Pourquoi Hélène Sergent de 20minutes.fr s’acharne sur la femme ingénieur que je suis

 

La rédaction de Mediapart, en juillet 2010.
La rédaction de Mediapart, en juillet 2010. — HALEY/SIPA

 

Je n’y ai pas fait attention tout de suite, mais une réponse m’a bien été fournie hier avec la photographie republiée ci-dessus et qui a servi d’illustration à l’article du site « déconnologue » 20minutes.fr consacré au harcèlement sexuel dans les médias depuis l’affaire de la Ligue du LOL et #MeToo, lequel se trouve ici :

https://www.20minutes.fr/arts-stars/medias/2710111-20200208-harcelement-sexuel-change-medias-depuis-ligue-lol-metoo

C’est le gros titre du numéro de Mediapart qui se trouve bien en évidence au premier plan de cette photographie prise au mois de juillet 2010 dans la rédaction de ce site d’information lancé en mars 2008 autour d’Edwy Plenel, ancien journaliste de la LCR dont la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest se vante alors publiquement de toujours obtenir tout ce qu’elle veut, alors même qu’elle vient de son côté de faire révéler au public par son complice le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi mon identité et sa version entièrement fausse et monstrueusement calomnieuse de ma biographie, tandis que ses complices islamistes de très longue date ont réalisé et publié le premier numéro de leur magazine Inspire :

« Karachi la bombe qui inquiète Sarkozy »

Wouow…

Et le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui m’assimile effectivement à Nicolas Sarkozy, alors chef de l’Etat, depuis le début de ses harcèlements à mon encontre, en 2008, de s’exciter comme un fou avec toutes ses révélations publiques concernant ma vie privée… (il commet alors au moins un délit par ligne de texte sur chacun de ses blogs, souvent plusieurs, de nouveaux textes me concernant y apparaissant tous les jours en quantités industrielles).

Sachant que je ne suis pas une inconnue pour tout le monde, après avoir révélé mon identité au public, il me décrit avec délectation comme une prostituée débile mentale et folle à lier.

C’est avec les mêmes « arguments », et d’autres tout aussi mensongers, que sa complice la criminelle et mère maquerelle Josette Brenterch du NPA de Brest tentait déjà en 1994 avec d’autres de ses complices, des mafieux notoires, d’obtenir une rupture du contrat de sous-traitance en vertu duquel j’occupais un poste d’ingénieur concepteur assez sensible sur un très gros projet classé.

A défaut de parvenir à convaincre mes supérieurs hiérarchiques sur ce projet de toutes leurs inventions calomnieuses à mon encontre, à compter du mois de mai 1994, fermement décidés à m’en déloger coûte que coûte, ils étaient allés jusqu’à organiser des tentatives d’assassinat à mon encontre.

Résultat : des services spécialisés tels DST et DRM avaient dû intervenir.

Or, on sait comment réagit la folle furieuse Josette Brenterch du NPA de Brest quand ses sbires ont des ennuis : elle devient encore plus folle qu’elle ne l’était déjà avant, sa férocité ne connaît strictement aucune limite, et sa vengeance, qui va durer le temps qu’il faudra, éventuellement deux ou trois décennies, voire beaucoup plus, est particulièrement sanglante, son but étant toujours de tuer ou de détruire irrémédiablement tous ses ennemis ou supposés tels, quels qu’ils soient.

A partir de l’année 1994, elle prend donc pour cibles, après moi, tous ceux qu’elle rend responsables de ses échecs me concernant cette année-là, dont Nicolas Sarkozy qui est alors ministre du Budget d’Edouard Balladur, et naturellement les autorités militaires qui m’ont soutenue et dont le chef sera Nicolas Sarkozy de mai 2007 à mai 2012, lorsque je commence à commenter anonymement des articles du site d’information Rue89, la folledingue veillant alors depuis des années à me maintenir dans une situation d’isolement quasi total tout en diffusant massivement dans tous ses réseaux toutes ses inventions calomnieuses à mon encontre.

On y est encore, non ?

Elle est vraiment folle et entraîne toujours à sa suite toutes ses troupes de l’extrême-gauche, journaleux y compris.

La harceleuse de femmes Hélène Sergent du site « déconnologue » 20minutes.fr en fait donc partie et en est toujours là elle aussi, tout comme le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi qui depuis le début est absolument convaincu qu’il va détruire ou renverser l’Armée, Nicolas Sarkozy ou l’actuel chef de l’Etat en me harcelant et me calomniant comme il le fait.

Le cas de leurs complices magistrats ultra CORROMPUS du Tribunal de Grande Instance de Brest est moins facile à expliquer publiquement.

Je vais donc me contenter de rappeler à leur sujet qu’ils savent bien depuis le début qui je suis et quel est mon parcours professionnel réel, c’est-à-dire celui d’une femme ingénieur d’études ou chef de projet informatique ayant rencontré d’énormes difficultés dans l’exercice de son métier à compter des années 1990, puisque j’ai dû porter plainte à plusieurs reprises dès cette époque.

Or, depuis l’année 2010, l’autoproclamé « écrivain en ligne et à l’oeil depuis 2001″ Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qu’ils ont toujours porté aux nues en raison de sa pédophilie, et pour lequel, en conséquence, ils ont multiplié les faux en écriture publique à mon encontre, a toujours soutenu à tous et partout avec leur assentiment que je n’aurais été qu’une folle, un « cas lourd psychiatrique » qui aurait passé le plus clair de son existence en hôpital psychiatrique et qui sous couvert d’anonymat sur Internet s’inventerait maintenant une vie d’ingénieur informaticien qu’elle n’aurait jamais eue, n’ayant été au mieux, par le passé, qu’une « petite secrétaire hypernarcissique et atrocement méchante » (sic).

En réponse à ces délires nouveaux de la folledingue Josette Brenterch du NPA de Brest (il n’en avait jamais été question lorsque je l’ai côtoyée dans l’association AC ! Brest en 2004 et 2005), comme je le rappelais hier, j’avais déjà publié en date du 5 octobre 2014 l’article suivant, contenant une copie de ma carte d’inscription à l’ANPE en 1995 avec un avis de paiement de l’ASSEDIC de la même époque, montrant que les seules indications me concernant que j’avais pu fournir au public avant que le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi ne se mît, sous la dictée de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, à écrire et publier sa version mensongère de ma biographie, ne correspondaient bien qu’à la réalité :

http://petitcoucou.unblog.fr/2014/10/05/pourquoi-josette-brenterch-du-npa-de-brest-hait-elle-tant-mes-anciens-employeurs/

Cette publication étant manifestement restée très insuffisante pour rétablir la vérité ne serait-ce que sur ma profession, ou pour que celle-ci puisse être entendue, je publie aujourd’hui en complément le document suivant, où j’ai masqué tous les noms, le « cold case » dont il s’agit restant encore aujourd’hui très éruptif, comme indiqué par Mediapart en 2010 (voir photographie ci-dessus) :

 

Attestation licenciement

 

Cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte.

