Je décline toute responsabilité quant aux mentions qui s'affichent dans les cinq lignes ci-dessus du pavé "Recherchez aussi" sur lequel je n'ai aucun contrôle.
Mes statistiques sont bloquées depuis le 2 février 2015.
7 février 2015
Mes statistiques sont de retour, tout fonctionne.
16 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 12 février.
22 février 2015
Mes statistiques "basiques" ont été débloquées hier soir après la publication de mon dernier article concernant NEMROD34. Belle reprise simultanée de l'activité du Chinois.
23 février 2015
Statistiques "basiques" toujours sujettes à blocages : le 21 février au soir, à peine étaient-elles débloquées, puis à nouveau hier, 22 février, à peine étaient-elles débloquées.
24 février 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Pas de nouveau pic d'activité du Chinois depuis le 21 février.
25 février 2015
Je n'ai pas mes statistiques "basiques" du jour, ça bloque encore... et Justinpetitcoucou est toujours bloqué depuis le 8 février... Faudrait penser à le débloquer, lui aussi, il y a du laisser-aller, là...
26 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blog débloquées. Merci pour Justin, il était temps !
27 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blogs de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt... Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
25 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 20 mars.
26 mars 2015
Merci de m'avoir débloqué mes statistiques "basiques". Encore une fois, je ne vois pas l'intérêt de ce petit jeu. Ce serait aussi bien de cesser de bloquer ces statistiques pour oublier de les débloquer jusqu'à ce que j'aie signalé le problème.
31 mars 2015
Merci de bien vouloir me débloquer les statistiques "basiques" de Justinpetitcoucou, restées bloquées depuis le 14 mars - cf. avis du 25 mars sur Justin.
2 avril 2015
Merci de m'avoir rendu les statistiques de Justin.
7 mai 2015
Je n'ai plus de statistiques depuis deux jours, ni "basiques" ni "avancées".
10 mai 2015
Retour des statistiques "basiques". Merci. Manquent encore les statistiques "avancées".
14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
3 octobre 2015
Depuis hier, les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro. Merci de me les rendre.
A noter : depuis qu’il a pris sa retraite, le protecteur du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi nommé Alain Pougetoux, très connu de tous les fans de Napoléon pour avoir été plusieurs années durant le conservateur en chef du patrimoine du château de Malmaison, est devenu voisin de Jean-Luc Avella Bagur à Vélizy-Villacoublay.
Or, ces gens sont bien des assassins. Depuis les années 2008 à 2010, ils s’attachent à identifier et retrouver tous mes proches et mes anciennes connaissances, particulièrement les ingénieurs, afin de les assassiner. Ils ont ainsi déjà assassiné plusieurs ingénieurs de ma famille… avec la bénédiction des magistrats ultra corrompus des tribunaux de Brest et Quimper, notamment la véritable prostituée Céline Verdier, devenue juge d’instruction à Brest après être passée par la fameuse école du cul de Bordeaux dite Sciences Po, après avoir obtenu un bac littéraire par défaut grâce aux méthodes d’enseignement du lycée privé catholique Sainte-Anne de Brest (elle était nulle en tout, sauf en vice, sournoiserie et saloperies en tous genres, à peu près comme son aînée la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest).
Rappelons encore qu’il fut un temps où leur complice Jacques Fornès du Sud-Finistère, grand ami de la famille Le Pen et fan de l’émission Affaire conclue, le même qui ne s’est jamais gêné pour afficher publiquement sur Facebook son goût très prononcé pour les très jeunes Thaïlandaises, s’y vantait aussi d’avoir énormément apprécié travailler avec la DGSE en tant que militant du Front national.
Or, je ne vois pas quel véritable agent de la DGSE pourrait sérieusement travailler avec un pareil débile mental… S’agirait-il encore de simples agents de la sécurité ?
L’enquête sur l’officine criminelle de francs-maçons élargie à de nouveaux faits
Par Le Figaro avec AFP
Publié hier à 18:59, Mis à jour hier à 21:04
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Une officine criminelle dirigée par des francs-maçons est suspectée d’au moins un assassinat. Une enquête avait été ouverte en juillet 2020.
