Je décline toute responsabilité quant aux mentions qui s'affichent dans les cinq lignes ci-dessus du pavé "Recherchez aussi" sur lequel je n'ai aucun contrôle.
Mes statistiques sont bloquées depuis le 2 février 2015.
7 février 2015
Mes statistiques sont de retour, tout fonctionne.
16 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 12 février.
22 février 2015
Mes statistiques "basiques" ont été débloquées hier soir après la publication de mon dernier article concernant NEMROD34. Belle reprise simultanée de l'activité du Chinois.
23 février 2015
Statistiques "basiques" toujours sujettes à blocages : le 21 février au soir, à peine étaient-elles débloquées, puis à nouveau hier, 22 février, à peine étaient-elles débloquées.
24 février 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Pas de nouveau pic d'activité du Chinois depuis le 21 février.
25 février 2015
Je n'ai pas mes statistiques "basiques" du jour, ça bloque encore... et Justinpetitcoucou est toujours bloqué depuis le 8 février... Faudrait penser à le débloquer, lui aussi, il y a du laisser-aller, là...
26 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blog débloquées. Merci pour Justin, il était temps !
27 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blogs de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt... Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
25 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 20 mars.
26 mars 2015
Merci de m'avoir débloqué mes statistiques "basiques". Encore une fois, je ne vois pas l'intérêt de ce petit jeu. Ce serait aussi bien de cesser de bloquer ces statistiques pour oublier de les débloquer jusqu'à ce que j'aie signalé le problème.
31 mars 2015
Merci de bien vouloir me débloquer les statistiques "basiques" de Justinpetitcoucou, restées bloquées depuis le 14 mars - cf. avis du 25 mars sur Justin.
2 avril 2015
Merci de m'avoir rendu les statistiques de Justin.
7 mai 2015
Je n'ai plus de statistiques depuis deux jours, ni "basiques" ni "avancées".
10 mai 2015
Retour des statistiques "basiques". Merci. Manquent encore les statistiques "avancées".
14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
3 octobre 2015
Depuis hier, les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro. Merci de me les rendre.
C’est le pédophile et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi qui le dit, dans un tweet du 21 mars dernier dont copie ci-dessous.
Les seuls psychiatres avec qui il a quelques échanges de courriers électroniques sont en effet ceux de l’hôpital psychiatrique de Bohars, du CHU de Brest, spécialement leur grand chef à tous, Michel Walter, avec lequel il dit entretenir une correspondance à mon sujet depuis 2010, comme je l’avais déjà exposé dans de précédents articles (voir liste ci-dessous).
Il lui avait dès le départ donné son propre « diagnostic » me concernant (tout le monde sait qu’il m’a toujours traitée de « paranoïaque », de « folle » ou de « cas lourd psychiatrique » depuis le début de ses harcèlements à mon encontre, en 2008), et le grand psychiatre avait agréé, car il ne contredit jamais les délires psychiatriques et autres de grands pervers tel le cybercriminel, pédophile, harceleur et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi à l’encontre de leurs victimes, vu qu’ils constituent son fonds de commerce.
Ce faisant, Michel Walter a toujours encouragé tous les harcèlements de ce psychopathe à mon encontre.
C’est déjà un scandale en soi, ce psychiatre ayant donc, de fait, toujours été complice de tous les harcèlements de la bande de criminels Luraghi et autres à mon encontre depuis l’année 2010 au moins, et ce serait encore beaucoup plus grave si de plus j’avais été atteinte d’une quelconque maladie mentale, une telle vulnérabilité de la victime constituant toujours une circonstance aggravante pour tous les crimes et délits commis à son encontre, et à plus forte raison quand le coupable est lui-même psychiatre.
Ceci étant, c’est donc bien de Michel Walter ou d’un de ses subalternes et de moi-même qu’il est question dans ce tweet du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi du 21 mars dernier.
Le fait est que ce dernier a encore tenté de me faire interner ces derniers mois, et qu’il n’y est pas davantage parvenu que toutes les autres fois.
Or, d’après ce qu’il dit dans le tweet, pour justifier ce nouvel échec, un des psychiatres lui aurait donc expliqué qu’ils redouteraient les paranoïaques… en l’occurrence, moi.
Est-ce bien certain ?
A mon humble avis, sachant que je n’ai rien d’une paranoïaque, ils craignent plutôt un scandale de plus pour leur établissement qui aurait depuis longtemps subi une fermeture administrative s’il s’agissait d’un restaurant ou d’un débit de boissons.
Articles dans lesquels Michel Walter est déjà cité :
Il n’en démord pas, hein…. il hait toujours autant la liberté d’expression…
Il attendait que tout le monde lui donne raison : ah oui, la liberté d’expression, c’est mal, il faut la supprimer à tous les anonymes, obscurs salariés, chômeurs, précaires, etc… comme le prônait déjà sa complice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest en 2005, sans pouvoir arrêter le progrès et la démocratisation de l’accès à Internet – ce fut en effet un de nos nombreux sujets de discorde au sein de l’association AC ! Brest, où elle s’opposait très violemment à l’accès à Internet pour les chômeurs, précaires et exclus.
