Coronavirus à Brest, menace internationale « très élevée », merci mon Dieu !

Je ne devrais pas me réjouir, c’est sérieux : des tas de gens en souffrent déjà, d’autres sont morts et cela va continuer.

Et pourtant, quoique mal foutue comme dit précédemment, je me sens vraiment libérée d’un poids énorme : au moins le temps de cette première vague d’épidémie, voire de pandémie, je ne risque plus trop d’être atteinte par les « contacts » physiques non sollicités que mes harceleurs Pascal Edouard Cyprien Luraghi de Puy-l’Evêque, Jean-Marc Donnadieu de Béziers, leur cheftaine la mère maquerelle Josette Brenterch du NPA de Brest et tous leurs complices « déconnologues » et autres s’ingénient par tous les moyens à provoquer à mon encontre depuis une bonne dizaine d’années pour les deux premiers et beaucoup plus pour la troisième.

Du coup, je me sens pousser une paire d’ailes toutes neuves et vais faire brûler un cierge pour mon Dieu Coronavirus.

 

 

https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/finistere/brest/coronavirus-premier-cas-confirme-bretagne-brest-1792817.html

DIRECT. Coronavirus : “deux nouveaux cas suspects en Bretagne” annonce l’Agence régionale de Santé

 

Stéphane Mulliez, directeur de l'ARS Bretagne fait le point sur le Coronavirus dans la région / © T. Bouilly - France Télévisions

Stéphane Mulliez, directeur de l’ARS Bretagne fait le point sur le Coronavirus dans la région / © T. Bouilly – France Télévisions

 

Un premier cas de Coronavirus confirmé a été relevé en Bretagne, à Brest. Un homme âgé de 72 ans est actuellement hospitalisé au CHU, en réanimation. L’Agence régionale de santé a tenu une conférence de presse ce vendredi en précisant que deux nouveaux cas suspects ont été identifiés.

Par E.C & L.H Publié le 28/02/2020 à 07:56 Mis à jour le 28/02/2020 à 17:43

Stéphane Mulliez directeur général de l’ARS Bretagne s’est exprimé ce vendredi 28 février à la suite du premier cas de Coronavirus confirmé et l’évolution de la situation dans la région.

Le patient hospitalisé à Brest dans un état stable

« Le patient breton atteint du coronavirus est hospitalisé au CHRU de Brest en réanimation médicale. Son état de santé est stable. Son épouse qui a voyagé avec lui en Egypte est également hospitalisée à Brest dans le service des maladies infectieuses pour être diagnostiquée » affirme Stéphane Mulliez.

Le CHU de Brest accueille un cas confirmé de Coronavirus. Une cellule de crise a été mise en place indique l'Agence Régionale de Santé au sein de l'établissement hospitalier / © S. Ben Cherifa - France Télévisions

Le CHU de Brest accueille un cas confirmé de Coronavirus. Une cellule de crise a été mise en place indique l’Agence Régionale de Santé au sein de l’établissement hospitalier / © S. Ben Cherifa – France Télévisions

« L’ARS et Santé publique France ont établi une liste des personnes ayant été en contact étroit avec eux pour procéder à leur surveillance« .

De nouveaux cas suspects

« Deux nouveaux cas suspects ont été identifiés en Bretagne. Des tests sont actuellement effectués à Rennes pour diagnostiquer s’il s’agit de cas confirmés ou non. Les résultats sont attendus dans la journée« .
« Plusieurs dizaines de cas possibles ont été infirmées. A l’heure actuelle, seul le patient de Brest est un cas confirmé de coronavirus« .

Quelle organisation sanitaire en Bretagne ? 

« Deux établissements bretons dits de premier rang sont en capacité de prendre en charge les cas confirmés de patients atteints du coronavirus. Les CHU de Rennes et de Brest ».

