Francis Christophe ami d’Alexandre Djouhri ? 2 février
La question se pose quand on lit ceci sous sa plume :
Le temps ne cautionne guère l’irrégularité du mandat d’arrêt
Même chose en ce qui concerne son commentateur, comme lui ancien journaliste de Bakchich.
Et ce n’est pas la première fois que je trouve des liens presque directs entre le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi et Dominique de Villepin, l’homme de l’affaire Clearstream 2. C’est même récurrent.
Pour mémoire :
Je rappelle ici que mes harceleurs, magistrats CORROMPUS y compris, me reprochent tous d’avoir jadis catégoriquement refusé de mettre mes compétences d’ingénieur d’études en informatique au service de mafieux notoires, et tout spécialement de trafiquants d’armes qui notamment exigeaient de moi que je commette à leur profit des crimes et délits contre la Nation.
Un tel refus est habituellement sanctionné par une peine de mort.
Aussi, si j’avais été un homme, j’aurais sans aucun doute été assassinée très rapidement.
Mais comme j’étais une femme, les mafieux avaient primitivement décidé de commuer cette peine en obligation de prostitution, toujours à leur service.
Nouveau refus catégorique de ma part, n fois réitéré, et ce jusqu’à ce jour, tandis que les tentatives d’assassinat à mon encontre se sont bien multipliées après mes premiers refus.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques-Marie_Bourget
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Jacques-Marie Bourget
(76 ans)
Saint-Pierre-MontlimartNationalité Activité Autres informations Distinctions Jacques-Marie Bourget, né le 5 juillet 1943 à Saint-Pierre-Montlimart, en Maine-et-Loire, est un écrivain et journaliste français.
Sur Internet, il publie sur les sites du Grand Soir, Oumma.com1, Afrique Asie, Proche et Moyen Orient.ch et Mediapart, où il tient un blog2.
Sommaire
Carrière
Jacques-Marie Bourget, après avoir collaboré à la Nouvelle Revue française alors dirigée par Jean Paulhan, il a travaillé comme grand reporter pour des titres comme L’Aurore, Le Canard enchaîné, L’Express, VSD, Paris Match, Bakchich… (après avoir débuté comme journaliste radio et télévision à l’ORTF).
Il a ainsi couvert, entre autres événements, la guerre des Six Jours, la guerre du Viêt Nam, la guerre du Liban, la guerre au Salvador, la première et la seconde Intifada, la première guerre du Golfe, la guerre de l’ex-Yougoslavie. En 1985, il obtient le prix Scoop pour avoir révélé l’affaire Greenpeace.
Le 21 octobre 2000, à Ramallah en Cisjordanie, il est grièvement blessé par une balle de M16 tirée par l’armée israélienne, alors qu’il réalisait un reportage en Palestine3. Son évacuation vers la France est loin d’être facilitée par Tsahal, l’armée israélienne. Elle nécessite une intervention directe de Jacques Chirac, en voyage officiel en Chine, auprès du chef du gouvernement israélien, Ehoud Barak
Il est à l’origine de la publication du premier manuscrit de Louis-Ferdinand Céline, Histoire du Petit Mouck, un conte d’enfant écrit pour sa fille Colette âgée de trois ans, petit livre illustré par des dessins de sa femme, Édith Follet, la mère de leur fille.
Passionné de sports, football, athlétisme, alpinisme et automobile, en 1980, derrière Robert Flematti et Jean-Paul Favre-Tissot il a accompli la voie de l’express, une « première » (trois jours d’escalade) dans la falaise de Magland en Haute-Savoie. En automobile aux côtes de Franz Hummel et Jean-Pierre Frizon, il a battu, en 1989, le record du trajet Le Cap (Afrique du Sud) – Cap Nord (Norvège), 21 600 kilomètres en 11 jours et 18 heures.
Décoration
Le président de la République Jacques Chirac l’a élevé au rang de chevalier de l’ordre national de la Légion d’honneur.
