Francis Christophe ami d’Alexandre Djouhri ?

La question se pose quand on lit ceci sous sa plume :

 

Le temps ne cautionne guère l’irrégularité du mandat d’arrêt

Le protagoniste clé de l’enquête sur des soupçons de financement libyen de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007 devrait être présenté d’ici 24 heures aux magistrats anticorruption en vue de sa mise en examen. Il devrait contester la procédure
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Le protagoniste clé de l’enquête sur des soupçons de financement libyen de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007 devrait être présenté d’ici 24 heures aux magistrats anticorruption en vue de sa mise en examen. Il devrait contester la procédure
Commentaires

 

Même chose en ce qui concerne son commentateur, comme lui ancien journaliste de Bakchich.

Et ce n’est pas la première fois que je trouve des liens presque directs entre le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi et Dominique de Villepin, l’homme de l’affaire Clearstream 2. C’est même récurrent.

Pour mémoire :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/11/15/oleg-sokolov-un-psychopathe-tres-sympa-comme-cyprien-luraghi-et-bien-dautres/

Je rappelle ici que mes harceleurs, magistrats CORROMPUS y compris, me reprochent tous d’avoir jadis catégoriquement refusé de mettre mes compétences d’ingénieur d’études en informatique au service de mafieux notoires, et tout spécialement de trafiquants d’armes qui notamment exigeaient de moi que je commette à leur profit des crimes et délits contre la Nation.

Un tel refus est habituellement sanctionné par une peine de mort.

Aussi, si j’avais été un homme, j’aurais sans aucun doute été assassinée très rapidement.

Mais comme j’étais une femme, les mafieux avaient primitivement décidé de commuer cette peine en obligation de prostitution, toujours à leur service.

Nouveau refus catégorique de ma part, n fois réitéré, et ce jusqu’à ce jour, tandis que les tentatives d’assassinat à mon encontre se sont bien multipliées après mes premiers refus.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques-Marie_Bourget

  1. «Kamel Daoud : Cologne, contre-enquête» [archive], elwatan.com, 29 juin 2016

Liens externes

:

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Alexandre_Djouhri

Alexandre Djouhri

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Alexandre Djouhri
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Biographie
Naissance
Nom de naissance
Ahmed Djouhri
Nationalité
Activité

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Alexandre Djouhri, né Ahmed Djouhri le 18 février 1959 à Saint-Denis en Seine-Saint-Denis, est un homme d’affaires français. Il possède les nationalités française, algérienne et gabonaise1.

Il est un intermédiaire dans les contrats internationaux, notamment pour l’industrie de l’armement.

Biographie

Sa famille, originaire d’Algérie, s’est installée à Saint-Denis puis à Sarcelles dans les années 19502.

Ahmed Djouhri est initié aux affaires par André Tarallo, l’ancien dirigeant d’Elf. À la fin des années 1990, Alexandre Djouhri est recruté par Vivendi Environnement (devenu Veolia). Il est décrit comme un « ami personnel » de son président Henri Proglio3.

Les activités de ce bon connaisseur de l’Afrique et du Moyen-Orient consistent, selon la journaliste Raphaëlle Bacqué4, à être un intermédiaire sur les marchés internationaux de l’eau, des déchets et du pétrole. La journaliste le présente comme l’un des hommes influents du moment. De ce proche de Dominique de Villepin, Claude Guéant dit : « Il a une connaissance de l’économie et des affaires qui est utile à notre pays5. » Sous la présidence de Jacques Chirac, il devient un intime des conseillers présidentiels Maurice Gourdault-Montagne et Dominique de Villepin. Rallié en 2006 aux réseaux de Nicolas Sarkozy, il accompagne Claude Guéant lors de ses déplacements en Libye et en Algérie3.

Debut décembre 2017, il est aperçu lors de la reception en l’honneur de la visite du president Emmanuel Macron a l’ambassade de France en Algérie1.

Alors que Nicolas Sarkozy est mis en examen dans le cadre de l’Affaire Sarkozy-Kadhafi, Djouhri est interpellé le 8 janvier 2018 à l’aéroport d’Heathrow en provenance de Genève par un vol régulier6. Relâché puis emprisonné à Wandsworth, la grande prison de Londres7, Djouhri est hospitalisé, où il a été victime d’une mystérieuse attaque cardiaque, et placé en coma artificiel8.

Après plusieurs mois d’incertitude, la justice britannique décide fin février 2019 son transfert en France en vertu d’un mandat d’arrêt européen émis par les juges d’instruction français fin décembre 2017 suite à la soirée à l’ambassade de France à Alger, pour « blanchiment d’argent », « détournement de fonds publics » et « corruption ». Djouhri a fait appel de la décision britannique.1

Pour Alain Minc, Alexandre Djouhri « est supérieurement intelligent et serait plus performant que beaucoup de patrons du CAC 40 . »9

Controverses

Faits divers

  • En 1981, Alexandre Djouhri est interpellé pour vol à main armée dans l’attaque d’une bijouterie. Faute de preuve à charge, il n’est pas mis en examen10.
  • En 1986, il est la cible d’une tentative d’assassinat. Son associé de l’époque, David Tordjman, proche du milieu franco-tunisien, gérant en sous-main de plusieurs discothèques parisiennes, a été victime en 1985 d’une tentative d’assassinat. Un rapport de synthèse de la brigade criminelle indique que « les événements violents qui sont intervenus par la suite semblent indiquer qu’un contentieux important oppose le clan Tordjman-Djouhri à une autre bande », et que « Djouhri Ahmed, plus communément appelé “Monsieur Alexandre”, individu de moralité douteuse et dont les activités paraissent aussi lucratives qu’obscures, ne pouvait ignorer qu’il était la cible de tueurs »11.
  • En décembre 2005, Djouhri est mis en examen après avoir déclenché un pugilat dans l’hôtel George-V, agressant avec l’aide d’autres intervenants son concurrent Mohamed Ajroudi, lors d’une réunion concernant Veolia12.
  • Selon le journaliste Pierre Péan, Djouhri aurait été mêlé à la tentative de meurtre d’un concurrent, l’homme d’affaires Ziad Takieddine13.
  • L’Express du 9 mars 2010 affirme que Djouhri aurait été l’expéditeur de menaces à l’encontre du conseiller juridique de Nicolas Sarkozy, Patrick Ouart14.

Ventes d’armes

Selon l’enquête publiée par Pierre Péan dans La République des mallettes, il est décrit comme un intermédiaire dans le cadre de ventes internationales d’armes, proche de Dominique de Villepin mais aussi de Claude Guéant et de Bernard Squarcini, patron du renseignement intérieur français15.

Un autre intermédiaire spécialiste du Proche-Orient, Ziad Takieddine, considéré comme un « rival » de Djouhri, a déclaré au Journal du Dimanche16 : « J’accuse Jacques Chirac et Dominique de Villepin, à l’Élysée, et leurs « hommes », le diplomate Maurice Gourdault-Montagne et, notamment, un homme de l’ombre, Alexandre Djouhri, d’avoir, par leurs agissements, fait que la France passe aujourd’hui pour un des pays les plus corrompus au monde et ne vende plus rien à l’international », déclaration mettant en exergue la rivalité existant entre les intermédiaires qui vivent sur les commissions générées par les marchés internationaux.