Mais il obtint l’effet inverse : tout le monde était devenu Charlie…
C’est l’un des thèmes récurrents de mes articles de blog depuis mars 2012, j’ai maintes fois expliqué de manière détaillée comment et pourquoi tous les attentats islamistes qui ont été commis en France ou contre des Français depuis 2012 ont bien tous été organisés par le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi et sa bande de criminels, dont un grand nombre de militants de l’extrême-gauche, la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest en tête.
Je viens encore d’en parler à propos de l’assassinat d’Yvan Colonna dans cet article publié il y a trois jours :
Notons que ce crime a été ajouté à la liste Wikipédia des attentats islamistes commis en France (voir ci-dessous), quoique l’auteur des faits se défende que son acte fût terroriste, mais il est bien traité comme tel par les autorités.
C’est le premier de cette année 2022, après une année 2021 particulièrement calme en comparaison des précédentes, puisqu’un seul fait, en date du 23 avril 2021, l’assassinat d’une fonctionnaire de police au commissariat de Rambouillet, y est inscrit, quoique la France fût particulièrement menacée à compter du mois de juillet dernier. Bien sûr, il y a toujours des projets d’attentats qui ne peuvent aboutir, et parfois des agressions qui ne reçoivent pas la qualification adéquate de terroriste, outre que les attentats commis contre des Français à l’étranger ne figurent pas dans cette liste, mais ce ne sont pas les seules explications à ce calme plat d’autant plus surprenant que la France était à nouveau particulièrement menacée depuis le mois de juillet.
Pourquoi donc ce regain de menaces dont le ministère de l’Intérieur nous avait avertis au cours de l’été dernier ? Et comment se fait-il qu’elles ne fussent jamais suivies d’aucun nouvel acte terroriste ?
Eh bien, c’est très simple : des procédures très menaçantes à mon égard existaient encore et avançaient bien, pour le plus grand plaisir du cybercriminel, pédophile, harceleur et calomniateur notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui comme d’habitude en était le commanditaire, y était étroitement asssocié, et en informait avec joie tout le cercle des pourritures qui le suivent.
Or, j’en ai stoppé toutes les avancées l’une après l’autre jusqu’au mois d’octobre dernier, si bien qu’il ne se passe plus rien depuis lors, sauf, peut-être, actuellement, les débuts d’une toute nouvelle procédure dont je ne suis pas encore informée.
Je l’avais déjà mentionné dans cet article du 2 mars dernier :
Voilà donc pourquoi nous n’avons finalement pas eu de nouveaux attentats sur le sol français depuis près d’un an : les terroristes « islamistes » Pascal Edouard Cyprien Luraghi et consorts, dont les espoirs de nouvelles saloperies à mon encontre étaient tous douchés les uns après les autres, n’avaient plus grand-chose à fêter.
En outre, au mois de novembre 2020, j’avais détaillé à l’attention de certains magistrats les mécanismes des attentats islamistes qu’ils organisaient depuis 2012. Or, l’on ne peut aujourd’hui que constater une retombée spectaculaire de la fête islamiste précisément à ce moment-là. Ces explications de ma part ont donc eu un rôle dissuasif majeur, ce qui était bien évidemment l’un des buts que je poursuivais.
Que se passait-il donc auparavant ?
Les attentats des années 2012 à 2015 sont tous liés à la procédure brestoise de Josette Brenterch à mon encontre.
Les attentats des années 2016 à 2018 sont tous liés à la procédure parisienne de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre, qu’en fait elle dirigeait elle-même, comme ont pu le constater tout comme moi les tiers qui m’avaient accompagnée à Paris pour les audiences de septembre et novembre 2016.
En juin 2013, Josette Brenterch avait obtenu à la virgule près tout ce qu’elle avait demandé à ses complices magistrats ultra corrompus du TGI de Brest, mais elle a perdu en appel à Rennes le 2 décembre 2015.
Son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi n’a jamais rien gagné à Paris, alors que je m’étais défendue seule en première instance.
Après sa première défaite du 5 janvier 2017, il n’y a quasiment plus que des attaques de militaires et de policiers et la fréquence des attentats diminue très nettement après sa seconde défaite, du 11 avril 2018 devant la Cour d’Appel de Paris, où toute sa procédure a été carrément annulée comme celle de sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest le 2 décembre 2015.
Au cours de l’année 2019, il tente de relancer la machine en faisant publier par des journalistes qu’il a achetés de faux témoignages contre moi, notamment sur les sites 20minutes.fr et Midi Libre. Il s’inscrit sur Twitter avec les mêmes objectifs et finit par convaincre en fin d’année un de mes anciens avocats de se lancer lui aussi, en son nom propre, dans des procédures complètement délirantes à mon encontre, en conséquence de quoi on observe une belle reprise des attentats en 2020.
