Pierre Jourdin, un magistrat pour qui la justice est trop complexe

 

 

 

Pierre Jourdin est un ancien magistrat du TGI de Brest, qu’il a quitté à l’été 2016 pour celui de Créteil où, a priori, il se trouve toujours en fonction aujourd’hui comme juge de l’application des peines.

On peut le voir dans la vidéo ci-dessus du 12 mars 2021. On en trouve aussi sur le net deux autres images remontant à septembre 2012 lors de son arrivée au tribunal de Quimper en provenance de celui de Brest où il exerçait déjà comme juge de l’application des peines depuis 2007, après avoir eu la même fonction à Nevers de 2004 à 2007.

Il était ensuite revenu à Brest pour la rentrée de septembre 2014, cette fois comme juge d’instruction, une fonction qu’il n’a « assurée » tant bien que mal (personnellement, je n’ai vu que le mal et ne sais même pas, en fait, s’il y a jamais eu de bien) que durant deux ans au cours de sa carrière.

Il prenait la suite de la juge ultra corrompue Céline Verdier qui elle avait été nommée à Quimper comme juge des enfants et reprendra sa place de juge d’instruction à Brest à la rentrée de septembre 2016.

On notera au passage que le juge brestois Meriadeg Merret, qui prenait ce même poste de juge des enfants à Quimper à la rentrée de septembre 2012 avant de revenir à Brest en 2014, parlait alors du très inquiétant « danger des enfants » auquel il s’apprêtait à être confronté comme magistrat pour la toute première fois tandis que simultanément, son collègue de Brest le juge Raymond André quittait l’instruction pour accéder lui aussi à cette fonction de juge des enfants pour la toute première fois dans sa beaucoup plus longue carrière. Rappelons qu’au mois de novembre 2011, des amies de la criminelle perverse Josette Brenterch du NPA de Brest, dont l’une qui à cette époque me harcelait en avait témoigné sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog, avaient mensongèrement désigné à la vindicte populaire comme « pédophile » un retraité qui de ce fait, pris en chasse dans son quartier par tout un groupe de parents d’élèves devenus hystériques à son encontre, avait fait une crise cardiaque dont il était décédé. Aussi, la peur des dénonciations pour pédophilie, qui par ici n’était pas vraiment retombée depuis Outreau – à moins que ce fiasco judiciaire ne fût particulièrement opportun pour justifier les politiques locales en la matière – était encore à son comble dans le Finistère, où ce que font toujours aujourd’hui les magistrats pour protéger les pédophiles du « danger des enfants » ou de leurs dénonciations, totalement hallucinant et particulièrement abject pour le justiciable lambda, est sans aucun doute à la hauteur de l’effroi extraordinaire qu’il semble toujours provoquer chez eux…

Mais le Finistère avait aussi reçu la visite de Frédéric Mitterrand au printemps 2011 après l’échec de Jean-Marc Donnadieu contre OverBlog au TGI de Béziers le 8 avril 2011, et il était bien nécessaire que sa future victoire en appel le 15 décembre 2011 à Montpellier fût puissamment soutenue par quelque évènement de nature à frapper très fort l’opinion publique en sa faveur, d’où le retentissement national qu’avait connue cette histoire de chasse à l’homme faussement accusé de pédophilie que sa complice la criminelle Josette Brenterch avait organisée avec quelques copines et l’assentiment des magistrats locaux, à proximité immédiate de la fac de droit de Brest.

Fermons la parenthèse et revenons à Pierre Jourdin.

Pas de cancer pour lui depuis sa période brestoise, pas non plus d’autre maladie mortelle, « foudroyante » ou non, au contraire de ses anciens collègues Mathilde Boissy, François Dresen et Raymond André.

Cependant, le moins que l’on puisse dire à son sujet est qu’il ne respire pas la joie de vivre, et cela semblait quand même nettement moins pire en 2012, avant son dernier passage à Brest.

Rendez-vous compte qu’à peine huit ans et demi séparent ces photos de 2012 des images TV de 2021. Or, il donne l’impression d’avoir vieilli beaucoup plus, et mal, comme un alcoolique.

Par ailleurs, lui aussi avait bien travaillé pour le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, dont je rappelle qu’il s’agit en outre d’un trafiquant de drogue, d’or, d’enfants, etc… pirate en tous genres, cybercriminel et harceleur, mythomane, calomniateur public et champion de la dénonciation calomnieuse, organisateur ou commanditaire d’assassinats et terroriste « islamigré ».

Oui, Pierre Jourdin aussi avait bien travaillé pour cet individu qu’il porte aux nues comme tous ses collègues de Brest et Quimper. Et même très rapidement après sa prise de fonction comme juge d’instruction à Brest, à l’automne 2014.

En effet, c’est lui qui au mois d’octobre 2014 avait prononcé un non-lieu général en faveur de tous mes harceleurs de la bande de cybercriminels du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, à l’issue de l’information judiciaire qui avait été confiée à sa collègue ultra corrompue Céline Verdier, laquelle, comme je l’ai déjà exposé, refusait en fait illégalement d’informer en m’opposant des déclarations du dénommé Pascal Luraghi auxquelles elle m’interdisait aussi illégalement tout accès, comme à mes avocats successifs.

L’ordonnance de non-lieu rendue par Pierre Jourdin était parfaitement conforme au faux en écriture publique déjà produit dans cette affaire par la vice-procureure Isabelle Johanny, et pour cause, elle n’en était qu’un copié-collé, fautes d’orthographe y compris, alors que j’avais déjà dénoncé ce document comme un faux dans un premier train d’observations toutes parfaitement justifiées, en annonçant une suite de ces observations avant la fin du délai que le Code de procédure pénale m’octroyait à cet effet.

C’est que le faux en question est quand même constitué de plusieurs pages de texte très dense écrit en petits caractères, et qu’il comporte au moins un sinon plusieurs mensonges grossiers ou inventions délirantes par ligne de texte. Quand on le reçoit, on en est littéralement atterré et on se demande comment traiter le problème, car il faut vraiment tout corriger morceau de phrase après morceau de phrase, en expliquant et justifiant chacune des corrections apportées, d’abord d’un point de vue purement factuel, ensuite en termes de droit. C’est absolument délirant, le travail nécessaire est colossal et je pense d’ailleurs que le but du jeu est de complètement submerger, noyer ou ensevelir la victime sous un incroyable amoncellement de mensonges où, en l’occurrence, même mes harceleurs mythomanes, super menteurs, affabulateurs et calomniateurs ne peuvent s’y retrouver – ils sont complètement dépassés par des magistrats qui eux aussi doivent s’adonner à de tels exercices au quotidien.

Il n’y a pas la moindre honnêteté chez un magistrat corrompu, il est précisément payé par des malfrats pour s’abstenir de faire son travail ou être l’auteur d’injustices flagrantes, ce qui passe toujours, au minimum, par la production de faux en écriture publique. C’est pourquoi, dans les dossiers qui me concernent, on en retrouve en pagaille, et toujours associés à quantité d’autres illégalités ou violations de la loi.

Pierre Jourdin est donc bien corrompu, c’est indéniable; reproduisant à l’identique le faux que je lui avais dénoncé comme tel nombreuses pièces justificatives à l’appui, il a lui-même produit un faux en écriture publique, criminel, en toute connaissance de cause. Tous les critères de l’infraction pénale sont bien remplis, en aucun cas il ne peut prétendre avoir commis une quelconque « erreur ».

Mais ce n’est pas tout.

Il n’a pas attendu la suite de mes observations pour rendre son ordonnance et n’a ainsi pas respecté mon droit à produire des observations durant un délai fixé d’une manière pourtant assez simple : un premier délai de trois mois auquel s’ajoutait un second délai d’un mois, soit un total de quatre mois. Il n’a pas su faire cette addition, c’est trop compliqué pour lui – j’en déduis qu’il a fait lui aussi le petit demi-bac pour demi-cerveaux très allégés.

Quant à moi, j’ai fait des études d’ingénieur et ai effectivement travaillé comme tel durant plusieurs années. Additionner 3 et 1, donc, je sais le faire. Mais très franchement, je ne l’ai pas appris en maths sup ni en maths spé, je savais déjà le faire en maternelle – j’ai toujours eu un cerveau complet.