Liens avec Dominique de Villepin

Depuis le milieu des années 1990, Alexandre Djouhri a noué des relations étroites avec Dominique de Villepin. Les deux hommes partagent des vacances et se retrouvent régulièrement, à Paris ou à Monaco. En 2011, durant la guerre en Libye, Alexandre Djouhri orchestre la réconciliation entre Dominique de Villepin et Nicolas Sarkozy, brouillés depuis l’affaire Clearstream. Le 28 novembre 2013, Alexandre Djouhri acquiert pour 43 000 euros un album original de Tintin appartenant à Dominique de Villepin, lors d’une vente aux enchères à l’hôtel Drouot : le lot no 120, un des mille premiers exemplaires imprimés de Tintin au pays des Soviets, premier ouvrage de la série des aventures de Tintin17.

Liens avec la famille Bugshan

Des liens d’affaires unissent Alexandre Djouhri avec la richissime famille saoudienne Bugshan. La famille Bugshan est à la tête d’un conglomérat industriel créé en 1923, le Saudi Bugshan Group. Elle est très proche de grands groupes français dont elle distribue les produits en Arabie saoudite.

Cette famille est cliente de l’avocat Dominique de Villepin depuis 2008. En 2013, De Villepin déclare au quotidien Le Monde qu’il « n’(a) pas de contrat avec ce groupe ». Cette affirmation est démentie catégoriquement par les enquêteurs de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF). Selon eux, Dominique de Villepin a effectué des « prestations » pour ce groupe entre 2008 et 2010, facturées 4,2 millions d’euros. L’une d’entre elles surprend les policiers de l’OCLCLIFF. Il s’agit d’une note d’analyse datée de janvier 2009 dont le titre est « Considérations sur les adaptations possibles au défi urbain asiatique à la lumière des évolutions et des prises de consciences récentes », qui s’avère le copié-collé d’une intervention réalisée en novembre 2008 à Téhéran au Forum des villes asiatiques. Entendu le 6 septembre 2016 comme témoin, Dominique de Villepin assure qu’Alexandre Djouhri n’a joué aucun rôle dans ces activités17.

Le Saudi Bugshan Group est cité dans l’affaire Karachi pour avoir possiblement bénéficié en 1996, via la société Parinvest et sur ordre de l’Élysée, des commissions du contrat de frégates Sawari II passé avec l’Arabie saoudite en 199417.

Libye

Selon l’hebdomadaire Le Canard enchaîné, au moment des révolutions arabes, l’ambassadeur de France en Tunisie Boris Boillon aurait veillé à l’exfiltration de Libye du directeur de cabinet de Mouammar Kadhafi, Béchir Salah Béchir, dans un jet privé appartenant à Alexandre Djouhri18. Pour le site d’information Maghreb Confidentiel, Djouhri et Salah seraient « inséparables » et se seraient envolés pour le Mali en juin 201219.

Pierre Péan cite l’ancien ministre de la Défense Hervé Morin, qui lui aurait confié que « Alexandre Djouhri a géré la Libye avec Claude Guéant ». Pierre Péan ne manque pas de rappeler le rôle central de Djouhri dans le règlement de l’affaire des infirmières bulgares détenues en Libye, puis comme médiateur dans le divorce de Cécilia et Nicolas Sarkozy, avec pour objectif de s’assurer du silence de l’ex-première dame contre une pension conséquente20.

Financement libyen de la campagne de 2007 de Nicolas Sarkozy

Alexandre Djouhri est cité dans l’enquête sur un possible financement libyen de la campagne de 2007 de Nicolas Sarkozy. Des indices concordants s’étant accumulés sur un possible versement de fonds par Mouammar Kadhafi pour financer la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007, une enquête judiciaire est instruite depuis avril 2013 par deux juges du parquet national financier (PNF). Il s’agit de déterminer si la campagne présidentielle 2007 de Nicolas Sarkozy a bien fait l’objet d’un financement illicite libyen21. Au cours de cette enquête, le domicile suisse d’Alexandre Djouhri fait l’objet d’une perquisition approfondie en mars 201522. Depuis lors, Djouhri ne met plus les pieds en France ou seulement le week-end, comme il le confie à Alain Marsaud « pour éviter une garde à vue »11.

Par ailleurs, certains de ses proches de Djouhri confient aux journalistes et Joan Tilouine et Simon Piel avoir « fait faire glouglou » à Choukri Ghanem, l’ancien ministre du pétrole libyen qui, en 2007, consignait à la main dans un carnet les sommes occultes promises à Nicolas Sarkozy, et qui a été retrouvé flottant dans le Danube, à Vienne, en avril 201223,24.

En septembre 2016, Djouhri ne se rend pas à la convocation d’un juge du PNF dans le cadre de cette enquête. Selon le magazine Marianne, la justice demande alors à Interpol d’émettre et de diffuser un mandat d’arrêt international contre Djouhri25.

Visé par un mandat d’arrêt européen délivré par les juges d’instruction du pôle financier de Paris, il est arrêté le 8 janvier 2018 à l’aéroport de Londres Heathrow26. Il obtient sa liberté sous caution dans l’attente d’une audience d’extradition fixée au 17 avril, puis est de nouveau placé en détention provisoire en mars 2018, après l’émission par la France d’un second mandat d’arrêt européen à son encontre27.

Enquêtes difficiles

Deux journalistes de Paris Match, David Le Bailly et François Labrouillère, ont tenté de faire une enquête sur Djouhri. Après avoir posé des questions à Claude Guéant et Bernard Squarcini, la direction de leur journal a décidé d’annuler cette investigation. L’Agence France Presse dans une dépêche du 26 avril 2011 relate cet épisode en supposant une « intervention » d’un proche de Dominique Strauss-Kahn et d’Arnaud Lagardère auprès de la direction de l’hebdomadaire28.

Alexandre Djouhri a l’habitude de poursuivre en justice les journalistes qui enquêtent sur lui, ou les journaux qui publient des articles qui lui déplaisent. Il a ainsi obtenu la condamnation du journal Libération pour diffamation publique29, mais a été débouté par la 17e chambre du tribunal de grande instance de Paris, qui a donné raison à l’Express au sujet de ses révélations concernant des menaces contre Patrick Ouart30.

Vie privée

Selon le journaliste Olivier Drouin du magazine Capital, son fils Germain Djouhri a épousé la fille d’un proche de Vladimir Poutine, Sergeï Tchemezov, homme-clé du complexe militaro-industriel russe Rostekhnologuii31. Germain Djouhri résiderait à Londres et serait proche de Jean-Charles Charki, gendre de Claude Guéant32.