La rocambolesque information judiciaire parisienne sur une officine criminelle dirigée par des francs-maçons et suspectée d’au moins un assassinat a été élargie à deux nouveaux contrats potentiels, a appris l’AFP jeudi 5 mai de source proche du dossier, confirmant une information du Parisien.
Cette enquête, qui avait démarré fortuitement fin juillet 2020 avec l’évitement d’une possible tentative d’assassinat d’une coach en entreprise à Créteil, a été successivement élargie à de nombreux autres faits. La cellule est suspectée d’avoir ordonné l’assassinat du pilote de rallye Laurent Pasquali en 2019; un projet d’assassinat d’un «syndicaliste gênant» de la CGT à Bourg-en-Bresse la même année; de projets criminels visant le maire de Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne) Sylvain Berrios ou un opposant congolais au président Sassou Nguesso, Ferdinand Mbaou, etc.
Vol et violentes agressions
Récemment encore, deux nouveaux projets potentiels ont été ajoutés. Le premier est une violente agression perpétrée en janvier 2020 par deux individus dans le sud de la Seine-et-Marne contre un homme qui avait fait auparavant l’objet, avec son compagnon, de menaces de mort. Le mobile de l’agression pourrait être le recouvrement d’une dette supposée de 300.000 euros. Et au moins l’un des exécutants présumés de l’officine criminelle, Yannick P., est soupçonné d’être impliqué dans cette agression. Instruit à Melun jusque-là, ce dossier a été transféré à Paris mi-mars.
Le second dossier, rattaché à cette enquête depuis juin 2021, concerne une cadre d’un constructeur automobile, Caroline D. Sébastien L., l’un des principaux hommes de main de la cellule, a indiqué l’avoir agressée, déguisé en livreur de pizzas, et lui avoir dérobé son ordinateur portable en septembre 2018 dans le Val-d’Oise. D’après des éléments du dossier dont l’AFP a eu connaissance, Daniel B., un autre protagoniste central du dossier, a indiqué début mars en audition avoir confié à Sébastien L. la mission de «récupérer l’ordinateur» de Mme D., dans le cadre d’un contrat d’intelligence économique qui aurait été confié à la cellule par une entreprise.
Placée en garde à vue en janvier, la dirigeante de cette entreprise a contesté avoir «demandé des informations sur Caroline D. ou son agression». Elle a été laissée libre sans poursuites à ce stade. Par ailleurs, une nouvelle personne a été mise en examen le 14 avril, notamment pour «complicité de tentative de meurtre en bande organisée», portant à seize le nombre de mises en cause. Il s’agit de Nicolas S., armurier de profession, suspecté d’avoir fourni l’arme dont disposaient les deux hommes suspectés de la supposée tentative d’assassinat déjouée de juillet 2020 qui visait la coach en entreprise.
Le texte peut changer fréquemment, n’est peut-être pas à jour et peut manquer de recul.
Le titre et la description de l’acte concerné reposent sur la qualification juridique retenue lors de la rédaction de l’article et peuvent évoluer en même temps que celle-ci.
N’hésitez pas à participer de manière neutre et objective, en citant vos sources et en n’oubliant pas que, dans nombre de systèmes judiciaires, toute personne est présumée innocente tant que sa culpabilité n’a pas été légalement et définitivement établie.
La dernière modification de cette page a été faite le 1 mars 2022 à 21:20.
Les enquêteurs envisagent l’hypothèse de leur participation dans une dizaine d’affaires, toutes n’ayant pas forcément conduit à des meurtres. Comme la surveillance d’un concurrent à la mairie de Saint-Maur-des-Fossés en 2014 par le maire alors en place Henri Plagnol ou encore la tuerie de Chevaline.
En février 2021, la police retrouve chez le commanditaire présumé du projet d’assassinat de Marie-Hélène Dini, Jean-Luc Avella Bagur, des munitions de Luger P06 . Ces munitions sont rares et ont été utilisées lors de la tuerie de Chevaline. Cette découverte entraîne le réexamen du dossier pour tenter de faire le lien entre les deux affaires1,2,3,4.