Tous les attentats commis depuis 2020 sont donc liés aux saloperies de cet avocat à mon encontre.
Pour l’heure, il n’a gagné aucune de ses procédures abusives contre moi. Il en a déjà perdu deux de manière définitive, et les autres sont bloquées depuis le mois d’octobre dernier.
Après la diffusion d’une vidéo de menaces visant la France, le cabinet de Gérald Darmanin appelle les préfets à « des mesures de vigilance propres à la menace terroriste pour les mois de juillet et d’août ». Le parquet national antiterroriste a, de son côté, décidé d’ouvrir une enquête préliminaire sur ces images.
Le directeur de cabinet du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a envoyé, mercredi, une note aux préfets, afin de les prévenir d’une menace terroriste accrue « dans le cadre de la reprise partielle des activités économiques et culturelles au cours des deux mois d’été« . Dans ce document que France Inter a pu consulter, et dont l’existence a été révélée ce vendredi matin par Europe1, le ministère appelle à veiller tout particulièrement à la menace « endogène », autrement dit, au risque d’attaques perpétrées à leur initiative par des personnes résidant en France, sans assistance d’organes étrangers.
Enquête ouverte
Cet appel à une vigilance accrue fait suite à la diffusion sur Internet, le 15 juillet, d’une vidéo mise en ligne par un organe de propagande du groupe terroriste Al-Qaïda. Ce film d’une quarantaine de minutes, dont le ministère de l’Intérieur souligne « le potentiel de diffusion important », cite très régulièrement la France et la diffusion des caricatures de Mahomet par Charlie Hebdo. Le pays y est présenté comme menant une guerre contre l’Islam, dans la continuité des Croisades.
Le parquet national anti-terroriste a décidé d’ouvrir une enquête préliminaire au sujet de ces images, pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » et »provocation a des actes de terrorisme par un service de communication au public en ligne ».
Des cibles désignées
Emmanuel Macron y apparaît à de nombreuses reprises, que ce soit via des extraits de son discours du 2 octobre 2020 aux Mureaux « sur la lutte contre les séparatismes », ou lors de la réception de chefs d’État du monde arabe présentés comme des traîtres à la cause islamiste. Gérald Darmanin est également cité à plusieurs endroits, notamment lors d’une interview dans laquelle il s’exprime sur la fermeture de mosquées jugées radicalisées.
Les vidéos de l’attaque de Charlie Hebdo, présentée par les auteurs de la vidéo comme « bénie » y sont également montrées plusieurs fois. Des images du palais de justice de Paris sont, quant à elle, accompagnées de commentaires faisant état d’un « simulacre de procès » des attentats de janvier 2015. Trois attentats avaient frappé la France peu après l’ouverture de ce procès, en septembre 2020, comme le rappelle le cabinet du ministre de l’Intérieur dans sa note aux préfets, insistant sur le fait que le procès des attentats du 13-Novembre qui doit s’ouvrir le 8 septembre 2021 sera également « à fort retentissement médiatique ».
Le ministère appelle donc à veiller à cette menace « endogène et exogène » via les réunions hebdomadaires en préfecture des groupe d’évaluation départementaux (GED) et de cellules de prévention de la radicalisation et d’accompagnement des familles (Cpraf), et à sécuriser les rassemblements par les mesures correspondant au niveau Vigipirate « sécurité renforcée risque attentat ».
Le ministre de l’Intérieur alerte sur la menace d’attentat endogène, « avec quelqu’un qui prend un couteau, entre n’importe où et commet un attentat au nom d’une religion ».
« Nous vivons dans un monde extrêmement troublé. » Invité ce mercredi matin sur RTL, le ministre de l’Intérieur est revenu sur la menace terroriste qui pèse sur la France, alors que le procès des attentats du 13 novembre 2015 a débuté depuis une semaine.
« La France est très menacée, tous les Français le sont. Mais nous sommes aujourd’hui sans doute assez prémunis contre des attentats de type 13-Novembre, c’est-à-dire organisés de l’étranger, même si tout peut arriver. En revanche, il y a des menaces endogènes, avec quelqu’un qui prend un couteau, entre n’importe où et commet un attentat au nom d’une religion », a détaillé Gérald Darmanin.
Soucieux de souligner le travail fourni par les autorités pour lutter contre la menace terroriste, le ministre a rappelé que 36 attentats islamistes ont été déjoués depuis 2017, « et quelques-uns cette année ».
Niveau de sécurité renforcé
Gérald Darmanin a également fait part d’une autre mouvance menaçant la sécurité des Français, celle des survivalistes.
