Les attentats islamistes commis en France sont le fait de mes harceleurs

C’est l’un des thèmes récurrents de mes articles de blog depuis mars 2012, j’ai maintes fois expliqué de manière détaillée comment et pourquoi tous les attentats islamistes qui ont été commis en France ou contre des Français depuis 2012 ont bien tous été organisés par le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi et sa bande de criminels, dont un grand nombre de militants de l’extrême-gauche, la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest en tête.

Je viens encore d’en parler à propos de l’assassinat d’Yvan Colonna dans cet article publié il y a trois jours :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/03/22/assassinat-dyvan-colonna-encore-cyprien-luraghi/

Notons que ce crime a été ajouté à la liste Wikipédia des attentats islamistes commis en France (voir ci-dessous), quoique l’auteur des faits se défende que son acte fût terroriste, mais il est bien traité comme tel par les autorités.

C’est le premier de cette année 2022, après une année 2021 particulièrement calme en comparaison des précédentes, puisqu’un seul fait, en date du 23 avril 2021, l’assassinat d’une fonctionnaire de police au commissariat de Rambouillet, y est inscrit, quoique la France fût particulièrement menacée à compter du mois de juillet dernier. Bien sûr, il y a toujours des projets d’attentats qui ne peuvent aboutir, et parfois des agressions qui ne reçoivent pas la qualification adéquate de terroriste, outre que les attentats commis contre des Français à l’étranger ne figurent pas dans cette liste, mais ce ne sont pas les seules explications à ce calme plat d’autant plus surprenant que la France était à nouveau particulièrement menacée depuis le mois de juillet.

Pourquoi donc ce regain de menaces dont le ministère de l’Intérieur nous avait avertis au cours de l’été dernier ? Et comment se fait-il qu’elles ne fussent jamais suivies d’aucun nouvel acte terroriste ?

Eh bien, c’est très simple : des procédures très menaçantes à mon égard existaient encore et avançaient bien, pour le plus grand plaisir du cybercriminel, pédophile, harceleur et calomniateur notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui comme d’habitude en était le commanditaire, y était étroitement asssocié, et en informait avec joie tout le cercle des pourritures qui le suivent.

Or, j’en ai stoppé toutes les avancées l’une après l’autre jusqu’au mois d’octobre dernier, si bien qu’il ne se passe plus rien depuis lors, sauf, peut-être, actuellement, les débuts d’une toute nouvelle procédure dont je ne suis pas encore informée.

Je l’avais déjà mentionné dans cet article du 2 mars dernier :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/03/02/les-brestois-sont-fous-bis-repetita/

Voilà donc pourquoi nous n’avons finalement pas eu de nouveaux attentats sur le sol français depuis près d’un an : les terroristes « islamistes » Pascal Edouard Cyprien Luraghi et consorts, dont les espoirs de nouvelles saloperies à mon encontre étaient tous douchés les uns après les autres, n’avaient plus grand-chose à fêter.

En outre, au mois de novembre 2020, j’avais détaillé à l’attention de certains magistrats les mécanismes des attentats islamistes qu’ils organisaient depuis 2012. Or, l’on ne peut aujourd’hui que constater une retombée spectaculaire de la fête islamiste précisément à ce moment-là. Ces explications de ma part ont donc eu un rôle dissuasif majeur, ce qui était bien évidemment l’un des buts que je poursuivais.

Que se passait-il donc auparavant ?

Les attentats des années 2012 à 2015 sont tous liés à la procédure brestoise de Josette Brenterch à mon encontre.

Les attentats des années 2016 à 2018 sont tous liés à la procédure parisienne de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre, qu’en fait elle dirigeait elle-même, comme ont pu le constater tout comme moi les tiers qui m’avaient accompagnée à Paris pour les audiences de septembre et novembre 2016.

En juin 2013, Josette Brenterch avait obtenu à la virgule près tout ce qu’elle avait demandé à ses complices magistrats ultra corrompus du TGI de Brest, mais elle a perdu en appel à Rennes le 2 décembre 2015.

Son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi n’a jamais rien gagné à Paris, alors que je m’étais défendue seule en première instance.

Après sa première défaite du 5 janvier 2017, il n’y a quasiment plus que des attaques de militaires et de policiers et la fréquence des attentats diminue très nettement après sa seconde défaite, du 11 avril 2018 devant la Cour d’Appel de Paris, où toute sa procédure a été carrément annulée comme celle de sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest le 2 décembre 2015.

Au cours de l’année 2019, il tente de relancer la machine en faisant publier par des journalistes qu’il a achetés de faux témoignages contre moi, notamment sur les sites 20minutes.fr et Midi Libre. Il s’inscrit sur Twitter avec les mêmes objectifs et finit par convaincre en fin d’année un de mes anciens avocats de se lancer lui aussi, en son nom propre, dans des procédures complètement délirantes à mon encontre, en conséquence de quoi on observe une belle reprise des attentats en 2020.

Tous les attentats commis depuis 2020 sont donc liés aux saloperies de cet avocat à mon encontre.

Pour l’heure, il n’a gagné aucune de ses procédures abusives contre moi. Il en a déjà perdu deux de manière définitive, et les autres sont bloquées depuis le mois d’octobre dernier.

 

 

https://www.franceinter.fr/justice/menace-terroriste-accrue-le-ministre-de-l-interieur-appelle-les-prefets-a-la-vigilance-cet-ete

Menace terroriste accrue : le ministère de l’Intérieur appelle les préfets à la « vigilance » cet été

 

par Ariane Griessel publié le 23 juillet 2021 à 11h44

 
Après la diffusion d’une vidéo de menaces visant la France, le cabinet de Gérald Darmanin appelle les préfets à « des mesures de vigilance propres à la menace terroriste pour les mois de juillet et d’août ». Le parquet national antiterroriste a, de son côté, décidé d’ouvrir une enquête préliminaire sur ces images.

 

Gérald Darmanin à l'Élysée le 19 juillet 2021
Gérald Darmanin à l’Élysée le 19 juillet 2021 © AFP / Xose Bouzas / Hans Lucas

 

Le directeur de cabinet du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a envoyé, mercredi, une note aux préfets, afin de les prévenir d’une menace terroriste accrue « dans le cadre de la reprise partielle des activités économiques et culturelles au cours des deux mois d’été« . Dans ce document que France Inter a pu consulter, et dont l’existence a été révélée ce vendredi matin par Europe1, le ministère appelle à veiller tout particulièrement à la menace « endogène », autrement dit, au risque d’attaques perpétrées à leur initiative par des personnes résidant en France, sans assistance d’organes étrangers.

Enquête ouverte

Cet appel à une vigilance accrue fait suite à la diffusion sur Internet, le 15 juillet, d’une vidéo mise en ligne par un organe de propagande du groupe terroriste Al-Qaïda. Ce film d’une quarantaine de minutes, dont le ministère de l’Intérieur souligne « le potentiel de diffusion important », cite très régulièrement la France et la diffusion des caricatures de Mahomet par Charlie Hebdo. Le pays y est présenté comme menant une guerre contre l’Islam, dans la continuité des Croisades.

Le parquet national anti-terroriste a décidé d’ouvrir une enquête préliminaire au sujet de ces images, pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » et  »provocation a des actes de terrorisme par un service de communication au public en ligne ».

Des cibles désignées

Emmanuel Macron y apparaît à de nombreuses reprises, que ce soit via des extraits de son discours du 2 octobre 2020 aux Mureaux « sur la lutte contre les séparatismes », ou lors de la réception de chefs d’État du monde arabe présentés comme des traîtres à la cause islamiste. Gérald Darmanin est également cité à plusieurs endroits, notamment lors d’une interview dans laquelle il s’exprime sur la fermeture de mosquées jugées radicalisées.

Les vidéos de l’attaque de Charlie Hebdo, présentée par les auteurs de la vidéo comme « bénie » y sont également montrées plusieurs fois. Des images du palais de justice de Paris sont, quant à elle, accompagnées de commentaires faisant état d’un « simulacre de procès » des attentats de janvier 2015. Trois attentats avaient frappé la France peu après l’ouverture de ce procès, en septembre 2020, comme le rappelle le  cabinet du ministre de l’Intérieur dans sa note aux préfets, insistant sur le fait que le procès des attentats du 13-Novembre qui doit s’ouvrir le 8 septembre 2021 sera également « à fort retentissement médiatique ».

Le ministère appelle donc à veiller à cette menace « endogène et exogène » via les réunions hebdomadaires en préfecture des groupe d’évaluation départementaux (GED) et de cellules de prévention de la radicalisation et d’accompagnement des familles (Cpraf), et à sécuriser les rassemblements par les mesures correspondant au niveau Vigipirate « sécurité renforcée risque attentat ».

