Je décline toute responsabilité quant aux mentions qui s'affichent dans les cinq lignes ci-dessus du pavé "Recherchez aussi" sur lequel je n'ai aucun contrôle.
Mes statistiques sont bloquées depuis le 2 février 2015.
7 février 2015
Mes statistiques sont de retour, tout fonctionne.
16 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 12 février.
22 février 2015
Mes statistiques "basiques" ont été débloquées hier soir après la publication de mon dernier article concernant NEMROD34. Belle reprise simultanée de l'activité du Chinois.
23 février 2015
Statistiques "basiques" toujours sujettes à blocages : le 21 février au soir, à peine étaient-elles débloquées, puis à nouveau hier, 22 février, à peine étaient-elles débloquées.
24 février 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Pas de nouveau pic d'activité du Chinois depuis le 21 février.
25 février 2015
Je n'ai pas mes statistiques "basiques" du jour, ça bloque encore... et Justinpetitcoucou est toujours bloqué depuis le 8 février... Faudrait penser à le débloquer, lui aussi, il y a du laisser-aller, là...
26 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blog débloquées. Merci pour Justin, il était temps !
27 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blogs de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt... Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
25 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 20 mars.
26 mars 2015
Merci de m'avoir débloqué mes statistiques "basiques". Encore une fois, je ne vois pas l'intérêt de ce petit jeu. Ce serait aussi bien de cesser de bloquer ces statistiques pour oublier de les débloquer jusqu'à ce que j'aie signalé le problème.
31 mars 2015
Merci de bien vouloir me débloquer les statistiques "basiques" de Justinpetitcoucou, restées bloquées depuis le 14 mars - cf. avis du 25 mars sur Justin.
2 avril 2015
Merci de m'avoir rendu les statistiques de Justin.
7 mai 2015
Je n'ai plus de statistiques depuis deux jours, ni "basiques" ni "avancées".
10 mai 2015
Retour des statistiques "basiques". Merci. Manquent encore les statistiques "avancées".
14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
3 octobre 2015
Depuis hier, les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro. Merci de me les rendre.
Ah voilà, il ne peut pas du tout s’en empêcher, il revient très régulièrement sur tous ses exploits des années 2008 et suivantes, toujours avec les mêmes mensonges.
Concernant l’ancien riverain de Rue89 qui utilisait le pseudonyme de Pierrrrre dit P5R, et qui effectivement faisait partie de ses têtes de turc, il ne s’est jamais rendu compte qu’il était bien ce qu’il disait en le lisant, mais en le violant, comme pour tous les autres : piratages informatiques, écoutes illégales, et pas seulement téléphoniques, puisque qu’il sonorise aussi les domiciles de ses cibles.
Il y en a même une dont il était tombé en amour en la violant comme tous les autres 24h sur 24, celle-là en raison de ses interventions récurrentes sur le conflit Israël-Palestine, toujours à l’opposé de celles de son groupe d’extrême-gauchistes pro-palestiniens.
Du coup, il avait cessé de la harceler tandis que ses amis « déconnologues » continuaient à lui tomber dessus à bras raccourcis à chacune de ses apparitions sur le site Rue89.
Il faut bien comprendre que ce taré n’est ni un intellectuel ni un idéologue de l’extrême-gauche. C’est juste un opportuniste qui cherche à tout prix et par tous les moyens de se faire reconnaître comme « écrivain » et sait qu’il n’a strictement aucune chance d’y parvenir auprès de gens un minimum éduqués et instruits. Voilà pourquoi il joue habituellement la carte rouge de l’extrême-gauche qu’il brandit partout autant comme une espèce de laisser-passer ou de passeport diplomatique que pour obtenir des ralliements à sa cause très personnelle… sans jamais craindre de retourner sa veste en cas de besoin…
Pierre Jourdin est un ancien magistrat du TGI de Brest, qu’il a quitté à l’été 2016 pour celui de Créteil où, a priori, il se trouve toujours en fonction aujourd’hui comme juge de l’application des peines.
On peut le voir dans la vidéo ci-dessus du 12 mars 2021. On en trouve aussi sur le net deux autres images remontant à septembre 2012 lors de son arrivée au tribunal de Quimper en provenance de celui de Brest où il exerçait déjà comme juge de l’application des peines depuis 2007, après avoir eu la même fonction à Nevers de 2004 à 2007.
Il était ensuite revenu à Brest pour la rentrée de septembre 2014, cette fois comme juge d’instruction, une fonction qu’il n’a « assurée » tant bien que mal (personnellement, je n’ai vu que le mal et ne sais même pas, en fait, s’il y a jamais eu de bien) que durant deux ans au cours de sa carrière.
Il prenait la suite de la juge ultra corrompue Céline Verdier qui elle avait été nommée à Quimper comme juge des enfants et reprendra sa place de juge d’instruction à Brest à la rentrée de septembre 2016.
On notera au passage que le juge brestois Meriadeg Merret, qui prenait ce même poste de juge des enfants à Quimper à la rentrée de septembre 2012 avant de revenir à Brest en 2014, parlait alors du très inquiétant « danger des enfants » auquel il s’apprêtait à être confronté comme magistrat pour la toute première fois tandis que simultanément, son collègue de Brest le juge Raymond André quittait l’instruction pour accéder lui aussi à cette fonction de juge des enfants pour la toute première fois dans sa beaucoup plus longue carrière. Rappelons qu’au mois de novembre 2011, des amies de la criminelle perverse Josette Brenterch du NPA de Brest, dont l’une qui à cette époque me harcelait en avait témoigné sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog, avaient mensongèrement désigné à la vindicte populaire comme « pédophile » un retraité qui de ce fait, pris en chasse dans son quartier par tout un groupe de parents d’élèves devenus hystériques à son encontre, avait fait une crise cardiaque dont il était décédé. Aussi, la peur des dénonciations pour pédophilie, qui par ici n’était pas vraiment retombée depuis Outreau – à moins que ce fiasco judiciaire ne fût particulièrement opportun pour justifier les politiques locales en la matière – était encore à son comble dans le Finistère, où ce que font toujours aujourd’hui les magistrats pour protéger les pédophiles du « danger des enfants » ou de leurs dénonciations, totalement hallucinant et particulièrement abject pour le justiciable lambda, est sans aucun doute à la hauteur de l’effroi extraordinaire qu’il semble toujours provoquer chez eux…
Mais le Finistère avait aussi reçu la visite de Frédéric Mitterrand au printemps 2011 après l’échec de Jean-Marc Donnadieu contre OverBlog au TGI de Béziers le 8 avril 2011, et il était bien nécessaire que sa future victoire en appel le 15 décembre 2011 à Montpellier fût puissamment soutenue par quelque évènement de nature à frapper très fort l’opinion publique en sa faveur, d’où le retentissement national qu’avait connue cette histoire de chasse à l’homme faussement accusé de pédophilie que sa complice la criminelle Josette Brenterch avait organisée avec quelques copines et l’assentiment des magistrats locaux, à proximité immédiate de la fac de droit de Brest.
Fermons la parenthèse et revenons à Pierre Jourdin.
Pas de cancer pour lui depuis sa période brestoise, pas non plus d’autre maladie mortelle, « foudroyante » ou non, au contraire de ses anciens collègues Mathilde Boissy, François Dresen et Raymond André.
Cependant, le moins que l’on puisse dire à son sujet est qu’il ne respire pas la joie de vivre, et cela semblait quand même nettement moins pire en 2012, avant son dernier passage à Brest.
Rendez-vous compte qu’à peine huit ans et demi séparent ces photos de 2012 des images TV de 2021. Or, il donne l’impression d’avoir vieilli beaucoup plus, et mal, comme un alcoolique.
Par ailleurs, lui aussi avait bien travaillé pour le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, dont je rappelle qu’il s’agit en outre d’un trafiquant de drogue, d’or, d’enfants, etc… pirate en tous genres, cybercriminel et harceleur, mythomane, calomniateur public et champion de la dénonciation calomnieuse, organisateur ou commanditaire d’assassinats et terroriste « islamigré ».
