Attentats du 13 novembre 2015 : le quatrième commando est créé en février et sollicité en septembre

Ce timing correspond parfaitement aux plans des commanditaires tels que je les ai déjà exposés : l’attentat contre Charlie Hebdo du 7 janvier 2015, un attentat contre la liberté d’expression défendue par OverBlog dans la procédure nous opposant à la criminelle Josette Brenterch, patronne de fait du NPA de Brest depuis plusieurs décennies, était censé mettre tout le monde en condition pour l’audience alors fixée à la Cour d’Appel de Rennes, début février 2015 : le « scandale » d’une liberté prétendument sans limites pour les cibles habituelles de mes harceleurs – mais pas pour eux quoiqu’ils s’autorisent une liberté encore plus grande – ayant conduit à cet attentat, il convenait de la restreindre comme l’exigeaient à mon endroit la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et tous ses complices, qu’il s’agisse de ses sbires cybercriminels dits « déconnologues » ou des magistrats ultra CORROMPUS du TGI de Brest qui l’avaient entièrement suivie depuis ses plaintes avec constitution de partie civile toutes nulles ou irrecevables de 2011, jusqu’à la condamnation prononcée le 11 juin 2013, sans que je n’aie jamais bénéficié, ni d’une instruction à décharge, ni même d’une quelconque défense au fond, mon propre avocat ayant été convaincu de ne travailler que pour mes adversaires.

Le 6 janvier 2015, veille de l’attentat, mes harceleurs obtenaient je ne sais comment une suspension du Petit Coucou, et le lendemain, 8 janvier 2015, était supprimé pour « apologie de la pédophilie » un blog Blogspot qui les dérangeait depuis son apparition sur la toile en mai 2013 en ce qu’il supportait des copies d’articles de mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog tous consacrés à l’affaire de l’ancien psychiatre et pédophile brestois Serge Rodallec, ainsi que des copies d’écrits apologistes de la pédophilie du malade mental au clavier – son « arme ».

Après l’attentat, ce dernier et ses complices étaient aux anges et revendiquaient dans leurs commentaires sur Rue89 le droit de rire des victimes, de s’en moquer comme ils l’ont toujours fait pour toutes leurs victimes.

En date du 24 janvier 2015, ils publieront même sur leur blog un « poème fermier en prose et en rime, c’est selon… et allégorique étant donné les moments difficiles que traverse notre beau pays aujourd’hui… voire ironique… ou satirique ! mouaaaaarrrrffff » qui aujourd’hui vaudrait au malade mental au clavier – « son arme » – garde à vue puis condamnation en comparution immédiate pour apologie du terrorisme.

Mais avec un peu de bonne volonté, il est toujours possible d’interroger l’éditeur de ce poème dont l’auteur se félicitait d’en avoir eu pour sans argent avec les frères Kouachi…

Et là, donc, patatras, l’audience prévue à Rennes début février 2015 était reportée à l’initiative de la Cour… et le Petit Coucou était rouvert…

Les enquêteurs avaient aussi repéré l’étrange aller-retour en Thaïlande d’un des premiers complices identifiés pour ces attentats de janvier 2015, mais le résident thaïlandais répondant au pseudonyme de « Homere » et ses complices « déconnologues » n’en seront pour autant jamais inquiétés.

L’audience de la Cour d’Appel de Rennes qui sera ultérieurement fixée au 30 septembre 2015 l’était pour plaider, aucun nouveau report n’étant d’emblée plus prévu.

La date de l’arrêt qui fut rendu le 2 décembre 2015 était dès lors prévisible.

 

 

https://www.nouvelobs.com/societe/20180419.OBS5469/attentats-du-13-novembre-les-temoignages-effrayants-des-membres-du-quatrieme-commando.html

Attentats du 13-Novembre : les témoignages effrayants des membres du « quatrième commando »

 

Attentats du 13-Novembre : les témoignages effrayants des membres du "quatrième commando"
Les attentats du 13-Novembre auraient pu être davantage meurtriers. (MIGUEL MEDINA / AFP)

 

« La Libre Belgique » confirme que deux hommes arrêtés en Autriche en décembre 2015 auraient dû frapper Paris avec les trois autres commandos.

 

Par L’Obs

Publié le 19 avril 2018 à 18h18

 

Les attentats du 13-Novembre auraient-ils pu être encore plus meurtriers ? Les témoignages de deux migrants, interpellés pour possession de faux documents en Autriche, en décembre 2015, le laissent penser. Selon les retranscriptions de leurs auditions face aux enquêteurs autrichiens, que nos confrères de « la Libre Belgique » ont pu consulter, les deux hommes s’apprêtaient bel et bien à commettre un attentat suicide en France.

« Abou Ahmed me disait que je devrais me suicider en France. Il me racontait que la vie actuelle ne ressemble à rien. Il me disait qu’une vie paisible m’attend au paradis si je mets fin à ma vie », raconte ainsi l’un d’entre eux, Muhammad Usman, un Pakistanais âgé de 24 ans. 

« Je devais remplir une mission pour Allah »

Au cœur de ces révélations, un certain Abou Ahmed, potentiellement identifié comme le belge Oussama Atar, qui a missionné les deux hommes au départ de Raqqa, en Syrie.