Ce qui est trop drôle, c’est que j’ai obtenu sur ce motif-là la cassation de l’arrêt de la Cour d’Appel de Rennes ayant confirmé en 2015 son ordonnance de non-lieu d’octobre 2014 – car cette Cour d’Appel qui me donne assez souvent raison contre les magistrats du Finistère ne le fait quand même pas à tous les coups, les magistrats ayant toujours une très forte tendance à tous se couvrir mutuellement même quand leur rôle consiste théoriquement à contrôler le travail de ceux du niveau inférieur.

Pierre Jourdin fait donc partie de ces magistrats qui ont toujours été nuls en maths et se plaisent, tout comme la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et tous ses complices de la bande du pédophile et cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ce dernier en tête, à se « moquer » des matheux ou des ingénieurs en inventant absolument n’importe quoi pour les calomnier, et par voie de conséquence, leur nuire ou leur porter préjudice au maximum, leur but étant de les empêcher de travailler, de vivre, tout simplement, car ils les haïssent autant qu’ils ont toujours haï les maths.

Sauf que dans son cas, le truc est consacré par un arrêt de la Cour de Cassation de 2016.

La femme ingénieur qu’il s’était plu à faire passer mensongèrement pour une prostituée débile mentale et folle à lier de surcroît coupable de quantité de choses totalement délirantes lui a donné tout à la fois une leçon de maths (3+1=4) et une leçon de droit : si tu ne sais même pas compter sur tes doigts, t’as qu’à demander à ta greffière pour t’assurer que mon droit soit respecté.

Allez, je vais être indulgente avec ce pauvre M. Jourdin qui a quand même vu se terminer sa carrière de juge d’instruction qui avait commencé si fort à l’automne 2014 sur un échec des plus ridicules deux ans plus tard, face à un « cas lourd psychiatrique » (= une femme ingénieur qui contrairement à lui comprend le français et sait faire des additions).

Il faut quand même bien se rappeler le contexte de sa décision d’octobre 2014.

A Toulouse, les gendarmes enquêtant sur le meurtre ou l’assassinat de Patricia Bouchon à Bouloc le 14 février 2011 commençaient à s’intéresser au pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, dont l’activité criminelle contre mes proches et moi-même était depuis le début jugée si précieuse par les magistrats ultra corrompus du TGI de Brest. Il était donc urgent de le blanchir complètement dans mon affaire tout en m’enfonçant au maximum : plus de mobile, plus de crime !

Avouez que cela peut bien brouiller les esprits et en faire perdre son latin ou son compteur même au plus éminent des juristes corrompus…

 

 

https://www.ouest-france.fr/bretagne/quimper-29000/trois-magistrats-font-leur-entree-au-tribunal-1252086

Trois magistrats font leur entrée au tribunal

 

Audience particulière, hier matin, au tribunal de grande instance de Quimper. Patrick Le Quinquis, le président, a présenté trois nouveaux magistrats.

De gauche à droite : Olivier Callec, juge, Meriadeg Merret, vice-président chargé des fonctions de juge des enfants et Pierre Jourdin, vice-président du tribunal d'instance de Quimper.
De gauche à droite : Olivier Callec, juge, Meriadeg Merret, vice-président chargé des fonctions de juge des enfants et Pierre Jourdin, vice-président du tribunal d’instance de Quimper. |

 
Ouest-France Maël FABRE. Publié le 17/09/2012 à 19h00

 

Lundi matin, devant un parterre d’officiels, de gendarmes et d’avocats, par décret du 21 août 2012 publié au journal officiel, trois nouvelles nominations viennent d’être confirmées pour cette rentrée judiciaire à Quimper.

Les arrivées

En poste au tribunal de grande instance de Brest depuis 2007 où il a été substitut du procureur, le juge Meriadeg Merret vient d’être nommé vice-président chargé des fonctions de juge des enfants à Quimper. Une juridiction qu’il a vivement souhaité intégrer. « C’est une fonction intéressante, une suite logique après Brest. C’est cependant plus difficile car nous sommes dans la gestion de l’humain et surtout nous sommes face au danger des enfants », explique-t-il.

Pierre Jourdin, juge de l’application des peines au tribunal de grande instance de Brest vient d’être nommé vice-président du tribunal d’instance de Quimper. « Il y a dans cette nouvelle fonction une grande convergence avec l’ancien poste », indique le nouveau juge. Pierre Jourdin a été de 2004 à 2007, juge de l’application des peines au tribunal de grande instance de Nevers.

Enfin, Olivier Callec est nommé juge. Il devient assesseur et présidera les audiences du tribunal correctionnel. Auparavant, Olivier Callec a été juge au tribunal de grande instance de Nevers de 2009 à 2012.

Les départs

Par ailleurs, Hélène Geiger, 36 ans, quitte le parquet. Elle rejoint le siège au tribunal de grande instance de Brest, où elle est nommée vice-présidente. Marie-Annick Rossignol, juge des enfants, rejoint le tribunal de grande instance de Lorient où elle assurera la vice-présidence. Un tribunal qu’elle connaît bien puisqu’elle a été substitut du procureur jusqu’en 2007.

Disparition d’un poste de juge d’instruction

Cette nouvelle rentrée a aussi été marquée par la disparition du dernier juge d’instruction en poste, depuis la création du pôle de l’instruction à Brest, en 2008. Cette disparition a été soulignée par Eric Tufféry, procureur de la république lors de son discours. La dernière juge d’instruction à Quimper, Sophie Sourzac, a été nommée au tribunal d’instance de Grenoble.

 

 

https://www.letelegramme.fr/local/finistere-sud/quimper/ville/quimper-trois-nouveaux-magistrats-a-pied-d-oeuvre-18-09-2012-1842051.php

Quimper. Trois nouveaux magistrats à pied d’oeuvre

 

Publié le 18 septembre 2012 à 00h00

De gauche à droite, Olivier Callec, Pierre Jourdin et Meriadeg Merret: la magistrature du siège est au complet sur la juridiction quimpéroise
De gauche à droite, Olivier Callec, Pierre Jourdin et Meriadeg Merret: la magistrature du siège est au complet sur la juridiction quimpéroise

 

Trois nouveaux juges ont été adoubés, hier, par leurs pairs, lors de la traditionnelle audience de rentrée au tribunal de Quimper. Le trio renforce la magistrature du siège. Le parquet devra faire sans renforts.

 

Audience intermédiaire, la rentrée de septembre ne revêt pas la solennité de celle qui se tient chaque début d’année. Le président Le Quinquis parlait hier de sa dimension «quasi-familiale». Elle permet néanmoins d’installer les nouveaux magistrats nommés dans la juridiction quimpéroise. En cette rentrée 2012, ils sont trois à rejoindre les bords de l’Odet.

«Grand écart sur le plan technique»

Deux d’entre eux seront en terre de connaissance. Meriadeg Merret est nommé vice-président du Tribunal de Grande Instance, chargé des enfants. La justice des mineurs, mais aussi les placements d’enfants en danger sont quelques-uns des aspects qu’il devra prendre à bras-le-corps. La perspective lui apparaît «intéressante». Il succède à Mme Rossignol, nommée vice-présidente du Tribunal de Grande Instance de Lorient. Meriadeg Merret avait fait ses armes au Havre, comme juge d’instance, en 2002 puis rejoint le tribunal d’Instance de Châteaulin en 2005. En 2008, il poussait jusqu’à Brest. Après quatre ans dans la cité du Ponant, il traverse le département. Pierre Jourdin était lui aussi Brestois, chargé de l’Application des Peines de 2007 à 2012. Il occupait précédemment des fonctions identiques, à Nevers, de 2004 à 2007. Il devient vice-président chargé du tribunal d’instance. «Sur le plan technique, ça ressemble à un grand écart, mais sur le plan humain, il y a beaucoup de convergences», commente-t-il.

Un juge d’instruction placé

Olivier Callec, enfin, est le seul à découvrir le Finistère, si l’on excepte les stages de voile suivis pendant son enfance. À Nevers, il était juge du siège depuis 2009 et aura des fonctions équivalentes à Quimper. Il sera juge civil et assurera des audiences correctionnelles, comme juge assesseur ou président. Il se dit «ravi». Ces arrivées permettent aux juges du siège de la juridiction quimpéroise d’être au complet puisque les 18 postes sont pourvus. Petit bémol cependant: le départ de Sophie Sourzac, juge d’instruction, nommée à Grenoble, est certes compensé, mais par M. Morvan, juge placé. Le cabinet d’instruction devant cesser son activité au 1er janvier 2014 au profit du pôle de l’instruction brestois, il est fort probable qu’il ne soit pas pourvu en attendant de s’éteindre à petits feux. Voilà qui ne mettra pas de baume au coeur du procureur Éric Tufféry, qui perd quant à lui un parquetier dans son équipe.