« Les centres hospitaliers de Vannes, Saint-Brieuc, Lorient et Quimper sont des établissements de deuxième rang. Ils sont armés pour, si besoin, prendre aussi en charge les patients contaminés ».

« Nous finalisons des tests au CHRU de Brest pour que l’établissement puisse procéder lui-même à des diagnostics« .

Revoir la conférence de presse de l’ARS Bretagne, en intégralité

Climat particulier à Plougonvelin

Le patient hospitalisé au CHRU de Brest, contaminé par le coronavirus, est originaire de Plougonvelin. Dans la commune, située à une vingtaine de kilomètres de Brest, les habitants n’ont pas tous accueilli la nouvelle de la même manière.

Plusieurs d’entre eux affirmaient continuer à « vivre normalement« , comme l’explique une habitante qui promenait son chien dans la rue cet après-midi. Une attitude sereine qui contraste avec l’inquiétude de certains, bien plus préoccupés par la situation.

Selon nos informations, la mairie de Plougonvelin a reçu ce vendredi « une quinzaine d’appels » de la part de personnes résidant en la commune. Ces dernières cherchaient à savoir quel comportement adopter et quelle procédure suivre aujourd’hui pour éviter toute contamination.

Mais l’homme hospitalisé aurait déjà pris des précautions lors de son retour d’Egypte, il y a quelques jours. Selon les informations recueillies par nos journalistes de France 3 aux alentours de Brest, le septuagénaire, se sentant mal lors de son retour de voyage, se serait lui-même isolé dans son logement. En demandant même à la femme de ménage qui passait d’habitude chez lui de ne pas venir pour éviter une propagation d’une quelconque maladie. Les analyses révéleront finalement que l’homme est contaminé par le coronavirus.

Un premier cas identifié jeudi

L’Agence régionale de Santé (ARS) et le Ministère de la Santé annoncent un premier cas de Coronavirus confirmé en Bretagne. Le patient est actuellement hospitalisé dans le service de réanimation du CHU de Brest. Il s’agit d’un homme âgé de 72 ans qui a récemment séjourné en Egypte, dans le cadre d’un voyage organisé. Selon l’ARS, « les investigations ont immédiatement commencé pour déterminer la source de cette contamination. »

Une enquête est également en cours pour identifier l’ensemble des personnes ayant été en contact avec ce patient, y compris parmi le personnel soignant. « Une cellule de crise a été immédiatement mise en place au CHRU de Brest. » 

Conformément au protocole prévu, si les sujets contacts proches de ce patient présentent des symptômes de type fièvre, toux et difficultés respiratoires, des prélèvements sont alors effectués à des fins de détection d’une éventuelle présence du virus. L’ARS rappelle :  « En l’absence de signes cliniques, un isolement à domicile doit être observé pendant 14 jours. Dans ce cas, l’ARS appelle quotidiennement ces personnes pour suivre l’évolution éventuelle des signes cliniques. »

La rentrée scolaire approche, des précautions à prendre

Alors que la rentrée doit avoir lieu lundi prochain, le rectorat invite toutes les personnes revenant des zones à risques (Chine continentale, Hong Kong, Macao, Singapour, Corée du Sud et les régions de Lombardie et de Vénétie en Italie) à rester confinées à leur domicile durant les 14 jours suivant leur retour. Cette consigne s’applique particulièrement aux élèves scolarisés ou aux enfants des crèches.

38 cas en France

« Nous faisons face à une augmentation sensible du nombre de cas sur notre territoire. » 38 cas ont été recensés ce 27 février à 19 h, par le Ministère de la Santé. Le gouvernement tient à rassurer : « Notre système de santé est prêt. Nous ne sommes pas en réaction puisque nous sommes depuis des semaines dans l’anticipation. Nous avons et nous garderons un temps d’avance. » « 138 établissements hospitaliers sont prêts à recevoir des malades. »
En France, deux patients sont décédés à la suite de cette maladie dont un originaire de l’Oise, âgé de 60 ans.

