Des tarés sévissent à Brest

Ce n’est pas vraiment nouveau…

Enfin bon, en voilà encore un exemple :

 

http://www.ouest-france.fr/lancer-de-chat-jeu-stupide-saint-martin-2733118

Brest. Ils jettent un chaton contre un mur

Brest – 31 Juillet
  • Le chaton a été pris en charge par le refuge de l'Arche de Noé.
    Le chaton a été pris en charge par le refuge de l’Arche de Noé. | Photo : Laëtitia Cann.

Dimanche, de jeunes Brestois ont été mis en fuite par un passant tandis qu’ils s’amusaient à lancer un chat contre un mur.

 

Il aura fallu l’intervention d’un passant pour que les jeunes idiots qui s’amusaient à jeter un chaton contre un mur disparaissent dans les rues du quartier Saint-Martin.

Le refuge a porté plainte

« Leur jeu n’était autre qu’un acte de violence pur et simple : jeter le chaton contre un mur pour en faire un  »chaton zombie » », écrit Laëtitia Cann, vice-présidente de l’Arche de Noé, sur son site.

L’association, qui a recueilli le petit animal, a aussitôt déposé une plainte. Le chaton, âgé d’environ deux mois, ne souffre pas de séquelles physiques graves, mais l’association a des craintes concernant son état neurologique.

Un Marseillais condamné à de la prison ferme

Il y a quelques mois déjà, un Brestois de 70 ans avait été interpellé par la police et condamné par le tribunal pour des faits similaires.

En début de l’année, c’est un Marseillais de 25 ans qui avait fait les gros titres en mettant en ligne la vidéo de ses exploits. Il avait été condamné à une peine d’un an de prison ferme.

 

Bande de tarés !

 



Dissolution de la LDJ et du NPA : une mesure de salubrité publique

Suite aux « manifestations » violentes de ce mois de juillet 2014, et pour la première fois de son histoire, la dissolution de la LDJ est envisagée par les autorités françaises, alors qu’aux Etats-Unis elle a toujours été classée comme terroriste depuis 2001, et qu’elle est interdite même en Israël.

Evidemment, le NPA n’y est pas favorable : les malades mentaux de ces deux groupes ultra-violents ont besoin les uns des autres pour exister.

Dissolution pour tous !

 

http://www.leparisien.fr/politique/dissolution-possible-de-la-ldj-de-l-enfumage-juge-le-npa-01-08-2014-4040815.php

Dissolution possible de la LDJ : «De l’enfumage», juge le NPA

 

Publié le 01.08.2014, 08h44 | Mise à jour : 10h37

ILLUSTRATION. Le 8 juillet 2009, des manifestants demandent  à Paris la dissolution de la Ligue de défense juive (LDJ).

ILLUSTRATION. Le 8 juillet 2009, des manifestants demandent  à Paris la dissolution de la Ligue de défense juive (LDJ). | (AFP/Boris Horvat.)

 

Alors que le ministère de l’Intérieur pourrait décider la dissolution de la Ligue de défense juive (LDJ), personnalités politiques et autorités religieuses affichent ces derniers jours des positions diverses, pas toujours tranchées.

Le groupe controversé a été récemment accusé de violences en marge des manifestations pro-palestiniennes du 13 juillet à Paris et du 20 juillet à Sarcelles (Val-d’Oise). Il était également présent dans le cortège pro-israélien de jeudi soir, à Paris.

Bernard Cazeneuve a affirmé jeudi que dissolution d’un groupe tel que la LDJ est soumis à des «conditions de droit» : «Si les conditions de droit sont remplies, concernant l’ensemble des groupes qui peuvent poser problème, nous procéderons à des dissolutions. Si elles ne sont pas réunies, nous ne le ferons pas», a déclaré le ministre de l’Intérieur en marge d’une visite de la base de la Sécurité civile de Marignane (Bouches-du-Rhône).

Marine Le Pen (FN) : dissoudre la LDJ si elle «multiplie les actions violentes». «S’il existe une LDJ c’est qu’un grand nombre de juifs se sentent en insécurité. Ils ont le sentiment qu’un nouvel antisémitisme monte en France», a déclaré Marine Le Pen, vendredi, sur RTL. Mais la patronne du FN a estimé que «si la LDJ multiplie les actions violentes, il faut la dissoudre». Jeudi, elle avait dit que «si la LDJ (agissait) de manière violente systématiquement alors elle (rentrait) dans les conditions d’une interdiction».