2014 : affaire Henri Plagnol
Henri Plagnol, qui fut secrétaire d’Etat de Jacques Chirac, aurait fait appel, avant les municipales de 2014 à Saint-Maur-des-Fossés, à la même cellule de barbouzes pour faire surveiller son concurrent, Sylvain Berrios qui est, à la suite de ces élections devenu maire. Par la suite, Henri Plagnol est condamné en 2017 à un an de prison avec sursis et trois ans d’inéligibilité. Il a été considéré comme complice d’un système de fausses factures payées par la mairie de Saint-Maur à une filiale de Bygmalion, la société impliquée dans la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 20125.
Les enquêteurs semblent aussi faire un lien[évasif] avec l’agression de Jean-François Le Helloco, ami de Sylvain Berrios. Un matin d’octobre 2016, le conseiller départemental Jean-François Le Helloco est attaqué par deux hommes cagoulés dans le jardin de sa maison de Saint-Maur. S’ensuit une pluie de coups, des injonctions « Faut que tu arrêtes ! » et une photo souvenir6.
2018 : meurtre de Laurent Pasquali
Laurent Pasquali, pilote automobile, disparaît inexplicablement en 2018 à Levallois. Le 1er septembre 2019, un crâne et des ossements humains sont découverts dans un bois à Cistrières. Ils ne sont pas immédiatement identifiés7. On apprend par la suite qu’il s’agit du corps de Laurent Pasquali. Il a été abattu8 et enterré dans ce bois en Haute-Loire9,10,11. Laurent Pasquali aurait touché 200 000 euros pour apposer un logo sur sa voiture de rallye durant les courses et n’aurait pas respecté les termes du contrat12.
2020 : affaire du syndicaliste d’Izernore
Interpellé dans le cadre de l’affaire, un ancien journaliste au Dauphiné libéré, Frédéric Vaglio, reconnaît avoir reçu en janvier 2020 d’« amis » entrepreneurs dans le domaine de la plasturgie un versement de 75 000 euros, en règlement d’une mission d’élimination d’un syndicaliste appartenant à la CGT. Celui-ci n’aurait échappé à l’assassinat que par le repli rendu nécessaire par l’échec de la tentative de meurtre de Mme Dini, exposée ci-après. Mis en examen le 10 mai 2021 pour « association de malfaiteurs en vue de commettre un crime », ces « amis » sont écroués ; ils démentent totalement les accusations qui pèsent sur eux.13,14,15
2020 : projet d’assassinat de Marie-Hélène Dini
Le 24 juillet 2020, Marie-Hélène Dini cheffe d’entreprise, à la tête d’une école de formation de coach sort de chez elle en retard à Créteil (Val-de-Marne). Elle aperçoit une voiture de police avec des policiers en train d’interpeller deux hommes. Les deux hommes sont découverts en possession d’armes, et la police découvre qu’ils sont gardiens d’un camp de la DGSE. Ils auraient eu pour ordre d’éliminer Marie-Hélène Dini, supposée être un agent ou une informatrice du Mossad, mais surtout, initiatrice d’une tentative de structuration de la profession de coach en France. Le commanditaire, un de ses concurrents, avoue avoir demandé son exécution car il craignait que la création d’un syndicat national ne fasse de l’ombre à son affaire,8,16,17.
Suspects
Exécutants présumés
Pierre B. et Carl E. seraient les deux exécutants présumés qui travaillent pour la DGSE. Ils n’appartiennent pas au service action de la DGSE mais ils sont simplement des gardiens du camp d’entraînement de la DGSE à Cercottes. Ils ont comme pseudonymes : Dagomar et Adelard18.
Commanditaires présumés
Les commanditaires présumés semblent avoir pour point commun d’appartenir à une loge maçonnique nommée « Athanor » (nom médiéval du fourneau des alchimistes). Cette loge appartient à l’obédience Grande Loge de l’Alliance maçonnique française (GL-AMF). Créée au printemps 2012 à la faveur de la scission d’une autre obédience, la GL-AMF compte quelque 15 000 membres et 680 loges en France. Le 4 février 2021, la loge mise en cause, installée à Puteaux, dans les Hauts-de-Seine, a été fermée par le nouveau grand maître19.
