoïer à mort après avoir identifié quelque part la secrétaire d’un avocat.
Ensuite, ils ont toujours traité de la même manière tous ceux qui les dérangeaient : piratages informatiques et écoutes illégales jusqu’à tout savoir de ces « suspects », ce qui permet après, selon les cas, soit de harceler, soit de mettre au point le scénario d’un assassinat et de le programmer.
Ce crime assez étrange, inquiétant en soi comme tous les crimes, le devient tout particulièrement pour les multiples victimes du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi et de sa bande de dingues dès lors qu’il est constaté qu’ils en rigolent publiquement, comme je l’ai fait remarquer ici :
En effet, ces tarés ont toujours eu pour habitude de « rire » publiquement de leurs propres crimes comme de leurs victimes.
Venons-en maintenant au nouveau crime dont il s’agit.
La victime est un habitant d’Ille-sur-Têt de 57 ans qui était porté disparu depuis le 26 mai, alors qu’il avait quitté son domicile à vélo, et dont le corps a été retrouvé dépecé et placé dans des sacs au soir du 1er juin (voir ci-dessous).
C’est inquiétant, car les malades mentaux de la bande du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi pourraient encore se trouver dans une phase intensive d’élimination de témoins gênants, comme ce fut le cas en 2011, notamment pour Patricia Bouchon.
De surcroît, pour cet assassinat du 14 février 2011, ils s’étaient justement associés à une ou plusieurs personnes de la région de Perpignan.
Ils pourraient donc être en train d’éliminer certains de leurs propres complices, ou bien encore d’autres témoins gênants.
Par ailleurs, dans la mesure où leurs complices de la magistrature du Finistère cherchaient encore l’an dernier à me forcer à leur fournir pour ce malade mental et ses projets soi-disant « littéraires » me concernant quantité de renseignements qu’ils n’avaient pas à me réclamer sur ma propre biographie, j’en déduis qu’ils n’avaient pas encore trouvé toutes mes relations passées ou en cherchaient encore, pour continuer à éliminer tous ces témoins gênants de ma vraie vie.
Il est donc également possible qu’ils aient depuis pu retrouver, par exemple, quelques-uns de mes anciens collègues de travail pour les assassiner.
Je pense de toute façon qu’ils continuent à en rechercher pour tous les éliminer, conformément à l’espèce de mandat tacite que le pédophile et criminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi tenait déjà des magistrats brestois au cours de l’été 2010.
P.S. : La nouvelle victime se nomme François Vigouroux – un nom breton. Il était électricien, vivait avec sa compagne et son fils, et n’avait apparemment aucun différend avec qui que ce soit.
Du nouveau dans l’enquête pour meurtre à Ille-sur-Têt (Pyrénées-Orientales) : on a appris, ce mercredi 22 juin, que le corps retrouvé au début du mois de juin près du site des Orgues a été retrouvé violemment mutilé, avant d’être placé dans des sacs. La victime a été formellement identifiée.
C’est une révélation particulièrement macabre dans l’enquête pour meurtre à Ille-sur-Têt (Pyrénées-Orientales). Un corps avait été retrouvé au soir du 1er juin par des promeneurs près du site des Orgues. On a appris ce mercredi 22 juin que le corps de la victime a été retrouvé découpé, puis placé dans des sacs. Information de nos confrères du Parisien, confirmée par le parquet de Perpignan.
Le corps formellement identifié
Il s’agit bien du cycliste de 57 ans, habitant d’Ille-sur-Têt, porté disparu fin mai. Le corps aété formellement identifié ce mardi dans l’après-midi. Cet homme était parti à vélo de son domicile pour se rendre à Thuir, à une quinzaine de kilomètres. Son cadavre a été retrouvé le 1er juin dernier, à environ un km 500 des Orgues, par un promeneur en contrebas de la chaussée « au niveau de la route de Montalba, proche d’un belvédère« , précise le maire de la commune, William Burghoffer.
Une enquête pour meurtre avait été ouverte par le parquet de Perpignan, le 2 juin dernier. Les investigations se poursuivent. Elles sont confiées à la brigade de recherches de la gendarmerie des Pyrénées-Orientales et à la section de recherches de Montpellier.
Meurtre de François Vigouroux, cycliste et père de famille : son corps démembré, retrouvé dans des sacs-poubelles
Le corps de François Vigouroux, un cycliste de 57 ans qui était porté disparu depuis fin mai, a été retrouvé démembré dans des sacs-poubelles. Le quinquagénaire avait un fils…
François Vigouroux était porté disparu depuis le 26 mai. Malheureusement, les enquêteurs ont fait une atroce découverte à Ille-sur-Têt, dans les Pyrénées-Orientales, le 1er juin. Le corps du cycliste de 57 ans a été retrouvé découpé, chaque partie étant emballée dans un sac-poubelle, après qu’un promeneur a alerté la police au sujet d’une odeur nauséabonde. D’après Le Parisien, la tête du défunt a été retrouvée dans un premier sac, reliée à son tronc, puis ont découvert un bassin et des cuisses dans un deuxième sac. Les autres sacs contenaient des vêtements. Mais les pieds et les mains du cycliste n’ont pas encore été retrouvés.