Goasguen (UMP) : dissoudre le NPA aussi. «Si la LDJ est dissoute, alors il faut dissoudre le NPA (Nouveau parti anticapitaliste, l’un des organisateurs de manifestations pro-palestiniennes, ndlr). Si on dissout l’un, il faut dissoudre l’autre», a déclaré au «Figaro» le député de Paris Claude Goasguen, avant de participer au rassemblement pro-israélien de jeudi soir dans la capitale.

Demarcq (NPA) : «C’est de l’enfumage». «On pense que c’est de l’enfumage», a affirmé vendredi Sandra Demarcq sur France 2. «On combat cette organisation», un groupuscule «d’extrême-droite» qui scande, selon la porte parole du NPA, dans ses manifestations «pas d’arabe, pas d’attentat». Mais «sur la dissolution, on est toujours un peu perplexe», «ça n’empêche pas la reconstitution de ces groupes». «Les membres de la LDJ, il faut les condamner pénalement», a-t-elle poursuivi. L’enjeu du mouvement pro-palestinien, «ce n’est pas la dissolution de la LDJ», «c’est obliger Israël à arrêter ce conflit». Invitée à répondre à l’attaque de Claude Goasguen, Sandra Demarcq a ironisé : «Claude Goasguen nous fait toujours beaucoup rire». Et a dit ne pas être surprise de la sortie de celui qui fut, rappelle-t-elle, membre du mouvement d’extrême-droite Occident.

Le PC demande la dissolution du groupuscule, «menace récurrente» à l’ordre public. Le PCF a appelé jeudi dans un communiqué le ministre de l’Intérieur «à engager une procédure de dissolution de la LDJ, qui constitue une menace récurrente et particulièrement violente à l’ordre public, tant par son recours à la violence physique que par ses propos racistes». «Les débordements dont certaines manifestations récentes de soutien à la Palestine ont été le théâtre ces dernières semaines ont été unanimement condamnés»,a souligné le PCF pour qui «ces événements ont mis en lumière les agissements de groupuscules organisés se présentant comme « pro-israéliens », parmi lesquels la Ligue de Défense Juive (LDJ)». «La LDJ est considérée comme organisation terroriste par de nombreux Etats, que ceux-ci soutiennent ou non la politique étrangère d’Israël, où elle est d’ailleurs elle-même interdite», a ajouté le parti.

Olivier Faure (PS) demande des «éclaircissements» Dans une lettre au ministre de l’Intérieur, datée de mercredi, le porte-parole du PS disait vouloir comprendre pourquoi la LDJ était «autorisée en France», avait rapporté Le Lab jeudiInterrogé par «Libération», il a demandé des «éclaircissements» : «Nous vivons dans un Etat de droit, et nous avons une organisation qui revendique des liens avec une organisation interdite en Israël, où elle est considérée comme raciste, ainsi qu’aux Etats-Unis. Je souhaite avoir des éclaircissements sur ses ramifications. Si l’organisation française se rattache à l’organisation interdite ailleurs, la dissolution est la seule voie possible.»

Dissoudre aussi les groupes qui ont commis des actes antisémites, souhaitent le Crif et l’UEJF. «Je condamne toutes les formes d’extrémisme, notamment les méthodes parfois radicales de la LDJ, mais si le gouvernement la dissout, qu’il dissolve également tous les groupes radicaux qui se sont livrés à des violences antisémites ces derniers jours», a réagi jeudi le président de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF), Sacha Reingewirtz. Et le responsable de l’UEJF de citer le collectif pro-Hamas Cheikh Yassine, le groupe Egalité et Réconciliation, d’Alain Soral, les militants gravitant dans la mouvance du polémiste Dieudonné ou encore la Gaza Firm, «qui défile dans les rues de Paris pour casser du Juif». Une position partagée par Roger Cukierman, président du Crif : «Ce que je souhaite, c’est que si cette organisation devait être interdite, qu’on pense également à interdire ceux qui ont favorisé des exactions antisémites à l’occasion d’autres manifestations». Le fondateur du think tank Avenir du judaïsme, Jean-François Strouf, a de son côté estimé que les dirigeants de la première communauté juive d’Europe (5 à 600.000 membres) devraient clairement «prendre leurs distances avec des éléments extrémistes», tout en se disant «indifférent» au sort de la LDJ, un groupe «marginal».

VIDEO. Roger Cukierman, président du Crif : «Nous n’avons rien de commun avec la Ligue de défense juive»

Dissoudre sans condition, demande le CFCM. Lundi, Abdallah Zekri, président de l’Observatoire contre l’islamophobie et responsable du Conseil français du culte musulman (CFCM), avait demandé la dissolution de la LDJ. «C’est une association extrémiste, raciste et qui pratique la violence. Les organisations qui pratiquent la violence, d’où qu’elles viennent, doivent être dissoutes», avait-il fait valoir. «La LDJ est interdite en Israël et aux Etats-Unis, elle crée pas mal de problèmes, pratique la « ratonnade »… Mais les pouvoirs publics ne la dénoncent pas avec force», avait-il déploré.