La carte des cas de Coronavirus en France

Dans une carte, France Inter rend compte des contaminations, des guérisons et des décès.

Un numéro vert gratuit est à la disposition de toutes personnes souhaitant des informations non médicales : le  0 800 130 000.

 

 

https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/coronavirus-l-oms-qualifie-la-menace-de-tres-elevee-son-niveau-le-plus-haut-6757331

Coronavirus. L’OMS qualifie la menace de « très élevée », son niveau le plus haut

 

L’Organisation mondiale de la santé a relevé le niveau de la menace internationale que fait planer le Covid-19. Le nouveau coronavirus a déjà contaminé plus de 80 000 personnes et fait près de 3 000 morts.

 

Une carte des cas de coronavirus dans le monde, présentée par l’Organisation mondiale de la santé.
Une carte des cas de coronavirus dans le monde, présentée par l’Organisation mondiale de la santé. | DENIS BALIBOUSE / REUTERS

 

Ouest-France avec AFP. Publié le 28/02/2020 à 17h19

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé, ce vendredi 28 février 2020, avoir porté à très élevé, son degré le plus haut, le niveau de menace liée au nouveau coronavirus, qui a contaminé quelque 79 000 personnes en Chine et plus de 5 000 dans le reste du monde.

L’augmentation continue du nombre de cas, et le nombre de pays touchés ces derniers jours sont clairement préoccupants, a déclaré le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, en conférence de presse.

Nos épidémiologistes ont suivi ces développements en permanence et nous avons maintenant augmenté notre évaluation du risque de propagation et du risque d’impact du Covid-19 à un niveau très élevé au niveau mondial, son niveau le plus haut, a-t-il ajouté.

Il a également indiqué que plus de 20 vaccins sont en cours de développement dans le monde et plusieurs produits thérapeutiques sont en cours d’essais cliniques. Les premiers résultats sont attendus dans quelques semaines, a-t-il détaillé.

Près de 3 000 décès

Si la Chine était jusqu’à peu l’unique foyer mondial de coronavirus, le risque s’est démultiplié avec l’émergence de nouveaux pays-sources comme la Corée du Sud, l’Iran et l’Italie. Une cinquantaine de pays sont désormais touchés, selon l’OMS.

En Chine, d’où est partie l’épidémie fin décembre, le virus a tué 2 791 personnes. Dans le reste du monde, 67 personnes en sont décédées, selon l’agence spécialisée de l’ONU.

Ce que nous voyons actuellement, ce sont des épidémies liées au Covid-19 dans plusieurs pays, mais la plupart des cas peuvent encore être attribués à des contacts connus ou à des groupes de cas, a relevé le patron de l’OMS.

La clé pour contenir ce coronavirus est de briser les chaînes de transmission, a-t-il dit.

Pas au stade de la pandémie

Bien que l’OMS ait élevé le niveau de la menace à l’international, l’organisation ne considère pas qu’il s’agisse d’une pandémie.

Une pandémie est une situation dans laquelle tous les citoyens sont exposés, ce qui n’est pas le cas actuellement, a expliqué aux journalistes le directeur des programmes d’urgence de l’OMS, le Dr. Michael Ryan.

S’il s’agissait d’une épidémie de grippe, nous aurions parlé de pandémie, mais dans le cas du nouveau coronavirus, nous avons constaté qu’avec des mesures d’endiguement, le cours de l’épidémie peut être arrêté de manière significative, a-t-il dit.

 



Attention, je suis contagieuse !

Je préviens tous ceux qui seraient tentés de venir m’agresser chez moi, ce n’est vraiment pas le moment s’ils souhaitent rester en bonne santé.

En effet, depuis deux jours, j’ai mes petits symptômes saisonniers, voire plus : nausée permanente, mal de tête pas possible, que je commence tout juste à calmer un peu, sinon je ne serais toujours pas devant l’écran, nez qui coule, frissons, courbatures, etc…

Je ne sais pas ce que c’est, ça devrait passer tout seul ou presque, comme d’hab.