Analyses
Pour Jacques-Marie Bourget, les événements qui portent le nom de Printemps arabe, c’est-à-dire « la révolte initiale et légitime de populations vivant dans des conditions économiques et de liberté indignes », ont été rapidement encadrés par des « ONG » américaines ayant pour but de mettre en place un « processus électoral » dont « on sait qu’il va porter au pouvoir les Frères musulmans, puisque c’est la seule force politique organisée4. »
Il dénonce le « parti pris clair, et le manque flagrant d’objectivité de l’ensemble des grands medias français (mais aussi d’autres pays, arabes notamment) dans le traitement de la crise syrienne »4.
Il a rédigé une préface à Kamel Daoud Cologne Contre enquête, un livre d’Ahmed Bensaada, écrivain d’origine algérienne réfugié au Canada à la suite des tueries du GIA, qui critique l’analyse proposée par Kamel Daoud des agressions sexuelles du Nouvel An 2016 en Allemagne5.
Publications
- Gérard Devouassoux, Le Souffle de la montagne, préface de Maurice Herzog, éditions Solar, 1975
- Yann Piat, avec Claude Ardid, Plon, 1998
- Des affaires très spéciales – 1981-1985, avec Yvan Stefanovitch, Plon, 2001
- Survivre à Gaza, avec Mohamed al-Rantissi et Christophe Oberlin, éditions Koutoubia, 2009
- J’ai choisi le Hamas, avec Mohamed Al Rantissi, Christophe Oberlin, Pascal Galodé éditeur, 2009
- Sabra & Chatila, au cœur du massacre, photographies de Marc Simon, préface d’Alain Louyot, Éric Bonnier éditions, 2012
- Le Vilain Petit Qatar. Un ami qui nous veut du mal, avec Nicolas Beau, Éditions Fayard, 2013
Préfaces
- Ahmed Bensaada, Kamel Daoud Cologne contre enquête, éditions Franz Fanon, Alger
Références
- Un nouveau procès en islamophobie contre Georges Bensoussan : c’est la liberté qu’on attaque ! [archive], Guylain Chevrier, atlantico.fr, 25 janvier 2017
- « Le blog de Jacques-Marie Bourget » [archive]
- Voir sur acrimed.org. [archive]
- Entretien avec Jacques-Marie Bourget : « Le monde occidental a entraîné les Syriens dans un piège » [archive], afrique-asie.fr, 2 janvier 2017.
- «Kamel Daoud : Cologne, contre-enquête» [archive], elwatan.com, 29 juin 2016
Liens externes
:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Alexandre_Djouhri
Alexandre Djouhri
Naissance | |
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Nom de naissance |
Ahmed Djouhri
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Nationalité | |
Activité |
Alexandre Djouhri, né Ahmed Djouhri le 18 février 1959 à Saint-Denis en Seine-Saint-Denis, est un homme d’affaires français. Il possède les nationalités française, algérienne et gabonaise1.
Il est un intermédiaire dans les contrats internationaux, notamment pour l’industrie de l’armement.
Biographie
Sa famille, originaire d’Algérie, s’est installée à Saint-Denis puis à Sarcelles dans les années 19502.
Ahmed Djouhri est initié aux affaires par André Tarallo, l’ancien dirigeant d’Elf. À la fin des années 1990, Alexandre Djouhri est recruté par Vivendi Environnement (devenu Veolia). Il est décrit comme un « ami personnel » de son président Henri Proglio3.
Les activités de ce bon connaisseur de l’Afrique et du Moyen-Orient consistent, selon la journaliste Raphaëlle Bacqué4, à être un intermédiaire sur les marchés internationaux de l’eau, des déchets et du pétrole. La journaliste le présente comme l’un des hommes influents du moment. De ce proche de Dominique de Villepin, Claude Guéant dit : « Il a une connaissance de l’économie et des affaires qui est utile à notre pays5. » Sous la présidence de Jacques Chirac, il devient un intime des conseillers présidentiels Maurice Gourdault-Montagne et Dominique de Villepin. Rallié en 2006 aux réseaux de Nicolas Sarkozy, il accompagne Claude Guéant lors de ses déplacements en Libye et en Algérie3.