VIDEO. Gaza : les Israéliens de Paris évoquent la «légitime défense»

VIDEO. LDJ : certains «groupes» seront dissous «si les conditions de droit sont remplies», selon Cazeneuve

 

LeParisien.fr



Thaïlande : le pays du sourire dans Google Actualités

Un attentat à la voiture piégée devant un hôtel bondé de touristes, ce n’est pas bon pour les affaires…

Le rappel à l’ordre est immédiat dans Google Actualités.

 

http://www.la-croix.com/Actualite/Monde/Thailande-trois-morts-dans-l-explosion-d-une-bombe-dans-le-sud-2014-07-25-1183955

Thaïlande: trois morts dans l’explosion d’une bombe dans le sud

25/7/14 – 12 H 40 – Mis à jour le 25/7/14 – 15 H 10

Des secouristes tentent d'éteindre un incendie après l'explosion d'une bombe à Betong, le 25 juil...

AFP

Des secouristes tentent d’éteindre un incendie après l’explosion d’une bombe à Betong, le 25 juillet 2014

 

 

Trois personnes ont été tuées et plus de trente autres blessées dans l’explosion d’une voiture piégée vendredi devant un hôtel dans l’extrême sud de la Thaïlande secoué depuis dix ans par une insurrection, a annoncé la police.

« Une voiture piégée a explosé devant l’hôtel Holiday Hill » de Betong, dans la province de Yala, vers 16H00 (09H00 GMT), a précisé à l’AFP le lieutenant-colonel Sophon Saisuree, chef adjoint de la police de cette ville à la frontière malaisienne.

Trois personnes sont mortes et 36 ont été blessées, dont trois sont dans un état critique, a-t-il ajouté.

Les images du lieu de l’explosion montraient une épaisse fumée noire au-dessus d’une rue jonchée de débris où des pompiers tentaient d’éteindre un incendie. Des policiers inspectaient les restes de ce qui semblait être le véhicule piégé, presque entièrement détruit.

Plus de 6.100 personnes ont été tuées depuis le début en 2004 de la rébellion séparatiste dans cette région majoritairement musulmane rattachée à la Malaisie jusqu’au début du XXe siècle.

Les insurgés musulmans se rebellent contre ce qu’ils vivent comme une discrimination à l’encontre de la population d’ethnie malaise et de religion musulmane dans un pays essentiellement bouddhiste.

La majorité des victimes de ce conflit complexe, brutal et localisé sont des civils, pris entre l’armée thaïlandaise et une nébuleuse de groupes rebelles mal connue.

Des négociations de paix avaient été entamées en 2013 entre des rebelles, qui réclament un certain degré d’autonomie, et les autorités thaïlandaises, sans pour autant faire diminuer les violences.

Ces discussions ont été largement entravées par la crise politique qui a secoué le royaume pendant des mois, avant le coup d’Etat du général Prayut Chan-O-Cha le 22 mai.

La police a indiqué avoir été placée en état d’alerte en prévision de possibles violences à la fin du mois sacré du ramadan. Mais malgré cette vigilance, les autorités ont reconnu avoir été surprises par l’ampleur de cet attentat.

« Nous ne nous attendions pas à des violences pouvant causer des dommages pareils à Betang », a commenté le colonel Banphot Phunphian, porte-parole du Commandement interne des opérations de sécurité (ISOC), unité de l’armée chargée de la sécurité intérieure.

« Ce sont les trois derniers jours du ramadan, alors le général Prayut nous avait ordonné de surveiller de près la situation » dans le sud, a-t-il indiqué à la presse.

AFP

 

http://www.thailande-fr.com/immobilier/31116-appartements-villegiature-en-bord-mer-en-thailande

Thaïlande : le pays du sourire dans Google Actualités dans Attentats
Appartements de villégiature en bord de mer en Thaïlande

 

Appartements de villégiature en bord de mer en Thaïlande

 

Publié par : Company Vauban 26 juillet 2014 dans Immobilier

Le Royaume de  Thaïlande est une destination aux facettes multiples. Sa culture, la diversité des paysages, le sens de l’hospitalité, ses infrastructures, attirent chaque année un nombre croissant de touristes, 26,5 millions en 2013.

Plus de 60% des touristes se rendent en Thaïlande de manière régulière. De plus en plus songent à y investir pour les vacances, voire pour leur retraite. Ils profiteront de leur bien immobilier pendant leur séjour en Thaïlande et pourront générer des revenus intéressants en le louant en leur absence, de quoi amortir les charges annuelles, s’offrir de belles vacances en Thaïlande et préparer une retraite dorée au soleil.

