Je décline toute responsabilité quant aux mentions qui s'affichent dans les cinq lignes ci-dessus du pavé "Recherchez aussi" sur lequel je n'ai aucun contrôle.
Mes statistiques sont bloquées depuis le 2 février 2015.
7 février 2015
Mes statistiques sont de retour, tout fonctionne.
16 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 12 février.
22 février 2015
Mes statistiques "basiques" ont été débloquées hier soir après la publication de mon dernier article concernant NEMROD34. Belle reprise simultanée de l'activité du Chinois.
23 février 2015
Statistiques "basiques" toujours sujettes à blocages : le 21 février au soir, à peine étaient-elles débloquées, puis à nouveau hier, 22 février, à peine étaient-elles débloquées.
24 février 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Pas de nouveau pic d'activité du Chinois depuis le 21 février.
25 février 2015
Je n'ai pas mes statistiques "basiques" du jour, ça bloque encore... et Justinpetitcoucou est toujours bloqué depuis le 8 février... Faudrait penser à le débloquer, lui aussi, il y a du laisser-aller, là...
26 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blog débloquées. Merci pour Justin, il était temps !
27 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blogs de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt... Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
25 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 20 mars.
26 mars 2015
Merci de m'avoir débloqué mes statistiques "basiques". Encore une fois, je ne vois pas l'intérêt de ce petit jeu. Ce serait aussi bien de cesser de bloquer ces statistiques pour oublier de les débloquer jusqu'à ce que j'aie signalé le problème.
31 mars 2015
Merci de bien vouloir me débloquer les statistiques "basiques" de Justinpetitcoucou, restées bloquées depuis le 14 mars - cf. avis du 25 mars sur Justin.
2 avril 2015
Merci de m'avoir rendu les statistiques de Justin.
7 mai 2015
Je n'ai plus de statistiques depuis deux jours, ni "basiques" ni "avancées".
10 mai 2015
Retour des statistiques "basiques". Merci. Manquent encore les statistiques "avancées".
14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
3 octobre 2015
Depuis hier, les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro. Merci de me les rendre.
Dimanche, de jeunes Brestois ont été mis en fuite par un passant tandis qu’ils s’amusaient à lancer un chat contre un mur.
Il aura fallu l’intervention d’un passant pour que les jeunes idiots qui s’amusaient à jeter un chaton contre un mur disparaissent dans les rues du quartier Saint-Martin.
Le refuge a porté plainte
« Leur jeu n’était autre qu’un acte de violence pur et simple : jeter le chaton contre un mur pour en faire un »chaton zombie » », écrit Laëtitia Cann, vice-présidente de l’Arche de Noé, sur son site.
L’association, qui a recueilli le petit animal, a aussitôt déposé une plainte. Le chaton, âgé d’environ deux mois, ne souffre pas de séquelles physiques graves, mais l’association a des craintes concernant son état neurologique.
Un Marseillais condamné à de la prison ferme
Il y a quelques mois déjà, un Brestois de 70 ans avait été interpellé par la police et condamné par le tribunal pour des faits similaires.
Suite aux « manifestations » violentes de ce mois de juillet 2014, et pour la première fois de son histoire, la dissolution de la LDJ est envisagée par les autorités françaises, alors qu’aux Etats-Unis elle a toujours été classée comme terroriste depuis 2001, et qu’elle est interdite même en Israël.
Evidemment, le NPA n’y est pas favorable : les malades mentaux de ces deux groupes ultra-violents ont besoin les uns des autres pour exister.
Le groupe controversé a été récemment accusé de violences en marge des manifestations pro-palestiniennes du 13 juillet à Paris et du 20 juillet à Sarcelles (Val-d’Oise). Il était également présent dans le cortège pro-israélien de jeudi soir, à Paris.
Bernard Cazeneuve a affirmé jeudi que dissolution d’un groupe tel que la LDJ est soumis à des «conditions de droit» : «Si les conditions de droit sont remplies, concernant l’ensemble des groupes qui peuvent poser problème, nous procéderons à des dissolutions. Si elles ne sont pas réunies, nous ne le ferons pas», a déclaré le ministre de l’Intérieur en marge d’une visite de la base de la Sécurité civile de Marignane (Bouches-du-Rhône).