Voili, voilà.



Des vidéos américaines tournées à Brest après les bombardements, en 1944

 

 

Petit intermède sur ma ville, avec ces vidéos très émouvantes, au moins pour moi qui cherche à comprendre comment et pourquoi, aujourd’hui, on y assassine au vu et au su de tous des familles entières d’ingénieurs aux noms bretons.

 

https://www.ouest-france.fr/bretagne/brest-29200/recit-un-chercheur-americain-deterre-des-videos-impressionnantes-de-brest-detruite-en-1944-6753895

RÉCIT. Un chercheur américain déterre des vidéos impressionnantes de Brest détruite en 1944

 

Ces images sont impressionnantes. Elles dormaient dans les archives nationales américaines. Un doctorant américain, Jeff Nichols, en partage des extraits sur son compte Twitter. On y voit des vidéos de Brest (Finistère), totalement détruite, après le siège des Américains, qui a duré 43 jours. C’était en 1944.

 

Un soldat américain face à deux femmes.
Un soldat américain face à deux femmes. | DR/CAPITAINE CLAXTON RAY

 

Ouest-France Gaëlle COLIN. Publié le 26/02/2020 à 11h00

 

« De Brest, dont il ne restait rien », comme l’écrivait Jacques Prévert. Cette phrase colle on ne peut mieux avec ces vidéos numérisées qui dorment dans les archives américaines. On y voit Brest (Finistère) complètement ravagée. Ces films-là documentent le siège de la cité du Ponant par les Alliés. 43 jours, où libération rime avec explosions. Les Allemands se sont rendus le 18 septembre 1944….

RÉCIT. Un chercheur américain déterre des vidéos impressionnantes de Brest détruite en 1944

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D’autres vidéos ici :

https://twitter.com/backwards_river/status/1217161321327648769

 



Cyberharcèlement : comment le harceleur Cyprien Luraghi tente de dissuader des victimes de porter plainte

Il le fait régulièrement dans ses propos publics sur Twitter, comme par exemple dans les échanges récents dont copies ci-dessous, toujours en se présentant mensongèrement comme une victime que la justice n’aurait pas entendue, ce qui est totalement faux : s’il a effectivement perdu dans toutes ses procédures à mon encontre, à Brest pour commencer en 2015 et 2016, puis à Paris de 2016 à 2018, c’est uniquement parce qu’à chaque fois j’ai pu prouver qu’il inversait la situation, m’accusant mensongèrement de faits que je n’avais pas commis, faits de même nature que ceux dont il se rendait, lui, véritablement coupable à mon encontre.

Non, je ne l’ai jamais ni harcelé ni diffamé d’aucune manière, tout ce que je publie à son sujet est toujours rigoureusement exact, je n’ai jamais manqué de preuves pour en justifier, et même, comme il le sait parfaitement bien pour me pirater et m’écouter illégalement depuis au moins douze ans, j’en sais et j’en ai bien au-delà de ce que je rapporte publiquement, ayant à coeur – contrairement à lui – de ne commettre aucune atteinte à l’intimité de la vie privée contre quiconque.

Voilà pourquoi il perd systématiquement quand il m’attaque en justice et n’a plus rien tenté depuis sa dernière défaite, au mois d’avril 2018.

En revanche, comme il l’a toujours fait depuis le début, il continue à manipuler des tiers pour diverses exactions à mon encontre, dont des dénonciations calomnieuses.

Par ailleurs, en tant que pédophile, il bénéficie toujours auprès d’un certain nombre de magistrats, notamment ceux du Tribunal de Grande Instance de Brest, d’un pouvoir considérable.