Les agences Company Vauban, acteur immobilier de référence en Thaïlande, vous présentent une sélection d’appartements dans des résidences de villégiature en bord de mer.

pattaya-northbeach-1Pattaya

Composée de 209 appartements aux intérieurs biens agencés et aux surfaces optimisées, North Beach est une résidence haut de gamme située à 50 mètres de la plage et à 2 minutes du centre-ville de Pattaya.

La résidence se différencie avec son entrée luxueuse, sa piscine et salle de sport sur le toit, ainsi que ses prestations générales de grandes qualités qui vous feront vivre la vie de palace dans l’un des appartements de type 1 ou 2 chambres, allant de 34m² à plus de 120m².

La qualité de son emplacement et de ses finitions permettent à cette résidence de se distinguer tout en proposant des prix attractifs débutant à 102 159€.

Samui

samui-chawengnoi-condo-8ChawengNoi Appartements est une résidence composée de 65 appartements modernes allant du studio, 1 chambre et 2 chambres à partir de 94 432€. Située sur la colline de Chaweng Noi, la résidence offre un accès facile vers le centre de Chaweng.

Cette résidence se distingue par son architecture, la qualité des intérieurs, et ses services de qualité. Une piscine de 30m de long sur le toit permet de se détendre tout en profitant d’une vue panoramique, tout comme du solarium et de la salle de sport.

Le restaurant permet de se restaurer sur place.

Doté d’un service de gestion locative, la résidence offre la possibilité de louer votre bien en votre absence et de s’occuper de la gestion.

Hua Hin

hh-miracle-1La résidence de Hua Hin Seaside Resort vous propose des appartements et villas allant de 29m² à 380m² avec une situation géographique, et un concept unique. Située à 100 mètres de la plage et à 10 minutes du centre-ville, Hua Hin Seaside Resort est construite sur 7 hectares et vous offre les qualités d’une résidence 3.5 étoiles à partir de 47 727€.

Ses infrastructures et services de hautes qualités vous surprendrons avec une plage artificielle, des jardins tropicaux, une piscine et bien d’autres installations.

Phuket

Située sur phuket-rawai-beach-11la côte Est de Phuket, La résidence Rawai Beachfront, construite sur plus de 8000 m², jouit d’un emplacement exceptionnel en front de mer, avec plus de 50 m de plages.

L’accès à la plage permet de profiter du cadre idyllique de Phuket et de se rendre facilement sur les petites îles paradisiaques accessibles en quelques minutes en bateaux.

L’architecture de la résidence permet à plus de 90% des unités de disposer d’une vue soit sur les jardins, piscines, ou mer avec des appartements et villas allant du studio au 2 chambres.

Parmi les services notons 3 grandes piscines, un décor tropical avec jardins et tout ce qui constitue un standard pour les hôtels 4 étoiles (réception, concierge, sécurité, restaurants, etc.), pour un budget à partir de 60 250€.

Gérée par Best Western, une société de gestion hôtelière mondialement connue, la résidence offre à la fois confort de vie pour les résidents qui profiteront des services d’un hôtel 4 étoiles, et une opportunité d’investissement avec des rendements locatifs pouvant atteindre plus de 10%.

Pour plus d’information sur l’une de ces résidences, une sélection perosnnalisée, merci de vous rendre sur le site de Company Vauban : http://www.companyvauban.com/fr ou de contacter l’une de des agences Company Vauban.

Note : cet article a été publié par notre partenaire Company Vauban et ne reflète pas nécessairement la position ou les opinions de thailandefr.

Les plus lus



Thaïlande : attentat à la voiture piégée devant un hôtel dans le sud du pays

Visiblement, le pseudonymé Homere de la bande de Cyprien Luraghi tenait absolument à se rappeler à mon bon souvenir en cliquant comme un fou sur un article de mon blog depuis vendredi soir. Il s’est calmé depuis que j’ai commencé à en parler.

L’actualité de vendredi pour ce qui le concerne, c’est comme toujours l’évolution des procédures qui nous opposent, mais aussi, dans la foulée de l’approbation par le roi de Thaïlande d’une Constitution intérimaire proposée par le chef de la junte au pouvoir depuis le coup d’Etat du 22 mai dernier, un attentat qui a fait au moins trois morts et une quarantaine de blessés dans le sud du pays :

 

http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2014/07/25/thailande-une-bombe-fait-trois-morts-dans-le-sud-du-pays_4462948_3216.html

Thaïlande : une bombe fait trois morts dans le sud du pays

 

Le Monde.fr avec AFP | 25.07.2014 à 14h50

« Une voiture piégée a explosé devant l'hôtel Holiday » de Betong, dans la province de Yala, vers 16 heures (10 heures à Paris).