Marine Le Pen (FN) : dissoudre la LDJ si elle «multiplie les actions violentes». «S’il existe une LDJ c’est qu’un grand nombre de juifs se sentent en insécurité. Ils ont le sentiment qu’un nouvel antisémitisme monte en France», a déclaré Marine Le Pen, vendredi, sur RTL. Mais la patronne du FN a estimé que «si la LDJ multiplie les actions violentes, il faut la dissoudre». Jeudi, elle avait dit que «si la LDJ (agissait) de manière violente systématiquement alors elle (rentrait) dans les conditions d’une interdiction».
Goasguen (UMP) : dissoudre le NPA aussi. «Si la LDJ est dissoute, alors il faut dissoudre le NPA (Nouveau parti anticapitaliste, l’un des organisateurs de manifestations pro-palestiniennes, ndlr). Si on dissout l’un, il faut dissoudre l’autre», a déclaré au «Figaro» le député de Paris Claude Goasguen, avant de participer au rassemblement pro-israélien de jeudi soir dans la capitale.
Demarcq (NPA) : «C’est de l’enfumage». «On pense que c’est de l’enfumage», a affirmé vendredi Sandra Demarcq sur France 2. «On combat cette organisation», un groupuscule «d’extrême-droite» qui scande, selon la porte parole du NPA, dans ses manifestations «pas d’arabe, pas d’attentat». Mais «sur la dissolution, on est toujours un peu perplexe», «ça n’empêche pas la reconstitution de ces groupes». «Les membres de la LDJ, il faut les condamner pénalement», a-t-elle poursuivi. L’enjeu du mouvement pro-palestinien, «ce n’est pas la dissolution de la LDJ», «c’est obliger Israël à arrêter ce conflit». Invitée à répondre à l’attaque de Claude Goasguen, Sandra Demarcq a ironisé : «Claude Goasguen nous fait toujours beaucoup rire». Et a dit ne pas être surprise de la sortie de celui qui fut, rappelle-t-elle, membre du mouvement d’extrême-droite Occident.
Le PC demande la dissolution du groupuscule, «menace récurrente» à l’ordre public. Le PCF a appelé jeudi dans un communiqué le ministre de l’Intérieur «à engager une procédure de dissolution de la LDJ, qui constitue une menace récurrente et particulièrement violente à l’ordre public, tant par son recours à la violence physique que par ses propos racistes». «Les débordements dont certaines manifestations récentes de soutien à la Palestine ont été le théâtre ces dernières semaines ont été unanimement condamnés»,a souligné le PCF pour qui «ces événements ont mis en lumière les agissements de groupuscules organisés se présentant comme « pro-israéliens », parmi lesquels la Ligue de Défense Juive (LDJ)». «La LDJ est considérée comme organisation terroriste par de nombreux Etats, que ceux-ci soutiennent ou non la politique étrangère d’Israël, où elle est d’ailleurs elle-même interdite», a ajouté le parti.
Olivier Faure (PS) demande des «éclaircissements» Dans une lettre au ministre de l’Intérieur, datée de mercredi, le porte-parole du PS disait vouloir comprendre pourquoi la LDJ était «autorisée en France», avait rapporté Le Lab jeudi. Interrogé par «Libération», il a demandé des «éclaircissements» : «Nous vivons dans un Etat de droit, et nous avons une organisation qui revendique des liens avec une organisation interdite en Israël, où elle est considérée comme raciste, ainsi qu’aux Etats-Unis. Je souhaite avoir des éclaircissements sur ses ramifications. Si l’organisation française se rattache à l’organisation interdite ailleurs, la dissolution est la seule voie possible.»