Notes et références

  1. L’argus des éminences grises [archive], Capital, juin 2010.

Annexes

Bibliographie

  • Joan Tilouine, Simon Piel, L’affairiste : l’incroyable histoire d’Alexandre Djouhri, de Sarcelles à l’Elysée, Stock, octobre 2019.
  • Pierre Péan, La République des mallettes, Fayard, septembre 2011. Dans ce livre, Pierre Péan recueille de nombreux témoignages sur le financement occulte de la vie politique. Il s’intéresse surtout à Alexandre Djouhri, un homme d’affaires proche de Dominique de Villepin et de l’Élysée. Selon Pierre Péan, Alexandre Djouhri est devenu « un des hommes les plus puissants de la République. »
  • Sophie Coignard, Romain Gubert, L’Oligarchie des incapables, Albin Michel, décembre 2011. Les auteurs exposent, en s’appuyant longuement sur l’ouvrage de Péan, les relations qu’Alexandre Djouhri a entretenu avec Dominique Strauss-Kahn, Henri Proglio, Claude Guéant et Jean-François Copé.

Liens externes

 



Les pédophiles sont de sortie : jeu de piste pour débutant

Cela commence ici sur Twitter :

 

https://twitter.com/CyprienLuraghi/status/1223268419862237184

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Les pédophiles sont de sortie : jeu de piste pour débutant dans AC ! Brest default_profile_bigger
casanier hubiquitius
@castilius
·

Jan 31

salut cyp Tu m as reconnu ?

wacpeS_-_bigger dans Attentats
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
·

Jan 31

Dans la seconde, je t’ai reconnu, hé hé…
default_profile_bigger dans Calomnie
casanier hubiquitius
@castilius
·

Jan 31

Sur quels indices ?
wacpeS_-_bigger dans Corruption
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi

Replying to

Casanier, tout simplement. C’est pas la première fois que tu l’utilises, ce pseudo.
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4:34 PM · Jan 31, 2020·Twitter Web App
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casanier hubiquitius
@castilius
·

Jan 31

Replying to

Caramba encore raté !
wacpeS_-_bigger dans Folie
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
·

Jan 31

Ma mémoire n’est pas encore tout à fait passoire.

 

Personnellement, en l’occurrence je ne peux pas faire appel à ma mémoire, car je n’ai jamais remarqué ces pseudonymes nulle part.

Donc, je vais voir un peu ce qu’il y a là :

https://twitter.com/castilius/with_replies

Ouh la… ça sent le journaleux à tendance extrême-gauchiste…

Son compte a été créé au mois de mai 2013.

Allons voir plus loin avec une petite recherche de « hubiquitius » sur Google.

Bingo !

On trouve tout de suite tout un tas d’autres comptes au même nom :

 

The latest Tweets from hubert Lanigre (@hubiquitius): « Affaire Boulin : de nouveaux témoins sortent du silence – France Inter : http://t.co/Qt8S6ZLACL via …
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www.agoravox.fr › auteur › hubiquitius


hubiquitius – AgoraVox le média citoyen

 

 

Voilà donc l’ancien compte Twitter, ouvert en janvier 2010 et plus usité depuis mai 2013 :

https://twitter.com/hubiquitius/with_replies

On y découvre un type très excité par l’affaire Boulin, celle de l’ancien ministre du travail Robert Boulin, ou du papa de Bertrand Boulin, qui a fait partie des signataires des pétitions pro-pédophiles de 1977 et s’est trouvé impliqué dans une affaire de pédophilie.

Et voici le compte Facebook :

https://www.facebook.com/casanier.hubiquitius

Il indique en intro :

 

Intro
Photo de Casanier Hubiquitius.
Photo de Casanier Hubiquitius.
Photo de Casanier Hubiquitius.
Photo de Casanier Hubiquitius.

 

 

Eh bien voilà, il s’agit donc de Francis Christophe, dont on retrouve la bio ici :

 

https://www.huffingtonpost.fr/author/francis-christophe/

Francis Christophe

Journaliste

Journaliste pour l’AFP pendant treize ans, puis enquêteur à l’OGD (Observatoire géopolitique des drogues), Francis Christophe est notamment l’auteur de Total : entre marée noire et blanchiment (Golias, 2000), Birmanie, la dictature du pavot (Picquier, 1998), et coauteur de La drogue, nouveau désordre mondial (Hachette pluriel, 1993). Il a également publié Boulin, le fantôme de la Ve République, un ouvrage illustré par le dessinateur Loco (OWNI, 2011).
Il vient de publier Claude Guéant. Un préfet en eaux troubles, aux éditions du Moment.

Claude Guéant, un prisme

Claude Guéant, un prisme français

Jamais, dans l’histoire politico-judiciaire française, rater un siège de député n’a entrainé l’avalanche de gardes à vue, mises en examen, et condamnation en correctionnelle.
22/04/2016 10:56 CEST

 

Selon les dires publics du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi à la fin de l’été 2010, cet ancien journaliste de Bakchich le conseillait pour toutes ses exactions à mon encontre.

Le cyberdélinquant le présentait à ses lecteurs comme un très vieil ami également très proche du journaliste David Servenay, qui est bien l’un des initiateurs des harcèlements que je subis sur le net depuis l’année 2008.

L’été 2010 est marqué par une augmentation brutale des homicides commis sur le territoire français, en parallèle au succès du blog « Tique Toc » avec lequel le malade mental faisait connaître au public toutes les pseudo « informations » dont sa complice Josette Brenterh du NPA de Brest l’abreuvait à mon sujet depuis déjà deux ans.

Dès la publication de mon nom sur ce blog au mois de juin 2010, le djihadiste toulousain Mohammed Merah s’était mis en branle.

La sortie du 1er numéro du magazine d’Al-Qaïda Inspire avait rapidement suivi :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Inspire_%28magazine%29

Pourquoi donc voit-on encore aujourd’hui Francis Christophe rappliquer « dard’art » (nom de l’association créée par le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi pour récupérer de vieux ordinateurs qu’il dit remettre en état pour les donner à des enfants de pauvres, voir ici : https://www.societe.com/societe/dard-art-492608724.html) ?

Manifestement, des journaleux assoiffés de sang en veulent toujours plus…



Municipales à Brest : des commandes mystérieuses

Après les très mystérieux projets d’attentats révélés à la suite de l’interpellation du 20 janvier 2020, à Brest on s’interroge maintenant sur un sondage dont les commanditaires ne se font pas davantage connaître…

Je rappelle ici que jusqu’à présent les attentats islamistes avaient toujours épargné la Bretagne comme toutes les manifestations de l’extrême-gauche pour une raison très simple : leurs commanditaires sont toujours la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et ses amis, dont un grand nombre de magistrats locaux, notamment ceux de l’instruction et du parquet, qui tous s’avèrent pleinement complices de toutes ses exactions, qu’elles soient de nature terroriste ou non.

Il y a donc lieu de s’interroger sur les récents projets d’attentats apparus à Brest : résultent-ils d’une faille quelconque dans le groupe terroriste constitué autour des trois têtes Josette Brenterch du groupe NPA/LFI/RN de Brest, Pascal Edouard Cyprien Luraghi de Puy-l’Evêque et Jean-Marc Donnadieu de Béziers, des Brestois tendant à s’en désolidariser ayant alors été visés ? leurs commanditaires avaient-ils prévu de les laisser se développer jusqu’à leur terme, ou bien ont-ils toujours tout contrôlé avec l’intention de dénoncer leurs hommes de main assez tôt pour qu’il n’y ait en fait jamais eu aucun risque d’attentat réel, comptant alors que de simples projets avortés pouvaient produire l’effet qu’ils recherchaient ?