 

 

https://jorfsearch.steinertriples.fr/name/Pierre%20Jourdin

Pierre Jourdin

 

 

De: Pierre JOURDIN

vice-président chargé de l’instruction au tribunal de grande instance de Brest
Objet:
Cour d’appel de Paris
Vice-présidents chargés de l’application des peines
Groupe:
cour_appel= »Paris »
magistrat= »Vice-président« 
nomination

10 Août 2016

De: Pierre JOURDIN

vice-président chargé de l’instruction au tribunal de grande instance de Brest
Objet:
président de section à la commission centrale d’aide sociale
Groupe:
president
nomination

15 Février 2016

De: Pierre JOURDIN

vice-président chargé de l’instruction au tribunal de grande instance de Brest
Objet:
assesseur à la commission centrale d’aide sociale
Groupe:
magistrat= »Assesseur« 
cessation de fonction

15 Février 2016

De: Pierre JOURDIN

vice-président au tribunal de grande instance de Quimper, chargé du service du tribunal d’instance de Quimper
Objet:
Cour d’appel de Rennes
Tribunal de grande instance de Brest
Vice-président chargé de l’instruction
Groupe:
cour_appel= »Rennes »
magistrat= »Vice-président »
tribunal
tribunal_grande_instance= »Brest« 
nomination

26 Juin 2014

De: JOURDIN Pierre
Objet:
dans leurs fonctions d’assesseurs à la commission centrale d’aide sociale
personnes particulièrement qualifiées en matière d’aide ou d’action sociale
Groupe:
renouvellement

15 Février 2014

De: Pierre JOURDIN

juge de l’application des peines au tribunal de grande instance de Brest
Objet:
Cour d’appel de Rennes
Tribunal de grande instance de Quimper
Vice-président chargé du service du tribunal d’instance de Quimper
Groupe:
cour_appel= »Rennes »
magistrat= »Vice-président »
tribunal
tribunal_grande_instance= »Quimper »
tribunal_instance= »Quimper« 
nomination

23 Août 2012

De: Jourdin (Pierre)

juge de l’application des peines (Brest)
Objet:
Tableau d’avancement 2012 (magistrature)
Inscrits : 954
inscription

21 Août 2012

De: Jourdin (Pierre)

juge de l’application des peines (Brest)
Objet:
Tableau d’avancement 2011 (magistrature)
Inscrits : 1 010
inscription

03 Août 2011

De: Pierre Jourdin

juge de l’application des peines au tribunal de grande instance de Nevers
Objet:
Cour d’appel de Rennes
Tribunal de grande instance de Brest
Juge de l’application des peines
Groupe:
cour_appel= »Rennes »
magistrat= »Juge »
tribunal
tribunal_grande_instance= »Brest« 
nomination

19 Juillet 2007

De: Pierre Jourdin

auditeur de justice
Objet:
Cour d’appel de Bourges
Tribunal de grande instance de Nevers
Juge de l’application des peines
Groupe:
cour_appel= »Bourges »
magistrat= »Juge »
tribunal
tribunal_grande_instance= »Nevers« 
nomination

14 Août 2004

De: Jourdin (Pierre)
Objet:
auditeurs de justice
Examen de classement
Promotion 2002
admissibilite

10 Mars 2004

De: Jourdin (Pierre)
Objet:
auditeurs de justice
nomination

27 Avril 2002

De: Jourdin (Pierre)
Objet:
rapporteurs à la commission centrale d’aide sociale
Groupe:
nomination

20 Juin 2000

De: Jourdin (Pierre)
Objet:
à la Commission centrale d’aide sociale
Groupe:
nomination

13 Juillet 1999

 



Selon Eric Dupond-Moretti, la justice serait trop complexe pour les Français

Ah…

Il me semblait que le problème majeur était celui de la confiance… et là, j’étais quand même assez d’accord : on ne peut pas faire confiance à des magistrats corrompus, bien trop nombreux dans l’institution.

Toujours pas la moindre proposition de solution pour dégager tous ces pourris qui prennent les Français pour des crétins, des débiles mentaux, des malades mentaux ou des handicapés mentaux, surtout quand ces derniers, contrairement à nombre de magistrats, se sont montrés capables d’obtenir au minimum un baccalauréat complet et ont toujours été habitués à traiter des problèmes bien plus complexes que de simples questions de droit, accessibles aux titulaires d’un petit demi-bac ?

 

https://www.lejdd.fr/Politique/le-garde-des-sceaux-eric-dupond-moretti-au-jdd-la-justice-est-trop-complexe-pour-les-francais-4123559

Le garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti au JDD : « La justice est trop complexe pour les Français »

 

23h45 , le 16 juillet 2022 , modifié à 10h36 , le 17 juillet 2022

INTERVIEW – Loi, décrets, plan d’action, le ministre de la justice, Éric Dupont-Moretti, s’engage à réformer en profondeur l’institution après une concertation avec les magistrats et les justiciables.

Le garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti, au ministère de la Justice à Paris.
Le garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti, au ministère de la Justice à Paris. (Magali Delporte pour le JDD)

 

Le Garde des sceaux, Éric Dupond-Moretti, a rendu public les conclusions du rapport de Jean-Marc Sauvé issu des États généraux de la justice. Le ministre qui s’est tenu volontairement à distance pendant les travaux, promet un plan d’action rapide. Croyant en la « dimension collective de la justice », le ministre a indiqué que ce dernier ressortirait d’une large concertation avec les acteurs de la justice. Éric Dupont-Moretti s’est enfin exprimé sur la situation politique de la France et sur l’affaire Uber.

Le rapport Sauvé remis à Emmanuel Macron et vous-même est à la fois sévère sur l’état de la Justice et en phase avec certaines de vos propositions…
Lorsque les États généraux de la justice ont été lancés, le Président de la République a annoncé qu’il n’y aurait aucun tabou. J’ai eu l’honneur et la charge de les mettre en place. J’ai fait en sorte de ne pas y participer pour laisser faire le comité présidé par Jean-Marc Sauvé qui comprend les deux plus hauts magistrats du pays, des universitaires, des membres du Conseil d’État, du Conseil supérieur de la magistrature, des avocats, les présidents de la commission des lois des deux assemblées. Des groupes de travail ont été mis en place sur la justice économique, la simplification de la procédure pénale par exemple. Les professions du droit et des représentants des forces de sécurité intérieure ont été associés ainsi que nos compatriotes, parce que la justice est rendue au nom du peuple français. La participation a dépassé nos espérances puisque nous avons compté 50 000 participants citoyens pour un total d’un million de contributions citoyennes.

Qu’allez-vous faire de ce rapport ?
À compter de demain, j’organise une large concertation jusqu’à l’automne pour que toutes les parties prenantes aient voix au chapitre et se prononcent sur ce travail et les différentes propositions qui en sont issues. Nous ferons venir les chefs de juridictions, les plus hauts magistrats de la cour de Cassation, les professionnels du droit, des Français et les représentants syndicaux… À la fin de ces concertations, je présenterai un plan d’action pour réformer la justice et renforcer ses moyens. C’est aussi là que je détaillerai les contours de la prochaine loi de programmation pour la justice issues de ces discussions.

Les syndicats de magistrats viendront-ils ?
Ma volonté est d’inviter et de parler avec tout le monde. Quand je parle de concertation, je suis sérieux. J’appelle tout le monde à prendre ses responsabilités.

Lire aussi - Emmanuel Macron va présenter une nouvelle loi de programmation militaire avec une « ambition opérationnelle pour 2030 »

La question de l’indépendance du parquet déconseillée par le rapport Sauvé revient encore en discussion…
J’affirme que le parquet est totalement indépendant. Je ne peux donner aucune directive individuelle à un procureur. Et j’ai considérablement réduit les remontées d’informations. Par ailleurs, il est important dans une grande démocratie que l’on rende des comptes sur la politique pénale qui est conduite via les circulaires pénales que je prends. C’est mon rôle en tant que garde des Sceaux. C’est ce que j’ai fait il y a 2 mois en déposant devant le bureau des assemblées mon rapport de politique pénale.

