Nouvelles révélations sur la Macronie et ses cabinets de conseil, McKinsey et autres

 


 

 

Les révélations en tous genres concernant la Macronie abondent actuellement, à la veille du premier tour de l’élection présidentielle qui pourrait reconduire Emmanuel Macron à la tête de l’Etat, notamment sur ces cabinets de conseils et sociétés de services qui en sont une part intrinsèque.

Je rappelle ici que ces sociétés ne sont pas seulement constituées de dirigeants, elles emploient aussi nombre d’ingénieurs et autres consultants qui pourraient très certainement raconter des tas de choses très intéressantes s’ils n’étaient pas menacés du pire en cas de désobéissance ou de révélation des « secrets » de leurs employeurs.

Dès les années 1990, mon « cas » avait valeur d’exemple dans ce milieu : si vous refusez d’obéir, vous subirez le même sort… exactions de la magistrature y compris…

Et là, je fais observer que les pires des magistrats auxquels j’ai eu affaire alors que je dénonçais à travers mon cas personnel bien des problèmes graves inhérents aux fonctionnements habituels et hors la loi de ces sociétés ont toujours été des juges d’instruction, c’est-à-dire des magistrats dont l’indépendance était en principe déjà acquise… et qui tous s’étaient laissé corrompre très librement…

Ce n’est d’ailleurs pas fini, j’ai toujours des problèmes absolument incroyables avec les magistrats du Finistère, tous corrompus au moins en ce qui concerne mon affaire personnelle.

Mais à vrai dire, toutes les publications et diffusions du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi et de sa bande de cybercriminels à mon encontre à compter de l’année 2008, que ces magistrats corrompus ont toujours soutenues activement, participent encore de ce management par la terreur qui fut instauré très tôt avec mon « cas » exemplaire, non seulement à l’encontre de tous mes collègues de travail, mais bien au-delà, dans tout notre milieu professionnel.

Egalement, comme j’en ai très souvent averti mes lecteurs, tout ce brouhaha devenu public autour de ma personne à compter du 19 juin 2010 a toujours eu pour but de repérer et d’identifier pour pouvoir les « neutraliser » tous ceux qui m’ont jadis connue et constituaient donc autant de témoins gênants de ma vraie vie, celle-ci étant entièrement réécrite à leur convenance par les auteurs de cette opération.



On n’insulte pas le Président Emmanuel Macron…

 

 

 

Du coup, le candidat Emmanuel Macron a perdu une voix…

Ouarf !

La criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et ses complices locaux, notamment l’ancien socialiste prétendument de l’aile gauche du PS Richard Ferrand, ne se refont pas…

 



Emmanuel Macron plaisantin…

 

 

 
Extrait du compte rendu d’entretien ci-dessous :

Désormais, Emmanuel Macron veut « continuer ce combat« . Dans cette campagne, il entend « aller convaincre des gens qui aujourd’hui sont tentés par les extrêmes pour expliquer en quoi les extrêmes n’apportent pas la bonne réponse, que les peurs que les gens ont sont parfois légitimes mais que la vraie réponse est autre et qu’elle peut parfois prendre du temps ».

 

Non mais faut voir la tête qu’il fait en prononçant cette phrase, surtout à la fin, il a bien du mal à ne pas rire de sa blague – ouh qu’elle est bonne celle-là…

Un sale gamin qui se fout de la gueule du monde en permanence et y prend son pied, tout comme son acolyte Richard Ferrand.

 

https://www.franceinter.fr/politique/montee-des-extremes-je-n-ai-pas-reussi-a-l-endiguer-reconnait-emmanuel-macron

Montée des extrêmes : « Je n’ai pas réussi à l’endiguer », reconnait Emmanuel Macron

 

par Noémie Lair publié le 4 avril 2022 à 9h03

 

Emmanuel Macron, invité de la matinale de France Inter lundi, a reconnu n’avoir « pas réussi à endiguer » la montée de l’extrême droite pendant son quinquennat. Le président-candidat dit vouloir « continuer ce combat », à six jours du premier tour de l’élection présidentielle.

 

Emmanuel Macron était invité de la matinale de France Inter lundi.

Emmanuel Macron était invité de la matinale de France Inter lundi. © Radio France / Capture d’écran 

« Je ferai tout, dans les cinq années qui viennent, pour qu’il n’y ait plus aucune raison de voter pour les extrêmes. » Cette phrase, Emmanuel Macron la prononçait le 7 mai 2017 sur l’esplanade du Louvre, juste après sa victoire face à Marine Le Pen au second tour de la présidentielle. Cinq ans plus tard, les candidats d’extrême droite – Marine Le Pen, Éric Zemmour et Nicolas Dupont-Aignan – représentent 35% des intentions de vote.

Interrogé sur sa part de responsabilité dans cette montée des extrêmes, Emmanuel Macron répond : « Je sais qu’on adore toujours faire dire à un président de la République qu’il a des échecs. J’ai fait beaucoup de mea culpa mais en l’espèce, il y a un grand dérèglement dans nos sociétés. On l’a vu avec la pandémie, dérèglement du vivant, dérèglement écologique, dérèglement géopolitique, dérèglement des consciences lié aux réseaux sociaux, un doute sur l’information. Tout cela créé des peurs et ceux qui jouent avec les peurs montent et je n’ai pas réussi à l’endiguer », reconnait le président-candidat, en soulignant toutefois que « durant ces cinq années, je n’ai pas essayé d’esquiver les sujets ».

« Les extrêmes n’apportent pas la bonne réponse »

Désormais, Emmanuel Macron veut « continuer ce combat« . Dans cette campagne, il entend « aller convaincre des gens qui aujourd’hui sont tentés par les extrêmes pour expliquer en quoi les extrêmes n’apportent pas la bonne réponse, que les peurs que les gens ont sont parfois légitimes mais que la vraie réponse est autre et qu’elle peut parfois prendre du temps ».

C’est pas cette clarté, cette exigence qu’on peut répondre aux peurs et en même temps tenir une réponse républicaine.

Sur la peur des inégalités, le candidat estime que la réponse « n’est pas de revenir à un système complètement fermé qui renonce à l’économie ouverte mais on doit avoir une économie-social de marché« . Sur la peur du changement climatique, « tout interdire tout de suite, se battre contre nos agriculteurs n’est pas la bonne réponse, mais financer une transition ambitieuse l’est« . Sur la peur « des phénomènes migratoires« , il faut « défendre ce qu’est notre ADN, c’est-à-dire accueillir celles et ceux qui fuient un pays en guerre et en même temps savoir lutter contre l’immigration clandestine ». « C’est pas cette clarté, cette exigence qu’on peut répondre aux peurs et en même temps tenir une réponse républicaine. »

 



Bientôt un vote pour dégager Macron ?

 


 



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