 

 

https://www.bfmtv.com/police-justice/risque-d-attentats-pour-gerald-darmanin-la-france-est-tres-menacee_AN-202109150125.html

Risque d’attentats: pour Gérald Darmanin, « la France est très menacée »

 

Ambre Lepoivre
Le 15/09/2021 à 9:44

 

Gérald Darmanin à l'Assemblée nationale le 7 septembre 2021
Gérald Darmanin à l’Assemblée nationale le 7 septembre 2021 – Christophe ARCHAMBAULT © 2019 AFP

 

Le ministre de l’Intérieur alerte sur la menace d’attentat endogène, « avec quelqu’un qui prend un couteau, entre n’importe où et commet un attentat au nom d’une religion ».

« Nous vivons dans un monde extrêmement troublé. » Invité ce mercredi matin sur RTL, le ministre de l’Intérieur est revenu sur la menace terroriste qui pèse sur la France, alors que le procès des attentats du 13 novembre 2015 a débuté depuis une semaine.

« La France est très menacée, tous les Français le sont. Mais nous sommes aujourd’hui sans doute assez prémunis contre des attentats de type 13-Novembre, c’est-à-dire organisés de l’étranger, même si tout peut arriver. En revanche, il y a des menaces endogènes, avec quelqu’un qui prend un couteau, entre n’importe où et commet un attentat au nom d’une religion », a détaillé Gérald Darmanin.

Soucieux de souligner le travail fourni par les autorités pour lutter contre la menace terroriste, le ministre a rappelé que 36 attentats islamistes ont été déjoués depuis 2017, « et quelques-uns cette année ».

Niveau de sécurité renforcé

Gérald Darmanin a également fait part d’une autre mouvance menaçant la sécurité des Français, celle des survivalistes.

« Des gens qui pensent que la fin du monde approche et donc, qu’il faut l’accélérer. Nous avons déjà déjoué des attentats de ces gens qui allaient passer à l’acte », a déclaré le ministre qui constate que le pays se trouve dans « une période très particulière ».

Sur le même sujet

Début septembre, Gérald Darmanin a demandé aux responsables de la sécurité du territoire « un haut niveau de vigilance », particulièrement autour des lieux classés sensibles, pendant le procès des attentats du 13 novembre 2015 qui doit s’étendre sur neuf mois. Il requiert une « vigilance collective (…) totale tant à l’égard de la menace (terroriste) endogène qu’exogène » tout en rappelant que l’an dernier, le procès des attentats de janvier 2015 avaient été l’occasion d’une « succession d’attaques sur le territoire national » (contre les anciens locaux de Charlie Hebdo, assassinat de Samuel Paty mi-octobre).

dossier :

Gérald Darmanin

Ambre Lepoivre Journaliste BFMTV

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_d%27attentats_islamistes_en_France

Liste d’attentats islamistes en France

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Les attentats islamistes commis en France sont le fait de mes harceleurs dans AC ! Brest 45px-2017-fr.wp-orange-source.svg

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (octobre 2021).

Si vous disposez d’ouvrages ou d’articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l’article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références »

En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?

Cette page recense les attentats islamistes perpétrés en France, manifestations du terrorisme islamiste en France. On distingue trois grandes vagues d’attentats : une première entre 1985 et 1986, une seconde entre 1994 et 1996, et une troisième depuis 2012 qui a causé 271 morts et dont la dernière attaque est l’attaque au couteau dans un commissariat à Rambouillet le 23 avril 20211. Un certain nombre de ces attaques visent des représentants des forces armées françaises (militaires et policiers), ainsi que des membres de la communauté juive ou chrétienne. Les attaques contre des personnalités sont quant à elles une minorité.

La France est, selon une étude internationale publiée en juin 20172, le pays le plus touché par les attentats islamistes commis en Europe et en Amérique du Nord depuis la proclamation du « califat » de l’État islamique, le 29 juin 20143.

Années 1980

1980

  • Le 18 juillet 1980, tentative d’attentat à Neuilly-sur-Seine contre Chapour Bakhtiar, ancien premier ministre iranien : deux morts et trois blessés.4

1982

  • Le 9 août 1982, attentat de la rue des Rosiers à Paris : six morts et vingt-deux blessés.
  • Le 11 août 1982, attaque à la voiture piégée devant l’ambassade d’Irak à Paris revendiqué par le Mouvement de l’Action Islamique d’Irak : cinq blessés.5

1984

1985

  • 7 décembre 1985 : 43 personnes sont blessées aux galeries Lafayette et au Printemps Haussmann à Paris

1986

Entre fin décembre 1985 et septembre 1986, quatorze attaques à la bombe sont perpétrées à Paris et sur la ligne ferroviaire Paris-Lyon, au cours desquelles treize personnes perdent la vie et plus de 300 autres sont blessées. Ces attentats sont organisés par le Comité de solidarité avec les prisonniers politiques arabes et du Proche-Orient mené par Fouad Ali Saleh, terroriste du Hezbollah. Voici la liste exhaustive des attaques, ainsi que leur bilan7 :

  • 3 février 1986 : huit personnes sont blessées dans la galerie marchande de l’Hôtel Claridge, rue des Champs-Élysées à Paris
  • 3 février 1986 : un engin explosif est découvert dans les toilettes du 3e étage de la Tour Eiffel à Paris mais n’explose pas
  • 4 février 1986 : cinq personnes sont blessées dans la librairie Gibert Jeune à Paris
  • 5 février 1986 : vingt-deux personnes sont blessées dans le magasin FNAC du Forum des Halles à Paris
  • 17 mars 1986 : neuf personnes sont blessées lors d’une attaque contre un train sur la ligne ferroviaire Paris-Lyon
  • 17 mars 1986 : un engin explosif est découvert sur le quai du RER à Gare de Lyon à Paris mais n’explose pas
  • 20 mars 1986 : un engin explosif est découvert à la station de RER de Châtelet à Paris mais n’explose pas
  • 20 mars 1986 : deux personnes sont tuées et 29 autres blessées dans la librairie Gibert Jeune à Paris
  • 8 septembre 1986 : une personne est tuée et 21 autres blessées dans le bureau de poste de l’hôtel de Ville de Paris
  • 12 septembre 1986 : 54 personnes sont blessées à la Cafétéria Casino du centre commercial de la Défense
  • 14 septembre 1986 : trois personnes sont tuées et une autre blessée au Pub Renault à Paris
  • 15 septembre 1986 : une personne est tuée et 56 autres blessées au service des permis de conduire de la préfecture de police de Paris
  • 17 septembre 1986 : sept personnes sont tuées et 55 autres blessées lors de l’Attentat de la rue de Rennes à Paris

Années 1990

Entre décembre 1994 et décembre 1996, le Groupe islamique armé va perpétrer onze attaques sur le sol français, au cours desquelles douze personnes perdent la vie et plus de 300 autres sont blessées.

1991

  • Le 6 août 1991, assassinat de Chapour Bakhtiar et de son secrétaire à Suresnes.

1994

  • 24-26 décembre 1994 : Abdul Abdallah Yahia, Mustafa Chekienne, Makhlouf Benguetaff et Salim Layadila organisent la prise d’otages du vol Air France 8969 qui se solde par un assaut du GIGN au cours duquel seize otages sont blessés

1995

La France est particulièrement frappée par une série d’attentats en 1995, organisée par une cellule constituée de Ali Touchent, cerveau présumé du groupe, de l’artificier Boualem Bensaïd, des poseurs de bombe Khaled Kelkal et Smaïn Aït Ali Belkacem et financée par Rachid Ramda.

  • 11 juillet 1995 : Abdelbaki Sahraoui et son secrétaire sont abattus dans la mosquée de la rue Myrha
  • 25 juillet 1995 : huit personnes sont tuées et 117 autres blessées lors de l’attaque à la bombe de la gare de Saint-Michel de RER
  • 17 août 1995 : seize personnes sont blessées lors de l’explosion d’une bombe près de la place Charles de Gaulle à Paris
  • 26 août 1995 : un engin explosif destiné à faire dérailler un TGV est découvert à Cailloux-sur-Fontaines
  • 3 septembre 1995 : quatre personnes sont blessées lors de l’explosion d’une bombe sur le marché du boulevard Richard Lenoir à Paris
  • 4 septembre 1995 : un engin explosif est découvert dans des toilettes publiques de la place Charles-Vallin à Paris
  • 7 septembre 1995 : quatorze personnes sont blessées lors de l’explosion d’une bombe à proximité d’une école juive de Villeurbanne
  • 6 octobre 1995 : douze personnes sont blessées lors de l’explosion d’une bombe près de la station de métro Maison-Blanche à Paris
  • 17 octobre 1995 : une trentaine de personnes est blessée lors de l’explosion d’une bombe dans une rame du RER C à Paris

1996

La France est frappée une dernière fois en 1996.

