La DGSI poursuit un journaliste pour « compromission du secret-défense »

Je profite de cette information pour rappeler que lorsqu’au mois de juin 2010, le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi a révélé à son public mon identité et toutes les « informations » (fausses pour la plupart) concernant ma vie privée que lui soufflait sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest, il était conseillé par plusieurs personnes, celle-là comme des journalistes, qui tous savaient pertinemment que j’avais jadis travaillé pour la Défense nationale sur des projets classés et rêvaient depuis longtemps d’attaquer à travers moi les autorités militaires du pays et leur chef suprême, le chef de l’Etat, à cette époque Nicolas Sarkozy, sans oser le faire eux-mêmes en raison des risques encourus.

Le psychopathe Cyprien Luraghi était lui-même très bien informé à ce sujet depuis l’été 2008 au moins et je lui avais rappelé avec la publication suivante du 2 juin 2010 tous les problèmes auxquels, théoriquement, il se heurtait en s’acharnant sur moi comme il le faisait alors, menaçant déjà de faire des « révélations » fracassantes à mon sujet (cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire les textes) :

 

2010-06-02 A tous ceux qui s'obstinent à m'injurier, me diffamer, me calomnier - Un petit coucou

 

Voilà pourquoi, certainement, en parallèle aux premières « révélations » publiques d’importance me concernant se préparait la sortie du premier numéro du magazine Inspire d’Al-Qaïda, support de propagande pour les attentats islamistes à venir, tandis qu’à Toulouse Mohammed Merah commençait à s’agiter et se préparer lui-même pour la première série de ces attentats, au mois de mars 2012.

Je rappelle que les premières victimes en seront des militaires. Je m’y attendais depuis un moment et avais bien repéré avec effroi la toute première dépêche AFP concernant le premier assassinat, le 11 mars 2012, craignant (avec raison) que ce ne fut cela. Je verrai par ailleurs disparaître définitivement de mes statistiques de blog mon régulier lecteur d’Auterive après l’arrestation d’Abdelkader Merah, frère du tueur. A compter de ma première publication sur ces assassinats dans le Sud-Ouest, le 18 mars 2012, celui-ci s’était mis à consulter mon blog plusieurs fois par jour. J’aurai donc dès la fin mars 2012 la quasi certitude d’avoir toujours eu pour lecteurs ces islamistes toulousains et de leurs complices, parmi lesquels un peloton de Belges comptant aussi parmi mes très réguliers lecteurs de blog, à compter de l’année 2010.

Rappelons ici que le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi a toujours vécu pour l’essentiel de trafic de drogue, d’abord entre la France et l’Afghanistan sous la couverture d’une activité de guide de trek dans l’Himalaya dans la décennie des années 1980, puis dans le Sud-Ouest à compter des années 1990.

Je ne sais comment expliquer l’énorme raté de son premier et unique interrogatoire à la gendarmerie de Puy-l’Evêque le 14 mars 2011 à la suite de mes premières plaintes à son encontre, alors même qu’entrait en vigueur la loi LOPPSI 2.

Pour commencer, la policière de Brest qui m’avait interrogée le 15 février 2011 à la suite de mes premières plaintes avait refusé de joindre à ma déposition les éléments de preuve que je lui présentais, arguant que son collègue de Puy-l’Evêque irait de toute façon les rechercher sur les blogs du cybercriminel. Mais le gendarme en question n’a en définitive jamais consulté que les articles de l’unique blog public du délinquant, alors que l’essentiel de ses textes publics me concernant se trouvait dans les commentaires sur ces articles, et que les plus sensibles de ses textes me concernant étaient tous supportés par un autre blog m’étant celui-là exclusivement dédié, son blog Tique Toc ouvert en juin 2010 et devenu entièrement privé fin août 2010. S’abstenant d’interroger le mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi sur tous les commentaires de son blog public me concernant, il l’avait cru sur parole à propos de l’intégralité des contenus du second blog, Tique Toc, qui depuis sa fermeture au public ne supportait plus que des discussions de comploteurs à mon encontre. L’auteur de toutes les horreurs publiques de l’été 2010 sur ce blog Tique Toc (injures, diffamations et atteintes à l’intimité de la vie privée à profusion additionnées de menaces diverses, de harcèlement moral et d’un harcèlement sexuel évident), et de toutes les discussions privées qui désormais trahissaient bien d’autres infractions pénales à mon encontre, lui avait en effet déclaré tout ce blog très « propre » et ne contenant aucune « saloperie »…