Voilà pourquoi, en ce qui me concerne, j’éprouve effectivement de telles difficultés à me faire entendre de la justice comme victime de ce cybercriminel, pervers et mythomane notoire que ce n’est toujours pas fait au jour d’aujourd’hui, quoique plusieurs magistrats de différentes juridictions se soient déjà prononcés dans ce sens et que la Cour d’appel de Rennes ait déjà plusieurs fois renvoyé des dossiers d’informations judiciaires à mes juges d’instruction finistériens avec injonction d’informer : en effet, même cette juridiction de contrôle n’est toujours pas entendue par mes magistrats ultra CORROMPUS du Finistère qui restent autant que possible et irrémédiablement aux ordres du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

Aussi, de grâce, ne vous laissez donc pas retourner la tête par ce pervers, il vous ment, à vous comme à tout le monde.

 

Cyberharcèlement : comment le harceleur Cyprien Luraghi tente de dissuader des victimes de porter plainte dans AC ! Brest Cyprien%2BLuraghi%2Bon%2BTwitter_%2B_%2540tetue%2B%2540avalinacrea%2BPersonne%2Bau%2Bmonde%2Bn_%2B-%2Btwitter.com

 

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Affaire Griveaux : quel est vraiment le projet de Piotr Pavlenski ?

Selon son éditrice, il serait contre tout pouvoir, quel que soit le pays.

Cependant, selon l’avocat qui dit l’avoir conseillé avant qu’il ne publie les vidéos de Benjamin Griveaux se masturbant face à la caméra, il « veut provoquer une bascule sociétale avec un discours : la politique est devenue pornographique, révélons la pornographie de la politique. »

Ce discours n’est pas vraiment nouveau, c’est celui des pédophiles, également en lutte contre tout « puritanisme », ou tout au moins de deux d’entre eux, et non des moindres : Gabriel Matzneff (voir exemple ci-dessous) et Pascal Edouard Cyprien Luraghi – le second n’ayant jamais fait preuve de la moindre idée personnelle doit copier sur le premier qu’il dit bien avoir toujours lu et dont il collectionne les écrits pédoponographiques.

Or, en France, pédophilie et pouvoir sont intimement liés.

Le Russe Piotr Pavlenski, peut-être pas au fait des réalités du pouvoir en France, ne serait-il pas en train de se fourvoyer sous l’influence pernicieuse des militants de l’extrême-gauche française dont il est manifestement entouré ?

Je rappelle à l’attention de ceux qui ne le sauraient pas encore que ces gens sont des spécialistes de l’inversion : inversion des faits, des personnes, des caractères, des idées, des valeurs, de tout.

Critiqués pour leurs écrits véritablement pornographiques, ils qualifient de « pornographiques » les écrits de tous ceux qui les dérangent, les contredisent ou pointent leurs écrits et comportements inadmissibles.

C’est notamment ce que fait avec moi le pédophile et pornographe Pascal Edouard Cyprien Luraghi depuis maintenant une bonne dizaine d’années : auteur à mon encontre de violentes campagnes de calomnies publiques dans un style revenge porn tellement évident que tous les professionnels que j’ai dû consulter à ce sujet se sont montrés très étonnés qu’il ne me connaisse absolument pas avant de se lancer dans une telle entreprise à mon encontre, il ne s’est pas gêné pour porter plainte contre moi en qualifiant tous mes propos publics anonymes, depuis les tout premiers sur le site Rue89 en 2008 et 2009, d’ « obscènes », de « répugnants » et d’ « orduriers », alors que ce sont bien les siens me concernant qui le sont, et non les miens, à quelque sujet que ce soit.