Il s’agit d’un compte rendu de mes entretiens de licenciement de 1995.

On y découvre surtout des discussions d’apothicaires, parce que nous réglons nos comptes de manière définitive et qu’il est aussi beaucoup plus facile de parler chiffres que d’évoquer ce qui fâche vraiment, par exemple les tentatives d’assassinat à répétition dont j’avais fait l’objet à compter de début mai 1994 et qui seront finalement la cause de mon arrêt de travail qui a débuté le 24 septembre 1994.

Je n’ai donc pas été licenciée pour abandon de poste comme le prétendra mensongèrement au début de l’été 2010 à l’attention du public de son complice le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi la calomniatrice Josette Brenterch du NPA de Brest, mais en raison de cet arrêt de travail.

Bien évidemment, il n’est pas non plus question d’un emploi de secrétaire, que je n’ai jamais eu nulle part.

Et contrairement aux prétentions mensongères à ce sujet de la calomniatrice Josette Brenterch du NPA de Brest, j’avais bien gagné aux prud’hommes à la suite de ce licenciement, en première instance comme en appel, et sans avocat dans les deux cas.

L’on notera enfin comment mon employeur avait perdu toute contenance après que j’eus refusé de signer la transaction absolument scandaleuse qu’il me proposait… et que mon contrat de travail avait connu de drôles de changements en juin et juillet 1994.

Tous les aléas de mon contrat de travail durant cette année 1994 sont la cause des aléas que connaissent aussi les négociations des contrats d’armement Agosta et Sawari II, de janvier jusqu’à novembre.

Le premier était donc sur le point d’être signé vers fin juin début juillet 1994, et brutalement… pfft ! plus rien… Normal : je venais de rempiler pour trois mois de manière totalement inattendue…

Pour autant que je sache, Nicolas Sarkozy n’y était pour rien.

Au moins jusqu’au printemps 1994, je n’ai pas la notion qu’il soit tellement impliqué dans quoi que ce soit, même pas dans le camp des mafieux qui me harcèlent et tentent de m’assassiner, ce serait plutôt le contraire : ils ont de gros soucis avec le fisc, lui reprochent de refuser d’annuler leurs dettes fiscales et viennent s’en plaindre à moi, comme si je pouvais en être responsable d’une manière ou d’une autre, mais je n’ai vraiment rien à voir avec tout ça et n’ai aucun pouvoir sur le ministre que je ne connais même pas…

C’est quand même marrant, hein, déjà à l’époque ils s’imaginent que si…

Eh bien non, pas du tout.

Et après, je ne sais comment il s’implique ou non, je ne suis pas dans les cabinets ministériels ni dans les QG de campagne des uns ou des autres, je n’ai que de vagues échos de ce qui s’y passe.

Voilà.

Sur mes harceleurs, par contre, il va de soi que je peux m’étaler beaucoup plus.

D’ailleurs ils le disent bien eux-mêmes, je leur fais très peur, je serais « atrocement méchante »…



Ligue du LOL et autres : encore d’énormes mensonges sur le site « déconnologue » 20minutes.fr ce 8 février 2020

Ce jour, 8 février 2020, pour l’anniversaire des premières révélations de l’affaire dite de la Ligue du LOL, dont la formation fut inspirée par celle, antérieure, de la meute de cyberharceleurs du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, le site pro-pédophile et harceleur de femmes 20minutes.fr sort un nouvel article mensonger sur la question, celui-ci :

https://www.20minutes.fr/arts-stars/medias/2710111-20200208-harcelement-sexuel-change-medias-depuis-ligue-lol-metoo

En effet, on y lit :

 

Et à 20 Minutes ?

Qu’est-ce qui a changé à 20 Minutes depuis #MeToo et la « Ligue du lol » en matière de lutte contre le harcèlement sexuel et les violences sexistes ? Premier constat : la rédaction a été secouée par l’affaire de la « Ligue du lol », parce que trois membres de ce groupe Facebook étaient d’anciens salariés de 20 Minutes. Autre onde de choc : l’enquête #Entenduàlarédac, où 20 Minutes est cité, parmi 200 autres rédactions. A la suite de cette enquête, notre directrice de la rédaction, Armelle Le Goff, a partagé à l’ensemble de la rédaction le « kit pour agir contre le sexisme » du Conseil supérieur de l’égalité professionnelle, a redonné les points de contact en cas de problème à l’intérieur de la rédaction et a indiqué des contacts d’associations.

Notre président, Frédéric Daruty, a lui aussi envoyé un email une semaine plus tard en appelant à une « attitude responsable et active sur ces sujets » et à une vigilance collective. Une cellule d’écoute externe de psychologues est alors annoncée, qui sera mise en place en avril 2019. 20 Minutes avait commencé à travailler en janvier 2019 sur cette hotline, mais, selon Sandra Jeanneau, responsable de l’administration du personnel, l’affaire #entendualaredac a « accéléré sa mise en place. » Enfin, trois référentes harcèlement ont été nommées à l’automne, qui doivent être formées. « On doit prendre ces sujets à bras-le-corps et ne pas en avoir peur », estime Sandra Jeanneau. Ajoutons enfin que notre média est signataire d’une charte contre le harcèlement sexuel, à l’instar d’une cinquantaine d’autres médias.

Plus largement, 20 Minutes souhaite aussi agir sur les mécanismes qui favorisent le harcèlement et les inégalités, en améliorant la diversité des profils et des parcours de l’entreprise, pour éviter les phénomènes d’entre-soi et de cooptation. Les annonces de recrutement sont aujourd’hui, le plus souvent diffusées en externe, fait valoir Armelle Le Goff.

 

 

Or, le cas de la harceleuse de femmes Hélène Sergent trahit une réalité très différente.

Pour commencer, elle a publié son article calomnieux à mon sujet tout juste une dizaine de jours avant que n’éclate l’affaire de la Ligue du LOL, mais bien après #MeToo.