Années 2000

2004

Années 2010

2012

  • En mars 2012, tueries à Toulouse et Montauban faisant sept morts dont trois enfants et six blessés.
    • 11 mars : Mohammed Merah assassine un militaire à Toulouse
    • 15 mars : Mohammed Merah assassine deux militaires et en blesse un autre à Montauban
    • 19 mars : Mohammed Merah assassine quatre personnes devant une école juive de Toulouse. Il est abattu le 22 mars par le RAID.
  • 19 septembre 2012 : Jérémie Louis Sidney et Jérémie Bailly, membres de la cellule Cannes-Torcy, blessent une personne en lançant une grenade dans un épicerie juive de Sarcelles

2013

2014

  • Le 20 décembre 2014, attaque contre un commissariat de Joué-lès-Tours. Un homme criant « Allahu akbar » attaque un poste de police avec un couteau. Il blesse trois policiers avant d’être abattu10,11,12.
  • Le 21 décembre 2014, attaque de Dijon. Un homme souffrant de troubles psychiatrique fait une attaque à la voiture-bélier, criant selon les témoins « Allahu akbar »13. Treize personnes sont blessées, dont 2 grièvement14. Le procureur de Dijon exclut l’acte terroriste15, mais plusieurs observateurs, comme The Times16, le Financial Times17, The Globe and Mail18 et l’universitaire David C. Rapoport19, considèrent qu’il s’agit d’une attaque islamiste.
  • Le 22 décembre 2014, attaque de Nantes. Sébastien Sarron, souffrant de troubles psychiatrique, fait une attaque à la voiture-bélier, criant selon les témoins « Allahu akbar »20. Neuf personnes sont blessées et un homme meurt21. Le procureur de Nantes exclut l’acte terroriste (ce que pense également le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve)22, mais plusieurs observateurs, comme le Financial Times17, The Globe and Mail18 et l’universitaire David C. Rapoport19, considèrent qu’il s’agit d’une attaque islamiste.

2015

2016

  • Le 7 janvier 2016, un islamiste marocain portant une fausse ceinture explosif attaque des policiers à l’aide d’un couperet à viande ; il est abattu. Il s’agit d’un ressortissant marocain né en 1995 à Casablanca, mis en cause pour vol en 201327.
  • Le 11 janvier 2016, un adolescent turc âgé de 15 ans agresse à la machette un enseignant juif portant une kippa. Le blessé28 parvient à se défendre en parant les coups avec un exemplaire de la Torah. L’auteur dit avoir agi « au nom d’Allah » et de l’organisation État islamique. En mars 2017, l’agresseur est condamné à sept ans de prison et cinq ans de suivi socio-judiciaire dans ce qui est le premier procès terroriste criminel devant le tribunal pour enfants de Paris29.
  • Le 13 juin 2016, double meurtre à Magnanville. Un commandant de police et sa compagne, fonctionnaire du ministère de l’intérieur (Jean-Baptiste Salvaing et Jessica Schneider), sont assassinés devant leur domicile à Magnanville par Larossi Abballa. L’attentat est revendiqué par l’organisation État islamique30.
  • Le 14 juillet 2016 à Nice, le jour de la fête nationale, un Tunisien, Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, fonce dans la foule venue voir le feu d’artifice au volant d’un camion sur la promenade des Anglais, tuant 86 personnes et en blessant 458, avant d’être abattu par les forces de l’ordre31. L’État islamique revendique cet acte32.
  • Le 26 juillet 2016, lors d’une messe, deux islamistes munis d’armes blanches prennent en otage plusieurs personnes dans l’église de Saint-Étienne-du-Rouvray, près de Rouen. Le curé de la paroisse, le Père Hamel, est égorgé, et un paroissien est blessé. Les deux terroristes sont abattus par les forces de l’ordre, l’un d’eux, Adel Kermiche, était fiché S. Selon le Président de la République, « les deux terroristes se réclament de Daesh »33,34. L’attentat est revendiqué via Amaq, l’agence de presse de l’État islamique35.
  • Le 4 septembre 2016, Bilal Taghi, détenu franco-marocain, purgeant une peine de cinq ans de prison pour avoir tenté d’aller faire le jihad en Syrie, blesse grièvement 2 surveillants, aidé par plusieurs complices36.
  • Le 4 septembre 2016, une tentative avortée d’attentat terroriste a lieu devant Notre-Dame de Paris à l’aide d’une voiture piégée par un commando de trois femmes, commanditées par Daesh.

2017

2018

2019

Années 2020

2020

  • Le 3 janvier 2020, dans le parc des Hautes-Bruyères à Villejuif, un jeune homme de 22 ans, attaque à l’arme blanche des passants, en répétant « Allah Akbar », tuant un homme et blessant gravement deux femmes. L’individu sera par la suite neutralisé par une patrouille de policiers. Le jeune homme récemment converti à l’islam58 a perpétré cette attaque d’une « extrême violence » avec une « extrême détermination », selon les déclarations du Parquet national antiterroriste qui s’est saisit de l’affaire.
  • Le 5 janvier 2020, un individu connu de la DGSI et fiché S, armé d’un couteau et criant « Allah Akbar », est interpellé à Metz après avoir tenté d’agresser des policiers59. La section antiterroriste ne s’est pas saisie de l’enquête.
  • Le 4 avril 2020, à Romans-sur-Isère, un réfugié soudanais, Abdallah Ahmed-Osman, crie « Allah Akbar », tue au couteau deux passants et en blesse cinq autres, leur demandant s’ils sont de confession musulmane.
  • Le lundi 27 avril 2020, en fin d’après-midi à Colombes (Hauts-de-Seine), le conducteur d’une voiture a percuté volontairement deux motards de la police à vive allure, les blessant gravement. L’auteur a fait allégeance à l’État islamique.
  • Le vendredi 25 septembre 2020, deux personnes sont grièvement blessées à l’arme blanche près des anciens locaux du journal Charlie Hebdo. Le Parquet national antiterroriste a ouvert une enquête pour « tentative d’assassinat en relation avec une entreprise terroriste, association de malfaiteurs terroriste criminelle ». Selon l’AFP citant des sources concordantes, l’assaillant de nationalité pakistanaise assurait « assumer son acte qu’il situe dans le contexte de la republication des caricatures (de Charlie Hebdo, ndlr) qu’il n’a pas supportée ».
  • Le 16 octobre 2020, un enseignant, Samuel Paty, est décapité devant un collège de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), car il a montré lors d’un cours sur la liberté d’expression les caricatures de Mahomet. Son assassin présumé (islamiste de nationalité russe) est abattu par la police dans la ville voisine d’Éragny (Val-d’Oise)60.
  • Le 29 octobre, un Tunisien tue trois personnes et en blesse plusieurs autres dans la basilique Notre-Dame-de-l’Assomption de Nice avant d’être arrêté par la police61.

2021

2022

  • Le 2 mars 2022, Yvan Colonna, emprisonné à Arles, est étranglé dans la salle de sport de la prison par un islamiste pour avoir blasphémé Allah. Le parquet antiterroriste s’est autosaisi63. Il meurt le 21 mars 2022 après avoir été plongé dans un coma artificiel.64

Notes et références

  1. Maxime Gil, « Mort d’Yvan Colonna : des réactions très contrastées et des hommages » [archive], sur www.linternaute.com (consulté le 22 mars 2022)

Bibliographie

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Articles connexes



Pierre-Jean Chalençon aussi crédible que Cyprien Luraghi…

 

 

 

On l’avait déjà remarqué à propos de l’affaire des dîners clandestins, cela se confirme : les complices du pédophile, trafiquant de drogue, cybercriminel, terroriste, mythomane et calomniateur notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi sont bien tous faits du même bois…

 



Le Front de Libération de la Bretagne demande un référendum

Pour le cas où, je précise n’avoir jamais eu aucun lien avec des activistes bretons, quoique mes proches et moi-même soyons effectivement victimes depuis très longtemps d’une répression étatique anti-Bretons, mais comme les autres intellectuels français d’origine bretonne, lorsqu’ils ont le tort d’être intègres.

Précisons donc qu’en règle générale nous sommes amenés à quitter la Bretagne pour pouvoir travailler (et subir assez souvent un racisme anti-Bretons à Paris), tandis qu’à l’inverse, on fait venir en Bretagne de Paris ou d’autres régions françaises des chefs d’entreprise tous séduits par les facilités qui leur sont accordées par ici pour exploiter la population locale.