En tous les cas, j’ai désormais suffisamment de preuves en main pour écarter définitivement l’hypothèse de commanditaires différents des précédents, qui pourquoi pas auraient cherché à créer une grosse surprise parmi ces salopards : ce sont bien toujours les mêmes, avec, également, toujours les mêmes objectifs crapuleux affichés dès le départ par les petits morveux Luraghi, Donnadieu et comparses qui s’obstinent dans leur volonté de renverser l’Etat pour leur profit personnel.

Il convient cependant de s’interroger comme je viens de le faire sur ces projets d’attentats nouveaux, créant à l’évidence une rupture avec les précédents.

En fait, il me semble que cette fois-ci ils aient voulu faire d’une pierre au moins trois coups.

Interroger à ce sujet le malade mental extrêmement dangereux Jean-Marc Donnadieu, qui comme d’habitude y est associé, et s’est remis au billard il y a quelques mois.

Voilà en effet ce qu’il annonçait sur Facebook en date du 19 janvier 2020 :

 

Mauvais présage, Game of Trhones nous a trompé!
Le lion gagne!

Peu importe le type d’animal que vous êtes, les amitiés se développent tout de même. Ces deux amis en sont la preuve vivante : au zoo de Saint-Pétersbourg, un lynx boréal est devenu ami avec une chatte. Le félin était sans abri et a trouvé de la nourriture où vivait le lynx. Non seulement …
 dans Attentats
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Peu importe le type d’animal que vous êtes, les amitiés se développent tout de même. Ces deux amis en sont la preuve vivante : au zoo de Saint-Pétersbourg, un lynx boréal est devenu ami avec une chatte. Le félin était sans abri et a trouvé de la nourriture où vivait le lynx. Non seulement …

 

 

https://www.letelegramme.fr/finistere/brest/municipales-a-brest-qui-a-commande-un-sondage-31-01-2020-12492563.php

Publié le 31 janvier 2020 à 19h30

Municipales à Brest : qui a commandé un sondage ?

 

Municipales à Brest : qui a commandé un sondage ?

(Archives Emmanuel Schmitt)

 

Un sondage sur les municipales de Brest vient d’être emmagasiné. Mais qui en est le commanditaire ? Mystère.

 

Un sondage sur les intentions de vote aux municipales de Brest a été réalisé cette semaine. Réalisé par téléphone par l’institut Opinion Ways, il teste les différents candidats officiellement déclarés. Cette jeune femme de 25 ans qui demeure dans le quartier de Saint-Marc a fait partie des personnes interrogées, mardi dernier.

« On m’a demandé pour qui j’avais voté à la dernière présidentielle, si j’avais voté aux dernières municipales, si j’allais voter en mars prochain », témoigne-t-elle. Puis, les questions en entonnoir se font plus précises sur les différents candidats, et différents scénarios sont proposés dans l’optique du second tour, allant jusqu’à des quadrangulaires. Ce que confirment aussi deux autres personnes qui ont fait partie du panel.

« Avec le résultat on saurait sur qui taper » !

Les candidats eux-mêmes ont rapidement eu vent de l’affaire. Et la fébrilité est partout ! Alors qu’une incertitude inédite plane sur l’issue du scrutin de mars prochain à Brest, forcément, chacun vient aux nouvelles. « Ce n’est pas vous, le Télégramme, les commanditaires ? », interroge, un brin fébrile, l’un des représentants d’une liste qui nourrit de sérieuses chances d’atteindre le second tour. Ben non, ce n’est pas nous. Mais il insiste : « Vous comprenez, si on avait le résultat, on saurait sur qui taper avant le premier tour » !

On comprend bien, mais on a eu beau sonder les listes en présence, le donneur d’ordre reste mystérieux. Interrogé, Marc Coatanéa, le leader des Marcheurs « n’en sait pas plus ». Les Verts, peut-être ? « On n’aurait pas les moyens de le financer », pose Ronan Pichon. Reste le PS, non ? « On ne dit pas que l’on n’en fera pas, mais pour le moment, on ne l’a pas fait », assure Yohann Nédélec, le directeur de campagne de la liste conduite par François Cuillandre. Quant à l’ancien leader de la droite brestoise Laurent Prunier, qui s’était amusé il y a quelques mois en commandant un premier sondage avec quelques amis, il le jure : « Cette fois, ce n’est pas moi » !

 

https://www.letelegramme.fr/dossiers/coup-de-filet-antiterroriste-a-brest/coup-de-filet-antiterroriste-plusieurs-cibles-potentielles-a-brest-26-01-2020-12487293.php

Publié le 26 janvier 2020 à 18h50

Coup de filet antiterroriste : plusieurs cibles potentielles à Brest

 

Le port militaire de Brest aurait été l’une des cibles envisagées par les sept hommes interpellés.

Le port militaire de Brest aurait été l’une des cibles envisagées par les sept hommes interpellés. (Photo d’archives Jean-Noël Potin)

 

À Brest, plusieurs cibles potentielles d’attentats auraient été évoquées, lors d’échanges téléphoniques effectués par les sept hommes interpellés dans le coup de filet antiterroriste.

 

Le port militaire, un carnaval, les Capucins… Dans la cité du Ponant, plusieurs cibles auraient été envisagées par les sept hommes interpellés lundi à Brest, Guissény (29) et Loc-Eguiner-Ploudiry (29). Âgés de 16 à 38 ans, ils ont été mis en examen et placés en détention provisoire, samedi.

Selon les informations du Monde et d’Europe 1, les sept hommes auraient récemment évoqué plusieurs cibles à l’occasion d’échanges téléphoniques interceptés par les enquêteurs. Parmi elles : le port militaire de la ville de Brest ou encore les rassemblements brestois prévus dans le cadre du Nouvel an chinois, qui a débuté samedi aux Capucins. Une source proche de l’enquête confirme au Télégramme que le port militaire, les Capucins et un carnaval pouvaient être visés. Cette source nous indique toutefois qu’aucun projet d’attentat n’était « arrêté ». En effet, aucune arme et aucun explosif n’ont été retrouvés en perquisition.
À lire sur le sujetAntiterrorisme : les sept interpellés en détention

Le maire de Brest s’interroge

Joint ce dimanche, le maire de Brest, François Cuillandre, s’interroge sur la teneur de ces informations. « S’agit-il de simples rumeurs ou du non-respect du secret de l’instruction ? », se demande-t-il. « En tant que maire, poursuit-il, je n’ai eu aucune information de qui que ce soit. S’il s’agit de simples rumeurs, cela jette un trouble dans l’opinion publique. Et si ce sont de vraies informations, cela me pose des questions sur le non-respect du secret de l’instruction, surtout pour des faits aussi graves ».