 

Trois personnes ont été tuées et plus de 30 autres blessées dans l’explosion d’une voiture piégée, vendredi 25 juillet, devant un hôtel dans l’extrême sud de la Thaïlande secoué depuis dix ans par une insurrection.

 

« Une voiture piégée a explosé devant l’hôtel Holiday » de Betong, dans la province de Yala, vers 16 heures (10 heures à Paris), a précisé à l’AFP le lieutenant-colonel Sophon Saisuree, chef adjoint de la police de cette ville à la frontière malaisienne. Trois personnes sont mortes et 36 ont été blessées, dont trois sont dans un état critique, a-t-il ajouté.

« Nous avons été informés qu’il y aurait des violences dans l’extrême sud vers la fin du ramadan. »

RÉBELLION SÉPARATISTE

Plus de 6 100 personnes, en majorité des civils, ont été tuées depuis le début en 2004 de la rébellion séparatiste dans cette région majoritairement musulmane, rattachée à la Malaisie jusqu’au début du XXe siècle.

Les insurgés musulmans, qui s’en prennent aussi bien aux bouddhistes qu’aux musulmans, se rebellent contre ce qu’ils vivent comme une discrimination à l’encontre de la population d’ethnie malaise et de religion musulmane dans un pays essentiellement bouddhiste.

Des négociations de paix avaient été entamées en 2013 entre des rebelles et les autorités thaïlandaises, sans pour autant faire diminuer les violences. Ces discussions avaient d’autre part été largement entravées par la crise politique qui a secoué le royaume pendant des mois, avant le coup d’Etat du 22 mai.

 

http://french.xinhuanet.com/monde/2014-07/26/c_133511536.htm

Thaïlande : explosion d’une voiture piégée, au moins trois morts

 

Publié le 2014-07-26 à 08:25 | french.xinhuanet.com

BANGKOK, 25 juillet (Xinhua) — Au moins trois personnes ont été tuées et une quarantaine d’autres blessées dans l’explosion d’une voiture piégée vendredi dans la province de Yala, au sud de la Thaïlande.

La province de Yala est ravagée depuis longtemps par des violences séparatistes.

L’explosion s’est produite dans le district de Betong aux environs de 16h40 heure locale, a rapporté le journal The Nation citant la police locale.

La police a précisé que la bombe, qui pesait environ 30 kg, était placée dans une voiture garée devant l’hôtel Holiday Hill.

La zone était bondée de touristes et de résidents au moment de l’explosion. Une enquête a été ouverte.

Depuis janvier 2004, des violences séparatistes éclatent dans le sud profond de la Thaïlande composé de trois provinces musulmanes et d’ethnie Malay – Yala, Pattani et Narathiwat – et de quatre districts de Songkhla.

Les chiffres publiés par l’armée thaïlandaise montrent que ces violences ont fait plus de 5.900 morts et 10.600 blessés au cours des dix dernières années.

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Province_de_Yala

Province de Yala

Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Yala (homonymie).
Thaïlande : attentat à la voiture piégée devant un hôtel dans le sud du pays dans Attentats 19px-Thailande-g%C3%A9o
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Yala
ยะลา
Localisation de la province en Thaïlande.
Localisation de la province en Thaïlande.
Administration
Pays Drapeau de Thaïlande Thaïlande
Capitale Yala
Région Sud
Amphoe 8
Tambon 56
Muban 341
Gouverneur Kritsada Bunrat
2009
ISO 3166-2 95
Démographie
Population 476 019 hab. (2000)
Densité 105 hab./km2
Rang 55e
Géographie
Coordonnées 18px-Geographylogo.svg dans Crime6° 32′ 24″ Nord 101° 16′ 52″ Est
Superficie 452 110 ha = 4 521,1 km2
Rang 48e
modifier Consultez la documentation du modèle

 

Yala (en thaï : ยะลา) est une province (changwat) de Thaïlande.

Elle est située dans le sud du pays. Sa capitale est la ville de Yala.

Histoire

Avec les provinces de Narathiwat et de Pattani, Yala faisait autrefois partie du royaume malais de Patani. Le territoire a été annexé par le Siam dans le cadre d’un traité avec les Anglais en 1909. La majorité des habitants est musulmane, d’origine malaise. Depuis 2004 des mouvements séparatistes sont à l’origine de vagues d’attentats. Le gouvernement thaïlandais a engagé en février 2013 des pourparlers avec les rebelles en proposant à ces provinces un statut de région administrative spéciale1.