«  Il m’a dit que ceux de Daech allaient m’envoyer en France et que je devrais faire tout ce qu’un homme exigerait de moi [là-bas]. […] Que je devais remplir une mission pour Allah. […] Les détails, je les aurais quand j’arriverais en France  », explique quant à lui le second interpellé, Adel Haddadi, un Algérien de 30 ans, tout en précisant qu’il n’avait pas reçu de consignes précises.La création de leur commando remonte à février 2015, lorsque Adel Haddadi gagne la Syrie en passant par la Turquie. Après un premier passage dans une petite ville, l’Algérien explique avoir gagné Raqqa, où, selon ses dires, il aurait travaillé dans un restaurant plusieurs mois durant.

« Un Syrien est venu me voir un jour dans la cuisine et m’a dit qu’Abou Ahmed voulait me parler. C’était environ dix jours avant que je quitte Raqqa », ville de laquelle il serait parti le 27 septembre 2015, poursuit-il.Cette conversation le mène dans un appartement où, après quelques heures d’attente, Abou Ahmed le rejoint, accompagné de Muhammad Usman et de Oukacha al-Iraki et Ali al-Iraki alias Ahmad Al Mohammad et Mohammad Al Mahmod, les deux kamikazes irakiens qui frapperont le Stade de France.

D’après le quotidien, les hommes sont restés plusieurs jours dans l’appartement et ont chacun reçu 2.000 dollars en billets de 100, juste avant leur départ vers la France.

Incarcérés sur l’île de Kos

Après avoir récupéré de faux passeports, le quatuor rejoint un passeur en Turquie qui les conduits par la mer à Leros en Grèce. Avant de partir, Abou Ahmed donne son numéro de téléphone aux quatre hommes… le même numéro qui sera retrouvé sur un bout de papier dans la poche d’un des kamikazes du Stade de France.

Une fois arrivés sur l’île grecque, Muhammad Usman et Adel Haddadi sont retenus et leurs portables et leur argent sont confisqués. A l’inverse des deux Irakiens dont les faux passeports ne sont pas détectés.

Après avoir été incarcérés pendant 25 jours, Adel Haddadi explique avoir appelé Abou Ahmed pour lui raconter la situation :

« Il a alors organisé l’envoi de 2.000 euros. »Quelques jours plus tard, l’argent arrive et les deux hommes reprennent leur route, mais avec du retard sur leurs compagnons. Le 13 novembre 2015, alors que leurs anciens compagnons de route sont à Paris, eux ne se trouvent qu’en Croatie. Adel Haddadi continue néanmoins, selon la retranscription de son audition, à informer Abou Ahmed à chaque passage de frontière, via la messagerie cryptée Telegram.

Leur dernier échange aurait eu lieu en décembre 2015, une fois les deux hommes arrivés en Autriche… où ils seront finalement arrêtés. Au lendemain des attentats du 13-Novembre, le groupe Etat islamique revendique les attaques du Stade de France, du Bataclan, du 10e, 11e et plus curieusement du 18e arrondissement… qui n’a pas été touché. Etait-ce la cible des deux derniers terroristes ?

 V.Z.

L'Obs

L’Obs

 



Attentat avorté de Villejuif du 19 avril 2015 : des liens avec la cellule du 13 novembre

Des liens avec les frères Kouachi avaient déjà été évoqués.

Mais il y a aussi la petite amie brestoise de l’auteur des faits… ainsi que le choix de son avocat de Clermont-Ferrand, qui le lient au NPA et à sa patronne de Brest, la criminelle Josette Brenterch.

Il est par ailleurs troublant de constater l’existence, deux jours plus tôt, d’une discussion relative à l’affaire qui alors m’opposait toujours à cette femme sur le blog d’un avocat ayant publié en 2013 un commentaire sur le jugement prononcé en sa faveur cette année-là, ici :

https://www.legavox.fr/blog/maitre-anthony-bem/responsabilite-hebergeur-site-internet-propos-12519.htm

Manifestement, donc, on en discutait…

 

https://www.ouest-france.fr/attentats-paris/attentat-avorte-de-villejuif-en-2015-des-liens-avec-la-cellule-du-13-novembre-5707944

Attentat avorté de Villejuif en 2015. Des liens avec la cellule du 13 Novembre ?

 

Les deux suspects de l’affaire du laboratoire d’explosifs découverts à Villejuif (Val-de-Marne), projetaient de commettre un attentat
Les deux suspects de l’affaire du laboratoire d’explosifs découverts à Villejuif (Val-de-Marne), projetaient de commettre un attentat | AFP

 

Ouest France avec AFP

Publié le 19/04/2018 à 13h18

L’étudiant algérien, fiché S pour radicalisation islamiste, Sid Ahmed Ghlam, avait tenté de perpétrer un attentat contre une église en proche banlieue parisienne. Ses liens avec la cellule qui a mené les attaques du 13 novembre ne sont pas encore bien définis.

Trois ans après l’attentat avorté de Villejuif, l’enquête a pu préciser la piste d’un commanditaire lié à la cellule de Verviers, matrice des attentats de Paris et de Bruxelles, mais des questions demeurent sur la mission du principal suspect, Sid Ahmed Ghlam.

Ce 19 avril 2015, cet étudiant algérien, alors âgé de 23 ans et fiché S pour radicalisation islamiste, avait lui-même appelé les secours après s’être tiré une balle dans la jambe. Alertés, les policiers avaient découvert, dans sa voiture et sa chambre du XIIIe arrondissement de Paris, quatre kalachnikovs, deux armes de poing et des gilets pare-balles.

Une attaque coordonée avec d’autres ?