Savez-vous ce que les Français pensent de l’institution judiciaire ?
Ils ont exprimé l’idée qu’ils connaissaient mal la justice de notre pays. L’une de mes premières décisions à mon arrivée au ministère fut d’autoriser que l’on filme la justice pour des raisons de pédagogie. Le volet éducatif est à ce point important que lorsque je recevrai les Français je le ferai avec Pap Ndiaye, ministre de l’Éducation nationale. De même, lorsque je recevrai les forces de sécurité intérieure et leurs syndicats, je le ferai avec Gérald Darmanin pour continuer à travailler au renforcement du lien justice-police qui sont dans la même barque républicaine.

Soyez un peu concret, dites-nous vers quoi vous voulez tendre !
Nous avons embauché en urgence près de 2 000 jeunes diplômés qui viennent former une équipe et épauler les magistrats. Je souhaite que l’on poursuive cette voie, je crois à la dimension collective de la justice. Ces renforts nous ont permis d’avoir en un peu plus d’un an 20 % d’affaires en stock en moins en matière civile. C’est pourquoi j’ai pérennisé ces recrutements à la demande des chefs de cour et de juridiction.

Pourquoi n’avez-vous pas augmenté le nombre de magistrats ?
Nous l’avons fait comme personne avant nous. Je tiens à rappeler qu’on en a embauché 700 magistrats dans le précédent quinquennat et qu’il faut 31 mois pour les former.

Quid de l’augmentation des moyens de votre ministère ?
Le jour où on remettait à Emmanuel Macron les États généraux, j’allais l’après-midi même discuter du budget de mon ministère avec Gabriel Attal chargé des comptes publics. Le Président de la République a indiqué dans sa campagne qu’il conforterait le rôle prépondérant de la justice dans la Cité et que cela se traduirait par le recrutement de 8 500 magistrats et personnels judiciaires sans parler des recrutements indispensable d’agents pénitentiaires avec la sortie de terre des 15 000 nouvelles places de prison ces prochaines années. C’est à cela que je travaille, matin, midi et soir. Le rapport Sauvé est sans appel sur ce sujet, il affirme qu’il y a bien entendu une question de moyen mais que tout n’est pas une question de moyens…

J’ai mesuré à quel point les mots d’un ministre pouvaient être aussi spontanés car ils sont souvent dénaturés

Le budget du ministère de la justice a progressé de 8% ces deux dernières années. Souhaitez-vous que la pente soit la même en 2023 ?
Je veux obtenir le meilleur budget possible, c’est-à-dire celui qui respectera les engagements présidentiels.

Comment allez-vous faire bouger les lignes ?
Nous allons élaborer un plan d’action, comme je vous l’ai dit, et présenter à l’automne une loi de programmation, résultat de toutes ces discussions préalables. Nous allons aussi prendre des mesures rapides, en matière civile, notamment, par le biais de décrets. La justice est trop complexe pour les Français, nous allons, en concertation avec tous les acteurs du monde judiciaire, travailler à une simplification des codes de procédure.

Pourquoi le régalien est-il considéré comme le point faible du chef de l’État ?
Nous payons 20 ans d’abandon budgétaire, humain et politique. Regardez la tribune des 3 000 magistrats qui dénonçait l’approche gestionnaire de la justice : ce mouvement a surgi alors que jamais la justice n’avait été aussi bien dotée, avec 33 % d’augmentation budgétaire sur le quinquennat ! Mais pour le savoir, il faut se plonger dans les dossiers et les budgets, comparer avec le nombre de magistrats embauchés sous les précédents mandats… J’ai rouvert des juridictions qui étaient fermées, j’ai mis en place 2 000 points justice, où nos compatriotes les plus démunis vont chercher les premiers conseils gratuits et confidentiels.

Qu’avez-vous appris ces deux dernières années ?
La patience. J’ai mesuré à quel point les mots d’un ministre pouvaient être aussi spontanés car ils sont souvent dénaturés. Alors que l’avocat, lui, a parfois besoin de mettre le feu… Je ne me sens pas l’âme d’un politique mais j’aime l’action politique. J’aime faire changer les choses.

Lire aussi - SONDAGE. Un Français sur deux doute de la justice

L’affaire Uber constitue-t-elle un « scandale d’État », comme le dénonce l’opposition ?
Beaucoup de gens viennent me voir ici, huissiers, avocats, notaires, commissaires aux comptes, pour me demander de faire évoluer les textes. J’ai de bons rapports avec eux, et je n’invite pas la presse à nos entretiens. De même, Emmanuel Macron, quand il était ministre de l’Économie, a reçu une longue liste d’acteurs économiques. C’est un non-événement, une affaire totalement artificielle.

Comment sortir du blocage de la situation parlementaire ?
En juin dernier, nous avons demandé aux français une majorité. Ils ont voté et nous l’ont donné mais c’est une majorité relative. Nous avons donc une responsabilité collective, majorité présidentielle comme oppositions de l’arc républicain : bâtir pour les français, plutôt que de s’opposer sur tout. Et je suis plutôt optimiste : elles vont se démasquer. Il suffit d’attendre. Parlons d’abord de l’extrême droite : il ne suffit pas de mettre une cravate, celle-ci ne fait pas le moine. Le premier discours d’un député RN, c’était un hommage à l’OAS lors de la guerre d’Algérie ! C’est curieux pour des gens qui ont quitté l’île d’Yeu pour aller à Colombey-les-deux-Églises et qui ne se rappelle pas du petit Clamart. Quant à l’extrême gauche, elle se fait porte-parole des antivax et des complotistes. J’observe d’ailleurs que sur ce sujet, les deux extrêmes se rejoignent. La clef pour sortir du blocage sera de trouver des majorités de projet en s’adressant aux oppositions républicaines qui n’ont pas été élues pour bloquer le pays. Ce sera ma méthode.

Après avoir été particulièrement virulent contre Marine Le Pen aux élections régionales, où vous étiez candidat, vous avez pourtant évoqué la possibilité d’une « entente » avec les députés du RN…
Mon propos a été caricaturé, et une chaîne d’information l’a résumé en une phrase ! Si un élu du RN estime que la justice doit avoir plus de moyens et décide de voter en ce sens, c’est son sujet ! J’ai dénoncé Jordan Bardella, il racontait partout qu’il fallait réformer le code de justice pénale des mineurs, alors qu’on l’a fait, ou qu’il fallait une suppression des réductions de peine automatiques*, alors que c’était dans mon texte. J’ai aussi régulièrement dénoncé la manière qu’à le FN d’attiser la haine et les peurs. Notre responsabilité c’est de tout faire pour améliorer la vie des Français et régler leurs problèmes pas en vivre comme une rente familiale transmise de génération en génération.

Qui, de Marine Le Pen ou de Jean-Luc Mélenchon, est à vos yeux le plus dangereux ? 
Les deux portent des projets pour le pays avec lesquels je ne suis pas en adéquation mais Marine Le Pen est plus dangereuse par son attitude. L’objectif c’est la dissimulation, de gommer toutes les aspérités pour gagner en respectabilité en vue de 2027. Mais le fonds de commerce de ce parti reste le même, c’est la haine et la division. Et cela je le rappellerai sans cesse.

*L’article a été mis à jour dimanche à 10h30. Dans ce passage, la bonne version est « suppression des réductions de peine automatiques » et non « réduction automatique des peines ».

 

https://www.ldh-france.org/les-etats-generaux-de-la-justice-des-conclusions-inattendues/

Les Etats généraux de la Justice, des conclusions inattendues

 

Communiqué LDH

La LDH (Ligue des droits de l’Homme), dans sa contribution aux Etats généraux de la justice, avait exprimé ses doutes quant à la méthode employée par le Garde des Sceaux pour réformer la justice : décision verticale de la chancellerie, qui n’avait été précédée d’aucune véritable concertation des professionnels de terrain, et qui était accompagnée de questionnaires très orientés par le ministère sur le site « Parlons justice » préemptant les futures conclusions des Etats généraux, qui faisait aussi l’impasse sur une des causes d’engorgement des juridictions, liée à la tendance lourde autant inefficace qu’injuste de multiplication des délits, d’alourdissement des peines par la création de circonstances aggravantes et de judiciarisation de la vie sociale.

Ainsi se profilait une justice à l’américaine, dans laquelle le juge n’intervenait que dans très peu d’affaires, faisant la part belle aux médiations entre parties et au « plaider coupable ».

Les conclusions des Etats généraux s’opposent à ces orientations mortifères pour le service public de la justice.