« Des gens qui pensent que la fin du monde approche et donc, qu’il faut l’accélérer. Nous avons déjà déjoué des attentats de ces gens qui allaient passer à l’acte », a déclaré le ministre qui constate que le pays se trouve dans « une période très particulière ».
Début septembre, Gérald Darmanin a demandé aux responsables de la sécurité du territoire « un haut niveau de vigilance », particulièrement autour des lieux classés sensibles, pendant le procès des attentats du 13 novembre 2015 qui doit s’étendre sur neuf mois. Il requiert une « vigilance collective (…) totale tant à l’égard de la menace (terroriste) endogène qu’exogène » tout en rappelant que l’an dernier, le procès des attentats de janvier 2015 avaient été l’occasion d’une « succession d’attaques sur le territoire national » (contre les anciens locaux de Charlie Hebdo, assassinat de Samuel Paty mi-octobre).
Si vous disposez d’ouvrages ou d’articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l’article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références »
Cette page recense les attentats islamistes perpétrés en France, manifestations du terrorisme islamiste en France. On distingue trois grandes vagues d’attentats : une première entre 1985 et 1986, une seconde entre 1994 et 1996, et une troisième depuis 2012 qui a causé 271 morts et dont la dernière attaque est l’attaque au couteau dans un commissariat à Rambouillet le 23 avril 20211. Un certain nombre de ces attaques visent des représentants des forces armées françaises (militaires et policiers), ainsi que des membres de la communauté juive ou chrétienne. Les attaques contre des personnalités sont quant à elles une minorité.
La France est, selon une étude internationale publiée en juin 20172, le pays le plus touché par les attentats islamistes commis en Europe et en Amérique du Nord depuis la proclamation du « califat » de l’État islamique, le 29juin20143.
Le 11 août 1982, attaque à la voiture piégée devant l’ambassade d’Irak à Paris revendiqué par le Mouvement de l’Action Islamique d’Irak : cinq blessés.5
1984
Le 7 juillet 1984, assassinat du général Gholam Ali Oveissi à Paris, revendiqué par l’Organisation du Jihad islamique : deux morts. 6
1985
7 décembre 1985 : 43 personnes sont blessées aux galeries Lafayette et au Printemps Haussmann à Paris
1986
Entre fin décembre 1985 et septembre 1986, quatorze attaques à la bombe sont perpétrées à Paris et sur la ligne ferroviaire Paris-Lyon, au cours desquelles treize personnes perdent la vie et plus de 300 autres sont blessées. Ces attentats sont organisés par le Comité de solidarité avec les prisonniers politiques arabes et du Proche-Orient mené par Fouad Ali Saleh, terroriste du Hezbollah. Voici la liste exhaustive des attaques, ainsi que leur bilan7 :
3 février 1986 : huit personnes sont blessées dans la galerie marchande de l’Hôtel Claridge, rue des Champs-Élysées à Paris
3 février 1986 : un engin explosif est découvert dans les toilettes du 3e étage de la Tour Eiffel à Paris mais n’explose pas
4 février 1986 : cinq personnes sont blessées dans la librairie Gibert Jeune à Paris
5 février 1986 : vingt-deux personnes sont blessées dans le magasin FNAC du Forum des Halles à Paris
17 mars 1986 : neuf personnes sont blessées lors d’une attaque contre un train sur la ligne ferroviaire Paris-Lyon
17 mars 1986 : un engin explosif est découvert sur le quai du RER à Gare de Lyon à Paris mais n’explose pas
20 mars 1986 : un engin explosif est découvert à la station de RER de Châtelet à Paris mais n’explose pas
20 mars 1986 : deux personnes sont tuées et 29 autres blessées dans la librairie Gibert Jeune à Paris
8 septembre 1986 : une personne est tuée et 21 autres blessées dans le bureau de poste de l’hôtel de Ville de Paris
12 septembre 1986 : 54 personnes sont blessées à la Cafétéria Casino du centre commercial de la Défense
14 septembre 1986 : trois personnes sont tuées et une autre blessée au Pub Renault à Paris
15 septembre 1986 : une personne est tuée et 56 autres blessées au service des permis de conduire de la préfecture de police de Paris
17 septembre 1986 : sept personnes sont tuées et 55 autres blessées lors de l’Attentat de la rue de Rennes à Paris
Années 1990
Entre décembre 1994 et décembre 1996, le Groupe islamique armé va perpétrer onze attaques sur le sol français, au cours desquelles douze personnes perdent la vie et plus de 300 autres sont blessées.
1991
Le 6 août 1991, assassinat de Chapour Bakhtiar et de son secrétaire à Suresnes.
1994
24-26 décembre 1994 : Abdul Abdallah Yahia, Mustafa Chekienne, Makhlouf Benguetaff et Salim Layadila organisent la prise d’otages du vol Air France 8969 qui se solde par un assaut du GIGN au cours duquel seize otages sont blessés
15 mars : Mohammed Merah assassine deux militaires et en blesse un autre à Montauban
19 mars : Mohammed Merah assassine quatre personnes devant une école juive de Toulouse. Il est abattu le 22 mars par le RAID.