Oui, Pierre Jourdin aussi avait bien travaillé pour cet individu qu’il porte aux nues comme tous ses collègues de Brest et Quimper. Et même très rapidement après sa prise de fonction comme juge d’instruction à Brest, à l’automne 2014.
En effet, c’est lui qui au mois d’octobre 2014 avait prononcé un non-lieu général en faveur de tous mes harceleurs de la bande de cybercriminels du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, à l’issue de l’information judiciaire qui avait été confiée à sa collègue ultra corrompue Céline Verdier, laquelle, comme je l’ai déjà exposé, refusait en fait illégalement d’informer en m’opposant des déclarations du dénommé Pascal Luraghi auxquelles elle m’interdisait aussi illégalement tout accès, comme à mes avocats successifs.
L’ordonnance de non-lieu rendue par Pierre Jourdin était parfaitement conforme au faux en écriture publique déjà produit dans cette affaire par la vice-procureure Isabelle Johanny, et pour cause, elle n’en était qu’un copié-collé, fautes d’orthographe y compris, alors que j’avais déjà dénoncé ce document comme un faux dans un premier train d’observations toutes parfaitement justifiées, en annonçant une suite de ces observations avant la fin du délai que le Code de procédure pénale m’octroyait à cet effet.
C’est que le faux en question est quand même constitué de plusieurs pages de texte très dense écrit en petits caractères, et qu’il comporte au moins un sinon plusieurs mensonges grossiers ou inventions délirantes par ligne de texte. Quand on le reçoit, on en est littéralement atterré et on se demande comment traiter le problème, car il faut vraiment tout corriger morceau de phrase après morceau de phrase, en expliquant et justifiant chacune des corrections apportées, d’abord d’un point de vue purement factuel, ensuite en termes de droit. C’est absolument délirant, le travail nécessaire est colossal et je pense d’ailleurs que le but du jeu est de complètement submerger, noyer ou ensevelir la victime sous un incroyable amoncellement de mensonges où, en l’occurrence, même mes harceleurs mythomanes, super menteurs, affabulateurs et calomniateurs ne peuvent s’y retrouver – ils sont complètement dépassés par des magistrats qui eux aussi doivent s’adonner à de tels exercices au quotidien.
Il n’y a pas la moindre honnêteté chez un magistrat corrompu, il est précisément payé par des malfrats pour s’abstenir de faire son travail ou être l’auteur d’injustices flagrantes, ce qui passe toujours, au minimum, par la production de faux en écriture publique. C’est pourquoi, dans les dossiers qui me concernent, on en retrouve en pagaille, et toujours associés à quantité d’autres illégalités ou violations de la loi.
Pierre Jourdin est donc bien corrompu, c’est indéniable; reproduisant à l’identique le faux que je lui avais dénoncé comme tel nombreuses pièces justificatives à l’appui, il a lui-même produit un faux en écriture publique, criminel, en toute connaissance de cause. Tous les critères de l’infraction pénale sont bien remplis, en aucun cas il ne peut prétendre avoir commis une quelconque « erreur ».
Mais ce n’est pas tout.
Il n’a pas attendu la suite de mes observations pour rendre son ordonnance et n’a ainsi pas respecté mon droit à produire des observations durant un délai fixé d’une manière pourtant assez simple : un premier délai de trois mois auquel s’ajoutait un second délai d’un mois, soit un total de quatre mois. Il n’a pas su faire cette addition, c’est trop compliqué pour lui – j’en déduis qu’il a fait lui aussi le petit demi-bac pour demi-cerveaux très allégés.
Quant à moi, j’ai fait des études d’ingénieur et ai effectivement travaillé comme tel durant plusieurs années. Additionner 3 et 1, donc, je sais le faire. Mais très franchement, je ne l’ai pas appris en maths sup ni en maths spé, je savais déjà le faire en maternelle – j’ai toujours eu un cerveau complet.
Ce qui est trop drôle, c’est que j’ai obtenu sur ce motif-là la cassation de l’arrêt de la Cour d’Appel de Rennes ayant confirmé en 2015 son ordonnance de non-lieu d’octobre 2014 – car cette Cour d’Appel qui me donne assez souvent raison contre les magistrats du Finistère ne le fait quand même pas à tous les coups, les magistrats ayant toujours une très forte tendance à tous se couvrir mutuellement même quand leur rôle consiste théoriquement à contrôler le travail de ceux du niveau inférieur.
Pierre Jourdin fait donc partie de ces magistrats qui ont toujours été nuls en maths et se plaisent, tout comme la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et tous ses complices de la bande du pédophile et cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ce dernier en tête, à se « moquer » des matheux ou des ingénieurs en inventant absolument n’importe quoi pour les calomnier, et par voie de conséquence, leur nuire ou leur porter préjudice au maximum, leur but étant de les empêcher de travailler, de vivre, tout simplement, car ils les haïssent autant qu’ils ont toujours haï les maths.
Sauf que dans son cas, le truc est consacré par un arrêt de la Cour de Cassation de 2016.
La femme ingénieur qu’il s’était plu à faire passer mensongèrement pour une prostituée débile mentale et folle à lier de surcroît coupable de quantité de choses totalement délirantes lui a donné tout à la fois une leçon de maths (3+1=4) et une leçon de droit : si tu ne sais même pas compter sur tes doigts, t’as qu’à demander à ta greffière pour t’assurer que mon droit soit respecté.
Allez, je vais être indulgente avec ce pauvre M. Jourdin qui a quand même vu se terminer sa carrière de juge d’instruction qui avait commencé si fort à l’automne 2014 sur un échec des plus ridicules deux ans plus tard, face à un « cas lourd psychiatrique » (= une femme ingénieur qui contrairement à lui comprend le français et sait faire des additions).
Il faut quand même bien se rappeler le contexte de sa décision d’octobre 2014.
A Toulouse, les gendarmes enquêtant sur le meurtre ou l’assassinat de Patricia Bouchon à Bouloc le 14 février 2011 commençaient à s’intéresser au pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, dont l’activité criminelle contre mes proches et moi-même était depuis le début jugée si précieuse par les magistrats ultra corrompus du TGI de Brest. Il était donc urgent de le blanchir complètement dans mon affaire tout en m’enfonçant au maximum : plus de mobile, plus de crime !
Avouez que cela peut bien brouiller les esprits et en faire perdre son latin ou son compteur même au plus éminent des juristes corrompus…
Audience particulière, hier matin, au tribunal de grande instance de Quimper. Patrick Le Quinquis, le président, a présenté trois nouveaux magistrats.
Ouest-France Maël FABRE. Publié le 17/09/2012 à 19h00
Lundi matin, devant un parterre d’officiels, de gendarmes et d’avocats, par décret du 21 août 2012 publié au journal officiel, trois nouvelles nominations viennent d’être confirmées pour cette rentrée judiciaire à Quimper.
Les arrivées
En poste au tribunal de grande instance de Brest depuis 2007 où il a été substitut du procureur, le juge Meriadeg Merret vient d’être nommé vice-président chargé des fonctions de juge des enfants à Quimper. Une juridiction qu’il a vivement souhaité intégrer. « C’est une fonction intéressante, une suite logique après Brest. C’est cependant plus difficile car nous sommes dans la gestion de l’humain et surtout nous sommes face au danger des enfants », explique-t-il.
Pierre Jourdin, juge de l’application des peines au tribunal de grande instance de Brest vient d’être nommé vice-président du tribunal d’instance de Quimper. « Il y a dans cette nouvelle fonction une grande convergence avec l’ancien poste », indique le nouveau juge. Pierre Jourdin a été de 2004 à 2007, juge de l’application des peines au tribunal de grande instance de Nevers.
Enfin, Olivier Callec est nommé juge. Il devient assesseur et présidera les audiences du tribunal correctionnel. Auparavant, Olivier Callec a été juge au tribunal de grande instance de Nevers de 2009 à 2012.