Les représentants de l’Etat sont également des fonctionnaires venus d’autres régions pour y exercer une répression particulière contre les Bretons, laquelle passe bien évidemment, entre autres choses, par la permission de violer à volonté femmes et enfants de cette population locale à soumettre ou maintenir soumise par la terreur.

Par ailleurs, les élus locaux sont sélectionnés par la police politique (anciennement les Renseignements Généraux) bien en amont des élections en fonction de leur soumission au pouvoir central, laquelle s’obtient par diverses malversations ou infractions pénales qu’ils ont commises et pour lesquelles l’impunité leur est garantie. Ainsi, par exemple, s’agit-il souvent d’affaires de moeurs pour les élus de gauche, c’est-à-dire, à nouveau : viols, pédophilie, etc… affaires toujours réglées par le traitement des victimes par ce bon Dr Michel Walter à l’hôpital psychiatrique de Bohars pour ce qui est de la région brestoise…

L’unique élu de la LCR de Brest lorsque je faisais partie de l’association AC ! Brest, en 2004 et 2005, n’échappait pas à cette règle : il s’agissait d’Arnaud Hell qui avait jadis été viré d’un lycée brestois pour une affaire de moeurs et dont Josette Brenterch, qui travaillait pour la Gendarmerie et les Renseignements Généraux, faisait tout ce qu’elle voulait en s’occupant de toutes ses relations.

 

A lire ou à relire :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/03/07/michel-walter-bourreau-moderne/

 

 

https://pontivy.maville.com/actu/actudet_-le-front-de-liberation-de-la-bretagne-demande-un-referendum-sur-l-autonomie-ou-l-independance-_fil-5138641_actu.Htm

Ouest-France  

Lundi 21 mars 2022 14:47

Le Front de libération de la Bretagne demande un référendum sur l’autonomie ou l’indépendance

 

 

photo  en février 2022, l’association à la bretonne a déployé le plus grand drapeau breton du monde devant le château d’anne de bretagne à nantes pour réclamer un référendum sur le sujet du rattachement de la loire-atlantique à la bretagne. En février 2022, l’association À la Bretonne a déployé le plus grand drapeau breton du monde devant le château d’Anne de Bretagne à Nantes pour réclamer un référendum sur le sujet du rattachement de la Loire-Atlantique à la Bretagne. © Jerome Fouquet/Ouest-France

 

Dans un communiqué reçu lundi 21 mars 2022, le Front de libération de la Bretagne – Armée révolutionnaire bretonne (FLB-ARB) demande l’organisation d’un référendum sur l’autonomie ou l’indépendance de la Bretagne réunifiée.

 

Dans un communiqué reçu par la rédaction du journal Ouest-France, le Front de Libération de la Bretagne – Armée révolutionnaire bretonne (FLB-ARB) demande l’organisation d’un référendum sur la réunification de la Loire-Atlantique à la Bretagne mais aussi un référendum sur l’autonomie ou l’indépendance de la Bretagne réunifiée.

Bretagne à cinq : retrouvez notre dossier sur la réunification

Menace « d’actions violentes »

Le FLB-ARB ajoute : L’Armée révolutionnaire bretonne prend acte que le peuple corse n’est écouté par le gouvernement qu’à la suite d’actions violentes. Nous concevons la lutte armée comme un complément à la lutte politique. Ces référendums devront être réalisés avant le 31 décembre 2022, sans quoi l’ARB passera à l’action.

photo courrier du flb arb  ©  ouest-france

Courrier du FLB ARB © Ouest-France

Depuis plusieurs années, le FLB – ARB est resté en sommeil.

 
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/le-front-de-liberation-de-la-bretagne-menace-de-reproduire-les-violences-corses-20220321

Le Front de Libération de la Bretagne menace de reproduire les violences corses

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Publié hier à 19:34, Mis à jour hier à 20:59
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Des centaines de personnes se sont réunies à Nantes le 20 février, manifestant pour un référendum sur la réunification de la Loire-Atlantique à la Bretagne.

Des centaines de personnes se sont réunies à Nantes le 20 février, manifestant pour un référendum sur la réunification de la Loire-Atlantique à la Bretagne. LOIC VENANCE / AFP

 

Des groupes d’activistes réclament l’instauration de référendums sur l’autonomie de la Bretagne réunifiée, sans quoi ils garantissent de s’engager dans des actions violentes.

Le Front de Libération de la Bretagne (FLB) a envoyé lundi 21 mars un communiqué à Ouest France, exigeant une réorganisation territoriale. Avec l’Armée révolutionnaire bretonne en co-signataire, les deux mouvements réclament un premier référendum sur la réunification de la Loire-Atlantique, ainsi qu’un second sur «l’autonomie ou l’indépendance de la Bretagne réunifiée». Ils estiment que la Bretagne dispose de ressources nécessaires -aussi bien économiques, politiques ou culturelles – pour ne pas dépendre de la France.

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Leurs revendications se présentent à la suite des récents évènements en Corse. Jugeant que le gouvernement ne prête attention «qu’à la suite d’actions violentes», ils menacent de s’engager à leur tour dans une lutte armée, qu’ils considèrent comme «un complément à la lutte politique». Si les référendums n’ont pas été réalisés d’ici le 31 décembre 2022, ils garantissent que l’Armée révolutionnaire bretonne «passera à l’action». Ces derniers mois, des militants du FLB ont manifesté, aux côtés de centaines de personnes, pour obtenir gain de cause. Le dernier rassemblement en date est celui de février, où le «plus grand drapeau breton du monde» a été dressé.

Historique de violences

En 2021, le Front de Libération de la Bretagne avait revendiqué une série «d’attaques de résidences secondaires ou de profiteurs de l’industrie touristique». Dans un courriel, ils détaillent une quinzaine de lieux concernés, associés à des dates. Pour certaines des localisations, il s’agit, d’après France Bleu, d’incendies de maisons secondaires -dont on ignore s’ils étaient volontaires.

Depuis leur création dans les années 1960, les groupes FLB et ARB ont usé massivement de la violence. Des centaines d’attentats matériels ont été commis, dont des dizaines à la bombe, entre vague d’arrestations et reformations des groupes. Les plus célèbres d’entre eux restent l’endommagement d’une aile du château de Versailles, l’attaque de la cité judiciaire de Rennes, de la mairie de Belfort, ou encore d’un engin d’aviation. Néanmoins, les groupes activistes de la région ne semblaient plus user de tels procédés depuis l’attentat du MacDonald de Quévert où une jeune femme avait perdu la vie en avril 2000.


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Assassinat d’Yvan Colonna : encore Cyprien Luraghi ?

Yvan Colonna est mort hier alors que l’enquête sur l’agression sauvage dont il a été victime le 2 mars 2022 commence tout juste et a déjà rapporté des éléments très clairs en faveur de l’assassinat, notamment l’enregistrement de cet acte par une caméra de surveillance, dont quelques images ont été diffusées par France 3 Corse et France 3 Marseille jeudi dernier.

Par ailleurs, la justification que l’agresseur a donnée à son geste est aujourd’hui mise à mal par le témoignage d’un ancien codétenu d’Yvan Colonna qui s’en dit très surpris, car d’après lui celui-ci était très discret et ne se mêlait de rien.

Dans ces conditions, et compte tenu de la personnalité de l’agresseur, il est tout à fait loisible de penser qu’il ait en fait commis un assassinat sur commande de chefs islamistes qui s’abstiennent de revendiquer quoi que ce soit, comme cela leur arrive parfois. Or, ceux-là sont tous aux ordres du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi pour les attentats commis en France ou contre des Français depuis mars 2012.

Pourquoi donc ce dernier aurait-il ordonné l’assassinat d’Yvan Colonna ?

Je vois plusieurs raisons à cette commande.

D’abord, Yvan Colonna était un ami de Michel Ucciani, ancien nationaliste à l’honneur dans les médias depuis qu’il a écrit et publié sa propre biographie. J’en avais parlé sur ce blog le 30 janvier dernier, ici :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/01/30/michel-ucciani-ancien-braqueur-et-du-flnc-sur-tous-les-plateaux-tv/

Il se trouve que Michel Ucciani a eu aussi pour très bon ami un braqueur de banques qui fut dans les années 1990, alors qu’il était en cavale, l’amant de la soeur du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi. Ce braqueur de banques n’est plus en vie, il a été retrouvé suicidé peu de temps après sa dernière sortie de prison, en 2006.