Alors que le monde judiciaire souffre de désespérance collective, les mobilisations des magistrats, des greffiers et des avocats en novembre 2021 ont transformé l’exercice convenu des Etats généraux en une réflexion obligée sur les difficultés insolubles des justiciables et des professionnels de la justice.

Ce rapport conclusif des Etats généraux a au moins intégré leur message :
« Nous ne voulons pas d’une justice qui n’écoute pas et qui chronomètre tout », titre d’une tribune écrite après le suicide d’une magistrate de 29 ans.

Il souligne notamment le danger des évolutions sécuritaires de ces vingt dernières années, du pouvoir excessif du parquet (et donc la mainmise de l’exécutif sur la justice), de la disparition de la collégialité des juges, de la déjudiciarisation et de la défaillance de l’aide sociale à l’enfance dans l’assistance des mineurs en danger.

Il propose de « créer un volant global d’au moins 1 500 postes de magistrats du siège et du parquet dans les cinq années à venir » et 3000 postes de greffiers, ce qui est certes loin du compte (il faudrait doubler le nombre de magistrats et de greffiers pour atteindre le niveau de l’Allemagne), mais permettrait déjà de rendre une justice plus rapide et plus respectueuse des citoyennes et des citoyens.

Le rapport final des Etats généraux de la justice prône aussi la suppression de la cour de justice de la République afin que les ministres ne soient plus jugés par leurs pairs, avec la complaisance qu’on connaît, et que l’égalité de toutes et tous devant la justice soit rétablie.

La LDH regrette cependant la proposition de suppression de certains conseils de Prud’hommes et le quasi-remplacement des magistrats par les greffiers, ainsi que la tendance à la barémisation des contentieux, au détriment d’une évaluation individualisée par le juge. La réduction de la voie d’appel est également inquiétante, car le volume d’affaires en appel, que cette préconisation veut diminuer, tient aussi à la qualité moindre des jugements, en lien avec le manque de juges.

La LDH regrette aussi que ce rapport ne réaffirme pas un principe cardinal : la justice n’est pas « le problème de la police », comme le clament certains syndicats de policiers, elle en est la principale autorité de contrôle puisqu’elle garantit les libertés individuelles des citoyennes et citoyens.

Elle réaffirme la nécessité de disposer d’un parquet dont la nomination ne dépende plus de l’exécutif, mais du Conseil supérieur de la magistrature, comme le réclament les syndicats de magistrats, afin de briser la chaîne hiérarchique entre les procureurs et le Garde des Sceaux.

La LDH demande que cesse la surpopulation carcérale, dénoncée par toutes les institutions de défense des droits, et que des alternatives efficaces à la prison soient enfin encouragées par le renforcement significatif des moyens des services pénitentiaires de milieu ouvert.

La LDH attend du Garde des Sceaux qu’il mette en pratique la plupart des conclusions des Etats généraux de la justice, certes insuffisantes, mais qui rompent nettement avec les orientations sécuritaires et de destruction du service public de la justice à l’œuvre depuis 5 ans.

Paris, le 8 juillet 2022

Télécharger le communiqué “Les Etats généraux de la Justice, des conclusions inattendues” en PDF

 



Décès de l’ancien magistrat brestois François Dresen en août 2015

Je viens de le citer dans cet article :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/07/09/visite-a-brest-de-frederic-mitterrand-le-9-juin-2011/

Je cherche un peu ce qu’il a pu devenir depuis son départ du TGI de Brest et tombe sur l’article ci-dessous d’octobre 2015 par lequel son décès le 14 août 2015 était annoncé.

Parmi les anciens magistrats brestois ayant bien travaillé pour le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, cela en fait déjà trois qui sont décédés bien avant l’âge de départ à la retraite : François Dresen le premier, à 41 ans, Mathilde Boissy peu de temps plus tard, en octobre 2015, à 31 ans, et Raymond André en février 2019 à 59 ans.

Cela commence à faire beaucoup, non ?

 

N.B. : Pour Mathilde Boissy, il s’agit d’un cancer, pour François Dresen, d’une longue maladie non précisée, et pour Raymond André, d’une maladie « foudroyante ».

Les cancers, on sait les provoquer. Les deux décédés de 2015 avaient quitté Brest à l’été 2012 pour la première et à l’été 2013 pour le second. Manifestement, ils sont tombés malades après avoir quitté la mafia brestoise. Aurait-on voulu les faire taire sur les arrière-cuisines du TGI de Brest ?

Pour ce qui est du juge Raymond André, sa maladie « foudroyante » l’a terrassé trois jours après le début de l’affaire de la Ligue du LOL, présentant quand même quelques similitudes avec celle restant à ce jour confidentielle de la bande de tarés du malade mental, pédophile, cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui se disent « déconnologues ». Ces révélations brutales de février 2019 auraient-elles entraîné quelque court-circuit dans l’organisme délicat du juge Raymond André ?

 

 

https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/saint-nazaire-44600/nouveaux-juges-et-hommages-au-tribunal-3756329

Nouveaux juges et hommages au tribunal

 

Deux magistrates arrivent aux affaires familiales et à l’application des peines, qui obtient enfin son deuxième poste.

Hélène Saint-Ramon et Adeline Rousseau (à droite), lors de l'audience d'installation.
Hélène Saint-Ramon et Adeline Rousseau (à droite), lors de l’audience d’installation. |

 

Ouest-France Publié le 09/10/2015 à 03h33

Application des peines

C’est peu de chose de dire que le tribunal de grande instance (TGI) attendait Hélène Saint-Ramon avec impatience. Arrivée voici quelques jours de Fort-de-France, la magistrate d’origine toulousaine prend le poste de vice-présidente chargée de l’application des peines. « Un poste créé en 2013, mais qui restait vacant », a rappelé la procureure, Fabienne Bonnet, se félicitant de voir enfin à Saint-Nazaire, un service de l’application des peines « qui va pouvoir prendre en charge les mesures plus rapidement. » Jusqu’ici, la seule Jap, Armelle Dugardin, faisait avec les moyens du bord et gérait 1 300 mesures par an. « Jap à Saint-Nazaire, c’est 900 sursis avec mise à l’épreuve, une quarantaine de suivis socio-judiciaires, 190 peines de travail d’intérêt général et l’aménagement des peines de moins de deux ans », a noté le président du TGI, Alain Kerhoas.

Affaires familiales

Originaire de Nantes, Adeline Rousseau arrive de l’Orne où elle exerçait la fonction de juge d’instance. Elle devient juge aux affaires familiales, « un contentieux sensible où l’on doit décider de l’autorité parentale, des demandes de compensations financières dans des contextes le plus souvent tendus », a souligné Alain Kerhoas. Elle remplacera Christine Paris partie à Nantes. Avec ces deux arrivées le tribunal de Saint-Nazaire est presque au complet. Sur un effectif de dix-huit magistrats, un seul poste est vacant.

Hommages

Le 14 août dernier, le vice-procureur François Dresen décédait d’une longue maladie. Pendant cette période de vacances, il avait manifesté son émotion dans l’intimité professionnelle et familiale. Hier, le président a salué « un magistrat très apprécié, qui avait montré un acharnement à vivre et à travailler malgré la maladie. » Il était arrivé à Saint-Nazaire après une carrière à Coutances, Guingamp et Brest. Fabienne Bonnet, procureure, garde en mémoire « un homme de grande valeur, efficace, mesuré, simple et humain. »

Le tribunal a également salué le départ en retraite de François Dai, n « qui devrait revenir en tant que juge de proximité. »

 

 

https://www.letelegramme.fr/local/finistere-nord/brest/ville/justice-l-oeil-lucide-de-francois-dresen-sur-la-ville-27-07-2013-2185289.php

Justice. L’oeil lucide de François Dresen sur la ville

 

Publié le 27 juillet 2013 à 00h00

François Dresen quitte le siège du parquet qu'il a occupé pendant un peu plus de deux ans.

François Dresen quitte le siège du parquet qu’il a occupé pendant un peu plus de deux ans.

 

Le substitut du procureur François Dresen quittera, dans les jours à venir, la juridiction brestoise. Après plus de deux ans passés dans la cité du Ponant, cet ex-étudiant de l’UBO livre son sentiment sur une ville qu’il connaît bien.