Les départs
Par ailleurs, Hélène Geiger, 36 ans, quitte le parquet. Elle rejoint le siège au tribunal de grande instance de Brest, où elle est nommée vice-présidente. Marie-Annick Rossignol, juge des enfants, rejoint le tribunal de grande instance de Lorient où elle assurera la vice-présidence. Un tribunal qu’elle connaît bien puisqu’elle a été substitut du procureur jusqu’en 2007.
Disparition d’un poste de juge d’instruction
Cette nouvelle rentrée a aussi été marquée par la disparition du dernier juge d’instruction en poste, depuis la création du pôle de l’instruction à Brest, en 2008. Cette disparition a été soulignée par Eric Tufféry, procureur de la république lors de son discours. La dernière juge d’instruction à Quimper, Sophie Sourzac, a été nommée au tribunal d’instance de Grenoble.
Quimper. Trois nouveaux magistrats à pied d’oeuvre
Publié le 18 septembre 2012 à 00h00
Trois nouveaux juges ont été adoubés, hier, par leurs pairs, lors de la traditionnelle audience de rentrée au tribunal de Quimper. Le trio renforce la magistrature du siège. Le parquet devra faire sans renforts.
Audience intermédiaire, la rentrée de septembre ne revêt pas la solennité de celle qui se tient chaque début d’année. Le président Le Quinquis parlait hier de sa dimension «quasi-familiale». Elle permet néanmoins d’installer les nouveaux magistrats nommés dans la juridiction quimpéroise. En cette rentrée 2012, ils sont trois à rejoindre les bords de l’Odet.
«Grand écart sur le plan technique»
Deux d’entre eux seront en terre de connaissance. Meriadeg Merret est nommé vice-président du Tribunal de Grande Instance, chargé des enfants. La justice des mineurs, mais aussi les placements d’enfants en danger sont quelques-uns des aspects qu’il devra prendre à bras-le-corps. La perspective lui apparaît «intéressante». Il succède à Mme Rossignol, nommée vice-présidente du Tribunal de Grande Instance de Lorient. Meriadeg Merret avait fait ses armes au Havre, comme juge d’instance, en 2002 puis rejoint le tribunal d’Instance de Châteaulin en 2005. En 2008, il poussait jusqu’à Brest. Après quatre ans dans la cité du Ponant, il traverse le département. Pierre Jourdin était lui aussi Brestois, chargé de l’Application des Peines de 2007 à 2012. Il occupait précédemment des fonctions identiques, à Nevers, de 2004 à 2007. Il devient vice-président chargé du tribunal d’instance. «Sur le plan technique, ça ressemble à un grand écart, mais sur le plan humain, il y a beaucoup de convergences», commente-t-il.
Un juge d’instruction placé
Olivier Callec, enfin, est le seul à découvrir le Finistère, si l’on excepte les stages de voile suivis pendant son enfance. À Nevers, il était juge du siège depuis 2009 et aura des fonctions équivalentes à Quimper. Il sera juge civil et assurera des audiences correctionnelles, comme juge assesseur ou président. Il se dit «ravi». Ces arrivées permettent aux juges du siège de la juridiction quimpéroise d’être au complet puisque les 18 postes sont pourvus. Petit bémol cependant: le départ de Sophie Sourzac, juge d’instruction, nommée à Grenoble, est certes compensé, mais par M. Morvan, juge placé. Le cabinet d’instruction devant cesser son activité au 1er janvier 2014 au profit du pôle de l’instruction brestois, il est fort probable qu’il ne soit pas pourvu en attendant de s’éteindre à petits feux. Voilà qui ne mettra pas de baume au coeur du procureur Éric Tufféry, qui perd quant à lui un parquetier dans son équipe.
Je cherche un peu ce qu’il a pu devenir depuis son départ du TGI de Brest et tombe sur l’article ci-dessous d’octobre 2015 par lequel son décès le 14 août 2015 était annoncé.
Parmi les anciens magistrats brestois ayant bien travaillé pour le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, cela en fait déjà trois qui sont décédés bien avant l’âge de départ à la retraite : François Dresen le premier, à 41 ans, Mathilde Boissy peu de temps plus tard, en octobre 2015, à 31 ans, et Raymond André en février 2019 à 59 ans.
Cela commence à faire beaucoup, non ?
N.B. : Pour Mathilde Boissy, il s’agit d’un cancer, pour François Dresen, d’une longue maladie non précisée, et pour Raymond André, d’une maladie « foudroyante ».
Les cancers, on sait les provoquer. Les deux décédés de 2015 avaient quitté Brest à l’été 2012 pour la première et à l’été 2013 pour le second. Manifestement, ils sont tombés malades après avoir quitté la mafia brestoise. Aurait-on voulu les faire taire sur les arrière-cuisines du TGI de Brest ?
Pour ce qui est du juge Raymond André, sa maladie « foudroyante » l’a terrassé trois jours après le début de l’affaire de la Ligue du LOL, présentant quand même quelques similitudes avec celle restant à ce jour confidentielle de la bande de tarés du malade mental, pédophile, cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui se disent « déconnologues ». Ces révélations brutales de février 2019 auraient-elles entraîné quelque court-circuit dans l’organisme délicat du juge Raymond André ?
C’est peu de chose de dire que le tribunal de grande instance (TGI) attendait Hélène Saint-Ramon avec impatience. Arrivée voici quelques jours de Fort-de-France, la magistrate d’origine toulousaine prend le poste de vice-présidente chargée de l’application des peines. « Un poste créé en 2013, mais qui restait vacant », a rappelé la procureure, Fabienne Bonnet, se félicitant de voir enfin à Saint-Nazaire, un service de l’application des peines « qui va pouvoir prendre en charge les mesures plus rapidement. » Jusqu’ici, la seule Jap, Armelle Dugardin, faisait avec les moyens du bord et gérait 1 300 mesures par an. « Jap à Saint-Nazaire, c’est 900 sursis avec mise à l’épreuve, une quarantaine de suivis socio-judiciaires, 190 peines de travail d’intérêt général et l’aménagement des peines de moins de deux ans », a noté le président du TGI, Alain Kerhoas.
Affaires familiales
Originaire de Nantes, Adeline Rousseau arrive de l’Orne où elle exerçait la fonction de juge d’instance. Elle devient juge aux affaires familiales, « un contentieux sensible où l’on doit décider de l’autorité parentale, des demandes de compensations financières dans des contextes le plus souvent tendus », a souligné Alain Kerhoas. Elle remplacera Christine Paris partie à Nantes. Avec ces deux arrivées le tribunal de Saint-Nazaire est presque au complet. Sur un effectif de dix-huit magistrats, un seul poste est vacant.
Hommages
Le 14 août dernier, le vice-procureur François Dresen décédait d’une longue maladie. Pendant cette période de vacances, il avait manifesté son émotion dans l’intimité professionnelle et familiale. Hier, le président a salué « un magistrat très apprécié, qui avait montré un acharnement à vivre et à travailler malgré la maladie. » Il était arrivé à Saint-Nazaire après une carrière à Coutances, Guingamp et Brest.Fabienne Bonnet, procureure, garde en mémoire « un homme de grande valeur, efficace, mesuré, simple et humain. »
Le tribunal a également salué le départ en retraite de François Dai, n « qui devrait revenir en tant que juge de proximité. »
Justice. L’oeil lucide de François Dresen sur la ville
Publié le 27 juillet 2013 à 00h00
François Dresen quitte le siège du parquet qu’il a occupé pendant un peu plus de deux ans.
Le substitut du procureur François Dresen quittera, dans les jours à venir, la juridiction brestoise. Après plus de deux ans passés dans la cité du Ponant, cet ex-étudiant de l’UBO livre son sentiment sur une ville qu’il connaît bien.