L’enquête allait montrer, comme il l’a reconnu ensuite, qu’il avait été téléguidé par le groupe État islamique (EI) pour attaquer ce dimanche-là une église à Villejuif (Val-de-Marne), près de Paris, trois mois après les attentats de Charlie Hebdo, de Montrouge et de l’Hyper Cacher qui ont fait rentrer la France dans l’ère de la menace jihadiste.

Avec cette question en suspens : la cible de Villejuif s’inscrivait-elle dans un vaste plan d’actions en Europe du groupe djihadiste, avant l’attaque d’un Thalys en août 2015 et les raids meurtriers du 13 novembre dans la capitale et à Saint-Denis ?

Ce dimanche-là, un carnage avait été évité, mais au prix d’une vie : Sid Ahmed Ghlam est soupçonné d’avoir tué au matin une professeur de fitness de 32 ans, Aurélie Châtelain, dans sa voiture. Il nie ce meurtre, assurant qu’elle a été tuée accidentellement par un mystérieux complice dont il est le seul à affirmer l’existence. Une thèse jugée peu crédible.

Rapidement à l’époque, les enquêteurs parviennent à décrypter des échanges entre Sid Ahmed Ghlam et deux donneurs d’ordre de l’EI, dissimulés derrière des noms de combattants : Abou Moutana et Amirouche lui donnent pour instruction de trouver « une bonne église avec du monde ».

Des rapprochements permettront d’identifier ces deux vétérans du djihad, visés depuis un an par des mandats d’arrêts mais présumés morts en zone irako-syrienne : le premier serait Abdelnasser Benyoucef, entraîné par Al-Qaïda en Afghanistan et lié au Groupe islamiste des combattants marocains (GICM).

Le second est un de ses proches et une figure du jihad : Samir Nouad est considéré comme l’un des donneurs d’ordre d’Abdelhamid Abaaoud lorsque ce dernier pilotait à distance la cellule franco-belge de Verviers, démantelée en janvier 2015, selon une source proche du dossier.

Il se présente comme un jeune naïf

Les enquêteurs pensent aussi avoir identifié M. Abaaoud, le futur coordinateur des attentats du 13-Novembre, derrière le pseudonyme Abou Omar, apparu dans des conversations avec Sid Ahmed Ghlam. Mais ce dernier réfute toute connexion avec le djihadiste belgo-marocain.

« Je n’avais pas connaissance des autres actions que l’État islamique menait », a affirmé Sid Ahmed Ghlam dans sa dernière audition devant le juge le 28 février.

Selon son récit, Sid Ahmed Ghlam a été missionné par l’EI depuis la Turquie où il s’était rendu en octobre 2014 et février 2015. Devant le juge, il s’est présenté comme un jeune naïf, aveuglé par « l’idéologie » jihadiste et un « repenti » dont le renoncement est allé jusqu’à s’infliger une blessure par balle et aurait évité un possible massacre.

Mais cette version semble fragilisée par une expertise remise le 27 mars aux juges, selon une source proche du dossier. Sans apporter de conclusion formelle sur le caractère volontaire ou accidentel du tir, elle suggère néanmoins que M. Ghlam a pu se blesser lors de « la remise en place de l’arme au niveau de la ceinture ».

« C’est un rapport complexe et ambigu, difficilement exploitable », estime l’avocat du suspect, Me Gilles-Jean Portejoie.

Trois ans après, reste pour les proches d’Aurélie Châtelain le sentiment d’un « sacrifice », selon leur avocat Antoine Casubolo Ferro. Et l’attente d’un procès, encore lointain, « pour que Ghlam apporte l’explication : pourquoi et comment est-elle morte ? »

Dans l’enquête sur le matériel et les armes fournies à M. Ghlam, sept hommes, dont certains liés à la mouvance islamiste radicale, sont mis en examen. L’un d’eux, Farid B., a été réincarcéré en novembre après la découverte d’ADN sur un fusil d’assaut, et un autre, Jonhy M. a été remis en liberté en décembre.

Mamadou N. et Beramdane B. sont les derniers avoir été mis en examen et incarcérés, en janvier, pour des « infractions à la législation sur les armes en relation avec une entreprise terroriste ». Leur ADN a aussi été retrouvé sur des armes de M. Ghlam.

 

http://www.letelegramme.fr/france/attentats-ghlam-connaissait-il-les-freres-kouachi-29-04-2015-10612211.php

Attentats. Ghlam connaissait-il les frères Kouachi ?

 

Publié le 29 avril 2015 à 09h04
 

(Photo DR)

(Photo DR)

 

Sid Ahmed Ghlam connaissait-il les frères Kouachi ? Selon « Le Canard Enchaîné », c’est l’une des hypothèses étudiées par la police. Les enquêteurs travailleraient sur de possibles liens entre l’étudiant soupçonné d’avoir projeté des attentats contre des églises à Villejuifet Chérif et Saïd Kouachi, auteurs de l’attaque contre Charlie Hebdo. Ils ont, notamment, établi que Sid Ahmed Ghlam fréquentait la filière des « Buttes-Chaumont » qui a proposé « des départs pour l’Irak et dont certains membres sont aujourd’hui en Syrie ». Une filière par laquelle sont passés… Chérif et Saïd Kouachi. Sollicité par nos confrères de Reuters, le parquet de Paris n’a pas souhaité commenter cette information.