La municipalité brestoise compte-t-elle renforcer la sécurité en ville ? « Les mesures de sécurité sont toujours prises mais pas contre les menaces terroristes, répond le maire. Et si celles-ci existent, il faut que les services de l’État me tiennent au courant ».

Appel à la plus grande vigilance dans les Côtes-d’Armor

Les interpellations brestoises de ces derniers jours résonnent sur tout le territoire breton. En conclusion de l’assemblée générale de l’Association costarmoricaine des maires de France (AMF 22) – à laquelle participait une centaine de maires des Côtes-d’Armor -, Thierry Mosimann, le tout nouveau préfet des Côtes-d’Armor, a appelé les maires du département à la plus grande vigilance : « L’exemple brestois montre que la menace peut venir d’éléments radicalisés demeurant dans de petites communes. Le rôle des maires et leur connaissance fine de leurs administrés se révèlent ainsi essentiels en termes de sécurité du territoire », a-t-il insisté, rappelant, au passage, que le plan Vigipirate est placé au niveau « Sécurité renforcé – Risque attentat ».

 



Du cinéma de Josette Brenterch et Marine Le Pen à Brest

Nouvelles démonstrations grand-guignolesques des « antifas » de la Mère Sup du NPA de Brest à l’occasion du passage dans cette ville de Marine Le Pen hier…

Rappelons donc que l’actuelle cellule brestoise du FN ou RN, montée à partir de 2010 par des dissidents de l’ancienne LCR de Brest, est restée excessivement proche de sa maison mère, dont la patronne Josette Brenterch a de toute façon toujours été d’extrême-droite et copine dans l’intimité avec les leaders locaux du FN, notamment son très vieil ami Jacques Fornès, issu comme elle de l’Algérie française, lequel, tout en couvrant de mamours sa grande copine Josette, se présente aussi comme un très vieil ami de la famille Le Pen, dont il a organisé de nombreux meetings dans le Morbihan et le Sud-Finistère.

Où l’on comprend le besoin qu’ils éprouvent d’enfumer le public avec des démonstrations hostiles soi-disant « improvisées » ou « spontanées » (tout est en fait très bien organisé de concert entre les deux partis prétendument opposés), qui sont sans aucun doute les plus virulentes de tout l’Hexagone…

 

 

https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine/saint-malo/municipales-visite-marine-pen-brest-puis-saint-malo-fait-vagues-1781747.html

Municipales : la visite de Marine Le Pen à Brest puis Saint-Malo fait des vagues

 

La présidente du Rassemblement National en Bretagne Marine Le Pen, est venue soutenir Philippe Miailhes. / © France Télévisions / Corentin Bélard

La présidente du Rassemblement National en Bretagne Marine Le Pen, est venue soutenir Philippe Miailhes. / © France Télévisions / Corentin Bélard

 

La présidente de Rassemblement National est de passage en Bretagne. Jeudi à Brest et ce vendredi à St-Malo, Marine Le Pen est venue soutenir les candidats qui se présentent aux élections municipales sous l’étiquette RN. Des visites parfois chahutées.

Par la rédaction Publié le 31/01/2020 à 12:33 Mis à jour le 31/01/2020 à 16:04

La présidente du Rassemblement National est en « tournée » en Bretagne. Après Brest jeudi 30 janvier, c’est donc à Saint-Malo que Marine Le Pen est venue soutenir ce vendredi, le candidat qui se présente pour les élections municipales sous l’étiquette RN.Sur le marché de Saint-Malo ce vendredi matin, Marine Le Pen, accompagnée notamment de Philippe Miailhes, la tête de liste RN pour les élections municipales dans la cité corsaire, et de Gilles Pennelle, président du groupe RN au Conseil régional de Bretagne, a affiché ses ambitions : « J’espère bien que le Rassemblement National va entrer dans de nombreuses villes dans les conseils municipaux ! »

Interview de Marine Le Pen à Saint-Malo
Le présidente du Rassemblement national est venue soutenir vendredi 31 janvier Philippe Miailhes, la tête de liste RN pour les élections municipales 2020. Interview réalisée par Catherine Jauneau et Christophe Rousseau
Candidats pour les élections municipales de Saint-Malo
Gilles Lurton – « Saint-Malo, notre lien » (Les Républicains)
Anne Le Gagne – « Saint-Malo au coeur des possibles » (soutenue par la majorité présidentielle)
Philippe Miailhes – « Le Rassemblement pour Saint-Malo » (Rassemblement National)
Stéphane Perrin – « Saint-Malo c’est vous » (Parti Radical de Gauche)
Alain Guillard  – « Saint-Malo autrement » (gauche citoyenne)
Michel Prual – « Union Libre des Démocrates Malouins » (centre droit)
Christine Bourquand – « Saint-Malo cité verte et solidaire » (EELV, PS, PCF, UDB, LFI, Génération.s, Place Publique
Jean Coudray – « Tous Malouins ! »(majorité sortante)

 

« Le fin de la macronie »

Alors que le Premier ministre Édouard Philippe, a annoncé ce vendredi matin qu’il se présentait comme tête de liste au Havre pour les élections municipales, Marine Le Pen a profité de son passage en pays malouin pour réagir : « C’est la fin de la macronie », a-t-elle estimé « Quand le Premier ministre vous lance comme signal « ça se passe tellement mal et on est tellement contestés et mauvais qu’il faut absolument que je me débrouille pour avoir mon siège éjectable et retrouver ma place de maire quand tout va partir en quenouille » (…) ce n’est pas un signal de grande confiance »

S’il n’est pas élu maire du Havre, Edouard Philippe a précisé qu’il resterait à Matignon.  »On ne va pas être plus royaliste que le roi, si le Premier ministre n’y croit plus, il n’y a pas de raison d’y croire non plus. Ça veut dire qu’il ne croit plus au travail qu’il fait à la tête du gouvernement », a ajouté la présidente du Rassemblement national.

200 personnes jeudi à Brest

La veille à Brest, la présidente du RN qui veut « créer la surprise » a été chahutée par de nombreux opposants réunis devant l’hôtel où elle devait tenir une conférence de presse.

Ils étaient près de 200 , répondant à l’appel de dix-sept organisations syndicales, pour dénoncer la venue de Marine Le Pen en pays brestois. La cheffe de file du RN y venait apporter son soutien à Renée Thomaïdis, conseillère régionale et candidate du parti pour les élections municipales à Brest la candidate de son parti aux élections municipales dans la commune.

Opposants lors de la visite de Marine Le Pen à Brest
Jeudi 30 janvier, près de 200 personnes se sont opposées à la présidente du Rassemblement National, de passage à Brest pour soutenir Renée Thomaïdis qui se présente aux élections municipales. Images de Sara Ben Chérifa

Une manifestation qui a poussé les organisateurs à déplacer le lieu de la conférence de presse qui s’est finalement tenue dans le local brestois du parti.

 



Gabriel Matzneff ou Cyprien Luraghi : d’un pervers, l’autre…

Photographié chez lui en 1976 ou en 2009, le pédophile étalon Gabriel Matzneff prend toujours la pose devant son propre portrait (voir ci-dessous).