Il avait quitté la ville au milieu des années 90, en simple étudiant, après avoir sacrifié sa thèse de droit pénal sur l’autel de sa réussite au concours d’entrée de l’école de la magistrature. Il la requitte, quelque 20 ans plus tard, après avoir occupé l’un des sièges du parquet pendant un peu plus de deux ans. « Ce poste nous fait découvrir des côtés plus sombres de la cité, admet-il illico, des trucs que nous n’avions pas vus lorsque nous étions étudiants et que finalement, nous traînions surtout dans le centre-ville ». François Dresen a ainsi vu la « ghettoïsation » de certains quartiers de Brest comme Pontanézen, Bellevue et, plus récemment, Kérourien. « Ponta, c’est moins net depuis les travaux de rénovation. N’empêche : il reste encore, là-bas, certains de nos clients habituels qui empêchent la quiétude de tous les autres habitants », précise le parquettier qui s’inquiète davantage de la montée en puissance des infractions à Kérourien pendant son exercice brestois. « Au risque d’être péjoratif, il y a, dans ce quartier, une poignée de perturbateurs mineurs qui se comporte en racaille. Quand on les déferre, ils ne semblent même pas avoir conscience de la gravité de leurs actes », peste François Dresen qui dit que son successeur ne lâchera pas l’affaire.
Opposant à la carte judiciaire
Lui, pendant ce temps-là, exercera ses talents dans un autre port de la façade maritime, à Saint-Nazaire, qui convient mieux à sa vie de famille. Et puis, « je suis arrivé à Brest à la suite de la fusion des tribunaux en provenance de Guingamp. À l’époque, on nous avait dit que nous pourrions progresser dans notre carrière sur place. Les promesses n’engageant que ceux qui les croient », ironise celui qui ne pense « que du mal » de la réorganisation de la carte judiciaire. « Notre territoire est tellement vaste que je n’ai même pas eu le temps de faire le tour complet des brigades de gendarmerie. De façon plus générale, l’évidence est que quand la justice du quotidien est concentrée sur une seule ville, elle dessert le justiciable », estime le magistrat.
Magistrat en prise directe
Laissant derrière lui « un ou deux dossiers d’instruction », le sentiment que l’alcool ne fait pas plus de ravage ici qu’ailleurs mais que le Brestois « a la culture du surin » et que les jeudis arrosés sont souvent fatals « aux portières des Twingo des villes », François Dresen dit quitter une cité « agréable à vivre, qui s’est beaucoup améliorée et qui bénéficie indubitablement du tram ». Une ville « dont nous avons bien profité, avec une recommandation chaleureuse pour la Taverne Saint-Martin, ses bières maison et ses patrons ». Une agglomération où seulement « 150 majeurs et 50 mineurs forment la population pénale d’habitude », ceux qui nourrissent le quotidien des magistrats « en prise directe avec la vie de la collectivité », défendant « la notion d’ordre public au sens noble du terme », comme le fut, l’est et le sera François Dresen.
Dans cet article d’hier, je rappelais qu’au printemps 2011 Frédéric Mitterrand était venu à Brest où il n’avait pas mis les pieds depuis au moins trente ans :
Pour son arrivée le 9 juin 2011, annoncée seulement la veille, toutes mes plaintes contre le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi avaient bien été classées sans suite, la dernière le 23 mai 2011, sans aucune enquête préalable, et l’avis de classement venait tout juste de m’être envoyé par courrier postal.
Il ne restait plus que la plainte ayant conduit à une audition de Jean-Marc Donnadieu à Béziers le 12 juillet 2011.
Dès le mois de juin 2010, après le début des « révélations » publiques me concernant par le cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi sur ses deux blogs « Ici-Blog » et « Tique Toc », j’avais consulté un avocat pour lui demander de saisir la justice en urgence, mais il partait en vacances sitôt après et ne fera jamais rien durant l’été 2010 alors que les règlements de comptes sanglants avaient certainement déjà commencé. Je ferai donc également le tour des pénalistes brestois les plus connus, mais comme elle l’écrivait publiquement sur les blogs Luraghi, la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, qui continuait à me faire écouter illégalement par ses amis techniciens de chez France Télécom, comme elle l’avait toujours fait depuis des lustres, « contrôlait » toutes mes démarches pour les faire échouer, soit par ses interventions directes auprès des avocats que je consultais, soit par l’intermédiaire de ses complices magistrats ultra corrompus du TGI de Brest, notamment le juge Raymond André.
Lorsqu’ils me recevaient, ces avocats dont je ne connaissais aucun auparavant, soit m’écoutaient un peu, me posaient quelques questions, puis ne donnaient pas suite sans même prendre la peine de m’informer de quoi que ce soit (mépris total pour la « sale pute » de femme ingénieur… dans la ville dite de « l’aristocratie ouvrière », nous sommes vraiment très mal perçues, surtout moi qui ai toujours refusé de plier à n’importe quoi), soit me disaient carrément qu’ils ne prenaient pas le dossier du fait que toutes les inventions calomnieuses que publiait le dénommé Pascal Edouard Cyprien Luraghi concernant mon passé ou ma vie privée n’étaient selon eux que la vérité (cas de Ronan Appéré, qui par ailleurs ne voyait aucun problème dans les viols de l’intimité de la vie privée et toutes les insultes incroyablement ordurières dont j’étais aussi victime, et se fera par la suite remarquer pour son féminisme exacerbé, n’est-ce pas, puisqu’il a lui-même été poursuivi et condamné en 2019 pour avoir copieusement insulté puis violenté une femme), alors que tout était bien archi faux, hautement calomnieux, de surcroît destiné à provoquer de très nombreux crimes, et même, à terme, la révolution communiste devant instaurer en France un régime de type soviétique. L’un de ces avocats m’avait même demandé de laisser le génial « écrivain » Pascal Edouard Cyprien Luraghi rédiger et publier tranquillement ma « biographie ». Je le dérangeais en le contredisant systématiquement sur tous les chapitres de sa version de cette « biographie », ce n’était pas bien, il fallait arrêter et surtout pas aller de plus déposer plainte. Je m’apercevrai par la suite que cet avocat était associé à un pédophile s’étant jadis fait prendre en flagrant délit en Thaïlande, où résidait l’un des chefs de la bande Luraghi, le dénommé Georges Cortez originaire de l’Hérault, hôtelier, qui sous le pseudonyme de « Homere » faisait régulièrement l’apologie du terrorisme et de la pédophile, tout comme le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, et se revendiquait de plus bras armé du NPA en Thaïlande (il a aussi revendiqué publiquement les attentats islamistes de janvier 2015 à Paris).
Je n’obtiendrai ainsi jamais rien avant début novembre 2010. Un premier avocat aurait alors déposé une première plainte en mon nom. Problème : celle-ci n’a jamais été enregistrée par le Parquet de Brest et je n’en ai jamais vu aucune trace nulle part.
Cela permettra à la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest de se présenter comme la première plaignante dans cette affaire, le 26 novembre 2010. Elle prétendait alors avoir été avertie au cours de l’été 2010 par un membre de sa famille qu’elle était diffamée sur un blog dénommé « Un petit coucou » dont j’étais l’auteur anonyme, précisait qu’elle avait déjà eu connaissance de ce blog mais ne s’en était pas vraiment inquiétée, et qu’après avoir été informée au cours de l’été 2010 qu’elle y était diffamée, elle était allée le consulter et avait vu qu’elle y était nommée et accusée de nombreux méfaits. En réalité, elle participait très activement aux campagnes de calomnies publiques de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre depuis juin 2010, en apparaissant même comme l’unique source de « renseignements » ou inventions calomnieuses concernant mon passé et ma vie privée, venait aussi, tout comme lui et plusieurs autres membres de sa bande de cybercriminels, me harceler directement sur ce blog, et pour finir, déposait donc plainte à raison des droits de réponse que j’avais commencé à publier pour rétablir quelque peu la vérité sur moi-même. La criminelle n’admettait pas d’être contredite quand elle me présentait mensongèrement, pour faire court, comme une prostituée débile mentale et folle à lier. Elle continuait à mentir éhontément et ne voyait pas non plus de problème à révéler au public mon identité (obtenue grâce à des piratages informatiques dès mon inscription sur le site Rue89 au mois de décembre 2007), ainsi que toutes mes coordonnées et celles de mes proches, avec de récurrents appels au meurtre à notre encontre.