Debut décembre 2017, il est aperçu lors de la reception en l’honneur de la visite du president Emmanuel Macron a l’ambassade de France en Algérie1.
Alors que Nicolas Sarkozy est mis en examen dans le cadre de l’Affaire Sarkozy-Kadhafi, Djouhri est interpellé le 8 janvier 2018 à l’aéroport d’Heathrow en provenance de Genève par un vol régulier6. Relâché puis emprisonné à Wandsworth, la grande prison de Londres7, Djouhri est hospitalisé, où il a été victime d’une mystérieuse attaque cardiaque, et placé en coma artificiel8.
Après plusieurs mois d’incertitude, la justice britannique décide fin février 2019 son transfert en France en vertu d’un mandat d’arrêt européen émis par les juges d’instruction français fin décembre 2017 suite à la soirée à l’ambassade de France à Alger, pour « blanchiment d’argent », « détournement de fonds publics » et « corruption ». Djouhri a fait appel de la décision britannique.1
Pour Alain Minc, Alexandre Djouhri « est supérieurement intelligent et serait plus performant que beaucoup de patrons du CAC 40 . »9
Controverses
Faits divers
- En 1981, Alexandre Djouhri est interpellé pour vol à main armée dans l’attaque d’une bijouterie. Faute de preuve à charge, il n’est pas mis en examen10.
- En 1986, il est la cible d’une tentative d’assassinat. Son associé de l’époque, David Tordjman, proche du milieu franco-tunisien, gérant en sous-main de plusieurs discothèques parisiennes, a été victime en 1985 d’une tentative d’assassinat. Un rapport de synthèse de la brigade criminelle indique que « les événements violents qui sont intervenus par la suite semblent indiquer qu’un contentieux important oppose le clan Tordjman-Djouhri à une autre bande », et que « Djouhri Ahmed, plus communément appelé “Monsieur Alexandre”, individu de moralité douteuse et dont les activités paraissent aussi lucratives qu’obscures, ne pouvait ignorer qu’il était la cible de tueurs »11.
- En décembre 2005, Djouhri est mis en examen après avoir déclenché un pugilat dans l’hôtel George-V, agressant avec l’aide d’autres intervenants son concurrent Mohamed Ajroudi, lors d’une réunion concernant Veolia12.
- Selon le journaliste Pierre Péan, Djouhri aurait été mêlé à la tentative de meurtre d’un concurrent, l’homme d’affaires Ziad Takieddine13.
- L’Express du 9 mars 2010 affirme que Djouhri aurait été l’expéditeur de menaces à l’encontre du conseiller juridique de Nicolas Sarkozy, Patrick Ouart14.
Ventes d’armes
Selon l’enquête publiée par Pierre Péan dans La République des mallettes, il est décrit comme un intermédiaire dans le cadre de ventes internationales d’armes, proche de Dominique de Villepin mais aussi de Claude Guéant et de Bernard Squarcini, patron du renseignement intérieur français15.
Un autre intermédiaire spécialiste du Proche-Orient, Ziad Takieddine, considéré comme un « rival » de Djouhri, a déclaré au Journal du Dimanche16 : « J’accuse Jacques Chirac et Dominique de Villepin, à l’Élysée, et leurs « hommes », le diplomate Maurice Gourdault-Montagne et, notamment, un homme de l’ombre, Alexandre Djouhri, d’avoir, par leurs agissements, fait que la France passe aujourd’hui pour un des pays les plus corrompus au monde et ne vende plus rien à l’international », déclaration mettant en exergue la rivalité existant entre les intermédiaires qui vivent sur les commissions générées par les marchés internationaux.