J’ai publié quelques extraits de ce blog Tique Toc (pas les pires) ici, pour la journée de la femme de l’année dernière, afin que chacun puisse en juger par lui-même :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/03/08/juin-2010-pascal-edouard-cyprien-luraghi-ouvre-son-blog-tique-toc/

Par ailleurs, j’avais ainsi justifié en 2016 une demande de retrait de ses articles de blog où, cette année-là, il révélait encore au public mon identité, toutes mes coordonnées et bien d’autres éléments relevant de l’intimité de ma vie privée :

 

Justifiant sa demande de retrait de ces quatre articles, Madame (Petitcoucou) produit de nombreuses pièces et souligne en outre la circonstance particulière que Monsieur LURAGHI et ses amis l’ont en fait toujours harcelée pour son appartenance supposée ou réelle à l’un des services « secrets » de la République française.

Ils se plaisent à révéler les identités d’agents de l’Etat pour les mettre en danger.

Ce danger est bien réel pour Madame (Petitcoucou) qui par le passé a déjà fait l’objet de plusieurs tentatives d’assassinat en relation avec ses fonctions sur des projets classés de la Défense nationale et s’est de ce fait à plusieurs reprises retrouvée sous la protection de services spécialisés.

Ce fut notamment le cas au cours de l’année 1994.

Or, le jour même de l’interrogatoire de Monsieur LURAGHI à la gendarmerie de Puy-l’Evêque, le 14 mars 2011, était promulguée une loi renforçant la sécurité des agents que Monsieur LURAGHI recherche à travers toutes ses « enquêtes » concernant Madame (Petitcoucou).

L’article 413-13 du Code de la Défense qui en résulte est ainsi rédigé :

« Art. 413-13.-La révélation de toute information qui pourrait conduire, directement ou indirectement, à la découverte de l’usage, en application de l’article L. 2371-1 du code de la défense, d’une identité d’emprunt ou d’une fausse qualité, de l’identité réelle d’un agent des services spécialisés de renseignement mentionnés à l’article 6 nonies de l’ordonnance n° 58-1100 du 17 novembre 1958 relative au fonctionnement des assemblées parlementaires ou de son appartenance à l’un de ces services est punie de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 € d’amende.
« Lorsque cette révélation a causé une atteinte à l’intégrité physique ou psychique à l’encontre de ces personnes ou de leur conjoint ou partenaire lié par un pacte civil de solidarité ou de leurs descendants ou ascendants directs, les peines sont portées à sept ans d’emprisonnement et à 100 000 € d’amende.
« Lorsque cette révélation a causé la mort de ces personnes ou de leur conjoint ou partenaire lié par un pacte civil de solidarité ou de leurs descendants ou ascendants directs, les peines sont portées à dix ans d’emprisonnement et à 150 000 € d’amende, sans préjudice, le cas échéant, de l’application du chapitre Ier du titre II du livre II.
« La révélation, commise par imprudence ou par négligence, par une personne dépositaire soit par état ou profession, soit en raison d’une fonction ou d’une mission temporaire ou permanente, de l’information mentionnée au premier alinéa est punie de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 € d’amende.
« Le présent article est applicable à la révélation de toute information qui pourrait conduire, directement ou indirectement, à l’identification réelle ou supposée d’une personne comme source ou collaborateur d’un service spécialisé de renseignement. »

En vertu de ce texte, Monsieur LURAGHI est passible, au bas mot, d’une peine de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 € d’amende.