Convoquée par la police pour m’expliquer sur sa dénonciation le 7 décembre 2010, je déposerai plainte en réplique à cette date, ce qui provoquera dès le lendemain une nouvelle salve d’attaques et menaces publiques délirantes à mon encontre de la part du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, furieux de ce dépôt de plainte du 7 décembre 2010 dont il avait déjà connaissance. D’où, de ma part, une nouvelle plainte sur laquelle il sera entendu le 14 mars 2011.
Cette dernière plainte ayant été classée sans suite le 6 avril 2011 avec un motif totalement incompréhensible, j’en avais déposé une autre le 19 avril 2011 avec de nouveaux éléments ainsi que les témoignages d’autres victimes, mais désormais toutes mes plaintes étaient jetées sans la moindre considération dans un carton poubelle à mon nom marqué « plaignante d’habitude » – décision du substitut François Dresen, une petite merde issue de la fac de droit de Brest et qui savait donc depuis très longtemps, tout comme les autres magistrats brestois, que j’étais la « sale pute » de femme ingénieur qui dans les années 1990 avait toujours refusé de commettre des crimes et délits contre la Nation pour le compte de trafiquants d’armes extrêmement bien perçus dans la magistrature, surtout à Brest.
Le pédophile, trafiquant de drogue, cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi communiquait directement avec lui et annonçait publiquement sur son blog les classements sans suite de mes plaintes à peine ceux-ci signés et parfois même avant que le magistrat ne les eût formalisés.
Il l’avait fait pour le classement sans suite du 6 avril 2011 en annonçant fièrement à tous ses camarades « déconnologues » que tout avait marché comme sur des roulettes et que désormais ils étaient tranquilles et pouvaient continuer à violer quotidiennement l’intimité de ma vie privée, me calomnier et me harceler autant qu’ils le voulaient sans plus aucun souci.
Son plan, alors qu’en début d’année 2011 il savait que ma plainte de décembre 2010 le visant personnellement était traitée, puisqu’il était en ligne directe avec le magistrat qui en était chargé, avait consisté à publier toute une série de nouveaux articles calomnieux m’étant consacrés et dans lesquels il affectait de « réagir » pour la toute première fois à mes propos publics le concernant et qui n’étaient en fait que des réponses à toutes ses publications calomnieuses, ordurières et extrêmement violentes à mon encontre depuis juin 2010. Il faisait comme si tous ces précédents n’avaient jamais existé.
Le gendarme qui l’avait interrogé le 14 mars 2011 avait bien vu toute cette série d’articles de blog de janvier et février 2011, mais s’était arrêté là. Il n’a jamais consulté aucune des pages de commentaires de son blog, où se trouvait pourtant l’essentiel de ses publications me concernant, celles du quotidien depuis le début. Il devait également consulter le blog Tique Toc, mais n’en a jamais rien fait, se contentant des déclarations du délinquant qui lui affirmait que tout y était correct. Ayant néanmoins constaté l’existence des nouveaux articles de janvier et février 2011, alors qu’il avait entre les mains une plainte de décembre 2010 portant sur de précédents textes, il s’était contenté de demander au délinquant s’il en était bien l’auteur et ne l’a jamais interrogé sur les contenus dont il s’agissait. Le délinquant n’étant nullement tenu de justifier le moindre de ses propos publics me concernant, il ne le fera jamais, se contentant seulement de reconnaître qu’ils n’étaient « pas très sympathiques » à mon égard, et tout le monde fera toujours comme s’il n’avait toujours dit que la vérité sur tout, aussi bien dans ses écrits publics que dans ses déclarations du 14 mars 2011, sans jamais s’interroger sur la provenance de toutes ses allégations très particulières concernant ma vie privée et celles de mes proches, alors qu’il n’était pas censé me connaître, et mes proches, qui eux n’avaient jamais participé à aucun débat public, encore moins que moi.
Et pour ma plainte du 19 avril 2011, comme au préalable j’en avais discuté par courriers électroniques avec les autres victimes qui acceptaient de me fournir leurs témoignages, qu’elles m’avaient aussi communiqués par mails, tandis que le cybercriminel continuait à me pirater avec ses complices, il était parfaitement au courant de ce nouveau dépôt et supprimera tous ses articles de janvier et février 2011 dès le lendemain après avoir vérifié auprès du commissariat de police de Brest que je l’avais bien effectué – c’est en fait une de ses complices qui s’en était chargée, et avait même appelé plusieurs fois le commissariat en se faisant passer pour moi, si bien qu’ensuite une policière avait appelé à mon domicile pour demander si j’allais bien, car ces appels répétés dont j’aurais été l’auteur à propos de ma propre plainte lui paraissaient assez délirants…
A partir de ce printemps 2011, donc, non seulement je deviens une « plaignante d’habitude », mais de plus ma santé mentale est dite « sujette à caution » du fait de ces appels téléphoniques répétés au Commissariat central de police de Brest concernant ma plainte du 19 avril 2011 et dont en réalité je n’ai jamais été l’auteur.
C’en est fini de mes plaintes, avec cette nouvelle faute grave du magistrat : s’il croit vraiment que je suis malade mentale ou en train de craquer, les faits dont je suis victime en sont aggravés et il est encore plus urgent d’y mettre un terme.
Précisons pour ceux qui n’auraient jamais déposé aucune plainte dans un commissariat de police que c’est quand même assez difficile quand on est victime d’une multitude de faits de la part d’un grand nombre de personnes agissant toutes en bande organisée. Les dépositions sont courtes, une page ou deux, il n’est pas possible de tout déclarer ni tout expliquer, et d’ailleurs les policiers restreignent généralement la plainte à un seul fait et un seul mis en cause, deux tout au plus. Ils ne prennent pas non plus tous les justificatifs que l’on voudrait fournir, juste quelques-uns, et parfois même aucun, comme ce fut le cas lors de mon audition pour la confirmation de ma plainte de décembre 2010 contre le dénommé Pascal Edouard Luraghi car, selon la policière, c’était inutile, le gendarme de Puy-l’Evêque allait de toute façon consulter tous les blogs que je citais à la recherche des écrits me concernant, ce qu’il n’a jamais fait.
En outre, le propre des faits de harcèlement est précisément leur répétition ou leur renouvellement perpétuel. Il y en a sans arrêt. Dans certains cas, c’est tous les jours qu’on pourrait déposer de nouvelles plaintes, et ce n’est sûrement pas une seule et première plainte qui peut suffire pour tout arrêter.
C’est donc dans ce cadre-là, bien connu de tous dès le début, que je me retrouve très rapidement catégorisée « plaignante d’habitude » par le magistrat François Dresen, dont en fait il est certain qu’il ne servait que les intérêts de mes harceleurs en relation directe avec eux.
Aussi, à compter du 20 mai 2011, le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, déjà assuré de cette issue de ma dernière plainte contre lui, s’était mis à hacker comme un fou sous le pseudonyme de SaMo_Dz (il est en effet le pirate des préfectures de cette année-là et avait choisi pour sévir contre l’Etat la date du 24 juillet car c’était l’anniversaire des dix ans de son ancien « Site à Cyp », tout comme en 2016 il avait bien prévu de faire commettre par ses esclaves islamistes l’attentat du 26 juillet à cette même date, soit pour la messe du dimanche 24 juillet 2016, et cette année encore il risque de frapper à cette même date).
Puis, le 25 mai 2011, il avait publié un article de blog par lequel il indiquait à son public avoir décidé de fermer définitivement son atelier de dépannage informatique pour ne plus se consacrer qu’à l’écriture de son « bouquin » me concernant et précisait dans les commentaires sur cet article qu’il avait reçu à cet effet une somme d’argent assez conséquente pour le dispenser de travailler jusqu’à la fin de ses jours.