 

https://www.ouest-france.fr/bretagne/brest-29200/attentats-dejoues-la-derive-dune-brestoise-ex-compagne-de-ghlam-3356044

Attentats déjoués. La radicalisation d’une Brestoise ex amie de Ghlam

 

Modifié le 25/04/2015 à 20:15 | Publié le 25/04/2015 à 08:02

  • Le domicile de Saint-Dizier où a été arrêtée l'ex-compagne de Sid Ahmed Ghlam.
    Le domicile de Saint-Dizier où a été arrêtée l’ex-compagne de Sid Ahmed Ghlam. | Photo: AFP

Mickaël LOUÉDEC

Son ancien compagnon est soupçonné d’avoir préparé des attentats contre des églises en région parisienne. La garde à vue de la jeune femme a pris fin vendredi.

Enquête

Sa famille est particulièrement touchée par les événements. « Était-elle manipulée ? En tout cas, en notre présence, c’était quelqu’un de tout à fait normal. Elle disait même qu’elle était prête à enlever son voile pour trouver du travail ».

Morgane (*) a 25 ans. Cette Brestoise d’origine, mère de deux enfants, est installée près de Saint-Dizier, en Haute-Marne. Mercredi, elle est interpellée et passe près de deux jours en garde à vue avant d’être relâchée. Elle a été la compagne, il y a quelques semaines, de Sid Ahmed Ghlam, qui avait planifié l’attaque d’églises catholiques dans la région parisienne.

Convertie à 22 ans

Un membre de sa famille avoue être tombé des nues quand il a appris la nouvelle, mercredi soir. « Au début de sa relation, elle m’avait dit être avec quelqu’un de très bien, de très posé ». Le glissement de la jeune femme vers l’islam radical ne date pourtant pas d’hier.

C’est à Brest que tout commence. Élevée dans une famille catholique, elle a effectué sa scolarité dans les collèges et lycées de la ville. Elle est aussi titulaire d’un BEP dans la restauration, obtenu à Vannes, et a une expérience de vendeuse à Quimper. À Brest, elle se convertit brusquement à l’Islam, sur les conseils d’une amie. Sa famille pointe de mauvaises fréquentations dans une période de faiblesse. Elle est âgée de 22 ans. Elle est « perdue ». Rapidement, elle se radicalise et vient à porter le niqab. Elle est alors mariée à un Brestois dans le quartier de Pontanézen. L’homme a déjà été condamné à plusieurs reprises.

Sous influence ?

L’année dernière, elle s’en sépare, change de vie et part vivre à Saint-Dizier pour « raisons personnelles ». Elle noue alors une relation sentimentale avec un autre homme, dont le frère se fait arrêter en 2014 en Belgique, alors qu’il est en possession d’un véritable arsenal militaire.

Sid Ahmed Ghlam devient son compagnon un peu plus tard. Selon nos informations, il s’agit alors d’une liaison de nature sentimentale, autocentrée sur lui. Est-elle alors soumise à l’influence totale de son compagnon ? Toujours est-il qu’elle se radicalise encore davantage, vit recluse dans une zone pavillonnaire et devient indésirable à la mosquée. Elle est aussi verbalisée à de multiples reprises pour port du niqab.

Elle continue néanmoins d’effectuer des aller-retour entre la Haute-Marne et la Bretagne. Une partie de sa famille est dans le Finistère, une autre dans le Morbihan. En février dernier, dans une grande surface de Gouesnou, près de Brest, elle se présente entièrement voilée. Ce qui ne manque pas de créer un nouvel incident et une intervention de la gendarmerie.

Une nouvelle étape dans un parcours chaotique. « Elle devait venir nous voir dans un petit mois », déplore sa famille.

(*) Prénom d’emprunt.

 

https://www.lejdd.fr/Societe/Terrorisme-la-double-vie-de-Sid-Ahmed-Ghlam-un-etudiant-modele-729704

La double vie de Sid Ahmed Ghlam, un étudiant modèle

 

04h11 , le 26 avril 2015, modifié à 16h52 , le 20 juin 2017

Paru dans leJDDPORTRAIT – Soutien de famille, prof d’arabe à la mosquée, musulman moderne… Dans le quartier du Vert-Bois, à Saint-Dizier, Sid Ahmed Ghlam a laissé à ses proches l’image d’un jeune homme irréprochable.

La double vie de Sid Ahmed Ghlam, un étudiant modèle
Sid Ahmed Ghlam est décrit comme un étudiant modèle et un soutien pour sa famille. (Photo iTélé)

 

Les cicatrices laissées par le coup de bélier matinal luisent au soleil sur la porte grise. Derrière, la mère de Sid Ahmed Ghlam zappe entre iTélé et BFM, à la recherche de bribes susceptibles d’éclairer le destin de son fils. Assise sur un banc devant la petite maison HLM à Saint-Dizier, Karima*, sa sœur âgée de 21 ans, surveille vendredi les trois petits qui foncent en trottinette dans la rue. « Il faut bien les protéger de tout ça, de toutes les horreurs qu’ils disent à la télé. Déjà, nous, on n’y comprend rien, alors eux… »

Son grand frère, né fin août 1991, était le « soutien de la famille », « l’espoir de ses parents »; le voilà terroriste présumé, accusé d’un projet d’attentat contre au moins une église et de l‘assassinat d’Aurélie Châtelain, à Villejuif (Val-de-Marne). Alors que les enquêteurs assurent disposer d’éléments accablants, Karima s’accroche à l’idée d’un « complot » : « Il a sans doute été manipulé par des gens de l’extérieur, qui l’ont peut-être menacé. »

« Ça n’a pas de sens, c’est le soutien moral de la maison »

On ne connaît toujours qu’un visage de l’autre, fût-il le frère le plus chéri, mais Karima appuie ses doutes sur un drame traversé ensemble et qui les a soudés : la mort de leur aîné sur une plage algérienne, à l’été 2011. « Ça n’a pas de sens : on se reposait tous sur lui, c’est le soutien moral de la maison, il n’aurait jamais pu nous faire ça. » À la suite du décès, raconte une cousine, « les parents se sont effondrés ».