Il conviendra de noter qu’aucun journal n’a jamais fait preuve de son extraordinaire témérité, puisqu’à ce jour il reste le seul à révéler l’identité de Madame (Petitcoucou) et publier cette décision de justice.

 

A la suite de son interrogatoire du 14 mars 2011, au cours duquel le gendarme l’ayant reçu à cet effet l’avait en fait laissé lui raconter tout ce qui lui chantait sans en exiger aucun justificatif, mes premières plaintes à son encontre avaient été très rapidement classées sans suite sans aucune autre mesure d’enquête et dans la foulée, le gendarme de Puy-l’Evêque avait été muté en Guadeloupe tandis que ma policière de Brest quittait carrément la police.

Des Brestois très proches des magistrats ultra CORROMPUS qui en fait auraient dû intervenir très rapidement dès le tout début au cours de l’été 2010 sont depuis passés par les sommets de l’Etat et s’y trouvent toujours pour certains.

 

 

https://www.lepoint.fr/societe/un-journaliste-dans-le-collimateur-de-la-dgsi-28-02-2020-2364909_23.php

Un journaliste dans le collimateur de la DGSI

 

VIDÉO. La direction du service français de renseignement intérieur poursuit en justice l’auteur d’un livre pour « compromission du secret-défense ».

 

Par

Modifié le 28/02/2020 à 14:20 – Publié le 28/02/2020 à 11:34 | Le Point.fr

 

On ne dévoile pas impunément « les succès » et les « ratages » du renseignement intérieur français dans la lutte antiterroriste. Pour avoir publié un livre-enquête sur les guerres de l’ombre de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), le journaliste Alex Jordanov est aujourd’hui poursuivi en justice pour « compromission du secret-défense ». Il a été convoqué, le 27 février au matin, par la brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP) de la police judiciaire parisienne pour interrogatoire.

Convoqué à 10 heures du matin, le journaliste n’est ressorti libre qu’en début d’après midi. « Le capitaine que j’avais en face de moi a été très courtois. Il m’a posé énormément de questions. Il m’a notamment demandé si je connaissais les textes de loi qui protègent le secret-défense. Je lui ai demandé, en retour, s’il connaissait l’article 2 de la loi de 1881 sur la liberté de la presse (cette disposition concerne la protection des sources, NDLR). » Le policier a, en effet, demandé à M. Jordanov de divulguer les sources de son enquête au sein des services, ce qu’il a refusé. Cette procédure porte « directement atteinte au droit d’informer, mais également au secret des sources », a dénoncé son avocat, maître William Bourdon, dans un communiqué.

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Les enquêteurs ont multiplié les questions sur un certain Franck A. cité dans le livre: un agent qui devait ouvrir un kebab en Égypte face à une mosquée servant de point de ralliement à des personnes ciblées par les services. « Pour ce faire, la DGSI a donné 200 000 euros à l’intéressé. Or, avec cet argent, Franck a ouvert un web-café à l’autre bout du pays. Et sa hiérarchie n’était vraiment pas contente », relève Alex Jordanov. Lequel s’amuse que la police l’ait également interrogé sur un autre capitaine de l’ex-Direction Centrale du Renseignement Intérieur (devenue la DGSI): un officier surnommé dans les services « le pâtissier » car il avait passé un CAP en pâtisserie. « Je leur ai répondu que je m’étais contenté d’étoffer ce que Le Point avait publié », sourit Alex Jordanov.

Lire aussi Alex Jordanov, l’homme qui confessait les espions

Paru en avril 2019, Les Guerres de l’ombre de la DGSI, plongée au cœur des services secrets français, le livre incriminé, raconte des dizaines d’opérations visant à la fois les milieux islamistes et des cellules d’espionnage, notamment russes, dans notre pays. « Nous ne visions qu’à apporter au grand public des éléments de compréhension des difficultés d’adaptation et de mutation de la DGSI face à la menace terroriste. Et nous avions bien fait attention à ne dévoiler aucune donnée susceptible de mettre en danger des agents ou des opérations en cours », précise Yannick Dehée. C’est ainsi qu’un chapitre consacré à une mission visant des agents étrangers opérant sur le sol français, qui figurait au manuscrit initial, a finalement été retiré.