Dissoudre aussi les groupes qui ont commis des actes antisémites, souhaitent le Crif et l’UEJF. «Je condamne toutes les formes d’extrémisme, notamment les méthodes parfois radicales de la LDJ, mais si le gouvernement la dissout, qu’il dissolve également tous les groupes radicaux qui se sont livrés à des violences antisémites ces derniers jours», a réagi jeudi le président de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF), Sacha Reingewirtz. Et le responsable de l’UEJF de citer le collectif pro-Hamas Cheikh Yassine, le groupe Egalité et Réconciliation, d’Alain Soral, les militants gravitant dans la mouvance du polémiste Dieudonné ou encore la Gaza Firm, «qui défile dans les rues de Paris pour casser du Juif». Une position partagée par Roger Cukierman, président du Crif : «Ce que je souhaite, c’est que si cette organisation devait être interdite, qu’on pense également à interdire ceux qui ont favorisé des exactions antisémites à l’occasion d’autres manifestations». Le fondateur du think tank Avenir du judaïsme, Jean-François Strouf, a de son côté estimé que les dirigeants de la première communauté juive d’Europe (5 à 600.000 membres) devraient clairement «prendre leurs distances avec des éléments extrémistes», tout en se disant «indifférent» au sort de la LDJ, un groupe «marginal».
VIDEO. Roger Cukierman, président du Crif : «Nous n’avons rien de commun avec la Ligue de défense juive»
Dissoudre sans condition, demande le CFCM. Lundi, Abdallah Zekri, président de l’Observatoire contre l’islamophobie et responsable du Conseil français du culte musulman (CFCM), avait demandé la dissolution de la LDJ. «C’est une association extrémiste, raciste et qui pratique la violence. Les organisations qui pratiquent la violence, d’où qu’elles viennent, doivent être dissoutes», avait-il fait valoir. «La LDJ est interdite en Israël et aux Etats-Unis, elle crée pas mal de problèmes, pratique la « ratonnade »… Mais les pouvoirs publics ne la dénoncent pas avec force», avait-il déploré.
VIDEO. Gaza : les Israéliens de Paris évoquent la «légitime défense»
VIDEO. LDJ : certains «groupes» seront dissous «si les conditions de droit sont remplies», selon Cazeneuve
Trois personnes ont été tuées et plus de trente autres blessées dans l’explosion d’une voiture piégée vendredi devant un hôtel dans l’extrême sud de la Thaïlande secoué depuis dix ans par une insurrection, a annoncé la police.
« Une voiture piégée a explosé devant l’hôtel Holiday Hill » de Betong, dans la province de Yala, vers 16H00 (09H00 GMT), a précisé à l’AFP le lieutenant-colonel Sophon Saisuree, chef adjoint de la police de cette ville à la frontière malaisienne.
Trois personnes sont mortes et 36 ont été blessées, dont trois sont dans un état critique, a-t-il ajouté.
Les images du lieu de l’explosion montraient une épaisse fumée noire au-dessus d’une rue jonchée de débris où des pompiers tentaient d’éteindre un incendie. Des policiers inspectaient les restes de ce qui semblait être le véhicule piégé, presque entièrement détruit.
Plus de 6.100 personnes ont été tuées depuis le début en 2004 de la rébellion séparatiste dans cette région majoritairement musulmane rattachée à la Malaisie jusqu’au début du XXe siècle.
Les insurgés musulmans se rebellent contre ce qu’ils vivent comme une discrimination à l’encontre de la population d’ethnie malaise et de religion musulmane dans un pays essentiellement bouddhiste.
La majorité des victimes de ce conflit complexe, brutal et localisé sont des civils, pris entre l’armée thaïlandaise et une nébuleuse de groupes rebelles mal connue.
Des négociations de paix avaient été entamées en 2013 entre des rebelles, qui réclament un certain degré d’autonomie, et les autorités thaïlandaises, sans pour autant faire diminuer les violences.
Ces discussions ont été largement entravées par la crise politique qui a secoué le royaume pendant des mois, avant le coup d’Etat du général Prayut Chan-O-Cha le 22 mai.
La police a indiqué avoir été placée en état d’alerte en prévision de possibles violences à la fin du mois sacré du ramadan. Mais malgré cette vigilance, les autorités ont reconnu avoir été surprises par l’ampleur de cet attentat.
« Nous ne nous attendions pas à des violences pouvant causer des dommages pareils à Betang », a commenté le colonel Banphot Phunphian, porte-parole du Commandement interne des opérations de sécurité (ISOC), unité de l’armée chargée de la sécurité intérieure.