19 septembre 2012 : Jérémie Louis Sidney et Jérémie Bailly, membres de la cellule Cannes-Torcy, blessent une personne en lançant une grenade dans un épicerie juive de Sarcelles
2013
Le 25 mai 2013, un extrémiste islamiste armé d’un couteau attaque et blesse un militaire français dans l’attentat de 2013 à La Défense9.
Le 21 décembre 2014, attaque de Dijon. Un homme souffrant de troubles psychiatrique fait une attaque à la voiture-bélier, criant selon les témoins « Allahu akbar »13. Treize personnes sont blessées, dont 2 grièvement14. Le procureur de Dijon exclut l’acte terroriste15, mais plusieurs observateurs, comme The Times16, le Financial Times17, The Globe and Mail18 et l’universitaire David C. Rapoport19, considèrent qu’il s’agit d’une attaque islamiste.
Le 22 décembre 2014, attaque de Nantes. Sébastien Sarron, souffrant de troubles psychiatrique, fait une attaque à la voiture-bélier, criant selon les témoins « Allahu akbar »20. Neuf personnes sont blessées et un homme meurt21. Le procureur de Nantes exclut l’acte terroriste (ce que pense également le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve)22, mais plusieurs observateurs, comme le Financial Times17, The Globe and Mail18 et l’universitaire David C. Rapoport19, considèrent qu’il s’agit d’une attaque islamiste.
Le 3 février 2015, trois militaires en faction devant un centre communautaire juif à Nicesont agressés au couteau par Moussa Coulibaly23, demeurant à Mantes-la-Jolie (Yvelines). Il exprime en garde à vue sa haine de la France, de la police, des militaires et des Juifs.
Le 19 avril 2015, affaire Sid Ahmed Ghlam. Une femme de 32 ans (Aurélie Châtelain) est assassinée par un étudiant algérien de 24 ans qui prévoyait un attentat dans une église de Villejuif, le projet de ce dernier ayant été déjoué peu de temps après24.
Le 26 juin 2015, attentat de Saint-Quentin-Fallavier en Isère, 1 mort décapité (Hervé Cornara, 55 ans) et 2 blessés25. Brandissant un drapeau islamiste, un homme conduit son véhicule contre des bonbonnes de gaz stockées dans la cour de la filiale française du groupe américain Air Products.
Le 21 août 2015, attentat du train Thalys sur la ligne reliant Amsterdam à Paris, mené par un ressortissant marocain Ayoub El Khazzani, proche de l’islamisme radical et déjoué par plusieurs passagers, on compte 3 blessés26.
Le 13 novembre 2015, une série de sept attaques, à Paris et en Seine-Saint-Denis, perpétrée par au moins dix terroristes avec au moins une vingtaine de complices, provoque la mort de 131 personnes et fait 413 blessés, dont 99 dans un état très grave. Les tueries sont revendiquées par l’État islamique.
2016
Le 7 janvier 2016, un islamiste marocain portant une fausse ceinture explosif attaque des policiers à l’aide d’un couperet à viande ; il est abattu. Il s’agit d’un ressortissant marocain né en 1995 à Casablanca, mis en cause pour vol en 201327.
Le 11 janvier 2016, un adolescent turc âgé de 15 ans agresse à la machette un enseignant juif portant une kippa. Le blessé28 parvient à se défendre en parant les coups avec un exemplaire de la Torah. L’auteur dit avoir agi « au nom d’Allah » et de l’organisation État islamique. En mars 2017, l’agresseur est condamné à sept ans de prison et cinq ans de suivi socio-judiciaire dans ce qui est le premier procès terroriste criminel devant le tribunal pour enfants de Paris29.
Le 26 juillet 2016, lors d’une messe, deux islamistes munis d’armes blanches prennent en otage plusieurs personnes dans l’église de Saint-Étienne-du-Rouvray, près de Rouen. Le curé de la paroisse, le Père Hamel, est égorgé, et un paroissien est blessé. Les deux terroristes sont abattus par les forces de l’ordre, l’un d’eux, Adel Kermiche, était fiché S. Selon le Président de la République, « les deux terroristes se réclament de Daesh »33,34. L’attentat est revendiqué via Amaq, l’agence de presse de l’État islamique35.
Le 4 septembre 2016, Bilal Taghi, détenu franco-marocain, purgeant une peine de cinq ans de prison pour avoir tenté d’aller faire le jihad en Syrie, blesse grièvement 2 surveillants, aidé par plusieurs complices36.
Le 18mars2017, un homme s’empare de l’arme d’une militaire à Orly avant d’être abattu. Même s’il a affirmé au moment de son geste vouloir « mourir par Allah »38 et a été signalé pour « radicalisation » lors d’un séjour en prison en 2011-2012, ses motivations restent floues (il ne souhaitait plus retourner en prison) et le lien avec le terrorisme islamiste non démontré39.