En voici une copie :
Dans la foulée sera annoncée le 8 juin 2011 une visite surprise de Frédéric Mitterrand à Brest le lendemain.
J’en avais été tellement choquée que j’avais alors publié l’article ci-dessous sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog (cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte) :
En effet, le dénommé Georges Cortez me menaçait depuis déjà longtemps des foudres de Frédéric Mitterrand qu’il disait très bien connaître.
De plus, à cette époque, ce dernier était Ministre de la Culture et les conservateurs du patrimoine étaient à l’évidence acquis à leur collègue Alain Pougetoux, « meilleur ami » de Cyprien Luraghi selon ce dernier, en tous les cas assez pour lui avoir acheté et offert la maison dont il est propriétaire à Puy-l’Evêque depuis 2003.
Ressortons donc la fiche Wikipédia de Frédéric Mitterrand (voir ci-dessous).
Il s’agit encore d’un pur produit de l’école de cul de Paris dont la critique n’est devenue possible que depuis janvier 2021.
Si en 2011, je n’avais pas dit grand-chose, maintenant je ne me gêne donc plus autant pour dire ce qui se passe et souligne encore que le protecteur de mes harceleurs n’est lui non plus vraiment pas du genre à se gêner :
Cavalier législatif au profil de LVMH
Alors que la construction de l’immeuble de la Fondation Louis-Vuitton est mise en difficulté, notamment en raison du fait que le bois de Boulogne n’est pas constructible62, Frédéric Mitterrand est soupçonné d’avoir fait usage d’un cavalier législatif pour faire valider par la loi sa construction63.
En janvier 2011 déjà, des riverains avaient aussi exprimé leur mécontentement face à ce projet, faisant annuler le permis du musée LVMH dont les travaux étaient en cours64. Afin que la construction de l’oeuvre soit réalisée malgré les interdictions, et dans le cadre de la deuxième lecture d’une proposition de loi sur le livre numérique, Frédéric Mitterrand propose un amendement sans réel rapport avec le livre numérique en faveur de la construction du musée de la fondation, faisant valoir un objectif culturel évident. Le député Nicolas Alfonsi (RDSE) accuse alors directement le Ministre de la Culture de faire pression dans une affaire judiciaire en cours avec un amendement sans rapport avec l’objet du texte65.
Une curiosité à ce tableau : l’intérêt dont il fit montre pour la prochaine inhumation dans l’enceinte du château de Brest de « l’inconnu de Vanikoro », lequel pourrait être l’Abbé Jean-André Mongez, dont je suis parente, et qui à l’égal de tous les autres membres de l’expédition La Pérouse est honoré par cette sépulture.
On rend hommage aux scientifiques du XVIIIème siècle et on assassine ceux d’aujourd’hui pour le bon plaisir d’un pédophile.
« L’inconnu de Vanikoro » inhumé au château de Brest
Ouest-France Modifié le 09/06/2011 à 17h12 Publié le 09/06/2011 à 00h00
Il était parti de Brest, il y revient. Deux siècles après le départ de l’expédition La Pérouse, « l’inconnu de Vanikoro » sera inhumé dans l’enceinte du château de Brest à la fin du mois. Une cérémonie doit avoir lieu le 29 juin prochain pour saluer ce retour symbolique. C’est ce que l’on a appris aujourd’hui à l’occasion d’une visite à Brest du ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand.
Le squelette a été retrouvé en 2003 à proximité de l’épave de la Boussole, l’un des deux navires de l’expédition commandée par Jean-François de La Pérouse et partie de Brest le 1er août 1785. Celle-ci a fait naufrage sur l’île de Vanikoro, dans le Pacifique, en 1788.
L’analyse des ossements a confirmé qu’il s’agit d’un Européen d’1,68 m, âgé d’une trentaine d’années. L’identité de cet homme n’a pas pu être déterminée avec certitude. Mais plusieurs indices portent à penser qu’il ne s’agissait pas d’un simple marin (les boucles de chaussures retrouvées à proximité, une corpulence plutôt gracile, etc.) mais plutôt d’un officier ou d’un savant de l’expédition.
À douze ans, il apparaît pour la première fois à l’écran, sous le nom de Frédéric Robert, dans le film d’Alex JofféFortunat, aux côtés de Michèle Morgan et de Bourvil4.
La qualité de ses programmations, alliant les classiques des studios américains et les films égyptiens, les films de Pasolini et de Duras, en fait une figure majeure de l’exploitation parisienne. Il diffuse parmi les premiers les films d’Ingmar Bergman, Kurosawa et Ozu. Mais, mauvais gestionnaire, il accumule les dettes pour quinze ans, et doit abandonner ses salles en 19865,12,13.
En 1981, inspiré par la fin d’une histoire amoureuse avec un collaborateur, il réalise son premier long-métrage, Lettres d’amour en Somalie, et publie sous le même titre l’année suivante son adaptation en roman12.
La même année, il propose une émission de cinéma à TF1, Étoiles et toiles, qu’il anime et produit jusqu’en 1986, et Ciné-Fêtes en 1984. Il poursuit ensuite avec Acteur Studio de 1986 à 1987, Permission de minuit de 1987 à 1988, Destins de 1987 à 19885.
Remercié par la première chaîne privatisée, il passe sur Antenne 2 en 1988, où il présente Du côté de chez Fred jusqu’en 1991, Étoile Palace en 1990, C’est votre vie en 1993, Les Amants du siècle en 1993 ou encore Caravane de nuit en 1994. Son « bonsoir » et sa voix nasale et nonchalante deviennent célèbres. Recevant un 7 d’or du meilleur animateur pour Du côté de chez Fred qui vient d’être arrêtée par la direction, il pose le trophée à terre en déclarant : « C’est là où se trouve le service public », puis s’en excuse le lendemain5.
Frédéric Mitterrand se passionne également pour les grands personnages historiques et notamment les têtes couronnées : il est ainsi souvent demandé pour commenter des cérémonies royales.
En 2012, à la création de D8, il doit animer une émission culturelle sur la chaîne16 mais le projet est finalement abandonné.
En 2018, Frédéric Mitterrand présente une émission en dix épisodes : « Ecrivains au péril de la guerre » (10X13’) réalisée par Thomas Briat en collaboration avec Antoine de Meaux.
Directeur de la Villa Médicis
Le 4juin2008, après l’avis positif d’une commission de dix personnalités créée pour l’occasion (la commission Gall)17, qui avait retenu trois candidats, le président de la République Nicolas Sarkozy choisit Frédéric Mitterrand à la direction de l’Académie de France à Rome, plus connue sous le nom de « Villa Médicis »18. Il est nommé par un décret du 5 juillet suivant et prend ses fonctions le 1er septembre19.
Pendant cette période, il négocie avec Laurent Solly du groupe TF1 la coproduction d’une émission mensuelle sur la Villa Médicis20 pour la chaîne Odyssée21. Mais il fait rapidement part de l’ennui qu’il ressent à cette fonction, qu’il laisse le temps d’un soir, pour présenter la Nuit des Molières en juin200911.
Membre du jury du prix Médicis depuis 2007, il s’est mis en disponibilité en septembre2009. Selon son président, l’écrivain Michel Braudeau, il en redeviendra membre de droit dès la cessation de ses fonctions ministérielles22.
Entre 2008 et sa nomination comme ministre de la Culture et de la Communication, il tient une chronique dans le mensuel Têtu23.
Le 9octobre2009, il décide la restitution de cinq fragments de peinture murale issus d’un tombeau de prince égyptien de la XVIIIe dynastie égyptienne, achetés par le Louvre mais dont la légalité de la sortie du territoire égyptien était en doute. Il soutient également la proposition de loi en faveur de la restitution des têtes maories.
Il signe le décret no 2009-1393 du 11novembre2009 relatif aux missions et à l’organisation de l’administration centrale du ministère de la Culture et de la Communication qui réorganise son administration en un secrétariat général et trois directions générales, refonte portée par son prédécesseur, Christine Albanel27.