 

https://www.voici.fr/news-people/actu-people/video-sextape-de-benjamin-griveaux-les-declarations-glacantes-dune-proche-de-piotr-pavlenski-675139

24/02/2020 à 16h13  | par La Rédaction | Crédits photos : SIPA

« Jusqu’à la mort »

VIDEO Sextape de Benjamin Griveaux : les déclarations glaçantes d’une proche de Piotr Pavlenski

 

24/02/2020 à 16h13  | par La Rédaction | Crédits photos : SIPA

VOICI Sextape de Benjamin Griveaux : les déclarations glaçantes d’une proche de Piotr Pavlenski
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Affaire Griveaux : quel est vraiment le projet de Piotr Pavlenski ? dans AC ! Brest picture
Vidéo suivante :
VOICI – Sextape de Benjamin Griveaux : comment Alexandra de Taddeo est entrée en contact avec Piotr Pavlenski

 

VOICI Sextape de Benjamin Griveaux : les déclarations glaçantes d’une proche de Piotr Pavlenski

 

Invité du Morandini Live ce lundi 24 février, Natalia Turine, éditrice de l’artiste Piotr Pavlenski, à l’origine de la diffusion des vidéos non authentifiées de Benjamin Griveaux, en a dit plus sur le caractère et la détermination de son client.

Le 14 février dernier, Benjamin Griveaux, candidat LREM à la mairie de Paris, annonçait le retrait de sa candidature. Au cours de la nuit, des vidéos à caractère sexuel non authentifiées le concernant étaient publiées sur les réseaux sociaux. Ces « attaques ignobles », comme il les a qualifiées, sont signées Piotr Pavlenski. Le militant russe de 35 ans, mis en examen et placé sous contrôle judiciaire depuis, ne compte pas s’arrêter là. Dans une interview pour CNN, le compagnon d’Alexandra de Taddeo – à qui Benjamin Griveaux aurait envoyé les fameuses vidéos – faisait part de sa détermination à aller jusqu’au bout de sa « démarche artistique » : « Pour moi, c’est seulement le début ». Le jour de la diffusion des vidéos sur son site porno-politique, Piotr Pavlenski déclarait d’ailleurs à BFM TV : « Griveaux est le premier, cela va continuer ».

« Il cherche à semer la pagaille »

Natalia Turine, son éditrice, connaît bien le personnage. Pour avoir travaillé de longues années à ses côtés, elle sait que Piotr Pavlenski n’a peur de rien. Conviée sur le plateau du Morandini Live ce lundi 24 février, elle a même expliqué les motivations de son client : « Comme tout artiste, il cherche à semer la pagaille. C’est trouver une faille dans une société et taper dedans. En l’occurrence, ce n’est pas la société qui l’intéresse, c’est le pouvoir. Il est contre tout pouvoir quelque soit le pays » a-t-elle précisé à Jean-Marc Morandini. Toujours selon elle, quand Piotr Pavlenski a un objectif en tête, tous les moyens sont bons pour y arriver : « Je ne sais pas s’il a d’autres vidéos. Moi, ce que je sais, c’est que Pavlenski va aller jusqu’à la mort ».

 

https://www.lepoint.fr/justice/affaire-griveaux-nouvel-imbroglio-autour-de-l-avocat-juan-branco-25-02-2020-2364278_2386.php

Affaire Griveaux : nouvel imbroglio autour de l’avocat Juan Branco

 

« Je ne suis pas le troisième homme. En quoi suis-je devenu le sujet de cette affaire ? » s’interroge l’avocat trentenaire dans les colonnes du « Parisien ».

 

Par

Modifié le 25/02/2020 à 09:28 – Publié le 25/02/2020 à 09:08 | Le Point.fr

Il a joué un rôle flou dans ce qui est devenu « l’affaire Griveaux ». Juan Branco, avocat de 30 ans, avait assuré avoir « conseillé » Piotr Pavlenski sur les vidéos à l’origine du retrait de Benjamin Griveaux, avant leur diffusion. Une proximité qui avait poussé le bâtonnier de Paris à demander à Juan Branco de renoncer à défendre l’activiste russe. C’est finalement Me Yassine Bouzrou qui a été désigné pour assurer la défense de l’artiste de 35 ans.