Réaction des obédiences et des organes maçonniques
Le journal Le Parisien qui évoque l’affaire en une, sous le titre « Victime des tueurs francs-maçons », voit ce titre qualifié de« racoleur et putassier » par l’auteur du blog maçonnique Hiram.be, jugeant l’amalgame entre les auteurs des méfaits et leur qualité de franc-maçon comme teinté d’antimaçonnisme et alimentant les fantasmes véhiculés contre la franc-maçonnerie dans les milieux qui lui sont hostiles20.
La Grande Loge nationale française précise dans un communiqué que les noms des deux suspects apparaissent dans leur registre entre 2009 et 2012, année de leur départ de l’obédience, sans jamais avoir occupé de postes significatifs. Elle affirme son indignation devant des agissements putatifs qui salissent la franc-maçonnerie tout entière21,22.
Le grand maître du Grand Orient de France, dans une publication précise que le Grand Orient n’a aucun lien, ni même aucune connaissance de l’existence de cette loge maçonnique n 1, mise en cause dans les chroniques criminelles des médias français. Il affirme, tout en respectant la présomption d’innocence, que de tels agissements sur lesquels toute la lumière doit être faite, rejaillissent sur la franc-maçonnerie qui reste un ordre et une association humaniste respectueuse sans conditions des lois de la République23,24.
Pour sa part la Grande Loge de l’Alliance maçonnique française à laquelle appartenait la loge Athanor, dissoute en février et à laquelle sont rattachés plusieurs protagonistes de l’affaire, rappelle « qu’en tant qu’obédience maçonnique, elle prône le respect strict et absolu de toutes les lois en vigueur dans notre République ». Elle suspend les membres incriminés jusqu’au rendu de l’enquête 25.
Notes et références
Notes
La loge maçonnique n’appartenant pas à son obédience.
Références
« Derrière les Blaireaux des légendes, des tentatives assassinat en série », Le Canard enchaîné, 24 février 2021.
L’attentat déjoué en 2019 était programmé pour début mai alors que le procès de mon principal témoin contre le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi et sa bande de cybercriminels était alors prévu pour le 14 mai 2019 (il sera finalement reporté au mois d’octobre 2019).
Ce projet d’attentat avait commencé à voir le jour début février 2019, soit au lendemain de la publication du faux témoignage du pédophile contre moi par la fausse journaliste et vraie harceleuse de femmes Hélène Sergent sur le site pro-pédophile 20minutes.fr : comme déjà dit, c’est tout ce qu’il fallait au terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi pour trouver une nouvelle équipe pour commettre un attentat visant cette fois directement la tête de la République française, sa cible privilégiée depuis sa dernière défaite judiciaire, le 11 avril 2018, comme il n’a cessé de le répéter publiquement à compter de son inscription sur Twitter au mois de février 2019, et encore très récemment :
Attentat djihadiste déjoué en 2019 à Paris : cinq personnes renvoyées en procès
Par Le Figaro avec AFP
Publié le 19/04/2022 à 23:06, Mis à jour hier à 15:42
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Un juge d’instruction antiterroriste a ordonné le renvoi devant la cour d’assises des mineurs spéciale de cinq personnes suspectées d’avoir projeté en 2019 un attentat djihadiste aux abords du Palais de l’Élysée, a appris mardi l’AFP de source proche du dossier, confirmant une information du Parisien. Cette ordonnance de mise en accusation, signée jeudi, renvoie cinq personnes «devant la cour d’assises des mineurs spécialement composée pour association de malfaiteurs terroriste en vue de préparer des crimes d’atteinte aux personnes», selon cette source.
L’un d’entre eux est également renvoyé «pour non-dénonciation de crime constituant un acte de terrorisme», toujours de même source. Un sixième protagoniste du dossier, mineur de moins de seize ans au moment des faits et né en mai 2003, a été «condamné en 2021 par le tribunal pour enfants statuant en matière criminelle à une peine d’emprisonnement partiellement assortie d’un sursis probatoire», a indiqué la source proche. Dans son téléphone avait été retrouvé une photographie de l’intéressé à côté de François Hollande.