Manœuvre d’intimidation ?

« Cette procédure s’inscrit dans une logique d’intimidation à l’égard des journalistes d’investigation en France depuis plusieurs années », dénoncent d’une même voix Me Bourdon et son éditeur, Yannick Dehée (Nouveau Monde). La DGSI avait déjà convoqué, en mai dernier, huit journalistes ayant enquêté sur les conditions dans lesquelles la France avait livré des armes françaises au Yémen. Une journaliste du Monde ayant enquêté sur l’affaire Benalla avait également été questionnée par des enquêteurs de la DGSI.

Ces convocations avaient été dénoncées par une vingtaine d’associations et de syndicats comme représentant une atteinte à la liberté de la presse. Fin janvier, le parquet de Paris avait d’ailleurs fini par classer sans suite l’enquête pour « compromission du secret de la défense nationale » concernant les révélations sur les livraisons d’armes au Yémen.

Une caméra chez un journaliste ?

Il y a cependant une atteinte « plus grave encore », explique Alex Jordanov. Le journaliste affirme que « (s)on domicile a fait l’objet en son absence, fin 2019, d’une visite frauduleuse (sans effraction), d’évidence à des fins de collecte d’informations sur (s)on ordinateur ». Il est apparu qu’une caméra miniature avait été installée dans un couloir à l’insu de M. Jordanov. « Cette caméra qui ne disposait pas de carte mémoire, a été remise à la police », expliqué l’intéressé qui a porté plainte.

« J’ai appris avec surprise qu’un magistrat pouvait autoriser ce genre de « visites » dans le cadre des nouvelles techniques de renseignement. Avant, les agents, conscients de l’illégalité d’une telle action, disaient qu’ils « rentraient à la mexicaine ». Mes amis journalistes américains à qui j’ai raconté l’épisode me disent que la France ressemble de plus en plus au Congo », grince le journaliste. Son éditeur Yannick Dehée déclare qu’« il y a tout lieu d’être préoccupé si, dans la France actuelle, on use, à l’égard des journalistes enquêtant sur les éventuels dysfonctionnements de l’État, de moyens d’action qui semblaient jusqu’ici réservés aux terroristes ».

L’interrogatoire de M. Jordanov intervient au moment où se tient à Londres le procès de Julian Assange, dont les États-Unis demandent l’extradition et qui encourt 175 années de prison, pour avoir publié sur le site WikiLeaks des données que Washington estime confidentielles. Yannick Dehée indique qu’il ne retirera pas de la vente l’ouvrage d’Alex Jordanov, sauf à y être contraint par une décision de justice.

La DGSI poursuit un journaliste pour

Les Guerres de l’ombre de la DGSI, plongée au cœur des services secrets français, d’Alex Jordanov, Nouveau Monde éditions, 296 pages, 19,90 €.

 



Attention, je suis contagieuse !

Je préviens tous ceux qui seraient tentés de venir m’agresser chez moi, ce n’est vraiment pas le moment s’ils souhaitent rester en bonne santé.

En effet, depuis deux jours, j’ai mes petits symptômes saisonniers, voire plus : nausée permanente, mal de tête pas possible, que je commence tout juste à calmer un peu, sinon je ne serais toujours pas devant l’écran, nez qui coule, frissons, courbatures, etc…

Je ne sais pas ce que c’est, ça devrait passer tout seul ou presque, comme d’hab.

Voili, voilà.



Affaire Griveaux : Piotr Pavlenski dit avoir parlé de son projet dès le 13 janvier 2020

Comme j’avais remarqué durant la journée du lundi 13 janvier 2020 une étrange absence du web du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, absence indiquant comme un mois plus tôt, le 13 décembre 2019, qu’il avait mieux à faire que de papoter sur Twitter et devait être occupé à comploter, j’en poste les preuves ici, après l’article qui suit.