Voir ici :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/08/23/le-site-20minutes-fr-en-symbiose-totale-avec-les-pedocriminels/

Ensuite, quand je l’ai contactée au mois d’avril 2019 alors que je venais de découvrir ce tissu de mensonges et d’inventions calomnieuses qu’elle avait publié fin janvier 2019 pour aider le cybercriminel et pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi à regagner du crédit face à l’une de ses principales victimes, sans doute la plus résistante, afin que son groupe de cyberharceleurs dit « déconnologues » puisse envisager de se relancer dans tout un tas d’attaques éhontées contre elle et tous ceux de ses témoins qu’ils n’avaient pas encore assassinés, elle m’a refusé tout droit de réponse après avoir aussi supprimé un commentaire que j’avais laissé sous son article afin d’indiquer au lecteur de passage de quoi il retournait réellement.

Je rappelle brièvement n’avoir jamais publié aucun des plus de 2000 articles de cyberharcèlement mensongèrement allégués par sa soi-disant « victime » de cyberharcèlements de ma part, c’est-à-dire le mythomane et cybercriminel notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui lui me harcèle effectivement avec le groupe de « déconnologues » qu’il a constitué à cet effet en 2008 depuis maintenant douze ans.

Pour mémoire, en date du 8 mars 2019, j’avais publié là quelques échantillons de son oeuvre me concernant, pas les pires, bien évidemment, car je ménage mon lecteur :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/03/08/juin-2010-pascal-edouard-cyprien-luraghi-ouvre-son-blog-tique-toc/

On en retrouvera d’autres, par exemple, dans les articles suivants, rappelant aussi une part des agissements répréhensibles à mon encontre de sa grande complice la criminelle et mère maquerelle Josette Brenterch du NPA de Brest :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/02/19/quand-la-ligue-du-lol-faisait-du-luraghi-pascal-edouard-cyprien/

http://petitcoucou.unblog.fr/2016/11/01/deces-en-2010-de-lancien-riverain-de-rue89-jaycib/

http://petitcoucou.unblog.fr/2014/10/05/pourquoi-josette-brenterch-du-npa-de-brest-hait-elle-tant-mes-anciens-employeurs/

http://petitcoucou.unblog.fr/2015/12/28/des-denonciations-calomnieuses-de-josette-brenterch-a-mon-encontre/

Quant à la troisième de mes prétendues « victimes », le cyberharceleur et escroc au jugement Jean-Marc Donnadieu de Béziers, j’invite toute personne qui s’intéresse sérieusement à ses procès à en prendre connaissance dans cette série d’articles :

http://petitcoucou.unblog.fr/8-avril-2011-nemrod34-perd-contre-overblog/

http://petitcoucou.unblog.fr/15-decembre-2011-quelle-victoire-pour-nemrod34/

http://petitcoucou.unblog.fr/26-mai-2014-nemrod34-perd-contre-overblog/

Sans aucune complicité à la Cour d’appel de Montpellier, il n’aurait jamais rien gagné.

Même chose pour la harceleuse en chef du NPA de Brest qui n’obtient toujours ce qu’elle veut que de magistrats tous CORROMPUS.



Ligue du LOL et Gabriel Matzneff : deux enquêtes qui finiront par se rejoindre

La première, dont on ignore à peu près tout, sauf qu’elle serait toujours en cours, ne semble pas avoir beaucoup avancé en un an.

Comment s’en étonner ?

Celle qui l’annonce hier la première et apparaît donc en contact direct avec le parquet de Paris à ce sujet n’est autre que la « déconnologue » de 20minutes.fr Hélène Sergent…

Voir ici :

https://www.20minutes.fr/justice/2713463-20200207-ligue-lol-enquete-preliminaire-contre-x-ouverte-parquet-paris

Plus d’informations ci-dessous avec l’article du Monde qui précise qu’aucun des protagonistes de l’affaire interrogés par les journalistes ne l’a été dans le cadre de cette enquête préliminaire dont par contre une source judiciaire a informé hier la harceleuse Hélène Sergent de l’existence.

Rappelons ici que cette dernière, grâce à son article entièrement mensonger de l’année dernière à mon sujet, a permis au cybercriminel et pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi de regagner du crédit auprès de ses troupes alors qu’il éprouvait de plus en plus de difficultés à recruter des volontaires pour commettre des attentats islamistes sur le sol français à la suite de ses échecs judiciaires répétés au Palais de Justice de Paris à compter du mois de janvier 2017, montrant qu’il avait toujours menti à son public en tout ce qui me concerne. Aussi, nous voyons aujourd’hui revenir à l’actualité attentats et projets d’attentats relevant d’un cycle nouveau attestant qu’en un an le « Konducator » a bien repris du poil de la bête…

Fort heureusement, l’enquête ouverte sur Gabriel Matzneff en ce début d’année 2020 semble pour l’heure plus prometteuse : même si son concurrent Pascal Edouard Cyprien Luraghi n’est pour sa part toujours pas inquiété, ni pour ses écrits publics apologistes du terrorisme, ni pour ses écrits publics apologistes de la pédophilie, ni pour tous ses autres écrits publics manifestement illicites (par exemple, de l’antisémitisme sur Twitter au printemps dernier), ni même, pour l’instant, pour avoir bizarrement collectionné les écrits publics apologistes de la pédophilie de Gabriel Matzneff (rappelons qu’il lisait son blog depuis ses débuts et en a réalisé une sauvegarde complète avant qu’il ne disparaisse fin décembre 2019), les policiers en charge de l’enquête semblent vraiment à la recherche d’éléments probants et viennent de découvrir tout un carton concernant leur « client » dans les archives des ex-RG à la Préfecture de Police de Paris.

Cette documentation s’arrête en 1999 sous la direction centrale d’Yves Bertrand, durant la cohabitation Jacques Chirac / Lionel Jospin, Jean-Pierre Chevènement étant ministre de l’Intérieur.

L’ancien directeur de l’hôpital psychiatrique de Bohars qui fut entre 1999 et 2004 poursuivi et condamné pour de multiples infractions pénales, dont le proxénétisme aggravé, et qui avait aussi fait l’objet d’au moins une dénonciation pour détournement de mineures de la part du responsable d’un foyer de l’enfance local, avait été révoqué de la fonction publique au cours de cette même année 1999, au mois d’août.