Le 20avril2017, un homme ouvre le feu à l’arme automatique sur des policiers le long de l’avenue des Champs-Élysées, vers 21 heures, L’un d’entre eux est tué pendant l’attaque, deux autres ainsi qu’une passante sont blessés. L’assaillant est abattu et l’État islamique revendique l’attaque dans la soirée40,41.
Le 6juin2017, un homme attaque avec un marteau un policier et le blesse légèrement devant la cathédrale Notre-Dame de Paris. Les policiers répliquent et le blessent. L’assaillant, Farid Ikken, un Algérien de quarante ans, ancien journaliste disposant d’un visa étudiant, se déclare « soldat du califat »42.
Le 15septembre2017, un homme armé d’un couteau attaque un militaire en patrouille à la station de métro Châtelet à Paris. L’auteur tient des propos faisant référence à Allah : « Allah akbar, vous êtes des mécréants »46.
Le 1eroctobre2017, un Tunisien en situation irrégulière connu pour différents crimes égorge deux jeunes femmes dans la gare Saint-Charles à Marseille avant d’être abattu par les des militaires de l’opération Sentinelle. L’attaque est revendiquée par l’État islamique47,48.
2018
Le 11janvier2018, un détenu au passé terroriste, attaque au couteau des surveillants, faisant quatre blessés, à la prison de Vendin-le-Vieil.
Le 12mai2018 à Paris, vers 21 h un individu attaque à l’arme blanche des passants en criant « Allah Akbar », il tue une personne, en blesse quatre autres dont deux gravement50, il se dirige ensuite vers une patrouille de police qui décide de l’abattre. L’attaque est revendiquée par l’État islamique51.
Le 3 janvier 2020, dans le parc des Hautes-Bruyères à Villejuif, un jeune homme de 22 ans, attaque à l’arme blanche des passants, en répétant « Allah Akbar », tuant un homme et blessant gravement deux femmes. L’individu sera par la suite neutralisé par une patrouille de policiers. Le jeune homme récemment converti à l’islam58 a perpétré cette attaque d’une « extrême violence » avec une « extrême détermination », selon les déclarations du Parquet national antiterroriste qui s’est saisit de l’affaire.
Le 5janvier2020, un individu connu de la DGSI et fiché S, armé d’un couteau et criant « Allah Akbar », est interpellé à Metz après avoir tenté d’agresser des policiers59. La section antiterroriste ne s’est pas saisie de l’enquête.
Le lundi 27 avril 2020, en fin d’après-midi à Colombes (Hauts-de-Seine), le conducteur d’une voiture a percuté volontairement deux motards de la police à vive allure, les blessant gravement. L’auteur a fait allégeance à l’État islamique.
Le vendredi 25 septembre 2020, deux personnes sont grièvement blessées à l’arme blanche près des anciens locaux du journal Charlie Hebdo. Le Parquet national antiterroriste a ouvert une enquête pour « tentative d’assassinat en relation avec une entreprise terroriste, association de malfaiteurs terroriste criminelle ». Selon l’AFP citant des sources concordantes, l’assaillant de nationalité pakistanaise assurait « assumer son acte qu’il situe dans le contexte de la republication des caricatures (de Charlie Hebdo, ndlr) qu’il n’a pas supportée ».
Le 2 mars 2022, Yvan Colonna, emprisonné à Arles, est étranglé dans la salle de sport de la prison par un islamiste pour avoir blasphémé Allah. Le parquet antiterroriste s’est autosaisi63. Il meurt le 21 mars 2022 après avoir été plongé dans un coma artificiel.64
(en) Lorenzo Vidino, Francesco Marone et Eva Entenmann, Fear Thy Neighbor : Radicalization and Jihadist Attacks in the West, ICCT, ISPI, The George Washington University, 2017, 108 p. (lire en ligne [archive]), p. 16, 45
(en-US) John Vinocur, « EXILED IRANIAN GENERAL IS KILLED WITH BROTHER BY GUNMEN IN PARIS (Published 1984) », The New York Times, 8 février 1984 (ISSN0362-4331, lire en ligne [archive], consulté le 7 novembre 2020)
Didier Bigo, « Les attentats de 1986 en France : un cas de violence transnationale et ses implications (Partie 1) », Cultures & Conflits, no 04, 17 janvier 1991 (ISSN1157-996X, DOI10.4000/conflits.129, lire en ligne [archive], consulté le 5 juillet 2020)
« Une bombe blesse dix personnes devant l’ambassade d’Indonésie à Paris », Le Monde.fr, 8 octobre 2004 (lire en ligne [archive], consulté le 8 novembre 2020)
« Militaire agressé à la Défense : un islamiste de 22 ans interpellé », RTL, 29 mai 2015 (lire en ligne [archive]).