 

https://www.francetvinfo.fr/monde/russie/piotr-pavlenski/affaire-griveaux-piotr-pavlenski-affirme-avoir-demande-de-l-aide-a-maxime-nicolle-l-une-des-figures-des-gilets-jaunes_3839133.html

Affaire Griveaux : Piotr Pavlenski affirme avoir demandé de l’aide à Maxime Nicolle, l’une des figures des « gilets jaunes »

 

« Maxime Nicolle a refusé de diffuser des articles », a expliqué à France Inter Piotr Pavlenski.

 

L\'activiste russe Piotr Pavlenski, à Paris, le 22 février 2020.
L’activiste russe Piotr Pavlenski, à Paris, le 22 février 2020. (MARTIN BUREAU / AFP)

 

L’activiste politique russe Piotr Pavlenski affirme lundi 24 février sur France Inter avoir rencontré « entre le 13 et 15 janvier » l’avocat Juan Branco et Maxime Nicolle, l’une des figures du mouvement des « gilets jaunes ». Il explique ainsi avoir mis les deux hommes au courant de son projet de diffuser les vidéos intimes de Benjamin Griveaux, pour lesquelles il a été mis en examen pour atteinte à l’intimité de la vie privée et diffusion, sans l’accord de la personne, d’images à caractère sexuel.

>> Clef USB jetée dans les toilettes, enregistrement des vidéos… Ce qu’a dit Alexandra de Taddeo aux enquêteurs sur l’affaire Griveaux

L’activiste russe, réfugié en France depuis 2017, assure avoir détaillé son projet à l’avocat Juan Branco : « Je lui ai dit que j’avais quelques documents à caractère pornographique, mais qu’on ne voyait pas le visage. Juan m’a dit que je devais comprendre que ça pouvait poser des problèmes juridiques, j’ai répondu ‘T’inquiètes pas, s’il y a des problèmes juridiques, c’est pas grave », explique-t-il. Piotr Pavlenski affirme avoir demandé au « gilet jaune » Maxime Nicolle, « si après [la publication], il pouvait m’aider à diffuser des contenus, mais il a refusé de diffuser des articles, il m’a dit qu’il pourrait juste, peut-être, diffuser l’adresse du site internet ».

Une « guerre contre mon amour avec Alexandra »

Piotr Pavlenski affirme n’avoir jamais entendu parler de l’ancien porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux jusqu’à ce que son « amoureuse depuis un an », Alexandra de Taddeo lui confie avoir eu une liaison avec lui : « Je croyais que c’était un fonctionnaire, j’ai fait des recherches, j’ai vu qu’il avait été de gauche avant de rejoindre Macron », explique-t-il. Piotr Pavlenski répète à France Inter que ce qui l’a poussé à publier les vidéos intimes attribuées à Benjamin Griveaux, c’est parce que l’ancien candidat La République en marche (LREM) à la mairie de Paris a « parlé aux électeurs de sa famille » comme d’un modèle, « tout en écrivant à Alexandra de Taddeo » que « sa famille était une prison ».

Piotr Pavenski entend bien reconstruire son site Pornopolitique, bloqué depuis le 15 février : « Bien sûr que le projet Pornopolitique doit continuer. » Il dit ne pas comprendre sa mise en examen pour l’affaire de la publication de vidéos intimes et son interdiction, dans le cadre de son contrôle judiciaire, d’entrer en contact avec Alexandra de Taddeo : « Le gouvernement a commencé une guerre contre mon amour avec Alexandra, c’est cruel. »

 

Suite des tweets actuellement disponibles sur le fil de Cyprien Luraghi pour les journées des 13, 14 et 15 janvier 2020 :

 

Affaire Griveaux : Piotr Pavlenski dit avoir parlé de son projet dès le 13 janvier 2020 dans AC ! Brest 20200224%2B1%2B-%2BTweets%2Bwith%2Breplies%2Bby%2BCyprien%2BLuraghi%2B%2528%2540CyprienLuraghi%2529%2B_%2BTwitter_%2B-%2Btwitter.com