 

Il avait quitté la ville au milieu des années 90, en simple étudiant, après avoir sacrifié sa thèse de droit pénal sur l’autel de sa réussite au concours d’entrée de l’école de la magistrature. Il la requitte, quelque 20 ans plus tard, après avoir occupé l’un des sièges du parquet pendant un peu plus de deux ans. « Ce poste nous fait découvrir des côtés plus sombres de la cité, admet-il illico, des trucs que nous n’avions pas vus lorsque nous étions étudiants et que finalement, nous traînions surtout dans le centre-ville ». François Dresen a ainsi vu la « ghettoïsation » de certains quartiers de Brest comme Pontanézen, Bellevue et, plus récemment, Kérourien. « Ponta, c’est moins net depuis les travaux de rénovation. N’empêche : il reste encore, là-bas, certains de nos clients habituels qui empêchent la quiétude de tous les autres habitants », précise le parquettier qui s’inquiète davantage de la montée en puissance des infractions à Kérourien pendant son exercice brestois. « Au risque d’être péjoratif, il y a, dans ce quartier, une poignée de perturbateurs mineurs qui se comporte en racaille. Quand on les déferre, ils ne semblent même pas avoir conscience de la gravité de leurs actes », peste François Dresen qui dit que son successeur ne lâchera pas l’affaire.

Opposant à la carte judiciaire

Lui, pendant ce temps-là, exercera ses talents dans un autre port de la façade maritime, à Saint-Nazaire, qui convient mieux à sa vie de famille. Et puis, « je suis arrivé à Brest à la suite de la fusion des tribunaux en provenance de Guingamp. À l’époque, on nous avait dit que nous pourrions progresser dans notre carrière sur place. Les promesses n’engageant que ceux qui les croient », ironise celui qui ne pense « que du mal » de la réorganisation de la carte judiciaire. « Notre territoire est tellement vaste que je n’ai même pas eu le temps de faire le tour complet des brigades de gendarmerie. De façon plus générale, l’évidence est que quand la justice du quotidien est concentrée sur une seule ville, elle dessert le justiciable », estime le magistrat.

Magistrat en prise directe

Laissant derrière lui « un ou deux dossiers d’instruction », le sentiment que l’alcool ne fait pas plus de ravage ici qu’ailleurs mais que le Brestois « a la culture du surin » et que les jeudis arrosés sont souvent fatals « aux portières des Twingo des villes », François Dresen dit quitter une cité « agréable à vivre, qui s’est beaucoup améliorée et qui bénéficie indubitablement du tram ». Une ville « dont nous avons bien profité, avec une recommandation chaleureuse pour la Taverne Saint-Martin, ses bières maison et ses patrons ». Une agglomération où seulement « 150 majeurs et 50 mineurs forment la population pénale d’habitude », ceux qui nourrissent le quotidien des magistrats « en prise directe avec la vie de la collectivité », défendant « la notion d’ordre public au sens noble du terme », comme le fut, l’est et le sera François Dresen.

 



Visite à Brest de Frédéric Mitterrand le 9 juin 2011

Dans cet article d’hier, je rappelais qu’au printemps 2011 Frédéric Mitterrand était venu à Brest où il n’avait pas mis les pieds depuis au moins trente ans :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/07/07/la-fille-dans-le-cercueil-ou-le-sadisme-du-scorpion/

Pour son arrivée le 9 juin 2011, annoncée seulement la veille, toutes mes plaintes contre le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi avaient bien été classées sans suite, la dernière le 23 mai 2011, sans aucune enquête préalable, et l’avis de classement venait tout juste de m’être envoyé par courrier postal.

Il ne restait plus que la plainte ayant conduit à une audition de Jean-Marc Donnadieu à Béziers le 12 juillet 2011.

Dès le mois de juin 2010, après le début des « révélations » publiques me concernant par le cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi sur ses deux blogs « Ici-Blog » et « Tique Toc », j’avais consulté un avocat pour lui demander de saisir la justice en urgence, mais il partait en vacances sitôt après et ne fera jamais rien durant l’été 2010 alors que les règlements de comptes sanglants avaient certainement déjà commencé. Je ferai donc également le tour des pénalistes brestois les plus connus, mais comme elle l’écrivait publiquement sur les blogs Luraghi, la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, qui continuait à me faire écouter illégalement par ses amis techniciens de chez France Télécom, comme elle l’avait toujours fait depuis des lustres, « contrôlait » toutes mes démarches pour les faire échouer, soit par ses interventions directes auprès des avocats que je consultais, soit par l’intermédiaire de ses complices magistrats ultra corrompus du TGI de Brest, notamment le juge Raymond André.

Lorsqu’ils me recevaient, ces avocats dont je ne connaissais aucun auparavant, soit m’écoutaient un peu, me posaient quelques questions, puis ne donnaient pas suite sans même prendre la peine de m’informer de quoi que ce soit (mépris total pour la « sale pute » de femme ingénieur… dans la ville dite de « l’aristocratie ouvrière », nous sommes vraiment très mal perçues, surtout moi qui ai toujours refusé de plier à n’importe quoi), soit me disaient carrément qu’ils ne prenaient pas le dossier du fait que toutes les inventions calomnieuses que publiait le dénommé Pascal Edouard Cyprien Luraghi concernant mon passé ou ma vie privée n’étaient selon eux que la vérité (cas de Ronan Appéré, qui par ailleurs ne voyait aucun problème dans les viols de l’intimité de la vie privée et toutes les insultes incroyablement ordurières dont j’étais aussi victime, et se fera par la suite remarquer pour son féminisme exacerbé, n’est-ce pas, puisqu’il a lui-même été poursuivi et condamné en 2019 pour avoir copieusement insulté puis violenté une femme), alors que tout était bien archi faux, hautement calomnieux, de surcroît destiné à provoquer de très nombreux crimes, et même, à terme, la révolution communiste devant instaurer en France un régime de type soviétique. L’un de ces avocats m’avait même demandé de laisser le génial « écrivain » Pascal Edouard Cyprien Luraghi rédiger et publier tranquillement ma « biographie ». Je le dérangeais en le contredisant systématiquement sur tous les chapitres de sa version de cette « biographie », ce n’était pas bien, il fallait arrêter et surtout pas aller de plus déposer plainte. Je m’apercevrai par la suite que cet avocat était associé à un pédophile s’étant jadis fait prendre en flagrant délit en Thaïlande, où résidait l’un des chefs de la bande Luraghi, le dénommé Georges Cortez originaire de l’Hérault, hôtelier, qui sous le pseudonyme de « Homere » faisait régulièrement l’apologie du terrorisme et de la pédophile, tout comme le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, et se revendiquait de plus bras armé du NPA en Thaïlande (il a aussi revendiqué publiquement les attentats islamistes de janvier 2015 à Paris).

Je n’obtiendrai ainsi jamais rien avant début novembre 2010. Un premier avocat aurait alors déposé une première plainte en mon nom. Problème : celle-ci n’a jamais été enregistrée par le Parquet de Brest et je n’en ai jamais vu aucune trace nulle part.

Cela permettra à la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest de se présenter comme la première plaignante dans cette affaire, le 26 novembre 2010. Elle prétendait alors avoir été avertie au cours de l’été 2010 par un membre de sa famille qu’elle était diffamée sur un blog dénommé « Un petit coucou » dont j’étais l’auteur anonyme, précisait qu’elle avait déjà eu connaissance de ce blog mais ne s’en était pas vraiment inquiétée, et qu’après avoir été informée au cours de l’été 2010 qu’elle y était diffamée, elle était allée le consulter et avait vu qu’elle y était nommée et accusée de nombreux méfaits. En réalité, elle participait très activement aux campagnes de calomnies publiques de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre depuis juin 2010, en apparaissant même comme l’unique source de « renseignements » ou inventions calomnieuses concernant mon passé et ma vie privée, venait aussi, tout comme lui et plusieurs autres membres de sa bande de cybercriminels, me harceler directement sur ce blog, et pour finir, déposait donc plainte à raison des droits de réponse que j’avais commencé à publier pour rétablir quelque peu la vérité sur moi-même. La criminelle n’admettait pas d’être contredite quand elle me présentait mensongèrement, pour faire court, comme une prostituée débile mentale et folle à lier. Elle continuait à mentir éhontément et ne voyait pas non plus de problème à révéler au public mon identité (obtenue grâce à des piratages informatiques dès mon inscription sur le site Rue89 au mois de décembre 2007), ainsi que toutes mes coordonnées et celles de mes proches, avec de récurrents appels au meurtre à notre encontre.