Son refus, comme celui d’autres membres du gouvernement29, de condamner le régime du président tunisien Ben Ali qui réprime le mouvement populaire de contestation tunisienne en janvier2011, est critiqué par le Parti socialiste et Les Verts. Pour lui, « il y a une opposition politique mais qui ne s’exprime pas comme elle pourrait le faire en Europe. Mais dire que la Tunisie est une dictature univoque, comme on le fait si souvent, me semble tout à fait exagéré. »30. Frédéric Mitterrand s’est expliqué en déclarant : « la meilleure manière de protéger ceux auxquels j’étais attaché — et ça représentait tout le peuple tunisien et notamment les opposants — était de ne pas braquer un régime dont je connaissais parfaitement l’autorité »31. Il rappelle qu’il a toujours soutenu les artistes tunisiens32 – en tant que commissaire général de la saison tunisienne ou en tant que ministre – et qu’il a décoré en décembre2009 notamment le metteur en scène protestataire Fadhel Jaïbi33. Frédéric Mitterrand a plus tard présenté ses « regrets » au peuple tunisien dans une lettre qui a été publiée à la fin du mois de janvier 2011 dans un hebdomadaire tunisien34. Leïla Ben Ali, la femme de l’ancien président Ben Ali, déclare dans une interview publiée le 1er juillet 2012 par Le Parisien : « Le seul à nous avoir soutenus jusqu’au bout, c’est Frédéric Mitterrand »35.
Il reçoit en 2011 le rapport de Jérôme Bouët sur le partenariat entre l’État et les collectivités dans le domaine culturel, celui de Selles et Riester aboutissant au lancement du Centre national de la Musique, et mandate Hervé-Adrien Metzger, Jean-Louis Martinelli, Bernard Murat et Serge Dorny pour une mission d’étude sur le financement du spectacle vivant, pour lequel Frédéric Mitterrand annonce un plan d’actions de 3,5 M€ en 2012, le 8 juillet 2011 à Avignon. Il propose également 15 mesures en faveur des arts plastiques en octobre 2011 et un plan de développement des scènes de musiques actuelles, lance les Cafés cultures, fait voter la loi sur le prix unique du livre numérique, et défend la réforme de la redevance d’archéologie préventive. Durant l’année 2011, le Conseil de la création artistique et le Conseil national des musiques actuelles (CSMA) sont dissous, tandis que l’Institut français est mis en place pour remplacer Culturesfrance dans un contexte difficile pour le réseau culturel français à l’étranger37.
À partir du 26 août 2013, il anime Jour de Fred sur France Inter du lundi au jeudi de 18 h 20 à 19 h41. En avril 2014, il annonce l’arrêt de l’émission, qui a perdu 200 000 auditeurs en un an ; Frédéric Mitterrand voit dans ce choix une « animosité indigne de sa fonction »42 de la part de la ministre de la Culture Aurélie Filippetti, ce à quoi celle-ci répond : « Je ne suis jamais intervenue ni sur le choix des personnes ni sur le contenu des programmes [...] Je suis la ministre qui a fait voter la loi la plus progressiste en faveur de cette totale indépendance »42.
Christian Bourgois éditeur
En avril 2019, Frédéric Mitterrand a remplacé provisoirement Dominique Bourgois dans ses fonctions d’éditrice éditoriale de la maison Christian Bourgois éditeur ; la holding de la famille Mitterrand, présidée par Olivier Mitterrand (le frère de Frédéric) est entrée dans le capital de Christian Bourgois éditeur en janvier 2019, avant d’en prendre le contrôle43.
Autres
Académie française
En 2016, il présente sa candidature à l’Académie française, avant de la retirer deux semaines après en faveur d’Andreï Makine44. Il renouvelle sa candidature en 201845 : il obtient 11 suffrages, la majorité mais insuffisamment pour être élu46.
Académie des beaux-arts
Le 5 février 2020, Frédéric Mitterrand est officiellement installé à l’Académie des beaux-arts par son confrère Adrien Goetz, membre de la section des membres libres47.
Frédéric Mitterrand a été élu membre de l’Académie le 24 avril 2019 dans la section des créations artistiques dans le cinéma et l’audiovisuel au fauteuil précédemment occupé par Jeanne Moreau décédée le 31 juillet 201748.
Frédéric Mitterrand est ouvertement homosexuel50. Il a trois enfants : un fils naturel (né en 1981) et deux fils adoptés en Tunisie (nés en 1989 et 1991, tous deux à Hammamet).
Polémiques
Affaire d’abus sexuel sur mineur par Roman Polanski
En septembre2009, Frédéric Mitterrand apporte son soutien au réalisateur Roman Polanski qui, poursuivi aux États-Unis depuis 1977 pour une affaire de crime sexuel commis sur une fille de treize ans51 et délit de fuite, est arrêté en Suisse sur mandat d’arrêt américain52. Déclarant, à propos de cette affaire de viol, qu’il s’agissait d’« une histoire ancienne qui n’a pas vraiment de sens », il provoque la colère d’associations de victimes53 et des réactions négatives de la part de quelques hommes politiques ainsi que l’incompréhension de la presse étrangère, notamment anglo-saxonne54.
Le 5octobre2009, il est accusé par Marine Le Pen sur le plateau de Mots croisés, d’avoir pratiqué le tourisme sexuel et trouvé du plaisir à « payer des petits garçons thaïlandais », évoquant son récit La Mauvaise Vie paru en 200555 : « J’ai pris le pli de payer pour des garçons […] Évidemment, j’ai lu ce qu’on a pu écrire sur le commerce des garçons d’ici. […] Je sais ce qu’il y a de vrai. La misère ambiante, le maquereautage généralisé, les montagnes de dollars que ça rapporte quand les gosses n’en retirent que des miettes, la drogue qui fait des ravages, les maladies, les détails sordides de tout ce trafic. Mais cela ne m’empêche pas d’y retourner. Tous ces rituels de foire aux éphèbes, de marché aux esclaves m’excitent énormément […] On ne pourrait juger qu’un tel spectacle abominable d’un point de vue moral, mais il me plaît au-delà du raisonnable […] La profusion de garçons très attrayants et immédiatement disponibles me met dans un état de désir que je n’ai plus besoin de réfréner ou d’occulter. L’argent et le sexe, je suis au cœur de mon système, celui qui fonctionne enfin car je sais qu’on ne me refusera pas » Frédéric Mitterrand – La Mauvaise Vie 200556. La polémique médiatique et politique prend rapidement de l’ampleur, le député socialiste Patrick Bloche présentant son récit comme des écrits « insupportables »57 et l’accusant de ramener « les homos 10 ans en arrière »58. Frédéric Mitterrand doit réfuter le 8 octobre, au journal télévisé de TF1, avoir eu des relations sexuelles avec des mineurs et condamne avec fermeté tout tourisme sexuel et acte pédophile59.
À la suite de ces deux polémiques, il se fait médiatiquement plus discret jusqu’à la fin de l’année 200960.
Frédéric Martel
Le 9 septembre 2016, Frédéric Mitterrand est condamné pour injure à 5 000 euros de dommages-intérêts en raison des propos qu’il a tenus à l’encontre de l’écrivain et journaliste Frédéric Martel dans son livre La Récréation (TGI de Paris, XVIIe chambre)61.
Cavalier législatif au profil de LVMH
Alors que la construction de l’immeuble de la Fondation Louis-Vuitton est mise en difficulté, notamment en raison du fait que le bois de Boulogne n’est pas constructible62, Frédéric Mitterrand est soupçonné d’avoir fait usage d’un cavalier législatif pour faire valider par la loi sa construction63.