Ancien commerçant aujourd’hui invalide, le père vit une partie de l’année dans son pays natal. La mère, au foyer, doit parfois se reposer sur Karima, sa fille aînée. « Elle traverse des moments dépressifs depuis la tragédie. Savoir que mon frère allait devenir ingénieur, ça lui donnait de l’espoir. »

« Il a un beau visage avenant… En plus, il connaît la grammaire »

Dans le quartier populaire du Vert-Bois, où la famille originaire de Tiaret, en Algérie, arrive en 2001, Sid Ahmed Ghlam est le modèle de l’étudiant discret et souriant en jean et baskets, qui rentre un week-end sur deux avec son linge sale et repart les gamelles pleines de bons petits plats. « Il écoute de la musique, il va courir, il est normal », décrit sa cousine. « Il est généreux même s’il ne roule pas sur l’or, toujours là en cas de problème », complète son meilleur copain et voisin. « Il se débrouillait très bien même s’il n’avait pas beaucoup d’argent. Il était toujours à 10 euros près à la fin du mois », dit sa sœur.

Le responsable de la pimpante mosquée El-Fath, la plus grande de cette ville de 25.000 habitants, a fait la connaissance du meurtrier présumé à la rentrée scolaire 2013. Venu inscrire ses cadets au cours d’arabe, Sid Ahmed Ghlam s’est vu bombardé prof bénévole le samedi. « On manque de bonnes volontés pour le soutien scolaire et la langue. Lui m’a fait bonne impression, il a un beau visage avenant, tient des propos intelligents. En plus, il connaît la grammaire. Moi qui n’écris pas très bien l’arabe, j’ai même assisté à ses leçons. » L’étudiant en électronique viendra donner un coup de main d’octobre 2013 à février 2014 avant de disparaître. « Cela arrive souvent avec les jeunes bénévoles. Ils partent, ils reviennent. J’ai continué à le croiser dans le quartier à l’occasion. »

Un mystérieux voyage en Turquie

Fervent pratiquant du dialogue avec les athées et les croyants des autres religions, le responsable de la mosquée n’a repéré aucun signe de radicalisation chez son ancien bénévole. Ce militant associatif qui se donne pour mission de participer à la construction d’un islam républicain et de lutter contre le radicalisme soupire : « Je n’y crois pas, je suis sous le choc. » Tout comme Karima, la sœur de Sid Ahmed Ghlam : « Il ne s’est même pas laissé pousser la barbe! Pour moi, mon frère est un jeune musulman moderne qui fait ses cinq prières par jour, rien de plus! »

À la télé, ses proches ont pourtant découvert que l’Algérien de 23 ans qu’ils croyaient à la veille de boucler son master avait interrompu ses études sans les prévenir et fait un mystérieux voyage en Turquie. Au cœur de cette autre vie en catimini, une convertie placée en garde à vue et relâchée vendredi faute de charges. Seule femme de Saint-Dizier à porter le voile intégral, cette mère de deux garçonnets vit séparée du père de ses fils, en marge. Sa « burqa noire » fait peur aux enfants, aux parents d’élèves et aux enseignants, qui s’en sont plaints à la mairie et au commissariat. À la mosquée, sa tenue a été jugée provocatrice. La silhouette sombre a cessé de fréquenter les cours d’arabe et la prière. Même si l’enquête a établi que cette Brestoise de 25 ans était une intime de Sid Ahmed Ghlam, Karima répète, comme pour s’en convaincre, que son frère est « célibataire », que les liens étaient rompus. « Elle est tombée amoureuse de lui mais il n’a pas souhaité donner suite à la relation. S’il était avec elle, je l’aurais su. »

* Le prénom a été modifié à sa demande

Source: JDD papier



Jean-Marc Donnadieu a la mémoire courte…

Il ne se rappelle plus avoir posté des tas de photographies et autres choses très intimes dans ses commentaires sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog.

Il faut bien dire qu’à cette époque il buvait bien et fumait aussi beaucoup de cannabis, surtout le week-end, où ses délires psychopathiques dans ses commentaires sur mon blog atteignaient régulièrement des sommets inégalés en semaine.

Celui des samedi et dimanche 21 et 22 août 2010 n’échappa guère à la règle.

Le samedi 21 août 2010, il revenait commenter mon blog après dix jours d’absence en expliquant avoir déménagé et être enfin reconnecté.