Cyprien Luraghi en parlait régulièrement sur les sites Rue89 et Le Post durant les premières années de ses harcèlements à mon encontre, de 2008 à 2010, il m’avait même menacée de mort de la part des amis du milieu du grand banditisme de cet ancien amant de sa soeur en le présentant comme son beau-frère, dont il aurait été lui aussi très proche, comme de tous ses amis du grand banditisme qui auraient été tous prêts à m’assassiner sur son ordre, ce qui avait été démenti en leur nom à tous par Michel Ucciani début juin 2010, et par Cathy Luraghi en personne deux ans plus tard, l’un et l’autre s’accordant à dire le pédophile mythomane, ce que les victimes de ses harcèlements sur les sites Rue89 et Le Post avaient déjà bien toutes remarqué :

http://justinpetitcoucou.unblog.fr/2015/01/25/des-menaces-de-cyprien-luraghi-sur-le-post/

Michel expliquait qu’en 1995 lui et ses amis avaient été dénoncés par une personne de l’entourage de Cathy Luraghi. On se doute bien qu’il s’agissait de son frère Pascal Edouard Cyprien Luraghi, lequel semble avoir toujours été jaloux de sa soeur et a de plus pour habitude d’écrire des « bouquins » délirants sur ses victimes : sa soeur et ses amis pour commencer avec son fameux roman de la série Le Poulpe intitulé « Pour cigogne le glas », moi depuis 2008, mais aussi, derechef, le braqueur de banques amant de sa soeur depuis son décès. Or, ce dernier le haïssait pour ce qu’il avait fait aux filles de sa soeur durant les neuf mois de détention préventive de leur mère après leur arrestation en 1995. Le pédophile et mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi, de surcroît un habitué de la délation comme nous l’avons vu dans le cadre de mon affaire (il me dénonce calomnieusement pour tout et n’importe quoi auprès de diverses autorités depuis 2009), pouvait donc craindre sa sortie de prison pour deux bonnes raisons. Et en pareil cas, comme nous l’avons vu aussi dans le cadre de mon affaire, il n’attend pas les plaintes de ses victimes ni d’en avoir reçu une bonne correction, il prend les devants en attaquant à mort lui le premier. Il pourrait donc très bien avoir commandité le « suicide » de l’amant de sa soeur après sa sortie de prison en 2006, ce qui expliquerait parfaitement sa fixette sur ce suicide et ses causes, dont il tient à publier une version que les vrais amis du suicidé jugent farfelue.

Concernant sa propre biographie, Michel Ucciani a très bien fait de dégainer le premier, coupant ainsi l’herbe sous les pieds du soi-disant « écrivain » et « biographe » des uns et des autres, en réalité un mythomane qui prend son pied à calomnier toutes ses victimes, car c’est ainsi sa propre version, celle du premier intéressé lui-même, qui désormais s’est imposée partout, très certainement pour le plus grand déplaisir du mythomane.

Mais du même coup, il est certain que Pascal Edouard Cyprien Luraghi en veuille beaucoup à Michel Ucciani qu’il n’ose pas attaquer de front ou en personne, car il en a très peur, comme il l’avait dit publiquement en 2010 après sa première intervention dans notre conflit.

Il peut donc très bien, pour s’en venger, avoir décidé de faire assassiner son ami Yvan Colonna qui lui n’était pas libre de ses mouvements mais se trouvait à la merci de ses geôliers comme d’autres détenus, tel celui qui finalement l’a assassiné.

Voilà une première hypothèse qui à mon avis est tout à fait plausible.

Cet assassinat serait aussi, en même temps, une menace très personnelle de Pascal Edouard Cyprien Luraghi à l’encontre de Michel Ucciani.

Mais ces derniers temps, notamment à propos des séparatistes du Donbass, j’ai aussi quelque peu parlé du problème des autonomistes bretons, dont l’un, Erwan Castel, se trouve d’ailleurs aux côtés des russophones du Donbass depuis 2015.

Je l’ai encore évoqué le 7 mars à propos du taux de suicides en Bretagne, un record en Europe :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/03/07/michel-walter-bourreau-moderne/

C’est en fait la question de tous les séparatismes que met en valeur une recherche sérieuse des causes de l’invasion russe de l’Ukraine à compter du 24 février dernier.

Or, j’ai très souvent observé que le choix des cibles des attentats islamistes faisait écho à mes centres d’intérêts les plus récents, habituellement exprimés seulement dans la sphère privée, mais cette fois-ci de manière entièrement publique à propos de ce conflit.

Qui plus est, Yvan Colonna n’était pas seulement Corse, il était aussi Breton par sa mère, originaire de Laz, dans le Finistère.

Je vois donc là une excellente raison d’affirmer que l’assassinat d’Yvan Colonna a bien été commandité par mes harceleurs de la bande du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, comme la quasi totalité des attentats islamistes commis en France ou contre des Français depuis mars 2012.

 

 

https://www.ladepeche.fr/2022/03/21/mort-dyvan-colonna-quatre-questions-sur-la-mort-de-lassassin-du-prefet-erignac-10185463.php

Mort d’Yvan Colonna : quatre questions sur la mort de l’assassin du préfet Erignac

 

  • Yvan Colonna est décédé ce lundi 21 mars au soir des suites de son agression le 2 mars dernier, à la Maison centrale d'Arles où il était incarcéré. Yvan Colonna est décédé ce lundi 21 mars au soir des suites de son agression le 2 mars dernier, à la Maison centrale d'Arles où il était incarcéré.
    Yvan Colonna est décédé ce lundi 21 mars au soir des suites de son agression le 2 mars dernier, à la Maison centrale d’Arles où il était incarcéré. MINISTERE DE L’INTERIEUR – -

Justice, Faits divers, France – Monde

Publié le 21/03/2022 à 22:37 , mis à jour le 22/03/2022 à 10:22

l’essentiel

Yvan Colonna, militant indépendantiste corse reconnu coupable de l’assassinat du préfet Claude Erignac le 6 février 1998, a été agressé le 2 mars dernier par un détenu à la prison d’Arles. Dans le coma depuis, il est décédé ce lundi 21 mars.

Le détenu corse Yvan Colonna, très grièvement blessé par un autre détenu à la prison d’Arles le 2 mars dernier, et qui se trouvait depuis dans le coma, est décédé ce lundi 21 mars à Marseille. Retour en quatre points sur la mort du militant indépendantiste, reconnu coupable de l’assassinat du préfet Erignac.

Comment est-il mort ?

Yvan Colonna a été agressé, mercredi 2 mars, par un détenu condamné pour terrorisme, alors qu’il faisait de la musculation seul. Il a été victime « d’une strangulation à mains nues puis d’un étouffement », comme l’avait indiqué à l’époque le procureur de Tarascon.  »L’agresseur supposé, lui-même détenu, assurait un service d’entretien en qualité d’auxiliaire d’étage au moment des faits. » Dans le coma pendant plusieurs semaines, il est finalement décédé ce lundi.

Qui est son meurtrier présumé ?

Franck Elong Abé, un Camerounais de 36 ans détenu à la prison d’Arles pour des faits de terrorisme, est soupçonné d’être l’agresseur d’Yvan Colonna. Comme le rapporte BFMTV, celui s’est expliqué lors de sa garde à vue. Tout aurait commencé après une discussion avec le détenu corse. Les deux hommes auraient échangé sur la religion dans un local de cuisine de la prison et selon BFMTV l’indépendantiste corse aurait affirmé : « Je crache sur Dieu ».

Frank Elong Abe n’aurait pas supporté ces mots. Il aurait quitté la pièce et expliqué à un autre détenu ne plus vouloir croiser Yvan Colonna, alors même que les deux hommes avaient pour habitude de courir ensemble. « J’ai agi par amour, comme un crime passionnel. Je voulais venger Dieu », a expliqué Frank Elong Abe. « Je n’ai personne d’autre que Dieu dans ma vie. S’en prendre à Dieu, c’est sacré, cracher sur Dieu, c’est renier son caractère sacré », a-t-il confié aux policiers dans des propos rapportés par BFMTV. Il a cependant affirmé que son geste n’avait aucun caractère terroriste.

Quelles suites à cette agression ?

Dès le lendemain de l’agression, Franck Elong Abé a été entendu à Marseille par les enquêteurs de la police judiciaire, en charge de cette enquête pour « tentative d’assassinat », jusqu’à ce que le parquet antiterroriste s’en saisisse et annonce l’ouverture d’une enquête pour « tentative d’assassinat en relation avec une entreprise terroriste ».

Des manifestations de soutien à Yvan Colonna ont eu lieu au fil des semaines en Corse. Des manifestations en marge desquelles des incidents, parfois violents, ont eu lieu. Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin s’est alors rendu sur l’Ile-de-beauté la semaine dernière, qualifiant au passage l’agression du détenu corse de « manifestement terroriste ». Il a également annoncé, à l’occasion de cette visite, « être prêt à aller jusqu’à l’autonomie » de la Corse, avant d’assurer ce lundi sur RTL que « la Corse resterait française »

Que pourrait déclencher la mort d’Yvan Colonna ?