En janvier 2011 déjà, des riverains avaient aussi exprimé leur mécontentement face à ce projet, faisant annuler le permis du musée LVMH dont les travaux étaient en cours64. Afin que la construction de l’oeuvre soit réalisée malgré les interdictions, et dans le cadre de la deuxième lecture d’une proposition de loi sur le livre numérique, Frédéric Mitterrand propose un amendement sans réel rapport avec le livre numérique en faveur de la construction du musée de la fondation, faisant valoir un objectif culturel évident. Le député Nicolas Alfonsi (RDSE) accuse alors directement le Ministre de la Culture de faire pression dans une affaire judiciaire en cours avec un amendement sans rapport avec l’objet du texte65.
2015 : Silex and the City, série de Jul. Il interprète le rôle d’un rabbin préhistorique et le rôle du roi Louis-Silex.
Théâtre
2018 : « Bonsoir » seul en scène produit par Quartier Libre Production au Studio Marigny.Pour la première fois, Frédéric Mitterrand raconte et se raconte à travers la lecture de morceaux choisis de ses livres Le Festival de Cannes (2007), Une Adolescence (2015) et Mes regrets sont des remords (2016).
Les Aigles foudroyés, sept épisodes pour un total d’environ neuf heures, diffusé sur la chaîne France 2 en janvier 199767 ;
Mémoires d’exil68, une série documentaire de six fois 70 minutes, coproduction France 2 (1999) ;
Farah: The Last Empress69, documentaire de 2009, 75 min70.
Il réalise aussi deux séries sur des personnages historiques du XXe siècle et sur la vie sentimentale des artistes monogames : Étoiles, et Les Amants du siècle. Ces documentaires diffusés par Antenne 2-France 2 ont eu la particularité de se servir de films d’époque pour montrer des moments de la vie privée des familles royales et impériales d’Europe : Nicolas II de Russie se baignant dans une rivière avec son fils, un mariage princier en Autriche, etc. Mitterrand a rédigé deux livres à partir de ces deux séries documentaires.
En 1997, il écrit Norodom Sihanouk, Roi cinéaste71, un film documentaire de 64 minutes réalisé par Jean-Baptiste Martin – France 2 ;
En 1998, il réalise Fairouz72, un reportage-documentaire de 52 min, diffusion Arte.
En 2001, il réalise Je suis la Folle de Brejnev73, un film documentaire de 74 minutes, coproduction France 3, présenté aux festivals : Films gays et lesbiens de Bruxelles (2003), Films gays et lesbiens de Paris (2003), et au Gay Kitsch de Lille (2003).
En 2006, il réalise la série Un printemps 1956, en deux volets : L’Indépendance du Maroc et L’Indépendance de la Tunisie.
En 2008, pour la collection Empreintes de France 5, il réalise Jean d’Ormesson, la vie ne suffit pas.
En 2017, il écrit et réalise « Christian Dior, La France » (2X90’) diffusé sur France 3 et TV5 Monde.
Il est également l’auteur et le réalisateur du film documentaire « La rose de Tirana » (52’) en co-production avec ARTE France et « Le pays de l’innocence, enfance et adolescence de François Mitterrand » (59’) en co-production avec la chaîne Parlementaire (LCP).
En 2018, il écrit et réalise « Tlemcen 1937 » (52’) en co-production avec la chaîne Histoire.
De plus il écrit et réalise « Hollywood, la vie rêvée de Lana Turner » (90’) un documentaire sur Lana Turner en co-production avec ARTE France.
Avec le journaliste Gilles Biassette, il écrit et réalise Trump, le parrain de Manhattan, diffusé le 8 octobre 2018 sur France 374.
Ouvrages
Tous désirs confondus, Actes Sud, 1988, réédition 2009
Philippe Pasqua, préface de Frédéric Mitterrand, Philippe Pasqua, autoportrait : Entretiens avec Cyr Mald, Éditions Séguier, 2014 (ISBN978-2-8404-9669-4)
Le pays de l’innocence, Robert Laffont, 2017
Le duel, Napoléon III et Victor Hugo, XO éditions, 2019
Martine Bourrillon, « Frédéric Mitterrand : « Mon nom me procure plus d’inconvénients que d’avantages » », in Télé 7 jours, no 1200 (28 mai au 3 juin 1983) : « Il se présente à l’ENA. Il est admissible. Et soudain la crise. Sentimentale. Qui le fait renoncer à présenter l’oral. Il ne sera pas fonctionnaire. Il ne peut pas. Ce n’est pas sa voie. »
Mohammed Aïssaoui, « Académie française : Frédéric Mitterrand ne remporte pas la majorité des voix », Le Figaro, 22 juin 2018 (lire en ligne [archive], consulté le 12 août 2020).
« « La Mauvaise Vie » de Frédéric Mitterrand : les passages qui dérangent », Le Monde.fr, 8 octobre 2009 (lire en ligne [archive], consulté le 26 janvier 2021)
Meurtre à l’Olympic (roman-photo) / texte de Gérard Guégan ; photographie de Maya Sachweh ; avec Frédéric Mitterrand (Georges Ridder), Arielle Dombasle (Marlène Rivaud), Pascal Greggory (Serge Zola), Pascale Richard (Muriel Sony), Raphaël Sorin (Joseph Huysmans), Anne Guégan (Paula Maup) et Alain Massiot (inspecteur de police). In Playboy France, mai 1983, no 114 (vol. 11, no 5), p. 61-67.
De toute façon, officiellement, il n’y a aucune menace particulière en ce moment. Donc il ne peut pas s’agir d’un acte terroriste.
Rappel : le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi a bien relancé une nouvelle série de fêtes islamistes fin mai dernier et il a sûrement préparé un gros coup pour le 14 juillet. Il adore faire la fête à sa manière ce jour-là, et cette année comme en 2016 et précédemment en 2011 (il s’était alors contenté d’attaquer par piratage informatique et faire tomber la plateforme de blogs Overblog pour obliger ses informaticiens à bosser le jour de la Fête nationale), cela coïncide parfaitement avec son calendrier festif habituel lorsqu’il attend que toutes ses saloperies à mon encontre portent enfin leurs fruits.
Grenoble : un homme armé abattu par la police en centre-ville
Les faits sont survenus quand le passager d’un scooter, en possession d’une « arme longue » a « braqué son arme en direction de policiers ». Selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agit de « faits de droit commun, pas du tout de terrorisme ».
Le Monde avec AFP
Publié aujourd’hui à 10h19, mis à jour à 11h09
Les faits ont eu lieu en plein centre-ville de Grenoble jeudi 7 juillet en fin d’après-midi. Un homme de 24 ans, qui circulait à scooter avec un passager armé, a été tué par la police, a appris l’Agence France-Presse (AFP) de sources concordantes.Une source policière a précisé à l’AFP que le conducteur du scooter, vêtu d’un gilet pare-balles, circulait en compagnie d’un passager armé d’une « arme longue ». Ce dernier a « commencé à braquer son arme en direction de policiers », qui ont tiré à deux reprises, touchant le conducteur à la tête.
Le parquet a précisé que les occupants du scooter avaient croisé la route de deux fonctionnaires de police qui effectuaient une patrouille à pied vers 18 h 15, et qu’un jeune homme âgé de 24 ans, « connu des services de police », était mort « sur place malgré les soins prodigués rapidement par les secours ». L’autre occupant du scooter est lui parvenu « à prendre la fuite ».
Une arme, « de type kalachnikov, chargée a été retrouvée sur les lieux », dans le secteur du quartier Hoche, a encore précisé dans un communiqué le procureur adjoint de Grenoble, Boris Duffau.
Deux enquêtes ont été ouvertes. La première sur les faits de « tentative de meurtre sur personne dépositaire de l’autorité publique », confiée au service de police judiciaire de Grenoble, et la seconde a été confiée à l’IGPN, la « police des polices » sur les faits de coups mortels. « Le policier qui a fait usage de son arme a été placé en garde à vue et devrait être entendu dans la soirée par des enquêteurs de l’IGPN », a ajouté M. Duffau, lequel précise qu’une autopsie serait réalisée vendredi matin.
Une autre source policière contactée par l’AFP a expliqué que, selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agit de « faits de droit commun, pas du tout de terrorisme ».