« Ce sont les trois derniers jours du ramadan, alors le général Prayut nous avait ordonné de surveiller de près la situation » dans le sud, a-t-il indiqué à la presse.
Le Royaume de Thaïlande est une destination aux facettes multiples. Sa culture, la diversité des paysages, le sens de l’hospitalité, ses infrastructures, attirent chaque année un nombre croissant de touristes, 26,5 millions en 2013.
Plus de 60% des touristes se rendent en Thaïlande de manière régulière. De plus en plus songent à y investir pour les vacances, voire pour leur retraite. Ils profiteront de leur bien immobilier pendant leur séjour en Thaïlande et pourront générer des revenus intéressants en le louant en leur absence, de quoi amortir les charges annuelles, s’offrir de belles vacances en Thaïlande et préparer une retraite dorée au soleil.
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Pour plus d’information sur l’une de ces résidences, une sélection perosnnalisée, merci de vous rendre sur le site de Company Vauban : http://www.companyvauban.com/fr ou de contacter l’une de des agences Company Vauban.
Note : cet article a été publié par notre partenaire Company Vauban et ne reflète pas nécessairement la position ou les opinions de thailandefr.
Visiblement, le pseudonymé Homere de la bande de Cyprien Luraghi tenait absolument à se rappeler à mon bon souvenir en cliquant comme un fou sur un article de mon blog depuis vendredi soir. Il s’est calmé depuis que j’ai commencé à en parler.
L’actualité de vendredi pour ce qui le concerne, c’est comme toujours l’évolution des procédures qui nous opposent, mais aussi, dans la foulée de l’approbation par le roi de Thaïlande d’une Constitution intérimaire proposée par le chef de la junte au pouvoir depuis le coup d’Etat du 22 mai dernier, un attentat qui a fait au moins trois morts et une quarantaine de blessés dans le sud du pays :
Thaïlande : une bombe fait trois morts dans le sud du pays
Le Monde.fr avec AFP | 25.07.2014 à 14h50
Trois personnes ont été tuées et plus de 30 autres blessées dans l’explosion d’une voiture piégée, vendredi 25 juillet, devant un hôtel dans l’extrême sud de la Thaïlande secoué depuis dix ans par une insurrection.
« Une voiture piégée a explosé devant l’hôtel Holiday » de Betong, dans la province de Yala, vers 16 heures (10 heures à Paris), a précisé à l’AFP le lieutenant-colonel Sophon Saisuree, chef adjoint de la police de cette ville à la frontière malaisienne. Trois personnes sont mortes et 36 ont été blessées, dont trois sont dans un état critique, a-t-il ajouté.
« Nous avons été informés qu’il y aurait des violences dans l’extrême sud vers la fin du ramadan. »
RÉBELLION SÉPARATISTE
Plus de 6 100 personnes, en majorité des civils, ont été tuées depuis le début en 2004 de la rébellion séparatiste dans cette région majoritairement musulmane, rattachée à la Malaisie jusqu’au début du XXe siècle.
Les insurgés musulmans, qui s’en prennent aussi bien aux bouddhistes qu’aux musulmans, se rebellent contre ce qu’ils vivent comme une discrimination à l’encontre de la population d’ethnie malaise et de religion musulmane dans un pays essentiellement bouddhiste.
Des négociations de paix avaient été entamées en 2013 entre des rebelles et les autorités thaïlandaises, sans pour autant fairediminuer les violences. Ces discussions avaient d’autre part été largement entravées par la crise politique qui a secoué le royaume pendant des mois, avant le coup d’Etat du 22 mai.
Thaïlande : explosion d’une voiture piégée, au moins trois morts
Publié le 2014-07-26 à 08:25 | french.xinhuanet.com
BANGKOK, 25 juillet (Xinhua) — Au moins trois personnes ont été tuées et une quarantaine d’autres blessées dans l’explosion d’une voiture piégée vendredi dans la province de Yala, au sud de la Thaïlande.
La province de Yala est ravagée depuis longtemps par des violences séparatistes.
L’explosion s’est produite dans le district de Betong aux environs de 16h40 heure locale, a rapporté le journal The Nation citant la police locale.
La police a précisé que la bombe, qui pesait environ 30 kg, était placée dans une voiture garée devant l’hôtel Holiday Hill.