 

 

https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/02/07/ligue-du-lol-le-parquet-de-paris-mene-une-enquete-pour-harcelement_6028824_3224.html

Ligue du LOL : le parquet de Paris mène une enquête pour « harcèlement »

 

Une enquête a été confiée à la brigade de répression de la délinquance contre la personne concernant l’affaire révélée il y a un an.

Le Monde avec AFP Publié hier à 16h40, mis à jour hier à 19h38

 

Un an après la révélation de l’affaire de la Ligue du LOL, l’Agence France-Presse (AFP) a appris de source judiciaire qu’une enquête pour « harcèlement » était menée depuis plusieurs mois par le parquet de Paris.

Cette source n’a pas précisé à quelle date l’enquête, confiée à la brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP), avait été ouverte. L’affaire concerne une trentaine de membres d’un groupe Facebook – la Ligue du LOL – qui sont accusés de s’être livrés à du cyber-harcèlement depuis 2009, en particulier sur Twitter. Une dizaine de victimes présumées, mais aussi de membres du groupe polémique Facebook ont cependant assuré à l’AFP ne pas avoir été contactés par les enquêteurs au cours de cette dernière année.

Au déclenchement de l’affaire, en février 2019, SOS-Racisme avait saisi la justice, imité quelques semaines plus tard par l’association Prenons la une, qui milite pour l’égalité femmes-hommes dans les rédactions.

Tout comprendre : Cinq questions pour comprendre l’affaire de la Ligue du Lol et ses enjeux

« Meutes » numériques

De nombreux internautes avaient accusé plusieurs membres du groupe, essentiellement des journalistes et des communicants, et d’autres personnes extérieures de les avoir harcelés sur Internet dans les années 2010, ou d’avoir par leurs critiques publiques lancé des « meutes » numériques contre eux. Ces accusations ont entraîné le licenciement de plusieurs journalistes mis en cause.

Après des excuses initiales, plusieurs d’entre eux ont contesté les accusations dont ils faisaient l’objet. Au moins trois procédures aux prud’hommes sont en cours contre Libération et Les Inrocks.

 

 

https://www.lepoint.fr/societe/exclusif-gabriel-matzneff-a-ete-fiche-par-les-services-de-renseignements-08-02-2020-2361763_23.php

EXCLUSIF. Gabriel Matzneff a été fiché par les services de renseignements

 

VIDÉO. Les policiers chargés de l’enquête pour viols sur mineur visant l’écrivain viennent de découvrir l’existence d’un dossier conservé aux archives des ex-RG.

 

Par et

Modifié le 08/02/2020 à 10:05 – Publié le 08/02/2020 à 09:01 | Le Point.fr

 

Rebondissement dans l’affaire Matzneff. Les policiers, qui épluchent actuellement les livres publiés par l’écrivain depuis les années 1970, et dont ils se sont procuré des exemplaires au siège de la maison Gallimard à Paris, viennent de faire une nouvelle découverte. Un carton, référencé au nom de Gabriel Matzneff, a été exhumé des archives des ex-renseignements généraux (RG).

Selon une source proche de l’affaire, « les documents de ce dossier couvrent la période 1950-1999 », soit une grande partie de la vie de Gabriel Matzneff et de sa production littéraire. D’après le Code du patrimoine, ces archives ne sont normalement pas communicables avant un délai de cinquante ans, au titre de la protection de la vie privée.

Des démarches policières pour récupérer les documents

L’Office central pour la répression de la violence aux personnes (OCRVP), chargé des investigations pour viols sur mineur visant Gabriel Matzneff, a cependant été récemment averti de l’existence de ce dossier. Jusqu’à présent, seules quelques bribes d’archives de la brigade de protection des mineurs (BPM), datées de 1986, avaient été versées à l’enquête en cours.

Lire aussi Pourquoi Gabriel Matzneff a (jusqu’ici) échappé à la justice

La préfecture de police de Paris ignorait-elle qu’elle possédait de tels documents ? Mystère. Ceux-ci sont pourtant numérotés et archivés sous le nom de l’écrivain. Me Forestier, l’avocate de Vanessa Springora, fait savoir qu’elle n’a aucune information à ce sujet. « Concernant les cartons RG […], des démarches ont été entreprises par le service saisi de l’enquête pour récupérer ces documents », affirme pour sa part une source judiciaire.

Notes, rapports ou simples coupures de presse ?

Ces documents pourraient être de nature diverse : notes, rapports ou simples coupures de presse. Les policiers de l’OCRVP espèrent en tout cas y trouver des indices sur l’environnement de Gabriel Matzneff, qui a librement fait, pendant des années, l’apologie de la pédophilie et du tourisme sexuel, se vantant même, dans les années 1970 et 1980, d’amitiés politiques haut placées lui assurant une protection.

Lire aussi Quand la brigade des mineurs surveillait discrètement Matzneff

L’enquête de l’OCRVP pour viols sur mineur fait suite à la parution de l’ouvrage de Vanessa Springora (Le Consentement, éditions Grasset) qui narre l’emprise que l’écrivain exerçait sur elle à partir de 1986, alors que la jeune femme, aujourd’hui éditrice, avait 14 ans. Alors que les faits apparaissent prescrits, les investigations s’attachent à « identifier toutes les autres victimes éventuelles ayant pu subir des infractions de même nature sur le territoire national ou à l’étranger », précisait le parquet de Paris lors de l’annonce de l’ouverture de l’enquête.

La rédaction vous conseille

Vanessa Springora : un « Consentement » sous emprise
Art : faut-il purger les années 1970 et 1980 ?

 



Nouvel attentat, nouvelles menaces de mort de Jean-Marc Donnadieu

 

    • Bon ben on y est: second emploie en cdi que je dois abandonner pour aussi raison de santé…
      Deuxième inaptitude, 50 ans et c’est pas un truc qui se guérit …
      J’ai de l’arthrose de la tête au pieds, et les vertèbres qui se soudent, j’ai déjà eu 2 opérations et trois plaques dans les cervicales.
      On va vers la troisième opération, ça fait 6 ans environ que j’ai mal 7/7j, 24/24h , malgré le traitement.

      Ça ne voit pas, et pourtant …
      Bref, un coup de déprime un dimanche, au moins j’ai Lilith!