D’après des éléments du dossier dont l’AFP a eu connaissance, le dossier a été ouvert début février 2019 autour de la figure d’Alexandre B., 42 ans, «suspecté de fomenter un projet de nature terroriste ciblant les forces de sécurité françaises et impliquant d’autres individus». Ce «partisan du djihad publiait régulièrement sur les réseaux sociaux des articles en faveur du groupe État islamique» et notamment sur Telegram «des vidéos de propagande de l’EI montrant des exécutions et des égorgements», selon ces éléments. Spécificité de cette enquête, une cyber-infiltration puis une infiltration rocambolesque. Elles ont mis à jour «un projet d’action violente ciblant les abords du Palais de l’Élysée, les policiers en faction et éventuellement les civils sur l’avenue».
Le 24 avril 2019, «l’agent infiltré annonçait sur le groupe Telegram avoir fait l’acquisition de deux kalachnikovs», proposées à l’essai à Alexandre B. et à un autre mis en cause, Karim B., dans un appartement parisien géré par l’antiterrorisme, qui déclenchait leur interpellation. Si Karim B. «revendiquait les faits qui lui étaient reprochés», Alexandre B. et le dernier membre du trio suspecté d’avoir envisagé une action violente, Mohamed C., «affirmaient qu’ils n’auraient pas été jusqu’au bout». «Nous considérons que les infiltrés» de la DGSI «sont allés beaucoup plus loin que ce que la loi autorise» et «ont donné du relief au projet», a contesté Me Marc Bailly, avocat de Mohamed C.
Arrêtés après une infiltration policière inédite, les accusés ont été renvoyés devant la Cour d’assises spéciale de Paris pour avoir fomenté un attentat aux abords de l’Élysée.
C’est l’aboutissement d’un travail entamé en 2019, et ayant requis un engagement hors normes de différents services de police et de renseignement. Cinq personnes ont été déférées devant la Cour d’assises spéciale de Paris pour «association de malfaiteurs terroriste criminelle». Islamistes radicaux, ils prévoyaient de mener un attentat, ayant retenu les abords de l’Élysée.
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Le départ du travail est lancé au début 2019, lorsque la DGSI intercepte des échanges de messages sur les réseaux sociaux, comme l’indique le récit du Parisien . Alexandre B., 39 ans, employé de la mairie de Paris converti à l’islam, publie des vidéos scabreuses de Daech, recueille des informations pour se procurer des armes. Le Parquet National Antiterroriste ouvre une enquête, la DGSI peut procéder à une cyberinfiltration : elle est menée par un agent qui se baptise «Abu Mohamed», et se présente comme un admirateur de l’État islamique. Alexandre B. l’intègre à une boucle de discussion Telegram, dans laquelle il précise ses volontés d’attentat. Les membres du groupe conviennent de se rencontrer.
Toutefois, la DGSI n’a pas les moyens légaux d’envoyer son agent sur le terrain. C’est le SIAT, Service Interministériel d’Assistance Technique, qui est appelé en renfort. Un de ses hommes, au nom de code de Khalil, se fait appeler Abou Bakr. Il prend le relais d’Abu Mohamed pour se rapprocher des vrais djihadistes. Une première rencontre a lieu le 26 février 2019, lors de laquelle il fraternise avec Alexandre B., et découvre qu’une action est envisagée avec d’autres «frères». Des repérages sont même effectués le lendemain au commissariat d’Aulnay-sous-Bois : portes de sorties et bureaux sont inspectés sous le prétexte d’un dépôt de plainte.
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Un nouveau personnage, Karim B., est également introduit. Se surnommant «le samouraï d’Allah», ce dernier est décrit comme schizophrène dangereux, rédigeant des notes justifiant le meurtre de femmes et d’enfants. Un quatrième, Majid rejoint également le groupe : mineur algérien, déjà condamné pour association de malfaiteurs terroriste, il vit dans un centre éducatif à Chelles en Seine-et-Marne, et a convaincu ses éducateurs qu’il est désormais déradicalisé.