« Thalys : El-Khazzani mis en examen et écroué pour une attaque « ciblée et préméditée » », Le Monde, 26 aout 2015 (lire en ligne [archive]).
« L’homme tué devant le commissariat de Barbès a été identifié », Le Monde.fr, 7 janvier 2016 (lire en ligne [archive]).
« L’auteur de l’agression antisémite à Marseille dit avoir agi « au nom de l’État islamique » », Le Monde.fr, 11 janvier 2016 (lire en ligne [archive]).
« L’adolescent qui avait agressé un enseignant juif condamné à sept ans de prison », Le Monde.fr, 2 mars 2017 (lire en ligne [archive], consulté le 21 octobre 2020)
« Bilal Taghi, auteur du premier attentat djihadiste perpétré en prison, condamné à vingt-huit ans de réclusion », Le Monde.fr, 22 novembre 2019 (lire en ligne [archive], consulté le 21 octobre 2020)
« Du Val-d’Oise à Orly, le parcours «violent, destructeur» et fatal de Ziyed B. », Libération.fr, 18 mars 2017 (lire en ligne [archive], consulté le 25 mars 2017)
« Ce que l’on sait de l’attaque survenue sur les Champs-Elysées à Paris », Le Monde.fr, 20 avril 2017 (lire en ligne [archive], consulté le 20 avril 2017)
lefigaro.fr, « L’assaillant de Notre-Dame revendique « être un soldat du califat » », Le Figaro, 6 juin 2017 (lire en ligne [archive], consulté le 6 juin 2017)
« Attentat raté des Champs-Elysées : un des gendarmes visés par Adam Djaziri témoigne », Leparisien.fr, 23 juin 2017 (lire en ligne [archive], consulté le 25 juin 2017).
« Un militaire attaqué à Paris par un homme armé d’un couteau », 7s7, 15 septembre 2017 (lire en ligne [archive], consulté le 15 septembre 2017)
« Attentat de Marseille : Tunisie, France, Italie… retour sur le parcours du terroriste », Franceinfo, 4 octobre 2017 (lire en ligne [archive], consulté le 4 octobre 2017)
« Prise d’otages dans le sud de la France: ce que l’on sait », RTBF Info, 23 mars 2018 (lire en ligne [archive], consulté le 23 mars 2018)
« EN DIRECT – Attaque au couteau à Paris : deux blessés en « urgence absolue » selon Edouard Philippe », LCI, 12 mai 2018 (lire en ligne [archive], consulté le 12 mai 2018)
« Attentat au couteau à Paris. Le profil de l’assaillant, Khamzat Azimov, se précise », Ouest-France.fr, 13 mai 2018 (lire en ligne [archive], consulté le 13 mai 2018)
« Explosion à Lyon : le suspect reconnaît avoir prêté allégeance à Daech », L’Express, 30 mai 2019 (www.lexpress.fr/actualite/societe/explosion-a-lyon-le-suspect-reconnait-avoir-prete-allegeance-a-daech_2081247.amp.html, consulté le 5 août 2019)
« Le parquet antiterroriste se saisit de l’enquête sur l’attaque au couteau à Villejuif », Le monde, 4 janvier 2020 (lire en ligne [archive], consulté le 5 janvier 2020)
« A Metz, un homme blessé par la police après avoir brandi un couteau », Le Monde, 5 janvier 2020 (lire en ligne [archive], consulté le 9 janvier 2020)
« EN DIRECT – Attaque au couteau dans la basilique Notre-Dame de Nice, trois morts », La Croix, 29 octobre 2020 (ISSN0242-6056, lire en ligne [archive], consulté le 29 octobre 2020)
« Attaque au couteau à Rambouillet : une agente administrative tuée, le Parquet national antiterroriste se saisit de l’affaire », Le Monde, 23 avril 2021 (lire en ligne [archive], consulté le 27 avril 2021)
On l’avait déjà remarqué à propos de l’affaire des dîners clandestins, cela se confirme : les complices du pédophile, trafiquant de drogue, cybercriminel, terroriste, mythomane et calomniateur notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi sont bien tous faits du même bois…
Pour le cas où, je précise n’avoir jamais eu aucun lien avec des activistes bretons, quoique mes proches et moi-même soyons effectivement victimes depuis très longtemps d’une répression étatique anti-Bretons, mais comme les autres intellectuels français d’origine bretonne, lorsqu’ils ont le tort d’être intègres.
Précisons donc qu’en règle générale nous sommes amenés à quitter la Bretagne pour pouvoir travailler (et subir assez souvent un racisme anti-Bretons à Paris), tandis qu’à l’inverse, on fait venir en Bretagne de Paris ou d’autres régions françaises des chefs d’entreprise tous séduits par les facilités qui leur sont accordées par ici pour exploiter la population locale.