Le dimanche 22 août 2010, il fêtait son anniversaire…

Et le lundi 23 août 2010, nous avions encore droit à des tas d’horreurs dont celle-ci :

 

Commentaire sur Saint-Sauveur en Bretagne – II: Pleumeur-Bodou

Afficher toutes les informations

Laissé par : NEMROD34 le23/08/2010 à 15h33

  • forte connotation sexuelle côté Mon-Al dont on peut constater l’envie, la jalousie.. le « manque »).Pitain ce qu’il faut pas lire ! Jean-Marc Donnadieu a la mémoire courte... dans AC ! Brest icon_lol

    Pour l’envie il suffit d’avoir un pote qui a un aquarium, et tu lui emprumptes le poisson-ventouse, tu sais celui qui nettoie les vitres !  icon_lol dans Attentats

    Yfiq n’a pas à démontrer ses talents d’artiste

    Il vaut mieux pas !  Démontrer le néant est la chose la plus difficile qui soit! icon_lol dans Calomnie

    Et logiquement il est impossible de démontrer une inexistence. icon_lol dans Corruption

    La nature à horreur du vide, mais là c’est l’exemple qui confirme la règle …

    - Nemrod34 bavouille avec son déménagement : on attend une autre photo de lui sur ses nouveaux « chiottes ».. qu’on puisse adminirer la déco.

    Ne te fatigue pas, je te l’ais déjà dis tu n’auras rien de sexuel de ma part, tu en as déjà trop et voilà le résultat !

    Tiens je donne des photos de la vue en revanche:

    Salon et ma chambre:

     

    Chambre du fils et logia derrière la cuisine:

     

    Là j’attends le télescope que j’ai commandé parce que je pense pouvoir voir le gros cul du coucou dépasser de la fenêtre, et même la ventouse qui te sert de bouche, collée au tube de l’aspirateur (qui depuis bien longtemps s’est fait voler la place question aspirer)… icon_lol dans Crime

    Le coup d’attaquer qqn sur une possible « juiverie », c’est d’une laideur fantastique !

    Moi je dirais que c’est la réaction qui est laide, alors comme ça si t’étais juive tu en aurais honte ? Une juive dirait qu’elle en est fière, un non-juif non antisémite même chose, il faut être une enculée d’extrême droite pour en avoir honte et trouver ça méchant…

    D’ailleurs rien que le mot « juiverie » en dit long …

    Là, où mène le vice !

    Ho je crois que ça mener plus loin, même à devoir rembourser ce qu’on a escroqué parce qu’on a une trop grande gueule, bouche, et opinion de soit même …

 

Il s’agissait de son commentaire n°451 dont à l’époque je n’avais publié qu’une partie dans un de mes propres commentaires sur le même article, le n°38.

Voir ici (cliquer sur l’image pour l’agrandir et visualiser textes et photographies) :

 

2010-08-19 Saint-Sauveur en Bretagne - II- Pleumeur-Bodou - Un petit coucou

 

Afin de resituer tous ces commentaires de l’été 2010 dans leur contexte, je rappelle qu’une de mes commentatrices et moi-même étions quotidiennement lynchées par toute la bande des cybercriminels dits « déconnologues » sur leurs deux blogs alors actifs, entièrement ouverts au public.

Ainsi étions-nous notamment victimes de harcèlement sexuel de la part de NEMROD34 et de ses amis harceleurs de victimes de harcèlement moral dans le travail.



Interdit de harceler, Jean-Marc Donnadieu veut se battre !

 
Donnadieu veut se battre

 

Il vient de l’afficher sur sa page Facebook il y a tout juste une heure, ici :

https://www.facebook.com/jeanmarc.donnadieu

 

Cela me rappelle bien évidemment le tout début de ses harcèlements à mon encontre sous son identité réelle ou celle de NEMROD34, un pseudonyme auquel il a toujours, de lui-même, publiquement associé son identité et toutes ses coordonnées, comme ici sur un de ses anciens sites, actif lors de ses premières attaques contre mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog, au printemps 2010 :

 

2013-08-12_012131

 

Ou bien encore sur sa page Facebook elle-même :

 

Donnadieu Facebook

 

Mais celle-ci n’existait pas encore en 2010, puisqu’elle n’a été créée qu’en date du 11 novembre 2014 :

 

Ouverture Facebook Donnadieu

 

En revanche, cet ancien site de Jean-Marc Donnadieu, alors domicilié au 46, rue Denis Diderot, à Béziers, existait bien :

 

2013-08-12_012131

 

On précise au passage qu’il avait déménagé au mois d’août 2010 pour aller habiter au 4, place de la Renardière, à Béziers, adresse qui figure autant sur les décisions de justice qu’il a affichées sur la toile à compter du mois de décembre 2011 que sur ce Curriculum Vitae qu’il a mis en ligne au plus tôt au mois d’avril 2013 :

http://myreader.toile-libre.org/uploads/My_53fc91103ec7c.pdf

Il avait alors quitté un petit appartement décrit comme un quasi taudis où il vivait depuis de nombreuses années sans même l’électricité, ce dont il se plaignait sur Le Post, expliquant qu’il allait faire un procès à EDF, pour un grand et bel appartement d’un loyer de 580 euros par mois dans une résidence de bon standing.

Très fier de son nouveau logement, il avait posté sur mon blog plusieurs photographies de la vue qu’il en avait depuis les différentes ouvertures, et même des photographies de sa chambre à coucher, comme celles-ci, avec les légendes appropriées :

- vues du salon et de sa chambre :

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- vues de la chambre de son fils et de la loggia derrière la cuisine :

spa0504

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- vue de sa chambre à coucher, à l’intérieur :

chambregeisha

 

Voilà le plan de l’appartement, un trois pièces de 89,58 m2, et la description qu’en donnait l’agence de location :

pl2243677

DANS QUARTIER RECHERCHE, RESIDENCE CALME ET AGREABLE, BEL APPARTEMENT SPACIEUX LUMINEUX, PARKING-GRAND BALCON VUE IMPRENABLE. Entrée, séjour-salon, 2 chambres, 1 salle de bains, 1wc, rangements, loggia.