    • Perronnet Serje
      Perronnet Serje ça ne ce voit pas comme tu dis , mais tu sais je te comprends !
  • Perronnet Serje
    Perronnet Serje J’ai à peu près la même « chose » et ça ne se voit pas non plus … , mais tu me diras , j’ai 50 ans , TRISTE tout ça car je n’ai pas le même âge , effectivement … je ( nous ) compatissons , vraiment !!! que faire ???
  • Perronnet Serje
    Perronnet Serje bon … il y a des choses que je ne peux pas dire ici , et tu sais aussi pourquoi…
  • Perronnet Serje
    Perronnet Serje MAIS nous avons  » notre chatte » VALENTINE qui a été abandonnée et qui nous rend au centuple ce qu’ on lui donne !!! elle a sa chambre que pour elle et toute la maison aussi et elle est « noire » aussi
  • Rene Donnadieu
    Rene Donnadieu courage mon neveu , la medecine ,fait toujours des progres , et tu ne semble pas baissé les bras ,garde un moral de fer et bat toi pour aller mieux . Fait bien ce que te disent les médecins et prend tes médicaments
      • Perronnet Serje
        Perronnet Serje bravo tiens au fait , le Maire de ma commune s’appelle DONNADIEU et quand je lui ai dit que je connaissais « un » Donnadieu sur BEZIERS il m’a répondu qu’effectivement il devait avoir de la famille … Je n’en sais pas plus !
  • Gilles Fernandez
    Gilles Fernandez Et voilà, les premières excuses pour la défaite à la pétanque qui t’attend…

    Plus sérieusement, plein de bonnes choses à toi et surtout du courage. Essaie de lâcher-prise, te recentrer sur Lilith… Mais aussi t’entraîner un petit peu tant qu point qu’au tire ;)

    • Jean-marc Donnadieu
      Jean-marc Donnadieu Même en fauteuil (ce qui m’attends dans les années à venir) je te foutrais ta raclé à la pétanque, j’ai un un oncle qui est très bien noté (je sais même pas s’il est pas en Equipe de France) qui m’a entraîné! Et c’est pas un breton qui va battre un sudiste à la pétanque ! Ou alors c’est la fin des temps … ;-)

 

 

C’est encore à moi que ça s’adresse, ça ?

Je suis du Mourillon, congue.

 

 

https://actu17.fr/attentat-au-couteau-a-londres-lassaillant-venait-de-sortir-de-prison-apres-une-condamnation-pour-terrorisme/

Attentat au couteau à Londres : l’assaillant venait de sortir de prison après une condamnation pour terrorisme

Y.C.

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2 février 2020, 22h54 │ MAJ : 2 février 2020, 23h20

londres_020220_5 dans Corruption
Sudesh Amman a poignardé deux personnes en pleine rue avant d’être abattu par la police. (photo Metropolitan police/@iChrisyoo)

 

Le terroriste de Londres a été rapidement identifié par la police puisqu’il était bien connu de ses services. Sudesh Amman, 20 ans, venait tout juste de sortir de prison lorsqu’il a perpétré cet attentat.

Ce dimanche après-midi, Sudesh Amman a poignardé deux personnes en pleine rue, dans le sud de Londres (Royaume-Uni), dans le quartier de Streatham. Il avait été libéré en janvier dernier, il y a seulement quelques jours, rapportent ce dimanche soir les médias anglais.

Le terroriste avait été condamné en décembre 2018 à 3 ans et 4 mois de prison pour 13 infractions terroristes différentes, notamment pour avoir détenu des documents terroristes qu’il avait diffusés.

« Armé et prêt le 3 avril »

Sudesh Amman avait aussi fait part de son souhait de mener une attaque terroriste. A son domicile, les policiers avaient découvert un couteau de combat, un pistolet à air comprimé ainsi qu’un drapeau noir. Il avait également incité sa petite amie à décapiter ses parents, expliquait The Independent au moment de sa condamnation.

Un blogueur néerlandais avait alerté la police après la diffusion sur la messagerie chiffrée Telegram, d’une photo montrant un couteau et deux fusils posés sur un drapeau islamiste où était indiqué « armé et prêt le 3 avril ».

Sudesh Amman avait alors été identifié et arrêté par la police. Plus de 349 000 fichiers multimédias sur son ordinateur, son téléphone portable et d’autres appareils numériques lui appartenant avaient été découverts et passés au peigne fin. Certains fichiers étaient des tutoriels pour fabriquer une bombe, d’autres étaient des manuels de techniques de combat, et de combat au couteau.

 

londres_020220_6 dans Crime
Une arme à air comprimé avait été saisie au domicile familial de Sudesh Amman. (photo Metropolitan Police)

 

« Sa fascination pour la mort au nom du terrorisme était évidente dans un bloc-notes que nous avons récupéré chez lui »

Sudesh Amman a donc été remis en liberté avant d’avoir purgé la moitié de sa peine. Lorsqu’il avait été condamné en décembre 2018, le commandant Alexis Boon, alors à la tête du commandement antiterroriste de la police métropolitaine (la police de Londres) avait fait part de sa dangerosité :

« Sa fascination pour la mort au nom du terrorisme était évidente dans un bloc-notes que nous avons récupéré chez lui. Amman avait griffonné ses « objectifs de vie » dans le bloc-notes et, en haut de la liste, au-dessus des activités familiales, figurait la mort en martyr et le fait d’aller à « Jannah » (la vie après la mort, ndlr) ».

Sudesh Amman aurait également partagé un magazine d’Al-Qaïda dans un groupe WhatsApp où se trouvaient des membres de sa famille et aurait déclaré à ses frères et sœurs que « l’État islamique est là pour rester », selon The Guardian.

Une victime a son pronostic vital engagé

L’assaillant qui était étroitement surveillé par la police selon SkyNews, a été abattu alors qu’il venait de poignarder un homme et une femme en pleine rue. Ce dernier est entre la vie et la mort ce dimanche soir a annoncé la police. Une troisième personne a été légèrement blessée lors de l’intervention des forces de l’ordre.

Les autorités ont rapidement indiqué qu’il s’agissait d’un attentat de nature « islamiste » et que l’assaillant portait un faux engin explosif sur lui au moment des faits.



Tintin, passion commune de Dominique de Villepin et Gabriel Matzneff…

… ainsi que du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi et de toute sa bande de « déconnologues »…

En témoignent tous leurs éclats de rire de dégénérés, notamment au mois de février 2011 à propos de l’assassinat de Patricia Bouchon, quand ils étaient encore les seuls à savoir ce que l’autopsie de son corps ne révèlera qu’au mois d’avril 2011 (voir ici : http://petitcoucou.unblog.fr/2019/04/03/harcelement-moral-en-entreprise-impasse-et-nuit-noire/).