Liens avec Dominique de Villepin
Depuis le milieu des années 1990, Alexandre Djouhri a noué des relations étroites avec Dominique de Villepin. Les deux hommes partagent des vacances et se retrouvent régulièrement, à Paris ou à Monaco. En 2011, durant la guerre en Libye, Alexandre Djouhri orchestre la réconciliation entre Dominique de Villepin et Nicolas Sarkozy, brouillés depuis l’affaire Clearstream. Le 28 novembre 2013, Alexandre Djouhri acquiert pour 43 000 euros un album original de Tintin appartenant à Dominique de Villepin, lors d’une vente aux enchères à l’hôtel Drouot : le lot no 120, un des mille premiers exemplaires imprimés de Tintin au pays des Soviets, premier ouvrage de la série des aventures de Tintin17.
Liens avec la famille Bugshan
Des liens d’affaires unissent Alexandre Djouhri avec la richissime famille saoudienne Bugshan. La famille Bugshan est à la tête d’un conglomérat industriel créé en 1923, le Saudi Bugshan Group. Elle est très proche de grands groupes français dont elle distribue les produits en Arabie saoudite.
Cette famille est cliente de l’avocat Dominique de Villepin depuis 2008. En 2013, De Villepin déclare au quotidien Le Monde qu’il « n’(a) pas de contrat avec ce groupe ». Cette affirmation est démentie catégoriquement par les enquêteurs de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF). Selon eux, Dominique de Villepin a effectué des « prestations » pour ce groupe entre 2008 et 2010, facturées 4,2 millions d’euros. L’une d’entre elles surprend les policiers de l’OCLCLIFF. Il s’agit d’une note d’analyse datée de janvier 2009 dont le titre est « Considérations sur les adaptations possibles au défi urbain asiatique à la lumière des évolutions et des prises de consciences récentes », qui s’avère le copié-collé d’une intervention réalisée en novembre 2008 à Téhéran au Forum des villes asiatiques. Entendu le 6 septembre 2016 comme témoin, Dominique de Villepin assure qu’Alexandre Djouhri n’a joué aucun rôle dans ces activités17.
Le Saudi Bugshan Group est cité dans l’affaire Karachi pour avoir possiblement bénéficié en 1996, via la société Parinvest et sur ordre de l’Élysée, des commissions du contrat de frégates Sawari II passé avec l’Arabie saoudite en 199417.
Libye
Selon l’hebdomadaire Le Canard enchaîné, au moment des révolutions arabes, l’ambassadeur de France en Tunisie Boris Boillon aurait veillé à l’exfiltration de Libye du directeur de cabinet de Mouammar Kadhafi, Béchir Salah Béchir, dans un jet privé appartenant à Alexandre Djouhri18. Pour le site d’information Maghreb Confidentiel, Djouhri et Salah seraient « inséparables » et se seraient envolés pour le Mali en juin 201219.
Pierre Péan cite l’ancien ministre de la Défense Hervé Morin, qui lui aurait confié que « Alexandre Djouhri a géré la Libye avec Claude Guéant ». Pierre Péan ne manque pas de rappeler le rôle central de Djouhri dans le règlement de l’affaire des infirmières bulgares détenues en Libye, puis comme médiateur dans le divorce de Cécilia et Nicolas Sarkozy, avec pour objectif de s’assurer du silence de l’ex-première dame contre une pension conséquente20.
Financement libyen de la campagne de 2007 de Nicolas Sarkozy
Alexandre Djouhri est cité dans l’enquête sur un possible financement libyen de la campagne de 2007 de Nicolas Sarkozy. Des indices concordants s’étant accumulés sur un possible versement de fonds par Mouammar Kadhafi pour financer la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007, une enquête judiciaire est instruite depuis avril 2013 par deux juges du parquet national financier (PNF). Il s’agit de déterminer si la campagne présidentielle 2007 de Nicolas Sarkozy a bien fait l’objet d’un financement illicite libyen21. Au cours de cette enquête, le domicile suisse d’Alexandre Djouhri fait l’objet d’une perquisition approfondie en mars 201522. Depuis lors, Djouhri ne met plus les pieds en France ou seulement le week-end, comme il le confie à Alain Marsaud « pour éviter une garde à vue »11.