Convoquée par la police pour m’expliquer sur sa dénonciation le 7 décembre 2010, je déposerai plainte en réplique à cette date, ce qui provoquera dès le lendemain une nouvelle salve d’attaques et menaces publiques délirantes à mon encontre de la part du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, furieux de ce dépôt de plainte du 7 décembre 2010 dont il avait déjà connaissance. D’où, de ma part, une nouvelle plainte sur laquelle il sera entendu le 14 mars 2011.

Cette dernière plainte ayant été classée sans suite le 6 avril 2011 avec un motif totalement incompréhensible, j’en avais déposé une autre le 19 avril 2011 avec de nouveaux éléments ainsi que les témoignages d’autres victimes, mais désormais toutes mes plaintes étaient jetées sans la moindre considération dans un carton poubelle à mon nom marqué « plaignante d’habitude » – décision du substitut François Dresen, une petite merde issue de la fac de droit de Brest et qui savait donc depuis très longtemps, tout comme les autres magistrats brestois, que j’étais la « sale pute » de femme ingénieur qui dans les années 1990 avait toujours refusé de commettre des crimes et délits contre la Nation pour le compte de trafiquants d’armes extrêmement bien perçus dans la magistrature, surtout à Brest.

Le pédophile, trafiquant de drogue, cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi communiquait directement avec lui et annonçait publiquement sur son blog les classements sans suite de mes plaintes à peine ceux-ci signés et parfois même avant que le magistrat ne les eût formalisés.

Il l’avait fait pour le classement sans suite du 6 avril 2011 en annonçant fièrement à tous ses camarades « déconnologues » que tout avait marché comme sur des roulettes et que désormais ils étaient tranquilles et pouvaient continuer à violer quotidiennement l’intimité de ma vie privée, me calomnier et me harceler autant qu’ils le voulaient sans plus aucun souci.

Son plan, alors qu’en début d’année 2011 il savait que ma plainte de décembre 2010 le visant personnellement était traitée, puisqu’il était en ligne directe avec le magistrat qui en était chargé, avait consisté à publier toute une série de nouveaux articles calomnieux m’étant consacrés et dans lesquels il affectait de « réagir » pour la toute première fois à mes propos publics le concernant et qui n’étaient en fait que des réponses à toutes ses publications calomnieuses, ordurières et extrêmement violentes à mon encontre depuis juin 2010. Il faisait comme si tous ces précédents n’avaient jamais existé.

Le gendarme qui l’avait interrogé le 14 mars 2011 avait bien vu toute cette série d’articles de blog de janvier et février 2011, mais s’était arrêté là. Il n’a jamais consulté aucune des pages de commentaires de son blog, où se trouvait pourtant l’essentiel de ses publications me concernant, celles du quotidien depuis le début. Il devait également consulter le blog Tique Toc, mais n’en a jamais rien fait, se contentant des déclarations du délinquant qui lui affirmait que tout y était correct. Ayant néanmoins constaté l’existence des nouveaux articles de janvier et février 2011, alors qu’il avait entre les mains une plainte de décembre 2010 portant sur de précédents textes, il s’était contenté de demander au délinquant s’il en était bien l’auteur et ne l’a jamais interrogé sur les contenus dont il s’agissait. Le délinquant n’étant nullement tenu de justifier le moindre de ses propos publics me concernant, il ne le fera jamais, se contentant seulement de reconnaître qu’ils n’étaient « pas très sympathiques » à mon égard, et tout le monde fera toujours comme s’il n’avait toujours dit que la vérité sur tout, aussi bien dans ses écrits publics que dans ses déclarations du 14 mars 2011, sans jamais s’interroger sur la provenance de toutes ses allégations très particulières concernant ma vie privée et celles de mes proches, alors qu’il n’était pas censé me connaître, et mes proches, qui eux n’avaient jamais participé à aucun débat public, encore moins que moi.

Et pour ma plainte du 19 avril 2011, comme au préalable j’en avais discuté par courriers électroniques avec les autres victimes qui acceptaient de me fournir leurs témoignages, qu’elles m’avaient aussi communiqués par mails, tandis que le cybercriminel continuait à me pirater avec ses complices, il était parfaitement au courant de ce nouveau dépôt et supprimera tous ses articles de janvier et février 2011 dès le lendemain après avoir vérifié auprès du commissariat de police de Brest que je l’avais bien effectué – c’est en fait une de ses complices qui s’en était chargée, et avait même appelé plusieurs fois le commissariat en se faisant passer pour moi, si bien qu’ensuite une policière avait appelé à mon domicile pour demander si j’allais bien, car ces appels répétés dont j’aurais été l’auteur à propos de ma propre plainte lui paraissaient assez délirants…

A partir de ce printemps 2011, donc, non seulement je deviens une « plaignante d’habitude », mais de plus ma santé mentale est dite « sujette à caution » du fait de ces appels téléphoniques répétés au Commissariat central de police de Brest concernant ma plainte du 19 avril 2011 et dont en réalité je n’ai jamais été l’auteur.

C’en est fini de mes plaintes, avec cette nouvelle faute grave du magistrat : s’il croit vraiment que je suis malade mentale ou en train de craquer, les faits dont je suis victime en sont aggravés et il est encore plus urgent d’y mettre un terme.

Précisons pour ceux qui n’auraient jamais déposé aucune plainte dans un commissariat de police que c’est quand même assez difficile quand on est victime d’une multitude de faits de la part d’un grand nombre de personnes agissant toutes en bande organisée. Les dépositions sont courtes, une page ou deux, il n’est pas possible de tout déclarer ni tout expliquer, et d’ailleurs les policiers restreignent généralement la plainte à un seul fait et un seul mis en cause, deux tout au plus. Ils ne prennent pas non plus tous les justificatifs que l’on voudrait fournir, juste quelques-uns, et parfois même aucun, comme ce fut le cas lors de mon audition pour la confirmation de ma plainte de décembre 2010 contre le dénommé Pascal Edouard Luraghi car, selon la policière, c’était inutile, le gendarme de Puy-l’Evêque allait de toute façon consulter tous les blogs que je citais à la recherche des écrits me concernant, ce qu’il n’a jamais fait.

En outre, le propre des faits de harcèlement est précisément leur répétition ou leur renouvellement perpétuel. Il y en a sans arrêt. Dans certains cas, c’est tous les jours qu’on pourrait déposer de nouvelles plaintes, et ce n’est sûrement pas une seule et première plainte qui peut suffire pour tout arrêter.

C’est donc dans ce cadre-là, bien connu de tous dès le début, que je me retrouve très rapidement catégorisée « plaignante d’habitude » par le magistrat François Dresen, dont en fait il est certain qu’il ne servait que les intérêts de mes harceleurs en relation directe avec eux.

Aussi, à compter du 20 mai 2011, le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, déjà assuré de cette issue de ma dernière plainte contre lui, s’était mis à hacker comme un fou sous le pseudonyme de SaMo_Dz (il est en effet le pirate des préfectures de cette année-là et avait choisi pour sévir contre l’Etat la date du 24 juillet car c’était l’anniversaire des dix ans de son ancien « Site à Cyp », tout comme en 2016 il avait bien prévu de faire commettre par ses esclaves islamistes l’attentat du 26 juillet à cette même date, soit pour la messe du dimanche 24 juillet 2016, et cette année encore il risque de frapper à cette même date).

Puis, le 25 mai 2011, il avait publié un article de blog par lequel il indiquait à son public avoir décidé de fermer définitivement son atelier de dépannage informatique pour ne plus se consacrer qu’à l’écriture de son « bouquin » me concernant et précisait dans les commentaires sur cet article qu’il avait reçu à cet effet une somme d’argent assez conséquente pour le dispenser de travailler jusqu’à la fin de ses jours.

En voici une copie :

 

Visite à Brest de Frédéric Mitterrand le 9 juin 2011 dans AC ! Brest 2011%2005%2025%20-%20'Chez%20Cyprien%20Luraghi%20%E2%88%92%20En%20ligne%20et%20%C3%A0%20l'%C5%93il%20depuis%202001'%20-%20icyp.fr

 

 

Dans la foulée sera annoncée le 8 juin 2011 une visite surprise de Frédéric Mitterrand à Brest le lendemain.

J’en avais été tellement choquée que j’avais alors publié l’article ci-dessous sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog (cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte) :

 

2011-06-10 Frédéric Mitterrand en visite dans le Finistère - Un petit coucou

 

En effet, le dénommé Georges Cortez me menaçait depuis déjà longtemps des foudres de Frédéric Mitterrand qu’il disait très bien connaître.