Adresse du bien :
RESIDENCE CURMONT PLACE DE LA RENARDIERE, 34500 BEZIERS 

 

Il s’agit d’un ensemble d’immeubles de 4 étages avec parking privé, donc, et espaces verts.

Le n°4 est celui du milieu dans la barre ci-dessous :

 

Rue de la Renardière

Résidence Curmont

Place de la Renardière

Rue des Vendanges

 

Toutes ces indications et photographies laissent à penser que ce nouvel appartement était en effet bien plus attrayant que le précédent, manifestement vétuste, dans cette maison ancienne d’un étage qui lors du passage de la voiture Google au mois de juin 2014 était en vente :

 

46 rue Denis Diderot

 

Depuis, il a encore déménagé après s’être acheté une maison dans un village se trouvant à une dizaine de kilomètres de Béziers, il en parlait dans ses tout derniers commentaires sur le site de ses ex-amis les Sataniques Sceptiques du Québec, au mois d’avril 2016 :

http://petitcoucou.unblog.fr/2016/05/06/nemrod34-sest-achete-une-maison-pres-de-beziers/

Mais il envisageait déjà un autre déménagement pour un plus grand appartement que celui de la résidence Curmont, au 4, place de la Renardière à Béziers, au mois de décembre 2012 :

 

J'envisage de déménager

 

Cet individu qui aura passé le plus clair de son temps au RMI ou au RSA depuis qu’au mois de juin 2004 il a quitté son emploi d’agent hospitalier à l’hôpital de Béziers dans des conditions qui n’en font sûrement pas un héros – il en bénéficiait depuis octobre 1988, avec une interruption de trois ans et demi à compter de février 1989 pour son service militaire sur la base aérienne 701 de Salon de Provence, suivi de deux emplois d’aide-soignant, dans un EHPAD et une association de services à domicile – a donc vu sa situation matérielle s’améliorer régulièrement depuis le début de ses harcèlements à mon encontre, au printemps 2010.

Venu m’injurier et notamment me traiter de folle sur mon propre blog au mois d’avril 2010 sans qu’auparavant je ne l’aie jamais vu ni croisé nulle part, je n’avais pas tardé à l’en bannir, étant donné qu’il n’entendait absolument pas les réponses très courtoises que je lui faisais et continuait à m’injurier sans raison, de manière gratuite.

Or, vite interdit de poursuivre ses harcèlements à mon encontre dans les commentaires de mon blog, il était revenu à la charge en demandant à mon hébergeur la suppression de mon blog au motif que d’après lui je n’aurais été qu’une folle n’y faisant que de la diffamation. Je ne lui avais pas encore consacré un seul article de mon blog, je l’en avais simplement banni pour qu’il me fiche la paix.

Il précisait alors passer son temps à faire supprimer tous les commentaires qu’il pensait être les miens sur Le Post et sur d’autres sites et m’avait envoyé une copie de sa demande à OverBlog, qu’il menaçait déjà de procès pour le cas où j’aurais publié quoi que ce soit à son sujet, ce que je m’étais empressée de faire le même jour avec cet article (cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte) :

 

2010-05-26 De quoi se mêle Jean-Marc Donnadieu  - Un petit coucou

 

En effet, j’avais prévenu mes lecteurs que je publierais toutes les menaces que j’en recevrais.

Voilà pourquoi, en définitive, au mois de juin 2010 NEMROD34 n’était déjà plus banni de mon blog : comme désormais il y revenait tous les jours pour poster de nombreux commentaires d’injures et de menaces, j’avais décidé d’en accepter le plus grand nombre possible afin que le public puisse apprécier les harcèlements que je subissais de sa part.

Dès les trois premiers mois, juin, juillet et août 2010, j’eus droit à tout : menaces de viol, menaces de mort, avec toutes sortes d’armes à feu, de toutes tailles et tous calibres, incitation au suicide, promesses de procès et d’internement psychiatrique « à vie ».

Dans le même temps, il participait aussi au blog Tique Toc de son complice le malade mental au clavier – son « arme » – exclusivement dédié à mon lynchage public depuis sa création le 12 juin 2010 – un lieu où bien évidemment je n’avais aucun droit de réponse.

Et par la suite, j’ai bien retrouvé sur le forum de discussion de ses ex-amis les Sataniques Sceptiques du Québec, qui est l’un des nombreux sites où il avait pris l’habitude de m’injurier et me diffamer, des commentaires comme celui-ci, où il se vantait lui-même de violences commises sur diverses personnes :

 

2013-10-20_000316

 

Tandis que son appartement du 4, place de la Renardière à Béziers se trouvait donc au troisième étage, celui de la rue Diderot était au rez-de-chaussée, derrières les barreaux… une situation peut-être propice au développement d’une certaine empathie à l’égard des détenus, et susceptible d’expliquer son engagement dans une association venant en aide aux délinquants et criminels à leur sortie de prison.

Quoi qu’il en soit, cet individu ultra violent réagit bien toujours plus ou moins de la même manière dès qu’il se trouve banni d’un site ou d’un forum de discussion où ses harcèlements habituels ne sont plus acceptés.