Subdivisions

220px-Amphoe_Yala dans Politique

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Carte des amphoe de la province de Yala.

Yala est subdivisée en 8 districts (amphoe) : Ces districts sont eux-mêmes subdivisés en 56 sous-districts (tambon) et 341 villages (muban).

Bibliographie

  • Perret, Daniel, Études sur l’histoire du sultanat de Patani, École Française d’Extrême-Orient, 2005

Notes et références

  1. Courrier international, n°1169 du 28 mars au 3 avril 2013, p.32

Annexes

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Conflit_dans_le_Sud_de_la_Tha%C3%AFlande

Conflit dans le Sud de la Thaïlande

Conflit dans le Sud de la Thaïlande
Régions ethniques de la Thaïlande.

Régions ethniques de la Thaïlande.
Informations générales
Date 2 novembre 2004aujourd’hui9 ans, 8 mois et 25 jours
Lieu Province de Pattani
Issue En cours
Belligérants
Drapeau de Thaïlande Thaïlande Flag of Jihad.svg Jemaah Islamiyah
Flag of Jihad.svg Groupe moudjahid islamique Pattani
Flag of Jihad.svg Mouvement moudjahid Pattani
Flag of Jihad.svg Front national révolutionnaire
Flag of Jihad.svg Mouvement moudjahid islamique Pattani
Flag of Jihad.svg Front de libération national Pattani
Flag of Jihad.svg Organisation de libération unie Pattani
Flag of Jihad.svg Runda Kumpulan Kecil
Commandants
Drapeau de Thaïlande Général Anupong Paochinda
Drapeau de Thaïlande Lieutenant-Général Pichet Wisaijorn
Drapeau de Thaïlande Abhisit Vejjajiva
Flag of Jihad.svg Wan Kadir Che Wan
Pertes
155 soldats tués en 20071,2
~ 500 soldats et policiers, 270 paramilitaires (2011)
1 600 tués
~ 1 500 capturés
Notes
plus de 1 200 civils tués
2 729 civils blessés
modifier Consultez la documentation du modèle

 

Le conflit dans le Sud de la Thaïlande est un conflit séparatiste dans la région de Pattani, dans le Sud majoritairement malais et musulman de la Thaïlande, et a commencé en 2004. La pauvreté a été nommée comme une raison du conflit.

Historique

Le sud de la Thaïlande, particulièrement les provinces de Narathiwat, Pattani, Satun, Songkhla et Yala situées près de la frontière malaisienne regroupent l’essentiel des 5% de musulmans que compte le pays. Pour 4/5e d’entre eux, il s’agit des personnes de langue malaise, les autres parlant le thaï3.

Ces régions rurales et pauvres, passées sous l’autorité du royaume du Siam après la signature du traité anglo-siamois le 10 mars 1909, ont subi une politique d’assimilation forcée de la part du gouvernement de Bangkok dans les années 1960. Depuis ces provinces sont agitées par des mouvements rebelles indépendantistes prônant la reconstitution de l’ancien Royaume de Patani3.

Entre 1976 et 1981, deux mouvements indépendantistes : le Pattani United Liberation Organization (PULO) et le Barisan Revolusi Nasional (BRN) prirent une première fois les armes pour faire connaitre leurs revendications, puis ces mouvements se cantonnèrent par suite au simple activisme politique et à l’extorsion de fonds3.

En 2002, le Premier ministre Thaksin Shinawatra déclare qu’il n’y a pas de « séparatisme, de terroristes mais seulement de vulgaires bandits ». En 2004, il revoit sa position et inscrit la lutte contre les insurgés dans le cadre de la guerre contre le terrorisme. La loi martiale est instaurée dans les régions touchées par l’insurrection (Pattani, Yala et Narathiwat). En réponse aux mesures musclées du chef du gouvernement, la minorité musulmane revendiqua de nouveaux droits et réclama notamment le port du Hijab pour les femmes dans les lieux publics, l’ouverture de mosquées et l’expansion des études islamiques dans les écoles publiques3.

Depuis 2004, les quatre provinces les plus au sud de la Thaïlande, proches de la Malaisie, sont victimes d’une guérilla violente menée entre autres par des groupes terroristes islamistes comme le Pattani Islamic Mujahadeen Movement (ou Gerakan Mujahideen Islam Pattani), qui a déclaré la djihad contre les populations bouddhistes qu’elle souhaite chasser du secteur, et la junte militaire thaïlandaise3. Selon des experts, les insurgés seraient liés au Front Moro islamique de libération (Philippines) et au Mouvement pour un Aceh libre (Indonésie).