Revenons à l’autre, le Konducator de ses dames…

Quel est l’habitué du site d’information Rue89 qui n’aura été frappé dès les années 2008 et 2009 – c’est-à-dire à l’époque où je l’ai fréquenté moi aussi, uniquement sous les pseudonymes successifs d’ « existe » et « jexiste » ne laissant paraître ni mon identité ni même mon genre -, par le surgissement régulier dans les commentaires de ses riverains de photographies du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qu’il postait lui-même après avoir pris la pose chez lui pour pouvoir ainsi nous imposer sa présence quotidienne dérangeante et menaçante avec encore plus de consistance ?

D’un pervers à l’autre, les comparaisons rimant avec raison s’imposent d’évidence.

Le second n’a jamais connu tous les succès du premier, il en est très frustré, aigri, et s’attaque quotidiennement depuis des lustres à toux ceux qui ne reconnaissent toujours pas son « génie littéraire ».

Car c’est bien ainsi qu’il se présente partout depuis sa plus tendre enfance, et sur le site Rue89 dès son arrivée en 2008 : mieux qu’écrivain, il se qualifie lui-même de « génie littéraire » et agresse là comme ailleurs tous ceux qui osent contester qu’il puisse en être, ou pire encore, le traitent par l’indifférence – c’était mon cas lorsqu’il a commencé à m’agresser, je ne l’avais encore jamais remarqué en dépit de tous ses efforts pour être LE riverain en vue de ce site d’information alors nouveau, affichant une vocation participative inédite, et donc exceptionnellement ouvert aux commentaires de ses lecteurs.

Or, ayant quitté l’école à 14 ans en situation d’échec scolaire, ce prétendu « écrivain » n’est même pas capable d’écrire dans un français tout simplement correct.

D’où, bien entendu, la suite ininterrompue de tous ses échecs depuis qu’il tente de faire éditer ses « romans », qui de plus ne présentent pas grand intérêt hors le cercle de ses fréquentations personnelles de psychopathe ayant toujours vécu en marge de la société – non pas d’amour et d’eau fraîche mais de trafics de drogues et d’alcools forts -, puisqu’il avoue lui-même être totalement incapable d’écrire autre chose que des « romans » qui d’après lui seraient « autobiographiques », mais où tous ceux qui se reconnaissent ou dont il prétend dans nombre de ses écrits publics qu’ils auraient servi de modèles à ses « personnages », lesquels n’en seraient selon ses dires que des copies conformes à tous points de vue, affirment quant à eux que ce grand pervers et mythomane notoire ne s’est en réalité toujours attaché qu’à les calomnier – et ont d’ailleurs pour plusieurs d’entre eux déposé de multiples plaintes à son encontre.

C’est que l’autoproclamé « écrivain en ligne et à l’oeil depuis 2001″ s’obstine à publier sur Internet ou mettre en ligne toutes ses saloperies… en toute impunité jusqu’à ce jour, alors qu’il viole éhontément l’intimité des vies privées de ses victimes, qu’en outre il travestit à seule fin de les calomnier.

Seule exception à tous ses échecs de pseudo « écrivain » ayant longtemps rêvé de droits d’auteur fabuleux : « Pour cigogne le glas », un épisode du Poulpe dont il a obtenu la publication des éditions Baleine au mois de mai 1999.

Il s’agit d’un roman policier qu’il a écrit dans la seconde partie des années 1990 avec l’assurance que celui-là serait effectivement publié, dans le but de dézinguer sa propre soeur à titre préventif alors qu’elle avait d’excellentes raisons de porter plainte contre lui pour d’autres faits pour le moins délictueux…

Mais cet unique succès ne tient qu’aux particularités de la collection Le Poulpe, son éditeur ayant décidé de publier tous les romans qu’il recevrait, quoi qu’il pût lui en coûter, notamment en temps de correction…

Voir ici :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Poulpe_(collection)

Opération néanmoins parfaitement réussie pour le pervers polymorphe et pro-pédophile à l’extrême Pascal Edouard Cyprien Luraghi : sa soeur ainsi durablement salie, et qu’il continuera des années durant à calomnier de multiples manières dans nombre de ses écrits publics sur différents sites et blogs sur Internet, perdait toute crédibilité pour l’attaquer en justice alors même que de surcroît il venait d’accéder à ses dépens au statut tant convoité et si protecteur d’ « écrivain »…

Selon ses propres termes pour décrire sa méthode : il « encule », puis « surencule »…

Ayant effectué son service national comme objecteur de conscience au ministère de la Culture durant deux ans, il connaissait depuis longtemps toutes les ficelles du métier, les portes auxquelles frapper, même sans savoir écrire, et naturellement tous les avantages qu’il allait retirer à faire partie d’un certain sérail, même sans aucun succès.

En effet, se présenter comme « artiste » ou « écrivain » « maudit » voyant tous ses manuscrits systématiquement rejetés par tous les éditeurs, c’est encore, paradoxalement, dans la société qui est la nôtre, un vrai titre de gloire et un excellent filon qu’il a toujours su exploiter aussi bien que sa nullité en tout à l’école : trop subversif, trop génial, trop supérieur en tout, il joue les incompris d’un système « nul à chier » (sic) qui ne valoriserait que les « bourgeois » qu’il déteste tant, fait mine de se rebeller et s’affiche « révolté social » tout en se faisant payer pour harceler à mort d’authentiques « lanceurs d’alerte ».

C’est l’essentiel de son activité sur le site Rue89 dès l’année 2008.

Il vient là avec sa troupe de cybercriminels dits « déconnologues » harceler des femmes qui ont déjà subi les violences d’autres harceleurs, afin de les faire taire à ce sujet alors qu’elles ne s’expriment sur le harcèlement moral en entreprise qu’en termes généraux, sans jamais citer de cas particuliers ni nommément ni avec suffisamment de précisions pour que leurs divers protagonistes, pas plus qu’elles-mêmes en tant que victimes, ne puissent à aucun moment être identifiés.

Les mêmes prennent aussi pour cibles toutes celles qui expriment des positions féministes, notamment contre le viol et la pédophilie.

Leur violence à l’égard de ces femmes, dont je suis, ne sera jamais égalée par leurs pâles imitateurs de la Ligue du LOL.

Harcèlement, viol, pédophilie titillent naturellement tous ces pervers à titre personnel depuis toujours.

En effet, il faut bien présenter le caractère déviant du pervers narcissique qu’ils ont tous en commun pour s’en rendre coupable.

C’est aussi celui du proxénète et de tout autre exploitant ou trafiquant d’êtres humains.

Comme s’étonner que le thème en apparence très généreux de la lutte en faveur des sans-papiers les ait d’abord tous réunis ? Les mafias la contrôlent ou l’organisent elles-mêmes.