Lire aussi Sur Wikipédia, la biographie sur mesure de Juan Branco

L’avocat pourrait être entendu prochainement par les enquêteurs, comme le révèle Le Parisien. « Ils peuvent aller se faire voir pour que j’aille trahir le secret professionnel ! On fait témoigner des avocats contre leurs clients maintenant ? On est dans l’Inquisition ? Cela relève soit de la cabale politique soit d’une panique du pouvoir. Je ne suis pas le troisième homme. En quoi suis-je devenu le sujet de cette affaire ? » s’interroge le trentenaire. Lui se défend de faire partie d’un quelconque trio. « Quand je dis « nous », c’est un « nous » de plaidoirie. Je me mets devant le client symboliquement. Je le couvre, c’est une stratégie de défense et non une coaction. »

Lire aussi Michel Richard – Lettre d’un Français honteux à Piotr Pavlenski

Un « discours intellectuellement audible »

Cité par le quotidien, l’avocat raconte avoir rencontré Piotr Pavlenski lors d’une conférence à la Sorbonne organisée par Alexandra de Taddeo. Celui-ci lui confie alors avoir « élaboré secrètement une grande action, sans dire quoi précisément », raconte Juan Branco. Qui poursuit : « Et, dans la foulée, il me demande si j’accepte de l’accompagner comme avocat. Je m’attends à une action à la Pavlenski comme en Russie. Puis celui-ci me recontacte à la fin du mois de janvier, je crois, pour me dire que cette action est quasiment prête. De façon très secrète, il arrive avec son ordinateur. Il me dit avoir un site Internet appelé Pornopolitique. Il parle de relations épistolaires, de photos diverses. Je lui conseille de flouter les images. » Et le Russe d’expliquer vouloir « créer une banque de données sur le rapport pornographique aux politiques. Il veut provoquer une bascule sociétale avec un discours : la politique est devenue pornographique, révélons la pornographie de la politique. C’est un discours intellectuellement audible. »

Piotr Pavlenski lui aurait alors demandé s’il voulait participer à cette action. Une proposition qui aurait également été faite à la figure des Gilets jaunes Maxime Nicolle. « J’ai refusé, choisissant de rester strictement dans mon rôle d’avocat. De plus, j’avais peur que ce soit faux, que Pavlenski soit manipulé par son entourage ou qu’il s’agisse d’un coup de Trafalgar visant à me discréditer. Jusqu’à ce que Griveaux démissionne, j’ai un fort doute qu’il s’agisse de lui sur la vidéo. » L’avocat confirme avoir formulé des conseils juridiques à l’artiste russe et l’avoir averti du risque encouru. Il ajoute avoir transmis des noms de journalistes qui pouvaient être intéressés par cette affaire.

Lire aussi Sébastien Le Fol – Et maintenant, la gauche Branco !

« La stratégie de Juan »

Dans les colonnes du Parisien, Juan Branco livre certains doutes. « Je me suis demandé, reconnaît-il, si cette action était intéressante et avait une pertinence politique. C’est un symptôme d’ensauvagement de la société. Pour ma part, je n’aurais jamais diffusé ces vidéos. Ce ne sont pas mes méthodes. Ceux qu’il faut interroger sur la complicité, voire le recel, ce sont ceux qui ont relayé la vidéo, comme Joachim Son Forget. Ils sont parfaitement conscients de ce qu’ils font quand ils le font. »

D’après une information révélée par LCI, Juan Branco aurait été le destinataire de SMS envoyés par Alexandra de Taddeo juste avant son arrestation. Dans un message, elle aurait même évoqué « la stratégie de Juan », confient certaines sources. Joint par TF1, l’avocat nie toute stratégie. « Ma seule et unique stratégie était de l’aider en cas de garde à vue, de savoir ou non si par exemple je devais prendre la parole. Rien d’autre. »

Lire aussi Affaire Griveaux : les zones d’ombre d’Alexandra de Taddeo

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Vidéos intimes de Griveaux : Juan Branco sème la zizanie chez les avocats

 

 

https://www.lepoint.fr/invites-du-point/gabriel-matzneff/gabriel-matzneff-l-atmosphere-devient-irrespirable-08-11-2019-2346101_1885.php

Gabriel Matzneff – L’atmosphère devient irrespirable

 

Liliana Segre, sénatrice italienne de 89 ans, est victime d’un féroce lynchage de la part des réseaux sociaux.