Les représentants de l’Etat sont également des fonctionnaires venus d’autres régions pour y exercer une répression particulière contre les Bretons, laquelle passe bien évidemment, entre autres choses, par la permission de violer à volonté femmes et enfants de cette population locale à soumettre ou maintenir soumise par la terreur.
Par ailleurs, les élus locaux sont sélectionnés par la police politique (anciennement les Renseignements Généraux) bien en amont des élections en fonction de leur soumission au pouvoir central, laquelle s’obtient par diverses malversations ou infractions pénales qu’ils ont commises et pour lesquelles l’impunité leur est garantie. Ainsi, par exemple, s’agit-il souvent d’affaires de moeurs pour les élus de gauche, c’est-à-dire, à nouveau : viols, pédophilie, etc… affaires toujours réglées par le traitement des victimes par ce bon Dr Michel Walter à l’hôpital psychiatrique de Bohars pour ce qui est de la région brestoise…
L’unique élu de la LCR de Brest lorsque je faisais partie de l’association AC ! Brest, en 2004 et 2005, n’échappait pas à cette règle : il s’agissait d’Arnaud Hell qui avait jadis été viré d’un lycée brestois pour une affaire de moeurs et dont Josette Brenterch, qui travaillait pour la Gendarmerie et les Renseignements Généraux, faisait tout ce qu’elle voulait en s’occupant de toutes ses relations.
Dans un communiqué reçu lundi 21 mars 2022, le Front de libération de la Bretagne – Armée révolutionnaire bretonne (FLB-ARB) demande l’organisation d’un référendum sur l’autonomie ou l’indépendance de la Bretagne réunifiée.
Dans un communiqué reçu par la rédaction du journal Ouest-France, le Front de Libération de la Bretagne – Armée révolutionnaire bretonne (FLB-ARB) demande l’organisation d’un référendum sur la réunification de la Loire-Atlantique à la Bretagne mais aussi un référendum sur l’autonomie ou l’indépendance de la Bretagne réunifiée.
Le FLB-ARB ajoute : L’Armée révolutionnaire bretonne prend acte que le peuple corse n’est écouté par le gouvernement qu’à la suite d’actions violentes. Nous concevons la lutte armée comme un complément à la lutte politique. Ces référendums devront être réalisés avant le 31 décembre 2022, sans quoi l’ARB passera à l’action.
Des centaines de personnes se sont réunies à Nantes le 20 février, manifestant pour un référendum sur la réunification de la Loire-Atlantique à la Bretagne. LOIC VENANCE / AFP
Des groupes d’activistes réclament l’instauration de référendums sur l’autonomie de la Bretagne réunifiée, sans quoi ils garantissent de s’engager dans des actions violentes.
Le Front de Libération de la Bretagne (FLB) a envoyé lundi 21 mars un communiqué à Ouest France, exigeant une réorganisation territoriale. Avec l’Armée révolutionnaire bretonne en co-signataire, les deux mouvements réclament un premier référendum sur la réunification de la Loire-Atlantique, ainsi qu’un second sur «l’autonomie ou l’indépendance de la Bretagne réunifiée». Ils estiment que la Bretagne dispose de ressources nécessaires -aussi bien économiques, politiques ou culturelles – pour ne pas dépendre de la France.
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Leurs revendications se présentent à la suite des récents évènements en Corse. Jugeant que le gouvernement ne prête attention «qu’à la suite d’actions violentes», ils menacent de s’engager à leur tour dans une lutte armée, qu’ils considèrent comme «un complément à la lutte politique». Si les référendums n’ont pas été réalisés d’ici le 31 décembre 2022, ils garantissent que l’Armée révolutionnaire bretonne «passera à l’action». Ces derniers mois, des militants du FLB ont manifesté, aux côtés de centaines de personnes, pour obtenir gain de cause. Le dernier rassemblement en date est celui de février, où le «plus grand drapeau breton du monde» a été dressé.
Historique de violences
En 2021, le Front de Libération de la Bretagne avait revendiqué une série «d’attaques de résidences secondaires ou de profiteurs de l’industrie touristique». Dans un courriel, ils détaillent une quinzaine de lieux concernés, associés à des dates. Pour certaines des localisations, il s’agit, d’après France Bleu, d’incendies de maisons secondaires -dont on ignore s’ils étaient volontaires.
Depuis leur création dans les années 1960, les groupes FLB et ARB ont usé massivement de la violence. Des centaines d’attentats matériels ont été commis, dont des dizaines à la bombe, entre vague d’arrestations et reformations des groupes. Les plus célèbres d’entre eux restent l’endommagement d’une aile du château de Versailles, l’attaque de la cité judiciaire de Rennes, de la mairie de Belfort, ou encore d’un engin d’aviation. Néanmoins, les groupes activistes de la région ne semblaient plus user de tels procédés depuis l’attentat du MacDonald de Quévert où une jeune femme avait perdu la vie en avril 2000.
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