Dès l’agression d’Yvan Colonna, la colère s’est rapidement emparée de la Corse, où était demandé de longue date son rapprochement dans une prison de l’île. Le parti autonomiste du président du conseil exécutif de Corse Gilles Simeoni, Femu a Corsica, avait ensuite accusé l’Etat français de porter « une responsabilité majeure, accablante », dans l’agression.

Rassemblement devant le palais de justice de Bastia après l’annonce du décès d’Yvan Colonna. pic.twitter.com/Ipj9BdlrDU

— Corse-Matin \ud83d\udcf0 (@Corse_Matin) March 21, 2022

Les émeutes pourraient reprendre de plus belle, comme lors des premiers jours qui ont suivi l’agression où de violents affrontements sur le cours Napoléon et place du Diamant à Ajaccio ont eu lieu ; les manifestants scandant également  »Statu francesu assassinu! », « Etat français assassin », pour dénoncer « l’impunité de l’Etat français ». Des mobilisations où la jeunesse corse s’était également mobilisée. Un ferry avait d’ailleurs été empêché par des nationalistes d’accoster en Corse, avec plus de 250 personnes à bord.

A lire aussi : Corse : après une nuit « d’émeutes », les manifestations continuent sur l’île

Le Front de libération nationale corse (FLNC), groupe indépendantiste clandestin, pourrait d’ores et déjà appeler à reprendre les mobilisations. Des appels à manifester ont été lancés pour ce mardi 22 mars.

 

 

https://www.leparisien.fr/faits-divers/tentative-dassassinat-dyvan-colonna-sa-famille-choquee-par-la-diffusion-dimages-de-son-agression-veut-porter-plainte-18-03-2022-7LAWD5236RAYHADSATVSHCCNIQ.php

Tentative d’assassinat d’Yvan Colonna : sa famille «choquée» par la diffusion d’images de son agression, veut porter plainte

 

Plusieurs photos tirées d’une vidéo de la tentative d’assassinat de l’indépendantiste, enregistrée par une caméra de surveillance de la prison, ont été diffusées sur le site de France 3 Corse.

 

La famille d'Yvan Colonna entend porter plainte pour "violation du secret de l'instruction". Pascal POCHARD-CASABIANCA / AFP
La famille d’Yvan Colonna entend porter plainte pour « violation du secret de l’instruction ». Pascal POCHARD-CASABIANCA / AFP
 

Par Le Parisien avec AFP

Le 18 mars 2022 à 14h17

Plus de deux semaines après les faits, la famille d’Yvan Colonna s’est dite « choquée » par la diffusion jeudi soir d’images de son agression en prison sur le service public. Elle entend porter plainte pour « violation du secret de l’instruction », ont déclaré vendredi plusieurs de ses avocats. Dans le détail, dix photos tirées de la vidéo de la tentative d’assassinat enregistrée par une caméra de surveillance de la prison ont été diffusées jeudi soir sur le site de France 3 Corse.

Ces images n’étaient plus disponibles vendredi matin. Sollicité par l’AFP, France Télévisions n’a pas souhaité commenter. « La famille est choquée. Nous avons mandat de déposer plainte pour violation du secret de l’instruction et recel de cette violation auprès de la procureure de Paris », a indiqué Me Sylvain Cormier.



 

Un autre avocat d’Yvan Colonna, Me Emmanuel Mercinier-Pantalacci, a confirmé que la famille était « choquée » et que ce dépôt de plainte se ferait « sans délai ». Yvan Colonna est définitivement condamné depuis 2012 à la réclusion à perpétuité pour l’assassinat du préfet Claude Erignac en 1998.

Toujours entre la vie et la mort

Le 2 mars, à la prison d’Arles, celui qui est par ailleurs militant indépendantiste corse avait été très grièvement blessé par un détenu qui s’était acharné sur lui. Depuis, il se trouve toujours dans le coma entre la vie et la mort, dans un hôpital à Marseille. Une information judiciaire pour « tentative d’assassinat en relation avec une entreprise terroriste » a été ouverte le 6 mars.

La justice a suspendu jeudi la peine d’Yvan Colonna pour « motif médical ». Cette annonce est intervenue au milieu de la visite de Gérald Darmanin en Corse qui a répété, pendant deux jours d’entretiens avec les élus corses, être prêt à mener des discussions pouvant « aller jusqu’à l’autonomie » de l’île.
 

 

https://www.lemonde.fr/politique/article/2022/03/18/interrogations-au-sein-de-france-televisions-apres-la-suppression-d-un-reportage-sur-l-agression-yvan-colonna_6118168_823448.html

Interrogations au sein de France Télévisions après la suppression d’un reportage sur l’agression d’Yvan Colonna

 

Diffusé à la fois sur France 3 Corse et France 3 Marseille, un sujet comportant des images de l’agression du militant nationaliste a été rapidement supprimé de leurs sites Internet.

Par Sandrine Cassini et Jacques Follorou

Publié le 18 mars 2022 à 18h25 – Mis à jour le 19 mars 2022 à 08h31

Autocensure de France Télévisions ou pression inavouée d’un gouvernement soucieux de ramener le calme en Corse ? C’est la question qui se pose au sein du groupe audiovisuel public depuis que la direction a ordonné, jeudi 17 mars, dans la soirée, le retrait de son site Internet de tout lien ou référence à un reportage de la rédaction de France 3 Corse sur l’agression, le 2 mars, d’Yvan Colonna, au sein de la prison d’Arles (Bouches-du-Rhône).Diffusé, jeudi, lors du journal télévisé de 19 heures, à la fois sur France 3 Corse et France 3 Marseille, le sujet, visionné par Le Monde, révèle le déroulé, images figées à l’appui, de l’attaque dont a été victime le militant nationaliste condamné pour l’assassinat, en 1998, du préfet Claude Erignac. D’une durée d’une minute et trente-six secondes, il montre Yvan Colonna entrer dans la salle de sport à 9 h 21. Moins d’une heure plus tard, à 10 h 13, Franck Elong Abé, condamné, en 2015, pour faits de djihadisme, arrive dans le couloir à hauteur de la salle. Chargé de tâches ménagères, en tant qu’auxiliaire, il entre en laissant son balai et son seau à l’extérieur.

Lire aussi Article réservé à nos abonnés Yvan Colonna : révélations sur les circonstances de sa violente agression en prison, une enquête ouverte pour « tentative d’assassinat »

Le nationaliste corse est alors installé, sur le ventre, le buste légèrement redressé, sur un appareil de musculation. Son agresseur referme la porte. Il se retourne et paraît vérifier par l’œilleton si des personnes se trouvent à proximité. Puis, il prend son élan et saute sur le dos de sa victime et commence, les mains encore couvertes de ses gants jaunes de ménage, à étrangler Yvan Colonna. Puis il se saisit d’un sac en plastique pour l’étouffer. L’assaillant quitte la salle à 10 h 22 en croisant un surveillant à qui il indique que le nationaliste corse vient de faire un malaise. Enfin, les images montrent Franck Elong Abé en train de reprendre ses affaires de ménage.

Famille choquée par ces images

Le gardien de prison découvre le prisonnier corse inconscient. Il est 10 h 24, moins de dix minutes après l’irruption de Franck Elong Abé qui est interpellé dans sa cellule et reconnaît avoir commis cet acte pour « venger son dieu ». Les deux enquêtes en cours – l’une, judiciaire, ouverte le 3 mars pour « tentative d’assassinat en relation avec une entreprise terroriste » par le Parquet national antiterroriste, et l’autre, administrative, par l’inspection générale de la justice – permettront sans doute de faire la lumière sur l’ensemble des faits.

Le reportage prend garde de ne pas montrer d’images dégradantes de la victime. Ce scoop de France 3 Corse apporte, de plus, un élément supplémentaire à la dimension préméditée de l’acte et contredit, à certains égards, la version officielle. Devant la commission des lois de l’Assemblée nationale, mercredi 16 mars, le directeur de l’administration pénitentiaire, Laurent Ridel, a assuré que la porte de la salle de musculation où se trouvaient Yvan Colonna et Franck Elong Abé était restée ouverte, ce qui est démenti par les images de surveillance révélées par France 3 Corse.

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https://rmc.bfmtv.com/actualites/police-justice/mort-d-yvan-colonna-il-faisait-son-sport-il-ne-se-melait-de-rien-temoigne-un-ancien-codetenu_AV-202203220153.html

Mort d’Yvan Colonna: « Il faisait son sport, il ne se mêlait de rien » témoigne un ancien codétenu

 

LP
Le 22/03/2022 à 8:39

 

Après la mort d’Yvan Colonna, un ancien codétenu a contacté RMC pour témoigner ce mardi dans « Apolline Matin ». Ismaël assure que le militant indépendantiste corse, condamné à la perpétuité dans l’affaire de l’assassinat du préfet Erignac en 1998, était très discret en prison.