De plus, à cette époque, ce dernier était Ministre de la Culture et les conservateurs du patrimoine étaient à l’évidence acquis à leur collègue Alain Pougetoux, « meilleur ami » de Cyprien Luraghi selon ce dernier, en tous les cas assez pour lui avoir acheté et offert la maison dont il est propriétaire à Puy-l’Evêque depuis 2003.

Ressortons donc la fiche Wikipédia de Frédéric Mitterrand (voir ci-dessous).

Il s’agit encore d’un pur produit de l’école de cul de Paris dont la critique n’est devenue possible que depuis janvier 2021.

Si en 2011, je n’avais pas dit grand-chose, maintenant je ne me gêne donc plus autant pour dire ce qui se passe et souligne encore que le protecteur de mes harceleurs n’est lui non plus vraiment pas du genre à se gêner :

 

Cavalier législatif au profil de LVMH

Alors que la construction de l’immeuble de la Fondation Louis-Vuitton est mise en difficulté, notamment en raison du fait que le bois de Boulogne n’est pas constructible62, Frédéric Mitterrand est soupçonné d’avoir fait usage d’un cavalier législatif pour faire valider par la loi sa construction63.

En janvier 2011 déjà, des riverains avaient aussi exprimé leur mécontentement face à ce projet, faisant annuler le permis du musée LVMH dont les travaux étaient en cours64. Afin que la construction de l’oeuvre soit réalisée malgré les interdictions, et dans le cadre de la deuxième lecture d’une proposition de loi sur le livre numérique, Frédéric Mitterrand propose un amendement sans réel rapport avec le livre numérique en faveur de la construction du musée de la fondation, faisant valoir un objectif culturel évident. Le député Nicolas Alfonsi (RDSE) accuse alors directement le Ministre de la Culture de faire pression dans une affaire judiciaire en cours avec un amendement sans rapport avec l’objet du texte65.

 

Une curiosité à ce tableau : l’intérêt dont il fit montre pour la prochaine inhumation dans l’enceinte du château de Brest de « l’inconnu de Vanikoro », lequel pourrait être l’Abbé Jean-André Mongez, dont je suis parente, et qui à l’égal de tous les autres membres de l’expédition La Pérouse est honoré par cette sépulture.

On rend hommage aux scientifiques du XVIIIème siècle et on assassine ceux d’aujourd’hui pour le bon plaisir d’un pédophile.

 

https://www.ouest-france.fr/bretagne/linconnu-de-vanikoro-inhume-au-chateau-de-brest-468057

« L’inconnu de Vanikoro » inhumé au château de Brest

 

Frédéric Mitterrand, le ministre de la Culture, prend connaissance du projet destiné à donner une dernière demeure à Brest à « l’inconnu de Vanikoro ».
Frédéric Mitterrand, le ministre de la Culture, prend connaissance du projet destiné à donner une dernière demeure à Brest à « l’inconnu de Vanikoro ». | OUEST-FRANCE

 

Ouest-France Modifié le 09/06/2011 à 17h12 Publié le 09/06/2011 à 00h00

Il était parti de Brest, il y revient. Deux siècles après le départ de l’expédition La Pérouse, « l’inconnu de Vanikoro » sera inhumé dans l’enceinte du château de Brest à la fin du mois. Une cérémonie doit avoir lieu le 29 juin prochain pour saluer ce retour symbolique. C’est ce que l’on a appris aujourd’hui à l’occasion d’une visite à Brest du ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand.

Le squelette a été retrouvé en 2003 à proximité de l’épave de la Boussole, l’un des deux navires de l’expédition commandée par Jean-François de La Pérouse et partie de Brest le 1er août 1785. Celle-ci a fait naufrage sur l’île de Vanikoro, dans le Pacifique, en 1788.

L’analyse des ossements a confirmé qu’il s’agit d’un Européen d’1,68 m, âgé d’une trentaine d’années. L’identité de cet homme n’a pas pu être déterminée avec certitude. Mais plusieurs indices portent à penser qu’il ne s’agissait pas d’un simple marin (les boucles de chaussures retrouvées à proximité, une corpulence plutôt gracile, etc.) mais plutôt d’un officier ou d’un savant de l’expédition.

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fr%C3%A9d%C3%A9ric_Mitterrand

  1. « Le parcours de créateur de Frédéric Mitterrand [archive] », NouvelObs.com, 9 octobre 2009

Bibliographie

      • Meurtre à l’Olympic (roman-photo) / texte de Gérard Guégan ; photographie de Maya Sachweh ; avec Frédéric Mitterrand (Georges Ridder), Arielle Dombasle (Marlène Rivaud), Pascal Greggory (Serge Zola), Pascale Richard (Muriel Sony), Raphaël Sorin (Joseph Huysmans), Anne Guégan (Paula Maup) et Alain Massiot (inspecteur de police). In Playboy France, mai 1983, no 114 (vol. 11, no 5), p. 61-67.

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Une non attaque terroriste hier à Grenoble

De toute façon, officiellement, il n’y a aucune menace particulière en ce moment. Donc il ne peut pas s’agir d’un acte terroriste.

Rappel : le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi a bien relancé une nouvelle série de fêtes islamistes fin mai dernier et il a sûrement préparé un gros coup pour le 14 juillet. Il adore faire la fête à sa manière ce jour-là, et cette année comme en 2016 et précédemment en 2011 (il s’était alors contenté d’attaquer par piratage informatique et faire tomber la plateforme de blogs Overblog pour obliger ses informaticiens à bosser le jour de la Fête nationale), cela coïncide parfaitement avec son calendrier festif habituel lorsqu’il attend que toutes ses saloperies à mon encontre portent enfin leurs fruits.

 

Lire ou relire à ce sujet :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/06/27/nouvelles-menaces-dattentats-islamistes/

 

 

https://www.lemonde.fr/police-justice/article/2022/07/08/grenoble-un-homme-arme-abattu-par-la-police-en-centre-ville_6133941_1653578.html

Grenoble : un homme armé abattu par la police en centre-ville

 

Les faits sont survenus quand le passager d’un scooter, en possession d’une « arme longue » a « braqué son arme en direction de policiers ». Selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agit de « faits de droit commun, pas du tout de terrorisme ».

Le Monde avec AFP

Publié aujourd’hui à 10h19, mis à jour à 11h09

Les faits ont eu lieu en plein centre-ville de Grenoble jeudi 7 juillet en fin d’après-midi. Un homme de 24 ans, qui circulait à scooter avec un passager armé, a été tué par la police, a appris l’Agence France-Presse (AFP) de sources concordantes.Une source policière a précisé à l’AFP que le conducteur du scooter, vêtu d’un gilet pare-balles, circulait en compagnie d’un passager armé d’une « arme longue ». Ce dernier a « commencé à braquer son arme en direction de policiers », qui ont tiré à deux reprises, touchant le conducteur à la tête.

Le parquet a précisé que les occupants du scooter avaient croisé la route de deux fonctionnaires de police qui effectuaient une patrouille à pied vers 18 h 15, et qu’un jeune homme âgé de 24 ans, « connu des services de police », était mort « sur place malgré les soins prodigués rapidement par les secours ». L’autre occupant du scooter est lui parvenu « à prendre la fuite ».

Lire aussi : En Saône-et-Loire, un adolescent de 14 ans mis en examen et écroué après avoir tué sa petite amie

Deux enquêtes ouvertes

Une arme, « de type kalachnikov, chargée a été retrouvée sur les lieux », dans le secteur du quartier Hoche, a encore précisé dans un communiqué le procureur adjoint de Grenoble, Boris Duffau.

Deux enquêtes ont été ouvertes. La première sur les faits de « tentative de meurtre sur personne dépositaire de l’autorité publique », confiée au service de police judiciaire de Grenoble, et la seconde a été confiée à l’IGPN, la « police des polices » sur les faits de coups mortels. « Le policier qui a fait usage de son arme a été placé en garde à vue et devrait être entendu dans la soirée par des enquêteurs de l’IGPN », a ajouté M. Duffau, lequel précise qu’une autopsie serait réalisée vendredi matin.

Une autre source policière contactée par l’AFP a expliqué que, selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agit de « faits de droit commun, pas du tout de terrorisme ».

Lire aussi : Deux enseignants tués par balle à Pouyastruc, dans les Hautes-Pyrénées, l’auteur présumé recherché

Le Monde avec AFP



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