Passion commune à vrai dire peu surprenante, sachant que ces globe-trotters (Inde, Pakistan, Afghanistan, Thaïlande, Philippines, etc…) ont tous leur bitte d’amarrage au Quai d’Orsay.

N.B. : En 1994, la signature des contrats d’armement Agosta et Sawari II était conditionnée par mon assassinat, mais il posait tellemment de problèmes, la cible ayant notamment « des yeux derrière la tête » (sic), qu’il fut finalement abandonné. Quelqu’un pour démentir ou me contredire ? Je parie que non.

 

https://www.lefigaro.fr/culture/encheres/2013/11/25/03016-20131125ARTFIG00459-dominique-de-villepin-dans-les-pas-de-tintin.php

    • Dominique de Villepin dans les pas de Tintin

       

      La bibliothèque politique de l’ancien premier ministre sera dispersée aux enchères jeudi 28 novembre par Pierre Bergé et Associés à Drouot. S’y trouve une seule bande dessinée: Tintin au pays des Soviets. Explications.

      Publié le 25 novembre 2013 à 16:46, mis à jour le 25 novembre 2013 à 19:45

       
      Ce n’est pas la pièce la plus remarquable de sa vente, mais c’est la plus remarquée. Les aventures de Tintin au pays des Soviets, lot n°120 de la bibliothèque politique de Dominique de Villepin, qui sera mise aux enchères jeudi 28 novembre par la maison Pierre Bergé & associés, à Drouot, fait déjà le buzz sur Internet. Bien plus que ses ouvrages, magnifiques, dédicacés par de Gaulle, Camus, Céline, œuvres complète annotées de Chateaubriand, éditions rares de Soljenitsine, manuscrits de Trotski et de Mussolini: l’ensemble de 400 pièces est estimé 1,5 million d’euros.

      Au commencement était Tintin

      Tintin se pose au commencement. C’est l’ancien premier ministre qui le dit. «Les pages de ces livres sont pour moi comme les barreaux d’une échelle de Jacob», écrit Dominique de Villepin dans la longue et passionnée préface de son catalogue. «Sans doute me faut-il ici essayer de remonter aux premiers de ces barreaux, de ces lectures et de ces découvertes qui m’ont donné le goût de la confrontation au monde. C’est la raison de la présence, parmi ces ouvrages qui ont fait l’histoire, de l’album d’Hergé: Tintin au pays des Soviets ».

      Le bibliophile, qui s’est déjà séparé de sa collection d’ouvrages sur Napoléon, ne s’est évidemment pas contenté d’acheter un simple exemplaire de la BD chez son librairie. Son album est unique: «édition originale: exemplaire de première édition», indique le catalogue. «C’est le seul album qui ne fut pas repris par Hergé et mis en couleur, contrairement aux autres albums en noir et blanc, comme Tintin en Amérique ou Tintin au Congo, pourtant eux aussi politiquement marqué», souligne Benoît Forgeot, l’expert de la vente.

      Un «livre d’enfant furieusement manipulé»

      De Gaulle est même convoqué. On le sait dès l’ouverture de la plage dédiée à ce lot-là. De même que Villepin a souhaité que la vente porte un titre, «Feux et Flammes», et deux sous-titres: «Les voleurs de feu» pour la vente de jeudi et «Les porteurs de flammes» pour celle de vendredi, de même chaque lot porte une têtière. Laquelle est ici: «Tintin reporter engagé, le seul rival international du général de Gaulle». Et pour cause. Le catalogue rapporte: «Dans Le Miroir des limbes , qui restituent les entretiens qu’il a eu avec le général de Gaulle à la fin de la vie de ce dernier, André Malraux fait dire au général: «Au fond, vous savez, mon seul rival international, c’est Tintin! Nous sommes les petits qui ne se laissent pas avoir par les grands. On ne s’en aperçoit pas à cause de ma taille». Le mythe est rapporté sans doute par Dominique de Villepin, auquel on imagine devoir la précision suivante sur l’état de l’album: «Livre d’enfant furieusement manipulé», mais ne présentant que «de minimes défauts d’usage».

      La présence du reporter du petit «Vingtième» peut paraître incongrue à ceux qui n’ont pas lu Quai d’Orsay, la fameuse BD de Blain & Lanzac qui a inspiré le film de Bertrand Tavernier. «Un bon discours, c’est un discours dont on se souvient/C’est comme «Tintin», lance en deux bulles à la page 37, le ministre des affaires étrangères Taillard de Worms. «Vous avez lu «Tintin»?!/ Vous vous en souvenez?! Pourquoi vous vous en souvenez à votre avis?», poursuit le personnage très inspiré de Dominique de Villepin (qui en fut d’ailleurs satisfait). «Tintin, ce sont des enjeux énormes. La Lune, l’Amérique, L’or noir». Changement de ton. «Mais «Tintin», c’est le rythme/«Tintin», c’est de la musique/«Tintin», c’est une symphonie», poursuit-il dans la bande dessinée parue en janvier 2010. On imagine une lecture à haute voix de Tintin par Dominique de Villepin. Son album vaut de l’or, estimé 20.000 à 30.000 euros.

 

https://www.lexpress.fr/culture/encheres-villepin-54-829-euros-pour-un-tintin-chez-les-soviets_1303622.html

Enchères Villepin: 54 829 euros pour un Tintin chez les Soviets

 

Par LEXPRESS.fr , publié le 28/11/2013 à 16:19
Dominique de Villepin vend sa collection de livres personnelle chez Drouot.

Dominique de Villepin vend sa collection de livres personnelle chez Drouot.AFP/Archives/Boris Horvat

 

La bibliothèque de l’ancien Premier ministre est mise aux enchères chez Drouot ce jeudi 28 novembre.

 

Un exemplaire unique de l’édition originale de Tintin chez les Soviets qui appartient à l’ancien Premier ministre Dominique de Villepin, vient de battre un record, en se vendant à 54 829 euros frais compris, le double de son estimation, ce jeudi 28 novembre chez Drouot annonce Le Figaro.

 

https://www.lemonde.fr/societe/article/2016/11/05/l-etrange-passion-commune-d-alexandre-djouhri-et-dominique-de-villepin-pour-tintin_5026001_3224.html

Tintin, l’étrange passion commune d’Alexandre Djouhri et de Villepin

 

Alexandre Djouhri a racheté à Dominique de Villepin un album rare de Tintin, une transaction qui intéresse la police.