La zone était bondée de touristes et de résidents au moment de l’explosion. Une enquête a été ouverte.
Depuis janvier 2004, des violences séparatistes éclatent dans le sud profond de la Thaïlande composé de trois provinces musulmanes et d’ethnie Malay – Yala, Pattani et Narathiwat – et de quatre districts de Songkhla.
Les chiffres publiés par l’armée thaïlandaise montrent que ces violences ont fait plus de 5.900 morts et 10.600 blessés au cours des dix dernières années.
Avec les provinces de Narathiwat et de Pattani, Yala faisait autrefois partie du royaume malais de Patani. Le territoire a été annexé par le Siam dans le cadre d’un traité avec les Anglais en 1909. La majorité des habitants est musulmane, d’origine malaise. Depuis 2004 des mouvements séparatistes sont à l’origine de vagues d’attentats. Le gouvernement thaïlandais a engagé en février 2013 des pourparlers avec les rebelles en proposant à ces provinces un statut de région administrative spéciale1.
Le conflit dans le Sud de la Thaïlande est un conflit séparatiste dans la région de Pattani, dans le Sud majoritairement malais et musulman de la Thaïlande, et a commencé en 2004. La pauvreté a été nommée comme une raison du conflit.
Ces régions rurales et pauvres, passées sous l’autorité du royaume du Siam après la signature du traité anglo-siamois le 10 mars 1909, ont subi une politique d’assimilation forcée de la part du gouvernement de Bangkok dans les années 1960. Depuis ces provinces sont agitées par des mouvements rebelles indépendantistes prônant la reconstitution de l’ancien Royaume de Patani3.
Entre 1976 et 1981, deux mouvements indépendantistes : le Pattani United Liberation Organization (PULO) et le Barisan Revolusi Nasional (BRN) prirent une première fois les armes pour faire connaitre leurs revendications, puis ces mouvements se cantonnèrent par suite au simple activisme politique et à l’extorsion de fonds3.
En 2002, le Premier ministreThaksin Shinawatra déclare qu’il n’y a pas de « séparatisme, de terroristes mais seulement de vulgaires bandits ». En 2004, il revoit sa position et inscrit la lutte contre les insurgés dans le cadre de la guerre contre le terrorisme. La loi martiale est instaurée dans les régions touchées par l’insurrection (Pattani, Yala et Narathiwat). En réponse aux mesures musclées du chef du gouvernement, la minorité musulmane revendiqua de nouveaux droits et réclama notamment le port du Hijab pour les femmes dans les lieux publics, l’ouverture de mosquées et l’expansion des études islamiques dans les écoles publiques3.
Depuis 2004, les quatre provinces les plus au sud de la Thaïlande, proches de la Malaisie, sont victimes d’une guérilla violente menée entre autres par des groupes terroristes islamistes comme le Pattani Islamic Mujahadeen Movement (ou Gerakan Mujahideen Islam Pattani), qui a déclaré la djihad contre les populations bouddhistes qu’elle souhaite chasser du secteur, et la junte militaire thaïlandaise3. Selon des experts, les insurgés seraient liés au Front Moro islamique de libération (Philippines) et au Mouvement pour un Aceh libre (Indonésie).
Le 3 juin 2006, le chef de l’armée Prayuth Chan-ocha déclare que l’insurrection est financée de l’étranger par les narcotrafiquants et les contrebandiers de pétrole.
En juillet 2010, le bilan humain est estimé à 4 100 tués4. Par ailleurs, un rapport d’un centre de l’OTAN sur le terrorisme relève en 2011, selon les sources publiques, un total de 332 actes terroristes en Thaïlande (8e rang mondial) faisant 292 tués, 660 blessés et 16 personnes enlevées5. Le bilan de 2012 du même organisme s’établit à 185 attaques (9e rang mondial), 171 tués et 674 blessés, pas d’enlèvement signalé6.
En septembre 2013, le bilan est estimé à 5 400 tués. Des attaques continuent alors que des négociations sont en cours en Malaisie7.
En mars 2013, les négociations n’ont pas aboutit et le bilan annoncé est alors d’environ 6 000 morts (dont 171 membre du corps enseignant)8.