Ils m’attaquent tous ensemble dès 2008 autant pour mes interventions sur la question du harcèlement moral en entreprise, un problème selon eux totalement inexistant, que pour le compte de l’ancien psychiatre pédophile de Brest Serge Rodallec, qu’ils m’accusent de « diffamer » sous le prétexte que je fais connaître sur le site Rue89 les articles de Ouest France et Le Télégramme ayant relaté ses premiers procès pour faits de pédophilie sur plusieurs de ses anciens patients handicapés mentaux, lesquels procès se sont tenus fin 2007 en son absence, car il a fui la France pour échapper à sa justice à l’automne 2005. Il se cache alors en Thaïlande sous une fausse identité, ce qui ne sera découvert qu’au mois de janvier 2010.

Dès 2008, l’intimité de ma vie privée est violée de multiples manières, celles de mes proches ou de mes relations de même : tous nos ordinateurs sont piratés par le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi et toute sa bande de cybercriminels, toutes nos lignes téléphoniques sont également illégalement écoutées, même nos domiciles sont entièrement sonorisés.

Quotidiennement, nous sommes ainsi quasiment à tout instant massivement et profondément violés par ce prétendu « écrivain » et toute sa troupe de pervers qui nous harcèlent publiquement avec toutes les informations qu’ils recueillent sur nos comptes par tous ces moyens illégaux.

Le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi dit publiquement qu’il nous « étudie in situ » (sic), lui qui n’a jamais pu suivre aucune scolarité normale en raison de toutes ses déficiences mentales, et soutient en avoir besoin pour produire de ses bouquins de merde.

Selon ses dires, son soi-disant « droit d’auteur » lui confère jusqu’au droit de se « documenter » (sic) sur ses « personnages » (ce que nous sommes pour lui) en nous violant en permanence comme il le fait, pour pouvoir ensuite publier ses versions entièrement revues et corrigées de nos « biographies », en insistant et s’étalant tout particulièrement sur les vies sexuelles qu’il nous prête, car il sait que c’est ce qu’il faut faire pour casser les ingénieurs et autres « bourgeois » (il l’a écrit dans un billet de blog de mai 2012 dont j’avais parlé ici le 5 janvier 2017 : http://petitcoucou.unblog.fr/2017/01/05/harcelement-sexuel-un-fleau-toujours-extremement-bruyant/).

Les magistrats du Finistère avalisent absolument tout.

Sa pédocriminalité, qu’ils connaissent aussi bien que tout le reste, en fait pour eux un Dieu vivant.

Les faits perdurent aujourd’hui depuis bientôt douze ans.

Nous sommes tous plus que jamais isolés, entravés dans toutes nos actions, ne pouvons absolument pas vivre dans de pareilles conditions et déplorons encore plusieurs assassinats parmi nos proches ou nos relations.

Pour les magistrats du Finistère, il n’y a toujours pas d’autre problème que les plaintes visant leur protégé, un « intellectuel » de haut niveau, puisque pédophile avéré, comme en témoignent nombre de ses écrits publics (notamment, il a bien écrit ne pouvoir résister à des filles qu’il qualifie de « bombasses » ou de « chaudasses du cul de 13 ans »).

Etant nous-mêmes ingénieurs ou cadres pour la plupart, dotés de sens des responsabilités excluant toute forme d’immaturité, toute tendance pédophile, nous sommes donc des moins que rien ne méritant pas de vivre…

 

https://www.la-croix.com/France/Affaire-Matzneff-proces-dune-epoque-2020-01-02-1201069372

Affaire Matzneff, le procès d’une époque

Analyse

Vanessa Springora publie Le Consentement, dans lequel elle relate sa relation sous emprise avec l’écrivain Gabriel Matzneff, alors qu’elle n’avait que 14 ans. Retour sur une époque révolue où la pédophilie était tolérée dans certains milieux au nom d’idéaux libertaires.

  • Marion Lecas,
  • le 02/01/2020 à 07:16
  • Modifié le 02/01/2020 à 08:43
Affaire Matzneff, le procès d’une époque

Gabriel Matzneff, le 3 mars 1976. Il sera l’auteur d’une pétition pro-pédophile dans le Monde en janvier 1977, paraphée par de grands intellectuels. Sophie Bassouls/Leemage

 

Janvier 1977. Trois hommes comparaissent pour avoir eu des relations sexuelles avec des enfants de 13 et 14 ans. « Trois ans pour des baisers et des caresses, ça suffit », s’insurge une pétition dans Le Monde. Son auteur est l’écrivain Gabriel Matzneff, dont les penchants pédophiles revendiqués dans les années 1970 sont aujourd’hui exhumés dans Le Consentement, de Vanessa Springora, avec qui il eut des relations sexuelles. Elle avait 14 ans, lui 50. Hier accueilli dans une relative indifférence, la parole de l’écrivain suscite aujourd’hui un vif émoi.

La guerre à l’ordre moral

Le 26 janvier 1977 pourtant, la pétition du Monde est paraphée par la fleur de l’intelligentsia française, de Gilles Deleuze à Roland Barthes, en passant par Jack Lang, Bernard Kouchner, Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir. « Certains intellectuels ont tenté de faire de la valorisation des relations sexuelles entre adultes et enfants un combat politique », explique le sociologue Pierre Verdrager (1). « Ce qui est combattu alors, c’est la protection de la jeunesse telle que le régime de Vichy et l’ordre moral post-Vichy l’avaient pensée », renchérit l’historienne Christine Bard (2). La principale revendication réside dans l’abrogation de la loi d’août 1942 sanctionnant les rapports entre hommes adultes et hommes de moins de 21 ans (contre 15 ans pour les hétérosexuels).

→ ENTRETIEN. « Les prêtres n’ont pas été imperméables aux discours sur la libération sexuelle »

« Il s’agit également de revendiquer pour les mineurs le droit au désir et à la sexualité et de protester contre le durcissement des pratiques policières et judiciaires en matière de contrôle sexuel », ajoute l’historienne Anne-Claude Ambroise-Rendu (3), qui évoque un lien évident avec « l’esprit de 68 », « le désir de tout interroger, tout réexaminer, tout remettre en question ». Un relativisme culturel instrumentalisé par les pro-pédophiles et amplifié par les journaux d’opinion : « Libération soutenait les positions des défenseurs de la pédophilie, une partie de la presse de la gauche était sensible à ce discours nouveau », rappelle Anne-Claude Ambroise-Rendu. Mais une revue comme Éléments d’Alain de Benoist, le penseur de la « nouvelle droite », soutient aussi ces positions.

Le mouvement pédophile isolé

Toutefois, la tolérance envers la pédophilie, criminalisée dès 1832, se restreint aux cercles intellectuels. « Le sens commun », précise Pierre Verdrager, se révèle plus hostile, tout comme les féministes : « La pédophilie était perçue comme une expression manifeste des droits que s’arrogeaient les hommes sur les plus fragiles », détaille Christine Bard. La « subversion » revendiquée par les pro-pédophile ne survit d’ailleurs pas aux années 1980. D’autant qu’en 1982, la majorité sexuelle pour les homosexuels est abaissée à 15 ans.

→ CHRONIQUE. L’affaire Gabriel Matzneff et le fossé des générations

Le mouvement pédophile devient inaudible, à l’inverse des victimes, dont la parole se libère peu à peu. En avril 1995, Mireille Dumas présente, en prime time, un numéro spécial de « Bas les masques », « l’enfance violée ». « Mai 68, c’est aussi la libération de la parole sur le sexe et donc sur les abus sexuels », rappelle Pierre Verdrager. Ou « la préhistoire de MeToo », compare Christine Bard.