 

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Publié le 08/11/2019 à 15:38 | Le Point.fr
Liliana Segre, senatrice italienne et survivante des camps de concentration.
Liliana Segre, sénatrice italienne et survivante des camps de concentration.

© Francesco Militello Mirto / NurPhoto

Liliana Segre. Peut-être ce nom ne dit-il pas grand-chose au public français. Eh bien, Mme Liliana Segre est une sénatrice italienne âgée de quatre-vingt-neuf ans. Née en septembre 1930, elle en avait treize lorsqu’en janvier 1944 le train plombé parti de la Station centrale de Milan la porta jusqu’au camp de concentration d’Auschwitz-Birkenau. Elle fut une des rares enfants italiens de moins de quatorze ans qui survécurent à la déportation.

Si sa photo figure ces jours-ci à la une de tous les journaux italiens, c’est parce que, nonobstant son grand âge, la sénatrice reçoit chaque jour, via des blogs d’adversaires politiques et ce qu’on appelle les « réseaux sociaux » (les Italiens, aussi friands que nous de ridicules anglicismes, les appellent « i social »), plus de deux cents messages de menaces et d’insultes pour son combat contre les néofascistes, son inlassable rappel des persécutions totalitaires du siècle dernier. La violence des attaques qu’elle subit a conduit le gouvernement à la mettre sous protection de la police. Désormais, cette très vieille dame ne se déplace qu’escortée par des carabiniers gardes du corps, tel le jeune Saviano, journaliste spécialisé dans les enquêtes sur la mafia.

Ici, les insultes et les menaces mafieuses ; là, les menaces et les insultes antisémites. Certes, l’âge de Mme Liliana Segre rend la situation particulièrement choquante. Je dirais même plus : ahurissante. Cependant, ce qu’il faut, une nouvelle fois, noter est le rôle délétère que joue Internet en permettant à des imbéciles incultes, à des fanatiques qui ont un pois chiche à la place du cerveau de se constituer en tribunal, de distribuer les bons et les mauvais points, de mettre au pilori toute personne qui leur déplaît, de souhaiter publiquement sa mort.

Nos contemporains deviennent des voyeurs pornographes

En 1990, c’était avant l’invention des nauséabonds « réseaux sociaux », la revue Globe avait consacré un dossier à l’antisémitisme. Le lisant, j’avais été frappé par la similitude du vocabulaire utilisé par les antisémites et les néo-inquisiteurs de l’ordre moral qui – une mode venue d’outre-Atlantique – commençaient à nous expliquer qui nous avions le droit d’aimer, ce qu’il nous était permis d’écrire, et surtout qui nous n’avions pas le droit d’aimer, ce qu’il nous était interdit d’écrire sous peine d’excommunication. On y trouvait les mêmes ingrédients : la haine, la jalousie, la caricature destinée à rendre l’adversaire odieux, à le détruire.

J’en fis la remarque à Philippe Sollers qui m’avait alors cité ce mot révélateur d’Hitler : « L’antisémitisme est la seule forme de pornographie qui soit autorisée dans le IIIe Reich. »

Le lynchage médiatique, qu’il atteigne une respectable sénatrice italienne, un fameux cinéaste new-yorkais ou n’importe lequel d’entre nous, est en effet la forme la plus vulgaire de la pornographie. Nos contemporains, chaque jour davantage, deviennent des voyeurs pornographes, des justiciers pornographes. Si nous n’ouvrons pas grand les fenêtres, l’atmosphère va vite devenir irrespirable.

 

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