Le 3 juin 2006, le chef de l’armée Prayuth Chan-ocha déclare que l’insurrection est financée de l’étranger par les narcotrafiquants et les contrebandiers de pétrole.

Après le coup d’État de septembre 2006, l’insurrection n’a fait que s’intensifier. Malgré le déploiement en 2009 de 30 000 militaires des forces armées royales thaïlandaises dans la région, la violence se poursuit.

En juillet 2010, le bilan humain est estimé à 4 100 tués4. Par ailleurs, un rapport d’un centre de l’OTAN sur le terrorisme relève en 2011, selon les sources publiques, un total de 332 actes terroristes en Thaïlande (8e rang mondial) faisant 292 tués, 660 blessés et 16 personnes enlevées5. Le bilan de 2012 du même organisme s’établit à 185 attaques (9e rang mondial), 171 tués et 674 blessés, pas d’enlèvement signalé6.

En septembre 2013, le bilan est estimé à 5 400 tués. Des attaques continuent alors que des négociations sont en cours en Malaisie7.

En mars 2013, les négociations n’ont pas aboutit et le bilan annoncé est alors d’environ 6 000 morts (dont 171 membre du corps enseignant)8.

Notes et références

  1. (en) Roadside bomb kills 7 Thai soldiers – Asia-Pacific – MSNBC.com [archive]
  2. (en) The Long War Journal [archive]
  3. a, b, c, d et e « Le retour des moines guerriers – La question islamiste en terre bouddhiste » par Rémy Valat [archive]
  4. (fr) Le « Djihad » thaïlandais continue de faire des morts [archive], Romain Mielcarek, 2 juillet 2010
  5. (en)[PDF]« 2011 Annual Terrorism Report » [archive], sur Centre of Excellence Defense Against Terrorism,‎ mars 2012 (consulté le 22 mars 2012)
  6. [PDF](en) « 2012 Annual Terrorism Report » [archive], sur Centre of Excellence Defense Against Terrorism,‎ 2013 (consulté le 23 avril 2014)
  7. Arnaud Dubus, « Thaïlande: semaine noire pour le processus de paix entre gouvernement et séparatistes musulmans » [archive], sur RFI,‎ 14 SEPTEMBRE 2013 (consulté le 14 septembre 2013)
  8. « Thaïlande: une enseignante abattue et brûlée dans le Sud insurrectionnel » [archive], sur BFM TV,‎ 14 mars 2014 (consulté le 23 avril 2014)

Annexes

Sources

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Plus de 10000 visites au compteur du Petitcoucou, merci Fuzhou !

Il se produit ce week-end un phénomène assez curieux qui a débuté vendredi en fin de journée et vient, ce dimanche matin, de faire grimper le compteur de visites public de ce blog à plus de 10 000 au total depuis sa création il y a quatre mois et une semaine, c’est-à-dire que ce nombre a quasiment doublé en moins de 48 heures.

Cet afflux soudain de visites concerne un seul et même article, celui-ci, publié le 11 juillet 2014 :

http://petitcoucou.unblog.fr/2014/07/11/affaire-meric-front-de-gauche-et-violation-du-secret-medical/

Par ailleurs, mes statistiques de blog n’en sont pas énormément modifiées.

Certes, les compteurs de visites et hits primaires ont bien fait un bond prodigieux depuis vendredi soir, mais en parallèle, les nombres de visiteurs et visiteurs uniques quotidiens n’augmentent absolument pas.

De plus, le ou les visiteurs en nombre restreint qui s’excitent sur cet article du 11 juillet 2014 proviennent tous de la même localité chinoise, Fuzhou, capitale de la province de Fujian, dans le Sud, au coeur du foyer chinois de la culture du riz.

Cela m’évoque inévitablement les habitudes et le profil très particuliers de celui de mes harceleurs et calomniateurs de la bande de cyberdélinquants du psychopathe Cyprien Luraghi qui répond au pseudonyme de Homere.

Ce Français originaire de l’Hérault réside en Thaïlande où il fait des affaires notamment dans l’hôtellerie et la culture du riz.

Egalement, faisant régulièrement l’apologie du terrorisme d’extrême-gauche dans ses écrits publics, il se revendique bras armé du Nouveau Parti Anticapitaliste en Thaïlande.

Il m’en veut à mort depuis qu’en 2008 j’ai fait connaître à quelques lecteurs du site Rue89 les articles de Ouest France et du Télégramme relatifs aux premières condamnations de l’ancien psychiatre brestois et pédophile Serge Rodallec.

Ce dernier avait disparu de la région brestoise à l’automne 2005, à la suite d’une troisième plainte d’un de ses anciens patients pour viols ou agressions sexuelles.