Attentat de Magnanville : le mystère demeure sur le choix des deux policiers assassinés

Sachant comment mes harceleurs complotent depuis des années, j’ai déjà proposé une piste, celle qui passe par l’Hérault où on en trouve en nombre, en force et en lumière, cas, par exemple, du très m’as-tu-vu Jean-Marc Donnadieu qui aurait bien pu y croiser le couple de policiers assassinés, puisqu’ils y ont fréquenté les mêmes lieux. Je m’y tiens, elle est sérieuse.

 

http://www.lepoint.fr/societe/attentat-de-magnanville-les-enqueteurs-font-chou-blanc-12-04-2018-2210221_23.php

Attentat de Magnanville : les enquêteurs font chou blanc

 

Les quatre personnes encore gardées à vue ont été libérées en « l’absence d’éléments suffisamment incriminants à ce stade ». Explications.

 

Par

Publié le 12/04/2018 à 17:56 | Le Point.fr
Le mystère demeure entier sur la façon dont le terroriste Larossi Aballa a pu se rendre chez Jean-Baptiste Salvaing et Jessica Schneider, pour les assassiner en se revendiquant de Daech le 13 juin 2016. 
Le mystère demeure entier sur la façon dont le terroriste Larossi Aballa a pu se rendre chez Jean-Baptiste Salvaing et Jessica Schneider, pour les assassiner en se revendiquant de Daech le 13 juin 2016.

© SYLVAIN THOMAS / AFP

Les quatre dernières personnes, dont une policière, qui étaient encore en garde à vue dans l’enquête sur l’assassinat d’un commissaire adjoint et de sa compagne en 2016 à Magnanville (Yvelines) ont été remises en liberté jeudi, a-t-on appris de source judiciaire. La juge d’instruction a levé ces gardes à vue « en l’absence d’éléments suffisamment incriminants à ce stade », selon cette source.

La libération de la policière est saluée par ses collègues du syndicat Alliance. « Notre collègue n’a pas été déférée ni incriminée, ce qui démontre l’absence pour l’instant d’infraction la concernant. En l’état actuel de l’avancement du dossier, notre confiance en elle n’a pas été trahie. Ceux qui l’ont salie sans connaître le fond du dossier devraient aujourd’hui faire amende honorable », a déclaré Frédéric Lagache, secrétaire général adjoint du syndicat Alliance.

La fonctionnaire de police de 48 ans est une ancienne représentante syndicale. Elle avait été placée en garde à vue lundi en même temps que son fils et sa fille, tous deux majeurs, pour des suspicions de fréquentation de la mouvance islamiste radicale. Leur garde à vue a été levée jeudi avant le terme légal de 96 heures dans une procédure antiterroriste. Donc sans avoir été déférés devant le juge d’instruction en charge de l’enquête sur l’assassinat de Jean-Baptiste Salvaing et de Jessicia Schneider à Magnanville, en juin 2016.

Comment Abballa a choisi ses cibles ?

Depuis cette terrible attaque, les policiers s’interrogent : comment Larossi Abballa, l’assassin, a-t-il choisi ses victimes et comment connaissait-il leur adresse ? Or, il se trouve que les enquêteurs de la Sous-Direction antiterroriste (Sdat) ont découvert que la fille de la fonctionnaire de police avait sympathisé avec Mina B., dont le frère avait été en contact avec Larossi Abballa. La jeune femme, mise en examen et incarcérée pour ses liens avec l’islamisme radical en octobre 2017, travaillait dans un bar à chicha à Paris et avait été contrainte de quitter le domicile de ses parents à la suite de problèmes avec sa famille.

Devenant SDF, elle avait été hébergée quelques semaines chez la fonctionnaire de police syndiquée chez Alliance à la demande de sa fille. Mais quand Mina B. est mise en cause dans un trafic de carte grise, la policière qui l’héberge l’expulse de chez elle. C’est en perquisitionnant, l’année dernière, le nouveau domicile de Mina B. que la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a découvert dans un sac une clé USB contenant une liste de 2 626 noms d’agents du renseignement. Cette liste, qui remonte à 2008, avait été effacée de la clé USB. Mais les experts informatiques de la DGSI étaient parvenus à en restaurer le contenu.

Une enquête de l’IGPN en 2016

Lundi, les enquêteurs de la Sdat ont décidé de placer en garde à vue tout ce petit monde afin de connaître la nature des liens entretenus par Mina B. avec la famille de la fonctionnaire de police. Selon des sources du renseignement interrogées par Le Point, c’est la policière qui aurait elle-même effacé le contenu de la clé USB, avant de la donner à sa fille. Jeudi, les magistrats instructeurs ont décidé de lever toutes les gardes à vue « en l’absence d’éléments suffisamment incriminants à ce stade ». Le mystère demeure donc entier sur la façon dont le terroriste Larossi Aballa a pu se rendre chez Jean-Baptiste Salvaing et Jessica Schneider, pour les assassiner en se revendiquant de Daech.

La policière, Major de police, aujourd’hui affecté au CRA des Yvelines, avait déjà été entendue par l’IGPN, la police des polices. En 2016, elle devait répondre des suspicions de radicalisation qui pesaient sur Mina B. qu’elle hébergeait. Elle avait appris à cette période que son fils et sa fille, tous deux intérimaires chez Renault, avaient pu subir son influence. L’enquête actuelle de la SDAT n’a pu démontrer qu’un lien très ténu -entre son fils et des connaissances eux-mêmes en relation avec des radicaux, au troisième degré, donc.

Durant la garde à vue de la policière originaire de Nouvelle-Calédonie, la fachosphère s’était déchaînée contre elle en raison de son « faciès musulman ».

 



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