 

« Je suis ému qu’il soit parti parce que c’était quelqu’un de très, très gentil ». Ismaël, qui a été condamné pour vol à main armée, a contacté RMC ce mardi pour témoigner dans « Apolline Matin » après la mort d’Yvan Colonna la veille, agressé il y a trois semaines à la prison d’Arles par Franck Elong Abé, qui purgeait plusieurs peines dont une de neuf ans d’emprisonnement pour « association de malfaiteurs terroriste ». Le militant indépendantiste corse, condamné à la perpétuité dans l’affaire de l’assassinat du préfet Erignac en 1998, était incarcéré à Arles depuis 2012. Ismaël assure l’avoir côtoyé dans cette prison de 2014 à 2016.

Selon cet ancien codétenu, les explications de l’agresseur sur un « blasphème » prononcé par Yvan sont de « grosses conneries ». « Quand j’entends qu’on dit qu’il a blasphémé le prophète, ce n’est pas possible. Il faisait son sport, il ne se mêlait de rien. C’est incompréhensible, confie Ismaël à propos d’Yvan Colonna. J’ai été condamné pour vol à main armée. Je continuais à écrire à Yvan, on s’écrivait. Je ne pouvais pas demander le permis de visite parce que la directrice ne me l’aurait jamais donné. Le dernier échange, c’était il y a deux mois, quand il m’a envoyé les vœux. »

« Le problème de la prison en ce moment, c’est qu’il y a trop de psychiatriques »

Ismaël, qui ne connait pas Franck Elong Abé, estime que ce dernier « aurait dû rester à l’isolement ». « Il pouvait se trouver à la salle avec Yvan, les DPS (détenus particulièrement signalés) sont mélangés. Mais il n’aurait jamais dû s’y retrouver, il aurait dû rester à l’isolement. Le bâtiment où était Yvan, c’était un bâtiment particulier, on y met souvent des psychiatriques. Yvan était confronté à ça. C’est pour ça qu’il demandait le rapprochement en Corse depuis longtemps. Le problème de la prison en ce moment, c’est qu’il y a trop de psychiatriques. Tout est centralisé à Paris. Ils prennent des décisions qui ne correspondent pas à la réalité. Il y a une grosse responsabilité de l’administration centrale. Il y a la mort d’un homme, il faut qu’il y ait des conséquences. » Ismaël va « sûrement » se rendre aux obsèques d’Yvan Colonna.

LP

 

 

https://www.letelegramme.fr/ar/viewarticle1024.php?aaaammjj=20030716&article=6473340&type=ar

Un berger corse aux racines bretonnes

 

Publié le 16 juillet 2003 à 00h00

«Colonna ? Il est caché chez moi». La plaisanterie est à mettre au compte d’un adjoint au maire, agriculteur de son état.

 

��Colonna ? Il est caché chez moi». La plaisanterie est à mettre au compte d’un adjoint au maire, agriculteur de son état. Toutes les polices de France, de Corse et de Bretagne, traquent alors Yvan Colonna. Le juge antiterroriste Gilbert Thiel, qui a entre les mains le dossier de l’ARB, apprend que le tueur présumé du préfet Erignac est Breton par sa mère. Et c’est à Laz, dans le Finistère, où elle est née, que l’on cherche Yvan Colonna. L’insistance de la police et de la gendarmerie est à l’origine de cette petite provocation.

Une grande famille bretonne

A la différence de Polnareff qui a vanté le château de Laz, mais n’y a semble-t-il jamais mis les pieds, Yvan Colonna a bien une partie de ses racines dans cette petite commune de 713 âmes dont la notoriété doit autant à la complainte du chanteur qu’à une boîte de nuit à la réputation sulfureuse. Sa mère, née Cécile Marie-Louise Riou y a vu le jour en 1933. Son papa, Germain Riou et son épouse Jeanne Floc’hlay exploitent une petite ferme au lieu-dit Bigut. Le quartier, pauvre, est connu cependant pour la solidarité de ses habitants. Tout le monde parle évidemment breton. Cécile Riou à une soeur, Monique, qui vit à Paris et un frère, André, adjoint au maire de Guerlesquin (Finistère), adversaire politique acharné de Tilly. Plus au large, les Riou composent une grande famille très estimée à Laz. Parmi celle-ci, un cousin germain de Cécile, Jean-Yves Riou, exploitant agricole. Quelques personnes âgées, au bourg, ont conservé confusément des souvenirs de l’époque.

En vacances chez les grands parents

Cécile Riou épouse en 1957, à Cholet, Jean Hugues Dieudonné Colonna. Ils sont tous deux professeurs de sport. Yvan viendra parfois à Laz, pour des vacances, chez ses grands-parents. «On ne sait pas grand-chose de lui, mais ça m’a étonné son engagement, cela ne semblait pas être son genre, mais comment juger un petit enfant ?», glisse ce parent éloigné. «Il serait venu chez moi me demander l’asile, je lui aurais dit d’aller se rendre», complète-t-il. Il n’a pas vu les Colonna depuis une dizaine d’années. «La dernière fois, toute la famille est venue à Laz pour les obsèques des grands parents. C’était un couple très uni. Ils sont morts à huit jours exactement d’intervalle». Une autre fois, les Colonna se sont manifestés, par écrit, à l’occasion du décès d’une cousine.

Recherches policières

Le juge Gilbert Thiel, en Lorrain têtu, ne renonçait pas à mettre la main sur Colonna. Il n’a pas lésiné sur les moyens pour tenter de le retrouver. Laz constituait une piste improbable, mais sait-on jamais. RG, DNAT l’y ont cherché. «Certains disaient même l’avoir vu près du canal». Laz, qui a compté dans ses rangs un dynamiteur du FLB dans les années 70, n’a tendu qu’une oreille distraite à sa parenté avec Yvan Colonna. «Oui, on savait, sans plus», peut-on entendre à l’heure du café au P’Tit Bar.

 



Déjà deux ouvrages consacrés à François Vérove dit le Grêlé

On y apprend notamment que le pédophile, violeur et tueur en série pourrait avoir fréquenté des boîtes échangistes, puisqu’au moins une fois il a conduit ses deux demi-soeurs dans un établissement de ce type.

Rappelons donc qu’au moment de son suicide le 27 septembre dernier il résidait dans l’Hérault depuis de nombreuses années.

Or, plusieurs de mes harceleurs sont originaires de ce département ou y vivent.

C’est notamment le cas de Jean-Marc Donnadieu de Béziers qui n’a quasiment jamais quitté sa ville natale. Adepte de BDSM, il fréquente assidument les boîtes échangistes de la région et se fait remarquer sur le net comme harceleur de personnes dénonçant la pédophilie ou des réseaux pédophiles, qu’il cherche à faire taire ou condamner par tous les moyens, comme moi-même à compter d’avril 2010.

Jean-Marc Donnadieu a en outre bénéficié de vraies complicités au sein de la Cour d’Appel de Montpellier pour les deux arrêts assez extraordinaires qu’elle a rendus en sa faveur contre mon ancien hébergeur de blog OverBlog en 2011 et 2017, alors que dans les deux cas le TGI de Béziers se conformant strictement aux lois en vigueur en ce pays l’avait préalablement débouté de toutes ses demandes.

Le pédophile et tueur en série François Vérove avait pour sa part réussi à être nommé chef de la brigade des mineurs de Montpellier.

 

 

https://www.rtl.fr/actu/justice-faits-divers/le-grele-qui-etait-reellement-francois-verove-l-ex-gendarme-tueur-en-serie-7900130681

Le Grêlé : qui était réellement François Vérove, l’ex-gendarme tueur en série ?

 

Le tueur au visage grêlé a été identité, après plus de 30 ans de recherches. François Vérove, gendarme à la retraite, a avoué ses atrocités avant de se suicider.

 

Le portrait robot de l'homme surnomé "Le Grêlé"
Le portrait robot de l’homme surnomé « Le Grêlé »
Crédit : Police
L’INTÉGRALE – Le Grêlé : qui était vraiment François Vérove ?
38:56
L’ENQUÊTE – Le Grêlé : qui était vraiment François Vérove ?
14:03

 

Le vendredi 15 novembre 2019, la juge parisienne, Nathalie Turquey, donne mission à la direction générale de la Gendarmerie de lui sortir une longue liste de noms de militaires. Ceux des classes 1950 à 1966, affectés au moins un jour à la Garde Républicaine en 1987.