Par ailleurs, certains de ses proches de Djouhri confient aux journalistes et Joan Tilouine et Simon Piel avoir « fait faire glouglou » à Choukri Ghanem, l’ancien ministre du pétrole libyen qui, en 2007, consignait à la main dans un carnet les sommes occultes promises à Nicolas Sarkozy, et qui a été retrouvé flottant dans le Danube, à Vienne, en avril 201223,24.
En septembre 2016, Djouhri ne se rend pas à la convocation d’un juge du PNF dans le cadre de cette enquête. Selon le magazine Marianne, la justice demande alors à Interpol d’émettre et de diffuser un mandat d’arrêt international contre Djouhri25.
Visé par un mandat d’arrêt européen délivré par les juges d’instruction du pôle financier de Paris, il est arrêté le 8 janvier 2018 à l’aéroport de Londres Heathrow26. Il obtient sa liberté sous caution dans l’attente d’une audience d’extradition fixée au 17 avril, puis est de nouveau placé en détention provisoire en mars 2018, après l’émission par la France d’un second mandat d’arrêt européen à son encontre27.
Enquêtes difficiles
Deux journalistes de Paris Match, David Le Bailly et François Labrouillère, ont tenté de faire une enquête sur Djouhri. Après avoir posé des questions à Claude Guéant et Bernard Squarcini, la direction de leur journal a décidé d’annuler cette investigation. L’Agence France Presse dans une dépêche du 26 avril 2011 relate cet épisode en supposant une « intervention » d’un proche de Dominique Strauss-Kahn et d’Arnaud Lagardère auprès de la direction de l’hebdomadaire28.
Alexandre Djouhri a l’habitude de poursuivre en justice les journalistes qui enquêtent sur lui, ou les journaux qui publient des articles qui lui déplaisent. Il a ainsi obtenu la condamnation du journal Libération pour diffamation publique29, mais a été débouté par la 17e chambre du tribunal de grande instance de Paris, qui a donné raison à l’Express au sujet de ses révélations concernant des menaces contre Patrick Ouart30.
Vie privée
Selon le journaliste Olivier Drouin du magazine Capital, son fils Germain Djouhri a épousé la fille d’un proche de Vladimir Poutine, Sergeï Tchemezov, homme-clé du complexe militaro-industriel russe Rostekhnologuii31. Germain Djouhri résiderait à Londres et serait proche de Jean-Charles Charki, gendre de Claude Guéant32.
Notes et références
- Marc Endeweld, Le grand Manipulateur, Stock, 24 avril 2019, 360 p. (ISBN 978-2234086562)
- Djouhri, de Sarcelles aux palaces [archive], L’Express, 14 septembre 2011.
- Les très chers intermédiaires de la Ve République [archive], Le Monde, 5 novembre 2016.
- Le Monde, 27 avril 2011.
- Guéant : « Alexandre Djouhri est utile à notre pays » [archive], Le Nouvel Observateur, 24 avril 2011.
- « Les dessous de l’incroyable cavale d’Alexandre Djouhri », Challenges, 9 janvier 2018 (lire en ligne [archive])
- « Alexandre Djouhri, de la prison à l’hôpital », L’Express, 16 mars 2018 (lire en ligne [archive])
- C.L. & D.H., « L’enquête sur l’argent libyen de Sarko passe par les hostos », Le Canard Enchaîné, 21 mars 2018, p. 4.
- Alain Minc trouve Alexandre Benalla « éblouissant » [archive], Challenges, 10 février 2019
- Djouhri, l’agent trouble du pouvoir [archive], Libération, 29 janvier 2011.