Les quatre apprentis terroristes, dont Abou Bakr l’infiltré, se rencontrent tous le 4 avril. Ils travaillent le mode opératoire d’un attentat. Après avoir envisagé les Champs-Élysées, ou un assassinat d’une dessinatrice de Charlie Hebdo, le choix se porte sur les alentours de l’Élysée. «Premier assaut pour faire venir la cavalerie mécréante, et deuxième assaut sur cette cavalerie mécréante. Le plan est simple, jusqu’à tomber chahid [mourir en martyr]», promet Alexandre B..
«Abou Bakr», du SIAT, tend alors son piège : il dit se charger des armes, notamment grâce à celui qui l’a introduit, Abu Mohamed. Le 19 avril 2019, il récupère les fonds de deux de ses comparses, Alexandre B. et Karim B., pour l’acquisition de mitraillettes AK 47 Kalachnikovs, et va se balader avec eux jusqu’aux abords du palais présidentiel, pour des repérages. Le 24, il annonce avoir acquis deux AK47 et les avoir planquées dans un appartement du 10e arrondissement de Paris. Deux jours plus tard, Alexandre B. et Karim B. pénètrent dans les lieux, et viennent admirer les armes, en réalité neutralisées. Le piège s’est refermé : une équipe de la DGSI les attend en bas de l’immeuble… Le jeune Majid, qui n’a pu se libérer pour venir à Paris, est de son côté arrêté à Chelles.
En garde à vue, les trois protagonistes ont assumé leur volonté de «mourir en martyr», mais ont relativisé leur motivation. Leurs avocats ont d’ailleurs remis en cause les méthodes utilisées par les renseignements et la police, qui auraient poussé à l’infraction. Les investigations ont toutefois été validées par la justice, qui, trois ans après les faits, a renvoyé les mis en cause devant la Cour d’assises spéciale de Paris.
Attentat déjoué : la cellule terroriste voulait s’attaquer à l’Elysée
Selon l’enquête, les quatre hommes de 17 à 39 ans mis en examen mardi pour terrorisme avaient effectué des repérages autour de la présidence de la République et acquis une kalachnikov.
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Par Jean-Michel Décugis, Éric Pelletier et Jérémie Pham-Lê
Le 2 mai 2019 à 13h17, modifié le 2 mai 2019 à 22h10
En garde à vue, ils n’ont pas caché leur adhésion à l’islam radical. Ni leur volonté de commettre une action violente, projet déjà à un stade avancé lors du coup de filet policier. Selon nos informations, les quatre suspects, Alexandre B., Karim B., Anis M. et M.C., interpellés vendredi puis mis en examen mardi pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » et écroués, envisageaient d’attaquer l’Élysée au fusil d’assaut kalachnikov, mais aussi un commissariat de Seine-Saint-Denis.
La date d’un passage à l’acte au début du ramadan a été évoquée lors de leurs discussions. C’est ce qui ressort des investigations des policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), qui ont fait usage de techniques de surveillance très poussées pour mettre hors d’état de nuire ce groupe de fanatiques du groupe État islamique (EI).
Âgés de 17, 26, 38 et 39 ans, les terroristes présumés, domiciliés à Paris, dans le Val-d’Oise et en Seine-Saint-Denis, étaient dans le viseur des enquêteurs depuis le 1er février. Au cours de leurs préparatifs, les suspects ont effectué des repérages rue du Faubourg-Saint-Honoré (8e arrondissement de Paris), où est située la Présidence de la République. Les analyses de leurs téléphones et les surveillances confirment l’existence de ces déplacements destinés, semble-t-il, à observer les rondes des policiers en faction. Dans leurs échanges, des suspects se seraient vantés de bien connaître l’Élysée et auraient évoqué une porte d’entrée de service. Voulaient-ils s’en prendre aux forces de l’ordre, frapper aveuglément ou cibler une personne en particulier ? L’enquête doit encore le déterminer.