Par Simon Piel et Joan Tilouine

Publié le 05 novembre 2016 à 11h18 – Mis à jour le 05 novembre 2016 à 17h49

C’est l’histoire du “bandit”, du “poète” et du reporter le plus connu de la planète. Le premier, Alexandre Djouhri, l’intermédiaire financier, aime à surnommer ainsi son ami Dominique de Villepin, l’ancien premier ministre et chef de la diplomatie française dont il apprécie le verbe et l’élégance. Ils se sont connus au milieu des années 1990.

Depuis, l’ancien « caïd »  de Sarcelles – cité dans l’enquête sur le possible financement libyen de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007 – et l’aristocrate ont noués de solides relations. Ils partent en vacances ensemble, ont leurs habitudes au Stresa, près de l’avenue Montaigne, ou à l’Hôtel de France, à Monaco et mènent aussi parfois des opérations délicates comme en 2011 durant la guerre en Libye où la diplomatie parallèle était à l’oeuvre. C’est Alexandre Djouhri qui orchestrera avec succès la réconciliation entre Dominique de Villepin et Nicolas Sarkozy brouillés depuis l’affaire Clearstream.

Lire aussi
Alexandre Djouhri, le petit caïd devenu l’encombrant ami de Sarkozy
 

Contrairement à Dominique de Villepin, M. Djouhri n’a que faire de Tintin, le cèlèbre reporter du Petit Vingtième. Les œuvres d’Hergé et la littérature ne sont pas vraiment sa passion. Pourtant, le 28 novembre 2013, il a acquis pour un montant de 43 000 euros une BD originale de Tintin, appartenant à M. de Villepin, lors d’une vente aux enchères à l’hôtel Drouot. Il s’agit du lot N° 120, une pièce rare : l’un des mille premiers exemplaires imprimés de Tintin au pays des Soviets, premier opus de l’illustre série.

Cette vente, mise au jour dans le cadre de l’instruction menée par les juges sur l’affaire du financement libyen, a rendu les enquêteurs perplexes qui se demandent ce qu’elle a pu dissimuler. Ainsi, quand M. Djouhri est relancé par l’entourage de son ami Dominique de Villepin pour récupérer l’ouvrage contre son règlement, il s’agace au téléphone, placé sur écoute par les enquêteurs : « Mais on s’en fout, qu’il le garde [l’album]... qu’il le garde. Je paye et il le garde. Je le récupèrerai en temps et en heure ». Sur les écoutes, Alexandre Djouhri s’inquiète même que son nom fuite dans la presse au sujet de cette vente.

Les surprenantes notes de M. de Villepin

Un autre lien les unit. Et il ne s’agit aucunement du neuvième art. L’enquête judiciaire a révélé les liens d’affaires qui unissait Alexandre Djouhri avec la richissime famille saoudienne Bugshan. Il se trouve que ce sont aussi de très fidèles clients de l’ancien premier ministre qui a fondé en 2008 son propre cabinet d’avocat. Cette famille, à la tête d’un conglomérat créé en 1923, Saudi Bugshan Group, est très proche de grands groupes français dont elle distribue les produits en Arabie Saoudite. Le groupe est aussi cité dans l’affaire Karachi pour avoir prétendument bénéficié en 1996, via la société Parinvest et sur ordre de l’Elysée, des commissions du contrat de frégates Sawari II passé avec l’Arabie saoudite en 1994.

En 2013, M. de Villepin assurait au Monde qu’il « n’(avait) pas de contrat avec ce groupe ». Une affirmation démentie sans ambiguités par les enquêteurs de l’Office central de lutte contre les infractions financières et fiscales (OCLCLIFF) . Selon ces derniers, il a effectué quelques “prestations” pour eux entre 2008 et 2010 facturées pour un total de 4,2 millions d’euros. L’une d’entre elles a surpris les policiers de l’OCLCLIFF. Il s’agit d’une note d’analyse datée de janvier 2009 et baptisée « Considérations sur les adaptations possibles au défi urbain asiatique à la lumière des évolutions et des prises de consciences récentes » .

Tout un programme, sauf que les enquêteurs ont constaté qu’il s’agissait d’un copié-collé au mot près d’une intervention qu’il avait réalisée en novembre 2008 à Téhéran au forum des villes asiatiques. Entendu le 6 septembre comme témoin, Dominique de Villepin a assuré qu’Alexandre Djouhri n’avait joué aucun rôle dans ces activités. Contactés, ni M. Djouhri, ni M. de Villepin n’ont donné suite.

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Simon Piel et Joan Tilouine

 

https://www.lemonde.fr/archives/article/1969/03/29/quand-gabriel-matzneff-reconcilie-tintin-et-catilina_2434370_1819218.html

QUAND GABRIEL MATZNEFF réconcilie Tintin et Catilina

 

Par PIERRE VIANSSON-PONTÉ.

Publié le 29 mars 1969 à 00h00 – Mis à jour le 29 mars 1969 à 00h00

SI M. Gabriel Matzneff n’avait pas de talent, il serait proprement insupportable. Il camperait dans quelques coteries littéraires l’archétype du petit jeune homme touche à tout, acide et sûr de lui, qui ira loin si la cabale ne lui brise pas les reins. En attendant d’entreprendre son œuvre, il ferait sonner ses éperons sur les parquets marquetés de quelques salons du noble faubourg, tentant désespérément de se faire remarquer, et si possible redouter. Pour cela, il appliquerait les recettes éprouvées qui consistent à étonner en professant une égale admiration pour Chateaubriand, Flaubert, Tintin, les Trois Mousquetaires, les antiquités grecque et latine et les albums de la collection  » Signes de piste  » ; à intriguer en se prétendant pêle-mêle nietzschéen, byronien et stendhalien ; à écrire de courts billets dans quelques gazettes, bien qu’il les méprise fort, sur le ton du pamphlétaire revenu de tout, en prenant garde cependant de n’attaquer que des moulins à vent, mais aussi avec le secret espoir, pas toujours déçu, qu’un imprudent commettra l’erreur de lui répondre et prêtera ainsi le flanc à une juteuse polémique. Bref, un petit personnage parfaitement odieux.