Restent des tabous à faire tomber. « Quand on connaît les chiffres des violences faites aux enfants, comment expliquer que ce sujet ne nous scandalise ni ne nous mobilise pas plus ?, interroge le secrétaire d’État à la protection de l’enfance, Adrien Taquet, dans une tribune publiée sur le site de La Croix. Probablement parce que cela renvoie à ce que l’être humain a de plus abject en lui, et que nous ne voulons pas le voir – c’est encore plus vrai pour l’inceste, dernier tabou à faire sauter dans notre société. Probablement parce que cela sape un des fondements de notre société, la famille – 80 % des violences faites aux enfants ont lieu dans un cadre familial. »

Alors qu’il appelle à faire des violences faites aux enfants « le combat qui nous réunit pour cette décennie 2020 », l’ancienne défenseure des droits de l’enfant, Claire Brisset, déplore le rendez-vous manqué de la loi Schiappa de 2018 qui a refusé de fixer un âge minimum de consentement. « Avant 15 ans, on ne doit pas envisager qu’il y ait consentement mais automatiquement qualifier le rapport de viol, plaide-t-elle. Comment pourrait-on être consentant d’un acte dont on ignore tout, ou du moins dont on ignore les répercussions sur notre vie d’adulte ? »

(1) L’enfant interdit. Comment la pédophilie est devenue scandaleuse, Armand Colin, 2013.

(2) Une histoire de la sexualité, Presses Universitaires de France, 2018.

(3) Histoire de la pédophilie, XIXe-XXIsiècle, Fayard, 2014.

sur la-croix.com

 

https://www.francetvinfo.fr/culture/livres/affaire-gabriel-matzneff/il-ne-s-agit-pas-de-litterature-mais-d-un-delit-l-affaire-matzneff-suscite-le-malaise-des-editeurs_3766063.html

« Il ne s’agit pas de littérature mais d’un délit » : l’affaire Matzneff suscite le malaise des éditeurs

 

Franceinfo a interrogé deux professionnels de l’édition sur l’affaire Matzneff qui secoue le monde littéraire. Alors que l’auteur a publié le récit de ses relations avec des adolescents, de tels propos seraient-ils édités aujourd’hui ?

L\'écrivain Gabriel Matzneff à son domicile en 2009. 

L’écrivain Gabriel Matzneff à son domicile en 2009.  (MARC CHARUEL / MARC CHARUEL)

 

L’affaire Matzneff n’en finit pas de faire trembler le monde des lettres. Dans Le consentement (Grasset), Vanessa Springora raconte la relation entretenue avec l’écrivain Gabriel Matzneff alors qu’elle était âgé de 14 ans et lui de 50. Le livre ne sera publié que le 2 janvier mais a déjà suscité déjà de nombreuses réactions. La place importante qu’occupait Gabriel Matzneff dans le milieu littéraire, malgré ses pratiques pédophiles assumées et jamais condamnées par la justice, provoque aujourd’hui un malaise.

En témoigne cette séquence de l’émission Apostrophes qui fait polémique. Nous sommes en 1990 et Gabriel Matzneff présente son livre Mes amours décomposés (Gallimard), un volet de son journal où il raconte ses relations sexuelles avec de jeunes adolescents, parfois âgés de 11 ou 12 ans.

« Une complicité malvenue entre des hommes de pouvoir »

Seule la romancière canadienne Denise Bombardier s’attaque à l’écrivain. Les autres invités ne réagissent pas. « Je pense qu’il y avait à l’époque une domination patriarcale totale, nourrie par une complicité malvenue entre des hommes de pouvoir, analyse Caroline Laurent, directrice littéraire aux éditions Stock. C’est aussi lié à cet esprit français de marivaudage qui permettrait de tout faire passer avec un peu de piquant, cet écho lointain des salons du XVIIIe siècle, alors qu’on est face à une réalité terrifiante« , continue-t-elle. Il avait « ce côté transgressif, ce côté ‘on va faire hurler le bourgeois’« , explique Mickael Palvin, directeur marketing et communication chez Albin Michel. Pour Caroline Laurent, Gabriel Matzneff, en jouant publiquement de son attirance pour les enfants, « se rêvait peut-être en Humbert Humbert, le personnage de Nabokov. »

Il semble surtout qu’il a capitalisé sur de la pédocriminalité pour s’imposer dans le milieu littéraire.Caroline Laurent, directrice littéraire chez Stock

De tels récits pourraient-ils encore être publiés aujourd’hui ? Pour Mickael Palvin comme pour Caroline Laurent, la réponse est non. « S’il devait publier le même type d’ouvrages que ‘Mes amours décomposés’, cela serait très compliqué pour lui d’être édité. L’apologie qu’il y fait de sa relation avec des jeunes adolescents ne passerait pas« , estime le premier. Car pour eux, les temps ont changé. « Le mouvement Metoo a été un virage à tous les niveaux et pour tout le monde dans la société, la parole des femmes a fait changer les choses« , expose Caroline Laurent. « A l’époque, la vulnérabilité de Vanessa Springora n’était pas aussi choquante. Aujourd’hui, on voit qu’il y a une relation de pouvoir« , juge Mickael Palvin.

Pour Caroline Laurent, les récits que fait Gabriel Matzneff de ses relations avec des enfants ne relèvent pas de la littérature : « On est dans le registre du délit et non plus de la création littéraire« , estime l’éditrice. « Qu’il prétende avoir la liberté d’écrire ces histoires est une chose, mais qu’il les fasse subir à des mineurs en est une autre. Il y a eu agression, ce qui change la donne. Il faut distinguer liberté et aliénation. » Caroline Laurent fait la distinction entre la fiction et ce qui relève du réel : « Autant la littérature peut tout représenter et ne doit pas s’occuper de morale, autant le comportement des auteurs doit être considéré comme celui de n’importe quel citoyen. S’il y a crime ou délit, la justice doit prendre le relais« , considère-t-elle.

Un milieu littéraire toujours soumis à des logiques de domination

Selon elle, cette affaire survenue il y a plus de trente ans reste d’actualité dans un milieu littéraire « qui vit du paraître, du vernis et des paillettes« , toujours soumis à des logiques de domination. « Demeure aujourd’hui une sorte d’écrasement, le plus souvent imposé par des hommes qui ont des positions fortes dans le milieu, par exemple des auteurs puissants en raison de leurs nombreuses ventes et dont la maison d’édition a besoin pour faire tourner la trésorerie« , affirme Caroline Laurent.

On constate encore des phénomènes de domination et de parole empêchée des femmes. C’est quelque chose dont on ne parle pas.Caroline Laurent, directrice littéraire chez Stock

« L’affaire Matzneff fait éclater au grand jour des phénomènes qui ont eu lieu il y a plusieurs années, mais tout cela ne continue-t-il pas aujourd’hui ?« , conclut-elle.

 



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