Des mosquées également visées
Une certitude : les investigations révèlent que la cellule djihadiste s’est aussi intéressée au commissariat d’Aulnay-sous-Bois. Là encore, des repérages ont été détectés. « Je m’en fiche de tirer sur des flics même s’ils sont musulmans », a d’ailleurs reconnu, en substance, l’un des suspects en garde à vue. D’autres cibles ont été évoquées, tels l’avenue des Champs-Élysées ou… des mosquées, au motif que les musulmans de France seraient trop modérés. Le groupe, qui discutait sur des messageries chiffrées, était parvenu à collecter 1200 euros pour acquérir un fusil d’assaut kalachnikov. Des réunions ont été organisées à Chelles (Seine-et-Marne).
Parmi les quatre suspects, seul le benjamin était connu pour terrorisme. Ancien lycéen fiché S, M.C. avait été condamné en janvier à trois ans de prison, dont deux avec sursis, pour un projet de départ avorté en Syrie en 2017. Le mineur séjournait depuis dans un centre éducatif fermé situé dans une petite commune de la Seine-Saint-Denis. Selon le centre d’analyse du terrorisme (CAT), M.C. avait été intercepté avec un ami plus âgé sur une autoroute d’Allemagne en février 2017 : il avait alors déclaré aux policiers de la DGSI qu’il comptait « rejoindre l’armée syrienne libre, combattre le régime de Bachar el-Assad et faire de l’humanitaire ». Mais les enquêteurs avaient découvert sur son iPhone de nombreuses chaînes Telegram pro djihadistes, des nasheeds (chants guerriers) appelant à « égorger les mécréants » ainsi que, plus inquiétant, des recherches sur des balles 9 mm et une vidéo montrant des policiers du commissariat de Gonesse (Val-d’Oise).
Pas des « menaces en l’air »
Victime d’une enfance chaotique, M.C. est par ailleurs l’auteur d’une fausse alerte à la bombe commise… le 13 novembre 2015 à la gare de Lyon de Paris. C’est en se procurant un téléphone portable, à l’insu de ses éducateurs qui ignoraient sa radicalisation persistante, que le jeune homme serait entré en contact avec ses complices.
Le profil de l’aîné du groupe intéresse aussi les enquêteurs. À 39 ans, Alexandre B. était, selon une source proche des investigations, le membre le plus actif. Cet habitant du 19e arrondissement de Paris était fonctionnaire à la mairie de Paris, recruté en juin 2013 comme adjoint technique à l’entretien d’un stade sportif. Quant aux deux autres suspects, Karim B. et Anis M., ils n’étaient connus que pour délits de droit commun, le premier également pour des troubles psychiatriques. Un proche des investigations l’assure : « Pour nous, cette cellule ne proférait pas de menaces en l’air et allait agir de façon imminente. »
Attentat déjoué contre l’Elysée : un cinquième suspect arrêté à Strasbourg
La DGSI a interpellé mardi matin un mineur de 16 ans dans l’enquête sur un projet d’attentat déjoué fin avril et visant un commissariat de police ou l’Elysée.
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Par J.Cl.
Le 7 mai 2019 à 12h58, modifié le 7 mai 2019 à 13h43
Un jeune homme mineur a été interpellé mardi matin à Strasbourg et placé en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur un attentat récemment déjoué contre la police, selon une information de TF 1/LCI confirmée par une source judiciaire à l’AFP.
L’adolescent, qui a eu 16 ans lundi, lycéen d’origine tchétchène selon TF 1, a été interpellé au domicile de ses parents par la DGSI sur décision d’un juge d’instruction. Il aurait pu être chargé de diffuser la vidéo d’allégeance à Daech après le passage à l’acte du commando.
Trois hommes de 26, 38 et 39 ans, ainsi qu’un mineur de 17 ans déjà condamné dans une affaire de terrorisme, ont été mis en examen pour association de malfaiteurs terroriste criminelle et écroués le 30 avril dans cette affaire.Interpellés le 26 avril, Alexandre B., Karim B., Anis M. et M.C. sont soupçonnés d’avoir projeté de commettre un attentat au début du ramadan, et avaient effectué des repérages aux abords de l’Elysée et d’un commissariat de banlieue parisienne. Ils avaient aussi acquis une kalachnikov.