Des manies de vieux jeune homme

Seulement voilà, M. Matzneff a du talent et il n’est pas sot, pas du tout. S’il se laisse parfois aller à certaines de ces facilités, voire de ces facéties, il conserve, même dans ces moments d’abandon, assez de ton, de style et de sens des formules pour amuser, indigner, irriter ou intéresser, en un mot pour séduire. Et il peut, bien qu’il consente rarement à le montrer, se hisser au niveau des meilleurs, laisser voir qu’il garde, derrière les outrances, tout son bon sens et qu’il possède, malgré les complaisances, ce bien rare et précieux : un tempérament.

Bien sûr, il s’oublie quelquefois, et cela donne des affirmations tranchantes du genre  » le marxisme est la vieillesse du monde  » ; ou encore cette déclaration définitive :  » Il y avait dans ce domaine une politique révolutionnaire à appliquer « , qui a trait non à l’Université, à l’organisation sociale ou à la gestion du bien commun comme on pourrait le penser, mais au sport équestre,  » notre sport « , dit-il, pratiquant le pluriel de majesté. Mais si on le prend comme il est, avec ses manies de vieux jeune homme, ses colères et ses furieuses antipathies très russes et aussi irraisonnées et ardentes que ses sympathies, son côté mousquetaire de la réaction et sacristain de l’Église orthodoxe, il ne peut laisser indifférent.

 

https://www.la-croix.com/Debats/Chroniques/Matzneff-content-comme-machine-2020-01-21-1201073096

Matzneff, content comme une machine

Chronique

Alexis Jenni nous entraîne dans les tourments de l’affaire Gabriel Matzneff, après lecture de son journal . Il nous livre une critique assez sévère de l’homme.

  • Alexis Jenni,
  • le 21/01/2020 à 10:41
Matzneff, content comme une machine

Gabriel Matzneff en 2014 Jacques Demarthon/AFP

 

A 83 ans, Gabriel Matzneff connaît in extremis un nouveau quart d’heure de célébrité. On l’accuse de turpitudes, on le dit grand écrivain, je n’en sais rien alors je plonge dans son journal. Dans celui du début des années 1980, à 46 ans il est en pleine forme, il a avec des gamines qui sont folles de lui une activité sexuelle qui tuerait un taureau reproducteur, et je tombe sur une notation surprenante : « Hergé est mort. » Et sur plusieurs pages il en est accablé, dit que depuis celle de Montherlant aucune mort ne l’aura autant attristé.

Sans préjuger en rien de l’amitié réelle qui unissait ces deux hommes, de mon mauvais esprit jaillit aussitôt une image narquoise. Avec une houppette, la ressemblance serait frappante : Matzneff est un Tintin priapique, tête ronde d’un seul trait, sans rides ni replis, vêtements reconnaissables, identique à lui-même d’album en album, cultivant une jeunesse éternelle, reporter de lui-même parcourant le monde avec une précipitation maniaque : « En avant mon vieux Milou ! » Et surtout il est une simple machine narrative, un pur mouvement qui dévale les pages en courant, une silhouette sans contenu comme l’est Tintin, dont la simplicité graphique et psychique accueille facilement tous les lecteurs, qui rempliront sa silhouette par eux-mêmes.

→ CHRONIQUE. L’affaire Gabriel Matzneff et le fossé des générations

Le journal, c’est une longue enfilade de coïts, de sodomies et fellations, entrecoupée de dîners arrosés d’excellents bourgognes avec des gens probablement célèbres, scandée de soupirs d’auto-admiration, « Ah je ris de me voir si beau en ce miroir ! », de quelques aveux d’inconséquence sous forme de minauderie, et des soupirs d’épuisement surjoués, « Pouce Mesdemoiselles ! Pouce ! Je n’en peux plus ! » Je ne suis sans doute pas le bon lecteur, peu sensible à cette forme d’érotisme cumulatif, même si j’ai l’impression que ça fascine beaucoup les hommes mûrs, et les jeunes filles d’il y a trente ans.

Étrangement, il n’y a pas beaucoup de chair en ces pages, ce sont des actes, encore des actes, vite esquissés, jamais décrits, la machine célibataire tourne à plein régime. Pourtant il précise dans un avant-propos que ces jeunes filles qui le fréquentent ne sont pas interchangeables, elles ont toutes leur caractère, comme on dit quand on a plusieurs chats.

Cette froideur physique dissimulée d’exaltation verbale m’a tout autant frappé dans Le Consentement de Vanessa Springora. Dans ce récit de celle qui fut l’une des jeunes compagnes de Matzneff, il n’y a aucune notation de sensation, ni plaisir ni déplaisir, la seule mention du corps est liée à un rhumatisme articulaire généralisé : c’est frappant cette absence de tous les sens dans un livre si chargé d’expériences sexuelles. Pudeur, peut-être ? Ou alors symptôme. Symptôme d’une relation vide, d’un corps absent, d’un corps qui se défend d’une relation d’emprise par un déni des sensations. L’amante n’est pas là, elle se prête au vaniteux qui la considère comme une page blanche, un miroir, et qui enivré de toute-puissance, inépuisable comme un lapin Duracell, semble ne se douter de rien. C’est interdit, il est content. Quant à elle, « elle se sent comme une poupée sans désir, qui ignore comment fonctionne son propre corps ». Lui croit l’avoir initiée, il est content.

Le débat fait rage, et dans une grande hypocrisie on bricole à la va-vite une censure en retirant ses livres de la vente, on ouvre le parapluie moral pour ne pas être contaminé, et de l’autre côté on crie à la moraline, on se réclame de la littérature, qui est plutôt faite, comme on le sait, de mauvais sentiments.

Si on veut lire ce que fait la littérature avec l’attirance pour les gamines, lisons Nabokov. Lolita est un livre terriblement honnête sur le sujet. Du fond de son asile, Humbert Humbert, l’homme mûr au nom étrangement répétitif, raconte son histoire avec la jeune Lolita. On l’accompagne dans son exaltation, c’est fascinant, c’est sexy, et que cela le soit implique le lecteur. Et à la fin du livre l’exaltation tombe, on voit la dévastation, une vie gâchée, et d’avoir été partie prenante de l’exaltation du début nous fait prendre la déchéance de plein fouet, cela fait saisir au lecteur la monstruosité, par son expérience de lecture. Le goût des gamines, c’est ça, dit Nabokov, une toxicomanie, et puis une terrible gueule de bois devant le désastre.

Dans le journal de Matzneff, rien d’obscur, rien d’ambivalent. C’est complaisant, c’est Tintin au bordel qui raconte ses manies et il est content. Il s’autoproclame sulfureux, alors que ce n’est que mécanique autistique en roue libre.



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