Il se produit ce week-end un phénomène assez curieux qui a débuté vendredi en fin de journée et vient, ce dimanche matin, de faire grimper le compteur de visites public de ce blog à plus de 10 000 au total depuis sa création il y a quatre mois et une semaine, c’est-à-dire que ce nombre a quasiment doublé en moins de 48 heures.
Cet afflux soudain de visites concerne un seul et même article, celui-ci, publié le 11 juillet 2014 :
Par ailleurs, mes statistiques de blog n’en sont pas énormément modifiées.
Certes, les compteurs de visites et hits primaires ont bien fait un bond prodigieux depuis vendredi soir, mais en parallèle, les nombres de visiteurs et visiteurs uniques quotidiens n’augmentent absolument pas.
De plus, le ou les visiteurs en nombre restreint qui s’excitent sur cet article du 11 juillet 2014 proviennent tous de la même localité chinoise, Fuzhou, capitale de la province de Fujian, dans le Sud, au coeur du foyer chinois de la culture du riz.
Cela m’évoque inévitablement les habitudes et le profil très particuliers de celui de mes harceleurs et calomniateurs de la bande de cyberdélinquants du psychopathe Cyprien Luraghi qui répond au pseudonyme de Homere.
Ce Français originaire de l’Hérault réside en Thaïlande où il fait des affaires notamment dans l’hôtellerie et la culture du riz.
Egalement, faisant régulièrement l’apologie du terrorisme d’extrême-gauche dans ses écrits publics, il se revendique bras armé du Nouveau Parti Anticapitaliste en Thaïlande.
Il m’en veut à mort depuis qu’en 2008 j’ai fait connaître à quelques lecteurs du site Rue89 les articles de Ouest France et du Télégramme relatifs aux premières condamnations de l’ancien psychiatre brestois et pédophile Serge Rodallec.
Ce dernier avait disparu de la région brestoise à l’automne 2005, à la suite d’une troisième plainte d’un de ses anciens patients pour viols ou agressions sexuelles.
Il avait été condamné deux fois en première instance en son absence en fin d’année 2007, et ne sera retrouvé qu’en début d’année 2010, en Thaïlande où il s’était exilé et vivait sous un faux nom.
Il a depuis lors vu confirmer ses condamnations de 2007 quatre fois, en première instance en sa présence, et en appel.
Fuzhou (福州 ; pinyin : Fúzhōu ; EFEO : Fou-Tchéou ; Wade-Giles : Fu-chou) est la capitale de la province chinoise du Fujian. La ville-préfecture comptait, lors du recensement de 2010, 7 115 370 habitants dont 4 408 076 habitants urbains, soit 61.95% de la population totale, tandis que la population rurale était de 2 707 294 habitants, soit 38.05%.
Elle se trouve à l’embouchure du Min Jiang, la principale voie navigable de la province. C’est la grande ville chinoise la plus proche de Taipei, elle en est séparée par le détroit de Formose. Depuis que la ville a été ouverte aux investissements étrangers en 1984, de nombreuses entreprises taïwanaises se sont installées.
La ville doit aux influences océaniques et à son climat subtropical une luxuriante végétation. On y parle le dialecte de Fuzhou du min. Paul Claudel y fut consul de 1899 à 1905 et y écrivit une partie de son œuvre.
En tant que capitale et centre de distribution des marchandises de la province, Fuzhou est une vitrine pour les échanges commerciaux avec Taïwan. Dès l’établissement de la zone d’expérimentation, 830 projets agricoles représentant un investissement de 930 millions de $US de capitaux étrangers ont été mis en valeur.
La culture des légumes à caractère spécial, celle des légumes pour les plats raffinés et celle des légumes écologiques forment les travaux-clés du développement agricole de Fuzhou. La ferme agricole modèle du détroit Hongkuan à Fuqing et le parc agronomique et écologique moderne Sanhua du Fujian se consacrent à cette culture.
À Fuzhou, il y a beaucoup d’entreprises à capitaux taïwanais qui s’installent dans la zone d’expérimentation.
En 2005, le PIB total a été de 147,6 milliards de yuans, et le PIB par habitant de 22 301 yuans2.