Il avait été condamné deux fois en première instance en son absence en fin d’année 2007, et ne sera retrouvé qu’en début d’année 2010, en Thaïlande où il s’était exilé et vivait sous un faux nom.

Il a depuis lors vu confirmer ses condamnations de 2007 quatre fois, en première instance en sa présence, et en appel.

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fuzhou

Fuzhou

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Cet article est une ébauche concernant une ville de Chine.
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Fuzhou
福州
Image illustrative de l'article Fuzhou
Administration
Pays Drapeau de la République populaire de Chine Chine
Province Fujian
Statut administratif Ville-préfecture
Code postal Ville : 3500001
Code aéroport FOC
Indicatif 05911
Démographie
Population 7 115 370 hab.
Densité 593 hab./km2
Géographie
Coordonnées 18px-Geographylogo.svg dans Crime26° 04′ 00″ Nord 119° 18′ 00″ Est
Superficie 1 200 000 ha = 12 000 km2
Divers
PIB total 147,6 milliards de yuans (2005)
PIB par habitant 22 301 yuans (2005)
Localisation

Géolocalisation sur la carte : Chine

Voir la carte topographique de Chine

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Fuzhou
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 dans Folie

magnify-clip dans LCR - NPA

Une vue de Fuzhou

Fuzhou (福州 ; pinyin : Fúzhōu ; EFEO : Fou-Tchéou ; Wade-Giles : Fu-chou) est la capitale de la province chinoise du Fujian. La ville-préfecture comptait, lors du recensement de 2010, 7 115 370 habitants dont 4 408 076 habitants urbains, soit 61.95% de la population totale, tandis que la population rurale était de 2 707 294 habitants, soit 38.05%.

Elle se trouve à l’embouchure du Min Jiang, la principale voie navigable de la province. C’est la grande ville chinoise la plus proche de Taipei, elle en est séparée par le détroit de Formose. Depuis que la ville a été ouverte aux investissements étrangers en 1984, de nombreuses entreprises taïwanaises se sont installées.

La ville doit aux influences océaniques et à son climat subtropical une luxuriante végétation. On y parle le dialecte de Fuzhou du min. Paul Claudel y fut consul de 1899 à 1905 et y écrivit une partie de son œuvre.

Économie

En tant que capitale et centre de distribution des marchandises de la province, Fuzhou est une vitrine pour les échanges commerciaux avec Taïwan. Dès l’établissement de la zone d’expérimentation, 830 projets agricoles représentant un investissement de 930 millions de $US de capitaux étrangers ont été mis en valeur.

La culture des légumes à caractère spécial, celle des légumes pour les plats raffinés et celle des légumes écologiques forment les travaux-clés du développement agricole de Fuzhou. La ferme agricole modèle du détroit Hongkuan à Fuqing et le parc agronomique et écologique moderne Sanhua du Fujian se consacrent à cette culture.

À Fuzhou, il y a beaucoup d’entreprises à capitaux taïwanais qui s’installent dans la zone d’expérimentation.

En 2005, le PIB total a été de 147,6 milliards de yuans, et le PIB par habitant de 22 301 yuans2.

Subdivisions administratives

La ville-préfecture de Fuzhou exerce sa juridiction sur treize subdivisions – cinq districts, deux villes-districts et six xian :

  • le district de Gulou – 鼓楼区 Gǔlóu Qū ;
  • le district de Taijiang – 台江区 Táijiāng Qū ;
  • le district de Cangshan – 仓山区 Cāngshān Qū ;
  • le district de Mawei – 马尾区 Mǎwěi Qū ;
  • le district de Jin’an – 晋安区 Jìn’ān Qū ;
  • la ville de Fuqing – 福清市 Fúqīng Shì ;
  • la ville de Changle – 长乐市 Chánglè Shì ;
  • le xian de Minhou – 闽侯县 Mǐnhòu Xiàn ;
  • le xian de Lianjiang – 连江县 Liánjiāng Xiàn ;
  • le xian de Luoyuan – 罗源县 Luóyuán Xiàn ;
  • le xian de Minqing – 闽清县 Mǐnqīng Xiàn ;
  • le xian de Yongtai – 永泰县 Yǒngtài Xiàn ;
  • le xian de Pingtan – 平潭县 Píngtán Xiàn.

Jumelages

Notes et références

  1. a et b (en) Codes postaux et téléphoniques du Fujian [archive], (en) China Zip Code/ Telephone Code, ChinaTravel [archive]
  2. (en) Market Profiles on Chinese Cities and Provinces [archive] (actualisation 11/2006)

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Fuzhou, sur Wikimedia Commons
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Subdivisions de niveau district de la préfecture de Fuzhou

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Subdivisions de niveau préfecture du Fujian



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