- Alexandre Djouhri, le petit caïd devenu l’encombrant ami de Sarkozy [archive], Le Monde, 5 novembre 2016.
- Mise en examen d’un chiraquien de l’ombre [archive], Libération, 2 décembre 2015.
- Marianne, édition du 10 septembre 2011, page 22.
- « Menaces à l’Elysée » [archive], sur LExpress.fr, 9 mars 2010 (consulté le 29 mai 2019)
- Article du journal 20 minutes [archive], le 11 septembre 2011.
- Takieddine: « J’accuse Chirac et Villepin » [archive], Le JDD, 30 mai 2010
- Tintin, l’étrange passion commune d’Alexandre Djouhri et de Villepin [archive], Le Monde, 5 novembre 2016.
- Note libyenne sur la campagne de Sarkozy : qui est Bachir Saleh ? [archive], Francetv, avril 2012.
- Saleh et Djouhri à pied d’œuvre au Mali [archive], Maghreb Confidentiel.
- La République des mallettes, p. 390.
- Financement libyen de la campagne de Sarkozy : l’enquête impossible [archive], Le Monde, 3 novembre 2016.
- Perquisition à Genève sur la piste d’un éventuel financement libyen de Sarkozy [archive], Le Temps, 31 mars 2015.
- Joan Tilouine et Simon Piel, L’affairiste : L’incroyable histoire d’Alexandre Djouhri, de Sarcelles à l’Élysée, Stock, 2019, 250 p. (lire en ligne [archive]).
- Fabrice Arfi, « Djouhri, un Rastignac des temps modernes cerné par un livre et la justice » [archive], sur mediapart.fr, 16 octobre 2019 (consulté le 1er décembre 2019).
- Soupçons de financement libyen de Sarkozy en 2007 : mandat d’arrêt international contre Alexandre Djouhri [archive], Marianne, 15 octobre 2016.
- Soupçons de financement libyen : Alexandre Djouhri, proche de Sarkozy, interpellé à Londres [archive], Le Monde, 8 janvier 2018.
- LExpress.fr avec AFP, « Soupçons de financement libyen pour Sarkozy: Djouhri en détention provisoire » [archive], sur lexpress.fr, 27 février 2018 (consulté le 25 mars 2018).
- Dépêche AFP [archive], 26 avril 2011.
- Libération, édition du 18 décembre 2008, page 14.
- Alexandre Djouhi débouté des poursuites contre l’Express [archive], L’Express, 14 septembre 2011.
- Djouhri, l’agent trouble du pouvoir [archive], Libération, 29 janvier 2011.
- L’argus des éminences grises [archive], Capital, juin 2010.
Annexes
Bibliographie
- Joan Tilouine, Simon Piel, L’affairiste : l’incroyable histoire d’Alexandre Djouhri, de Sarcelles à l’Elysée, Stock, octobre 2019.
- Pierre Péan, La République des mallettes, Fayard, septembre 2011. Dans ce livre, Pierre Péan recueille de nombreux témoignages sur le financement occulte de la vie politique. Il s’intéresse surtout à Alexandre Djouhri, un homme d’affaires proche de Dominique de Villepin et de l’Élysée. Selon Pierre Péan, Alexandre Djouhri est devenu « un des hommes les plus puissants de la République. »
- Sophie Coignard, Romain Gubert, L’Oligarchie des incapables, Albin Michel, décembre 2011. Les auteurs exposent, en s’appuyant longuement sur l’ouvrage de Péan, les relations qu’Alexandre Djouhri a entretenu avec Dominique Strauss-Kahn, Henri Proglio, Claude Guéant et Jean-François Copé.
Liens externes
- Un homme d’ombre au cœur du pouvoir [archive] par Ariane Chemin et Marie-France Etchegoin, Le Nouvel Observateur, 24 avril 2010
- Les affaires genevoises d’Alexandre Djouhri [archive], La Tribune de Genève, 19 septembre 2011