 

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20200224%2B4%2B-%2BTweets%2Bwith%2Breplies%2Bby%2BCyprien%2BLuraghi%2B%2528%2540CyprienLuraghi%2529%2B_%2BTwitter_%2B-%2Btwitter.com dans Corruption

 

20200224%2B5%2B-%2BTweets%2Bwith%2Breplies%2Bby%2BCyprien%2BLuraghi%2B%2528%2540CyprienLuraghi%2529%2B_%2BTwitter_%2B-%2Btwitter.com dans Crime

 

20200224%2B6%2B-%2BTweets%2Bwith%2Breplies%2Bby%2BCyprien%2BLuraghi%2B%2528%2540CyprienLuraghi%2529%2B_%2BTwitter_%2B-%2Btwitter.com dans Folie

 

20200224%2B7%2B-%2BTweets%2Bwith%2Breplies%2Bby%2BCyprien%2BLuraghi%2B%2528%2540CyprienLuraghi%2529%2B_%2BTwitter_%2B-%2Btwitter.com dans LCR - NPA

 

 

Seules discussions auxquelles Cyprien Luraghi a participé en date du 13 janvier 2020 :

 

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20200224%2B9%2B-%2BCyprien%2BLuraghi%2Bon%2BTwitter_%2B_%2540AlInsoumis%2BIl%2By%2Ba%2Bquelques%2Barticles%2Br%25C3%25A9_%2B-%2Btwitter.com dans Luraghi

 

20200224%2B10%2B-%2BCyprien%2BLuraghi%2Bon%2BTwitter_%2B_%2540SuperDesabused%2B%2540brutofficiel%2BY%2Ba%2Brien%2B_%2B-%2Btwitter.com dans NEMROD34

 

 



Coronavirus : propagation rapide, près de 1800 morts en Chine

Décontractez-vous, les gars, cessez tous vos assassinats, harcèlements et attentats anti-procès pour viols et autres abus, mettez-vous à table, même, n’hésitez plus, dorénavant vous pouvez causer autant que vous voulez de toutes vos saloperies, vu les lenteurs de la justice et la rapidité de propagation du nouveau virus tueur, il n’y aura de toute façon jamais aucun procès.

 

 

https://lepetitjournal.com/hong-kong/le-virus-pourrait-infecter-les-23-de-la-population-mondiale-274179

« Le virus pourrait infecter les 2/3 de la population mondiale »

 

Par Lepetitjournal Hong Kong | Publié le 16/02/2020 à 15:00 | Mis à jour le 16/02/2020 à 18:03
Photo : Le professeur Leung, du département de santé publique de l’Université de Hong Kong

 

Coronavirus Hong Kong épidémie

 

Le Professeur Gabriel Leung, de Hong Kong University, a déclaré en début de semaine dernière, “Il y a une possibilité que 60% de la population mondiale finisse par contracter le virus”. Le taux de propagation est tel, selon lui, que même si les mesures actuelles de contingentement s’avèrent nécessaires et efficaces aux premiers stades de l’épidémie, celle-ci risque de se propager bien au delà des pays actuellement touchés.

Propagation rapide

Une statisticienne et conseillère de l’OMS, Ira Longini, a également corroboré l’hypothèse émise par le Professeur Leung.  »Avec une contamination moyenne de 2,5 personnes par cas, explique-t-elle, le taux de contagion du coronavirus COVID-19 peut atteindre 60 à 80% ». L’effet des mesures actuelles est, selon cette autre spécialiste, de ralentir la propagation, mais celle-ci est inéluctable, compte-tenu de la nature même de la menace.