François Vigouroux retrouvé mort : pourquoi a-t-il été tué ?
Plus de trois semaines après la macabre découverte, les enquêteurs viennent de confirmer que le corps est bien celui de François Vigouroux. Le 26 mai, le quinquagénaire avait quitté son domicile pour se promener en vélo. Au bout de plusieurs heures sans nouvelles, ses proches se sont inquiétés et ont alerté la police. Il était père d’un enfant et semblait mener une vie paisible avec sa compagne. Pourquoi a-t-on voulu tuer ce cycliste? Se trouvait-il simplement au mauvais endroit au mauvais moment?
François Vigouroux n’avait « aucun conflit familial, ni professionnel »
« François est électricien, ce n’est pas un voyou. Il rentre tous les soirs dîner à la maison. C’est un homme tout ce qu’il y a de plus normal« , a déclaré l’un de ses proches. L’homme de 57 ans n’avait « aucun conflit familial, ni professionnel« . Une enquête criminelle pour meurtre a été ouverte par le parquet de Perpignan, selon L’Indépendant. Les enquêteurs tentent de déterminer si la victime a été tuée ou non à l’endroit où son corps a été découvert.
Le destin tragique d’un cycliste à Ille-sur-Têt : son corps retrouvé démembré dans des sacs
La macabre découverte avait été faite par un promeneur le 1er juin dernier près du site touristique des Orgues. Les enquêteurs ont désormais identifié la victime : un homme de 57 ans porté disparu quelques jours auparavant.
C’est une sordide affaire qui fait l’objet de nombreuses discussions en Conflent dans les Pyrénées-Orientales. Le 1er juin dernier, nous vous apprenions la découverte d’un cadavre sur la commune d’Ille-sur-Têt. Alors que peu d’informations n’avaient fuité concernant ce drame, vingt jours plus tard, l’enquête avance et le corps a bel et bien été identifié.
Un corps retrouvé dans deux sacs distincts
C’est un promeneur qui avait fait la terrible découverte entre deux routes départementales, sur la commune d’Ille-sur-Têt. C’est dans ce sentier escarpé près du site touristique des Orgues, qu’alerté par une odeur nauséabonde, il avait prévenu les gendarmes. Dépêchés sur les lieux, les militaires avaient alors découvert l’horreur. « Le corps a effectivement été retrouvé réparti dans deux sacs distincts », nous confirme le procureur adjoint de la République de Perpignan, après la révélation de nos confrères du Parisien.
« Dans le premier, la vision macabre d’une tête humaine encore reliée à un tronc. Dans le second, un bassin et des cuisses humaines », précise le journal. Des vêtements auraient aussi été découverts plus tard, mais aucune trace des pieds et des mains du défunt. Le parquet avait très vite ouvert une enquête pour meurtre, confiée à la brigade de recherches de la gendarmerie des Pyrénées-Orientales, appuyée par la section de recherches de Montpellier. Leur objectif : identifier la victime, mais aussi les circonstances de cette fin tragique.
Un cycliste porté disparu depuis le 26 mai
Moins d’un mois plus tard, les enquêteurs ont finalement réussi à identifier le cadavre. Il s’agit de François Vigouroux, un habitant d’Ille-sur-Têt, recherché par les gendarmes depuis le 26 mai dernier. Une information attestée par le procureur adjoint de Perpignan à notre rédaction. Cet homme de 57 ans avait quitté ce jour-là son domicile familial à vélo électrique vers 17h30 en direction de Thuir. Il n’avait ensuite plus donné signe de vie. De quoi alerter sa famille, qui jusqu’à peu, ne pouvait imaginer cette mort effroyable.
Des proches n’avaient d’ailleurs cessé les appels à l’aide sur les réseaux sociaux. « Je lance un appel à tous les Vététistes qui souhaitent nous aider, s’il-vous-plaît, sillonnez les pistes qu’il aurait pu emprunter », lance l’un d’entre eux sur Facebook. Un élément de l’enquête laissait déjà présager le pire. Le téléphone de François Vigouroux avait borné au nord d’Ille-sur-Têt une demi-heure après son départ. Le cinquantenaire était un habitué des traverses à proximité des Orgues. L’hypothèse d’un accident à vélo semblait alors déjà s’éloigner. Aujourd’hui, après son identification et la découverte de la découpe de son corps, l’hypothèse du crime ne fait plus aucun doute.
Mais qu’a-t-il bien pu arriver à cet homme sur son chemin ? A-t-il fait une mauvaise rencontre ? Était-il impliqué dans de sombres histoires ? Difficile pour l’heure de le dire. François Vigouroux apparaît bien loin du profil de la victime enlisée dans une affaire mafieuse, dont les façons de dissimuler les cadavres pourraient se rapprocher de la découverte d’Ille-sur-Têt. « Aucun conflit familial ni professionnel ne pouvant expliquer sa mort n’affleure« , ajoute le Parisien. « Les investigations sont toujours en cours », précise de son côté le procureur adjoint. Aucune piste n’est donc écartée, et personne n’a pour l’heure été interpellé. Le mystère demeure…