Il est exigé de fournir la taille, le groupe sanguin des individus, si possible une photo. La juge, aux commandes du dossier du Grêlé depuis cinq ans, sait qu’elle abat ici l’une de ces dernières cartes pour retrouver le tueur en série. Au frère de l’une des premières victimes de ce criminel insaisissable, la petite Cécile Bloch, le 5 mai 1986, elle avait promis qu’elle irait jusqu’au bout.

Mais les analyses demandées n’auront pas besoin d’aller au bout. François Vérove, ancien gendarme de 59 ans, est identifié comme étant le Grêlé. Retrouvé mort dans une résidence située dans le Gard, l’homme a été reconnu grâce à des prélèvements ADN, mettant un terme à une des plus grandes enquêtes criminelles en France. Depuis près de 30 ans, les services de police étaient à la recherche du criminel ayant commis au moins cinq crimes.

Des actes et des victimes similaires

Mais qui était vraiment François Vérove ? Quel était son mode opératoire ? « Il a commencé par une tentative d’homicide sur une petite fille de 8 ans, il a continué le 5 mai 1986 par l’assassinat de Cécile Bloch qui va marquer les esprits. C’est le dossier originel du grêlé », explique Patricia Tourancheau, auteure du livre Le Grêlé, le tueur était un flic aux éditions du Seuil.

En retraçant tout le dossier, Nathalie Turquey, la juge en charge de l’affaire, est notamment tombée sur une agression oubliée lors d’une fête d’adolescents, dans le 11eme arrondissement de la capitale, le 1er avril 1987. Un homme, se présentant comme policier, montrant une carte tricolore portant le mot « Gendarmerie », prétendait être envoyé parce que la musique est trop forte. A la fin de la soirée, après le départ des invités, il avait agressé deux adolescents restés sur place, Cyril et Jennifer. Le premier attaché, la deuxième déshabillée et violée. Il s’était enfuit en volant le portefeuille et la voiture des parents de Cyril.

C’est à partir de cette fête, que le mode opératoire du tueur va changer. « En 1987, le grêlé va changer, il commence à se présenter comme un faux policier, comme à la fête d’ados. Il commet une erreur en indiquant son prénom, François en l’occurrence », ajoute-t-elle au micro de L’heure du Crime.

Aujourd’hui, la journaliste rappelle une nouvelle fois que, malgré la découverte de l’identité du Grêlé, il se pourrait qu’il existe encore d’autres victimes du tueur, encore méconnues. Retrouvez également le podcast RTL Les Voix du Crime, qui revient en longueur sur l’affaire du Grêlé, en compagnie de Maître Corinne Herrmann, spécialiste des « cold case » et des tueurs en série et ‘avocate de la famille de Cécile Bloch.

À écouter

36. Le Grêlé : autopsie d’un tueur en série français (1/2)
32:11

Nos invités

Patricia Tourancheau, journaliste spécialiste de la police, du banditisme, des criminels et des faits divers depuis 35 ans auteure du livre « Le Grêlé, le tueur était un flic » aux éditions du Seuil.

 

 

https://www.leparisien.fr/faits-divers/lenquete-sur-le-grele-a-travers-le-regard-des-policiers-et-de-la-juge-dinstruction-08-03-2022-4YD26X5FNVCJBGNCNKE422FAJY.php

L’enquête sur le Grêlé à travers le regard des policiers et de la juge d’instruction

 

Près de six mois après le suicide de François Vérove, deux ouvrages viennent de sortir sur le tueur en série. Avec des révélations sur l’enquête et le passé de moins en moins lisse de l’ancien gendarme et policier.

 

Deux livres viennent de sortir sur l'un des derniers tueurs en série français. Les enquêteurs travaillent sur 31 faits que François Vérove, dit le Grêlé, pourrait avoir commis entre 1983 et 1994.
Deux livres viennent de sortir sur l’un des derniers tueurs en série français. Les enquêteurs travaillent sur 31 faits que François Vérove, dit le Grêlé, pourrait avoir commis entre 1983 et 1994.

 

Par Denis Courtine

Le 8 mars 2022 à 17h01

 
« La plus grande énigme criminelle française du dernier siècle », selon la journaliste Patricia Tourancheau, est résolue. Mais elle n’a pas encore livré tous ses secrets. C’est le paradoxe de l’affaire du Grêlé, l’un des derniers tueurs en série français, dont l’identité est connue depuis son suicide en septembre dernier au Grau-du-Roi (Gard).

Convoqué par la police judiciaire pour un prélèvement ADN, au même titre que près de 750 anciens gendarmes de région parisienne, François Vérove a préféré se donner la mort en réalisant que son passé de criminel le rattrapait. Près de six mois plus tard, on essaye encore de comprendre comment ce père de famille en apparence si lisse avait pu commettre autant d’atrocités. Et comment il est parvenu pendant près de 35 ans à passer entre les mailles du filet.

Une photo inédite du tueur

Cette dernière question, la journaliste spécialisée dans les grandes affaires criminelles y répond dans le livre « Le Grêlé » qui vient de sortir. Elle brosse les portraits de tous les protagonistes de cette affaire hors norme. Les victimes et leurs proches, les flics, les avocats, les passionnés, les auxiliaires de justice…

Patricia Tourancheau exhume les fausses pistes parfois abracadabrantes de ce labyrinthe criminel. La journaliste est aussi parvenue à mettre la main sur la photo de François Vérove pendant sa période à la Garde républicaine. Une période courte (de 1983 à 1988) mais qui correspond à celle où le tueur ne cesse de frapper.

Coup de chance pour le lecteur, au même moment, les journalistes d’investigation Brendan Kemmet et Stéphane Sellami sortent eux aussi un bouquin sur le même tueur mais avec un angle différent. Cette fois, l’affaire du Grêlé est racontée à travers le prisme de la juge d’instruction à qui l’on doit la résolution de l’énigme : Nathalie Turquey. Une magistrate intransigeante, louée par ses pairs, qui s’est accrochée avec ferveur à la piste de l’ancien gendarme, n’hésitant pas à mener elle-même les auditions. Les deux journalistes révèlent surtout des éléments troublants sur la vie en apparence banale de François Vérove.

Club échangiste avec sa demi-sœur, Bois de Boulogne et alerte à la bombe…

Dans sa jeunesse, il aurait notamment conduit ses deux demi-sœurs, pour les 15 ans de la plus jeune, dans une boîte semble-t-il échangiste de Roubaix (Nord). D’autre part, pour la période Garde républicaine, on en apprend un peu plus sur le problème de mœurs qui avait entaché la carrière du militaire. François Vérove avait été contrôlé en uniforme et armé dans le Bois de Boulogne « alors qu’il n’avait rien à y faire là ». De surcroît, « il aurait été contraint de quitter la Garde pour une fausse alerte à la bombe qu’il aurait lancée, devant sa caserne. » Autre scoop : le coup de poing que le Grêlé, alors motard dans la police, aurait porté à son supérieur pour une histoire dérisoire de planning. D’après un policier cité par nos confrères, François Vérove s’amusait aussi à « mettre des coups de pression » aux automobilistes qui ne démarraient pas assez vite au feu vert.

Les policiers travaillent sur 31 faits susceptibles d’être attribués au Grêlé

Dans les deux livres, les auteurs reviennent aussi en détail sur une des nombreuses agressions dont est suspecté le grêlé. C’est celle de la « boum », le 1er avril 1987 à Paris quand le Garde républicain s’invite à un anniversaire sous prétexte d’une plainte des voisins. Avant de violer une fille de 12 ans et de tenter de commettre des violences sexuelles, François Vérove avait alors commis des imprudences susceptibles de le confondre par la suite. Il avait notamment exhibé sa carte de gendarme et surtout donné son véritable prénom.

« Une erreur de taille qui n’a pas profité à l’enquête, souligne Patricia Tourancheau. Ces détails sont restés dans un dossier de la brigade de protection des mineurs qu’un juge d’instruction a refermé, avant d’être exhumé par la Crim des années plus tard. » Et de citer l’un des policiers : « Je ne veux pas qu’on nous juge au vu de certains éléments des années 1980, comme si c’était maintenant. Il n’y avait pas d’ordinateur, pas de fichier d’empreintes digitales ni génétiques, pas de police scientifique et pas de coordination entre les dossiers ».

Selon Brendan Kemmet et Stéphane Sellami, « d’autres affaires pourraient refaire surface dans les mois et les années à venir, au fil des découvertes sur la vie de l’ancien gendarme. À l’heure où nous écrivons ces lignes, la juge Nathalie Turquey et la brigade criminelle se penchent sur 31 faits, dont 9 homicides ; commis entre 1983 et 1994. Cela ferait de François Vérove l’un des pires tueurs en série français ».

Le Grêlé, de Patricia Tourancheau aux éditions du Seuil. La traque du Grêlé, de Brendan Kemmet et Stéphane Sellami aux éditions Robert Laffont.

 



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