Ancien lycéen fiché S, M.C., 17 ans, avait été, selon les informations du Parisien, condamné en janvier à trois ans de prison, dont deux avec sursis, pour un projet de départ avorté en Syrie en 2017. Il avait été placé dans une structure éducative après sa sortie de prison. Ce même jeune homme avait aussi lancé une fausse alerte à la bombe gare de Lyon, à Paris, le 13 novembre 2015, le jour des attentats meurtriers du Bataclan, des terrasses et du Stade de France.
Ce dont je suis sûre, par contre, c’est que c’est une des toutes dernières victimes du mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi et de sa complice la petite pute Hélène Sergent, fausse journaliste et vraie harceleuse de femmes de chez les pro-pédophiles de 20minutes.fr, comme en atteste cette conversation d’il y a deux jours sur Twitter, au cours de laquelle le mythomane l’a renvoyé vers son faux témoignage du 28 janvier 2019, celui qu’Hélène Sergent avait accepté de publier pour relancer toute la machine des attentats islamistes qui s’essoufflait sérieusement depuis le printemps 2018, le terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi ne trouvant plus personne pour se lancer dans de nouvelles procédures abusives à mon encontre :
Je ne pense pas que JM Lafon soit partisan de la liberté totale façon Musk : on l’a déjà dit, la dérive sur le net a rendu nécessaire faute de mieux le pseudonymat.
Les conditions actuelles sont tout à fait équilibrées… en théorie. Quand ils y mettent les moyens, les enquêteurs trouvent qui se cache derrière un pseudo pour nuire. L’ennui, c’est la pratique car les services sont sous-dimensionnés. On n’amende pas la loi sur cette base !
L’ennui est que là, votre propos ne s’appuie sur rien pour l’étayer. Ça ne me donne guère envie de le considérer comme autre chose que du bla-bla. À moins que vous consentiez à aller un peu plus loin que du sarcasme abstrait.
Euh non, nous sommes dans une conversation publique où vous parlez publiquement de mes propos comme de bla-bla. Donc on continue en public ou pas du tout.
Deux remarques d’un qui a aussi eu sa dose de campagnes de boules puantes (mais moins que vous) : 1) la justice et probablement votre avocat ont été en dessous de tout. 2) sous pseudo nous aurions été bien mieux protégés…
Je préfère ne pas dire ce que je pense de l’institution judiciaire. Et bien avant la naissance d’internet j’écrivais des bouquins sous mon vrai nom, donc c’était naturel de continuer ainsi sur ce nouveau support. La personne nommée est face à l’innommé et l’innommable, ici.
J’entends bien. Intellectuellement, je ne peux pas admettre que la République restreigne un droit qui protège des millions de gens parce qu’elle n’est pas foutue d’entretenir une Justice digne de ses principes fondamentaux.
Suite à ça, je me suis en quelque sorte mis en retrait de tout ce qui peu ou prou, a trait à la république. Je ne crois plus au père Noël. Le côté positif de la chose est que j’ai beaucoup appris sur l’esprit humain, et les dessous sales de l’internet. C’est toujours ça de pris.
« On ne saurait faire boire un âne qui n’a pas soif ». Et comment fait-on pour empêcher un pays qui veut devenir fasciste? « On vote » est très court. Si tous ceux et celles qui « appellent » se bougeaient pour faire fermer leur gueule aux fachos dès qu’ils sortent, on en finirait vite
Le plus important c’est de leur boucler la gueule par tous les moyens possibles. Leur liberté d’expression doit être brutalement anéantie. C’est la première chose à faire.
N’oublions surtout pas que pour lui les victimes sont toutes « fascistes », car elles se plaignent de ceci ou de celà dans le but d’obtenir des peines de prison ou de réclusion criminelle contre des hommes, par exemple lui-même pour les faits de pédophilie dont il a pu se rendre coupable, ou bien encore pour tous les assassinats qu’il a pu ordonner ou organiser contre mes proches et d’autres témoins de ma vraie vie.