 

Coronavirus Hong Kong épidémie

Pays déjà touchés par le COVID-19

 

Forme atténuée du virus

La particularité d’un coronavirus étant en effet de pouvoir passer d’une espèce à l’autre, la capacité de transformation du COVID-19 est grande, lui permettant de s’acclimater en permanence à de nouveaux types d’organismes. La phase de la contagion à l’homme a donc consisté pour le virus à réagir violemment aux nouvelles défenses qu’il a rencontré. Statistiquement, les effets mortels ne profitent pas à un virus qui tend à s’éteindre par diminution du nombre de porteurs. Ce sont par conséquent les formes les plus bénignes qui auront au final tendance à survivre, en continuant à se répandre via des sujets dont elles n’affectent pas trop l’état de santé. On pourrait donc s’acheminer progressivement, selon les scientifiques vers des formes moins fortes du coronavirus, une nouvelle grippe en quelque sorte.

 

S’installer dans la durée

Pour l’instant, ces hypothèses ne peuvent être vérifiées car les chiffres progressent encore et les modes de contagion évoluent, mais de nombreux scientifiques commencent y attacher de plus en plus d’importance. Ainsi Marc Lipsitch, éminent épidémiologiste de l’Université de Harvard, affirmait-il il y a quelques jours:  »Ce virus va probablement nous accompagner au delà de cette saison et peut être de cette année, en trouvant naturellement des groupes favorables”. Si tel est le cas, les recherches ne devraient pas s’orienter vers l’éradication de la maladie mais les moyens d’en atténuer les symptômes. Le monde apprendrait dans ce cas à vivre avec ce nouveau virus, comme il l’a déjà fait dans le cas de la grippe ou du Sida.

 

https://actu.orange.fr/monde/coronavirus-le-bilan-monte-a-pres-de-1-770-morts-en-chine-evolution-impossible-a-prevoir-CNT000001nJnUm/photos/des-employes-proteges-par-des-masques-travaillent-dans-une-usine-de-semiconducteurs-a-sihong-dans-la-province-chinoise-du-jiangsu-le-16-fevrier-2020-988e3299b9946a5728e0afa090c54334.html

Coronavirus: le bilan monte à près de 1.770 morts en Chine, évolution « impossible à prévoir »

 

Des employés protégés par des masques travaillent dans une usine de semiconducteurs à Sihong, dans la province chinoise du Jiangsu, le 16 février 2020
Des employés protégés par des masques travaillent dans une usine de semiconducteurs à Sihong, dans la province chinoise du Jiangsu, le 16 février 2020
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© AFP, STR

 

A lire aussi

AFP, publié le lundi 17 février 2020 à 07h13

 

Le bilan de l’épidémie de pneumonie virale est monté lundi à près de 1.770 morts en Chine continentale, selon des chiffres officiels publiés lundi qui confirment une décrue, même si l’Organisation mondiale de la santé a averti que la propagation du coronavirus reste « impossible à prévoir ».

Des experts internationaux dépêchés à Pékin par l’OMS ont commencé à discuter avec leurs homologues chinois. « Nous avons hâte que cette collaboration importante et vitale contribue aux connaissances mondiales sur l’épidémie de #COVID19″, a estimé le chef de l’OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus dimanche soir sur Twitter.

Cette rencontre intervient alors que le bilan de l’épidémie de pneumonie virale Covid-19 s’est encore alourdi en Chine continentale avec désormais 1.765 morts, pour la plupart dans la province du Hubei (centre), selon des chiffres officiels publiés lundi. Le bilan hors Chine continentale est de 1.770

Le ralentissement du nombre quotidien de nouveaux décès en Chine continentale se confirme (105 lundi contre 142 dimanche et 143 samedi). De plus, le nombre de nouveaux cas recensés en dehors du Hubei était de seulement 115 lundi, contre près de 450 une semaine plus tôt.Un haut responsable chinois a estimé que son pays était en train de maîtriser l’épidémie: « On peut déjà constater l’effet des mesures de contrôle et de prévention de l’épidémie dans différentes parties du pays », s’est félicité le porte-parole du ministère chinois de la Santé, Mi Feng.

En dehors de la Chine continentale où au moins 70.500 personnes ont été infectées, près de 800 cas de contamination par l’épidémie du coronavirus ont été confirmés dans une trentaine de pays du monde.

En visite au Pakistan, le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres s’est dit confiant que « l’effort gigantesque » consenti par la Chine « permettra le recul progressif de la maladie ».

Mais le chef de l’OMS a averti de son côté qu’il était « impossible de prévoir quelle direction l’épidémie prendra ».

« Nous demandons à tous les gouvernements, toutes les sociétés et tous les organismes de presse de travailler avec nous pour déclencher le niveau d’alarme idoine sans souffler sur les braises de l’hystérie », a-t-il lancé à la conférence de Munich sur la Sécurité.

- Premier mort à Taïwan -

Au centre de la crise, la province du Hubei, où 56 millions d’habitants sont coupés du monde depuis le 23 janvier, a encore restreint la liberté de mouvement de ses citoyens bien au-delà de sa capitale Wuhan.

Villages et cités résidentielles sont désormais soumis à « une stricte gestion fermée », 24 heures sur 24, ce qui signifie que les habitants ne sont plus censés sortir de chez eux jusqu’à nouvel ordre.

Les achats et la distribution de nourriture et de médicaments peuvent être faits de façon « centralisée », précise une directive provinciale publiée dimanche.

Dans le reste du monde, l’épidémie maintient la planète en alerte. Un premier décès hors d’Asie –un touriste chinois de 80 ans hospitalisé en France– et un premier cas sur le continent africain — en Egypte — ont été recensés ces derniers jours. Taïwan a aussi annoncé dimanche son premier mort, un chauffeur de taxi de 61 ans.

 

Coronavirus : propagation rapide, près de 1800 morts en Chine dans AC ! Brest

 

Le principal foyer d’infection hors de Chine reste le paquebot de croisière Diamond Princess, en quarantaine au Japon: 355 cas de contamination y ont été confirmés, dont 70 nouveaux cas annoncés dimanche.

Plusieurs pays — Canada, Etats-Unis, mais aussi Hong Kong, près d’un millier de passagers à eux trois — ont décidé d’évacuer rapidement leurs ressortissants, bloqués dans le bateau en quarantaine depuis le 3 février. Mais les 3.711 personnes initialement à bord n’ont pas encore toutes subi les examens permettant d’établir leur éventuelle contamination.

Les Américains en quarantaine ont été évacués du bateau lundi à l’aube. Une partie d’entre eux seront transportés dans une base militaire en Californie et d’autres au Texas.

- Vol de papier toilette -

En Chine, après avoir révoqué vendredi les plus hauts responsables politiques du Hubei et de Wuhan, le régime communiste a poursuivi le mouvement dimanche avec l’annonce de sanctions contre de hauts fonctionnaires de moindre rang.

« Lorsqu’une crise de cette ampleur se produit, cela prend une importance politique, car l’image internationale de la Chine et la légitimité du Parti (communiste) sont en jeu », estime la sinologue Zhou Xun, de l’Université d’Essex (Angleterre).

Le régime du président Xi Jinping fait face à une vague inédite de mécontentement pour avoir tardé à réagir à l’épidémie. Une colère attisée par la mort au début du mois d’un jeune médecin de Wuhan qui avait été convoqué par la police pour avoir alerté dès décembre sur l’apparition du virus.

« De façon générale, depuis Mao, l’Etat a fait très peu pour la santé publique », selon Mme Zhou. « Le résultat, c’est que le système de santé est très faible, inefficace, coûteux et chaotique ».

A Hong Kong, territoire qui s’est barricadé pour se protéger contre l’épidémie depuis une dizaine de jours, les consommateurs dévalisent les supermarchés pour stocker aliments et produits d’entretien par crainte de pénuries, même si les autorités affirment que la chaîne d’approvisionnement continue à fonctionner normalement.

Lundi, selon la police hongkongaise, un chauffeur de camion a été braqué devant un supermarché du quartier de Mong Kok par trois individus armés de couteaux qui lui ont dérobé un important stock de rouleaux de papier de toilette, un produit devenu difficile à trouver dans les rayons.

 



La pourrie Ouenja a déjà prévenu ses complices qu’ils risquaient d’être sur écoute !



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